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  1. poseidon2

    Au bonheur des dames

    Ahhhh celui la je l'ai lu 🙂 quand j'étais au collège... ou est-ce au lycée ? Bref vous l'aurez compris je ne m'en souvenais pas vraiment mise à part le thème. Et bien autant vous dire que j'ai été happé dans ce paris du XIXieme largement plus maintenant que par le passé. Bon ok entre temps j'ai "muri" (je met des guillemets au cas ou madame me lise) et je suis plus à meme de comprendre les problematiques de Denise et l'impact de la creation du "Bonheur des Dames" par Octave sur la vie parisienne. C'est quand meme fou de voir à quel point le marketing et les grands magasins n'ont pas changé depuis cette époque. La tirade d'Octave sur les articles en soldes et la vente à perte est vraiment d'actualité. La mise en image d'un mythe comme celui ci est souvent compliqué mais Agnès Maupré y arrive très bien avec des personnages attachants et un style qui nous projette efficacement dans le XIXieme siecle. Une vraie bonne adaptation pour une histoire qui n'a pas perdue de son interet !
  2. Titre de l'album : Au bonheur des dames Scenariste de l'album : Agnès Maupré d'apres Emile Zola Dessinateur de l'album : Agnès Maupré Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4.5 Résumé de l'album : Venue de sa lointaine Normandie, Denise arrive à Paris avec ses deux frères sans un sou en poche... D’abord aidée par l’oncle Baudu, un commerçant méfiant, elle va franchir la porte du Bonheur des Dames, un immense magasin de nouveautés qui fait se déplacer tout ce que Paris compte d’élégantes… Engagée comme vendeuse, Denise découvre autour d’elle les rivalités avec les autres vendeuses, devenant vite la victime d’un système aliénant où il faut sans cesse se battre pour vendre et où les amitiés sont rares. Mais la jeune femme va faire la connaissance d’Octave Mouret, le directeur du Bonheur des Dames, un homme de conquête qui ne songe qu’à l’expansion de son magasin, à défaut de trouver l’amour. À moins que la rencontre avec Denise ne vienne bouleverser ses croyances ? Critique : Ahhhh celui la je l'ai lu 🙂 quand j'étais au collège... ou est-ce au lycée ? Bref vous l'aurez compris je ne m'en souvenais pas vraiment mise à part le thème. Et bien autant vous dire que j'ai été happé dans ce paris du XIXieme largement plus maintenant que par le passé. Bon ok entre temps j'ai "muri" (je met des guillemets au cas ou madame me lise) et je suis plus à meme de comprendre les problematiques de Denise et l'impact de la creation du "Bonheur des Dames" par Octave sur la vie parisienne. C'est quand meme fou de voir à quel point le marketing et les grands magasins n'ont pas changé depuis cette époque. La tirade d'Octave sur les articles en soldes et la vente à perte est vraiment d'actualité. La mise en image d'un mythe comme celui ci est souvent compliqué mais Agnès Maupré y arrive très bien avec des personnages attachants et un style qui nous projette efficacement dans le XIXieme siecle. Une vraie bonne adaptation pour une histoire qui n'a pas perdue de son interet ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-bonheur-des-dames?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Une nuit a rome t4

    A lala.... quand le coeur et la raison se battent il est difficile de donner raison à l'un ou à l'autre. Et c'est exactement mon dilemme à l'aube de cette critique. En effet je sais... je sais que la fin que Jim nous livre est la plus logique. La plus juste au regard du jeu qu'il nous a presenté sur 4 tomes. Mais pas celle que j'aurais souhaité. Pas celle que mon coeur souhaite.... Parce que tout dans ce tome 4 respire une autre fin. Ce tome 4 qui marque la fin de 50 ans de cache cache et de poursuite. Un tome qui montre qu'il n'y a pas d'age pour s'assagir et qu'une bonne décision n'arrive jamais trop tard. Une bonne décision donne l'occcasion d'en profiter et si elle vient tard il suffit juste d'en profiter plus. En grand connaisseur des sentiments humains, Jim retranscris bien ce que j'ai pu voir au travers de mes parents (j'ai encore 10 ans de marge ouf !). Cette cinquantaine qui fait réfléchir à la phrase : "il sera bientot trop tard pour...." phrase que l'on ne se pose pas quand on est jeune et insouciant. Mais phrase lourde d'impact quand le bilan effectué derrière n'est pas celui qu'on aurait voulut. Il nous montre bien que malgré les fiestas et les conneries du vieux qui veux rester jeune, Raphael n'aspire qu'à une vie calme. L'instant ou il se dit qu'il serait mieux tout seul avec ses deux fillles est magique..... Reste la fin... qui tranche par sa logique implacable. Trop implacable au regard des trois precedents tomes guidés par les sentiments plus que par la raison. Je vous laisserais juge. On peut quand meme feliciter Jim pour cette fin de série et son analyse fine du temps qui passe et de son imapct sur les gens.
  4. Titre de l'album : Une nuit a rome t4 Scenariste de l'album : Jim Dessinateur de l'album : Jim Editeur de l'album : Grand Angle Note de l'album : 4 Résumé de l'album : « Tu crois qu'à 50 ans on vivra encore des choses fortes ? ». Dix ans ont passé depuis la première nuit à Rome et cette promesse que Marie et Raphaël s'étaient faite de passer la nuit de leurs quarante ans tous les deux... Puis les amants sont retournés à leur existence d'avant. Quand Marie reçoit une invitation pour aller fêter les cinquante ans de Raphaël à Rome, elle ne sait pas encore si elle va accepter. L'invitation de Raphaël restera-t-elle lettre morte ? Et puis, après tant d'années, n'y a-t-il pas tout à perdre à essayer de revivre cette nuit exceptionnelle ? Critique : A lala.... quand le coeur et la raison se battent il est difficile de donner raison à l'un ou à l'autre. Et c'est exactement mon dilemme à l'aube de cette critique. En effet je sais... je sais que la fin que Jim nous livre est la plus logique. La plus juste au regard du jeu qu'il nous a presenté sur 4 tomes. Mais pas celle que j'aurais souhaité. Pas celle que mon coeur souhaite.... Parce que tout dans ce tome 4 respire une autre fin. Ce tome 4 qui marque la fin de 50 ans de cache cache et de poursuite. Un tome qui montre qu'il n'y a pas d'age pour s'assagir et qu'une bonne décision n'arrive jamais trop tard. Une bonne décision donne l'occcasion d'en profiter et si elle vient tard il suffit juste d'en profiter plus. En grand connaisseur des sentiments humains, Jim retranscris bien ce que j'ai pu voir au travers de mes parents (j'ai encore 10 ans de marge ouf !). Cette cinquantaine qui fait réfléchir à la phrase : "il sera bientot trop tard pour...." phrase que l'on ne se pose pas quand on est jeune et insouciant. Mais phrase lourde d'impact quand le bilan effectué derrière n'est pas celui qu'on aurait voulut. Il nous montre bien que malgré les fiestas et les conneries du vieux qui veux rester jeune, Raphael n'aspire qu'à une vie calme. L'instant ou il se dit qu'il serait mieux tout seul avec ses deux fillles est magique..... Reste la fin... qui tranche par sa logique implacable. Trop implacable au regard des trois precedents tomes guidés par les sentiments plus que par la raison. Je vous laisserais juge. On peut quand meme feliciter Jim pour cette fin de série et son analyse fine du temps qui passe et de son imapct sur les gens. Autres infos : On ne pouvait pas le laisser tranquille ? Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-nuit-a-rome-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Knock out !

