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  1. alx23

    Demain tome 2

    Bien content de pouvoir lire cette suite de Demain car le premier tome était très prenant mais aussi déroutant pour faire une introduction très réussie. Léo et Rodolphe sont deux scénaristes connaissant bien les ficelles du genre SF pour construire des histoires originales et collaborent souvent sur de nombreux projets. On reprend donc nos deux aventures distinctes avec une jeune adolescente et son père se dirigeant vers le sud dans un monde dévasté par la guerre et peuplé d'étrange créatures. En parallèle, la seconde histoire nous raconte le quotidien d'un groupe de quatre adolescents découvrant un passage et habite une ville fermée dans ce qui se rapproche des années 50 aux Etats-Unis. Les deux histoires prennent des tournants surprenants et on reste captivés à lecture de cet album qui se termine trop vite. Les dessins sont de Louis Alloing avec style qui convient très bien aux deux ambiances entre monde fantastique proche de la Terre et années 50. Plus on avance dans l'histoire et moins on peut devviner ce qui nous attend dans la suite. Il y a beaucoup d'action dans ce tome avec une partie plus importante pour le monde étrange.
  2. alx23

    Demain Tome 1

    Titre de l'album : Demain Tome 1 Scenariste de l'album : Rodolphe et Léo Dessinateur de l'album : Louis Alloing Coloriste : 1Ver2Anes Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans l'insouciance des fifties, Joe découvre dans une vieille maison abandonnée un passage étrange, immense et sombre. Ailleurs, Fleur doit fuir avec son père car les gangs de ce monde apocalyptique dans lequel ils vivent se font de plus en plus menaçants. Deux jeunes adolescents de deux mondes très différents que tout semble séparer et qui pourtant se retrouvent dans leurs rêves... Critique : On ne présente plus le duo d'auteurs Rodolphe et Léo avec leur série de science-fiction Centaurus et Euorpa ainsi que leurs nombreuses histoires SF en solo. Les deux collaborent sur un nouveau projet intitulé demain premier acte. L'histoire se sépare en deux parties distinctes. On suit une bande de jeunes adolescents dans ce qui ressemble aux années 50 aux Etats-Unis. La seconde histoire que l'on découvre en parallèle se déroule dans une époque qui semble être futuriste et post-apocalyptique. Plus on avance dans le récit, plus les auteurs instaurent une atmosphère étrange et particulière. Les deux histoires basculent dans le fantastique et la science-fiction avec de nombreux questionnements après la lecture de cette excellente introduction. Pour la partie graphique, on retrouve Louis Alloing qui a déjà travaillé avec Rodolphe sur la série Robert Sax. Pour les lecteurs la connaissant, cela donne une bonne idée des dessins. Le trait de l'auteur est réaliste avec un cadrage efficace sur les deux époques de l'histoire. Ce premier tome de Demain pose les bases d'une aventure prenante pour l'instant avec tous les éléments pour une excellente série de science-fiction et l'on peut faire confiance aux auteurs spécialistes du genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/demain-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. alx23

    Demain Tome 1

    On ne présente plus le duo d'auteurs Rodolphe et Léo avec leur série de science-fiction Centaurus et Euorpa ainsi que leurs nombreuses histoires SF en solo. Les deux collaborent sur un nouveau projet intitulé demain premier acte. L'histoire se sépare en deux parties distinctes. On suit une bande de jeunes adolescents dans ce qui ressemble aux années 50 aux Etats-Unis. La seconde histoire que l'on découvre en parallèle se déroule dans une époque qui semble être futuriste et post-apocalyptique. Plus on avance dans le récit, plus les auteurs instaurent une atmosphère étrange et particulière. Les deux histoires basculent dans le fantastique et la science-fiction avec de nombreux questionnements après la lecture de cette excellente introduction. Pour la partie graphique, on retrouve Louis Alloing qui a déjà travaillé avec Rodolphe sur la série Robert Sax. Pour les lecteurs la connaissant, cela donne une bonne idée des dessins. Le trait de l'auteur est réaliste avec un cadrage efficace sur les deux époques de l'histoire. Ce premier tome de Demain pose les bases d'une aventure prenante pour l'instant avec tous les éléments pour une excellente série de science-fiction et l'on peut faire confiance aux auteurs spécialistes du genre.
  4. The_PoP

    Eigyr

    Titre de l'album : Eigyr Scenariste de l'album : Jérome Hamon Dessinateur de l'album : Damien Colboc Coloriste : Damien Colboc Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Au fin fond d'une Angleterre qui ne porte pas encore ce nom, Chrétiens et Bretons s'affrontent sur un nouveau champ de bataille : la possession d'Eigyr ! Est-ce là un artefact ou une place forte ? Que nenni ! Eigyr est une jeune femme dont le ventre rond abriterait la réincarnation de Merlin. Son corps est devenu un enjeu politique dont les hommes entendent disposer. Mais une mère est prête à tout pour protéger la future chair de sa chair... Critique : Et voilà la première belle surprise de la rentrée pour moi. Eigyr n'est pas qu'un énième récit autour de la légende de Merlin, même si l'évocation de celui-ci hante le récit du début à la fin. C'est d'abord la découverte d'un dessin audacieux, il ne séduira peut être pas tout le monde, mais il y a un vrai parti pris graphique qui en ravira plus d'un. C'est la première bd que je lis dessinée par Damien Colboc et nul doute que nous le reverrons bientôt. Ensuite Jérome Hamon nous bichonne un scénario classique mais réussi grâce à ses personnages plus vivants que nature. Comme sur Green Class au demeurant, c'est vraiment ce qui m'a marqué. On ressent leurs émotions, on les comprends, c'est simple et limpide, tout en étant très empathique. Une réussite. Mention spéciale au personnage d'Eigyr qui fait une très juste héroïne de cette histoire. Je ne peux que vous recommander ce one shot très réussi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/eigyr?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Eigyr

