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  1. The_PoP

    Uluru

    Titre de l'album : Uluru Scenariste de l'album : Crisse Dessinateur de l'album : Christian Paty Coloriste : Christian Paty Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Océan Indien, novembre 1879. Le Mary Gold qui transporte des migrants et aussi quelques familles de nobles anglais, est pris dans une énorme tempête. Le petit Lord Harry est paniqué, surtout pour ses chiens (un mâle et une femelle avec leurs deux petits) . Afin de les protéger, il les enferme dans un tonneau. Quelques jours plus tard, échoués sur une plage d'Australie, les chiens n'auront qu'une idée : retrouver leur maître. Critique : J'ai souvent du mal avec les bd d'aventures d'animaux. mais j'aime bien le travail de Christian Paty au dessin, et Crisse est un très bon conteur d'histoires. J'ai un chien, et j'ai aimé l'Australie alors forcément je suis peut être pas trop objectif. Mais globalement je n'étais pas trop enthousiaste à l'idée de lire ce one shot. Sauf que c'est bien. Genre vraiment, une bd d'aventure sympa, avec une belle part de mysticisme, une ode à la nature et à l'Australie. Pas grand chose de plus, mais finalement c'est déjà bien. Les dessins de Christian Paty sont toujours aussi réussis avec son trait très particulier et des choix de colorisations qui ici apportent un plus et rendent très bien les ambiances et la nature sauvage australienne. Ce n'est pas la bd de l'année, mais si vous aimez l'Australie, les grands espace, un peu de mysticisme et les animaux, alors vous passerez un chouette moment de lecture ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/uluru?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Qu'il est difficile de parler de Blacksad en restant juste. Cette série est devenue à juste titre une icône, une référence. Mais comme toute série, on se doit d'en juger chaque épisode à sa juste valeur, sans pour autant faire abstraction de l'ensemble. Ce tome de Blacksad est-il génial ? Peut être pas, car pour moi, il reste moins marquant probablement que les 3 premiers. Mais il reste excellent voir peut être même mieux que cela. Graphiquement on tutoie toujours l'extraordinaire avec des planches riches, une ambiance toujours réussie et des personnages toujours plus expressifs. Les couleurs sont au diapason, c'est fin et une bonne partie des planches pourraient s'afficher chez vous. Rien de nouveau donc pour les amateurs de la série, mais il faut quand même tirer son chapeau au maître qu'est Juanjo Guarnido pour son travail. C'est bien un blacksad. L'histoire elle, pour la première fois en diptyque sur cette série, se voulait donc forcément plus ambitieuse. Hors c'est une enquête finalement assez banale, dont les enjeux dépassent vite Blacksad pour se jouer autour de lui. On est peu surpris, et le déroulé se révèle assez classique. Par contre l'intrigue reste riche, les personnages secondaires réellement influents et des indices disséminés au fil des pages pour le lecteur avertit. Et surtout, surtout on retrouve ce New York si magnifiquement représenté avec son ambiance. On s'y croit. La ville devient un acteur de l'intrigue, et on sent que notre John est revenu aux sources. Ces 2 tomes tiennent finalement plus du roman fleuve que de l'enquête en coup de griffe de notre chat noir préféré mais cela reste très très bien notamment pour sa capacité à nous rendre vivants et plus vrais que nature une galerie de personnages secondaires comme principaux. Et c'est aussi ça la magie de Blacksad, nous raconter des histoires de vies et de personnages, parfois en deux apparitions et 2 lignes de dialogues, tout en nous laissant l'impression de tout connaître d'eux et de les côtoyer depuis notre naissance. Bref, ce Blacksad est-il le meilleur de la série ? Je ne le crois pas. Est-il une superbe bd pour autant, venant fort bien conclure ce diptyque et relancer la série ? Sans aucun doutes. Ne vous privez pas de ce plaisir.
