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  1. Kevin Nivek

    Arcadium

    C'est un petit ovni que nous sort Nikopek avec ce thriller ambiance années 80 au doux parfum fantasmagorique ! Attendez-vous à être surpris au cours de ces 144 pages que vous ne verrez pas défiler , car au fil des aveux de Gavin , l'histoire prend des allures fantastiques et oniriques , tout en se complexifiant . C'est ici le (léger) point faible de ce one-shot selon moi , une complexité qui laisse perplexe , mais en même temps qui va vous amener à relire des passages , voire le livre dans son intégralité une nouvelle fois ! Vous chercherez les détails ou encore à quel moment l'histoire change et avec quels personnages , car ils sont nombreux dans ce récit ! Le suspens est omniprésent , il est impossible de poser le livre avant de l'avoir terminé . L'époque choisie par l'auteur est fidèlement retranscrite , vous retrouvez les standards aperçus dans nombre de films américains , comme le beau-père violent ou encore le "dinner's bar" avec sa serveuse clope au bec vous proposant un café ! Bien entendu , les bornes d'arcades sont présentes , comme les vidéoclubs 😉 . On sent Nikopek nourri à cette culture pop et voulant la retrouver et l'exposer telle une madeleine de Proust . L'atout mémorable de cette bd étant la palette graphique de l'artiste . On passe d'un style proche de Andrea Sorrentino pour l'ambiance noire et poisseuse ainsi que la façon de décrire les personnages ; à un style réaliste presque photographique sur certains paysages ou éléments de décors . Les couleurs chaudes , du jaune-orangé au rouge-sang , apportent du réalisme et une ambiance particulière , tout autant que des effets lumineux très réussis . Le découpage est cinématographique à souhait , on visualise sans peine les visions des protagonistes , on pourrait même percevoir les sons émis par les planches . Immersion garantie . Il est proposé d'écouter 3 morceaux musicaux réalisés par l'artiste Christine , afin de plonger encore plus dans la lecture . En résumé, c'est un polar noir et violent des années 80 avec une teinte de fantastique , un dessin réaliste sublime , mais une complexité sensiblement risquée , à vous de voir 😉
  2. Kevin Nivek

    Arcadium

    Titre de l'album : Arcadium Scenariste de l'album : Nikopek Dessinateur de l'album : Nikopek Coloriste : Nikopek Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : 1989, Rosebud, Montana. Gavin, 20 ans, se rend à la police et passe aux aveux : il aurait tué son beau-père, sa mère et ses demi-frère et soeur. Il dévoile alors les événements des jours qui ont précédé son acte et les raisons qui l'ont poussé à commettre l'irréparable... Et ce qui ne devait être qu'un simple interrogatoire pour l'inspecteur Dumond, va progressivement sombrer dans la noirceur d'un récit fantasmagorique dont personne ne sortira indemne. Et vous, êtes-vous prêt à connaître la vérité?? Critique : C'est un petit ovni que nous sort Nikopek avec ce thriller ambiance années 80 au doux parfum fantasmagorique ! Attendez-vous à être surpris au cours de ces 144 pages que vous ne verrez pas défiler , car au fil des aveux de Gavin , l'histoire prend des allures fantastiques et oniriques , tout en se complexifiant . C'est ici le (léger) point faible de ce one-shot selon moi , une complexité qui laisse perplexe , mais en même temps qui va vous amener à relire des passages , voire le livre dans son intégralité une nouvelle fois ! Vous chercherez les détails ou encore à quel moment l'histoire change et avec quels personnages , car ils sont nombreux dans ce récit ! Le suspens est omniprésent , il est impossible de poser le livre avant de l'avoir terminé . L'époque choisie par l'auteur est fidèlement retranscrite , vous retrouvez les standards aperçus dans nombre de films américains , comme le beau-père violent ou encore le "dinner's bar" avec sa serveuse clope au bec vous proposant un café ! Bien entendu , les bornes d'arcades sont présentes , comme les vidéoclubs 😉 . On sent Nikopek nourri à cette culture pop et voulant la retrouver et l'exposer telle une madeleine de Proust . L'atout mémorable de cette bd étant la palette graphique de l'artiste . On passe d'un style proche de Andrea Sorrentino pour l'ambiance noire et poisseuse ainsi que la façon de décrire les personnages ; à un style réaliste presque photographique sur certains paysages ou éléments de décors . Les couleurs chaudes , du jaune-orangé au rouge-sang , apportent du réalisme et une ambiance