    Ce que j'aime bien dans la BD, c'est qu'elle me permet de découvrir de nouvelles et belles histoires. Et celle d'Emile Griffith en est une. Belle et difficile comme souvent. Belle car Emile Griffith est un homme simple et vrai. Un homme qui a du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas vivre comme on le veux et qui est suffisamment innocent pour prendre la vie comme elle vient. Dur car être boxeur et homosexuel ce n'est déjà pas facile à notre époque mais alors après la seconde guerre mondial c'était pire. Mais ce qui fait le vrai intérêt de cette lecture et de cette histoire c'est que notre auteur nous montre un boxeur dont la vie bascule sur un ring. Plutôt que de appesantir sur l'aspect "homophobie" ou noir du sujet, il préféré se concentrer sur le vrai problème du boxeur qui est l'accident de ring ! On parle des autres sujets mais on traite vraiment Emilie Griffith comme un boxeur comme un autre. On a donc une vraie lecture d'une belle vie de boxe. Une vie compliquée.... mais une belle vie bien remplie.
  6. poseidon2

    Knock out !

    Titre de l'album : Knock out ! Scenariste de l'album : Kleist Dessinateur de l'album : Kleist Editeur de l'album : Casterman Note de l'album : 4 Résumé de l'album : Quand la haine engendre la mort, quelle place pour le pardon ? Une ville, la nuit. Un homme est passé à tabac dans une ruelle par un groupe hurlant des insultes homophobes. Abandonné en sang dans le caniveau, il est abordé par une mystérieuse silhouette encapuchonnée, qui recueille sa confession. Né en 1938 dans une île des Caraïbes, Emile Griffith émigre aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, où, devenu modiste, il confectionne des chapeaux pour femme. Jusqu’au jour où son patron repère son impressionnante musculature, due à une jeunesse passée à trimer dans des exploitations agricoles, et le présente à un entraîneur de boxe. Doué, Emile va rapidement grimper les échelons, mais avec le succès viennent la jalousie et les injures contre ce boxeur qui préfère les hommes... Le tragique destin du premier champion du monde de boxe homosexuel. Critique : Ce que j'aime bien dans la BD, c'est qu'elle me permet de découvrir de nouvelles et belles histoires. Et celle d'Emile Griffith en est une. Belle et difficile comme souvent. Belle car Emile Griffith est un homme simple et vrai. Un homme qui a du mal à comprendre pourquoi on ne pourrait pas vivre comme on le veux et qui est suffisamment innocent pour prendre la vie comme elle vient. Dur car être boxeur et homosexuel ce n'est déjà pas facile à notre époque mais alors après la seconde guerre mondial c'était pire. Mais ce qui fait le vrai intérêt de cette lecture et de cette histoire c'est que notre auteur nous montre un boxeur dont la vie bascule sur un ring. Plutôt que de appesantir sur l'aspect "homophobie" ou noir du sujet, il préféré se concentrer sur le vrai problème du boxeur qui est l'accident de ring ! On parle des autres sujets mais on traite vraiment Emilie Griffith comme un boxeur comme un autre. On a donc une vraie lecture d'une belle vie de boxe. Une vie compliquée.... mais une belle vie bien remplie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/knock-out-179908?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    Hispaniola

    L'auteur Vianello nous propose de suivre les aventures d'un déserteur de la légion étrangère en 1938. Le héros est un séducteur qui s'attire rapidement des problèmes et enchaîne les mauvaises situations. Ce déserteur va participer au conflit de la guerre civile espagnole contre son gré. On reconnaît l'inspiration de Hugo Pratt avec cet auteur qui était son assistant à l'époque. Le personnage principal subit toutes les mésaventures sans réellement être impactés par les événements. De plus, il est souvent sollicité par la gente féminine. Les dessins sont en noir et blanc dans un style semi-réaliste assez maîtrisé. La partie graphique est l'intérêt principale de cette histoire assez légère. Avec Hispaniola, les lecteurs auront l'impression de découvrir un héros sur une courte période de sa vie sans véritable début ni fin.
  8. alx23