    Et voilà la première belle surprise de la rentrée pour moi. Eigyr n'est pas qu'un énième récit autour de la légende de Merlin, même si l'évocation de celui-ci hante le récit du début à la fin. C'est d'abord la découverte d'un dessin audacieux, il ne séduira peut être pas tout le monde, mais il y a un vrai parti pris graphique qui en ravira plus d'un. C'est la première bd que je lis dessinée par Damien Colboc et nul doute que nous le reverrons bientôt. Ensuite Jérome Hamon nous bichonne un scénario classique mais réussi grâce à ses personnages plus vivants que nature. Comme sur Green Class au demeurant, c'est vraiment ce qui m'a marqué. On ressent leurs émotions, on les comprends, c'est simple et limpide, tout en étant très empathique. Une réussite. Mention spéciale au personnage d'Eigyr qui fait une très juste héroïne de cette histoire. Je ne peux que vous recommander ce one shot très réussi.
  6. Titre de l'album : Le grimoire d'Elfie tome 4 - Le trésor de la tricomancienne Scenariste de l'album : Scotch Arleston | Audrey Alwett | Dessinateur de l'album : Mini Ludvin Coloriste : Mini Ludvin Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Une aventure émouvante et pleine de surprises, où l'amour de la nature façonne un lien fort entre les générations. C'est dans les Pyrénées qu'arrive le bus-librairie d'Elfie et ses deux soeurs. Là, vit leur Grand-Pé, un berger montagnard. Mais les filles le trouvent changé : il semble ne pas avoir fait son deuil de la mort de leur mère, et elles se demandent s'il a encore toute sa tête. Sur place, Elfie découvre que sa grand-mère était une sorcière du tricot, et surtout qu'elle a tricoté dans des couvertures des indications que seule Elfie peut voir. Une carte qui pourrait la conduire à un fabuleux trésor. Elfie va déployer sa magie pour le retrouver... Une aventure émouvante et pleine de surprises, où l'amour de la nature forme un lien fort entre les générations. Critique : Aussi étonnant que celui puisse paraitre, je pense que ce tome 4 du grimoire d'Elfie est surement la meilleure après le premier. Non pas que le deux précédents n'étaient pas bons. Plutôt que celui-ci est excellent. Il coche toutes les cases : Une bien belle histoire mais aussi et surtout une relation entre les filles et leur grand-père pleine d'émotions et d'amours. L'amour filial que portent les filles à leur grand-père est émouvant à souhait et porte une histoire tout en tendresse. C'est mignon tout plein et c'est ça que l'on aime dans les aventures d'Elfie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-grimoire-d-elfie-tome-4-le-tresor-de-la-tricomancienne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Aussi étonnant que celui puisse paraitre, je pense que ce tome 4 du grimoire d'Elfie est surement la meilleure après le premier. Non pas que le deux précédents n'étaient pas bons. Plutôt que celui-ci est excellent. Il coche toutes les cases : Une bien belle histoire mais aussi et surtout une relation entre les filles et leur grand-père pleine d'émotions et d'amours. L'amour filial que portent les filles à leur grand-père est émouvant à souhait et porte une histoire tout en tendresse. C'est mignon tout plein et c'est ça que l'on aime dans les aventures d'Elfie.
  8. alx23

