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  • Le convoyeur tome 1 - Nymphe


    alx23
    • Scenariste: Tristan Roulot Dessinateur: Dimitri Armand Editeur: Le Lombard Note :
      Résumé:

      Un virus s'est répandu sur la terre. La "Rouille" s'est attaquée au fer, détruisant peu à peu les infrastructures, les véhicules, les outils,… Notre civilisation est revenue à l'âge de la pierre. Dans ce monde brutal, le légendaire Convoyeur incarne le seul espoir pour beaucoup de gens. Il accepte de remplir toutes les missions qu'on lui confie, quels qu'en soient les risques. En échange de quoi, les commanditaires doivent simplement manger un oeuf étrange…

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Action Prix: -- Nb de pages: --
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    Le convoyeur débute une nouvelle trilogie post-apocalyptique dans une ambiance western où l'homme a muté. En effet, dans l'histoire de Tristan Roulot, le fer est devenu aussi friable que du papier, transformant le monde que l'on connait, en rendant obsolète la plupart des structures. Cependant, l'impact le plus important provient du fer présent dans le sang de l'homme qui provoque des mutations. Dans ce monde, on suit le convoyeur un personnage mythique qui accepte toutes les commandes sans regarder le danger. Le récit est prenant et captive dès l’introduction avec ce retournement de situation assez bien amené pour présenter le convoyeur.

    Après les excellents westerns Sykes ou Texas Jacket, on retrouve Dimitri Armand dans un nouveau genre avec ce récit fantastique. L'auteur gère à merveille les décors en décomposition ainsi que les pouvoirs développés par l'ensemble de la population. Une version en noir et blanc dans un format plus grand était déjà disponible en librairie depuis quelques temps pour profiter du travail de Dimitri Armand. 

    Je recommande fortement la lecture de ce premier tome qui débute très fort.

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés



    Il y a 5 heures, alx23 a dit :

    le fer est devenu aussi friable que du papier, transformant le monde que l'on connait, en rendant obsolète la plupart des structures. Cependant, l'impact le plus important provient du fer présent dans le sang de l'homme qui provoque des mutations

    Intéressante cette idée, originale et cohérente, qui permet de donner a priori des choses intéressantes autant sur le plan graphique que scénaristique.
     

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    il y a 12 minutes, VladNirky a dit :

    Post apocalyptique... western ....

    Jérémiah.

    C'est ce que je m'étais tout de suite dit aussi mais il faut parfois se méfier des comparaisons hâtives.

    Un détail que je trouve quand même amusant pour la couv, c'est les yeux rouges qu'arborent à la fois le type et son cheval.
    A mon avis, ce que le type a bu la veille au "saloon" se trouvait aussi dans l'abreuvoir de son cheval.
    Bon, ok... je connais la sortie.
     

    Modifié par Phileas
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    Je te fais un copier coller :

    Dimitri Armand fait partie de cette jeune génération nourrie d'influences multiculturelles, allant des mangas diffusés sur Club Dorothée aux comics que son grand frère lui mettait entre les mains, sans oublier le franco-belge, qu'il découvre à travers les Lanfeust et autres Travis. Il entend devenir animateur, mais quelques années d'études lui permettront de réaliser que son dessin stylisé s'épanouira bien mieux dans la bande dessinée, constatation renforcée par sa découverte du travail d'Enrico Marini, dont il demeure un grand admirateur. Il réalise quelques illustrations de ci, de là, puis fait la connaissance de Thomas Cheilan, qui partage son goût pour les univers fantastiques. Et lui permet de donner corps au monde mystico-technologique de Salamandre, alors qu'il a à peine terminé ses études. C'est d'ailleurs lors de son examen final qu'il rencontre Jean-Charles Gaudin, membre du jury tellement impressionné par ses capacités qu'il lui écrit Angor, une série d'heroic fantasy plus classique. Après la reprise aux éditions du Lombard de Bob Morane, puis Sykes et Texas Jack, deux one-shot scénarisés par Pierre Dubois dans la collection Signé, il entame une nouvelle collaboration avec Tristan Roulot sur la série du Convoyeur.

