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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. ça me botte toujours autant. Pas encore reçu le mien par contre 😞
  2. The_PoP

    Le baron

    J’avoue que sur les deux derniers c’est très subjectif. m’enfin entre un gagnant d’un Eisner et le dernier né de Masbou, qui on le sent lui a tenu vraiment à cœur, je ne serais probablement pas le seul à les avoir remarqués. clairement le Masbou est au dessus du lot des sorties de la rentrée pour moi. Y compris du Servitude. Plus marquant je trouve. par contre il faudra voir le potentiel de relecture. Mais bon je relis toujours mes de cape et de crocs donc bon. faut aimer le dessin. Mais ce dessin là ne m’attire jamais, mais me parle toujours. C’est un truc de dingue.
  3. The_PoP

    Le baron

    Titre de l'album : Le baron Scenariste de l'album : Jean-Luc Masbou Dessinateur de l'album : Jean-Luc Masbou Coloriste : Jean-Luc Masbou Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : A l'automne de sa vie, le Baron de Münchhausen se retrouve confronté au livre fraîchement publié qui raconte ses aventures. Un livre qui, certes, lui amène une popularité et une certaine notoriété bien au-delà de la région où il réside mais qui le confronte à la mort en faisant de lui un héros de papier et non plus un conteur ! Notre baron se décide à rétablir la vérité, et quelle vérité ! Critique : Je vous avoue que j'ai une grande tendresse pour le dessin de Jean-Luc Masbou. Fan absolu de son travail remarquable sur De Cape et de Crocs, j'avoue que j'ai fortement suivi la sortie de ce tome consacré aux aventures fantastiques du baron de Munchausen où le génie de Jean-Luc Masbou se retrouvait aux commandes du scénario, de l'écriture et du dessin. Hors l'on sait l'écueil que cela représente pour un seul auteur de se retrouver seul aux commandes d'une BD. Cette BD quand je l'ai eu en main je l'ai trouvée très belle, mais j'ai su d'instinct qu'il me faudrait "du temps de cerveau" disponible pour l'apprécier. Non ce n'est pas une BD de gare, une BD qui se dévore et s'oublie rapidement. Ce baron de Munchausen se lit bien enfoncé dans un canapé, avec un truc à grignoter et à boire de préférence, l'esprit libre pour être touché par l'imaginaire, la poésie, et la grâce des illustrations et de l'histoire portée par cette riche BD. Alors évidemment si vous n'êtes pas amateur du dessin tout en rondeurs, en empathie, et en humour de M. Masbou, passez votre chemin. Si le fantastique, le fantasmagorique, la littérature ou la poésie vous laissent indifférents, passez juste votre chemin, Ce Baron là n'est pas pour vous et ce n'est pas bien grave. Les rationnels n'y verront qu'une ode à l'inutile, les rêveurs rêveront. Si vous avez aimé de Cape et de crocs, foncez, si le verbe est moins lyrique chez ce Baron là, les mots y restent toujours bien pesés, les couleurs alléchantes, l'amour de l'humain omniprésent et la magie finit par opérer. Autres infos : Ne passez pas à côté ce moment de grâce... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-baron?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Le baron