    Utopie tome 1

    Titre de l'album : Utopie tome 1 Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Griffo Coloriste : Griffo Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Will Jones vit sa meilleure vie dans le loft d'une tour high tech d'une riche métropole avec ses implants mentaux et un androïde pourvoyant à son bonheur. Son travail à l'académie historique lui plait. Il lisse les témoignages du passé pour les rendre acceptables par le tout-venant. Mais un jour, il trouve un livre dans la poche de sa veste alors que les livres sont interdits depuis longtemps... Critique : Après Iruène de Rodolphe et Griffo chez Daniel Maghen, on retrouve les deux auteurs sur une nouvelle trilogie de science-fiction. Rodolphe nous propose une introduction très classique avec l'histoire d'une société parfaite pour toutes les personnes riches mais très contrôlée et très intrusive dans l'intimité de la population. En marge dans la ville basse, on retrouve la majorité de la population, très pauvre. Le héros fait partie de l'élite et vit en compagnie d'un androïde en guise de femme. Sa vie paisible est bousculée suite à lecture d'un livre, considéré comme interdit dans cette société. Le héros se questionne sur sa vie soi-disant idyllique mais les contrôleurs surveillent chaque habitant. L'intrigue m'a beaucoup fait penser au film Equilibrium ou ou roman Farenheit 451. La partie graphique est gérée par Griffo avec beaucoup de talent pour dépeindre cette société utopique. Quelques recherches graphiques et crayonnées terminent l'album. Rodolphe et Griffo nous offrent un bon démarrage pour une histoire classique mais efficace. Les deux auteurs ne sont pas à leur premier essai dans la SF et connaissent bien les mécaniques pour nous tenir en haleine et avoir envie de poursuivre la lecture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/utopie-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : Nos mondes perdus Scenariste de l'album : Marion Montaigne Dessinateur de l'album : Marion Montaigne Coloriste : Marion Montaigne Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : 1993, sortie en salles de "Jurassic Park" et traumatisme total pour la jeune Marion Montaigne, alors âgée de 13 ans. De cette fascination pour ces terribles reptiles d'un âge oublié va naître une obsession pour les fossiles, la science en général et le dessin anatomique... ainsi que quelques angoisses existentielles. Alors pour exorciser ses démons, rien de tel que la méthode Montaigne : recherches à fond dans les livres et les musées, humour décapant et interrogations bien senties. Une plongée dans la paléontologie, l'histoire des sciences et finalement, l'histoire de l'Histoire. Critique : Après le succès planétaire de son reportage humoristique sur Thomas Pesquet, Marion Montaigne nous revient avec un autre reportage sur un thème complètement différent : L'évolution de la science au fil des ages. Reprenant les mécaniques qui ont fait le succès de "La combi de Thomas Pesquet", c'est-à-dire une dualité entre sujet sérieux et décalage humoristique de la voie off (en l'occurrence une vue du XX ieme siècle du passé). Et ca marche... tout du moins si on ne lit ce livre que par pas de 5 pages. Et c'est le point ou il ne faut pas s'attendre au "miracle" Thomas Pesquet. Je parle de miracle, car les BD d'humour comme celles-ci ne réussissent quasiment jamais à accrocher le lecteur pour une lecture complète. La faute à un fil rouge souvent quasi inexistant ou peu dynamique. Et si cette alchimie miraculeuse s'est produite sur "Dans la combi de Thomas Pesquet", ce n'est malheureusement pas le cas ici. On retombe dans un reportage rigolo à poser sur une table et à lire par petits morceaux. D'autant plus que graphiquement, je trouve de Marion Montaigne un cran en dessous de son précédent album, surtout au début ou les dessins pourraient repousser un certain nombre de lecteurs. Bref un tome à lire une fois qui se couplera (c'est mon cas) très bien avec un cadeau à un ami 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nos-mondes-perdus?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Nos mondes perdus

    Après le succès planétaire de son reportage humoristique sur Thomas Pesquet, Marion Montaigne nous revient avec un autre reportage sur un thème complètement différent : L'évolution de la science au fil des ages. Reprenant les mécaniques qui ont fait le succès de "La combi de Thomas Pesquet", c'est-à-dire une dualité entre sujet sérieux et décalage humoristique de la voie off (en l'occurrence une vue du XX ieme siècle du passé). Et ca marche... tout du moins si on ne lit ce livre que par pas de 5 pages. Et c'est le point ou il ne faut pas s'attendre au "miracle" Thomas Pesquet. Je parle de miracle, car les BD d'humour comme celles-ci ne réussissent quasiment jamais à accrocher le lecteur pour une lecture complète. La faute à un fil rouge souvent quasi inexistant ou peu dynamique. Et si cette alchimie miraculeuse s'est produite sur "Dans la combi de Thomas Pesquet", ce n'est malheureusement pas le cas ici. On retombe dans un reportage rigolo à poser sur une table et à lire par petits morceaux. D'autant plus que graphiquement, je trouve de Marion Montaigne un cran en dessous de son précédent album, surtout au début ou les dessins pourraient repousser un certain nombre de lecteurs. Bref un tome à lire une fois qui se couplera (c'est mon cas) très bien avec un cadeau à un ami 🙂
  11. The_PoP