    Hispaniola

    Titre de l'album : Hispaniola Scenariste de l'album : Vianello Dessinateur de l'album : Vianello Editeur de l'album : Mosquito Note de l'album : 2.5 Résumé de l'album : Espagne 1938. Un déserteur, officier de la Légion étrangère, tente de sortir du sanglant guêpier de la guerre civile espagnole. Le capitaine Lacombe se la coule douce à Alger, avec la femme de son colonel. Mais il se fait pincer et ça dégénère salement. Le voici obligé de quitter l'Algérie clandestinement pour Marseille. La traversée de la Méditerranée vire au cauchemar quand son bateau croise un navire italien à destination de l'Espagne pour ravitailler les troupes de Franco. Déserteur ou pas, le voici accusé d'espionnage et débarqué directement dans les geôles franquistes, dans l'attente d'un jugement expéditif. Heureusement pour lui, il n'y a pas que les troupes du Caudillo à avoir la gâchette facile. Un commando de républicains prend la prison d'assaut, et le voici embarqué dans la guerre civile. Les brigades internationales lui ouvrent leurs bras, au moment où les soviétiques commencent à éliminer les anarchistes et les non-staliniens... Critique : L'auteur Vianello nous propose de suivre les aventures d'un déserteur de la légion étrangère en 1938. Le héros est un séducteur qui s'attire rapidement des problèmes et enchaîne les mauvaises situations. Ce déserteur va participer au conflit de la guerre civile espagnole contre son gré. On reconnaît l'inspiration de Hugo Pratt avec cet auteur qui était son assistant à l'époque. Le personnage principal subit toutes les mésaventures sans réellement être impactés par les événements. De plus, il est souvent sollicité par la gente féminine. Les dessins sont en noir et blanc dans un style semi-réaliste assez maîtrisé. La partie graphique est l'intérêt principale de cette histoire assez légère. Avec Hispaniola, les lecteurs auront l'impression de découvrir un héros sur une courte période de sa vie sans véritable début ni fin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catalogsearch/result/?q=Vianello?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. alx23

    Köllwitz 1742

    Un nouvel album ou une réédition d'un titre de Sergio Toppi est toujours un événement à ne pas rater dans le monde de la bande dessinée. En dehors des séries culte comme Sharaz-De ou Le collectionneur, l'auteur a réalisé de nombreuses histoires courtes regroupées dans des albums par les éditions Mosquito. Dans cet album intitulé Köllwitz 1742, nous retrouvons quatre histoires de Toppi avec pour thème principal la guerre. L'auteur nous donne sa vision pour dénoncer la violence et la stupidité de la guerre et parfois aussi avec une touche fantastique. Les récits nous emmènent sur la campagne de Prusse, la guerre civile en Yougoslavie ou la guerre du Vietnam. En parallèle des scénarios intéressants même dans la méthode de les traiter, on découvre le talent de dessinateur et illustrateur de Toppi. En effet, on reste admiratif devant les planches de l'auteur qui alterne entre planche traditionnelle avec des cases et des planches où l'auteur mélange tous les personnages en une seule illustration. Cette technique est très représentative du style de Toppi que l'on retrouve dans toutes ses œuvres. Les quatre histoires sont en noir et blanc comme souvent dans les histoires de Toppi part quelques exceptions comme Sharaz-De. Köllwitz 1742 est une fois de plus un titre à ne pas rater pour tous les amateurs de Toppi mais aussi pour les nouveaux.
  10. alx23

