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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. Durango avec une épée dans une Allemagne médiévale un brin fantastique... 🙂
  2. The_PoP

    These savage shores

    Modification de Selection de année en Oui
  3. Titre de l'album : Legende - Tome 8 - De mains de femmes Scenariste de l'album : Ange Dessinateur de l'album : Stéphane Collignon Coloriste : Natalia Marques Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Tristan de Halsbourg a disparu... et sa disparition a fait de lui une légende. Une légende qui pèse sur ceux qu'il a laissé derrière lui : sa soeur Ombeline, devenue duchesse, ainsi que son mari, Alexandre de Hauteterre mais aussi sur Judith qui s'est exilée et rejette l'idée d'un compagnon - tant est forte, dans sa mémoire, l'image de celui qu'elle aurait pu aimer. Critique : Cette chronique a été réalisée à partir du pdf de lecture. Des différences de ressentis et de perception peuvent donc se révéler avec l'édition papier. Décidément depuis la reprise de la série de Swolf par un nouveau cycle avec un nouveau duo d'auteur, le rythme de parution s'accélère. Si le dernier tome était un bon tome de relance, il ne m'avait pas non plus totalement convaincu. Ce tome-ci, une nouvelle fois de qualité ne va pas nécessairement lever tous mes doutes, mais il a le mérite de proposer une vraie consistance dans ses récits. En effet, même si je ne comprends toujours pas le fait d'avoir scindé en deux les personnages et leurs aventures, ce Tome 8 de Légende nous propose enfin une vraie réflexion sur l'usage du pouvoir et de la violence pour une fois peu manichéenne. Et tant mieux, car si Légende sous Swolf avait consacré la lutte des justes contre les maudits, il convenait de donner un second souffle à tout cela. Et surtout de donner un peu d'ampleur au personnage de Tristan. Reste que les aventures narrées dans son fiefs avec ses anciens personnages secondaires se révèlent finalement aussi intéressantes que celle de notre mystérieux héros, même si plus classiques. La grosse claque de ce tome 8 c'est que je me suis demandé si les planches n'étaient pas presque plus belles que sur la série originale. Et quand on sait en quelle estime je tiens le travail de Maitre Swolf, c'est un vrai compliment. C'est souvent très réussi et fin, et en série d'aventure/action se déroulant au moyen âge, c'est vraiment dans le haut du panier des productions actuelles. Bravo donc à Stéphane Collignon et à Natalya Marques pour leur travail sur le dessin et la colorisation. Chapeau bas. On sent qu'une fois le tome d'adaptation passé, et l'héritage des personnages de Swolf assimilé, les auteurs ont su faire évoluer l'ensemble. J'espère que sur le prochain tome les auteurs auront le temps d'améliorer un petit peu les détails sur certaines cases secondaires, mais c'est vraiment histoire de pinailler. Pour tout vous dire graphiquement, cela m'a beaucoup fait penser au travail réalisé sur la série Samouraï et notamment sur sa reprise après le départ de M. Genêt. A noter que c'est bien Yves Swolfs qui a réalisé la couverture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/legende-tome-8-de-mains-de-femmes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Cette chronique a été réalisée à partir du pdf de lecture. Des différences de ressentis et de perception peuvent donc se révéler avec l'édition papier. Décidément depuis la reprise de la série de Swolf par un nouveau cycle avec un nouveau duo d'auteur, le rythme de parution s'accélère. Si le dernier tome était un bon tome de relance, il ne m'avait pas non plus totalement convaincu. Ce tome-ci, une nouvelle fois de qualité ne va pas nécessairement lever tous mes doutes, mais il a le mérite de proposer une vraie consistance dans ses récits. En effet, même si je ne comprends toujours pas le fait d'avoir scindé en deux les personnages et leurs aventures, ce Tome 8 de Légende nous propose enfin une vraie réflexion sur l'usage du pouvoir et de la violence pour une fois peu manichéenne. Et tant mieux, car si Légende sous Swolf avait consacré la lutte des justes contre les maudits, il convenait de donner un second souffle à tout cela. Et surtout de donner un peu d'ampleur au personnage de Tristan. Reste que les aventures narrées dans son fiefs avec ses anciens personnages secondaires se révèlent finalement aussi intéressantes que celle de notre mystérieux héros, même si plus classiques. La grosse claque de ce tome 8 c'est que je me suis demandé si les planches n'étaient pas presque plus belles que sur la série originale. Et quand on sait en quelle estime je tiens le travail de Maitre Swolf, c'est un vrai compliment. C'est souvent très réussi et fin, et en série d'aventure/action se déroulant au moyen âge, c'est vraiment dans le haut du panier des productions actuelles. Bravo donc à Stéphane Collignon et à Natalya Marques pour leur travail sur le dessin et la colorisation. Chapeau bas. On sent qu'une fois le tome d'adaptation passé, et l'héritage des personnages de Swolf assimilé, les auteurs ont su faire évoluer l'ensemble. J'espère que sur le prochain tome les auteurs auront le temps d'améliorer un petit peu les détails sur certaines cases secondaires, mais c'est vraiment histoire de pinailler. Pour tout vous dire graphiquement, cela m'a beaucoup fait penser au travail réalisé sur la série Samouraï et notamment sur sa reprise après le départ de M. Genêt. A noter que c'est bien Yves Swolfs qui a réalisé la couverture.
  5. Ah ah tu vois Pos faut pas se précipiter 🙂 j’ai lu cependant certaines critiques qui disent que c’est toujours aussi excellent mais que le niveau de dessin et de scénario a un chouïa baissé par rapport au premier.
  6. Ça lui donne un petit air de Gibrat cette couv’. hate de découvrir ça 🙂
  7. Marini a prévu de finir les aigles de Rome je pense. il a également un autre projet façon polar noir années 30 il me semble.
  8. The_PoP