    Inexistences

    Titre de l'album : Inexistences Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Christophe Bec Coloriste : Sebastien Gerard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans les montagnes perdues, tout n'est que désolation. Les survivants errent dans un paysage désolé où ne subsistent que des ruines prises dans les glaces. De grands cataclysmes ont soumis la planète à d'interminables hivers. Il existerait pourtant un sanctuaire où vivrait un enfant bleu, qui aurait conservé la mémoire des temps anciens. Une légende que va tenter de vérifier le sniper nommé Sol. Critique : Ouf, celle là je l'avais pas vue venir. La préface de Bec explique bien que cet Inexistence est son Oeuvre. Celle qu'il voulait faire depuis longtemps, celle qu'il a mis 5 ans à peaufiner, avec à l'esprit ce qu'on pu apporter Enki Bilal, Moebius ou Druillet à la bd. Bon forcément avec cette ambition là, ce temps là, et le talent que l'on ne peut que reconnaitre à Christophe Bec, on sait que l'on va avoir quelque chose de remarquable entre les mains. C'est le cas, pas de doutes, Inexistences va marquer. Par contre attention, je le dis rapidement pour lever le doute, il ne faut pas s'attendre à lire de la bd classique. Non pas à cause des mélanges de narrations, du passage de la prose à la bd, ou à l'illustration pure et simple, non. Mais plutôt car Christophe Bec ne va pas vraiment s'attacher à nous livrer une histoire, ou des personnages. Il nous livre plutôt ses craintes ou sa vision d'un monde futur désastreux pour l'humanité. Son final est d'ailleurs plus philosophique qu'autre chose, et nous pose une question qui me semble essentielle. Il voulait marquer de son empreinte la bd, je ne sais pas dire si c'est fait car son oeuvre est à la fois plus que de la bd, tout en n'en perdant quelques qualités au passage. Si l'univers graphique et les doubles planches et autres plans extra larges, mis en avant par une édition remarquable, sont époustouflants et portent la marque d'un grand maître, j'ai pour ma part trouvé dommage que Christophe Bec n'en profite pas pour nous raconter une sacrée histoire. Comme s'il avait fallut quelque part s'extirper de son côté populaire et romanesque pour pouvoir rentrer dans l'histoire de l'art. Dommage donc tant il nous a déjà prouvé ses talents de narrateur hors pair. Mais ne vous y trompez pas, si je fais un peu la fine bouche c'est pour vous avertir, pour vous éviter une éventuelle déception sur la nature de ce livre, qui tient plus du roman graphique finalement que de la bd franco belge. Ceci étant dit, foncez, ouvrez le en librairies, laissez vous emporter, allez découvrir ce joyau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inexistences?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : Au nom du fils Scenariste de l'album : Pauline Djian, Jean-Blaise Djian Dessinateur de l'album : Sébastien Corbet Coloriste : Sébastien Corbet Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Paris, de nos jours. Au chômage et divorcé, Stéphane mène une vie solitaire et morose. Un soir comme un autre, il reçoit un appel téléphonique en provenance de la Bolivie : son fils Max, avec qui le lien est rompu depuis des années, serait décédé dans la prison de San Pedro, unique en son genre car autogérée par les détenus. Honteux d'avoir été un père absent, Stéphane décide de « bazarder » sa dérive quotidienne et de partir pour la Paz afin d'élucider les mystères qui entourent la mort de son fils. Sur place, il parvient à se faire incarcérer pour pouvoir mener son enquête, quitte à y laisser sa peau...Dans cette prison qui ressemble bien à l'enfer sur Terre, Stéphane fera tout pour découvrir la vérité, dans l'espoir d'y trouver par la même occasion sa propre rédemption. Critique : Une petite claque cette BD écrite à 4 mains par la famille Djian sur cette rédemption d'un père en fin de carrière , ayant fait les mauvais choix à certains moments de sa vie . Seul et divorcé , sans perspective d'avenir , attendant la retraite , Stéphane vit dans une léthargie complète . Puis un événement inattendu : son fils est mort dans une prison bolivienne ! Face à ce drame et cet échec personnel car il était en froid avec son fils , il vend tous ses biens et part pour la plus haute capitale du monde : La Paz . Comprendre les raisons de sa mort , pourquoi était-il en prison , qui l'a tué etc .... Tant de questions auxquelles il fait face , avec une surplombant les autres : Comment rentrer dans ce lieu si particulier et unique ? L'histoire prend de faux airs de la série Prison break , car il va commettre un crime pour être incarcéré , puis étapes par étapes , une fois à l'intérieur , faire son enquête . Les auteurs abordent le deuil et ses différentes phases , la vengeance , la rédemption , l'amour , ainsi que la relation père/fils . C'est une histoire magnifique et poignante , à tel point qu'une fois la lecture terminée , on est toujours aux côtés de Stéphane . De l'humain , ancré dans le réel d'une prison gérée par les détenus eux mêmes . Imaginez un "monsieur tout le monde" évoluant dans une enceinte sans matons ! L'histoire est magnifiée par le trait réaliste de Sébastien Corbet . Peu de couleurs dans ce monde triste dénué d'espoir ,avec des pastels gris et nuancés . De l'aplat sombre et crayonné dans les coins , comme pour mieux signifier la violence omniprésente . De la belle ouvrage ! On tourne les pages avec avidité en se demandant comment va t'il s'en sortir et parviendra t'il à ses fins ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-du-fils-9782810200979/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Que peut-on encore dire de Kid Paddle ? Pas grand-chose si ce n'est que ce tome-ci est... exactement comme les autres. pas vraiment de thème, juste des blagues complètement débiles, mais rigolotes quand on en lit de temps en temps. Des blagues pour enfants de 6 à 10 ans.... Ma fille aime bien. Moi j'avoue avoir bien rigolé aux partis de jeu vidéo....
  14. Titre de l'album : Kid Paddle tome 19 - Love, death and roblorks Scenariste de l'album : Midam | Patelin | Gof Dessinateur de l'album : Midam | Ian Dairin Coloriste : Midam | Ian Dairin Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Kid Paddle devrait s'appeler « King Paddle », tant il est un super pro des jeux vidéo (surtout ceux où l'on dégomme des Blorks). Mais Kid porte ce nom car il est aussi un gamin comme les autres, si ce n'est qu'il possède un faible pour tout ce qui est gore, gluant et répugnant... Ce qui lui donne mille et une idées de blagues qu'il va vous présenter dans son tout nouvel album ! Sa soeur Carole, première de classe désespérément raisonnable, risque encore d'avoir quelques petits soucis, tout comme son père fonctionnaire aussi cravaté que flegmatique ! Critique : Que peut-on encore dire de Kid Paddle ? Pas grand-chose si ce n'est que ce tome-ci est... exactement comme les autres. pas vraiment de thème, juste des blagues complètement débiles, mais rigolotes quand on en lit de temps en temps. Des blagues pour enfants de 6 à 10 ans.... Ma fille aime bien. Moi j'avoue avoir bien rigolé aux partis de jeu vidéo.... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kid-paddle-tome-19-love-death-and-roblorks?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nouveau tome des sœurs Gremillets radicalement pensé pour Noël ! C'est simple, cela ne parle que de ca. De la magie de noël en barre ! Si ce tome est moins prenant et moins réfléchi que les précédents, il reste une belle lecture par le rêve qu'il engendre. EN effet, ici on rêve à des jouets, on rêve aux licornes, mais surtout on rêve à une belle et chaude ambiance familiale et à un noël heureux. Une belle histoire à offrir à ceux qui ont oublié leurs âmes d'enfants pour leur rappeler la magie de Noël.
  16. Titre de l'album : Les soeurs Grémillet tome 5 - Les trois souhaits Scenariste de l'album : Giovanni Di Gregorio Dessinateur de l'album : Alessandro Barbucci Coloriste : Alessandro Barbucci Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : C'est Noël, chez les soeurs Grémillet. Mais c'est surtout la grosse galère pour Sarah, Cassiopée et Lucille, qui ne savent pas quoi acheter à leurs soeurs respectives ! Heureusement, elles vont croiser la route d'un mystérieux Père Noël, qui offrira à chacune d'elles une allumette magique permettant de réaliser un souhait. Une chance formidable ? Pas vraiment. Car faut-il penser à soi ? Aux autres ? Être raisonnable ? Déraisonnable ? Noël, même avec une allumette magique, c'est vraiment pas un cadeau ! Le récit de Noël, un exercice à risque qui peut vite sonner mièvre, est ici merveilleusement interprété par Barbucci et Di Gregorio, qui révèlent une nouvelle facette de leurs talents. Critique : Nouveau tome des sœurs Gremillets radicalement pensé pour Noël ! C'est simple, cela ne parle que de ca. De la magie de noël en barre ! Si ce tome est moins prenant et moins réfléchi que les précédents, il reste une belle lecture par le rêve qu'il engendre. EN effet, ici on rêve à des jouets, on rêve aux licornes, mais surtout on rêve à une belle et chaude ambiance familiale et à un noël heureux. Une belle histoire à offrir à ceux qui ont oublié leurs âmes d'enfants pour leur rappeler la magie de Noël. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-soeurs-gremillet-tome-5-les-trois-souhaits?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Kevin Nivek