    Köllwitz 1742

    Un nouvel album ou une réédition d'un titre de Sergio Toppi est toujours un événement à ne pas rater dans le monde de la bande dessinée. En dehors des séries culte comme Sharaz-De ou Le collectionneur, l'auteur a réalisé de nombreuses histoires courtes regroupées dans des albums par les éditions Mosquito. Dans cet album intitulé Köllwitz 1742, nous retrouvons quatre histoires de Toppi avec pour thème principal la guerre. L'auteur nous donne sa vision pour dénoncer la violence et la stupidité de la guerre et parfois aussi avec une touche fantastique. Les récits nous emmènent sur la campagne de Prusse, la guerre civile en Yougoslavie ou la guerre du Vietnam. En parallèle des scénarios intéressants même dans la méthode de les traiter, on découvre le talent de dessinateur et illustrateur de Toppi. En effet, on reste admiratif devant les planches de l'auteur qui alterne entre planche traditionnelle avec des cases et des planches où l'auteur mélange tous les personnages en une seule illustration. Cette technique est très représentative du style de Toppi que l'on retrouve dans toutes ses œuvres. Les quatre histoires sont en noir et blanc comme souvent dans les histoires de Toppi part quelques exceptions comme Sharaz-De. Köllwitz 1742 est une fois de plus un titre à ne pas rater pour tous les amateurs de Toppi mais aussi pour les nouveaux. (title): (value) Voir la totalité de enregistrement
  11. Deuxième tome des étoiles de l’histoire et après Charlie Chaplin, c’est une femme qui est mise à l’honneur avec rien de mon que mademoiselle Marilyn Monroe. Et franchement c’était une superbe idée. Superbe car on se rend bien compte en lisant cette biographie que l’on retient de Marilyn….. Uniquement ce qu’elle ne voulait pas que l’on retienne d’elle : L’exemple de la Pin-Up. Cette biographie nous montre qu’elle était vraiment plus que ça. Une femme pleine de rêve et d’envie. Une femme qui a cherchée toute sa « courte » vie être plus que ce que son corps renvoyait. Elle montre aussi que le star-système est dure pour les artistes. A toujours vouloir plus on laisse les gens qui comptent vraiment sur le côté. Christian Paty illustre superbement bien cet album. Sa Marilyn est très jolie et le choix de dessins tout en rondeur et en bonhommie tranche bien avec les moments difficiles de son histoire pour ne pas apitoyer le lecteur. Encore une belle réalisation qui présentera aux générations actuelle ce qu’était une icône du star-système… ce qui a disparu quoi J
  12. Deuxième tome des étoiles de l’histoire et après Charlie Chaplin, c’est une femme qui est mise à l’honneur avec rien de mon que mademoiselle Marilyn Monroe. Et franchement c’était une superbe idée. Superbe car on se rend bien compte en lisant cette biographie que l’on retient de Marilyn….. Uniquement ce qu’elle ne voulait pas que l’on retienne d’elle : L’exemple de la Pin-Up. Cette biographie nous montre qu’elle était vraiment plus que ça. Une femme pleine de rêve et d’envie. Une femme qui a cherchée toute sa « courte » vie être plus que ce que son corps renvoyait. Elle montre aussi que le star-système est dure pour les artistes. A toujours vouloir plus on laisse les gens qui comptent vraiment sur le côté. Christian Paty illustre superbement bien cet album. Sa Marilyn est très jolie et le choix de dessins tout en rondeur et en bonhommie tranche bien avec les moments difficiles de son histoire pour ne pas apitoyer le lecteur. Encore une belle réalisation qui présentera aux générations actuelle ce qu’était une icône du star-système… ce qui a disparu quoi J (title): (value) Voir la totalité de enregistrement
  13. Hauteville house Tome 16 : Mélancholia Scénario : Fred Duval Dessin : Thierry Gioux Couleur : Nuria Sayago Genre : Aventure / Fantastique Edition : Delcourt Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : Witwatersrand, sud de l’Afrique, 1867. Le directeur de la mine, son contremaître et un ingénieur parlent des travaux de terrassement qui avancent. Ils ont perdu quelques hommes mais le dirigeant, en bon colonialiste, ne s’en offusque pas le moins du monde. Un mineur vient alors les alerter. On a découvert au fond de la mine de curieuses runes dans les galeries les plus récentes. Un nouveau cycle démarre avec ce Mélancholia qui nous conduit en Afrique du Sud et plus précisément dans les mines du transvaal. La main d’œuvre africaine est surexploitée par des propriétaires européens peu scrupuleux du nombre de vie perdues pour trouver des richesses. Au même moment Londres, Eglantine se rend dans un hôpital psychiatrique pour rejoindre celui que l’on nomme le fantôme. Fred Duval poursuit les aventures des héros de Hauteville House avec des tomes consacrés à Gavroche et Zelda en Amérique du sud et d’autres à Eglantine, le fantôme de Paris et Georges en Europe. L’auteur installe toujours une ambiance lovecraftienne avec des allusions aux dieux anciens dont il ne faut pas prononcer les noms. L’action et aventure sont toujours au rendez-vous avec une partie fantastique et steampunk qui ont fait le succès de cette série. Au niveau dessin, Emem gère le storyboard et Thierry Gioux finalise les dessins. Le rendu final reste de qualité moyenne surtout au niveau des visages des personnages. Hauteville House continue l’aventure et les amateurs de la série ne devraient pas être déçu par ce nouveau cycle. Note : Alx23
  14. Série : La promesse de la tortue Scenario : Stephane Piatzszek Dessin : Tieko my 2 cents une bonne histoire de pirate Edition : Grand angle Acheter sur BDfugue Résumé :1642, le destin de trois filles de rien exilées de France vers l'île de la tortue pour devenir femmes de flibustiers. En 1642, deux ans après son héroïque reprise de l'île de la tortue aux Anglais, le gouverneur Levasseur fait venir des prisonnières françaises, voleuses et prostituées, pour servir d'épouses aux flibustiers et sédentariser la population. Parmi elles, Quitt, Apolline et Louise, trois femmes catapultées dans un monde violent et exclusivement masculin, vont conclure un pacte d'amitié pour s'entraider et survivre coûte que coûte. Mais dans cette période de fureur, leurs routes et leurs aspirations vont bientôt diverger, mettant leur amitié puis leur vie même en péril. La piraterie a de nouveau le vent en poupe ( ) dans le petit monde de la BD. Avant le très attendu Raven, voici venu une histoire prenant place sur la fameuse ile de la tortue. Une vraie grande histoire de pirate qui nous parle de promesse, de trésor et d'aventure. Une histoire de pirate que l'on suit par l’intermédiaire... de femme. Femmes qui, comme on l'avais sublimement vu dans Barracuda, doivent jouer de tous leurs atouts pour se faire une place dans ce monde de brut. Le fait d'avoir choisi trois femmes aux destins radicalement différent sur cette île de la tortue n'est pas sens rappeler l’illustre prédécesseur de Dufaux et Jeremy mais la comparaison s’arrête là. En effet cette BD est plus "légère" et le but des femmes plus simple : rentrer chez elles. Cette simplicité de scénario est à la fois le point fort et faible de cet album : Fort car accessible à tous via un thème que tout le monde connait et une ile de la tortue mythique pour tout fan de flibuste. Faible car on a pour l'instant un peu l'impression de déjà-vu/lu. EN fait, et j'espère me tromper, on voit d'ors et déjà se dessiner la fin.... En résumé, ce premier tome est une bonne histoire de pirate à laquelle il manque un grain de folie pour changer de catégorie. Ma Note:
  15. poseidon2

