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  1. poseidon2

    Manon des sources t1

    Ce qui me plait vraiment dans ces adaptations, c'est qu'elle change ma vision de Marcel Pagnol. En effet j'en avais un souvenir d'enfance d'histoire sentant bon la Provence (bon ok ça c'est vrai) mais surtout d'histoire juste gentillettes de la vie de tous les jours, sans réel scénario. Alors qu'en fait sous couvert de cette bonhomie du sud, les plus connus de ses albums se suivent et nous présente une fresque humaine complexe et très intéressante. Le personnage d'Ugolin est ici vraiment bien développé et nous montre la profondeur des personnages de Pagnol, sous couvert de champ des cigales. Ce tome 1 de Manon est donc vraiment excellent car, en plus d’être toujours graphiquement très beau, dans la continuité graphique et scénaristique de Jean de Florette. Le fait d'avoir toujours la même équipe aux manettes permet de toujours retrouver rapidement ses personnages et d'entrer directement dans l'ambiance des histoires de Pagnol. Une vraie réussite qui donne envie de rapidement lire la suite des aventure de Manon et de voir ce qu'il va arriver à ce pauvre Ugolin, plus bête et suiveur qu'autre chose.
  2. Titre de l'album : Manon des sources t1 Scenariste de l'album : Serge Scotto Dessinateur de l'album : Eric Stoffel Coloriste : Christelle Galland Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Grand Angle adapte l'oeuvre de Marcel Pagnol en BD. Dix ans après la mort de Jean de Florette, Ugolin a récupéré à moindre frais le domaine des Romarins. Il y a installé une florissante exploitation d'oeillets. D'autant qu'il a débouché la source volontairement camouflée et refait couler l'eau qui avait tant manqué au pauvre bossu. Pressé par Le Papet de se marier, Ugolin pense à la belle jeune fille qu'il a aperçue dans les collines. Mais l'objet de son amour n'est autre que Manon, la fille de Jean de Florette, avide de vengeance. Critique : Ce qui me plait vraiment dans ces adaptations, c'est qu'elle change ma vision de Marcel Pagnol. En effet j'en avais un souvenir d'enfance d'histoire sentant bon la Provence (bon ok ça c'est vrai) mais surtout d'histoire juste gentillettes de la vie de tous les jours, sans réel scénario. Alors qu'en fait sous couvert de cette bonhomie du sud, les plus connus de ses albums se suivent et nous présente une fresque humaine complexe et très intéressante. Le personnage d'Ugolin est ici vraiment bien développé et nous montre la profondeur des personnages de Pagnol, sous couvert de champ des cigales. Ce tome 1 de Manon est donc vraiment excellent car, en plus d’être toujours graphiquement très beau, dans la continuité graphique et scénaristique de Jean de Florette. Le fait d'avoir toujours la même équipe aux manettes permet de toujours retrouver rapidement ses personnages et d'entrer directement dans l'ambiance des histoires de Pagnol. Une vraie réussite qui donne envie de rapidement lire la suite des aventure de Manon et de voir ce qu'il va arriver à ce pauvre Ugolin, plus bête et suiveur qu'autre chose. Autres infos : Pagnol un jour, Pagnol toujours Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marcel-pagnol-en-bd-manon-des-sources-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Qu'est-ce c'est beau ! C'est la première impression que j'ai eu en ouvrant la BD. Le trait très aérien, le choix des couleurs, la mise en page... tout est sublimement pensé. Pensé pour nous faire rêver et bien réussir à nous plonger dans l'esprit d'Anaïs Nin. Et cette plongée permet de découvrir une histoire très intéressante mais surtout une façon poétique de raconter la vie d'Anaïs Nin.... tout simplement parfaite. Leonie Bischoff réussi le périlleux pari de nous plonger dans la dualité de notre personnages et à nous expliquer ce que beaucoup jugerais comme inacceptable : Anaïs Nin était une femme à la recherche des sensations nécessaire à l'épanouissement de son art. Une recherche qui passe par des expérimentations qu'elle réussit à complètement découper du facteur amoureux. Et c'est là où la narration de Leonie Bischoff est excellente. Elle réussit à nous faire comprendre la philosophie d'Anaïs et à nous y faire adhérer. Entre un sublime rendu graphique superbe et une narration aussi poétique qu'enivrante, on tient la sans conteste l'une de meilleures BDs de la rentrée
  4. Titre de l'album : Anais Nin, sur la mer des mensonges Scenariste de l'album : Leonie Bischoff Dessinateur de l'album : Leonie Bischoff Coloriste : Leonie Bischoff Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Début des années 30. Anaïs Nin vit en banlieue parisienne et lutte contre l'angoisse de sa vie d'épouse de banquier. Plusieurs fois déracinée, elle a grandi entre 2 continents, 3 langues, et peine à trouver sa place dans une société qui relègue les femmes à des seconds rôles. Elle veut être écrivain, et s'est inventé, depuis l'enfance, une échappatoire : son journal. Il est sa drogue, son compagnon, son double, celui qui lui permet d'explorer la complexité de ses sentiments et de percevoir la sensualité qui couve en elle. C'est alors qu'elle rencontre Henry Miller, une révélation qui s'avère la 1re étape vers de grands bouleversements. Critique : Qu'est-ce c'est beau ! C'est la première impression que j'ai eu en ouvrant la BD. Le trait très aérien, le choix des couleurs, la mise en page... tout est sublimement pensé. Pensé pour nous faire rêver et bien réussir à nous plonger dans l'esprit d'Anaïs Nin. Et cette plongée permet de découvrir une histoire très intéressante mais surtout une façon poétique de raconter la vie d'Anaïs Nin.... tout simplement parfaite. Leonie