  3. Titre de l'album : Blacksad - Tome 7 - Alors tout tombe (seconde partie) Scenariste de l'album : Juan Díaz Canalès Dessinateur de l'album : Juanjo Guarnido Coloriste : Juanjo Guarnido Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En enquêtant sur Solomon, le maître bâtisseur de New York à l'origine de l'immense pont en construction, Blacksad découvre que l'empire du faucon est bâti sur un monceau de cadavres dont Iris Allen, la directrice de théâtre, n'est pas la première victime. Piégé par Solomon, Weekly est alors accusé du meurtre. Une véritable course contre la montre débute pour Blacksad afin de réunir les preuves innocentant son ami et permettant de faire tomber l'architecte tout en renouant avec son amour, Alma, dont le rôle dans cette affaire sera déterminant. Suite et fin du diptyque réalisé de mains de maîtres par Juanjo Guarnido et Juan Diaz Canales ! Critique : Qu'il est difficile de parler de Blacksad en restant juste. Cette série est devenue à juste titre une icône, une référence. Mais comme toute série, on se doit d'en juger chaque épisode à sa juste valeur, sans pour autant faire abstraction de l'ensemble. Ce tome de Blacksad est-il génial ? Peut être pas, car pour moi, il reste moins marquant probablement que les 3 premiers. Mais il reste excellent voir peut être même mieux que cela. Graphiquement on tutoie toujours l'extraordinaire avec des planches riches, une ambiance toujours réussie et des personnages toujours plus expressifs. Les couleurs sont au diapason, c'est fin et une bonne partie des planches pourraient s'afficher chez vous. Rien de nouveau donc pour les amateurs de la série, mais il faut quand même tirer son chapeau au maître qu'est Juanjo Guarnido pour son travail. C'est bien un blacksad. L'histoire elle, pour la première fois en diptyque sur cette série, se voulait donc forcément plus ambitieuse. Hors c'est une enquête finalement assez banale, dont les enjeux dépassent vite Blacksad pour se jouer autour de lui. On est peu surpris, et le déroulé se révèle assez classique. Par contre l'intrigue reste riche, les personnages secondaires réellement influents et des indices disséminés au fil des pages pour le lecteur avertit. Et surtout, surtout on retrouve ce New York si magnifiquement représenté avec son ambiance. On s'y croit. La ville devient un acteur de l'intrigue, et on sent que notre John est revenu aux sources. Ces 2 tomes tiennent finalement plus du roman fleuve que de l'enquête en coup de griffe de notre chat noir préféré mais cela reste très très bien notamment pour sa capacité à nous rendre vivants et plus vrais que nature une galerie de personnages secondaires comme principaux. Et c'est aussi ça la magie de Blacksad, nous raconter des histoires de vies et de personnages, parfois en deux apparitions et 2 lignes de dialogues, tout en nous laissant l'impression de tout connaître d'eux et de les côtoyer depuis notre naissance. Bref, ce Blacksad est-il le meilleur de la série ? Je ne le crois pas. Est-il une superbe bd pour autant, venant fort bien conclure ce diptyque et relancer la série ? Sans aucun doutes. Ne vous privez pas de ce plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blacksad-tome-7-alors-tout-tombe-partie-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Hiver, à l'opéra

    Après l'automne en baie de somme, l'une des très belles surprises de l'année dernière, voici nos deux auteurs qui reviennent pour une "suite" qui se trouve être un album "dans le même univers" plus qu'une suite et... c'est presque dommage. Parce que cette histoire ne dégage pas le même charme que le premier tome. Je ne saurais trop dire pourquoi, mais le charme n'a pas pris. Je n'ai pas retrouvé la mélancolie du premier tome. L'enquête est moins prenante avec une coupable trop vite révélée et des crimes un peu trop mis en scène. La partie avec le double jeu de notre enquêteur est peut-être de trop et n'a pas permis de bien prendre son temps comme ce fut le cas sur le premier. Graphiquement le dessin est par contre toujours très bon avec des planches superbes. Une lecture dont j'attendais peu être un peu trop
  5. Titre de l'album : Hiver, à l'opéra Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Alexis Chabert Coloriste : Alexis Chabert Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Amaury Broyan est sur le point d'affronter les fantômes de son propre passé. Décembre1896 : dans un Opéra Garnier comble, le Tout-Paris découvre avec horreur le colonel Tréveaux, chargé de la sécurité du président Faure, pendu tel le Christ en croix et aspergeant de son sang le public. Présent sur les lieux du crime, l'inspecteur Broyan, révoqué de la police après l'affaire de la Baie de Somme, se lance à la poursuite du tueur. Mais il va bientôt se retrouver au coeur d'une enquête abyssale dont il ne sortira pas indemne, entre meurtres en série, sociétés secrètes, spiritisme et complot politique. Critique : Après l'automne en baie de somme, l'une des très belles surprises de l'année dernière, voici nos deux auteurs qui reviennent pour une "suite" qui se trouve être un album "dans le même univers" plus qu'une suite et... c'est presque dommage. Parce que cette histoire ne dégage pas le même charme que le premier tome. Je ne saurais trop dire pourquoi, mais le charme n'a pas pris. Je n'ai pas retrouvé la mélancolie du premier tome. L'enquête est moins prenante avec une coupable trop vite révélée et des crimes un peu trop mis en scène. La partie avec le double jeu de notre enquêteur est peut-être de trop et n'a pas permis de bien prendre son temps comme ce fut le cas sur le premier. Graphiquement le dessin est par contre toujours très bon avec des planches superbes. Une lecture dont j'attendais peu être un peu trop Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hiver-a-l-opera?