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  1. poseidon2

    Les Arkeos t1

    Titre de l'album : Les Arkeos t1 Scenariste de l'album : Alkeo / Jean-Luc Garrera Dessinateur de l'album : Cedric Ghorbani Editeur de l'album : Bamboo Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : Tout le monde n’est pas Indiana Jones, archéologue en quête de l’ultime relique ou artefact qui sauvera le monde ou livrera le secret de l’Atlantide... Alors si vous avez cette vision épique de l’archéologie, il va falloir réviser vos standards. Non pas que la réalité soit moins sexy ! Attirante, passionnée, envoutante, la « vraie » archéologie peut l’être tout autant. Loin des budgets pharaoniques de chantiers qui ne le sont pas moins, cet album vous fait pénétrer ce fabuleux métier où on découvre le passé et la grande aventure… un pinceau à épousseter à la main. Critique : Alors comme chaque nouvelle série de BD d'humour, j'ai tendance à ouvrir la BD à contre cœur. L'humour est un art difficile à manier, surtout à une époque où il est traité pour être vendu en centre commerciale à la chaine. Mais l'archéologie, Indiana Jones, jurassique parc tout ça tout ça quoi... Et bien la lecture fut plus intéressante que prévue. Et elle commença par une page en forme de révélation : les gens pensent comme moi Car l'une des première blague est un enfant qui arrive en stage pour chercher des dinosaures.... à qui on dit : A non les Dinosaures ce sont les paléontologues. Nous on cherche des cailloux 😄 Ajouter à cela un autre ou Une femme se prend pour Lara Croft mais revient trempée en ayant dénichées que des saletés... et vous aurez une BD d'humour avec pas mal de référence dont des "fun fact" de la vie devrais archéologue. Celui qui m'a le plus fait rire c'est un archéologue qui dit à son apprentis, tout en fouillant le sol avec une balayette, que pour en arriver là il a passé plein de diplôme, de doctorat tout ça ... qu'il a un équivalent BAC +10.... Passe une mère à côté avec son fils qui ne veut pas aller à l'école : - Tu ne te rends pas compte ! SI tu ne vas pas à l'école tu finiras comme ces gens, à gratter la terre pour te nourrir ! 😄 😄 😄 Ajoutez à cela une partie légale intéressante sur les nouvelles constructions qui découvre des vestiges et autres trucs d'archéologues.... et vous aurez au final un BD très sympathique à offrir à tout jeune qui veut faire comme Indiana ! Autres infos : Au final..... intéressant Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-arkeos-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Le serment de l'acier

    Bon alors je vous avoue que ma première émotion fut la déception en lisant ce tome 1. Mais après mon cerveaux s'est mis en route et il s'est souvenus que cette collection avait pour but de sortir des albums pour adultes ET ados. Et ça c'est pile poil de la BD pour ados. Il y a tout ce qui plait à ma fille : Une héroïne dans un monde de mec. Une intrigue compliquée mais pas trop, des rebondissements qui finissent bien et des dessins très sympas. Alors certes on pourra dire qu'il manque une seconde lecture. Mais c'est notre esprit d'adulte qui cherche ça. Apres deux tomes résolument plus adultes avec Terence Trolley et Aster, on s'était dit que Drakoo nous promettait de la vraie aventure SF/Fantastique pour grand. Et bien pas que mais en partie parce que ce n'est pas l'unique but. Pour rassurer les grands, il suffit de voir le planning pour savoir qu'on va avoir de quoi se faire plaisir. Il nous faut juste attendre un peu et laisser aux ados leurs albums.....
  3. Titre de l'album : Le serment de l'acier Scenariste de l'album : Gwenael Marce Dessinateur de l'album : Elisa Ferrari Editeur de l'album : Drakoo Note de l'album : 3 Résumé de l'album : Alors que les peuples du Vaste Pays se remettent à peine de la guerre civile qui a ravagé leurs terres, voici qu'on assassine, au coeur de la cité de Torrède, l'un des héros du conflit. Estèla Ascensal, jeune auxiliaire de la garde aux capacités particulières, est appelée à l'aide par les miliciens pour enquêter sur le meurtre. Facile de se laisser convaincre quand son père adoptif est le maître-chien de la garde. Dans le même temps, Aelis Mendigal, ancienne combattante de Torrède, quitte la ville, elle est chargée par les autorités de cette-dernière de rechercher un scribe disparu aux confins des Provinces Onarques. Elle ne fera pas le voyage seule, une caravane Romani, ce peuple voyageur et marchand, l'accueille en son sein. Tandis que l'une va plonger dans le ventre de la ville pour en arracher quelques secrets, l'autre va accompagner les Romanis sur les traces de la guerre passée et l'obliger à redécouvrir, non sans difficultés, ces peuples qui furent ses ennemis d'hier. Le bout de son voyage sera aussi celui de ses illusions. Entre Torrède et les confins, les deux intrigues vont peu à peu révéler leurs liens, liens faisant ressurgir les vieux démons d'un conflit fratricide aux plaies encore béantes. Et si les héros du peuple n'étaient que des criminels de guerre capables des actes les plus vils pour protéger leur légende ? Critique : Bon alors je vous avoue que ma première émotion fut la déception en lisant ce tome 1. Mais après mon cerveaux s'est mis en route et il s'est souvenus que cette collection avait pour but de sortir des albums pour adultes ET ados. Et ça c'est pile poil de la BD pour ados. Il y a tout ce qui plait à ma fille : Une héroïne dans un monde de mec. Une intrigue compliquée mais pas trop, des rebondissements qui finissent bien et des dessins très sympas. Alors certes on pourra dire qu'il manque une seconde lecture. Mais c'est notre esprit d'adulte qui cherche ça. Apres deux tomes résolument plus adultes avec Terence Trolley et Alter, on s'était dit que Drakoo nous promettait de la vraie aventure SF/Fantastique pour grand. Et bien pas que mais en partie parce que ce n'est pas l'unique but. Pour rassurer les grands, il suffit de voir le planning pour savoir qu'on va avoir de quoi se faire plaisir. Il nous faut juste attendre un peu et laisser aux ados leurs albums.... Autres infos : Ma note pour Ado : 4/5 Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-serment-de-l-acier-tome-1-une-gloire-fantome?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    Le convoyeur tome 1 - Nymphe