    Au nom du fils

    Une petite claque cette BD écrite à 4 mains par la famille Djian sur cette rédemption d'un père en fin de carrière , ayant fait les mauvais choix à certains moments de sa vie . Seul et divorcé , sans perspective d'avenir , attendant la retraite , Stéphane vit dans une léthargie complète . Puis un événement inattendu : son fils est mort dans une prison bolivienne ! Face à ce drame et cet échec personnel car il était en froid avec son fils , il vend tous ses biens et part pour la plus haute capitale du monde : La Paz . Comprendre les raisons de sa mort , pourquoi était-il en prison , qui l'a tué etc .... Tant de questions auxquelles il fait face , avec une surplombant les autres : Comment rentrer dans ce lieu si particulier et unique ? L'histoire prend de faux airs de la série Prison break , car il va commettre un crime pour être incarcéré , puis étapes par étapes , une fois à l'intérieur , faire son enquête . Les auteurs abordent le deuil et ses différentes phases , la vengeance , la rédemption , l'amour , ainsi que la relation père/fils . C'est une histoire magnifique et poignante , à tel point qu'une fois la lecture terminée , on est toujours aux côtés de Stéphane . De l'humain , ancré dans le réel d'une prison gérée par les détenus eux mêmes . Imaginez un "monsieur tout le monde" évoluant dans une enceinte sans matons ! L'histoire est magnifiée par le trait réaliste de Sébastien Corbet . Peu de couleurs dans ce monde triste dénué d'espoir ,avec des pastels gris et nuancés . De l'aplat sombre et crayonné dans les coins , comme pour mieux signifier la violence omniprésente . De la belle ouvrage ! On tourne les pages avec avidité en se demandant comment va t'il s'en sortir et parviendra t'il à ses fins !
  18. Suite des aventures de Connie , la nièce de "vous savez qui" , aux talents de lutte sur les champs de bataille , mais aussi sur d'autres plans , plus "allongés" 😉 . Cette fois , elle et Kra'doub sont confrontées à l'Orient et ses plaisirs , en pleine transition politique , mais aussi en guerre avec un pays frontalier . C'est donc dans cette cocote minute prête à exploser pour ne pas dire "éjaculer" que nos héroïnes auront fort à faire ! Surtout lorsqu'un plan pour un casse se met sur leur route et laisse le lecteur en attente prochaine d'un tome 3 ! Nous retrouvons donc tout ce qui a fait le succès du premier opus , avec de l'humour sur les jeux de mots et noms éparpillés ça et là , des dialogues coquins , et bien entendu des scènes érotiques parfaitement réalisées par l'auteur italien Maconi . On ajoute les intrigues de palais et des rêves (ou souhaits) de Connie aux prises avec un démon "pourvu" comme un taureau , et la recette est garantie pour une lecture agréable et amusante de ces aventures pas comme les autres . Gianluca Maconi réalise des planches d'un trait certes informatisé , mais aux couleurs vives et accrocheuses . On reconnait facilement les protagonistes et ce , dans toutes les positions ! Le format relié en couverture souple permet une lecture fluide et un feuilletage à reculons possible si le lecteur désire (re)contempler des scènes déjà vues . Il y en a pour tous les goûts , comme le nom de la capitale l'indique : El Djébétèq 😉
  19. Titre de l'album : Connie , la barbare - tome 2 - Les bijoux du Transistan Scenariste de l'album : Gianluca Maconi Dessinateur de l'album : Gianluca Maconi Coloriste : Gianluca Maconi Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Connie, nièce d'un certain barbare (d'aucuns disent la fille illégitime du Cimmérien et d'une Hyrkanienne non moins célèbre), nous entraîne dans une nouvelle aventure aux confins d'un Orient merveilleux. Le Khanat du Transistan, pays lointain aux portes des Indes, est un monde aux moeurs surprenantes. Sa reine est morte et sa succession est en cours. Dans la capitale El Djébétèq, Va'azelin, princesse du Kulbuthan est promise au prince Albut'envu mais le Sultan est inquiet : une nouvelle épouse, l'imminence de la guerre avec son voisin Patryarkhan... C'est dans cet univers bousculé que Connie et sa compagne de route, Kra'doub, vont être entraînées malgré elles dans une lutte pour le pouvoir et le renversement des valeurs ancestrales. Critique : Suite des aventures de Connie , la nièce de "vous savez qui" , aux talents de lutte sur les champs de bataille , mais aussi sur d'autres plans , plus "allongés" 😉 . Cette fois , elle et Kra'doub sont confrontées à l'Orient et ses plaisirs , en pleine transition politique , mais aussi en guerre avec un pays frontalier . C'est donc dans cette cocote minute prête à exploser pour ne pas dire "éjaculer" que nos héroïnes auront fort à faire ! Surtout lorsqu'un plan pour un casse se met sur leur route et laisse le lecteur en attente prochaine d'un tome 3 ! Nous retrouvons donc tout ce qui a fait le succès du premier opus , avec de l'humour sur les jeux de mots et noms éparpillés ça et là , des dialogues coquins , et bien entendu des scènes érotiques parfaitement réalisées par l'auteur italien Maconi . On ajoute les intrigues de palais et des rêves (ou souhaits) de Connie aux prises avec un démon "pourvu" comme un taureau , et la recette est garantie pour une lecture agréable et amusante de ces aventures pas comme les autres . Gianluca Maconi réalise des planches d'un trait certes informatisé , mais aux couleurs vives et accrocheuses . On reconnait facilement les protagonistes et ce , dans toutes les positions ! Le format relié en couverture souple permet une lecture fluide et un feuilletage à reculons possible si le lecteur désire (re)contempler des scènes déjà vues . Il y en a pour tous les goûts , comme le nom de la capitale l'indique : El Djébétèq 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/connie-la-barbare-tome-2-les-bijoux-de-transistan/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Suite de ce triptyque initié par les deux italiens Trifogli et Andrea Celestini sur la grandeur de Rome et l'amour impossible de Adriana et Cleio . Leurs parcours jalonnés de difficultés a fini par les rassembler , au sein de la même ville ... En effet , Adriana est marié à un riche notable lui préférant la gente masculine , et Cleio en tant qu'esclave est formé dans un ludus aux