    Je vous avoue que j'ai une grande tendresse pour le dessin de Jean-Luc Masbou. Fan absolu de son travail remarquable sur De Cape et de Crocs, j'avoue que j'ai fortement suivi la sortie de ce tome consacré aux aventures fantastiques du baron de Munchausen où le génie de Jean-Luc Masbou se retrouvait aux commandes du scénario, de l'écriture et du dessin. Hors l'on sait l'écueil que cela représente pour un seul auteur de se retrouver seul aux commandes d'une BD. Cette BD quand je l'ai eu en main je l'ai trouvée très belle, mais j'ai su d'instinct qu'il me faudrait "du temps de cerveau" disponible pour l'apprécier. Non ce n'est pas une BD de gare, une BD qui se dévore et s'oublie rapidement. Ce baron de Munchausen se lit bien enfoncé dans un canapé, avec un truc à grignoter et à boire de préférence, l'esprit libre pour être touché par l'imaginaire, la poésie, et la grâce des illustrations et de l'histoire portée par cette riche BD. Alors évidemment si vous n'êtes pas amateur du dessin tout en rondeurs, en empathie, et en humour de M. Masbou, passez votre chemin. Si le fantastique, le fantasmagorique, la littérature ou la poésie vous laissent indifférents, passez juste votre chemin, Ce Baron là n'est pas pour vous et ce n'est pas bien grave. Les rationnels n'y verront qu'une ode à l'inutile, les rêveurs rêveront. Si vous avez aimé de Cape et de crocs, foncez, si le verbe est moins lyrique chez ce Baron là, les mots y restent toujours bien pesés, les couleurs alléchantes, l'amour de l'humain omniprésent et la magie finit par opérer.
  5. The_PoP

    Mes ruptures avec Laura Dean

    Franchement Pos’ je crois que tu peux y aller les yeux fermés. c’est pas révolutionnaire et y aura pleins d’esprit chagrins pour râler sur le côté trop LGBT ou trop « bienveillant » ou trop « original » mais franchement le propos est juste tres bon.
  6. eh oh Kevin ça suffit, y a déjà 38 thorgal, plus la jeunesse de thorgal. Là tu essayes de faire comme pour Les elfes, tu veux remplir ma pauvre bibliothèque hein ????
  7. Titre de l'album : Mes ruptures avec Laura Dean Scenariste de l'album : Mariko Tamaki Dessinateur de l'album : Rosemary Valero-O'Connell Coloriste : Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Lorsque Frédérica Riley (Freddy) est sortie avec Laura Dean, la plus populaire, drôle et attirante fille du lycée, ce fût l'un des plus beaux jours de sa vie. Depuis, tout a changé... Laura est devenue autocentrée et manipulatrice. Elle ne cesse de quitter Freddy, qui finalement revient toujours vers elle. Cette relation toxique basée sur le "je t'aime, moi non plus" est malsaine, mais c'est plus fort qu'elle, Freddy ne sait pas lutter face à l'attraction magnétique, à l'emprise que Laura exerce sur elle. Pour garder un minimum de dignité et ne pas perdre son amie qu'elle délaisse, Freddy cherchera de l'aide auprès de ses proches, d'une chroniqueuse courrier du coeur et même d'un médium. Frédérica saura-t-elle se sortir de cette fougueuse histoire qui la rend aussi malheureuse que dépendante ? Critique : Attention cette chronique a été réalisée à partir du pdf. Cet album a reçu la récompense des Eisner Awards 2020 au titre de Meilleure publication pour ados. C'est peu dire qu'à priori je ne suis pas le public cible. C'est peu dire qu'entre l'univers LGBT, les préoccupations d'une lycéenne amoureuse, l'orientation clairement "pour ados" de ce roman graphique et les influences manga, ce Laura Dean n'était pas pour moi. A priori. Parce que c'est ce qu'il y a de bien avec l'intelligence et le talent, c'est que cela transcende souvent les goûts et les couleurs. Et j'ai dévoré ce Laura Dean. J'ai regretté aussi de ne pas l'avoir lu plus jeune, quand j'ai pu traverser moi aussi ce genre d'épreuves. Parce que sous couvert de s'adresser aux ados, ce livre parlera à tous, j'en fais le pari. Et c'est dire l'intelligence des auteures, qui ont su, tout en restant à hauteur des ados, leur livrer un vrai message, avec de la réflexion, sans trop de raccourcis et de belles pistes. Et tout y passe ou presque puisque cette histoire d'amour de l'héroïne avec Laura Dean est en fait le moyen d'explorer les autres facettes des relations humaines : amitiés, relations avec les parents, avec les autres. Graphiquement et bien c'est beau, c'est très fin, les atmosphères changent et on les ressent à travers le trait délicat de Rosemary Valero-O'Connell. Il y a un vrai soin apporté à la galerie de personnages, et si souvent les couleurs et ambiances m'ont paru un peu trop girly, elles rendent pourtant justice au sujet traité, sans jamais infantilisé ou ridiculiser. Mes ruptures avec Laura Dean est simplement un livre que je ferais lire à mes enfants, garçons ou filles, Gay ou non, dès que je les sentirais près. Parce que cela devrait être le livre de départ avant tout démarrage de relations amoureuses à l'heure où le romantisme manquant parfois dans nos vies, on se complait alors à le confondre avec des dramaturgies inutiles et douloureuses. A lire pour les parents, les enfants, les garçons et les filles, Mes ruptures avec Laura Dean n'est que la chronique de la relation amoureuse. Autres infos : A faire lire de toute urgence à vos ados Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-ruptures-avec-laura-dean?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Mes ruptures avec Laura Dean