    Le convoyeur débute une nouvelle trilogie post-apocalyptique dans une ambiance western où l'homme a muté. En effet, dans l'histoire de Tristan Roulot, le fer est devenu aussi friable que du papier, transformant le monde que l'on connait, en rendant obsolète la plupart des structures. Cependant, l'impact le plus important provient du fer présent dans le sang de l'homme qui provoque des mutations. Dans ce monde, on suit le convoyeur un personnage mythique qui accepte toutes les commandes sans regarder le danger. Le récit est prenant et captive dès l’introduction avec ce retournement de situation assez bien amené pour présenter le convoyeur. Après les excellents westerns Sykes ou Texas Jacket, on retrouve Dimitri Armand dans un nouveau genre avec ce récit fantastique. L'auteur gère à merveille les décors en décomposition ainsi que les pouvoirs développés par l'ensemble de la population. Une version en noir et blanc dans un format plus grand était déjà disponible en librairie depuis quelques temps pour profiter du travail de Dimitri Armand. Je recommande fortement la lecture de ce premier tome qui débute très fort.
  5. Titre de l'album : Le convoyeur tome 1 - Nymphe Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Un virus s'est répandu sur la terre. La "Rouille" s'est attaquée au fer, détruisant peu à peu les infrastructures, les véhicules, les outils,… Notre civilisation est revenue à l'âge de la pierre. Dans ce monde brutal, le légendaire Convoyeur incarne le seul espoir pour beaucoup de gens. Il accepte de remplir toutes les missions qu'on lui confie, quels qu'en soient les risques. En échange de quoi, les commanditaires doivent simplement manger un oeuf étrange… Critique : Le convoyeur débute une nouvelle trilogie post-apocalyptique dans une ambiance western où l'homme a muté. En effet, dans l'histoire de Tristan Roulot, le fer est devenu aussi friable que du papier, transformant le monde que l'on connait, en rendant obsolète la plupart des structures. Cependant, l'impact le plus important provient du fer présent dans le sang de l'homme qui provoque des mutations. Dans ce monde, on suit le convoyeur un personnage mythique qui accepte toutes les commandes sans regarder le danger. Le récit est prenant et captive dès l’introduction avec ce retournement de situation assez bien amené pour présenter le convoyeur. Après les excellents westerns Sykes ou Texas Jacket, on retrouve Dimitri Armand dans un nouveau genre avec ce récit fantastique. L'auteur gère à merveille les décors en décomposition ainsi que les pouvoirs développés par l'ensemble de la population. Une version en noir et blanc dans un format plus grand était déjà disponible en librairie depuis quelques temps pour profiter du travail de Dimitri Armand. Je recommande fortement la lecture de ce premier tome qui débute très fort. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-1-nymphe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. C'est assez drôle car le titre "un été trop court"... convient super bien à la description de cet album. Car on pourrait résumer cette critique par : Un album trop court. Et donc un album frustrant. En effet on retrouve avec plaisir notre famille de danseurs et l'on s'interroge sur "la mère" et cette famseuse histoire de prof de musique. Et si cette histoire est bien évoquée dans ce tome 5, autant vous dire que c'est assez rapide. En fait ce tome est super rapide. On a l'impression que Jerome Hamon s'est un peu trop reposé sur le sublime dessin de Lena Sayaphoum. On enchaine les moments de danses et les beaux dessins mais pour au final ne parler.. de rien. Ce tome 5 nous raconte, vu d'avion, une semaine de vacances qui titille les coeurs et les relations de toutes les filles/femmes en presences. Mais rien de bien poussé et de bien developpé. A force de jouer sur les sous entendu rendu par le dessin.... et bien on arrive à une BD ou il ne se passe pas grand chose. Ce tome 5 est malheureusement trop vite lu. Mais genre 15 minutes.... Donc si les premières pages nous ont réjoui car elle nous ont permis de retrouver nos jeunes danseurs, on est super frustrée par la rapidité de lecture de ces vacances. Espérons que cela ne soit qu'une parenthese dans l'histoire...
  7. Titre de l'album : Emma et capucine t5: un ete trop court Scenariste de l'album : Jerome Hamon Dessinateur de l'album : Lena Sayaphoum Editeur de l'album : Dargaud Note de l'album : 3 Résumé de l'album : Cet été, pour les vacances, les parents d'Emma et Capucine ont prévu d'emmener la petite famille en Bretagne. Direction Carnac, chez des amis de longue date ! Une décision qui est loin d'enthousiasmer les deux soeurs. Entre la météo capricieuse, la mer gelée et les garçons de leurs hôtes qui ne pensent qu'aux jeux vidéo, les vacances semblent destinées à tourner au cauchemar. Une chance qu'elles soient ensemble et que la danse puisse se pratiquer n'importe où ! Critique : C'est assez drôle car le titre "un été trop court"... convient super bien à la description de cet album. Car on