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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. Oui et puis c’est une facilité scenaristique surtout. Je veux dire au delà du côté air du temps indéniable j’aurais aimé que leur relation puisse aboutir sur autre chose ou au moins sans passer par cette case « obligée »
  2. t'as eu du mal aussi sur le twist final entre deux des protagonistes principaux ?
  3. The_PoP

    Shades of Magic t1

    Gaffe Pos' t'as quelques coquilles dans ta chronique.
  4. y a le dernier tome de servitude qui arrive. 🙂 Et on a mis beaucoup de super notes ces derniers temps. C'est une bonne série. Elle va gagner en profondeur et en ampleur avec les prochains cycles j'imagine. La le démarrage est un peu lent mais si ils ne se foirent pas ça peut vraiment valoir le coup
  5. Titre de l'album : Les 5 terres - Tome 4 - La meme ferocite Scenariste de l'album : Lewelyn, Andoryss, Chauvel, Wong Dessinateur de l'album : Jérôme Lereculey Coloriste : Dimitri Martinos Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le putsch fomenté par les lions a été réprimé dans le sang. Le roi Mederion et Terys, son ombre, incarnent un renouveau qui entend en finir avec les rivalités entre races. Pour les activistes étudiants qui veulent mettre à bas la monarchie, c'est une occasion en or. Une fois de plus, les intrigues politiques sont au coeur de la vie d'Angleon, tandis que loin du trône, chacun, qu'il soit otage, mercenaire, garde du corps ou enquêteur, oeuvre à son propre destin... Critique : Et voilà, déjà le quatrième tome de cette série phare de chez Delcourt avec aux commandes toujours le même trio de scénaristes, et Jérôme Lereculey au dessin. C'est assez incroyable la qualité graphique tenue par cette série avec un seul dessinateur compte tenue de la cadence de parution infernale. Certes après Wollodrïn et Arthur, Jérôme Lereculey n'est plus un inconnu mais tout de même, cela reste un tour de force remarquable. Les dessins sont toujours aussi propres, et si la colorisation est pour cet opus un poil plus terne et sombre que sur le premier tome, l'ensemble reste dans le haut du panier de ce qui se fait en BD actuellement. C'est beau. Côté scénario, les auteurs commençaient à titiller doucement notre patience après le tome 3, la faute à une intrigue comportant toujours plus de fils, et ne semblant pas prêt de se dénouer, mais surtout à des personnages pour lesquels on ne ressentait finalement que peu d'empathie. C'est bien beau de nous faire un game of throne en BD mais encore faut il que le lecteur ait à coeur le destin de quelques personnages. Hors là ce n'était pas vraiment le cas, et le détachement que l'on pouvait en ressentir pesait sur notre appréciation de la BD. Ce tome 4 corrige quelque peu ces défauts, l'intrigue monte en puissance avec ce nouveau duo mis sur le devant de la scène, et si l'évolution de leur relation en fin d'album ne m'inspire guère d'enthousiasme pour la suite tant elle me semble trop peu intéressante voir convenue, reste que l'ensemble des défis à relever m'a intéressé davantage que les complots des tomes précédents. L'action y est elle bien présente également et l'aspect aventure pour certains personnages est également bien présente. On a perdu de vue l'espace d'un tome les enjeux des autres continents, mais nul doute qu'ils se recroiseront. Au final, on a toujours une série avec beaucoup d'ambitions, mais j'aurais aimé beaucoup plus d'interactions avec les futurs cycles des autres continents. plus de zones d'ombres donc, plus de choses non expliquées pour le moment peut être, mais du coup aussi plus d'avancées dans l'histoire. Car in fine au bout de 4 tomes, je trouve l'intrigue encore un peu juste, et le traitement des personnages toujours trop froid. Reste que ce tome 4 rehausse l'intérêt global et que j'attends désormais de voir si le 5 va continuer à éveiller notre intérêt. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-5-terres-tome-4-la-meme-ferocite?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Et voilà, déjà le quatrième tome de cette série phare de chez Delcourt avec aux commandes toujours le même trio de scénaristes, et Jérôme Lereculey au dessin. C'est assez incroyable la qualité graphique tenue par cette série avec un seul dessinateur compte tenue de la cadence de parution infernale. Certes après Wollodrïn et Arthur, Jérôme Lereculey n'est plus un inconnu mais tout de même, cela reste un tour de force remarquable. Les dessins sont toujours aussi propres, et si la colorisation est pour cet opus un poil plus terne et sombre que sur le premier tome, l'ensemble reste dans le haut du panier de ce qui se fait en BD actuellement. C'est beau. Côté scénario, les auteurs commençaient à titiller doucement notre patience après le tome 3, la faute à une intrigue comportant toujours plus de fils, et ne semblant pas prêt de se dénouer, mais surtout à des personnages pour lesquels on ne ressentait finalement que peu d'empathie. C'est bien beau de nous faire un game of throne en BD mais encore faut il que le lecteur ait à coeur le destin de quelques personnages. Hors là ce n'était pas vraiment le cas, et le détachement que l'on pouvait en ressentir pesait sur notre appréciation de la BD. Ce tome 4 corrige quelque peu ces défauts, l'intrigue monte en puissance avec ce nouveau duo mis sur le devant de la scène, et si l'évolution de leur relation en fin d'album ne m'inspire guère d'enthousiasme pour la suite tant elle me semble trop peu intéressante voir convenue, reste que l'ensemble des défis à relever m'a intéressé davantage que les complots des tomes précédents. L'action y est elle bien présente également et l'aspect aventure pour certains personnages est également bien présente. On a perdu de vue l'espace d'un tome les enjeux des autres continents, mais nul doute qu'ils se recroiseront. Au final, on a toujours une série avec beaucoup d'ambitions, mais j'aurais aimé beaucoup plus d'interactions avec les futurs cycles des autres continents. plus de zones d'ombres donc, plus de choses non expliquées pour le moment peut être, mais du coup aussi plus d'avancées dans l'histoire. Car in fine au bout de 4 tomes, je trouve l'intrigue encore un peu juste, et le traitement des personnages toujours trop froid. Reste que ce tome 4 rehausse l'intérêt global et que j'attends désormais de voir si le 5 va continuer à éveiller notre intérêt.
  7. The_PoP