Bischoff réussi le périlleux pari de nous plonger dans la dualité de notre personnages et à nous expliquer ce que beaucoup jugerais comme inacceptable : Anaïs Nin était une femme à la recherche des sensations nécessaire à l'épanouissement de son art. Une recherche qui passe par des expérimentations qu'elle réussit à complètement découper du facteur amoureux. Et c'est là où la narration de Leonie Bischoff est excellente. Elle réussit à nous faire comprendre la philosophie d'Anaïs et à nous y faire adhérer. Entre un sublime rendu graphique superbe et une narration aussi poétique qu'enivrante, on tient la sans conteste l'une de meilleures BDs de la rentrée Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sur-la-mer-des-mensonges-recit-inspire-de-la-vie-d-anais-nin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Deux passantes dans la nuit t1

    On ne voyait pas Patrice Lecomte revenir à ses premières amours. En effet avec plus de 30 films a son actifs dont certains légèrement connus comme les Bronzés, la fille sur le pont ou encore Tandem. Je ne m'attendais pas à ce qu'il ne revienne à la bande dessinée, là où il fit ses premières armes dans le journal Pilote de 1970 à 1974. On se dit donc qu'un personnage comme cela ne revient pas pour rien et effectivement il nous livre un scénario très rafraîchissant avec une vision spéciale de l'occupation. Une vision de l’intérieur d'un Paris occupée de nuit. Une vision de 2 filles aux destins complètement différents mais qu'une nuit réunie. Et cette vision nous montre... et bien que malgré ce qu'on en montre et ce qu'on en sait, les nuits parisiennes étaient vraiment agitées durant l'occupation. Entre les allemands en permission venus dépenser leurs soldes dans les bars parisien et les français qui se sont créés une vie nocturne dans des caves en contournant le couvre feu, le périple de nos jeunes filles nous fait découvrir un coté de guerre qu'on ne connaissait pas. Il est à remarquer que Patrice Lecomte a choisi un dessinateur intéressant en la personne de Jerome Tonnerre. Les dessins sont très sympas mais c'est surtout la coloration qui se démarque pour nous livrer des effets de nuit très sympa et surtout ne pas tomber dans le piège d'un album trop sombre.
  6. Titre de l'album : Deux passantes dans la nuit t1 Scenariste de l'album : Patrice Leconte Dessinateur de l'album : Jerome Tonnerre Coloriste : Jerome Tonnerre Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : La longue nuit de deux femmes en fuite dans le Paris désert de l'Occupation. Après des années de détention, Arlette recouvre la liberté dans un Paris occupé par les nazis. Et elle entend bien rattraper le temps perdu. Anna, elle, cherche à sauver sa peau. Magicienne et israélite, elle a fui un danger qui l'a rattrapée. La ville occupée est une cage dont elle doit s'échapper au plus vite. Elles sillonneront en une nuit ce Paris obscurci. L'inquiétante étrangeté de l'Occupation, avec ses contrôles d'identité, ses fonctionnaires tatillons, ses sombres ombres et ses connaissances qu'on ne connaît pas si bien que ça et à qui il ne faut pas faire confiance... Critique : On ne voyait pas Patrice Lecomte revenir à ses premières amours. En effet avec plus de 30 films a son actifs dont certains légèrement connus comme les Bronzés, la fille sur le pont ou encore Tandem. Je ne m'attendais pas à ce qu'il ne revienne à la bande dessinée, là où il fit ses premières armes dans le journal Pilote de 1970 à 1974. On se dit donc qu'un personnage comme cela ne revient pas pour rien et effectivement il nous livre un scénario très rafraîchissant avec une vision spéciale de l'occupation. Une vision de l’intérieur d'un Paris occupée de nuit. Une vision de 2 filles aux destins complètement différents mais qu'une nuit réunie. Et cette vision nous montre... et bien que malgré ce qu'on en montre et ce qu'on en sait, les nuits parisiennes étaient vraiment agitées durant l'occupation. Entre les allemands en permission venus dépenser leurs soldes dans les bars parisien et les français qui se sont créés une vie nocturne dans des caves en contournant le couvre feu, le périple de nos jeunes filles nous fait découvrir un coté de guerre qu'on ne connaissait pas. Il est à remarquer que Patrice Lecomte a choisi un dessinateur intéressant en la personne de Jerome Tonnerre. Les dessins sont très sympas mais c'est surtout la coloration qui se démarque pour nous livrer des effets de nuit très sympa et surtout ne pas tomber dans le piège d'un album trop sombre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deux-passantes-dans-la-nuit-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Un nouveau livre de référence pour les toilettes !!! Cool ! Sans blague ce n'est absolument pas une insulte pour moi. Loin de Là. Cela décrit juste des lectures qui prennent moins de 5 minutes et qui sont autonomes. Et c'est exactement le cas de ce Repères. Il nous livre des explications rapides et intéressantes sur le monde en générale. Différents sujets sans aucun lien entre eux mais qui sont expliqués rapidement (2 petites pages avec les dessins) et rendent certaines informations accessibles aux plus grands nombres. Par des explications historiques il permet aussi, rapidement donc, de mieux comprendre certains enjeux actuels. Une vraie mine d'information qui se distille au rythme d'un ou deux par jour pour ne pas être en overdose d'informations. Certains diraient que c'est une BD pour préparer le café entre collègues et ils n'auraient pas tort. Moi je préfère le terme de BD de toilette. Car vu le temps qu'on y passe sur toute une vie, ça en fait les albums les plus ouvert de toute bibliothèque. .