pourrait résumer cette critique par : Un album trop court. Et donc un album frustrant. En effet on retrouve avec plaisir notre famille de danseurs et l'on s'interroge sur "la mère" et cette famseuse histoire de prof de musique. Et si cette histoire est bien évoquée dans ce tome 5, autant vous dire que c'est assez rapide. En fait ce tome est super rapide. On a l'impression que Jerome Hamon s'est un peu trop reposé sur le sublime dessin de Lena Sayaphoum. On enchaine les moments de danses et les beaux dessins mais pour au final ne parler.. de rien. Ce tome 5 nous raconte, vu d'avion, une semaine de vacances qui titille les coeurs et les relations de toutes les filles/femmes en presences. Mais rien de bien poussé et de bien developpé. A force de jouer sur les sous entendu rendu par le dessin.... et bien on arrive à une BD ou il ne se passe pas grand chose. Ce tome 5 est malheureusement trop vite lu. Mais genre 15 minutes.... Donc si les premières pages nous ont réjoui car elle nous ont permis de retrouver nos jeunes danseurs, on est super frustrée par la rapidité de lecture de ces vacances. Espérons que cela ne soit qu'une parenthese dans l'histoire... Autres infos : Un album trop court Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/emma-et-capucine-tome-5-un-ete-trop-court?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Elle approche, elle approche. Cette fin tant attendue de ce qui est peut-être la meilleure série de fantasy jeunesse de la décennie. Plus qu'un tome après celui-ci et c'est fini.... Et au vu des premières pages de ce tome 9, autant vous dire que le tome 10 devrait être épique au possible. Une fin en apothéose.... qui m’oblige à nuancer un petit peu ce tome 9. En effet on salive au vu des premières pages mais ce tome 9 est avant tout un résumé global et une préparation au choc final. Et assez malheureusement la partie "résumé" n'est pas super bien faite. Un petit chien vient nous rappeler les références aux albums précédents dès qu'il y en a une. C’est un poil grossier et cela arrive trop souvent. On lit rarement un tome 9 sans avoir lu les précédents. Par contre la partie préparation est-elle excellente. La dernière pièce manquante est trouvée, le calme revient et nos héros semble épanouis et maîtriser la situation... le calme avant la tempête. Kid Toussaint réussi à bien rassembler toutes les pièces de son histoire sans perdre le lecteur et nous offre dans ce tome 9 une rampe de lancement pour une mise en orbite du tome 10. Qui, a n'ne pas douter, sera excellent. Monsieur Toussaint attention vous avez la pression 🙂
  9. Titre de l'album : Magic 7 t9 : le dernier livre des mages Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Kenny Ruiz Editeur de l'album : Dupuis Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Dans le désert du Sinaï, les sept mages partent sur les traces d'une secte aussi discrète qu'impitoyable : la secte des "gardiens du Livre". Les Sept espère trouver dans ce livre, le seul à avoir été écrit par le premier mage, toutes les réponses à leurs questions : qui sont-ils ? Pourquoi ont-ils hérité de ces pouvoirs ? Et dans quel but ? La localisation de l'endroit où se trouve le Livre étant répartie dans la mémoire des différents gardiens, c'est un jeu d'enfants pour Milo, le télépathe, d'aller chercher ces infos dans les cerveaux des gardiens qu'ils ont réussi à enlever. Grâce au Runaway train en mode aéroglisseur, les Sept traversent le désert de Jordanie et arrivent à une cité creusée dans la roche. Ils ignorent, que dans ce piège brûlant, ils auront à affronter leurs plus redoutables ennemis : les sept contre-mages ! Critique : Elle approche, elle approche. Cette fin tant attendue de ce qui est peut-être la meilleure série de fantasy jeunesse de la décennie. Plus qu'un tome après celui-ci et c'est fini.... Et au vu des premières pages de ce tome 9, autant vous dire que le tome 10 devrait être épique au possible. Une fin en apothéose.... qui m’oblige à nuancer un petit peu ce tome 9. En effet on salive au vu des premières pages mais ce tome 9 est avant tout un résumé global et une préparation au choc final. Et assez malheureusement la partie "résumé" n'est pas super bien faite. Un petit chien vient nous rappeler les références aux albums précédents dès qu'il y en a une. C’est un poil grossier et cela arrive trop souvent. On lit rarement un tome 9 sans avoir lu les précédents. Par contre la partie préparation est-elle excellente. La dernière pièce manquante est trouvée, le calme revient et nos héros semble épanouis et maîtriser la situation... le calme avant la tempête. Kid Toussaint réussi à bien rassembler toutes les pièces de son histoire sans perdre le lecteur et nous offre dans ce tome 9 une rampe de lancement pour une mise en orbite du tome 10. Qui, a n'ne pas douter, sera excellent. Monsieur Toussaint attention vous avez la pression 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magic-7-tome-9-le-dernier-livre-des-mages?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Les 5 terres t3