particulière , tout autant que des effets lumineux très réussis . Le découpage est cinématographique à souhait , on visualise sans peine les visions des protagonistes , on pourrait même percevoir les sons émis par les planches . Immersion garantie . Il est proposé d'écouter 3 morceaux musicaux réalisés par l'artiste Christine , afin de plonger encore plus dans la lecture . En résumé, c'est un polar noir et violent des années 80 avec une teinte de fantastique , un dessin réaliste sublime , mais une complexité sensiblement risquée , à vous de voir 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arcadium/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Guerres d'Arran - Tome 2 - Dal'Darum Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Giovanni Lorusso Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Suite à l'exécution de la compagnie des bannis, Redwin a juré aux principaux meneurs des anciennes races de trouver un lieu où tous pourraient se réunir et résister à la guerre déclarée par les rois humains et les mages de l'ordre des Ombres. Des héros tels que Lanawynn, Ayraak, Jorun, Tala feront route vers la forteresse de Karsonn tenue par les irréductibles nains de la légion de Fer. Critique : Et bim comme d'habitude, à l'approche des fêtes de fin d'années, Soleil nous sort l'artillerie lourde avec ces séries se déroulant dans l'univers des terres d'Arran. Ici il s'agit de leur série cross' over Guerres d'Arran tant attendue devant redémarrer un cycle dantesque reprenant l'ensemble des trames depuis le cycle des goules. Après un premier tome nous lançant dans le grand bain, ce tome 2 reprend pas mal des figures ultra reconnues des Terres d'Arran pour les réunir et leur faire affronter l'une des pires menaces qui soit pour leurs survies : l'Hum 🙂 Autant vous dire que dans le contexte pessimiste actuel, il y a là une double lecture intéressante à l'œuvre complète. Evidemment on nt'est pas tellement là pour philosopher non plus et tout au long de ces 92 pages, on aura le droit à peut être un peu trop de voix off (aka pensées de Redwin) mais surtout beaucoup beaucoup de castagne. Après tout, on ne réunit pas une si belle équipe pour beurrer des mouillettes. Que puis-je vous dire d'autre ? Giovanni Lorusso que je ne connaissais pas vraiment n'est pas un inconnu sur la série car il en a déjà dessiné plusieurs tomes. Autant vous dire qu'avec J. Nanjan auxx couleurs comme souvent, le dessin ne présente pas de fausses notes et reste dans les canons habituels de la série pour le plaisir des fans. Les habitués de la série se jetteront à raison sur cet album tant l'attente fut longue 🙂 Les autres partent probablement de trop loin pour bien en saisir tout l'intérêt, mais se contenteront d'un bon one shot de Fantasy comme souvent. Autres infos : Storyboard de Kyko Duarte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/guerres-d-arran-tome-2-dal-darum?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Et bim comme d'habitude, à l'approche des fêtes de fin d'années, Soleil nous sort l'artillerie lourde avec ces séries se déroulant dans l'univers des terres d'Arran. Ici il s'agit de leur série cross' over Guerres d'Arran tant attendue devant redémarrer un cycle dantesque reprenant l'ensemble des trames depuis le cycle des goules. Après un premier tome nous lançant dans le grand bain, ce tome 2 reprend pas mal des figures ultra reconnues des Terres d'Arran pour les réunir et leur faire affronter l'une des pires menaces qui soit pour leurs survies : l'Hum 🙂 Autant vous dire que dans le contexte pessimiste actuel, il y a là une double lecture intéressante à l'œuvre complète. Evidemment on nt'est pas tellement là pour philosopher non plus et tout au long de ces 92 pages, on aura le droit à peut être un peu trop de voix off (aka pensées de Redwin) mais surtout beaucoup beaucoup de castagne. Après tout, on ne réunit pas une si belle équipe pour beurrer des mouillettes. Que puis-je vous dire d'autre ? Giovanni Lorusso que je ne connaissais pas vraiment n'est pas un inconnu sur la série car il en a déjà dessiné plusieurs tomes. Autant vous dire qu'avec J. Nanjan auxx couleurs comme souvent, le dessin ne présente pas de fausses notes et reste dans les canons habituels de la série pour le plaisir des fans. Les habitués de la série se jetteront à raison sur cet album tant l'attente fut longue 🙂 Les autres partent probablement de trop loin pour bien en saisir tout l'intérêt, mais se contenteront d'un bon one shot de Fantasy comme souvent.