  8. Titre de l'album : Reperes tome 2 - 2000 nouveaux dessins pour comprendre le monde Scenariste de l'album : Jochen Gerner Dessinateur de l'album : Jochen Gerner Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Un 2e volume des planches de la rubrique phare de l'hebdo le 1 ! Depuis le tout premier numéro de l'hebdo le 1, à travers ses planches de Repères, Jochen Gerner multiplie les trouvailles et parvient avec humour et concision à nous raconter l'économie, l'histoire, la France, l'Europe, le monde, les sciences... la vie. Sa plume est sûre, sa ligne claire et son encre indélébile. Ce deuxième recueil rassemble de nouvelles planches qui éclairent avec pédagogie et malice l'actualité récente. Critique : Un nouveau livre de référence pour les toilettes !!! Cool ! Sans blague ce n'est absolument pas une insulte pour moi. Loin de Là. Cela décrit juste des lectures qui prennent moins de 5 minutes et qui sont autonomes. Et c'est exactement le cas de ce Repères. Il nous livre des explications rapides et intéressantes sur le monde en générale. Différents sujets sans aucun lien entre eux mais qui sont expliqués rapidement (2 petites pages avec les dessins) et rendent certaines informations accessibles aux plus grands nombres. Par des explications historiques il permet aussi, rapidement donc, de mieux comprendre certains enjeux actuels. Une vraie mine d'information qui se distille au rythme d'un ou deux par jour pour ne pas être en overdose d'informations. Certains diraient que c'est une BD pour préparer le café entre collègues et ils n'auraient pas tort. Moi je préfère le terme de BD de toilette. Car vu le temps qu'on y passe sur toute une vie, ça en fait les albums les plus ouvert de toute bibliothèque. . Autres infos : La nouvelle référence du petit coin Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reperes-2000-nouveaux-dessins-pour-comprendre-le-monde-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Spirou chez les soviets

    Alors soyons bien clairs d'entrée : certains n'aimeront pas. Ceux qui cherchent des Spirou aventureux comme on a pu en avoir dans la série peuvent passer leurs chemin directement. Ceux qui n'ont pas lu beaucoup de BD franco-belge des années 70-80 aussi car ils rateront une bonne partie des références. Car ce Spirou chez les soviets est un hommage humoristique à Tintin et à la BD franco-belge des années 70 -80, justement. Déjà point de décalage temporel. On revient dans cet album à un Spirou vivant en pleine guerre froide. On retrouve surtout des Spirou et Fantasio complètement inclut dans le monde Dupuis avec des visites à la rédac, des croisements de Gaston et consort dans les couloirs etc.... Ensuite on enchaîne les blagues et les clichés sur les Russes mais aussi les critiques du capitalisme avec un Truman au sommet de sa forme. On rigole bien dans ce Spirou. On rigole à l'ancienne en se moquant des extrémistes de tout bord. Le seul point un peu moins bien réussi, de mon point de vu, est la fin que je trouve un peu trop rapide.... il aurait peut-être été plus dans le thème d'avoir un fin plus osée 🙂 Reste que cet album est un excellent Spirou qui ravira les lecteurs de BD franco-belge de la fin du XX ieme siècle.
  10. Titre de l'album : Spirou chez les soviets Scenariste de l'album : Fred Neidhardt Dessinateur de l'album : Fabrice Tarrin Coloriste : Fabrice Tarrin Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le comte de Champignac a disparu ! Il a été enlevé par des agents du KGB... Des savants russes ont besoin de lui pour les aider à répandre le gène du communisme dans le monde entier. Dans le contexte de la guerre froide, Spirou et Fantasio jouent les James Bond, espions infiltrés sous la couverture d'un reportage pour Vaillant (Pif Gadget), le journal communiste de l'époque. Parviendront-ils à délivrer Champignac de l'embrigadement bolchévique et à sauver le monde de la contamination communiste ? Au dessin, Fabrice Tarrin s'inscrit pleinement dans la continuité des créateurs de la série qui ont fait de Spirou un grand héros éternel. Le scénario de Fred Neidhardt, l'un des plus fins connaisseurs de "Spirou", distille avec jubilation des références à la grande époque de la BD franco-belge, dans un univers de guerre froide où plane de-ci de-là l'ombre de 007. De quoi raviver le goût pour la série Spirou et Fantasio dans ce qu'elle a de plus mythique et intemporelle ! Critique : Alors soyons bien clairs d'entrée : certains n'aimeront pas. Ceux qui cherchent des Spirou aventureux comme on a pu en avoir dans la série peuvent passer leurs chemin directement. Ceux qui n'ont pas lu beaucoup de BD franco-belge des années 70-80 aussi car ils rateront une bonne partie des références. Car ce Spirou chez les soviets est un hommage humoristique à Tintin et à la BD franco-belge des années 70 -80, justement. Déjà point de décalage temporel. On revient dans cet album à un Spirou vivant en pleine guerre froide. On retrouve surtout des Spirou et Fantasio complètement inclut dans le monde Dupuis avec des visites à la rédac, des croisements de Gaston et consort dans les couloirs etc.... Ensuite on enchaîne les blagues et les clichés sur les Russes mais aussi les critiques du capitalisme avec un Truman au sommet de sa forme. On rigole bien dans ce Spirou. On rigole à l'ancienne en se moquant des extrémistes de tout bord. Le seul point un peu moins bien réussi, de mon point de vu, est la fin que je trouve un peu trop rapide.... il aurait peut-être été plus dans le thème d'avoir un fin plus osée 🙂 Reste que cet album est un excellent Spirou qui ravira les lecteurs de BD franco-belge de la fin du XX ieme siècle. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-spirou-de-tarrin-et-neidhardt-spirou-chez-les-soviets?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    l'oiseau rare t1