    Je faisais parti des gens qui ne cachaient pas leur scepticisme sur cette série. En effet les deux premiers tomes ont été encensés par le petit monde de la BD alors même qu'il ne se passait pas grand-chose de surprenant. Tentant de faire un Games Of thrones en BD, nos auteurs restaient dans un classicisme un peu regrettable. Pas de mauvais albums mais pas très prenant. Et bien il faut bien reconnaître que celui-ci monte la barre d'un cran. Si la moitié des personnages ne servent encore à rien, les petites miettes semées sur les deux premiers albums commencent à former un vrai chemin intéressant. Les choses s’emboîtent de plus en plus, et les personnages qui contrôlent ce petit univers ne sont pas forcément ceux que l'on croit. On se rapproche d'un vrai jeu de trône beaucoup plus sophistiqué et donc plus prenant. La dernière image est assez représentative (des influences comme de la tournure de la série). On attendra donc des prochains tomes de récupérer les cailloux restant (les enfants servent à qui bordelllll) en espérant que nos auteurs n'aient pas vu trop grand au début (les ours ont disparu par exemple) Bref le meilleur album des 3.... Qui annoncent des tomes suivants encore meilleurs 🙂
  11. poseidon2

    Les 5 terres t3

    Titre de l'album : Les 5 terres t3 Scenariste de l'album : Patrick Wong / David Chauve) / Andoryss Dessinateur de l'album : Jérôme Lereculey Editeur de l'album : Delcourt Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : C'est l'arme à la main que le nouveau roi et son frère ont réglé leur différend, sous les yeux de leur cadet Mederion. C'est plus que n'en espéraient les lions qui, menés par l'ambitieux Lyrio, se lancent dans une campagne de reconquête du pouvoir que les tigres ont bien l'intention d'empêcher. Tandis que Sameus tente de retrouver Astrelia, disparue sans laisser de trace, et que les otages mettent la dernière main à leur plan d'évasion, les rues d'Angleon retiennent leur souffle... Critique : Je faisais parti des gens qui ne cachaient pas leur scepticisme sur cette série. En effet les deux premiers tomes ont été encensés par le petit monde de la BD alors même qu'il ne se passait pas grand-chose de surprenant. Tentant de faire un Games Of thrones en BD, nos auteurs restaient dans un classicisme un peu regrettable. Pas de mauvais albums mais pas très prenant. Et bien il faut bien reconnaître que celui-ci monte la barre d'un cran. Si la moitié des personnages ne servent encore à rien, les petites miettes semées sur les deux premiers albums commencent à former un vrai chemin intéressant. Les choses s’emboîtent de plus en plus, et les personnages qui contrôlent ce petit univers ne sont pas forcément ceux que l'on croit. On se rapproche d'un vrai jeu de trône beaucoup plus sophistiqué et donc plus prenant. La dernière image est assez représentative (des influences comme de la tournure de la série). On attendra donc des prochains tomes de récupérer les cailloux restant (les enfants servent à qui bordelllll) en espérant que nos auteurs n'aient pas vu trop grand au début (les ours ont disparu par exemple) Bref le meilleur album des 3.... Qui annoncent des tomes suivants encore meilleurs 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-5-terres-tome-3-l-amour-d-un-imbecile?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    No war t4

    Si le voyant de la cocotte était rouge mais qu'elle ne sifflait pas encore, là elle se met à faire un bruit d'enfer ! Elle est vraiment tout prête à exploser !!!. Et on ne peut que féliciter Anthony Pastor et la maison Casterman pour cet album ! Cette réussite est vraiment une réussite d'équipe. En effet tout était déjà en place pour lancer une conclusion à cette histoire. Mais plutôt que de se précipiter, Anthony Pastor a préféré prendre son temps pour faire monter un peu plus l'ambiance et nous offrir un tome d'une tension extrême. Un tome dont on se dit que l’histoire va basculer à chaque page..... Un vrai thriller sur papier. Et pour ce faire il faut bien sur avoir une maison d'édition qui autorise un auteur à partir sur une série de plus de 4 tomes. Ce qui est malheureusement de plus en plus rare. On ne peut que féliciter Casterman pour avoir laissé le champ libre à Anthony Pastor qui en en train de nous livrer un des meilleurs thrillers politico-financier depuis un petit moment.
  13. poseidon2

    No war t4

    Titre de l'album : No war t4 Scenariste de l'album : Anthony Pastor Dessinateur de l'album : Anthony Pastor Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : Sur Saarok, l’île sanctuaire des Kiviks, la situation dégénère. Les contestataires enchainent les sabotages sur le site du barrage soutenu par le gouvernement. En répercussion de quoi la répression policière est de plus en plus dure, les autochtones étant arrêtés en grand nombre. Run et Jo, toujours forcés de cohabiter par les pierres magiques Kafikadiks, échappent ainsi de peu à une rafle. Ils trouvent refuge dans la grotte aux esprits, lieu sacré s’il en est, où Oruk, l’oncle de Run, les accueille. Ils y apprendront comment est réellement mort Luka, le grand frère de Run. Au même moment, sur le chantier du barrage, Georg, le père de Run, se fait forcer la main par ses patrons chinois, qui l’obligent à annoncer publiquement la suspension du projet, au grand dam du président Pürson... Chaque jour, le chaos gagne un peu plus le Vukland ! Critique : Si le voyant de la cocotte était rouge mais qu'elle ne sifflait pas encore, là elle se met à faire un bruit d'enfer ! Elle est vraiment tout prête à exploser !!!. Et on ne peut que féliciter Anthony Pastor et la maison Casterman pour cet album ! Cette réussite est vraiment une réussite d'équipe. En effet tout était déjà en place pour lancer une conclusion à cette histoire. Mais plutôt que de se précipiter, Anthony Pastor a préféré prendre son temps pour faire monter un peu plus l'ambiance et nous offrir un tome d'une tension extrême. Un tome dont on se dit que l’histoire va basculer à chaque page..... Un vrai thriller sur papier. Et pour ce faire il faut bien sur avoir une maison d'édition qui autorise un auteur à partir sur une série de plus de 4 tomes. Ce qui est malheureusement de plus en plus rare. On ne peut que féliciter Casterman pour avoir laissé le champ libre à Anthony Pastor qui en en train de nous livrer un des meilleurs thrillers politico-financier depuis un petit moment. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-war-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    Nevada tome 2 - Route 99