  5. Titre de l'album : Tout savoir sur les dinosaures Scenariste de l'album : Bombom Story Dessinateur de l'album : Choi Woo-Bin Coloriste : Choi Woo-Bin Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Tout savoir en BD , une série pour informer de façon ludique la nouvelle génération à propos des sciences humaines et naturelles. Léna et Sam se rendent au musée des dinosaures. En observant des squelettes de dinosaures, ils rencontrent le Dr Wilson, un paléontologue. Puis Léna et Sam se rendent en Mongolie et retrouvent le Dr Wilson, nos trois aventuriers se lancent dans une expédition lorsque qu'une soudaine tempête de sable les envoient à l'ère mésozoïque. Il y font la connaissance de Coco, un petit ptérosaure qui vient de sortir de son oeuf. Il les accompagne dans leur découverte des différents types de dinosaures de l'ère mésozoïque, ainsi que des plantes, des insectes et des animaux marins, du Trias au Crétacé en passant par le Jurassique. Une nouvelle thématique à chaque album avec deux doubles-pages explicatives. Un récit ludique enrichi de vignettes pédagogiques intégrées tout au long du récit. Une aventure dans un style manga pour apprendre avec humour, accompagné d'un lexique pour approfondir l'apprentissage. Critique : Les éditions Jungle adaptent ces parutions coréennes "Tout savoir" dans de jolis petits formats reliés , qui trouveront aisément une place dans les cartables de nos enfants . Nous suivons les aventures de Léna et Sam pour un retour à l'ère des dinosaures , voire des ères , car cette période couvre presque 200 millions d'années . Une frise explicative en début d'album détaille ces périodes allant du Trias au Crétacé avec des exemples d'animaux présents durant chaque ère . C'est à l'image du récit , détaillé , emprunt d'humour pour ne pas devenir rébarbatif , et facile à lire . Les deux aventuriers en herbe vont donc parcourir l'histoire en compagnie d'un paléontologue leur faisant un petit cours en lien avec les situations rencontrées .Ainsi , les nombreuses questions que posent les enfants trouveront une réponse appropriée et accessible . Les pages BD sont jalonnées de vignettes et autres documents explicatifs enrichissants le récit . Oeuvre coréenne oblige, le trait a de forts accents "manga" et saura séduire son public . D'autres parutions du même type sont prévues , comme L'univers , Le corps humain et La terre . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-dinosaures/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Les éditions Jungle adaptent ces parutions coréennes "Tout savoir" dans de jolis petits formats reliés , qui trouveront aisément une place dans les cartables de nos enfants . Nous suivons les aventures de Léna et Sam pour un retour à l'ère des dinosaures , voire des ères , car cette période couvre presque 200 millions d'années . Une frise explicative en début d'album détaille ces périodes allant du Trias au Crétacé avec des exemples d'animaux présents durant chaque ère . C'est à l'image du récit , détaillé , emprunt d'humour pour ne pas devenir rébarbatif , et facile à lire . Les deux aventuriers en herbe vont donc parcourir l'histoire en compagnie d'un paléontologue leur faisant un petit cours en lien avec les situations rencontrées .Ainsi , les nombreuses questions que posent les enfants trouveront une réponse appropriée et accessible . Les pages BD sont jalonnées de vignettes et autres documents explicatifs enrichissants le récit . Oeuvre coréenne oblige, le trait a de forts accents "manga" et saura séduire son public . D'autres parutions du même type sont prévues , comme L'univers , Le corps humain et La terre .