    Maidan love T2

    Bon sur celui ci on ne va pas y aller par 4 chemins : C'est super décevant. Le premier ne lancait deja pas très bien le diptyque en nous servant une histoire esclave des evenements avec un héros qui ne servait pas à grand chose. Et bien autant vous dire que la suite est du meme accabis. Le héros est toujours aussi passif et il n'ait pas aidé par une narration étrangement mal faite de la part d'Aurelien Ducoudray.C'est ce qui est le plus suprenant ici. Aurelien Ducoudray, qui nous a habitué a de très belle histoire dont le meilleur exemple est le camp poutine qui sort en parrallèle de celui ci, nous livre ici une suite de scènettes sans relles lien entre elles et sans jamais impliquer le lecteur. Tout comme le personnage principal, on se promene dans Kiev en regardant ce qu'il se passe, passant d'un endroit à un autre. Ce manque de liant est criant sur la fin avec la gestion complement ratée des "2 filles" . La fin en est d'ailleurs surrealiste....Je ne pensais pas dire cela d'un livre de Ducoudray mais ce tome deux (et le dityque) est sauvé par les dessins plus sympa de Alliel..... Ce diptyque resssemble à une commande qui ne plaisait pas au scenariste ou alors par un sujet trop compliqué pour etre traité en deux tomes seulement.
  16. Série : Teen Titan Scenario : Kami Garcia Dessin : Gabriel Picolo my 2 cents Scénario intéressant mais graphiquement insuffisant Edition : Urban Link Acheter sur BDfugue Résumé :Raven n’a beau avoir que dix-sept ans, la vie n’a pas manqué de lui infliger son lot d’épreuves douloureuses. La disparition de sa mère adoptive dans un tragique accident de voiture, et l’amnésie totale qui en découla, marquent le début d’une longue et difficile reconstruction personnelle. Recueillie par sa tante de cœur, la jeune femme débute l’écriture de cette nouvelle page blanche à la Nouvelle-Orléans, où d’étranges phénomènes visuels et auditifs commencent à se manifester, en rêve d’abord, puis au sein même de son lycée. Raven est-elle prête à affronter son passé et la noirceur qu’elle sent s’éveiller en elle ? Sa demi-sœur, Max, et le séduisant Tommy Torres seront-ils en mesure de lui apporter le soutien dont elle a besoin ? Une quête d’identité aux frontières du surnaturel Deuxième tome de la nouvelle collection Urban Link a être tombé entre mes mains.... et j'ai bien l'impression que celui ci n'a pas eu de chance. Pas eu de chance de passer après le catwoman. car autant vous le dire tout de suite, il a bien du mal à tenir la comparaison. Non pas à cause de l'histoire (et encore) mais surtout à cause du dessin. Graphiquement c'est le plus "amateur" du lot. Si le style de coloration à l'aquarelle choisi est plutôt intéressant car bien accordé au thème magique, le dessin est lui un peu trop faible à mon gout. Pas assez de details et globalement trop infantile pour allez avec l'aspect "roman graphique" pour adulte voulu par les éditions DC. C'est d'autant plus embêtant que le scénario est, sans être mauvais, lui aussi assez enfantin. Si le choix du personnage, trop peu mis en avant, de Raven est intéressant, le scénario reste trop à un niveau proche de celui de d'un Urban Kids pour vraiment intéresser un public adulte. Ce comics aurait surement eu autant sa place dans Urban Kids que dans Link Ma Note:
  17. Wilfried Lupano est un auteur reconnu. Vous le connaissez tous pour ses vieux fourneaux, son loup en Slip ou encore son Traquemage. Que des BD qui ont monté l'humour à la Lupano comme l'un des humours les plus cotés des ces 5 dernières années. Mais si on remonte un peu en arrière, on reussi à remonter à l'album qui a progeté monsieur Lupano sur le devant de la scène. Et cet album c'est bien pour moi le Singe de Hartepool. Nommé à Angloueme en 2013, ce fameux Singe a en effet montré aux yeux du grand public l'humour aussi fin que cynique de monsieur Lupano. Car dans le singe de Hartepool on retrouve tout ce qui lui a réussi plus tard : Des personnages aussi bêtes que crédibles et surtout des dialogues diaboliques qui reussissent à ne pas masquer la morale d'une bien triste histoire. Une histoire (tres probablement) vraie d'ailleurs. Car plus que dans ses albums suivants, le singe de Hartepool est une histoire drole mais au final bien triste pour ce singe qui n'avait rien demandé. Entre rire aux larmes et tristesse de la bêtise humaine, Lupano nous transporte, durant cette courte lecture, à une époque ou la bestise ne choquait personne. Une pépite d'humour, basée sur une legende réelle au point que les habitants de Hartpool soient surnommés les Monkey Hanger, qui faut definitivement avoir dans sa bibliothèque.
  18. Décidément le style Berthet s'adapte bien au polar. Apres l'art de Mourir et Motorcity, le voici revenu, sous la houlette de Fromental cette fois ci, sur un polar impliquant jolies filles et policier. Cette fois la donne change avec comme personnage principale un écrivain. Comme souvent avec les polars de Berthet et ses scénaristes, on a ici encore une ambiance années 60 très prenante et très lourde. Ce qui se démarque encore une fois ici, c'est que les traits de Berthet, calmes et lisses, permettent à Fromental de nous livrer un récit dur et violent sans que cela choque. A contrario des séries policières du moment, on a ici un scénario sombre mais qui ne cherche pas à plaire par des images racoleuses ou violentes. On se retrouve donc avec une intrigue qui prend le dessus et nous plonge dans un polar à l'ancienne qui ravira les lecteurs de plus de 30 ans et les fans de polar. Mais ne plaira pas forcement au fan de séries policières américaines.
  19. <div align='center'><b><img src="http://vbg.free.fr/images/travis%201.jpg" border="0" class="linked-image" /> <img src="http://vbg.free.fr/images/travis%202.jpg" border="0" class="linked-image" /> <img src="http://vbg.free.fr/images/travis%203.jpg" border="0" class="linked-image" /></b> </div> <div align='center'><b> <img src="http://vbg.free.fr/images/travis%204.jpg" border="0" class="linked-image" /> <img src="http://vbg.free.fr/images/travis%205.jpg" border="0" class="linked-image" /></b> </div> <b> </b> <b>Travis, Cycle 1 - Tome 1 à 5 </b> <b>Auteurs: Quet & Duval </b> <b>Editeur: Delcourt - Série B</b> <b>Résumé du tome 1</b> <i>Travis, le pilote d'une navette d'approvisionnement, est en route vers une station scientifique orbitale. Il est loin de se douter que des terroristes sont à bord ! A peine débarqués, ceux-ci investissent la station et réclament une forte rançon</i>. Et voila, je viens de terminer ces derniers jours la relecture des 5 premiers tomes de la série Travis, et je reste sur mon excellente impression