arts du combat des gladiateurs . Ce second tome suit leurs progressions dans leur monde respectif , lui se battant pour survivre , mais pas que 😉 ; et elle en proie à toutes les manigances possibles pour le sortir de cet enfer de violence . Chacun avance dans un but précis et je vous préviens qu'il y aura des surprises ! Trifogli distille un scénario prenant une tonalité différente , les attentes ou espoirs des lecteurs du tome 1 risquent fort de leur faire hausser les sourcils ! On ne va pas bouder une originalité de ce type dans le monde des péplums . Son association avec Andrea Celestini aux couleurs fait des merveilles . Ils parviennent à donner une intensité aux regards , les yeux de Adriana vont vous transpercer . Toujours aussi bien documenté , avec de nombreuses références latines , vous finirez ce tome en espérant rapidement la suite et fin de cette (Rome)ance antique . Une version plus "dénudée" et charnelle sortira chez le confrère éditeur Tabou très prochainement , sur le même principe que le tome 1 . Une histoire identique , parsemée de scènes érotiques superbement illustrées par ce duo talentueux . A suivre , ou devrais-je dire : continuandum 😉 Planches.pdf
  21. Titre de l'album : Thrace - Gloria mundi - tome 2 Scenariste de l'album : Trifogli Dessinateur de l'album : Trifogli Coloriste : Andrea Celestini Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Après des années de séparation, Cleio, l’esclave gaulois et Adriana, la belle patricienne se sont enfin retrouvés… mais lui est devenu gladiateur et elle est maintenant mariée. Leur amour semble plus que jamais impossible… Alors que Cleio se bat pour sa vie dans l’arène, face aux vétérans les plus dangereux de Rome, Adriana joue un jeu encore plus dangereux en se plongeant dans les intrigues de l’aristocratie romaine pour tenter de rendre la liberté à son amour de jeunesse. Entre intrigues, trahisons et complots, qu’adviendra-t-il des amants maudits au sein de la cour de l’empereur Domitien ?d Critique : Suite de ce triptyque initié par les deux italiens Trifogli et Andrea Celestini sur la grandeur de Rome et l'amour impossible de Adriana et Cleio . Leurs parcours jalonnés de difficultés a fini par les rassembler , au sein de la même ville ... En effet , Adriana est marié à un riche notable lui préférant la gente masculine , et Cleio en tant qu'esclave est formé dans un ludus aux arts du combat des gladiateurs . Ce second tome suit leurs progressions dans leur monde respectif , lui se battant pour survivre , mais pas que 😉 ; et elle en proie à toutes les manigances possibles pour le sortir de cet enfer de violence . Chacun avance dans un but précis et je vous préviens qu'il y aura des surprises ! Trifogli distille un scénario prenant une tonalité différente , les attentes ou espoirs des lecteurs du tome 1 risquent fort de leur faire hausser les sourcils ! On ne va pas bouder une originalité de ce type dans le monde des péplums . Son association avec Andrea Celestini aux couleurs fait des merveilles . Ils parviennent à donner une intensité aux regards , les yeux de Adriana vont vous transpercer . Toujours aussi bien documenté , avec de nombreuses références latines , vous finirez ce tome en espérant rapidement la suite et fin de cette (Rome)ance antique . Une version plus "dénudée" et charnelle sortira chez le confrère éditeur Tabou très prochainement , sur le même principe que le tome 1 . Une histoire identique , parsemée de scènes érotiques superbement illustrées par ce duo talentueux . A suivre , ou devrais-je dire : continuandum 😉 Planches.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catalogsearch/result/?q=thrace/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Corto Maltese - Océan noir Scenariste de l'album : Martin Quenehen Dessinateur de l'album : Bastien Vivès Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : L'aventure a un visage : Corto Maltese ! Sur les eaux de la mer de Chine, le profil d'un pirate bien connu se dessine dans l'ombre d'une cabine de pilotage... Corto Maltese est de retour, à l'abordage d'un yacht de luxe. Des rues bondées de Tokyo jusqu'aux sommets des Andes, le gentilhomme de fortune poursuit un trésor mythique, disputé par une société secrète nationaliste et des narcos sans scrupules... Mais plus que jamais, ce sont les sentiments qui vont mener le célèbre marin romantique. Bastien Vivès et Martin Quenehen s'empare du mythique personnage d'Hugo Pratt pour le plonger dans notre époque contemporaine. Critique : J'ai commencé à apprécier que dernièrement les dessins particuliers de Bastien Vivès, sous les conseils d'un ami grâce à la série Lastman. J'ai bien été surpris d'apprendre que ce dessinateur assez tendance actuellement dans le monde de la bande dessinée allait reprendre la série cultissime d'Hugo Pratt. J'ai pris la version normale qui pour une fois est en noir et blanc, la version édition de luxe doit être limitée et en couleur pour les amateurs. Pour l'histoire, on retrouve bien l'ambiance des albums de Corto Maltese remit au goût du jour puisque l'histoire se déroule au moment des attentats du 11 septembre. On retrouve donc avec plaisir ce personnage charismatique entouré de jolies femmes comme d'habitude. Corto se veut pirate mais avec une éthique et un sens de l'honneur qui lui est propre. Son ami de longue date fera une apparition durant l'aventure qui nous fait voyager du Japon au Pérou à bord de différents bateaux. L'histoire de Martin Quenehen tient la route dans la continuité de la série d'origine, la lecture est prenante du début à la fin. Pour la partie graphique, je dois bien reconnaitre que Vivès assure des planches magnifiques avec des dégradés de gris et d'ombrage. Il est certain que l'auteur à un style à l'opposé de Pratt mais c'est ce qu'il fallait pour redonner vie à Corto, à mon avis. Et bien ce premier tome des nouvelles aventures de Corto Maltese commence très bien et j'espère qu'elles continueront encore de nombreux tomes. @poseidon2 : Tu devrais être ravi, comme t'adores Corto Maltese et les dessin de Bastien Vivès. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/corto-maltese-ocean-noir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    Corto Maltese - Océan noir