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Undertaker - Tome 7 - Mister prairie Scenariste de l'album : Xavier Dorison Dessinateur de l'album : Ralph Meyer Coloriste : Caroline Delabie & Ralph Meyer Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Jonas Crow a reçu une lettre signée « R. Prairie ». « R », comme Rose... Persuadé que celle avec laquelle il a vécu tant d'aventures souhaite le revoir et partage ses sentiments, il se présente à son domicile d'Eaden, une petite ville du Texas. Malheureusement, ce n'est pas elle qui est l'auteure de la missive mais un rival, lui aussi amoureux de Rose, et avec lequel Jonas aura fort à faire. Il s'engage néanmoins à s'occuper de deux enterrements : un prêtre mort mystérieusement et un enfant à naître que sa mère, pourtant très pieuse, ne souhaite pas garder. Si le premier ne devrait pas poser de problème, le second risque d'être plus compliqué. En effet, la célèbre « Sister Oz », représentante fanatique de la Ligue pour la suppression du vice, est arrivée en ville. Soufflant sur les braises de la colère et de la rancoeur née de la défaite face aux « Yankees », elle soulève la population afin d'empêcher l'avortement... Dans ce septième volet de la saga d'Undertaker, le croque-mort le plus célèbre de la bande dessinée est confronté à un extrémisme religieux d'un autre temps... Mais qui n'a jamais semblé aussi actuel. Critique : Bon, bon, bon... Que dire de plus qui n'ai pas déjà été dit sur cette série... C'est un must pour tout fan de bd franco-belge ou de Western. Tout simplement. Ce tome 7 ne déroge pas à la règle puisque j'y ai même retrouvé l'intensité du diptyque sur l'Ogre de SutterCamp. Le tome 5 et le tome 6 s'étaient révélés peut être un brin moins éclatant, mais Dorison n'est pas l'un des plus grands scénaristes de la BD actuelle franco-belge pour rien. Nul doute que comme le dit si bien le résumé de l'éditeur, les problématiques abordées dans ce tome 7 vous sembleront cruellement actuelles. Le climax de fin d'album va rendre l'attente du prochain tome une nouvelle fois insupportable. J'ajouterais que l'excellence du dessin de Ralph Meyer, étincelant dans sa sobriété, ses ambiances et ses personnages se confirme d'albums en albums. Certes ce n'est peut être pas le coup de crayon le plus spectaculaire de nos auteurs préférés, mais tout y est. On est captivés du début à la fin par la filmographie de ses planches et leur fluidité. On est dans les meilleurs Blueberry, avec probablement un scénario de plus haute volée. Seul bémol pour ma part, parce qu'il faut bien rester aussi objectif que possible, je trouve que la couverture n'est pas ce qu'à fait Meyer de mieux sur cet album, les planches intérieures m'ont davantage séduit. Avec ce départ de nouveau cycle infernal, Undertaker confirme bien qu'il est l'une des séries majeures de ses 10 dernières années. Au panthéon de la BD franco-belge, tout simplement. Ne passez pas à côté car au delà de s'adresser et de flatter son public d'amateurs de Western, c'est avant tout une grande BD, à mettre dans toutes les mains. Signe parfois des grands auteurs, notre croque mort préféré n'a finalement eu qu'un petit rôle à jouer jusqu'ici, tout en étant un pivot central de toute l'affaire. Ici ce ne sont pas les coups de feu qui vont vous scotcher mais cette ambiance magnifiquement oppressante au fil des pages quand on approche la réalité des folies humaines. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/undertaker-tome-7-mister-prairie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Bon, bon, bon... Que dire de plus qui n'ai pas déjà été dit sur cette série... C'est un must pour tout fan de bd franco-belge ou de Western. Tout simplement. Ce tome 7 ne déroge pas à la règle puisque j'y ai même retrouvé l'intensité du diptyque sur l'Ogre de SutterCamp. Le tome 5 et le tome 6 s'étaient révélés peut être un brin moins éclatant, mais Dorison n'est pas l'un des plus grands scénaristes de la BD actuelle franco-belge pour rien. Nul doute que comme le dit si bien le résumé de l'éditeur, les problématiques abordées dans ce tome 7 vous sembleront cruellement actuelles. Le climax de fin d'album va rendre l'attente du prochain tome une nouvelle fois insupportable. J'ajouterais que l'excellence du dessin de Ralph Meyer, étincelant dans sa sobriété, ses ambiances et ses personnages se confirme d'albums en albums. Certes ce n'est peut être pas le coup de crayon le plus spectaculaire de nos auteurs préférés, mais tout y est. On est captivés du début à la fin par la filmographie de ses planches et leur fluidité. On est dans les meilleurs Blueberry, avec probablement un scénario de plus haute volée. Seul bémol pour ma part, parce qu'il faut bien rester aussi objectif que possible, je trouve que la couverture n'est pas ce qu'à fait Meyer de mieux sur cet album, les planches intérieures m'ont davantage séduit. Avec ce départ de nouveau cycle infernal, Undertaker confirme bien qu'il est l'une des séries majeures de ses 10 dernières années. Au panthéon de la BD franco-belge, tout simplement. Ne passez pas à côté car au delà de s'adresser et de flatter son public d'amateurs de Western, c'est avant tout une grande BD, à mettre dans toutes les mains. Signe parfois des grands auteurs, notre croque mort préféré n'a finalement eu qu'un petit rôle à jouer jusqu'ici, tout en étant un pivot central de toute l'affaire. Ici ce ne sont pas les coups de feu qui vont vous scotcher mais cette ambiance magnifiquement oppressante au fil des pages quand on approche la réalité des folies humaines.
  8. Bon, je vous avoue que je suis déçu. Quand on voit une série Fantasy de chez Soleil, en 8 tomes, scénarisée par Arleston, on a pas mal de références qui nous viennent en tête, car que l'on aime ou pas, il faut reconnaître que ce duo a plutôt produit des choses sympas par le passé. Las, ici on approche le tome 4 et cela ne décolle pas vraiment. Les dessins de Vergani sont biens mais peu marquants, et surtout un cran en dessous je trouve des autres productions Soleil - Arleston, et le scénario de Christophe Arleston est finalement assez plat avec cette histoire de vengeance pour le moment bien triste. Les personnages eux même ne sont guère développés d'ailleurs et l'héroïne est finalement trop seule en piste... Même le dilemme moral instauré dans cet opus là est vite évacué par la tournure des évènements choisis par notre scénariste, comme si l'excès de nuances ou l'absence de dichotomie l'embarrassait finalement. Dommage, car l'ensemble n'est pas mauvais, loin de là mais au final on ne retient qu'une héroïne un peu trop lisse, un humour à rebours et un dessin trop neutre qui forme un début de série trop quelconque pour nous embarquer sur 8 tomes.