    La deuxième mission pour Nevada commence avec beaucoup d'action pour nous remettre dans le bain avec cet homme de main à tout faire qui travaille pour les studios de cinéma. Le héros va devoir faire une pause dans sa poursuite de Caldwell comme on lui confie une livraison un peu particulière, pour un acteur en vogue. Fred Duval et Jean-Pierre Pécau signent une série d'action pure et dure avec Nevada. Leur héros est prêt pour toutes les missions et rien de semble pouvoir l'arrêter pour les mener à bien. Nevada vise le divertissement avant tout, sans trop de réflexion avec une légère trame de fond qui n'est pas si importante comme les auteurs ne donnent aucun indice supplémentaires sur leur héros. Au niveau dessin, Colin Wilson confirme son aisance à avec les histoires d'action avec les décors désertiques de chinatown pour ce tome. Le visage du héros est étrange sur certaine cases mais ne gâche en rien le plaisir de lecture. Une version noir et blanc est sortie le même jour en librairie pour profiter des dessins de Wilson. Après le Mexique, les lecteurs peuvent continuer l'aventure avec ce héros imperturbable qui affronte tous les dangers. Comme pour le premier tome, l'histoire se termine en un tome qui ne laisse pas trop voir le passé du héros pour l'instant. Les lecteurs auront peut-être du mal à s'attacher à Nevada si la trame de fond ne gagne pas en profondeur.
  15. Titre de l'album : Nevada tome 2 - Route 99 Scenariste de l'album : Fred Duval et Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Colin Wilson Editeur de l'album : Delcourt Note de l'album : 3 Résumé de l'album : À peine remis de son excursion au Mexique pour y rattraper l’Étoile du Texas en mal d’émotions fortes, Nevada repart pour une nouvelle mission. Tout ne va pas se passer comme il l’espérait, mais après tout il a l’habitude. Louise confie à Nevada, l’homme à tout faire des studios d’Hollywood, une livraison de la plus haute importance. À Los Angeles, dans le célèbre quartier de Chinatown, le destinataire attend ce « cadeau » qui facilitera la signature d’un contrat d’exclusivité avec le studio. Malheureusement, le contenu du paquet a l’air de beaucoup intéresser un chef des redoutables triades chinoises… Critique : La deuxième mission pour Nevada commence avec beaucoup d'action pour nous remettre dans le bain avec cet homme de main à tout faire qui travaille pour les studios de cinéma. Le héros va devoir faire une pause dans sa poursuite de Caldwell comme on lui confie une livraison un peu particulière, pour un acteur en vogue. Fred Duval et Jean-Pierre Pécau signent une série d'action pure et dure avec Nevada. Leur héros est prêt pour toutes les missions et rien de semble pouvoir l'arrêter pour les mener à bien. Nevada vise le divertissement avant tout, sans trop de réflexion avec une légère trame de fond qui n'est pas si importante comme les auteurs ne donnent aucun indice supplémentaires sur leur héros. Au niveau dessin, Colin Wilson confirme son aisance à avec les histoires d'action avec les décors désertiques de chinatown pour ce tome. Le visage du héros est étrange sur certaine cases mais ne gâche en rien le plaisir de lecture. Une version noir et blanc est sortie le même jour en librairie pour profiter des dessins de Wilson. Après le Mexique, les lecteurs peuvent continuer l'aventure avec ce héros imperturbable qui affronte tous les dangers. Comme pour le premier tome, l'histoire se termine en un tome qui ne laisse pas trop voir le passé du héros pour l'instant. Les lecteurs auront peut-être du mal à s'attacher à Nevada si la trame de fond ne gagne pas en profondeur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nevada-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Incroyable

    En voilà une excellente surprise. En effet cette BD ne paye pas de mine (sauf la superbe édition de Dargaud). Suivre les tribulations d'un enfant ressemble à une BD d'humour type Titeuf ou pico bogue alors que ce que nous avons là est d'un tout autre niveau. Sous couvert d’une histoire d'enfant légèrement névrotique, Vincent Zabus nous surprend en nous offrant une histoire drôle mais profondément humaine sur la relation entre un enfant et ses parents. C'est difficile de parler de cette BD sans évoquer la fin. Sans trop en dire. Ce que je dirais juste c'est que Vincent Zabus met en place une histoire qui change totalement de dimension dans le dernier tiers. Et là où c'est très fort c'est que ce dernier tiers nous refait complètement penser les deux tiers précédents. Et ce changement est aussi porté par le trait d'Hippolyte très enfantin qui nous laisse penser que cette histoire est juste une histoire sur un petit garçon mal dans sa peau... et qui change aussi une fois le dernier tiers venu. Vous l'aurez compris, il est difficile de parler de cette histoire sans vous révéler la fin et cela serait super dommage. Je finirais donc uniquement : allez-y, vous ne le regretterez pas 🙂
  17. poseidon2

