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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. Et encore on te parle pas des filles toutes nues et des caisses de champagne ...
  2. The_PoP

    Ghost Kid

    Ah j'avoue j'ai pas vu. mais j'ai bien aimé les couleurs qui vont bien avec la rêverie je trouve.
  3. c'est chez le lombard ça, normalement je devrais le recevoir...
  4. The_PoP

    Ghost Kid

    @poseidon2 : tu as déjà lu Buffalo Runner ?
  5. The_PoP

    Ghost Kid

    Je n’ai pas lu La forêt. Mais c’est vrai que son trait est particulier. Je n’aimais pas au début... ceci étant dit : Pour le clin d’œil appuyé à Undertaker, c’est Oger qui a choisit de le faire. Un bien bel hommage pour une série que tu te dois de découvrir. Elle sublime et redonne des lettres de vieillesse au Western, surtout l’ogre de suttercamp...
  6. The_PoP

    Ghost Kid

    Titre de l'album : Ghost Kid Scenariste de l'album : Tiburce Oger Dessinateur de l'album : Tiburce Oger Coloriste : Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Hiver 1895, un vieux cow-boy entreprend un long voyage pour retrouver sa fille inconnue. A ses côtés, un "ghost kid" apache, qu'il croit être le seul à voir, l'accompagne... "Old Spur" Ambrosius Morgan est un vieux cowboy du Montana. Malgré les rhumatismes, il persiste à rouler sa bosse et ses éperons de ranch en ranch et ne s'est jamais fixé. Un jour, une lettre de la femme qu'il aima des années auparavant lui apprend qu'il est le père d'une jeune femme, Liza Jane Curtis, et que celle-ci a disparu depuis son départ pour l'Arizona. Le vieux cowboy décide de partir à la recherche de cette fille inconnue, accompagné du fantôme d'un jeune Apache qu'il croit être le seul à voir. Ne sachant s'il reviendra de cette expédition, il règle ses affaires courantes et quelques vieux comptes. Critique : Un nouveau Western signé de Tiburce Oger, c'est un plaisir que je ne pouvais pas laisser passer. Il faut dire que son Buffalo Runner reste pour moi une sacrée référence, et que les intégrales de Gorn trônent dans ma bibliothèque un peu plus loin. Alors si je rajoute que j'ai été éduqué au milieu des Blueberry et autre Comanches, et que cinématographiquement parlant mon papa est un amoureux d'Il était une fois dans l'Ouest ne venez donc pas chercher une once de neutralité, d'impartialité ou de juste mesure dans ma chronique de ce Ghost Kid. J'aime le Western, j'aime les histoire de Tiburce Oger, alors vous pensez bien que je n'allais pas faire la fine bouche. Ceci dit mon problème était plutôt que ce Ghost Kid venait très largement chasser sur les plates bandes de Buffalo Runner. Pensez donc, un vieux cowboy dans une mission désespérée qui permet de traverser l'Ouest plus ou moins sauvage... Du déjà vu. Du archi déjà vu même. Et pourtant pas de débat ni de suspens pour moi : c'est réussi. C'est réussi car pour une fois, Tiburce Oger ne nous livre pas une histoire ou une fin trop dure. On est assez loin de Buffalo Runner et de son twist final. Et quelque part heureusement. Il y a beaucoup plus de mélancolie, de poésie, et d'un indéniable charme dans ces aventures de notre vieux cow-boy. Oui on retrouve évidemment quelques coups de pétoire dans ce Western, mais à peine plus que le minimum syndical voulu par le genre. Graphiquement, les amateurs de l'oeuvre de Tiburce Oger ne s'y tromperont pas vraiment, c'est du bon. On sent que l'auteur a pu peaufiner son livre et c'est tant mieux. Toujours pas d'objectivité dans mon propos, j'adore. Le dessin colle à la mélancolie de la traversée de l'Ouest, et à la sauvagerie des hommes. Les visages sont comme toujours hyper expressifs et réussis en terme d'empathie. Alors finalement, ce Ghost Kid il est mieux que Buffalo Runner ? J'en sais rien et je m'en fous. C'est peut être moins marquant mais que c'est bien aussi une belle fin. Se balader dans les pages de ce Ghost Kid finalement, c'est comme chevaucher sans but dans Read Dead Redeption 2 entre Clint et Eli Wallach sur une bande son d'Ennio Morricone. Un plaisir contemplatif rare, sublimé par certaines planches magistrales du maître, qui ne dépareilleraient nullement en grand format sur un mur. Alors qui serait vraiment surpris d'y apprendre le destin d'Undertaker au détour d'une de ses pages ? Autres infos : Western contemplatif et belle aventure Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ghost-kid?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Ghost Kid