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    OK. Sykes et Texas Jack, il me semble en avoir entendu vaguement parler, ici-même peut-être bien 🤔 😉

    il y a 6 minutes, Kevin Nivek a dit :

    Je te fais un copier coller

    Je suis déçu, moi qui pensais que tu avais tout taper 🙂

    • Haha 1
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    Le dessinateur Dimitri Armand c’est du très très bon pour moi

     

     

    bon moi je l’ai dévoré ce soir. Rien à dire c’est très bon. La narration est bien tordue et faut s’accrocher un peu mais dans le bon sens du terme. 
    3 tomes ce sera peut être un peu court mais ça me semble bien de pas partir sur une série trop à rallonge.

    l’univers est super original et ça c’est chouette. C’est donc un premier tome enthousiasmant pour moi également.

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    Il y a 2 heures, The_PoP a dit :

    3 tomes ce sera peut être un peu court

    Voir. Le format triptyque, ça donne souvent de bonnes choses (on en avait déjà parlé) : Horacio d'Alba, Le codex Angélique, Je suis Légion, La Guerre Eternelle, etc... Sauf La Quête, Le Troisièment Testament et La Licorne qui, avec leur quadryptique, viennent fiche en l'air ma belle théorie 🤨
    (...)
    Et puis aussi les diptyques comme Fog, Là où le regard ne porte pas, Skarbek, Lune d'Argent sur Providence, Le Sursis, Dernier Exil, etc...
    (...)
    Et puis aussi les...euh... sextiptiques comme Garulfo et UW1 et...
    (...)

    Bon, ok, ça ne tient pas, ma théorie 🥺

    Bah... qu'importe le format pourvu qu'on ait l'ivresse 😊

     

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    Lu aussi , et c'est vrai que ça sent bon . Je reconnais que 3 tomes seront un peu justes pour clôturer , mais il y a de quoi faire effectivement avec cet univers .

    Spoiler

    Ces oeufs lui permettent de prendre le pouvoir des autres c'est bien ça ? Visiblement il peut emmagasiner une tonne de pouvoir !

    Pas mal d'interrogations en suspens ....

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    Il y a 1 heure, alx23 a dit :

    Je trouve aussi qu'ils sont trop confiant. 

    ILs n'ont surtout pas le choix et se disent que c'est surement pas pire vu que personne ne sait ce que ca implique..... la fin de ce tome est excellente pour ca !

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  • Dernières Critiques

    • Les origines du sacré
      Note :
      Attention, les origines du sacré a beau être édité par Dargaud, ce n'est PAS une bande dessinée mais bien un livre illustré.

      Ceci dit, ce livre est particulièrement intéressant. Il nous retrace, depuis les premiers humains et leurs peintures rupestres, l'influence qu'a pu avoir la nature sur les hommes, que ce soit d'un point de vue mystique ou physique.

      Si une partie du livre est de l'ordre de la culture générale, l'ensemble nous apprend quand même énormément sur le rôle donné par les hommes à la nature et par là même à ce qu'ils ne comprenaient pas.

      Les illustrations sont très belles et jalonnent le livre tout au long des paragraphes, aidant bien le lecteur à conceptualiser sa lecture. 
      • 0 réponse
    • American Parano tome 1 - Black House
      Note :
      Nouveau diptyque de Dupuis dans un genre qui tranche un peu avec les parutions régulières de l'éditeur. Pour tout dire, on dirait un Grand Angle. Par là j'entends que cet album est très "cinématographique" et très adulte. Loin des séries jeunesses de Dupuis ou des romans graphiques de Air Libre.