    Derniers Achats

    don vega parce que même si j'ai un doute : alary + zorro quoi... 5 terres : et c'est pas mal du tout
  8. The_PoP

    Parlottes BD

    j'en fais la chronique ce weekend si tu veux des 5 terres...
  9. Là on est vraiment dans le Jack London « experimental » très très loin de ses autres récits plus classiques. la on n’est pas du tout dans le récit marin. je note ton Moby dick.
  10. The_PoP

    Parlottes BD

    @Kevin Nivek: t'y frotte pas, Ils sont pas objectifs sur Travis et Carmen 🙂
  11. The_PoP

    Belles personnes

    Titre de l'album : Belles personnes Scenariste de l'album : Chloe Cruchaudet Dessinateur de l'album : Chloe Cruchaudet Coloriste : Chloe Cruchaudet Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : "Faire des portraits d'anonymes" . Cette idée, impulsée par le festival Lyon BD, a assez vite interpellé Chloé Cruchaudet. Elle a alors modelé cette proposition pour rendre le dispositif interactif : un appel à contributions a été lancé, afin de recueillir des éloges de "belles personnes" ; l'objectif étant d'inciter les gens à ne pas se fier aux apparences. Son choix s'est orienté vers quatorze témoignages parmi ceux qu'elle a jugés les plus étonnants ou touchants : Denise, présumée sorcière, Mint, chien d'aveugle, ou encore Mme Neuville, professeure de philosophie... Chacune de ces belles personnes étant singulière, l'autrice a souhaité adapter son traité graphique à chaque récit. Et en fin d'ouvrage, ces contributions textuelles sont retranscrites dans leur forme originelle avec, en vis-à-vis, un portrait pleine page. Une plongée dans l'âme humaine, une réflexion sociale, un voyage à travers le regard de l'autre. Critique : L'auteure du remarqué "Mauvais Genre" nous livre ici un recueil de nouvelles en BD comme autant d'hommages aux anonymes qui remplissent nos vies et les marquent pourtant à jamais. Le résultat est parfois assez inégal mais toujours agréable. Certes les histoires ne font pas toutes résonnance en nous, mais elles ont le mérite de mettre un peu de lumière sur des tranches de vie parfois anecdotique et pourtant souvent remarquables. Ce roman graphique se distingue également par son style, ses croquis sont vifs, et leur coloration toute en nuance apporte une vraie palette de subtilité à un trait très léger. C'est évocateur et cela colle parfaitement au propos. Belles personnes est à découvrir, pour ceux qui veulent reprendre une petite tranche de vie, touchante, parfois décalée, mais qui touche souvent juste. La démarche artistique, bien expliquée, m'a intéressée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-belles-personnes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. The_PoP