  9. Titre de l'album : Sangre - Tome 4 - Donnadion le Béat Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Stefano Vergani Coloriste : Stefano Vergani & Gloria Vezzaro Editeur de l'album : Soleil - Metamorphoses Note : Résumé de l'album : Après plusieurs semaines d'enquête dans la cité de Thériasme, Sangre trouve un marin qui la guide jusqu'à un archipel perdu au coeur de la mangrove, un repaire d'esclaves évadés. Donnadion y vit en ermite, prêchant la non-violence. Mais comment imaginer ce terrible écumeur en saint homme, héros d'une libération pacifique des esclaves ? La vengeance aurait-elle un sens face à un homme en pleine rédemption ? Critique : Bon, je vous avoue que je suis déçu. Quand on voit une série Fantasy de chez Soleil, en 8 tomes, scénarisée par Arleston, on a pas mal de références qui nous viennent en tête, car que l'on aime ou pas, il faut reconnaître que ce duo a plutôt produit des choses sympas par le passé. Las, ici on approche le tome 4 et cela ne décolle pas vraiment. Les dessins de Vergani sont biens mais peu marquants, et surtout un cran en dessous je trouve des autres productions Soleil - Arleston, et le scénario de Christophe Arleston est finalement assez plat avec cette histoire de vengeance pour le moment bien triste. Les personnages eux même ne sont guère développés d'ailleurs et l'héroïne est finalement trop seule en piste... Même le dilemme moral instauré dans cet opus là est vite évacué par la tournure des évènements choisis par notre scénariste, comme si l'excès de nuances ou l'absence de dichotomie l'embarrassait finalement. Dommage, car l'ensemble n'est pas mauvais, loin de là mais au final on ne retient qu'une héroïne un peu trop lisse, un humour à rebours et un dessin trop neutre qui forme un début de série trop quelconque pour nous embarquer sur 8 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangre-tome-4-donnadion-le-beat?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. On arrive à la moitié de cette excellente série se déroulant au temps de la glorieuse civilisation aztèque, pour résoudre une série de meurtres énigmatiques puisque les cadavres des jeunes femmes sont momifiés et tous tournée vers Tenochtitlan. Deux ennemis de longue date sont mandatés pour enquêter, ils préfèrent oublier leur querelle pour mettre toute leur énergie sur cette affaire. Un troisième ami reste dans l'ombre mais suit de près le déroulement de l'enquête. Comme pour les deux premiers tomes, on suit deux époques différentes durant la jeunesse des héros et une fois adulte. Ils utilisent également quelques mixtures à base de peyotl pour voyager dans le temps et se rappeler des souvenirs du passé pouvant avoir un lien avec le présent. La partie graphique de Hub est magnifique, l'auteur gère à merveille les ambiances et la cité de Tenochtitlan semble vivante avec tous les détails et les personnages présents sur les planches. Un album noir et blanc sort en parallèle pour les lecteurs voulant profiter du trait de l'auteur. Le serpent et la lance est une série prenante avec une enquête durant l'époque de l'empire aztèque.
  11. Titre de l'album : Le serpent et la lance tome 3 - Cinq-fleurs Scenariste de l'album : Hub Dessinateur de l'album : Hub Coloriste : Li Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le conseiller du souverain informe son fils sur son lit de mort qu'il doit se tenir prêt à reprendre cette fonction honorifique. Mais cette lourde charge ne souffre pas de passer au second plan. Or, ce fils recherche sa fille disparue, Deux-Fleurs, et plus de quarante momies ont été retrouvées aux quatre coins du royaume. Le tueur de jeunes filles court toujours... Critique : On arrive à la moitié de cette excellente série se déroulant au temps de la glorieuse civilisation aztèque, pour résoudre une série de meurtres énigmatiques puisque les cadavres des jeunes femmes sont momifiés et tous tournée vers Tenochtitlan. Deux ennemis de longue date sont mandatés pour enquêter, ils préfèrent oublier leur querelle pour mettre toute leur énergie sur cette affaire. Un troisième ami reste dans l'ombre mais suit de près le déroulement de l'enquête. Comme pour les deux premiers tomes, on suit deux époques différentes durant la jeunesse des héros et une fois adulte. Ils utilisent également quelques mixtures à base de peyotl pour voyager dans le temps et se rappeler des souvenirs du passé pouvant avoir un lien avec le présent. La partie graphique de Hub est magnifique, l'auteur gère à merveille les ambiances et la cité de Tenochtitlan semble vivante avec tous les détails et les personnages présents sur les planches. Un album noir et blanc sort en parallèle pour les lecteurs voulant profiter du trait de l'auteur. Le serpent et la lance est une série prenante avec une enquête durant l'époque de l'empire aztèque. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-serpent-et-la-lance-acte-3-cinq-fleurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : In memoriam tome 2 - Adam Scenariste de l'album : Mathieu Salvia Dessinateur de l'album : Stéphane Robert Coloriste : Stéphane Robert Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Adam, l'ancien sorcier engagé par Joseph pour retrouver sa filleule, est en mauvaise posture depuis son affrontement avec la Mafia des Chats. Tandis que de leurs côtés, Manon et Shi sont pris au piège dans la laverie en flammes, privés de l'artefact de téléportation qui a décidé de rendre l'âme au plus mauvais moment... L'enquête se resserre autour de la mystérieuse Line. Pourquoi Calvin et Carl, les deux seuls sorciers qui semblent encore posséder leurs pouvoirs, cherchent-ils à lui mettre la main dessus ? Quel est le lien entre ces deux tueurs, Mila et Line ? Se pourrait-il que cette dernière ait une connexion avec la Grande Déchirure, cette explosion ayant ravagé Paris, comme ses dessins d'enfant semblent le suggérer ? Si chacun semble animé par ses propres intérêts, tous les chemins convergent définitivement vers Line et son Chat titanesque. Retrouvez nos héros dans le tome 2 d'In Memoriam, consacré à Adam et à son passé trouble, et levez encore un peu plus le voile sur le mystère qui semble lier Line, Calvin, Carl, Mia et la Grande Déchirure. Critique : À j'attendais cette suite avec impatience ! Le premier tome avait été une de mes plus belles surprises de l'année précédente. Une belle claque graphique et dynamique qui nous avait laissé sur le cul en fin de premier tome. Et bien je peux rassurer les fans du tome un, ce tome deux est excellent ! Graphiquement, c'est toujours aussi bon et dynamique, mais cela, on pouvait l'attendre. Pour l'histoire par contre, on monte d'un cran dans l'imbroglio et ce n'est pas pour nous déplaire. Fini l'introduction, on entre ici dans le dur et voit les possibilités qu'offre cet univers. Entre mafia magique, enfant que tous veulent retrouver, retour hypothétique de la magie, révélation sur les artefacts et piste sur la grande déchirure..... il y avait de quoi faire et nos auteurs ne fuient aucun sujet. On a hâte de lire la suite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-memoriam-tome-2-adam?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    In memoriam tome 2 - Adam

    À j'attendais cette suite avec impatience ! Le premier tome avait été une de mes plus belles surprises de l'année précédente. Une belle claque graphique et dynamique qui nous avait laissé sur le cul en fin de premier tome. Et bien je peux rassurer les fans du tome un, ce tome deux est excellent ! Graphiquement, c'est toujours aussi bon et dynamique, mais cela, on pouvait l'attendre. Pour l'histoire par contre, on monte d'un cran dans l'imbroglio et ce n'est pas pour nous déplaire. Fini l'introduction, on entre ici dans le dur et voit les possibilités qu'offre cet univers. Entre mafia magique, enfant que tous veulent retrouver, retour hypothétique de la magie, révélation sur les artefacts et piste sur la grande déchirure..... il y avait de quoi faire et nos auteurs ne fuient aucun sujet. On a hâte de lire la suite !
  14. Titre de l'album : Murdervale , tome 1 Scenariste de l'album : Vicente Cifuentes Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Vicente Cifuentes Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Et si un voyage dans l'horreur pouvait ressouder un couple ? Victor et Sara traversent une période difficile et sur les conseils de leur psy, décident de partir quelques jours ensemble. Sans véritable destination en tête, ils prennent la route. En chemin, ils entendent parler d'un village si perdu qu'il ne figure même pas sur la carte : Murdervale. Ils décident de s'y rendre et d'y prendre une chambre d'hôtel. Mais durant la nuit, Victor a des hallucinations. Est-ce son traitement ou la malédiction dont cette vieille femme leur a parlé ? En voulant fuir l'enfer du quotidien, Victor et Sara semblent être tombés dans un enfer bien pire. Bien plus que sauver leur couple, ils vont devoir sauver leur vie ! Critique : Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/murdervale-tome-1-le-vol-du-corbeau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Kevin Nivek

    Murdervale , tome 1

    Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉
  16. Telle Morrigane et son parapluie , il est nécessaire de sauter à pieds joints dans cette aventure fantastique . La romancière Jessica Townsend a bâti un monde magique avec son vocabulaire et sa culture propre en empruntant ça et là des idées . On sent l'influence de Peter Pan ,Harry Potter et autres Chroniques de Narnia dans cet univers . Ce n'est pas pour nous déplaire car ce monde est cohérent , il demande juste au lecteur un peu d'attention pour assimiler ces nouveaux mots et coutumes locales . Par exemple, la jeune héroïne Morrigane Crow doit mourir le soir du Merveillon à l'aube de ses 12 ans . Elle le sait , sa famille le sait aussi car elle est une enfant maudite . Le pourquoi , je vous laisse le découvrir 😉 Tout se déroule normalement jusqu'à ce fameux soir , mais un événement inattendu va bouleverser l'ordre établi . En effet , un étranger venu d'une lointaine contrée vient la sauver de façon rocambolesque et son destin funeste va prendre une toute autre tournure . L'adaptation de cette saga de romans est fidèle et réussie , l'immersion se fait naturellement , les explications arrivent de façon propice au fil de la lecture . Thomas Labourot livre des planches remarquables dans son style bien à lui , avec un dessin détaillé , dynamique et pourvu d'une coloration sans failles . On est clairement adapté au public ado friand de cette patte graphique transpirant la lumière . Partez à la découverte de ce nouveau monde aux côtés de Morrigane dans ce premier tome prometteur . La saga littéraire est composée de 4 livres , les nombreux secrets de cet univers auront le temps d'être révélés 😉
