Aller au contenu
  • S’inscrire

The_PoP

Les gardiens du post
  • Compteur de contenus

    5 822
  • Inscription

  • Jours gagnés

    193

Messages posté(e)s par The_PoP


  1. Titre de l'album : Vampyria - Inquisition - Tome 2 - Les vendanges pourpres
    Scenariste de l'album : Victor Dixen
    Dessinateur de l'album : Eder Messias
    Coloriste : Giulia Priori
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Chaque année, pour célébrer les vendanges d'automne, le comte de Chambord donne un grand bal masqué dont le faste rivalise avec les fêtes de Versailles. Les nobles vampyres accourent des quatre coins du royaume pour prendre part aux réjouissances.Mais cet automne, les monstres les plus effroyables se sont invités au bal, sous les masques les plus innocents...

    Critique :

    On avait parlé du tome 1 de Vampyria Inquisition lors de sa sortie et nous n'avions pas été vraiment emballé. Soleil nous propose donc avec ce tome 2 de terminer cette aventure proprement. Bon point déjà, le tome fait 80 pages, ce qui laisse aux auteurs le temps et le soin de dénouer leur riche intrigue. Eder Messias nous propose toujours son dessin vif, inspiré du manga mais enrichi par la bd européenne. Je n'ai pas été emballé mais cela plaira je pense au public adolescent visé par cette série. Les mises en couleurs sont plutôt réussies.

    Malheureusement le scénario et les personnages sont trop ciblés adolescents pour m'avoir vraiment intéressé, de même pour l'intrigue. Dommage car le postulat de base aurait pu se révéler plus prometteur.

    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vampyria-inquisition-tome-2-les-vendanges-pourpres?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  2. Titre de l'album : Inexistences
    Scenariste de l'album : Christophe Bec
    Dessinateur de l'album : Christophe Bec
    Coloriste : Sebastien Gerard
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Dans les montagnes perdues, tout n'est que désolation. Les survivants errent dans un paysage désolé où ne subsistent que des ruines prises dans les glaces. De grands cataclysmes ont soumis la planète à d'interminables hivers. Il existerait pourtant un sanctuaire où vivrait un enfant bleu, qui aurait conservé la mémoire des temps anciens. Une légende que va tenter de vérifier le sniper nommé Sol.

    Critique :

    Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. 

    La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. 

    Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. 

    Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. 

    Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. 

    Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau. 

    Autres infos :

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inexistences?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

    • Like 1
  3. Au fait, bon, je vous dis ça je vous dis rien mais... jetez un oeil à Inexistances de Bec qui sort demain. 

     

    ça ne plairai pas à tout le monde. Ne vous attendez pas à une bd d'aventure ou à une histoire ou une narration forte. 

     

    Mais jetez y un oeil quand même : @VladNirky @poseidon2 je pense que ça vous plaira. @alx23 et @Nickad: je ne suis pas certain, je ne connais pas assez vos goûts. Pour @Kevin Nivek il est déjà foutu

     

    Il faut au moins le feuilleter je pense. 

    • Like 1
    • Sad 1
  4. Moi je ne dirais pas que la série s'essouffle. On s'est juste habitué, la madeleine étant sympa et fraiche en un coup mais là... Je dirais que le format histoires courtes ne permet pas de rentrer au pantheon des bd. Tout simplement.

    ça fait des one shots western sympas à parcourir mais il manque le souffle. Et j'inclus le premier dans le lot. 

     

    Quand à Indians, on avait déjà pointé la limite du truc, surtout avec Hoka Hey ensuite, et Golden West maintenant.

    • Like 2

  5. Titre de l'album : Solo - Tome 6 - La fin d'un cercle infini
    Scenariste de l'album : Oscar Martin
    Dessinateur de l'album : Oscar Martin
    Coloriste : Oscar Martin
    Editeur de l'album : Delcourt
    Note :
    Résumé de l'album :

    Les humains ont décidé de frapper fort. Sans relâche, soldats et mercenaires attaquent et déciment les factions herbivores les plus proches. Alors que le conflit entre espèces se répand, Legatus et son peuple n'ont plus d'autre choix que de prendre position. Vont-ils rejoindre la bataille finale ? Ce tome 6 est une nouvelle preuve du talent de conteur et de dessinateur hors pair d'Oscar Martin.