    Belles personnes

    L'auteure du remarqué "Mauvais Genre" nous livre ici un recueil de nouvelles en BD comme autant d'hommages aux anonymes qui remplissent nos vies et les marquent pourtant à jamais. Le résultat est parfois assez inégal mais toujours agréable. Certes les histoires ne font pas toutes résonnance en nous, mais elles ont le mérite de mettre un peu de lumière sur des tranches de vie parfois anecdotique et pourtant souvent remarquables. Ce roman graphique se distingue également par son style, ses croquis sont vifs, et leur coloration toute en nuance apporte une vraie palette de subtilité à un trait très léger. C'est évocateur et cela colle parfaitement au propos. Belles personnes est à découvrir, pour ceux qui veulent reprendre une petite tranche de vie, touchante, parfois décalée, mais qui touche souvent juste. La démarche artistique, bien expliquée, m'a intéressée.
  13. Titre de l'album : Le vagabond des étoiles - Tome 2 Scenariste de l'album : Riff Reb's d'après jack London Dessinateur de l'album : Riff Reb's Coloriste : Riff Reb's Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Magistralement adapté en deux volumes par Riff Reb's, Le Vagabond des Étoiles est un sublime hommage à l'un des chefs-d'oeuvre de Jack London. San Quentin. Dans la prison d'État, Darrell Standing, toujours soumis à la torture de la camisole de force, poursuit ses voyages extracorporels. Il s'incarne dans de nouvelles vies - hommes, femme, enfant - à travers l'histoire du monde, qui nous font voyager du western au péplum en passant par la préhistoire. Pour garder la raison, Darrell Standing recherche et trouve des preuves de la réalité de ses vies antérieures. S'ouvre également pour lui un abîme de réflexions sur l'immuable destin de l'humanité partout et toujours inféodée à l'amour, la superstition et la violence. Finalement en marche vers la potence, il esquisse un sourire car il a cette phrase en tête : « Il m'a fallu mourir et mourir encore pour m'apercevoir que la vie était inépuisable. » Critique : C'est peu dire que j'avais beaucoup apprécié le premier tome marquant de ce Vagabond des étoiles. En voici déjà la conclusion avec ce second tome. Ce dyptyque, librement inspiré d'un récit de Jack London et magnifiquement mis en image et en scène par Jeff Ribs est un OVNI. On ne sait ni où l'on va, ni d'où l'on vient une fois refermé, et pourtant il nous aura donné l'occasion de réfléchir sur des thèmes essentiels à l'humanité : Liberté, choix, destin, rébellion mais aussi rêve, exploration et inconnu. J'avoue que Jack London est l'un des personnages et auteurs qui m'ont marqué quand j'étais jeune. Alors oui, vous ne le relirez probablement pas souvent, mais c'est le genre de lecture qui s'avère marquante par son propos parfois halluciné mais jamais dénué d'une certaine profondeur. Graphiquement Jeff Ribs nous livre encore un ouvrage très qualitatif. Son style tranchant et incisif, parfois dur, colle à merveille avec ce récit âpre et fantastique. Moi qui titille régulièrement les choix éditoriaux de Soleil, je dois reconnaitre que c'est courageux et tout à leur honneur que d'avoir produit une BD comme celle-ci, qui aura probablement du mal à trouver son public, mais qui marquera durablement ses lecteurs. Bravo et chapeau bas. Autres infos : Hors norme Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-vagabond-des-etoiles-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Le vagabond des étoiles - Tome 2