    Un nouveau Western signé de Tiburce Oger, c'est un plaisir que je ne pouvais pas laisser passer. Il faut dire que son Buffalo Runner reste pour moi une sacrée référence, et que les intégrales de Gorn trônent dans ma bibliothèque un peu plus loin. Alors si je rajoute que j'ai été éduqué au milieu des Blueberry et autre Comanches, et que cinématographiquement parlant mon papa est un amoureux d'Il était une fois dans l'Ouest ne venez donc pas chercher une once de neutralité, d'impartialité ou de juste mesure dans ma chronique de ce Ghost Kid. J'aime le Western, j'aime les histoire de Tiburce Oger, alors vous pensez bien que je n'allais pas faire la fine bouche. Ceci dit mon problème était plutôt que ce Ghost Kid venait très largement chasser sur les plates bandes de Buffalo Runner. Pensez donc, un vieux cowboy dans une mission désespérée qui permet de traverser l'Ouest plus ou moins sauvage... Du déjà vu. Du archi déjà vu même. Et pourtant pas de débat ni de suspens pour moi : c'est réussi. C'est réussi car pour une fois, Tiburce Oger ne nous livre pas une histoire ou une fin trop dure. On est assez loin de Buffalo Runner et de son twist final. Et quelque part heureusement. Il y a beaucoup plus de mélancolie, de poésie, et d'un indéniable charme dans ces aventures de notre vieux cow-boy. Oui on retrouve évidemment quelques coups de pétoire dans ce Western, mais à peine plus que le minimum syndical voulu par le genre. Graphiquement, les amateurs de l'oeuvre de Tiburce Oger ne s'y tromperont pas vraiment, c'est du bon. On sent que l'auteur a pu peaufiner son livre et c'est tant mieux. Toujours pas d'objectivité dans mon propos, j'adore. Le dessin colle à la mélancolie de la traversée de l'Ouest, et à la sauvagerie des hommes. Les visages sont comme toujours hyper expressifs et réussis en terme d'empathie. Alors finalement, ce Ghost Kid il est mieux que Buffalo Runner ? J'en sais rien et je m'en fous. C'est peut être moins marquant mais que c'est bien aussi une belle fin. Se balader dans les pages de ce Ghost Kid finalement, c'est comme chevaucher sans but dans Read Dead Redeption 2 entre Clint et Eli Wallach sur une bande son d'Ennio Morricone. Un plaisir contemplatif rare, sublimé par certaines planches magistrales du maître, qui ne dépareilleraient nullement en grand format sur un mur. Alors qui serait vraiment surpris d'y apprendre le destin d'Undertaker au détour d'une de ses pages ?
  8. The_PoP

    Sky Wars t5

    Tu sais me le vendre. J’irais feuilleter ça tranquillou 🙂
  9. The_PoP

    Tanz

    Merci Pos’. Disons que l’ouvrage méritait mieux qu’un j’aime ou j’aime pas 🙂
  10. Lu et j’ai adoré. Faut que je le relise Pos’ pour essayer de comprendre ce qui a pu te gêner avec le dessin car pour le coup j’ai vraiment adoré. c’est du très bon.
  11. The_PoP

    Derniers Achats

    Le culte de mars ira dei tome 2 & 3 y le dernier homme tome 1 ghost kid
  12. Dans l’idée oui. Enfin là si tu le lisais tu comprendrais ce que veut dire laisser ses personnages de côté 🙂
  13. Du coup je me suis auto attribué Ghost Kid. parce que Tiburce Oger et Buffalo Runner...
  14. The_PoP

    Sky Wars t5

    Ça peut me tenter ça. C’est un manga qui pourrait me réconcilier avec le manga ?
  15. @Phileas oui c’est un duo qui ne ferait pas tache. meme si je préfère du coup l’humour d’Odilon Verjus. À noter que dans cette intégrale il y a un tome se déroulant dans le Pigalle des années 20-30 rédigé tout en argot ou presque. Savoureux comme la galerie de personnages.
  16. @VladNirky: nan mais en vrai je pense que si tu as beaucoup aimé le premier le second va te plaire également. Parce que c’est assez cohérent avec le premier tome quand même. par contre la question des 3 tomes c’est assez intéressant. Intéressant parce que ça peut expliquer facilement le parti pris de laisser un peu les personnages de côté pour laisser la place à une grande épopée civilisationnelle ...
  17. The_PoP