    Incroyable

    Titre de l'album : Incroyable Scenariste de l'album : Vincent Zabus Dessinateur de l'album : Hippolyte Editeur de l'album : Dargaud Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : En Belgique, dans les années 1980, Jean-Loup vit en compagnie de son père. Le petit garçon souffre de TOC liés à un cruel manque de confiance en lui et à une certaine solitude due à l'absence de sa mère. Doté d'une grande imagination, doué d'un talent de conteur, il se construit pourtant son propre univers avec beaucoup de fantaisie... Mais comment raconter des histoires aux autres quand on est hypocondriaque ? Comment peut-on tout simplement trouver sa place dans la société alors qu'on est différent des autres ? Une histoire drôle et émouvante servie par les illustrations d'Hippolyte qui ont parfois un petit air de Sempé Critique : En voilà une excellente surprise. En effet cette BD ne paye pas de mine (sauf la superbe édition de Dargaud). Suivre les tribulations d'un enfant ressemble à une BD d'humour type Titeuf ou pico bogue alors que ce que nous avons là est d'un tout autre niveau. Sous couvert d’une histoire d'enfant légèrement névrotique, Vincent Zabus nous surprend en nous offrant une histoire drôle mais profondément humaine sur la relation entre un enfant et ses parents. C'est difficile de parler de cette BD sans évoquer la fin. Sans trop en dire. Ce que je dirais juste c'est que Vincent Zabus met en place une histoire qui change totalement de dimension dans le dernier tiers. Et là où c'est très fort c'est que ce dernier tiers nous refait complètement penser les deux tiers précédents. Et ce changement est aussi porté par le trait d'Hippolyte très enfantin qui nous laisse penser que cette histoire est juste une histoire sur un petit garçon mal dans sa peau... et qui change aussi une fois le dernier tiers venu. Vous l'aurez compris, il est difficile de parler de cette histoire sans vous révéler la fin et cela serait super dommage. Je finirais donc uniquement : allez-y, vous ne le regretterez pas 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/incroyables?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Quand on voit des films comme Mesrine ou encore des films sur les mafieux on se dit que leurs destins étaient prédéterminés. On s'imagine que depuis tout petit ils "devaient" être mafieux. Philippe Pelaez nous montre la qu'en fait il n'en est souvent rien. Au travers de l'enfance de J'acques, il nous montre qu'il s'agit souvent de petits riens qui peuvent faire bacsuler des enfants dans la délinquance.... et même plus. Pour Jacques ce fut un chat. Un chat et être au mauvais endroit au mauvais moment. Un chat qui a lancé l'histoire. Et quelle histoire ! De ce fameux chat à la fin de l'album, la vie de Jacques est rempli à raz-bord. Pas une seconde de sa vie n'a été perdue. Mais comme dans toute vie vécue à 200 à l'heure, le moindre dérapage incontrolé peu finir en drame. Si la vie de Jacques est intense, l'album l'est tout autant avec un recit manié de main de maitre avec une voix off nous racontant l'enfance de Jacques et nous amenant jusqu'à un dénouement... marquant. Le reproche que l'on pourrait faire à cette histoire est l'aspect reportage de la présentation. Poussé par la voix off, on se croirait en train de regarder un documentaire. Et un documentaire n'est jamais très immersif. Le choix du one shot ne permet pas de vraiment s'attacher aux personnages et c'est un poil dommage car la voix off cherche elle à créer de l'empathie pour Jacques. En ajoutant qu'une fois la fin connue on aura du mal à relire cette histoire.... on se retrouve avec un bon one shot sur une bonne histoire sur le parcours initiatique d'un mafieux. Mais une histoire à qui il manque quelque chose pour passer ce statut de bonne histoire.
  19. Titre de l'album : Dans mon village on mangeait des chats Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Francis Porcel Editeur de l'album : Grand Angle Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : Le parcours initiatique d'un jeune garçon dans le crime organisé et son cortège de violence. Jacques et Lily surprennent Charon, le boucher-maire, dans le bois en train de capturer des chats, matière première de ses fameux pâtés que tout le monde s'arrache. Lorsque Charon s'aperçoit que sa recette est éventée, il décide tout simplement d'éliminer les enfants qui pourraient trahir son secret. Jacques se défend et tue le boucher. En rentrant chez lui, le garçon s'interpose entre son père ivre et sa petite soeur et tue le tyran. Devenu meurtrier pour sa survie, et parricide par accident, Jacques est envoyé cinq ans en institut d'éducation surveillé pour en sortir chef de bande. Critique : Quand on voit des films comme Mesrine ou encore des films sur les mafieux on se dit que leurs destins étaient prédéterminés. On s'imagine que depuis tout petit ils "devaient" être mafieux. Philippe Pelaez nous montre la qu'en fait il n'en est souvent rien. Au travers de l'enfance de J'acques, il nous montre qu'il s'agit souvent de petits riens qui peuvent faire bacsuler des enfants dans la délinquance.... et même plus. Pour Jacques ce fut un chat. Un chat et être au mauvais endroit au mauvais moment. Un chat qui a lancé l'histoire. Et quelle histoire ! De ce fameux chat à la fin de l'album, la vie de Jacques est rempli à raz-bord. Pas une seconde de sa vie n'a été perdue. Mais comme dans toute vie vécue à 200 à l'heure, le moindre dérapage incontrolé peu finir en drame. Si la vie de Jacques est intense, l'album l'est tout autant avec un recit manié de main de maitre avec une voix off nous racontant l'enfance de Jacques et nous amenant jusqu'à un dénouement... marquant. Le reproche que l'on pourrait faire à cette histoire est l'aspect reportage de la présentation. Poussé par la voix off, on se croirait en train de regarder un documentaire. Et un documentaire n'est jamais très immersif. Le choix du one shot ne permet pas de vraiment s'attacher aux personnages et c'est un poil dommage car la voix off cherche elle à créer de l'empathie pour Jacques. En ajoutant qu'une fois la fin connue on aura du mal à relire cette histoire.... on se retrouve avec un bon one shot sur une bonne histoire sur le parcours initiatique d'un mafieux. Mais une histoire à qui il manque quelque chose pour passer ce statut de bonne histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-mon-village-on-mangeait-des-chats?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Black Squaw t1