  17. Titre de l'album : Nevermoor tome 1 - Les défis de Morrigane Crow Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier Dessinateur de l'album : Thomas Labourot Coloriste : Thomas Labourot Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Le premier tome de l'adaptation en bande dessinée des romans de Jessica Townsend ! Morrigane Crow est une enfant maudite. Au soir du Merveillon, elle mourra. En attendant, tous les maux du monde sont attribués à la pauvre jeune fille. Et comble de l'horreur, avec près d'un an d'avance, les cloches du Merveillon se mettent à sonner ! Morrigane doit se préparer à sa mort imminente ! À moins que Jupiter, son mystérieux et excentrique mécène, ne vienne l'arracher à une mort certaine pour l'entrainer dans le monde magique de Nevermoor... Critique : Telle Morrigane et son parapluie , il est nécessaire de sauter à pieds joints dans cette aventure fantastique . La romancière Jessica Townsend a bâti un monde magique avec son vocabulaire et sa culture propre en empruntant ça et là des idées . On sent l'influence de Peter Pan ,Harry Potter et autres Chroniques de Narnia dans cet univers . Ce n'est pas pour nous déplaire car ce monde est cohérent , il demande juste au lecteur un peu d'attention pour assimiler ces nouveaux mots et coutumes locales . Par exemple, la jeune héroïne Morrigane Crow doit mourir le soir du Merveillon à l'aube de ses 12 ans . Elle le sait , sa famille le sait aussi car elle est une enfant maudite . Le pourquoi , je vous laisse le découvrir 😉 Tout se déroule normalement jusqu'à ce fameux soir , mais un événement inattendu va bouleverser l'ordre établi . En effet , un étranger venu d'une lointaine contrée vient la sauver de façon rocambolesque et son destin funeste va prendre une toute autre tournure . L'adaptation de cette saga de romans est fidèle et réussie , l'immersion se fait naturellement , les explications arrivent de façon propice au fil de la lecture . Thomas Labourot livre des planches remarquables dans son style bien à lui , avec un dessin détaillé , dynamique et pourvu d'une coloration sans failles . On est clairement adapté au public ado friand de cette patte graphique transpirant la lumière . Partez à la découverte de ce nouveau monde aux côtés de Morrigane dans ce premier tome prometteur . La saga littéraire est composée de 4 livres , les nombreux secrets de cet univers auront le temps d'être révélés 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nevermoor-tome-1-les-defis-de-morrigane-crow/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Kevin Nivek

    Le grand bug tome 1

    Nouvelle parution pour l'ancien prof d'économie Jean-Christophe Tixier , qui travaille aussi sur des romans et autres fictions radiophoniques ! Dans un futur proche , un grand bug informatique a surgi et engendré un grand désordre au quotidien . Les transports en commun autonomes deviennent des engins de morts incontrôlables . Le petit groupe de jeunes composé de Léna , Lou , Tom et Gabriel se lance dans l'aventure avec différentes missions de sauvetages et réparations de ces engins désorientés . Le rythme est soutenu tel un train lancé à pleine vitesse , la tension est palpable lors des missions avec beaucoup de suspens . La question du grand bug n'est pas encore posée , mais gageons que dans des tomes futures , elle sera abordée . Le dessin est assuré par Roberta Pierpaoli ayant fait ses marques dans les dessins animés , et cela se voit à travers ses cases et son style semi-réaliste , tout en rondeurs . Cela devrait accrocher une population jeune sans peine . Ils représentent la cible évidente de ce genre de BD , un dessin accessible , une narration fluide et un rythme de lecture rapide .
  19. Titre de l'album : Le grand bug tome 1 Scenariste de l'album : Jean-Christophe Tixier Dessinateur de l'album : Roberta Pierpaoli Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Imaginez un monde sans internet et toutes les conséquences que cela pourrait entrainer ! Un grand bug a affecté Internet. Depuis, le réseau est devenu très instable. Tout étant interconnecté, les problèmes peuvent surgir partout, et à tout moment. Face à l'ampleur du problème, de nombreuses équipes sont mobilisées. Octo++, un groupe d'intervention constitué de Léna, Tom, Lou et Gabriel, est responsable du réseau de transport, sur lequel un tramway et un train fous sont lancés à pleine vitesse. Vont-ils parvenir à résoudre et corriger le problème, trouver des parades, tout en portant assistance aux personnes touchées par ces défaillances ? Critique : Nouvelle parution pour l'ancien prof d'économie Jean-Christophe Tixier , qui travaille aussi sur des romans et autres fictions radiophoniques ! Dans un futur proche , un grand bug informatique a surgi et engendré un grand désordre au quotidien . Les transports en commun autonomes deviennent des engins de morts incontrôlables . Le petit groupe de jeunes composé de Léna , Lou , Tom et Gabriel se lance dans l'aventure avec différentes missions de sauvetages et réparations de ces engins désorientés . Le rythme est soutenu tel un train lancé à pleine vitesse , la tension est palpable lors des missions avec beaucoup de suspens . La question du grand bug n'est pas encore posée , mais gageons que dans des tomes futures , elle sera abordée . Le dessin est assuré par Roberta Pierpaoli ayant fait ses marques dans les dessins animés , et cela se voit à travers ses cases et son style semi-réaliste , tout en rondeurs . Cela devrait accrocher une population jeune sans peine . Ils représentent la cible évidente de ce genre de BD , un dessin accessible , une narration fluide et un rythme de lecture rapide . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-grand-bug-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Thorgal - Tome 41 - Mille Yeux