    J'ai commencé à apprécier que dernièrement les dessins particuliers de Bastien Vivès, sous les conseils d'un ami grâce à la série Lastman. J'ai bien été surpris d'apprendre que ce dessinateur assez tendance actuellement dans le monde de la bande dessinée allait reprendre la série cultissime d'Hugo Pratt. J'ai pris la version normale qui pour une fois est en noir et blanc, la version édition de luxe doit être limitée et en couleur pour les amateurs. Pour l'histoire, on retrouve bien l'ambiance des albums de Corto Maltese remit au goût du jour puisque l'histoire se déroule au moment des attentats du 11 septembre. On retrouve donc avec plaisir ce personnage charismatique entouré de jolies femmes comme d'habitude. Corto se veut pirate mais avec une éthique et un sens de l'honneur qui lui est propre. Son ami de longue date fera une apparition durant l'aventure qui nous fait voyager du Japon au Pérou à bord de différents bateaux. L'histoire de Martin Quenehen tient la route dans la continuité de la série d'origine, la lecture est prenante du début à la fin. Pour la partie graphique, je dois bien reconnaitre que Vivès assure des planches magnifiques avec des dégradés de gris et d'ombrage. Il est certain que l'auteur à un style à l'opposé de Pratt mais c'est ce qu'il fallait pour redonner vie à Corto, à mon avis. Et bien ce premier tome des nouvelles aventures de Corto Maltese commence très bien et j'espère qu'elles continueront encore de nombreux tomes. @poseidon2 : Tu devrais être ravi, comme t'adores Corto Maltese et les dessin de Bastien Vivès.
  24. Titre de l'album : Terres d'Ogon - Tome 4 - Mystic Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Vax Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Qâa est le fruit d'un amour interdit, le bâtard du roi et d'une femme du peuple. Il survit comme une ombre jusqu'au jour où il croise Aménopée, pour qui les passages dérobés du palais n'ont pas de secret. Il y rencontrera un maître d'armes ainsi qu'un vieil érudit. Commence pour Qâa sa véritable initiation, il découvrira le mystère entourant sa naissance et la malédiction dont il est le porteur... Critique : La petite dernière des séries dans l'univers des terres d'Arran a apporté un grand vent de fraîcheur dans l'univers, et même dans la Fantasy. Puisant dans les mythes, les légendes, et même l'Histoire du continent Africain, elle revisite la Fantasy tout en en respectant les codes. Et franchement on en redemande, moi le premier. Ce tome 4 vient donc nous présenter encore un autre peuple, et un autre héros, dans une intrigue cette fois-ci très mystique pour ne pas dire parfois un peu alambiquée. Les personnages sont toujours aussi réussis et le dessin de Vax est très dynamique notamment sur les mises en scènes. J'ai trouvé ce tome un peu en deçà des 2 premiers que j'avais vraiment adoré, mais l'univers y est toujours aussi riche et dépaysant et c'est encore une lecture plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terres-d-ogon-tome-4-mystic?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. VladNirky