    C'est peu dire que j'avais beaucoup apprécié le premier tome marquant de ce Vagabond des étoiles. En voici déjà la conclusion avec ce second tome. Ce dyptyque, librement inspiré d'un récit de Jack London et magnifiquement mis en image et en scène par Jeff Ribs est un OVNI. On ne sait ni où l'on va, ni d'où l'on vient une fois refermé, et pourtant il nous aura donné l'occasion de réfléchir sur des thèmes essentiels à l'humanité : Liberté, choix, destin, rébellion mais aussi rêve, exploration et inconnu. J'avoue que Jack London est l'un des personnages et auteurs qui m'ont marqué quand j'étais jeune. Alors oui, vous ne le relirez probablement pas souvent, mais c'est le genre de lecture qui s'avère marquante par son propos parfois halluciné mais jamais dénué d'une certaine profondeur. Graphiquement Jeff Ribs nous livre encore un ouvrage très qualitatif. Son style tranchant et incisif, parfois dur, colle à merveille avec ce récit âpre et fantastique. Moi qui titille régulièrement les choix éditoriaux de Soleil, je dois reconnaitre que c'est courageux et tout à leur honneur que d'avoir produit une BD comme celle-ci, qui aura probablement du mal à trouver son public, mais qui marquera durablement ses lecteurs. Bravo et chapeau bas.
  15. Titre de l'album : Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une Scenariste de l'album : Lylian Dessinateur de l'album : Sophie Rufieux Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le succès littéraire de Raphaëlle Giordano enfin adapté en bande dessinée ! Un roman graphique qui fait un bien fou au moral ! Camille, femme active, mariée et mère de famille a tout, semble-t-il, pour être heureuse. Pourtant, elle se sent coincée dans cette routine qu'est devenue sa vie... Ce qu'elle voudrait, c'est retrouver le chemin de la joie et de l'épanouissement. Un soir, suite à un accident de voiture, elle fait la connaissance de Claude, routinologue. Cette lumineuse rencontre va bouleverser sa vie et celle de sa famille. Critique : Quand j'ai commencé cette BD, je pensais que j'avais déjà lu le roman dont il est tiré, et pour être transparent, la patte graphique qui rappelle directement le style d'une Margaux Mottin ne me transportait pas d'enthousiasme. Ajouté à l'histoire estampillée "développement personnel" que je craignais trop gentillette, c'est rien de dire que j'étais frileux. Alors oui c'est parfois très naïf, très tendre, très gentil voir trop positif. Mais ça fait du bien. Cela fait du bien car c'est parsemé de perles de philosophie, et de vraies réflexions. Evidemment, cela ne parlera pas à tout le monde, et certains principes développés ici feront probablement ricaner des lecteurs. Pour ma part, une fois refermé le verdict est clair, c'est intelligent, souvent brillant, et si le propos aurait mérité une histoire peut être plus subtile ou moins linéaire, et un traitement graphique plus engagé et moins grand public, il faut reconnaitre que l'ensemble est cohérent, et qu'il se lit et se digère bien. Une fois que je me suis rendu compte que je confondais avec un autre roman, et que je ne l'avais pas lu, j'ai beaucoup apprécié de découvrir cette histoire et ces réflexions à travers la BD car les idées y sont alors plus facilement lisibles et on peut alors mieux les extraire et les réfléchir que lorsqu'elles sont noyées dans un livre. Pour le dessin, si j'assume facilement qu'il n'est pas dans un style que je recherche personnellement, il est aussi nécessaire pour moi de faire amende honorable. Il est ici adapté au propos et le rend lisible, et fin au niveau des émotions lorsqu'il le faut. Je ne peux que vous en recommander la lecture. Après à vous de voir si vous souhaitez le lire en BD ou en livre, mais c'est un beau roman/roman graphique de développement personnel très constructif. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ta-deuxieme-vie-commence-quand-tu-comprends-que-tu-n-en-as-qu-une?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Quand j'ai commencé cette BD, je pensais que j'avais déjà lu le roman dont il est tiré, et pour être transparent, la patte graphique qui rappelle directement le style d'une Margaux Mottin ne me transportait pas d'enthousiasme. Ajouté à l'histoire estampillée "développement personnel" que je craignais trop gentillette, c'est rien de dire que j'étais frileux. Alors oui c'est parfois très naïf, très tendre, très gentil voir trop positif. Mais ça fait du bien. Cela fait du bien car c'est parsemé de perles de philosophie, et de vraies réflexions. Evidemment, cela ne parlera pas à tout le monde, et certains principes développés ici feront probablement ricaner des lecteurs. Pour ma part, une fois refermé le verdict est clair, c'est intelligent, souvent brillant, et si le propos aurait mérité une histoire peut être plus subtile ou moins linéaire, et un traitement graphique plus engagé et moins grand public, il faut reconnaitre que l'ensemble est cohérent, et qu'il se lit et se digère bien. Une fois que je me suis rendu compte que je confondais avec un autre roman, et que je ne l'avais pas lu, j'ai beaucoup apprécié de découvrir cette histoire et ces réflexions à travers la BD car les idées y sont alors plus facilement lisibles et on peut alors mieux les extraire et les réfléchir que lorsqu'elles sont noyées dans un livre. Pour le dessin, si j'assume facilement qu'il n'est pas dans un style que je recherche personnellement, il est aussi nécessaire pour moi de faire amende honorable. Il est ici adapté au propos et le rend lisible, et fin au niveau des émotions lorsqu'il le faut. Je ne peux que vous en recommander la lecture. Après à vous de voir si vous souhaitez le lire en BD ou en livre, mais c'est un beau roman/roman graphique de développement personnel très constructif.
  17. ça fait quand même cher par rapport au prix d'origine non ?
  18. miam miam miam... Attendu au tournant celui là 🙂
  19. The_PoP