    Bon le tome 40 aurait pu être une conclusion à cette série que j'aime tant. Mais ce n'est pas le cas et cette série va désormais de plus en plus lorgner sur l'Odyssée dans le destin qu'elle réserve à Thorgal. Nouveau naufrage, nouveaux dangers, nouvelles croyances et divinités à combattre. et nouveau chef viking tyrannique. Il n'en faut guère plus pour voir notre Thorgal préféré venir défendre une nouvelle fois la veuve et l'orphelin tout en secouant au passage sa famille. Il est désormais plus à cheval que jamais sur ses principes, toujours aussi courageux et inventif, même s'il semble avoir lui aussi vieilli.... Toutefois il faut bien reconnaitre que l'ensemble s'essouffle franchement et donne une grosse impression de déjà lu mille fois dans les épisodes précédents. La fin laisse présager un nouveau cycle peut être prometteur, mais je vous avoue que j'ai un doute sur le fait que ce tome 41 reste bien longtemps dans nos mémoires. Graphiquement, F. Vignaux maitrise pleinement son sujet et l'héritage de Rosinski et il sera difficile de lui faire des reproches honnêtes. L'ensemble est je crois aussi réussi graphiquement qu'il peut l'être sans dénaturer ses origines. Ce tome 41 n'est pas un mauvais cru, mais il trahi tout de même un sérieux manque de fraicheur je trouve. La série aurait probablement gagnée à enclencher un dernier cycle épique pour finir en apothéose, préservant ainsi le mythe d'une édulcoration palpable et libérant la place aux Thorgal Saga pour venir nous conter d'autres de ses aventures. Mais ce n'est que mon simple ami d'amoureux de Thorgal.
  21. Titre de l'album : Thorgal - Tome 41 - Mille Yeux Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : F. Vignaux Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Mordu par une vipère rouge au fond d'un véritable labyrinthe souterrain alors qu'il venait enfin de découvrir la légendaire roche aux mille yeux de la déesse Skaedi, Thorgal doit pourtant parvenir à extraire et à ramener un fragment de cette mystérieuse pierre tombée d'Asgard, s'il veut sauver Jolan et Boréale. L'aide d'une jeune chasseuse de serpents ne sera pas de trop pour notre « enfant des étoiles », s'il veut avoir une chance de triompher sur l'échiquier d'Odin ! Critique : Bon le tome 40 aurait pu être une conclusion à cette série que j'aime tant. Mais ce n'est pas le cas et cette série va désormais de plus en plus lorgner sur l'Odyssée dans le destin qu'elle réserve à Thorgal. Nouveau naufrage, nouveaux dangers, nouvelles croyances et divinités à combattre. et nouveau chef viking tyrannique. Il n'en faut guère plus pour voir notre Thorgal préféré venir défendre une nouvelle fois la veuve et l'orphelin tout en secouant au passage sa famille. Il est désormais plus à cheval que jamais sur ses principes, toujours aussi courageux et inventif, même s'il semble avoir lui aussi vieilli.... Toutefois il faut bien reconnaitre que l'ensemble s'essouffle franchement et donne une grosse impression de déjà lu mille fois dans les épisodes précédents. La fin laisse présager un nouveau cycle peut être prometteur, mais je vous avoue que j'ai un doute sur le fait que ce tome 41 reste bien longtemps dans nos mémoires. Graphiquement, F. Vignaux maitrise pleinement son sujet et l'héritage de Rosinski et il sera difficile de lui faire des reproches honnêtes. L'ensemble est je crois aussi réussi graphiquement qu'il peut l'être sans dénaturer ses origines. Ce tome 41 n'est pas un mauvais cru, mais il trahi tout de même un sérieux manque de fraicheur je trouve. La série aurait probablement gagnée à enclencher un dernier cycle épique pour finir en apothéose, préservant ainsi le mythe d'une édulcoration palpable et libérant la place aux Thorgal Saga pour venir nous conter d'autres de ses aventures. Mais ce n'est que mon simple ami d'amoureux de Thorgal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-41-mille-yeux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Il est peu dire que le genre "whodunnit?" a le vent en poupe avec les adaptations de Agatha Christie au cinéma et autres A couteaux tirés sur les plateformes de visionnage ! Il n'échappe pas au monde du 9ème art avec les éditions Graph Zepellin publiant cette histoire policière aux accents animaliers . Blacksad n'est pas loin , mais ici le registre est un peu moins sombre et plus "Disney" . Le dessin tout en rondeur et élégance de Vicente Cifuentes tranche avec ceux du chat noir bien connu des amateurs de BD . Les cases sont plus colorées , certes numériquement , mais cela permet des effets visuels intéressants et une belle mise en page . C'est une lecture agréable ponctuée d'un scénario in fine assez convenu . La surprise du dénouement final reste présente , mais c'est la façon dont elle est amenée qui pêche un peu . L'enquête prend son temps avec son lot de surprises et autres révélations données au compte gouttes , puis tout s'enchaine trop rapidement dans un déluge de divulgations opportunes . Mais ne boudons pas le plaisir car il s'agit là du seul défaut de ce livre , le dessin est remarquable , les protagonistes rappellent d'illustres personnages (noms , postures et habitudes) , ils sont bien écrits et les clins d'oeil sont légions , même le nom de la famille Strutter ( pour Usher 😉 ) . Si vous aimez le genre Blacksad , alors vous lirez avec bonheur ces dialogues ciselés et ces êtres anthropomorphes évoluant dans le monde Victorien tellement propice aux créations artistiques . De petites notes d'humour distillées ça et là rendent aussi la lecture agréable . On attend , on espère une nouvelle aventure de nos héros animaliers ! PS: attention aux coquilles dans les bulles monsieur l'éditeur 😉