    Gaston - Le retour de Lagaffe

    Gaston... Gaston Lagaffe... Ce nom évoque chez moi une partie de mon enfance. Mon papa me ramenait toujours les nouveaux albums de Gaston avec un grand et large sourire. Je pense qu'il lisait l'album dans les transports en rentrant du travail le soir avant de me les donner. Les 1er albums sont tellement abimés qu'ils ont sans doute été lus des dizaines de fois et pour les plus anciens (et les plus en morceaux), sans doute ont-ils été parcourus et torturés par des petites mains malhabiles bien avant que je ne sache lire. Il est bien possible que certains gags rappelaient la vie de bureau à mon père avec son lot d'absurdité (son activité s'y prêtait bien en plus). Il aurait sans doute lu cet album avec un grand sourire au minimum. C'est dans doute grâce à ces moments (et d'autres avec d'autres BD) que j'en rempli encore mes étagères de nos jours. Pour resituer un peu, pour les plus jeunes (que moi), la série humoristique, de Franquin, est en gags par planche. Elle raconte globalement comment Gaston est embauché au journal de Spirou et surtout comment ses collègues, qui bouclent le magazine souvent en retard et dans la douleur, tentent de travailler et de survivre avec cet énergumène gaffeur dans leur entourage qui sait surtout éviter le travail qu'on lui confie tout en provoquant catastrophes sur catastrophes dans la rédaction avec ses activités et inventions diverses et variées. Ce nouvel album, réalisé par Delaf qui reprend le pinceau, est bon. Très bon et même excellent. L'auteur a fait un travail remarquable sur le graphisme, le découpage, les gags, le bestiaire de Gaston, ses personnages, les lieux, l'inventaire des objets farfelus... tout. C'est dans l'esprit à tout point de vue. Même si la temporalité continue de s'ancrer dans les années 60 à 90, certains gags bénéficient d'une approche plus actuelle (le gag de l'Aïe-Phone par exemple, ou celui du vélo électrique pour n'en citer que deux). Seule la fin où, sur quelques planches, un fil rouge est repris de planches en planches pour raconter une aventurette pourrait paraitre plus innovante. Delaf semble se lâcher en effet un peu plus dans cette dernière partie et sortir du cadre imposé par le maitre (mais l'album de Gaston Globe trotter (dans mon édition, c'est le tome 19) avait déjà ouvert cette voie de l'album aventure - et de mon point de vue, ce n'était pas le plus réussi). Alors voila... C'est bien. C'est à faire découvrir ou à redécouvrir pour soit même et son entourage. Je ne suis pas certain que les jeunes apprécient ce genre (les plus jeunes je pense que oui, ca peut passer, les ado hummm... vous me direz dans les commentaires... mais ce n'est tout simplement pas leur époque). Vieux de la vieille, en tout cas... Ne boudez pas votre plaisir, si vous avez aimé Gaston, la reprise est plus que réussie. 🙂 🙂 🙂
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