    Nouvelle série des auteurs de Dent d'ours avec encore une histoire d'époque et encore une histoire d'aviation de nos auteurs. Mais pas juste une histoire d'aviation. L'aviation est ici vraiment en tache de fond avec comme véritable centre d’intérêt le KKK et l'endroit où vie notre Black Squaw : Le sud des états unis. En effet le résumé vente beaucoup l'aspect prohibition/Capone là ou au final ce n'est qu'une introduction au personnage. Et ça ma un poil déçu. J'avoue que l'aspect prohibition est ce qui m'avait attiré. Alors la partie KKK est sympa mais un peu moins original. Le fait de passer de Capone à la problématique de racisme du Sud plus la présentation de notre Squaw fait de ce Black Squaw t1 un pur tome d'introduction. Une introduction qui promet de belle chose mais une introduction quand même 🙂
  21. poseidon2

    Black Squaw t1

    Titre de l'album : Black Squaw t1 Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Alain Henriet Editeur de l'album : Dupuis Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Etats-Unis des années 20, au coeur de la Prohibition : Bessie Coleman, jeune métisse aux origines Cherokee et afro-américaines, se rêve aviatrice depuis l'enfance. Mais les écoles de pilotage sont un luxe inaccessible lorsque l'on naît femme, pauvre et noire dans l'Amérique de la ségrégation raciale et du Ku Klux Klan... Farouchement déterminée, Bessie rejoint le monde du crime organisé, des distilleries clandestines et des importations illégales : puisque l'époque est propice à tous les trafics, c'est au sein de la pègre et recrutée par Al Capone en personne qu'elle exercera ses talents. "Le balafré" cherche un aviateur n'ayant pas froid aux yeux pour assurer la liaison avec les îles Saint-Pierre et Miquelon, territoire français situé au large du Canada et devenu une véritable plaque tournante de la contrebande d'alcool. Une mission de plus en plus dangereuse au regard des conditions de vol suicidaires et des risques de se faire mitrailler par les gardes-côtes, ou lyncher par les sinistres encagoulés du KKK... A travers les exploits de cette héroïne confrontée à un univers violent et corrompu, et les flashback dévoilant son enfance dans la réserve indienne de son père, les auteurs de "Dent D'ours" révèlent la destinée hors du commun de Bessie Coleman, première aviatrice noire de l'Histoire. Sa volonté acharnée de surmonter les pires obstacles feront d'elle un modèle universel d'émancipation et de lutte contre la discrimination raciale. Critique : Nouvelle série des auteurs de Dent d'ours avec encore une histoire d'époque et encore une histoire d'aviation de nos auteurs. Mais pas juste une histoire d'aviation. L'aviation est ici vraiment en tache de fond avec comme véritable centre d’intérêt le KKK et l'endroit où vie notre Black Squaw : Le sud des états unis. En effet le résumé vente beaucoup l'aspect prohibition/Capone là ou au final ce n'est qu'une introduction au personnage. Et ça ma un poil déçu. J'avoue que l'aspect prohibition est ce qui m'avait attiré. Alors la partie KKK est sympa mais un peu moins original. Le fait de passer de Capone à la problématique de racisme du Sud plus la présentation de notre Squaw fait de ce Black Squaw t1 un pur tome d'introduction. Une introduction qui promet de belle chose mais une introduction quand même 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-squaw-tome-1-nighthawk?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Scénario : Younn Locard Dessin : Florent Grouazel Editeur : actes sud Note : 5/5 L'acheter sur bdfugue Résumé: "Premier volume de "Révolution", une trilogie sur la Révolution française, "Liberté" ressuscite 1789 en se promenant dans tous les étages de la société. Une fresque grandiose, brassant de multiples personnages et qui totalisera près de 1000 pages. Un livre-événement, par les auteurs d'"Eloi". " Le fauve d'or à Angoulême décerné à ce splendide ouvrage . Actes Sud a soigné cette sortie , l'objet est beau , bien relié , un bijou ! Les auteurs souhaitent nous faire vivre la Révolution à travers le prisme de plusieurs personnages , issus des différentes classes sociales .Et il est bien là le coup de force , car d'emblée on est immergé par les lieux dans lesquels évoluent ces protagonistes d'horizons divers . Le trait précis à 4 mains nous plonge dans les rues pavées de Paris , au coeur même de l'insurrection naissante . La rumeur gronde , la fumée des incendies à la Bastille envahit les cases et l'on sent que plus rien ne sera comme avant . Oubliez Marat , Danton , Louis XVI et Marie-Antoinette ; et transpirez avec ces inconnus et leurs propres soucis personnels . Car se révolter c'est louable , mais il faut se loger , se nourrir , en bref , continuer de vivre . D'une mendiante borgne , à un journaliste arriviste et plutôt royaliste , un épicurien et son frère que tout oppose , une galerie de personnages s'élevant grâce à cette Révolution naissante se croisent . On rêverait presque de rencontrer Charlotte Corday dans le tome 2 . Danton a dit au bourreau avant de mourir exécuté : « Tu montreras ma tête au peuple, elle en vaut la peine. » Et bien , ce livre en vaut la peine et a sa place dans toute bédéthèque qui se respecte . Par Nivek