    Tanz

    Dur dur de chroniquer un roman graphique qui traite presque exclusivement d'un art dont on ignore tout. Le beotien que je suis en la matière est probablement passé à côté de beaucoup beaucoup de choses dans cet ouvrage. Alors pourquoi est-ce que je l'ai quand même aimé ? Pourquoi est-ce que je pourrais vous le conseiller ? Peut être pour commencer parce qu'au delà de la danse c'est aussi un récit initiatique, un questionnement lié à l'art, et au final une belle tranche de vie, pleine de beaucoup de choses dedans. Ensuite parce que graphiquement, le travail de Maurane Mazars mérite d'être vu. Cela ne vous plaira peut être pas, mais cela vous intriguera. A l'intérieur même de ce roman graphique, il y a des planches que j'ai pu trouver sublimes, et d'autres qui m'ont laissé une mauvaise impression. Le parti pri en la matière est sans concession, et comme dans la danse dont elle nous parle ici, son dessin ne laisse pas indifférent et ne souffre pas de concession aux codes du genre. D'ailleurs je tiens à souligner le côté remarquable d'avoir choisi de traiter d'un art du mouvement dans une BD, et mieux encore, d'avoir réussi. Plongez dans Tanz, ce ne sera probablement jamais votre livre préféré si vous n'êtes pas sensible à la danse, mais c'est une expérience formidable.
  18. The_PoP