    Parlottes BD

    Non mais ça donne envie
  20. Ça avait déjà fait ça sur le premier non ? je pige pas trop.
  21. The_PoP

    Parlottes BD

    Ça fait tellement longtemps que j’ai lache ces séries... jamais aimé le dessin ça a aidé.
  22. en vrai j'ai voulu corriger ma note en 4.5. Mais j'y suis pas arrivé et c'est pas bien grave. Il faudra le relire pour ma part pour déterminer le 4.5 ou le 5 🙂
  23. Cette chronique a été faite à partir de l'édition en N&B. J'ai pour habitude d'user souvent du poncif selon lequel peu d'auteurs BD arrivent à conjuguer magnifiquement scénario & dessin. Mais je garde toujours en tête que Sean Murphy fait partie de ceux là et son run sur Batman dans le premier White Knight était aussi remarquable au dessin qu'original et sympa au scénario. C'est donc peu dire que j'attendais avec impatience ce second run. Le trait de Sean Murphy fait toujours mouche chez moi, et ce second tome est dans la lignée directe du premier, excellent. Raison pour laquelle j'ai privilégié la version en noir et blanc comme pour le premier tome. Je trouve en plus que cela convient merveilleusement bien au sombre et sérieux univers de Batman. Les amateurs du dessin de Sean Murphy seront comblés comme d'habitude, les autres le découvriront avec intérêt je pense. L'histoire nous prend par contre à contre pied, en effet là où le premier tome nous scotchait par une inversion des rôles saisissante doublée d'une remise en cause des acquis des fans de Batman, ce Curse of the White Knight se révèle presque plus classique, avec un scénario se rapprochant parfois de ce que Nolan a pu faire au cinéma dans sa trilogie. Au menu donc un super méchant en tête d'affiche pourtant pas forcément star habituellement de l'univers Batman, un Joker toujours trouble et maniant quelques ficelles, une Harley Queen Omniprésente dans un rôle à contre emploi également, une Catwoman absente des débats et des grosses prises de risques sur le destin de personnages emblématiques de Batman. Les fans absolu crieront peut être au scandale. Moi non. En vrai j'ai retrouvé cette sensation propre aux lectures de Game of Throne ou le lecteur se rend compte que l'auteur ne s'est donné aucune limite quand au destin de certains personnages que l'on adore pourtant. Ce qui rend la lecture d'autant plus stressante et passionnante. Alors oui, l'effet whaou est moindre sur ce tome-ci, et le méchant mis en avant n'est probablement pas à la hauteur d'un Batman pourtant dans les cordes, l'intrigue est moins originale que dans le premier tome et Sean Murphy utilise probablement un peu trop parfois des ficelles scénaristiques un peu grosses. Ceci dit je l'ai tout de même dévoré en une seule fois, avec ce côté addictif ou l'on a un peu plus envie de tourner la prochaine page. Et à la fin je crois que ça compte aussi. Si Curse of the White Knight est comme son illustre ainé pas exempt de défauts, il n'en reste pas moins remarquable par ses nombreuses qualités.