  23. Ça faisait longtemps que j'attendais ça : Un scénario de Serge le tendre sans aucune influence de la quête de l'oiseau du temps. Un scénario bien encré dans le XXI ieme siècle. Et c'est chose faite et bien faite avec ce Terence Trolley. Le Tendre nous livre ici une version relooké de notre ami Travis. Oui oui rien que cela. Un Héros au lourd passé menant des aventures à tombeau ouvert et ayant un charme certains sur ces dames, et ce dans une atmosphère de SF politico financière. Au final rien de super original mais... un scénario efficace, qui happe le lecteur et ne le laisse ressortir qu'au profit d'une attente du tome 2. Rien que je n'avais ressenti depuis un moment avec monsieur le Tendre. Il faut dire qu'il est superbement aidé par Patrick Boutin-Gagné, ses dessins aux lignes franches et dynamiques, et a sa coloration qui réveillerait un mort. Un ensemble qui colle parfaitement au scénario tres punchy de monsieur Le Tendre. Un vrai bon moment de détente qui prouve qu'il n'y a pas d'age pour se réinventer. Bien joué monsieur Le Tendre.
  24. Titre de l'album : Terence Trolley T1 : la fenetre sur le cerveau Scenariste de l'album : Serge Le Tendre Dessinateur de l'album : Patrick Boutin-Gagné Editeur de l'album : Drakoo Note de l'album : 4 Résumé de l'album : La Panaklay, une multinationale, avait financé il y a une douzaine d’années, un laboratoire de recherches afin d’explorer les perceptions extrasensorielles de très jeunes enfants avant que leur fontanelle, la « fenêtre sur le cerveau », ne se referme. Norton, l’un des responsables du projet, révolté par l’exploitation de ces petits cobayes, avait saboté le laboratoire avant de s’enfuir avec deux des enfants les plus prometteurs. Dix ans plus tard, la Panaklay vient de retrouver la trace de Norton. Celui-ci fait appel à son neveu, Terence Trolley, pour qu’il veille sur ses protégés. Tous ignorent que les étranges pouvoirs des enfants sont en train de se réveiller et qu’ils vont tout faire basculer. Ce sera un voyage sans retour au bout de la peur. Critique : Ça faisait longtemps que j'attendais ça : Un scénario de Serge le tendre sans aucune influence de la quête de l'oiseau du temps. Un scénario bien encré dans le XXI ieme siècle. Et c'est chose faite et bien faite avec ce Terence Trolley. Le Tendre nous livre ici une version relooké de notre ami Travis. Oui oui rien que cela. Un Héros au lourd passé menant des aventures à tombeau ouvert et ayant un charme certains sur ces dames, et ce dans une atmosphère de SF politico financière. Au final rien de super original mais... un scénario efficace, qui happe le lecteur et ne le laisse ressortir qu'au profit d'une attente du tome 2. Rien que je n'avais ressenti depuis un moment avec monsieur le Tendre. Il faut dire qu'il est superbement aidé par Patrick Boutin-Gagné, ses dessins aux lignes franches et dynamiques, et a sa coloration qui réveillerait un mort. Un ensemble qui colle parfaitement au scénario tres punchy de monsieur Le Tendre. Un vrai bon moment de détente qui prouve qu'il n'y a pas d'age pour se réinventer. Bien joué monsieur Le Tendre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terence-trolley-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Les profs - l'album des 20 ans

    Ouiiiii ouiiii vous ne rêvez pas. J'ai bien mis 4.5 à un album des "Profs"... moi aussi ca m'étonne. Mais c'est vrai. Cette album le mérite. Alors non je vous rassure quand meme.... ce ne sont pas les blagues qui méritent un 4.5. (Desolé messieurs les auteurs, je dois maintenir un standing 😄😄 😄 😄 ) Blague à part les blagues sont ce qu'elles sont. Non ce qui mérite votre attention c'est la qualité de réalisation de cet album. Car outre les 20 pages d'histoires illustrées par 20 auteurs de la maison Bamboo, cet album retrace rien de moins que l'histoire de la transformation de bamboo. En effet cette série a transformé un petit editeur en un acteur majeure de la BD francaise. Et cet album montre bien que, n'en deplaise à la société bien pensante de la BD européenne, le commun des lecteurs à vraiment envie de s'amuser et de se detendre. Au travers d'une fresque historique, cet album retrace la progression de la série jusqu'à la consécration : le film. Entre l'histoire de la maison d'édition, celle de la série et des descriptions d'auteurs, cette édition anniversaire à tout d'une édition collector. Une édition qui récompense le pari osé d'un jeune gerant de maison d'édition.
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