    Voilà une BD qui correspond parfaitement à sa maison d'édition : la bd comme au cinéma. Car cet Oiseau Rare est une vraie histoire de cinéma. Un scénario robuste ni trop ambitieux ni trop déluré. Une mise en image superbe avec des belles vue de la capitale à une époque où le béton ne régnait pas en maître partout. Des personnages attachant qui portent une histoire dramatique et un premier tome qui énonce encore un peu plus nos amis avant, on s'en doute, une belle remontée dans le tome suivant. On se croirait au cinéma devant un drame d'époque dont l'on sait pertinemment qu'il finira bien mais qui nous fait vibrer quand même pour ses personnages. L'oiseau rare c'est tout cela mais porté en plus par le dessin toujours très beau. d'Eric Stalner L'oiseau rare c'est donc une réussite pour tous ceux qui ne sont pas à la recherche d'originalité.
  12. Titre de l'album : l'oiseau rare t1 Scenariste de l'album : Cédric SIMON Dessinateur de l'album : Eric Stalner Coloriste : Florence FANTINI Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Ils sont prêts à toutes les combines pour atteindre leur rêve. Dans ce bidonville parisien, au milieu du petit peuple chassé par la spéculation immobilière, vit Eugénie et sa bande : le vieil Arthur, Tibor, l'ancien dompteur hongrois et les deux frères, Constantin et Lucien. Le ciment de cette famille, c'est Eugénie qui les entraîne dans son rêve fou de reconstruire L'Oiseau rare, le cabaret de son grand-père. Pour cela, chanter dans les rues ne suffit pas. C'est un prétexte pour attirer les bourgeois aux bourses pleines. Vols et filouteries sont leurs véritables activités. Mais les combines de plus en plus risquées, les problèmes avec les apaches et la police vont précipiter le petit groupe dans une spirale dangereuse. Critique : Voilà une BD qui correspond parfaitement à sa maison d'édition : la bd comme au cinéma. Car cet Oiseau Rare est une vraie histoire de cinéma. Un scénario robuste ni trop ambitieux ni trop déluré. Une mise en image superbe avec des belles vue de la capitale à une époque où le béton ne régnait pas en maître partout. Des personnages attachant qui portent une histoire dramatique et un premier tome qui énonce encore un peu plus nos amis avant, on s'en doute, une belle remontée dans le tome suivant. On se croirait au cinéma devant un drame d'époque dont l'on sait pertinemment qu'il finira bien mais qui nous fait vibrer quand même pour ses personnages. L'oiseau rare c'est tout cela mais porté en plus par le dessin toujours très beau. d'Eric Stalner L'oiseau rare c'est donc une réussite pour tous ceux qui ne sont pas à la recherche d'originalité. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-oiseau-rare-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Apres deux superbes albums sur le Vendée Globe (Histoire du vendée globe et Seul autour du monde), Arnaud Garreta et Alexandre Chenet nous livre un nouvel album sur les marins et leurs univers. Cette fois il est question de Thomas Coville pour rien de moins que son record du tour du monde à la voile en solitaire. 49 neufs jours passés tout seul sur son bateau. 49 jours de mers differentes, de météos capricieuses et de choix tactiques et techniques pour réussir l'impossible : Un tour du monde en moins de 50 jours ! On retrouve avec enormement de plaisir les dessins et la coloration de Arnaud Garreta. Il reussit comme peut de monde à retranscrire aussi bien la beauté de la mer que sa complexité et ses dangers.Il nous fait vivre au jour le jours les désillusions, les joies et les frayeurs de Thomas Coville. Le petit changement sur cet album ci est la part belle donnée à l'équipe de suivit et à l'importance de ces personnes, tant au niveau preparation que suivit psycologique et technique.On y découvre une vraie relation de confiance entre le skipper et son équipe. Une vraie et belle aventure qui fait rêver son lecteur et l'emmenant la ou il ne pourrait aller. Il est a noter sur cet album ci que nos auteurs consacrent une partie de l'album sur la course aux évolutions technologiques des bateaux et sur l'ambitions des skipper à creer une course autour du monde. Cela ajoute un coté plus complet au métier de skipper avec la partie "conception de bateau" / planification/ entrainement en plus de la course elle meme. Une BD pour tous les aventuriers du quotidien !