du départ: C'est du bon. C'est du lourd, c'est de la SF d'action prospective. Je ne vais pas revenir en détail sur les points forts des séries du scénariste (rigueur, cohérence, logique, monde détaillé et univers légèrement futuriste, etc), je remets les liens des divers sujets plus bas. Mais ils sont bien tous présents dans ce premier cycle. A partir du 4ème on voit clairement un changement d'orientation scénaristique, les évènements s'emballent et les personnages évoluent largement, jusqu'à la révélation finale bien surprenante au vue du T1 et du T2 ( a tel point qu'on ne sais plus très bien qui fait quoi et dans quel but en refermant le tome 5, tant il pose de questions). <img src="http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/<#EMO_DIR#>/smile.gif" style="vertical-align:middle" emoid="" border="0" alt="smile.gif" /> Ce 1er cycle des aventures de Travis me semble un point au dessus le 1er cycle de Carmen (c'est comme ça, mais c'est logique, il bénéficie de l'expérience de l'auteur sur les autres séries, et donc le hasard n'y a quasiment plus sa place (à part un passage dans le tome 2 peut-être, dans la jungle au début). Il comporte aussi de franches séquences de poilades (mais discrètes, le ton est plus léger que dans Carmen en fait). La mutation du directeur du pénitencier par exemple par l'assistante de Fulci (2 personnages qu'on retrouvera dans le 3ème cycle de Carmen), et dans un certains nombres d'autres situations. L'humour de ces séquences doit beaucoup au dessin d'ailleurs, qui tout en restant sérieux tout au long des albums, sur ces quelques cases semblent se lâcher largement. <img src="style_emoticons/<#EMO_DIR#>/smile.gif" style="vertical-align:middle" emoid="" border="0" alt="smile.gif" /> Côté techniques rien à redire non plus si ce n'est des compliments, les scènes d'actions sont magnifiques et les scènes sous la tour Eifel seront logiquement accrochées en mémoire visuelle définitivement de tous les lecteurs connaissant cet endroit. <img src="style_emoticons/<#EMO_DIR#>/smile.gif" style="vertical-align:middle" emoid="" border="0" alt="smile.gif" /> Ma note: <img src="http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png" border="0" class="linked-image" /> Liens des discussions vers d'autres sujets en relation (il y en a d'autres vous pouvez tenter la fonction recherche pour les retrouver tous): <a href="http://www.1001bd.com/forums_BD/index.php?showtopic=2003" target="_blank">Travis</a> - <a href="http://www.1001bd.com/forums_BD/index.php?showtopic=2675&hl=travis" target="_blank">Carmen Mc Callum</a> - <a href="http://www.1001bd.com/forums_BD/index.php?showtopic=9729&hl=travis" target="_blank">Météors</a> - <a href="http://www.1001bd.com/forums_BD/index.php?showtopic=4529&hl=travis" target="_blank">Code Mc callum T2</a>, <a href="http://www.1001bd.com/forums_BD/index.php?showtopic=11376&hl=travis" target="_blank">T4</a> - <a href="http://www.1001bd.com/forums_BD/index.php?showtopic=6839&hl=travis" target="_blank">Karmatronic</a> -- RR, toujours enchanté de ses relectures intelligentes de SF pendant l'été
  20. Série : Les naufragés de la méduse Scenario : Bordas Dessin : Deveney my 2 cents Une excellente double histoire Edition : Casterman Acheter sur BDfugue Résumé :1816, les royalistes viennent de chasser du pouvoir les héritiers de la révolution et de l’Empire. Le commandement de La Méduse est confié à un noble qui n’a pas navigué depuis 25 ans. Incompétence, suffisance, indiscipline se conjuguent pour conduire le navire tout neuf à sa perte. Le 2 juillet, la frégate s’échoue sur un haut fond aux larges du Sénégal. Les canots étant en nombre insuffisants, 170 passagers prennent place sur un radeau de fortune abandonné à la dérive. Lorsqu’il est retrouvé deux semaines plus tard, il ne reste plus que 17 survivants ! La révélation dans la presse du naufrage et des horreurs commises sur le radeau va frapper l’opinion publique. Géricault s’empare du sujet et y voit l’occasion de faire exploser les carcans classiques de la peinture. Toutefois, la réalisation du tableau se révélera dantesque et manquera d’engloutir l’artiste corps et âme. Et voilà, premier coup de cœur de cette "rentrée" littéraire (car on ne va pas se le cacher, c'est un peu ça) : Les naufragés de la méduse Pour bien comprendre ce coup de cœur, il faut savoir qu'ayant une connaissance en art très limité (on ne peut pas tout faire ), je ne connaissais que de très loin la véritable histoire de la Méduse. J'ai donc eu, durant cette lecture, le choc de la première fois. Le choc d'un récit qui nous montre que la bêtise humaine et l'orgueil peuvent amener au sacrifice de 150 personnes. Mais cela ne suffit pas à faire de cette BD un coup de cœur. Ce qui en fait un coup de cœur c'est le petit plus amené par nos auteurs qui est de nous présenter, en parallèle du naufrage de la Méduse, le naufrage de la vie d'un Géricault tiraillé entre son cœur et sa raison. La présentation de la vie de Géricault est quasiment aussi intéressante que celle des naufragés de la méduse. Son enquête, ses relations avec sa famille et son implication à outrance dans son œuvre en font un personnage haut en couleur qui apporte à cette BD ce qu'il faut pour en faire une superbe lecture. On a donc deux belles histoires pour le prix d'une seule. Que demander de plus. Un dessin au niveau du scénario ? Et c'est bien sur chose faite avec de beaux dessins et surtout une superbe mise en couleur de la part de Jean-Baptiste Bordas. Ma Note:
  21. Série : Le zoo des animaux disparus Scenario : Cazenove Dessin : Bloz my 2 cents Instructif Edition : Bamboo Acheter sur BDfugue Résumé :Déborah est vétérinaire stagiaire dans un parc zoologique qui ne présente que des espèces d'animaux éteintes depuis des siècles, quelques décennies ou quelques mois. Mais il n'est pas sûr que ses études l'aient préparé à soigner un dodo, un éléphant de Sicile ou l'o'u, un oiseau tahitien. Un Zoo imaginaire avec plein d'espèce dont nos enfants n'ont jamais entendu parler. L'idée est bonne et bien faite. En effet on nous présente page par page des espèces disparues aussi bien connues qu'inconnues. L'aspect inconnu est bien pour les enfants car elle montre bien qu'il n'y a pas que les dodos qui ont disparus mais bien d'autres espèces de par le monde. Cette BD est bien faite aussi car traité avec légèreté pour bien plaire aux plus petits. La seule limite de ce genre d'album c'est la relecture. En effet c'est déjà un peu répétitif en fin de lecture donc de la a le relire. Bref ça fera un beau cadeau pour l'anniversaire d'un des copains de vos enfants Ma Note pour enfant:
  22. poseidon2