      On y suit une enquête policière en hommage au film noir des années 60 rondement menée et agréablement prenante. Que se soit le mystère sur l’enquête dans une ambiance délétère ou le passé du père de notre policière, le tout savamment recouvert de l'ambiance matcho corrompu des années 60, tout les voyants sont au vert pour faire une superbe histoire.

      Le trait de Lucas Varela  participe à la qualité de l'album. Faussement enfantin, il nous induit en erreur sur le sérieux et la dureté de l'enquête qui attend notre héroïne, et c'est tant mieux pour le lecteur qui se fait d'autant plus surprendre.

      Un bon premier tome pour un diptyque qui ne devrait pas l'être moins.

       
      • 0 réponse
    • Hellboy & B.P.R.D. tome 8 - La nuit du cyclope
      Note :
      Pour ce nouvel album d'Hellboy, Mike Mignola s'entoure une fois de plus de dessinateurs et scénaristes talentueux pour faire vivre des aventures improbables à sa créature. Le plus surprenant dans cet album est la participation d'Olivier Vatine à l'univers d'Hellboy. Vatine fait des merveilles comme d'habitude et c'est un réel plaisir de voir son style sur Hellboy. Mignola et Vatine envoient Hellboy dans la Grèce antique pour venir en aide à un peuple maudit. Pour la deuxième histoire, Mignola collabore de nouveau avec Christopher Golden le scénariste de Lord Baltimore. Le récit prend place dans une maison hantée avec un héritage en jeu où Hellboy vient en renfort en cas de besoin face aux fantômes. Shawn McManus dessine avec maitrise ce récit. Pour la troisième histoire, Mike Mignola fait appel à Gabriel Walta pour mettre en image une suite directe à l’histoire du tome 12 de la série principale. Walta livre des planches soignées. Ensuite pour terminer, Mignola scénarise deux petits récits courts dessinés par Mark Laszlo se déroulant sur deux époques dans les rues de Budapest. Le tome se termine sur de nombreux bonus, recherches graphiques et esquisses des dessinateurs.
      Ce huitième tome est une très bonne occasion de lire cette série comme les récits sont complets avec en plus la participation de dessinateurs de renommés. A noter qu'il existe une version librairie Pulp's mais j'ai préféré la couverture de la version classique.
      • 0 réponse

    • Breakdown tome 1
      Note :
      Breakdown est un manga "ancien" (1996) ressortit par Vega. Ce manga est terminé en 5 tomes et ne raconte rien de moins que la fin du monde ! Mais attention, pour une fois, elle n'est pas nucléaire et pas "vraiment" la faute des humains. 

      Si les dessins sont vraiment old school et pourront bloquer certains lecteurs, le scenario est, quant à lui, super intéressant. En effet, les réactions des gens à cette catastrophe sont, a contrario des mangas actuels, très réalistes avec énormément de réaction égoïste et des obligations de choix plus dure les uns que les autres pour sauver ce qu'il reste à sauver.

      C'est dure par moment, mais tellement réaliste que l'histoire en devient saisissante... si on réussit à passer outre les dessins bien sûr 😉
      • 0 réponse
    • Notre été éphémère tome 3 & 4
      Note :
      On va être très honnête : Ces deux tomes avaient pour eux la lourde charge de statuer sur le devenir de la série à la maison…En effet, j'ai trouvé les deux premiers un peu trop convenus et faciles...

      Et bien cette suite a réussi sa mission : on continue ! Ce revirement est dû à un changement dans notre histoire avec une orientation du récit non pus sur les sentiments de notre héroïne, mais bien sûr la maladie de Kaori et, surtout, le difficile rapport d'une ado à la possibilité de la fin de vie.

      J'ai trouvé que ce traitement était très juste et très émouvant. Shizuku est dépassée, mais l'est d'une façon qui semble réellement naturelle.

      C'est très émouvant et bien plus prenant que les deux premiers tomes ne pouvaient le laisser penser.
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