    Divers JV

    Heu quand je dis dur en fait je parle juste de l'histoire qui est dure. Pas de la difficulté du jeu que j'ai trouvé plutot simple. 🙂
  9. The_PoP

    Divers JV

    pas forcément plus dur, le 1 était super dur, mais c'était une lutte pour la survie... plus facile de s'y immerger je trouve qu'une quête de vengeance...
  10. The_PoP

    Divers JV

    ahhhhhh 🙂 alléluïa Oui j'ai eu un peu de temps Kevin 🙂 fini en une trentaine d'heures de jeu je pense. C'est pas le virage féminin hein qui m'a gêné, je l'aime bien la petite Ellie, j'aime bien leurs problématiques. Simplement il y a un moment où elle devient trop dure, trop figée dans sa souffrance pour que je puisse m'identifier, surtout que le jeux ne t'explique volontairement pas tout pour ne pas sombrer dans le pathos, mais quelques fois tu te dis, mais pourquoi elle réagit comme ça ? Pourquoi elle s'entête comme ça... Et puis suivant les révélations tu te dis ah ben oui je comprends. Et puis a la révélation d'après tu te dis, ah ben non quand même elle y va un peu fort... Nan je crois que c'est juste une petite overdose de violence. Hors c'était le but recherché clairement par les créateurs du jeux. Une réussite donc. Un peu comme Crossed de Garth Ennis finalement, ça marque, ça choque, ça fait réagir, mais t'as pas vraiment envie de le relire...
  11. j'en resterai au classique Watchmen que j'ai beaucoup aimé. ça y est je me rappelle la chronique de Pos' 🙂
  12. The_PoP