    Stop Work

    Série : Stop work Scenario : Jacky Schwartzmann Dessin : Morgan Navarro my 2 cents Sans deconner a mon taf c'est pareil ! Edition : Dargaud Acheter sur BDfugue Résumé :Acheteur et cadre "à l'ancienne", Fabrice adore son travail. Il attend impatiemment une promotion, qui, patatras, lui passe sous le nez. Aigri, il est de plus en plus insupporté par les nouvelles règles de conduite dans l'entreprise, dictées par l'EHS : Environnement, Hygiène et Sécurité, le service qui forme les employés à descendre des escaliers sans se casser le sacrum ou encore à manipuler des feuilles de papiers sans s'ouvrir les veines. Mais dans cette absurdité, Fabrice voit soudain une manière de se venger et de sabrer le fonctionnement de son entreprise... Alors là je suis bluffé. Bluffé car en refermant ce stop work j'étais persuadé que les auteurs avaient mi une caméra au quatrième étage de l'entreprise ou je bosse. L'étage des chefs.... Car sincèrement on a eu le droit à plus de 50% des remarques et décisions surréalistes qu'on voit ici : Du "se garer en marche arrière" (bon ok là je suis d'accord), aux normes de sécurité pour brancher un PC en passant par les échelles pas aux normes et bien sur le fameux.... presqu'accident ! Celui-là c'est mon favori !! Là où cette BD d'humour est une vraie réussite, c'est que plus que reprendre les slogans de l'ambiance "parano/parapluie" de ce XXI ieme siècle, elle est vraiment bien construite. L'évolution de notre personnage principale qui commence salaud de commercial aux dents longues pour finir... à non chut c'est une surprise Bref nos auteurs réussissent à nous faire détester le personnage principal mais surtout à nous comprendre son cheminement et à nous identifier à ce gros salaud de commercial. Un album qui est aussi marrant que navrant sur l'état de protectionnisme aiguë de notre société actuelle. Pile poil ce que j'aime ! Ma Note:
  23. [center][url="https://www.bdfugue.com/doggybags-tome-15-mad-in-america?ref=44"]<IMG SRC="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9791033509899_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Doggybags[/b] [b]Tome 15 :[/b] Mad in america [b]Scénario :[/b] Peter Klobcar & Run [b]Dessin :[/b] Peter Klobcar, Ludo Chesnot & Gasparutto [b]Couleur :[/b] Ludo Chesnot & Gasparutto [b]Genre :[/b] Suspense, Frissons & Horreur [b]Edition :[/b] Ankama [b]Date de parution :[/b] Dispo [url=https://www.bdfugue.com/doggybags-tome-15-mad-in-america?ref=44]L'acheter sur BDFugue[/url] [b]Résumé :[/b] [i]Conspi-racism Au Texas, un policier excédé par les fake news annoncées par un présentateur conspirationniste vedette décide de kidnapper ce dernier et de l’emmener sur les lieux d’un attentat qui vient de se produire, afin de lui faire ouvrir les yeux sur la réalité qu’il dissimule à ses auditeurs. Mais le plan ne se déroule pas comme prévu… Manhunt Sydney, la vingtaine, se retrouve traqué et lynché par une famille de fachos du sud des États-Unis du fait de sa couleur de peau et des sentiments qu’il éprouve envers leur cousine. La scène se déroule dans une violence extrême quand soudain une bête terrifiante surgit des profondeurs du bayou. Les protagonistes n’auront alors d’autre choix que de s’entraider afin d’avoir une chance d’échapper à ce monstre qui les a pris en chasse… Héritage En Géorgie, aux États-Unis, la vengeance d’une petite fille qui a vu son père mourir sous ses yeux, tué par les membres du Ku Klux Klan, avec l’aide d’une confrérie mystique qui détourne les mêmes codes qu’eux.[/i] La couverture annonce la couleur des histoires que l’on va retrouver dans cet épisode de DoggyBags, avec le membre du KKK au centre. Manhunt, la première histoire est certainement la plus intéressante de ce recueil avec le côté fantastique qui dédramatise l’ambiance tendue et les agissements des KKK. Peter Klobcar réalise intégralement l’histoire et gère toute la partie graphique en noir et blanc. Le récit correspond bien au registre des DoggyBags. La seconde histoire est scénarisée par Run qui s’inspire des fusillades de masse qui sont nombreuses aux Etats-Unis, avec la possibilité de posséder des armes à feu. Le scénariste ajoute d’autres faits réels pour faire la relation avec les partis extrémistes ou racistes. Les dessins de Ludo Chesnot sont parfaits avec des personnes aux têtes déformées par leur expressions exagérées. La dernière histoire est scénarisée encore par Run qui cette fois s’inspire encore de faits réels atroces qui sont commis par le KKK. Les dessins de Gasparutto sauvent l’histoire, avec la puissance du trait de l’auteur. Une nouvelle de deux ou trois pages est écrit par Tanguy Mandias pour un peu de lecture sans bulles. Cet épisode se penche de trop sur la réalité et les agissements d’extrémistes pour ma part. La seule histoire intéressante est la première avec le côté fantastique. [b]Note : [/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png[/img] Alx23