    Attention cette chronique a été réalisée à partir du pdf. Cet album a reçu la récompense des Eisner Awards 2020 au titre de Meilleure publication pour ados. C'est peu dire qu'à priori je ne suis pas le public cible. C'est peu dire qu'entre l'univers LGBT, les préoccupations d'une lycéenne amoureuse, l'orientation clairement "pour ados" de ce roman graphique et les influences manga, ce Laura Dean n'était pas pour moi. A priori. Parce que c'est ce qu'il y a de bien avec l'intelligence et le talent, c'est que cela transcende souvent les goûts et les couleurs. Et j'ai dévoré ce Laura Dean. J'ai regretté aussi de ne pas l'avoir lu plus jeune, quand j'ai pu traverser moi aussi ce genre d'épreuves. Parce que sous couvert de s'adresser aux ados, ce livre parlera à tous, j'en fais le pari. Et c'est dire l'intelligence des auteures, qui ont su, tout en restant à hauteur des ados, leur livrer un vrai message, avec de la réflexion, sans trop de raccourcis et de belles pistes. Et tout y passe ou presque puisque cette histoire d'amour de l'héroïne avec Laura Dean est en fait le moyen d'explorer les autres facettes des relations humaines : amitiés, relations avec les parents, avec les autres. Graphiquement et bien c'est beau, c'est très fin, les atmosphères changent et on les ressent à travers le trait délicat de Rosemary Valero-O'Connell. Il y a un vrai soin apporté à la galerie de personnages, et si souvent les couleurs et ambiances m'ont paru un peu trop girly, elles rendent pourtant justice au sujet traité, sans jamais infantilisé ou ridiculiser. Mes ruptures avec Laura Dean est simplement un livre que je ferais lire à mes enfants, garçons ou filles, Gay ou non, dès que je les sentirais près. Parce que cela devrait être le livre de départ avant tout démarrage de relations amoureuses à l'heure où le romantisme manquant parfois dans nos vies, on se complait alors à le confondre avec des dramaturgies inutiles et douloureuses. A lire pour les parents, les enfants, les garçons et les filles, Mes ruptures avec Laura Dean n'est que la chronique de la relation amoureuse.
  9. bah les deux derniers reviennent bien aux bases de la série mère je trouve. Les spin off, j'ai pas trop essayé j'avoue, ceux sur Kriss m'ont pas tant parlé que ça non plus. Je l'aime bien Kriss comme le personnage qu'on voit dans les thorgal, j'avais pas plus envie que ça de creuser. Louve et Jolan pareil finalement.
  10. Titre de l'album : Thorgal - Tome 38 - La selkie Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Fred Vignaux Coloriste : Gaetan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Louve a disparu ! Thorgal et Jolan s'empressent de prendre la mer pour retrouver la jeune fille, enlevée et emportée sur la mystérieuse île de Kalsoy. Mais l'île est jalousement gardée par la statue de Kopakonan, une femme-phoque qui a jeté une malédiction sur tout le village. Aux prises avec des habitants revanchards, nos héros seront malgré eux confrontés à une légende ancienne mais redoutable. Critique : Et nous voici avec un nouveau Thorgal, le 38ème, excusez du peu !!! Bon donc forcément au niveau de l'originalité ça commence à se ressentir depuis quelques tomes hein. Il faut reconnaitre que Thorgal avec son passé, ses aventures et sa famille devient un Héros un peu encombrant pour Yann qui a repris les scénarios de la série accompagné de Vignaux au dessin. Mais qu'à cela ne tienne, ce duo talentueux relève le défi à sa façon. Thorgal poursuit donc sa mue, moins impulsif, moins orienté sur l'action, moins décisif aussi, il continue pourtant d'explorer mythes et légendes des contrées nordiques au fil de ses aventures. Et de ce point de vue cet album est une réussite. Les îles Féroë sont un beau terrain de jeux, et les légendes abordées sont plutôt sympas. Les personnages sont réussis, et la morale façon Thorgal est toujours intéressante et fidèle au héros depuis ses débuts. Côté dessin, l'ambiance est chouette, les visages sont vraiment profonds, très travaillés et expressifs. Certes les décors ne sont pas forcément le point fort de ce Thorgal, mais Thorgal s'est toujours plus intéressé aux hommes qu'aux décors. Quoiqu'il en soit j'aime beaucoup. Certes c'est moins épique que ce que l'on pouvait connaitre, c'est assez passif même comparé aux BD actuelles, mais cela n'empêche l'aventure d'en être une, même si Thorgal n'affronte guère d'ennemis à la pointe de son épée. Alors oui ce n'est plus révolutionnaire, mais ça reste un Thorgal sympa, proche des débuts. Autres infos : L'immortel Thorgal Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-38-la-selkie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    Thorgal - Tome 38 - La selkie