  24. Titre de l'album : Batman - Curse of the White Knight - Edition N&B Scenariste de l'album : Sean Murphy Dessinateur de l'album : Sean Murphy Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Le fléau Jack Napier est de nouveau derrière les barreaux, mais la sérénité est loin d'être de retour à Gotham, et encore moins au Manoir Wayne, où Bruce peine à retrouver équilibre et sérénité. Son pire ennemi n'a pas seulement ébranlé ses convictions et sa raison d'être, il a également durablement saccagé l'image de Batman et sa légitimité aux yeux des habitants de sa ville. La disparition d'Alfred n'est pas sans séquelle non plus, bien qu'elle laisse derrière lui un héritage inattendu : le journal d'Edmond Wayne daté de 1685, premier de sa lignée à s'être installé à Gotham et adversaire d'un certain Lafayette Arkham, dont les ossements ont été récemment découvert dans la cellule du Joker. Critique : Cette chronique a été faite à partir de l'édition en N&B. J'ai pour habitude d'user souvent du poncif selon lequel peu d'auteurs BD arrivent à conjuguer magnifiquement scénario & dessin. Mais je garde toujours en tête que Sean Murphy fait partie de ceux là et son run sur Batman dans le premier White Knight était aussi remarquable au dessin qu'original et sympa au scénario. C'est donc peu dire que j'attendais avec impatience ce second run. Le trait de Sean Murphy fait toujours mouche chez moi, et ce second tome est dans la lignée directe du premier, excellent. Raison pour laquelle j'ai privilégié la version en noir et blanc comme pour le premier tome. Je trouve en plus que cela convient merveilleusement bien au sombre et sérieux univers de Batman. Les amateurs du dessin de Sean Murphy seront comblés comme d'habitude, les autres le découvriront avec intérêt je pense. L'histoire nous prend par contre à contre pied, en effet là où le premier tome nous scotchait par une inversion des rôles saisissante doublée d'une remise en cause des acquis des fans de Batman, ce Curse of the White Knight se révèle presque plus classique, avec un scénario se rapprochant parfois de ce que Nolan a pu faire au cinéma dans sa trilogie. Au menu donc un super méchant en tête d'affiche pourtant pas forcément star habituellement de l'univers Batman, un Joker toujours trouble et maniant quelques ficelles, une Harley Queen Omniprésente dans un rôle à contre emploi également, une Catwoman absente des débats et des grosses prises de risques sur le destin de personnages emblématiques de Batman. Les fans absolu crieront peut être au scandale. Moi non. En vrai j'ai retrouvé cette sensation propre aux lectures de Game of Throne ou le lecteur se rend compte que l'auteur ne s'est donné aucune limite quand au destin de certains personnages que l'on adore pourtant. Ce qui rend la lecture d'autant plus stressante et passionnante. Alors oui, l'effet whaou est moindre sur ce tome-ci, et le méchant mis en avant n'est probablement pas à la hauteur d'un Batman pourtant dans les cordes, l'intrigue est moins originale que dans le premier tome et Sean Murphy utilise probablement un peu trop parfois des ficelles scénaristiques un peu grosses. Ceci dit je l'ai tout de même dévoré en une seule fois, avec ce côté addictif ou l'on a un peu plus envie de tourner la prochaine page. Et à la fin je crois que ça compte aussi. Si Curse of the White Knight est comme son illustre ainé pas exempt de défauts, il n'en reste pas moins remarquable par ses nombreuses qualités. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-curse-of-the-white-knight-ed-nb?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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