    Tanz

    Titre de l'album : Tanz Scenariste de l'album : Maurane Mazars Dessinateur de l'album : Maurane Mazars Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Allemagne, 1957. Uli est un jeune homme de 19 ans, élève d'une prestigieuse école de danse moderne. Sa fougue contraste avec la mélancolie de l'Europe d'après-guerre. Il est passionné de comédies musicales mais cette passion est moquée par ses camarades qui jugent cette discipline trop commerciale. Lors d'un voyage à Berlin, il rencontre Anthony, un jeune danseur afro-américain. Ce dernier suggère à Uli de venir tenter sa chance à Broadway… Critique : Dur dur de chroniquer un roman graphique qui traite presque exclusivement d'un art dont on ignore tout. Le beotien que je suis en la matière est probablement passé à côté de beaucoup beaucoup de choses dans cet ouvrage. Alors pourquoi est-ce que je l'ai quand même aimé ? Pourquoi est-ce que je pourrais vous le conseiller ? Peut être pour commencer parce qu'au delà de la danse c'est aussi un récit initiatique, un questionnement lié à l'art, et au final une belle tranche de vie, pleine de beaucoup de choses dedans. Ensuite parce que graphiquement, le travail de Maurane Mazars mérite d'être vu. Cela ne vous plaira peut être pas, mais cela vous intriguera. A l'intérieur même de ce roman graphique, il y a des planches que j'ai pu trouver sublimes, et d'autres qui m'ont laissé une mauvaise impression. Le parti pri en la matière est sans concession, et comme dans la danse dont elle nous parle ici, son dessin ne laisse pas indifférent et ne souffre pas de concession aux codes du genre. D'ailleurs je tiens à souligner le côté remarquable d'avoir choisi de traiter d'un art du mouvement dans une BD, et mieux encore, d'avoir réussi. Plongez dans Tanz, ce ne sera probablement jamais votre livre préféré si vous n'êtes pas sensible à la danse, mais c'est une expérience formidable. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tanz?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Après un premier tome d'introduction alléchant et remarqué, Christophe Bec et Leno Carvalho nous livrent déjà un second tome. Et ça continue sur les chapeaux de roue. Pour tout vous dire, pour de la SF je trouve que cela va, très très très vite. Nouveaux enjeux, nouvelles données scientifiques, nouveaux alliés et ennemis. Bref, ça va tellement vite que les personnages ne sont guère plus évoqués, à l'exception notable de l'héroïne, et que l'on termine ce tome avec une impression d'immense fresque de guerre stellaire aux enjeux qui nous dépassent. Bref on se sent tout petit, et on se demande si cette impression d'avoir lu un second tome d'introduction va prendre fin au prochain tome. Ceci dit pour les amateurs de Sf il y a du contenu, même si une partie vous rappellera peut être la Guerre éternelle ou Starship Trooper. Graphiquement, c'est assez inégal pour moi, avec certaines grandes planches réellement magnifiques et puissantes, notamment pour tout ce qui touche à la SF pure. Par contre j'ai toujours un peu de mal avec les scènes plus classiques qui il me semble n'ont pas bénéficié du même soin.
  20. Titre de l'album : Crusaders - Tome 2 - Les émanants Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Leno Carvalho Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : L'Humanité, associée à d'autres civilisations du système solaire, doit participer à contrer une menace dévastatrice provenant d'une race extraterrestre inconnue ! La colonie humaine installée sur Titan reçoit, via un étrange signal venu des étoiles, les plans révolutionnaires de constructions de fabuleux vaisseaux spatiaux et les coordonnées très précises d'une galaxie lointaine et primitive. Après plusieurs mois de fabrication, le vaisseau, Crusader 1 prend la tête d'une immense armada prête à rejoindre les mystérieux émetteurs du signal. Critique : Après un premier tome d'introduction alléchant et remarqué, Christophe Bec et Leno Carvalho nous livrent déjà un second tome. Et ça continue sur les chapeaux de roue. Pour tout vous dire, pour de la SF je trouve que cela va, très très très vite. Nouveaux enjeux, nouvelles données scientifiques, nouveaux alliés et ennemis. Bref, ça va tellement vite que les personnages ne sont guère plus évoqués, à l'exception notable de l'héroïne, et que l'on termine ce tome avec une impression d'immense fresque de guerre stellaire aux enjeux qui nous dépassent. Bref on se sent tout petit, et on se demande si cette impression d'avoir lu un second tome d'introduction va prendre fin au prochain tome. Ceci dit pour les amateurs de Sf il y a du contenu, même si une partie vous rappellera peut être la Guerre éternelle ou Starship Trooper. Graphiquement, c'est assez inégal pour moi, avec certaines grandes planches réellement magnifiques et puissantes, notamment pour tout ce qui touche à la SF pure. Par contre j'ai toujours un peu de mal avec les scènes plus classiques qui il me semble n'ont pas bénéficié du même soin. Reste à savoir si ce Crusaders va se révéler une série Sf ambitieuse et audacieuse au gigantisme assumé dans les prochains tomes, ou si les défauts de cette série prendront le dessus. Autres infos : Quand Starship Trooper rencontre Bec. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/crusaders-tome-2-les-emanants?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Déjà le tome 11 pour cette série relancée par Hi Comics et qui poursuit donc son second cycle. Et je vous avoue que j'ai du mal à m'y retrouver. Si le premier cycle était très sympa avec beaucoup de personnages connus, certains tomes avaient pourtant eu le don de me perdre un peu en route la faute à une trop grande multitude d'enjeux et de personnages secondaires. Et bien ce second cycle part bien dans cette direction. Et clairement c'est trop fouilli pour moi, je ne suis juste pas suffisamment fan des Tortues Ninja pour m'y retrouver. Je trouve également qu'elles sont ont toujours du mal à incarner une véritable influence sur l'histoire racontée tant elles se font souvent balader ou battre. Ce qui reste quand même pour moi un problème sur un comics de Super Héros mutants. Niveau graphisme par contre on reste sur le bon niveau du cycle précédent, certes sans grosses surprises mais avec une indéniable maîtrise et régularité, notamment sur les arrières plans et les mises en scènes souvent bien travaillés. On verra si le prochain tome nous fait à nouveau partir dans de nouvelles direction ou si l'histoire va se simplifier un peu ou revenir à ses fondamentaux.
  22. Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Tome 11 - Leatherhead Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Tom Waltz Dessinateur de l'album : Matteus Santolouco & Dave Watcher Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Ami ou ennemi ? Un nouveau mutant vient semer le trouble chez les Tortues ! Mike, Donnie, Raph et Leo essaient tant bien que mal de s'habituer à leur nouveau statut de leaders du clan Foot. Et si le Technodrome appartient au passé, les quatre frères décident de retourner sur l'île de Burnow pour réanimer les Utroms restés sur place après sa destruction. Un choix lourd de conséquences pour les Tortues, qui donne lieu à une rencontre inattendue avec un nouveau mutant : Leatherhead. Tandis que Splinter est en proie aux machinations de la terrible Kitsune, pourront-elles faire confiance à ce mystérieux nouveau venu ? Critique : Déjà le tome 11 pour cette série relancée par Hi Comics et qui poursuit donc son second cycle. Et je vous avoue que j'ai du mal à m'y retrouver. Si le premier cycle était très sympa avec beaucoup de personnages connus, certains tomes avaient pourtant eu le don de me perdre un peu en route la faute à une trop grande multitude d'enjeux et de personnages secondaires. Et bien ce second cycle part bien dans cette direction. Et clairement c'est trop fouilli pour moi, je ne suis juste pas suffisamment fan des Tortues Ninja pour m'y retrouver. Je trouve également qu'elles sont ont toujours du mal à incarner une véritable influence sur l'histoire racontée tant elles se font souvent balader ou battre. Ce qui reste quand même pour moi un problème sur un comics de Super Héros mutants. Niveau graphisme par contre on reste sur le bon niveau du cycle précédent, certes sans grosses surprises mais avec une indéniable maîtrise et régularité, notamment sur les arrières plans et les mises en scènes souvent bien travaillés. On verra si le prochain tome nous fait à nouveau partir dans de nouvelles direction ou si l'histoire va se simplifier un peu ou revenir à ses fondamentaux. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-tome-11-leatherhead?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. The_PoP