    Et nous voici avec un nouveau Thorgal, le 38ème, excusez du peu !!! Bon donc forcément au niveau de l'originalité ça commence à se ressentir depuis quelques tomes hein. Il faut reconnaitre que Thorgal avec son passé, ses aventures et sa famille devient un Héros un peu encombrant pour Yann qui a repris les scénarios de la série accompagné de Vignaux au dessin. Mais qu'à cela ne tienne, ce duo talentueux relève le défi à sa façon. Thorgal poursuit donc sa mue, moins impulsif, moins orienté sur l'action, moins décisif aussi, il continue pourtant d'explorer mythes et légendes des contrées nordiques au fil de ses aventures. Et de ce point de vue cet album est une réussite. Les îles Féroë sont un beau terrain de jeux, et les légendes abordées sont plutôt sympas. Les personnages sont réussis, et la morale façon Thorgal est toujours intéressante et fidèle au héros depuis ses débuts. Côté dessin, l'ambiance est chouette, les visages sont vraiment profonds, très travaillés et expressifs. Certes les décors ne sont pas forcément le point fort de ce Thorgal, mais Thorgal s'est toujours plus intéressé aux hommes qu'aux décors. Quoiqu'il en soit j'aime beaucoup. Certes c'est moins épique que ce que l'on pouvait connaitre, c'est assez passif même comparé aux BD actuelles, mais cela n'empêche l'aventure d'en être une, même si Thorgal n'affronte guère d'ennemis à la pointe de son épée. Alors oui ce n'est plus révolutionnaire, mais ça reste un Thorgal sympa, proche des débuts.
  12. The_PoP