    Divers JV

    La vache, je viens de finir The Last of Us 2 qui est un très grand jeu. C'est difficile pour moi de dire si l'ombre de son grand frère plane favorablement ou défavorablement sur l'impression qu'on se fait de ce jeu. Je m'explique. Le 1 est sublime et a marqué durablement les joueurs au fer rouge. Reprendre donc les personnages forts du premier était donc une garantie d'émotions fortes. Cependant, dans cet opus n°2, je trouve que la relation qui se noue entre le joueurs et les personnages n'est pas aussi forte que dans le premier. Attention spoiler dans le cadre ( @poseidon2 : si tu peux le réexpliquer comment on balise un spoiler je suis preneur...) Alors dis comme ça c'est sûr qu'on se dit que j'ai pas aimé. Ce n'est pas le cas. C'est un jeu excellent. Le gameplay est super, quoique un brin facile peut être... (seulement en mode normal ?) et les cinématiques et la réalisation sont ouf.
  13. Clair que celui là était bien moins épique que le précédent. Mais perso les sessions de craft/chasse me plaisaient bien, comme l’exploration et les gameplay. j’aimais assez le fait de manier une lara super létale... j’en garde un souvenir sympa. Mais clairement pas aussi marquant que le premier.
  14. Titre de l'album : Les ogres dieux - Tome 4 - Première née Scenariste de l'album : Hubert Dessinateur de l'album : Bertrand Gatignol Coloriste : Betrand Gatignol Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Bragante, dite Première-née, âgée et affaiblie, décide de révéler à sa petite-fille la vérité sur son histoire. Elle voua une passion aux livres, et ressentit très tôt l'angoisse de donner la vie. Son statut d'aînée la chargera de l'éducation des derniers-nés, mais ne la protégera pas du plus vaillant à qui son père, le roi, l'a promise. D'aînée, elle deviendra reine, sombrant dans l'aveuglement. Critique : Tout d'abord je tiens à saluer la mémoire d'Hubert, le scénariste talentueux des Ogres Dieux, cette fresque gigantesque de fantasy à la française qu'il avait imaginée avec Bertrand Gatignol. Son travail avait également été remarqué récemment sur Le Boiseleur ou Peau d'homme. Tristesse d'une année 2020 qui n'en finit pas de nous porter son lot de drames et de malheurs. Cette chronique a été réalisée à partir du pdf. Il peut exister des différences d'appréciations visuelles avec le format papier. Ce tome 4 donc, qu'il avait finit avant sa mort vient rajouter une pierre à l'édifice titanesque de cette grande fresque qu'ils avaient imaginés. Toujours aussi créatifs, et parvenant encore une fois à nous proposer un regard sur une actualité brûlante à travers leur société moyen âgeuse fantastique, les deux auteurs nous livrent encore une oeuvre complète et remarquable qui ne vous laissera pas indifférent. Pourquoi n'ai-je donc mis que 4 étoiles me direz-vous ? Par caprice d'enfant trop gâté est probablement la meilleure réponse. On a une quantité phénoménale de très belles sorties en ce moment, et il faut reconnaitre qu'une fois refermé ce magnifique ouvrage, je crois bien que je n'aurais jamais trop envie de le relire. C'est noir, très noir, et je ne parle pas là de la mise en couleur. Et finalement depuis que j'ai les 3 premiers tomes dans ma bibliothèque je n'ai pas eu le désir de les relire. Cela n'est pas nécessaire pour apprécier une grande oeuvre qui marque me direz-vous. Certes. Mais la question qui m'est venue à la rédaction de cette chronique est de savoir si ce tome m'apportait quelque chose à cette fresque ? Malheureusement, pour moi non, certes les problématiques abordées ici sont majeures et essentielles, mais elles le sont à travers un personnage qui fait déjà partie du passé de cette histoire. D'un point de vue narratif, il nous manque donc je trouve de l'incertitude. De plus, un tome consacré essentiellement