  14. Titre de l'album : A bord avec thomas Coville - la quete ultime Scenariste de l'album : Chenet Alexandre Dessinateur de l'album : Garreta Arnaud Coloriste : Garreta Arnaud Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après avoir signé deux albums sur le Vendée Globe, Alexandre Chenet et Renaud Garreta ont suivi pendant plusieurs années Thomas Coville, l'un des plus grands skippers au monde et tentent de comprendre « ce qui peut se passer dans la tête d'un marin », notamment lors du tour du monde en solitaire record de 2016, engagé à bord d'un trimaran géant dans une quête d'ultime. Une bande dessinée qui se présente comme un documentaire passionnant et qui paraîtra à une période où l'actualité voile battra son plein avec des tentatives de Trophée Jules Verne et une nouvelle édition du Vendée Globe. Cet ouvrage s'adresse à tous les publics amoureux d'aventure et désireux de mieux comprendre cette formidable aventure humaine, technologique et sportive. Critique : Apres deux superbes albums sur le Vendée Globe (Histoire du vendée globe et Seul autour du monde), Arnaud Garreta et Alexandre Chenet nous livre un nouvel album sur les marins et leurs univers. Cette fois il est question de Thomas Coville pour rien de moins que son record du tour du monde à la voile en solitaire. 49 neufs jours passés tout seul sur son bateau. 49 jours de mers differentes, de météos capricieuses et de choix tactiques et techniques pour réussir l'impossible : Un tour du monde en moins de 50 jours ! On retrouve avec enormement de plaisir les dessins et la coloration de Arnaud Garreta. Il reussit comme peut de monde à retranscrire aussi bien la beauté de la mer que sa complexité et ses dangers.Il nous fait vivre au jour le jours les désillusions, les joies et les frayeurs de Thomas Coville. Le petit changement sur cet album ci est la part belle donnée à l'équipe de suivit et à l'importance de ces personnes, tant au niveau preparation que suivit psycologique et technique.On y découvre une vraie relation de confiance entre le skipper et son équipe. Une vraie et belle aventure qui fait rêver son lecteur et l'emmenant la ou il ne pourrait aller. Il est a noter sur cet album ci que nos auteurs consacrent une partie de l'album sur la course aux évolutions technologiques des bateaux et sur l'ambitions des skipper à creer une course autour du monde. Cela ajoute un coté plus complet au métier de skipper avec la partie "conception de bateau" / planification/ entrainement en plus de la course elle meme. Une BD pour tous les aventuriers du quotidien ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-bord-avec-thomas-coville-la-quete-de-l-ultime?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Rattrapage : Lord Jeffrey

    Je vous avais parlé des éditions Kennes durant les vacances via leur offre promotionelle deux acheté un offert. Et j'avais eu le tord, après lecture de ce Lord Jeffrey, de dire que ces éditions faisaient exclusivement des BD pour jeunes filles. Car ce Lord Jeffery est une vraie Excellente BD pour tous. Deja le maquettage de l'album est magnifique. Les "dorures" extérieures mais aussi l'album entier, sont somptueusement réalisées. Et cerise sur le gâteau, l’intérieur vaux autant le détour que l'extérieur. Lord Jeffrey c'est une aventure jeunesse comme on en trouve peu. En effet on se croirait dans une aventure à mi chemin entre le club des 5 et un roman d'Agatha Christie. Une BD qui ne prend pas le jeune lecteur pour un gamin non a même de comprendre une intrigue un peu complexe. Il y a un jeune héros tous sauf bête, un père mystérieux, une organisation secrète, un campus étrange et ,surtout, une construction du mystère superbement efficace ! On se délecte d’être mené par le bout du nez par notre scénariste du début à la fin. Comme dans un Hercule Poirot on essaye de rassembler tous les petits indices pour comprendre, comme le fait Jeffrey, l'ensemble du mystère qui plane autour du père. Une vraie petite pépite dont la suite arrive la 21 Octobre ! Chouette 🙂
  16. Titre de l'album : Rattrapage : Lord Jeffrey Scenariste de l'album : Henberg Dessinateur de l'album : Hamo Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Édimbourg, 1958. Pour Scotland Yard, la disparition de David Archer n'a rien d'inquiétant. Après quatre mois d'absence, tout laisse penser qu'il a volontairement quitté le domicile familial pour refaire sa vie à Londres. L'affaire est classée sans suite. Mais pour Jeffrey, son fils de 13 ans, la police fait fausse route. Son père lui avait promis de revenir à temps pour assister à l'entrée en ville de la Reine et il n'a jamais manqué à sa parole. S'il n'est pas revenu, c'est qu'il lui est arrivé quelque chose. D'ailleurs, il se souvient que la veille de son départ, son père avait évoqué une mission mystérieuse. Et si c'était un agent secret ? Et s'il était retenu en otage quelque part ? C'est décidé, puisqu'il ne peut pas compter sur les adultes, il mènera sa propre enquête accompagné de son chien Sherlock ! Critique : Je vous avais parlé des éditions Kennes durant les vacances via leur offre promotionelle deux acheté un offert. Et j'avais eu le tord, après lecture de ce Lord Jeffrey, de dire que ces éditions faisaient exclusivement des BD pour jeunes filles. Car ce Lord Jeffery est une vraie Excellente BD pour tous. Deja le maquettage de l'album est magnifique. Les "dorures" extérieures mais aussi l'album entier, sont somptueusement réalisées. Et cerise sur le gâteau, l’intérieur vaux autant le détour que l'extérieur. Lord Jeffrey c'est une aventure jeunesse comme on en trouve peu. En effet on se croirait dans une aventure à mi chemin entre le club des 5 et un roman d'Agatha Christie. Une BD qui ne prend pas le jeune lecteur pour un gamin non a même de comprendre une intrigue un peu complexe. Il y a un jeune héros tous sauf bête, un père mystérieux, une organisation secrète, un campus étrange et ,surtout, une construction du mystère superbement efficace ! On se délecte d’être mené par le bout du nez par notre scénariste du début à la fin. Comme dans un Hercule Poirot on essaye de rassembler tous les petits indices pour comprendre, comme le fait Jeffrey, l'ensemble du mystère qui plane autour du père. Une vraie petite pépite dont la suite arrive la 21 Octobre ! Chouette 🙂 Autres infos : Editions kennes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-jeffrey-tome-1-le-train-de-16h54?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Labyrinthus t1/2