    Odilon Verjus - Integrale Tome 1

    Ah quel plaisir les éditions Le Lombard m'ont fait. D'abord parce que je n'avais pas la chance de connaitre Odilon Verjus. Ensuite parce que cette intégrale est superbe, et pour une fois bien dimensionnée. Pour parler franchement, ça se lit très bien, et les 4 premiers tomes accompagnés du petit dossier se lisent parfaitement. Je salue donc le joli travail d'édition car cela permet aussi de mettre en lumière une série qui a su garder toute sa fraîcheur, son ironie et son ton irrévérencieux. Odilon Verjus est donc une série sur un prêtre missionnaire pas tout à fait comme les autres. Bedonnant, débonnaire, débrouillard, animé par l'amour de l'homme et de dieu, mais point vraiment par l'Eglise des hommes, Odilon parcourt le monde au gré de ses aventures, nous emmenant à chaque fois dans des cultures, lieux, et histoires bien différentes. Odilon Verjus c'est un bon moyen de découvrir les petites histoires dans la grande, à travers humour, ironie, et surtout recul. On ne rigole jamais trop franchement dans cette série mais on la parcourt le sourire au lèvres et quelques réflexion en tête. Et c'est déjà beaucoup. Rajoutez à ça un graphisme dans la plus grande tradition de la BD franco belge, avec des planches et des personnages superbes et vous obtenez un magnifique petit bonbon façon Mistral Gagnant qui nous replonge avec plaisir dans ce genre de BD qu'on a tant aimé.
  24. Titre de l'album : Odilon Verjus - Integrale Tome 1 Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Laurent Verron Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Odilon Verjus est un missionnaire plus que méritant. Pas facile de prêcher la bonne parole à une tribu de papous ! Il s'est néanmoins parfaitement adapté aux us et coutumes de ses ouailles. Pourtant, il a fort à faire : un mystérieux sorcier n'a de cesse de détourner les âmes péniblement converties et voici qu'un monstrueux crocodile vient se repaître de ses paroissiens. C'est dans ce contexte que débarque Laurent de Boismenu, fougueux novice envoyé en renfort par l'épiscopat. La série culte de Yann et Verron enfin en intégrale ! Entre 1996 et 2006, les deux auteurs ont donné vie à un héros hors-norme. Tempétueux mais érudit, dévot mais rabelaisien, Odilon Verjus nous emmène aux quatre coins du monde pour vivre des aventures trépidantes et pleines d'ironie. Critique : Ah quel plaisir les éditions Le Lombard m'ont fait. D'abord parce que je n'avais pas la chance de connaitre Odilon Verjus. Ensuite parce que cette intégrale est superbe, et pour une fois bien dimensionnée. Pour parler franchement, ça se lit très bien, et les 4 premiers tomes accompagnés du petit dossier se lisent parfaitement. Je salue donc le joli travail d'édition car cela permet aussi de mettre en lumière une série qui a su garder toute sa fraîcheur, son ironie et son ton irrévérencieux. Odilon Verjus est donc une série sur un prêtre missionnaire pas tout à fait comme les autres. Bedonnant, débonnaire, débrouillard, animé par l'amour de l'homme et de dieu, mais point vraiment par l'Eglise des hommes, Odilon parcourt le monde au gré de ses aventures, nous emmenant à chaque fois dans des cultures, lieux, et histoires bien différentes. Odilon Verjus c'est un bon moyen de découvrir les petites histoires dans la grande, à travers humour, ironie, et surtout recul. On ne rigole jamais trop franchement dans cette série mais on la parcourt le sourire au lèvres et quelques réflexion en tête. Et c'est déjà beaucoup. Rajoutez à ça un graphisme dans la plus grande tradition de la BD franco belge, avec des planches et des personnages superbes et vous obtenez un magnifique petit bonbon façon Mistral Gagnant qui nous replonge avec plaisir dans ce genre de BD qu'on a tant aimé. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/integrale-odilon-verjus-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. The_PoP

    Ira Dei T3

    Lu récemment et j’avoue que ce tome 3 m’a beaucoup plu après un tome 2 que j’ai trouvé un brin en retrait. j’aime beaucoup le travail de ces auteurs
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