à un personnage d'Ogre majeur nous prive d'une bonne part de sympathie pour notre personnage principal. Dommage donc. Vous me direz que dans cette chronique je me concentre essentiellement sur l"histoire, c'est vrai. Mais c'est tout simplement car pour ceux qui ont lu les 3 premiers, il n'y a rien à dire sur le travail fourni par Bertrand Gatignol. C'est magnifique, comme d'habitude. Oui les Ogres Dieux est et reste une oeuvre majeure, et ce tome est très bon. J'y ai cependant moins pris de plaisir de lecture du dimanche, même ou peut être plus simplement parce que les réflexions poussées par cet opus me semblent être les plus abouties des 4 tomes. Pour les afficionados de la série, ce tome est de toute façon nécessaire. Pour les autres, il est une aussi bonne entrée en matière que les 3 précédents pour découvrir un travail hors normes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-ogres-dieux-tome-4-premiere-nee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Tout d'abord je tiens à saluer la mémoire d'Hubert, le scénariste talentueux des Ogres Dieux, cette fresque gigantesque de fantasy à la française qu'il avait imaginée avec Bertrand Gatignol. Son travail avait également été remarqué récemment sur Le Boiseleur ou Peau d'homme. Tristesse d'une année 2020 qui n'en finit pas de nous porter son lot de drames et de malheurs. Cette chronique a été réalisée à partir du pdf. Il peut exister des différences d'appréciations visuelles avec le format papier. Ce tome 4 donc, qu'il avait finit avant sa mort vient rajouter une pierre à l'édifice titanesque de cette grande fresque qu'ils avaient imaginés. Toujours aussi créatifs, et parvenant encore une fois à nous proposer un regard sur une actualité brûlante à travers leur société moyen âgeuse fantastique, les deux auteurs nous livrent encore une oeuvre complète et remarquable qui ne vous laissera pas indifférent. Pourquoi n'ai-je donc mis que 4 étoiles me direz-vous ? Par caprice d'enfant trop gâté est probablement la meilleure réponse. On a une quantité phénoménale de très belles sorties en ce moment, et il faut reconnaitre qu'une fois refermé ce magnifique ouvrage, je crois bien que je n'aurais jamais trop envie de le relire. C'est noir, très noir, et je ne parle pas là de la mise en couleur. Et finalement depuis que j'ai les 3 premiers tomes dans ma bibliothèque je n'ai pas eu le désir de les relire. Cela n'est pas nécessaire pour apprécier une grande oeuvre qui marque me direz-vous. Certes. Mais la question qui m'est venue à la rédaction de cette chronique est de savoir si ce tome m'apportait quelque chose à cette fresque ? Malheureusement, pour moi non, certes les problématiques abordées ici sont majeures et essentielles, mais elles le sont à travers un personnage qui fait déjà partie du passé de cette histoire. D'un point de vue narratif, il nous manque donc je trouve de l'incertitude. De plus, un tome consacré essentiellement à un personnage d'Ogre majeur nous prive d'une bonne part de sympathie pour notre personnage principal. Dommage donc. Vous me direz que dans cette chronique je me concentre essentiellement sur l"histoire, c'est vrai. Mais c'est tout simplement car pour ceux qui ont lu les 3 premiers, il n'y a rien à dire sur le travail fourni par Bertrand Gatignol. C'est magnifique, comme d'habitude. Oui les Ogres Dieux est et reste une oeuvre majeure, et ce tome est très bon. J'y ai cependant moins pris de plaisir de lecture du dimanche, même ou peut être plus simplement parce que les réflexions poussées par cet opus me semblent être les plus abouties des 4 tomes. Pour les afficionados de la série, ce tome est de toute façon nécessaire. Pour les autres, il est une aussi bonne entrée en matière que les 3 précédents pour découvrir un travail hors normes.
  16. The_PoP