    Critique :

    Parlons peu parlons bien, ce tome 6 vient boucler le second cycle "Legatus" de Solo. Et il le fait de manière admirable. Grandes épopées, énormes batailles, fond philosophique, on a tout dedans. En plus le tome est plus que touffu, et l'ensemble qualité / prix / temps de lecture est assez incroyable. 

    En gros vous allez vous régaler, les dessins d'Osacr Martin sont toujours aussi emballants, et les doubles pages de batailles vont en ravir plus d'un. Seul bémol ? On a déjà lu un truc un chouïa encore meilleur. Dans le premier cycle de Solo. Parce que les enjeux de famille et d'attachements, de sentiments me manquent un peu dans ce cycle, aux enjeux pourtant peut être plus épiques et importants, mais qui ont suscité moins d'émotions que le premier cycle de Solo. Bref, une déception d'enfant gâté, courrez l'acheter cette conclusion est épique, assez logique et terrible et ouvre encore de nouveaux horizons.

    Autres infos :

    Type de l'album : Comic
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-tome-6/?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

    • Like 1
  6. Étonnamment j’ai trouvé le dessin certes minimaliste mais réussi : émotions, cadrages, plans cinématographiques, il m’a fait ressentir des trucs.

     

    mais faut reconnaitre qu’on pensera probablement pas a Ken Niimura en premier quand on nous demandera nos dessinateurs préférés…

    • Like 1
  7. je ne savais pas pour l'adaptation bd non plus.

     

    Moi j'ai bien aimé le polar musclé par des femmes ou les hommes sont présents mais relégués aux rôles subalternes. Y a quelques belles scènes effectivement, et des dialogues entre les deux persos principaux bien sentis je trouve. le côté "pas besoin des mecs dans nos vies" est très assumé donc même si ça me semble un peu excessif voir plutôt symptomatique d'une fragilité, ça ne m'a pas gêné du tout. Y a de la vitamine même si effectivement Melanie Laurent aurait probablement pu faire le même film avec les mêmes qualités mais un scénario un poil moins torché sur une feuille de pq et souvent invraisemblable... On va dire pudiquement que cela ne gêne pas plus que ça vu le genre du film choisi.

    Vous attendez quand même pas à Ocean's Eleven...

    • Like 1
  8. Bah le dernier film tant que le scenario tient la route j’ai bien aime ce batman enqueteur et grands coups de lattes raisonnables…

     

    puis ca part en couille en milieu de film avec des scenes d’actions absurdes : le camion porte vehicule sur l’autoroute + explosion, batman qui se prend un pont en vol libre… et un scenario qui devient debile : complot gigantesque pour finir avec 3 debiles avec des fusils en hauteur ? Lol. 
    bref le principe etait bon puis le cahier des charges habituel d’hollywood l’a vide. Il reste un film entre deux chaises… mais qui est pas dingue dans l’action ni dingue dans le batman enqueteur… dommage…

     

    si tu veux faire juste de l’action va au bout du truc, fais du michale bay, fais du the rock ou va carrement dans fast and furious… 

    si tu veux faire de l’enquete et du realisme faut que ton scenario tienne a minima : que tu te dises pas au milieu du film : ben merde ca n’a pas de sens…

    • Like 2
  9. Le 22/11/2023 à 21:44, kvin a dit :

    Bon, je viens de dévorer la version N&B... Mamma Mia! Parmi les plus beaux dessins que j'ai pu voir dans l'univers de Batman quand même! Je ne regrette pas mon craquage^^

     

    Sinon, pour en revenir à ta critique, le début du duo est à la fin du premier chapitre, bon ok, au début c'est un peu à sens unique et effectivement c'est vers le milieu de l'histoire qu'il commence vraiment, mais quand-même 😋

    Et Sean Murphy c’est du poulet ? 😄

×
×
  • Créer...