    Efficace. C'est le terme qui correspond surement le mieux à notre amis Christophe Bec. Car sans ne rien vous dévoiler du scénario... j'ai eu comme une grosse impression de déjà-vu. On retrouve des vaisseaux extraterrestres, la fin du monde, une team de scientifique et de barbouze, une mission qui tient la fin du monde dans ses mains... Mais comme souvent (sur les premiers tomes en tout cas) c'est efficace. Un dessin un peu dur pour nous montrer la difficulté de la tâche et représenter la fin du monde. La coloration est sombre parce que l'ambiance est la tension est en à son comble.... du 100% Bec. Les seules vraies surprises sont : l'éditeur les deux tomes (annoncés .....) Donc je ne saurais trop quoi vous dire : Si vous adorez le genre Bec et que vous n’êtes pas lassé, vous pouvez y aller. Si vous ne connaissez pas Bec, allez y à (100%) car vous aurez une histoire clôturée en 2 tomes. Si vous n'aimez pas Bec... vous êtes déjà partit de toute façon 🙂 . Pour ma part je demande à voir une histoire qui finit en 2 tomes.
  18. Titre de l'album : Labyrinthus t1/2 Scenariste de l'album : Bec Dessinateur de l'album : Neaud Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est sous la menace d'un phénomène sans précédent. Depuis quelque temps, de mystérieuses cendres tombées du ciel recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, de nombreux cas de maladies respiratoires sont recensés. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la « cendre » est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter d'y mettre fin, une équipe est alors envoyée vers Phobos, satellite de Mars duquel proviendrait l'épidémie... Christophe Bec, scénariste de Carthago et de Siberia 56, revient à son genre de prédilection dans un captivant thriller de SF aux accents lovecraftien, mené par une équipe de héros aussi bigarrée que charismatique. Mystères, aventure et angoisse sont au menu de ce diptyque duquel émergent de véritables questions sur notre rapport à l'écologie. Critique : Efficace. C'est le terme qui correspond surement le mieux à notre amis Christophe Bec. Car sans ne rien vous dévoiler du scénario... j'ai eu comme une grosse impression de déjà-vu. On retrouve des vaisseaux extraterrestres, la fin du monde, une team de scientifique et de barbouze, une mission qui tient la fin du monde dans ses mains... Mais comme souvent (sur les premiers tomes en tout cas) c'est efficace. Un dessin un peu dur pour nous montrer la difficulté de la tâche et représenter la fin du monde. La coloration est sombre parce que l'ambiance est la tension est en à son comble.... du 100% Bec. Les seules vraies surprises sont : l'éditeur les deux tomes (annoncés .....) Donc je ne saurais trop quoi vous dire : Si vous adorez le genre Bec et que vous n’êtes pas lassé, vous pouvez y aller. Si vous ne connaissez pas Bec, allez y à (100%) car vous aurez une histoire clôturée en 2 tomes. Si vous n'aimez pas Bec... vous êtes déjà partit de toute façon 🙂 . Pour ma part je demande à voir une histoire qui finit en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/labyrinthus-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Le retour de Barbe rouge. Je vais être honnête, c''est pour moi le retour des BDs que je lisais chez mes grands-parents. Les BDs de mon papa. Les couvertures souples, les lectures de vacances, les odeurs de poussière et une nostalgie qui monte rien qu'à y penser. C'est donc une critique pas complètement neutre que je vais faire. Car il est difficile de séparer ses souvenirs de cette lecture. Surtout que mon bilan de cette lecture serait que nos auteurs on "trop bien fait" leur travail. En effet on s'y croirait. On se croirait vraiment dans une aventure de barbe rouge. On y retrouve le caractère fort en gueule de notre pirate, son envie d’aventure mais aussi le classicisme des BDs d'autres fois. Ce classicisme n'enlève aux qualités de l'aventure qui reste une vraie aventure de pirate mais elle tranche un peu avec ouvrage plus récent sur le sujet. Mais c'est aussi ce côté classique qui a fait ressortir mes souvenirs de jeunesse et m'a offert un bon moment de lecture, en-plein d’une belle nostalgie. En bref, porté par un dessin très sympa, ce barbe rouge ravira les fans de récit de pirate et les fans des premiers barbe rouge mais aura peut-être plus de mal à convaincre de plus jeunes (et nouveaux) lecteurs. PS: j'ai essayé avec ma fille de 12 ans, ça n'a pas marché 😞
  20. Titre de l'album : Les nouvelles aventures de Barbe rouge t1 : pendu haut au court Scenariste de l'album : Jean-Charles Kraehn Dessinateur de l'album : Stefano Carloni Coloriste : Stefano Carloni Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À présent corsaires du Roy, Barbe-Rouge, Éric, Baba et Triple-Patte partent en chasse du « Spectre », un mystérieux pirate qui rançonne les planteurs de Pamticoe Sound. Une course mortelle s'engage contre un adversaire machiavélique... Entre hommage respectueux aux créateurs, Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon, et nécessaire actualisation du mythe, Jean-Charles Kraehn et Stefano Carloni signent un retour fracassant du plus célèbre pirate de la BD franco-belge dans ce premier tome d'un diptyque ! Critique : Le retour de Barbe rouge. Je vais être honnête, c''est pour moi le retour des BDs que je lisais chez mes grands-parents. Les BDs de mon papa. Les couvertures