  24. Serie : Page Noire Scénariste : Frank Giroud et Denis Lapière Dessinateur : Ralph Meyer Genre : Thriller Éditeur : Futuropolis l'acheter sur BDfugue Résumé : New York de nos jours. Il s'appelle Carson Mc Neal. C'est un phénomène de l'édition. Écrivain immensément talentueux, il est l'auteur de best-sellers traduits dans le monde entier et adaptés au cinéma. Pourtant, personne ne sait vraiment qui il est. Sa vie est un mystère. Il n'a jamais accordé d'interview, n'est jamais paru en public, aucune photo de lui n'existe... Elle s'appelle Kerry Stevens. Cette jeune blondinette à taches de rousseur est critique littéraire pour le réputé Tales & Writers. Elle n'a qu'une idée en tête, être la première à percer le mystère McNeal. Elle est prête à tout pour le rencontrer, l'interroger sur son prochain roman. Justement, McNeal y travaille. Son héroïne est Afia, une jeune Palestinienne cherchant à renouer les fils de sa pauvre existence qui, de la prostitution à l'enfer de la drogue, l'a menée en prison, dont elle sort aujourd'hui avec rien ni personne pour l'attendre. Enfant, elle a perdu toute sa famille, massacrée par les Phalangistes au Liban. Elle est la seule à avoir survécu. Depuis, plongée dans le trou noir de sa mémoire, incapable de se souvenir de ce qui s'est réellement passé ce jour tragique, elle est hantée par de terribles cauchemars récurrents et ne parvient pas à se détacher de ce terrible passé. Je n'ai qu'un mot à dire : Chapeau ! la réalisation de ce thriller est magnifique. Je dit bien réalisation car le montage est tellement bien fait qu'il s'agit vraiment d'un travail de réalisation plus que d'un travail de scénariste. Plus que bluffé par l'histoire déjà superbement intéressante, on ne peut être que respectueux de la mise en page. Le jeu entre les deux histoires est superbe et arrive à magnifiquement bien camoufler un dénouement digne des plus grands thrillers de cinéma. Et cela est aussi possible grâce au très beau trait de Ralph Meyer mais surtout grâce à la coloration magnifique de Caroline Delabie qui donne une ampleur toute particulière au dernier tiers de la BD. Captiver par un scénario en béton et une mise en image rarement vu, on arrive à être plus pris par cette histoire que l'on peut l'être par un thriller au cinéma. J'aimerai vous réciter tous les passages que j'ai aimé mais cela serait comme révéler la fin de "Usual Suspect, ce serait mal. Donc faites moi juste confiance, jeter vous dessus !!!! Pos², Grandiose ! Ma Note :
  25. Série : Peter pan Scenario : Loisel Dessin : Loisel my 2 cents Loisel au sommet de son art Edition :Glenat Acheter sur BDfugue Résumé : Régis Loisel s'est pourtant attelé à la tâche avec grâce et humilité, mêlant ainsi les ambiances féeriques et lumineuses de James Matthew Barrie aux atmosphères londoniennes sombres mais romantiques de Dickens. Non content de s'approprier avec brio un classique de la littérature, Loisel fit entrer le lecteur ébahi dans les méandres tourmentés de la psychologie humaine, maniant avec honnêteté des notions délicates et taboues, comme la maternité non assumée, la violence des enfants, la vengeance, le complexe d'OEdipe... On ne pouvait pas, de mon point de vue, citer la BDtheque de 1001bd sans parler de Peter Pan. Peter Pan ça a été pour moi LA BD du passage à la BD pour adulte. En effet c'est pour moi LA première BD "difficile" qui m'a montré que la bande dessinée pouvait allier sujet difficile et fantastique et ce sans jamais perdre l’aspect sérieux du sujet principale. Car sous couvert d'introduction à Peter Pan, il nous livre une lecture de la vie en fin du XIX siècle et une lecture de l’âme humaine, soumise au bonheur de l'oubli, qui est aussi bien faite qu'elle n'est dure. Et c'est la grosse différence entre une BD fantastique pour jeune et une bd fantastique pour adulte. Et pour moi cette BD fut donc Peter Pan. Un must read pour moi donc Ma Note:
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