  23. Titre de l'album : Whodunnit ? Question de flair ! Scenariste de l'album : El Torres Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Ulises Arreola Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Dorry Quirrel aime l'aventure, mais a promis à sa tante d'être plus raisonnable. Un jour, elle est engagée comme domestique par la maison Strutter, l'une des familles les plus riches du pays. Mais dès son arrivée, un meurtre se produit et la victime n'est autre que Lord Strutter lui-même. L'inspecteur en chef de Scotland Yard, Forrester, flanqué de l'inspecteur Wallcroft sont chargés de l'enquête. Mais qui a bien pu occire le maître des lieux ? Et quel sombre secret cache la maison Strutter. Critique : Il est peu dire que le genre "whodunnit?" a le vent en poupe avec les adaptations de Agatha Christie au cinéma et autres A couteaux tirés sur les plateformes de visionnage ! Il n'échappe pas au monde du 9ème art avec les éditions Graph Zepellin publiant cette histoire policière aux accents animaliers . Blacksad n'est pas loin , mais ici le registre est un peu moins sombre et plus "Disney" . Le dessin tout en rondeur et élégance de Vicente Cifuentes tranche avec ceux du chat noir bien connu des amateurs de BD . Les cases sont plus colorées , certes numériquement , mais cela permet des effets visuels intéressants et une belle mise en page . C'est une lecture agréable ponctuée d'un scénario in fine assez convenu . La surprise du dénouement final reste présente , mais c'est la façon dont elle est amenée qui pêche un peu . L'enquête prend son temps avec son lot de surprises et autres révélations données au compte gouttes , puis tout s'enchaine trop rapidement dans un déluge de divulgations opportunes . Mais ne boudons pas le plaisir car il s'agit là du seul défaut de ce livre , le dessin est remarquable , les protagonistes rappellent d'illustres personnages (noms , postures et habitudes) , ils sont bien écrits et les clins d'oeil sont légions , même le nom de la famille Strutter ( pour Usher 😉 ) . Si vous aimez le genre Blacksad , alors vous lirez avec bonheur ces dialogues ciselés et ces êtres anthropomorphes évoluant dans le monde Victorien tellement propice aux créations artistiques . De petites notes d'humour distillées ça et là rendent aussi la lecture agréable . On attend , on espère une nouvelle aventure de nos héros animaliers ! PS: attention aux coquilles dans les bulles monsieur l'éditeur 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/whodunnit-question-de-flair/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Droit au but tome 20

    Le vingtième album de droit au but fête son anniversaire en nous livrant un album spécial sur les différents maillots de l'OM à travers les ages. Pour rendre la lecture intéressante, nos auteurs ajoutent la signature de Nino en tant que professionnel mais aussi l'histoire du grand-père de Nino, que l'on découvre ancien "internationale" italien. Un album encore une fois très sympa avec un Nino qui continu de grandir et va donc bientôt entrer dans le grand monde des joueurs professionnels. Les fans de l'OM et de Nino seront ravis !
  25. Titre de l'album : Droit au but tome 20 Scenariste de l'album : Thierry Agnello | Jean-Luc Garrera Dessinateur de l'album : Pedro J. Colombo Coloriste : Pedro J. Colombo Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : L'AMOUR DU MAILLOT Le 20ème épisode des aventures de Nino. Chaque mercredi après-midi, Nino rend visite à son grand-père pour l'écouter parler de sa jeunesse napolitaine et évoquer ses attachements de supporter pour le Napoli et l'OM. Un jour, il retrouve dans les affaires du vieil homme un maillot porté par... Alain Giresse. Pour satisfaire la curiosité de son petit-fils, celui-ci lui dévoile son « trésor de guerre » : une valise remplie de maillots ayant appartenu aux légendes du club marseillais. Mais, au grand dam de l'ex-contôleur du Vélo-drome, la collection est incomplète : il manque le maillot de Maradona, remis au Pibe del Oro lors des tractations engagées par Bernard Tapie et Michel Hidalgo pour l'accueillir à Marseille au tournant des années 1990. Nino va alors tenter de mettre la main sur ce « collector », remontant l'histoire du club et celle de son grand-père, allant de France en Italie pour découvrir le passé de joueur d'Alfio. Critique : Le vingtième album de droit au but fête son anniversaire en nous livrant un album spécial sur les différents maillots de l'OM à travers les ages. Pour rendre la lecture intéressante, nos auteurs ajoutent la signature de Nino en tant que professionnel mais aussi l'histoire du grand-père de Nino, que l'on découvre ancien "internationale" italien. Un album encore une fois très sympa avec un Nino qui continu de grandir et va donc bientôt entrer dans le grand monde des joueurs professionnels. Les fans de l'OM et de Nino seront ravis ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/droit-au-but-tome-20?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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