souples, les lectures de vacances, les odeurs de poussière et une nostalgie qui monte rien qu'à y penser. C'est donc une critique pas complètement neutre que je vais faire. Car il est difficile de séparer ses souvenirs de cette lecture. Surtout que mon bilan de cette lecture serait que nos auteurs on "trop bien fait" leur travail. En effet on s'y croirait. On se croirait vraiment dans une aventure de barbe rouge. On y retrouve le caractère fort en gueule de notre pirate, son envie d’aventure mais aussi le classicisme des BDs d'autres fois. Ce classicisme n'enlève aux qualités de l'aventure qui reste une vraie aventure de pirate mais elle tranche un peu avec ouvrage plus récent sur le sujet. Mais c'est aussi ce côté classique qui a fait ressortir mes souvenirs de jeunesse et m'a offert un bon moment de lecture, en-plein d’une belle nostalgie. En bref, porté par un dessin très sympa, ce barbe rouge ravira les fans de récit de pirate et les fans des premiers barbe rouge mais aura peut-être plus de mal à convaincre de plus jeunes (et nouveaux) lecteurs. PS: j'ai essayé avec ma fille de 12 ans, ça n'a pas marché 😞 Autres infos : Le retour de barbe rouge ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nouvelles-aventures-de-barbe-rouge-pendu-haut-et-court?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Yasmina t1 Master classe

    Le retour de Yasmina ! Apres avoir vaincu bravement les mangeurs de patates, elle a le droit à sa propre série ! La voilà en quête d'un nouveau Graal : instaurer des cours de cuisine/bien manger dans son collège ! Rien de moins que toucher au Roi Burger des collégiens ! Entre critique de la mal bouffe et de l'absence (même si ça dépend des collèges, hein ) de réactions des instances, Mannaert nous reviens avec une Yasmina plus motivée que jamais. Pour ne pas sombrer dans l'extrémisme à fond, notre auteur ajoute à ce tome les problèmes de travail du père de Yasmina. Et heureusement car si on a vite fait le tour de la croisade de notre jeune chef, la réorientation du père est, elle, extrêmement savoureuse avec des gags très sympa et des personnages secondaires haut en couleurs. Un ensemble qui fait de Yasmina une lecture à la fois intéressante, pertinente et marrante. A lire et à faire lire !
  22. Titre de l'album : Yasmina t1 Master classe Scenariste de l'album : Mannaert Dessinateur de l'album : Mannaert Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Alarmée par les habitudes alimentaires des élèves et l'inertie de l'école en matière d'écologie, Yasmina a décidé d'agir ! Elle s'est donné pour mission de remplacer une heure d'anglais par un cours de cuisine et une heure de mathématiques par une initiation au jardinage. Pour ce faire, il lui faut réunir cinquante signatures sur sa pétition. Une mission quasiment impossible au vu du manque d'intérêt de ses camarades pour l'environnement... De son côté, Omran, le papa de Yasmina, apprend que la friterie dans laquelle il travaille doit mettre la clé sous la porte. Un véritable coup dur pour ce père célibataire. Aidé par ses amis, Cyril, Marco et Amaryllis, il ne se laisse toutefois pas abattre et décide de lancer son propre commerce ambulant. Au menu : nems végétariens, fromage de chèvre et miel, gaufres aux légumes... Malheureusement, aucune de ces innovations culinaires ne rencontre son public. Le monde ne semble définitivement pas prêt pour le changement d'alimentation... Si bien que Yasmina et son papa vont devoir jongler entre ruse et créativité pour changer les mentalités ! Une nouvelle série aussi trépidante que colorée, menée fourneaux battants par une héroïne aux préoccupations actuelles. Critique : Le retour de Yasmina ! Apres avoir vaincu bravement les mangeurs de patates, elle a le droit à sa propre série ! La voilà en quête d'un nouveau Graal : instaurer des cours de cuisine/bien manger dans son collège ! Rien de moins que toucher au Roi Burger des collégiens ! Entre critique de la mal bouffe et de l'absence (même si ça dépend des collèges, hein ) de réactions des instances, Mannaert nous reviens avec une Yasmina plus motivée que jamais. Pour ne pas sombrer dans l'extrémisme à fond, notre auteur ajoute à ce tome les problèmes de travail du père de Yasmina. Et heureusement car si on a vite fait le tour de la croisade de notre jeune chef, la réorientation du père est, elle, extrêmement savoureuse avec des gags très sympa et des personnages secondaires haut en couleurs. Un ensemble qui fait de Yasmina une lecture à la fois intéressante, pertinente et marrante. A lire et à faire lire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yasmina-tome-1-master-classe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    Horseback-1861

    Le scénariste David Hasteda a fait ses preuves sur plusieurs histoires courtes de Doggybags mais aussi des histoires plus longues sur les Doggybags présente et l'excellent Doggybags, Mapple squares. Aujourd'hui, l'auteur revient avec westen pour changer de registre mais toujours avec une touche de fantastique. En effet, Hasteda imagine une uchronie pour s'attaquer à l'histoire américaine. Le récit se focalise sur un ancien chasseur de prime qui décide d'ouvrir une société de convoyage pour ses vieux jours. Il monte une équipe avec des proches dont sa fille. Il faut quelques temps pour se mettre dans l'histoire qui semble complexe au premier abords avec le côté historique. Progressivement on peut profiter de l'ambiance et de l'intrigue qui prend son temps pour installer une bonne atmosphère. La partie graphique est réalisée par Nikho, un nouveau dessinateur dans le monde de la bande dessinée. Son style convient bien au label 619, avec un trait anguleux et nerveux. Quelques cases pourront paraître brouillon mais l'ensemble est de qualité. Les amateurs de western trouveront leur compte avec ce titre qui revisite le genre à travers 150 pages. En bonus, un poster sera offert aux premiers acheteurs.