    Vent Mauvais

    Titre de l'album : Vent Mauvais Scenariste de l'album : Cati Baur Dessinateur de l'album : Cati Baur Coloriste : Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Béranger est en crise, depuis son dernier succès au cinéma, il y a quinze ans, il est aussi peu inspiré dans son travail de scénariste que dans sa vie de divorcé, père de deux adolescentes Lison et Violette. Il peine à écrire la suite que lui réclame son agent et décide de quitter Paris ... pour s'installer à la campagne à côté d'un champ d'éoliennes face auxquelles il semble trouver l'inspiration. Sur place, il vit une idylle avec Marjolaine, une fille un peu décalée, la trentaine, qui conduit le bibliobus du village. Quand elle ne joue pas au scrabble, elle s'occupe de ses vieux parents, enterre les oiseaux morts et rêve d'ouvrir sa librairie. Alors que Béranger reprend goût à l'écriture, les saisons passent et apportent leurs lots de mauvaises nouvelles. Il glisse alors doucement vers la dépression. Marjolaine spectatrice malgré elle de la situation sera contre tout attente, celle sur laquelle ils pourront s'appuyer... Critique : Chronique réalisée à partir d'un pdf. Vent mauvais illustre toute la difficulté de parler d'une bd, de son graphisme. Parce que j'ai beaucoup aimée, même si je ne partage pas une bonne part des positions de l'autrice, et même si en théorie la partie graphique aurait fort bien pu ne pas me plaire. Mais cela n'a pas été le cas, j'ai aimé ce qui se dégage du dessin, la tendresse pour les personnages qui en transpire, la pertinence de cette fin bien amenée par l'auteure avec tous ces indices disséminés au fil de cette tranche de vie. Je ne peux que vous en conseiller la lecture, car c'est plutôt intelligent, ça ouvre bien aux discussions, et surtout ça parle merveilleusement bien des hommes et des femmes. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vent-mauvais?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. The_PoP

    Vent Mauvais

    Chronique réalisée à partir d'un pdf. Vent mauvais illustre toute la difficulté de parler d'une bd, de son graphisme. Parce que j'ai beaucoup aimée, même si je ne partage pas une bonne part des positions de l'autrice, et même si en théorie la partie graphique aurait fort bien pu ne pas me plaire. Mais cela n'a pas été le cas, j'ai aimé ce qui se dégage du dessin, la tendresse pour les personnages qui en transpire, la pertinence de cette fin bien amenée par l'auteure avec tous ces indices disséminés au fil de cette tranche de vie. Je ne peux que vous en conseiller la lecture, car c'est plutôt intelligent, ça ouvre bien aux discussions, et surtout ça parle merveilleusement bien des hommes et des femmes.
  14. The_PoP

    D.O.W

    Je songe d’ailleurs sérieusement à revendre les derniers...
  15. The_PoP

    D.O.W

    Non plutôt un polar façon Le Saint
  16. The_PoP

    D.O.W

    Les 2 premiers tomes sont super sur Isabelae. Les tomes après le départ du Japon sont franchement wtf niveau scénario. Hallucinant d’ailleurs quand on voit le pedigree de M. Raule et le potentiel du début de la série...
  17. The_PoP

    Derniers Achats

    @alx23 : t’as raison vas y. En plus je suis pas objectif sur Tango je l’aime bien sans trop savoir expliquer pourquoi 🙂 FONCE 🙂
  18. The_PoP

    D.O.W

    Et voilà une BD qui m'a fait de l'oeil dans les rayons de mon libraire préféré avant le confinement. Du polar bourré d'action et de charme, avec un graphisme sympa et un univers qui semble un peu original. Il ne m'en fallait guère plus pour tenter l'expérience. Le résultat est un poil plus mitigé. Attention c'est une bonne BD, de celle qu'on lit et qu'on relira avec beaucoup de plaisir. Mais ce premier tome n'est pas encore un tome qui marque durablement, la faute à mon goût à un scénario un peu léger à partir du milieu de la BD. Le démarrage est vraiment top, mais la suite s'enchaine trop vite à mon goût, et la construction de l'intrigue me semble juste un peu légère sur les moments clefs. Un peu facile, et c'est dommage, car globalement on évite la sensation de déjà vu. J'ai vraiment bien accroché avec les personnages et l'ambiance. Peut être que les auteurs ont voulu aller un peu trop vite au niveau du scénario pour ne pas faire un tome d'introduction trop lent. Le dessin est lui très très sympa, avec le dynamisme d'un Marini mais un trait peut être plus actuel. Pas étonnant pour ceux qui ont suivi le dessinateur Gabor, issu du même bain bourré de talent de la BD espagnole que les Juan Diaz Canales ou Raule avec qui il a collaboré sur Isabellae notamment. J'espère que le tome 2 orientera favorablement cette série qui mérite un développement sympa au vu de ses personnages et son potentiel. .
  19. The_PoP