    Speak

    Ravi que cela t'ai plut. Je te conseille dans un autre registre mais d'utilité publique également : mes ruptures avec laura dean...
  17. The_PoP

    Quand y'en a marre...

    Ils peuvent pas passer ça en unilatéral non ?
  18. The_PoP

    Derniers Achats

    Bitter root ça ne plaira clairement pas à tout le monde mais ça reste l'une de mes bonnes lectures de l'année. Le scorpion je l'ai pris aussi, on verra bien...
  19. The_PoP

    Quand y'en a marre...

    C'est normal Pos', on perçoit toujours mieux les "blagues" quand elles nous impactent 🙂 Ceci dit la méthode, les bénéficiaires et les procédés n'ont pas changés, seulement les cibles. Et puis dis toi que ça aurait pu être pire : t'aurais pu avoir des fils : Karl, Jean-Luc et Robert 🙂 Mais en vrai je compatis en tant qu'ancien cadre bac +5 d'une grande boite 🙂 . Chaque fois que j'y regarde d'un peu près, les fonctionnements des grosses boites me débectent un peu plus. Même l'originalité et la créativité dans les justifications merdiques ne me réjouissent plus.
  20. Titre de l'album : Les nouvelles aventures de Bruno Brazil - Tome 2 - Black Program Scenariste de l'album : Laurent Frédéric Bollée Dessinateur de l'album : Philippe Aymond Coloriste : Didier Ray Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le commando Caïman est encore traumatisé par sa dernière mission. Mais une nouvelle menace vient d'apparaître. Un criminel insaisissable assassine tous leurs anciens ennemis. Et ce nouvel adversaire semble préparer une opération d'envergure liée à la conquête spatiale. L'heure n'est plus au chagrin et aux plaies que l'on panse. Les survivants du commando Caïman doivent se réunir à nouveau. Critique : Ah c'est sûr qu'un Bruno Brazil juste après un Thorgal, ça fleure bon les années 80 chez Le Lombard cet automne. Et si côté Thorgal on nous livre une aventure qui a évolué, côté nouvelles aventures de Bruno Brzail, on se rapproche plus de la BD hommage. Hommage aux James Bond, hommage aux Bob Morane, mais que ce soit au scénario ou au dessin, on nage en plein parmi ces références là. : bases secrètes dans la jungle, conquêtes spatiales, relations troubles entre agents, super méchant, scènes d'actions, on a la panoplie presque complète. La colorisation et le dessin soigné de Philippe Aymond font honneur sans les dénaturer aux personnages imaginés à l'époque par Greg et Vance. Là où le premier Bruno Brazil m'avait semblé trop classique et sans vrai identité, ce second tome nous amène à l'essentiel. L'intrigue avance beaucoup, on voyage, on se divertit. Et c'est déjà bien. Autres infos : James Bond Style Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nouvelles-aventures-de-bruno-brazil-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Ah c'est sûr qu'un Bruno Brazil juste après un Thorgal, ça fleure bon les années 80 chez Le Lombard cet automne. Et si côté Thorgal on nous livre une aventure qui a évolué, côté nouvelles aventures de Bruno Brzail, on se rapproche plus de la BD hommage. Hommage aux James Bond, hommage aux Bob Morane, mais que ce soit au scénario ou au dessin, on nage en plein parmi ces références là. : bases secrètes dans la jungle, conquêtes spatiales, relations troubles entre agents, super méchant, scènes d'actions, on a la panoplie presque complète. La colorisation et le dessin soigné de Philippe Aymond font honneur sans les dénaturer aux personnages imaginés à l'époque par Greg et Vance. Là où le premier Bruno Brazil m'avait semblé trop classique et sans vrai identité, ce second tome nous amène à l'essentiel. L'intrigue avance beaucoup, on voyage, on se divertit. Et c'est déjà bien.
  22. The_PoP

    Quand y'en a marre...

    la vache ça me ramène à mes jeunes années de pongiste...
  23. Enfin reçu et lu. j'aime toujours autant sans savoir l'expliquer. Mais comme Alx, je sens venir la lassitude. Ce tome se lit super vite, et il n'y a finalement que peu de rebondissements ou de tension. Je crois que sur n'importe quelle autre série j'aurais trouvé ça trop juste. Les personnages secondaires ou principaux ne s'étoffent pas beaucoup. Il va falloir lancer un vrai cycle et corser les intrigues/aventures. Et puis Tango devra peut être à un moment être un peu moins impérial et un peu plus malmené quand même...
  24. The_PoP

    Divers JV

    Acte 3. @VladNirky : c’est clair qu’il se dégage une belle impression de maîtrise. par contre je joue en normal et... ben je trouve le jeu vraiment facile pour le coup. Question goût perso/immersion/réalisme & co je crois que j’aurais préféré qu’on affronte moins d’adversaires mais que ceux ci soient un peu plus coriaces individuellement. après faut reconnaître que je prends mon temps et que du coup bah l’IA peut pas faire trop de miracles. L’univers a bien évolué quand même. Je préférais l’ambiance du premier ou les zombies effrayaient vraiment car c’était encore nouveaux pour les hommes et ou l’ennemi principal ne semblait pas être les hommes au départ. enfin pour le moment ça reste du très très grand art.
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