  24. alx23

    Horseback-1861

    Titre de l'album : Horseback-1861 Scenariste de l'album : David Hasteda Dessinateur de l'album : Nikho Coloriste : Nikho Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : 1861. Le spectre d’une guerre civile s’éloigne enfin dans cette Amérique qui vient de réélire le président Richard Clarks peu de temps après l’assassinat d’Abraham Lincoln, son plus farouche opposant... Redford J. Randall, chasseur de primes à la retraite, y dirige maintenant une société de convoyage basée à Hill Haven dans le Kansas : la Randall Delivery ! Après avoir accepté une mission pour le compte du gouvernement, Randall, son équipe et la mystérieuse cargaison deviennent la cible de tous les ruffians. De l’est vers l’ouest, en passant par les territoires indiens, le périple s’annonce mouvementé et le destin de la Randall Delivery semble plus que jamais lié à celui des États Unifiés d’Amérique. Critique : Le scénariste David Hasteda a fait ses preuves sur plusieurs histoires courtes de Doggybags mais aussi des histoires plus longues sur les Doggybags présente et l'excellent Doggybags, Mapple squares. Aujourd'hui, l'auteur revient avec westen pour changer de registre mais toujours avec une touche de fantastique. En effet, Hasteda imagine une uchronie pour s'attaquer à l'histoire américaine. Le récit se focalise sur un ancien chasseur de prime qui décide d'ouvrir une société de convoyage pour ses vieux jours. Il monte une équipe avec des proches dont sa fille. Il faut quelques temps pour se mettre dans l'histoire qui semble complexe au premier abords avec le côté historique. Progressivement on peut profiter de l'ambiance et de l'intrigue qui prend son temps pour installer une bonne atmosphère. La partie graphique est réalisée par Nikho, un nouveau dessinateur dans le monde de la bande dessinée. Son style convient bien au label 619, avec un trait anguleux et nerveux. Quelques cases pourront paraître brouillon mais l'ensemble est de qualité. Les amateurs de western trouveront leur compte avec ce titre qui revisite le genre à travers 150 pages. En bonus, un poster sera offert aux premiers acheteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/horseback-1861/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. alx23

    Tomahawk

    Titre de l'album : Tomahawk Scenariste de l'album : Patrick Prugne Dessinateur de l'album : Patrick Prugne Coloriste : Patrick Prugne Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : L’histoire d’une vengeance mettant en scène un homme et un grizzly, avec en toile de fond un tournant de l’Histoire Nord-Américaine. En 1756, la France se trouve au coeur d’un conflit majeur qui embrase toute l’Europe et qui l’oppose à la Prusse et à l’Angleterre, son ennemi héréditaire. C’est la guerre de sept ans. Pour les colonies françaises du Nouveau Monde, cette guerre a commencé dès 1754. Les sujets du roi George portent sans relâche l’escarmouche contre les forts français dressés sur leur frontière de l’Ouest. La bataille de Fort Carillon eut lieu au sud du lac Champlain, entre ce dernier et le lac George. Ces deux lacs séparaient la colonie britannique de New York de la colonie française du Canada (Nouvelle-France). L’histoire de Tomahawk débute un mois avant cette bataille et s’achève au moment de l’attaque. Nous suivons Jean Malavoy, jeune milicien, dans un combat contre un gigantesque grizzly... Critique : Patrick Prugne continue ses récits d'aventure sur le nouveau continent au XVIIIème siècle, avec des tribus amérindiennes même si cette fois c'est un soldat français qui est héros de l'histoire. Les scénarios de Prugne sont assez basiques en général et manquent de profondeur mais on se laisse vite prendre au jeu. On suit la chasse à l'ours d'un soldat qui veut se venger alors qu'il est lui-même poursuivit par des soldats anglais accompagnés de Mohawks. Avec Tomahawk, on se retrouve contemplatif des magnifiques planches de Prugne qui nous plonge dans son univers réaliste et historique avec le démarrage de la guerre de sept ans entre les anglais et français. L'album se termine sur plusieurs pages d'esquisses, de recherches graphique et autres illustrations ainsi que quelques explications de l'auteur pour ses influences. Tomahawk est la sixième bande dessinée sur les amérindiens et l’Amérique du nord depuis Canöe Bay. Les dessins et peintures de Prugne gagnent en qualité et c’est toujours avec beaucoup plaisir que je découvre ses nouveaux albums. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tomahawk/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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