    D.O.W

    Titre de l'album : D.O.W Scenariste de l'album : Thilde Barboni Dessinateur de l'album : Gabor Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Qui est donc ce mystérieux street artist qui signe D.O.W. et aide la police à combattre le crime ? Le jeune médecin Alexandra Bariankoff, alias Sasha, va croiser sa route par hasard lors d'une intervention chez un célèbre tatoueur, Aliocha, prisé de la jet set internationale autant que de la mafia russe. Aliocha va entraîner la jeune femme au coeur d'une terrible vengeance.De révélations en rebondissements, de manigances en trahisons, la mise en scène musclée dynamise une intrigue à suspense où l'ombre des tsars de l'ancienne Russie plane encore sur la mafia russe moderne. Le mystérieux D.O.W. devra affronter d'impitoyables adversaires pour défendre son nom, son passé et son avenir. Critique : Et voilà une BD qui m'a fait de l'oeil dans les rayons de mon libraire préféré avant le confinement. Du polar bourré d'action et de charme, avec un graphisme sympa et un univers qui semble un peu original. Il ne m'en fallait guère plus pour tenter l'expérience. Le résultat est un poil plus mitigé. Attention c'est une bonne BD, de celle qu'on lit et qu'on relira avec beaucoup de plaisir. Mais ce premier tome n'est pas encore un tome qui marque durablement, la faute à mon goût à un scénario un peu léger à partir du milieu de la BD. Le démarrage est vraiment top, mais la suite s'enchaine trop vite à mon goût, et la construction de l'intrigue me semble juste un peu légère sur les moments clefs. Un peu facile, et c'est dommage, car globalement on évite la sensation de déjà vu. J'ai vraiment bien accroché avec les personnages et l'ambiance. Peut être que les auteurs ont voulu aller un peu trop vite au niveau du scénario pour ne pas faire un tome d'introduction trop lent. Le dessin est lui très très sympa, avec le dynamisme d'un Marini mais un trait peut être plus actuel. Pas étonnant pour ceux qui ont suivi le dessinateur Gabor, issu du même bain bourré de talent de la BD espagnole que les Juan Diaz Canales ou Raule avec qui il a collaboré sur Isabellae notamment. J'espère que le tome 2 orientera favorablement cette série qui mérite un développement sympa au vu de ses personnages et son potentiel. . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dow-tome-1-ailes-du-loup?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Parlottes BD

    bah moi je l'avais bien aimé. Faut dire que l'empathie avec les personnages jouait bien pour moi. J'aime ce dessin.
  21. The_PoP

    La bête

    La vache, j'en ai entendu que du bien aussi, mais qu'est ce que ça ne me fait pas envie.
  22. The_PoP

    Derniers Achats

    @alx23 : je vais m'en occuper de tango vu que je vais le recevoir en sp, demain je pense. J'ai pris DOW, histoire sans heros + 20 ans apres, le baron...
  23. The_PoP

    Parlottes BD

    Pas d’accord avec toi Pos’ le premier je l’avais trouve bien bien mieux qu’un simple tome d’introduction 🙂
  24. The_PoP

    Don Vega

    C’est con hein. Parce qu’il est vachement bien. et c’est un vrai Zorro.
  25. The_PoP

    Don Vega

    Lu et j'ai bien aimé. Même si Alary ne véhicule pas le souffle épique d'un Marini dans le Scorpion, son histoire est chouette, bien pensée et bien réalisée. Elle m'a beaucoup fait penser au film Le masque de Zorro pour le coup. Ceci dit, ne me demandez pas pourquoi, mais j'ai mis beaucoup de temps avant d'avoir envie de la lire. Quelque chose ne m'emballait pas plus que ça. L'attente d'un zorro plus flamboyant peut être. Mais c'est réussi.
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