  7. Titre de l'album : Les reines de sang - Marie Tudor, la reine sanglante 2 Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Claudio Montalbano Coloriste : Jean-Paul Fernandez Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Angleterre, 1535. Marie, de retour à Londres, vit dans une totale dévotion pour sa foi catholique. Son père, Henri VIII, enfin comblé d'un héritier mâle, voit sa troisième femme périr, et prépare déjà son prochain mariage. Pendant ce temps, il a chargé Thomas Cromwell de réformer l'Angleterre, coûte que coûte, par de terribles répressions... et ses opposants se multiplient chaque jour. Critique : Initialement prévu au format diptyque, la reine de sang Marie Tudor se voit prolonger d'un troisième pour permettre aux auteurs de développer son histoire. Marie Tudor trouve sa place dans la collection des reines de sang comme son surnom était la reine sanglante. Éric Corbeyran se charge de l'écriture de l'histoire pour retracer son parcours mais aussi toutes les intrigues ou complots autour de Marie avant qu'elle ne soit encore reine sous le règne de son père. Les dessins de Claudio Montalbano sont de qualité surtout pour la représentation des visages. On pourra reprocher quelques cases où les décors font vides mais ce genre de bande dessinée se focalise souvent sur les échanges entre protagonistes sans trop d’action. La vie mouvementée des futures reines ou reines sont des sujets faciles pour inspirer les auteurs avec les faits historiques. Ce deuxième épisode de Marie Tudor retrace une vingtaine d'année de sa vie avec un final annonçant prochainement sa place sur le trône d’Angleterre, comme première reine régnante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-reines-de-sang-marie-tudor-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Initialement prévu au format diptyque, la reine de sang Marie Tudor se voit prolonger d'un troisième pour permettre aux auteurs de développer son histoire. Marie Tudor trouve sa place dans la collection des reines de sang comme son surnom était la reine sanglante. Éric Corbeyran se charge de l'écriture de l'histoire pour retracer son parcours mais aussi toutes les intrigues ou complots autour de Marie avant qu'elle ne soit encore reine sous le règne de son père. Les dessins de Claudio Montalbano sont de qualité surtout pour la représentation des visages. On pourra reprocher quelques cases où les décors font vides mais ce genre de bande dessinée se focalise souvent sur les échanges entre protagonistes sans trop d’action. La vie mouvementée des futures reines ou reines sont des sujets faciles pour inspirer les auteurs avec les faits historiques. Ce deuxième épisode de Marie Tudor retrace une vingtaine d'année de sa vie avec un final annonçant prochainement sa place sur le trône d’Angleterre, comme première reine régnante.
  9. Clape de fin pour "la fortune des Winczlav" et clap de fin intéressant pour une série qui aura su rester restreinte en nombre de tome. Le succès et la réputation de la série mère aurait pu nous laisser imaginer une série à rallonge avec plein de dérives temporelles mais il n'en est rien. Nos auteurs finissent avec brio leur trilogie historique et familiale par une tome qui réussit à faire le lien avec le premier tome de largo. Par un judicieux découpage alternant les deux coté de la famille (aux US et en Yougoslavie), nos auteurs réussissent à bien rendre crédible l'adoption par Nerio du petit Largo, sans qu'il soit question d'argent ou d'adoption standard. Une belle fin à un préquel qui aura ravi tous les fans du milliardaire philanthrope.
  10. Titre de l'album : La fortune des Winczlav tome 3 - Danitza 1965 Scenariste de l'album : Jean Van Hamme Dessinateur de l'album : Philippe Berthet Coloriste : Philippe Berthet Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Nerio Winch a enfin remis la main sur les champs pétrolifères autrefois concédés par Milan Winczlav aux Cherokees. La première marche vers une fulgurante ascension, qui lui permettra de faire taire les sarcasmes sur sa petite taille. Aidé par Sid, son frère de lait noir, Nerio ne reculera devant rien, pas même l'illégalité... Pendant ce temps, Jovan et Aliana Winczlav, jeunes parents installés au Montenegro, s'apprêtent à subir les foudres de la police du maréchal Tito... La conclusion emballante de la grande saga Winczlav, éclairant en creux le personnage de Largo Winch ! Van Hamme dresse un portrait passionnant et sans concessions de Nerio Winch, futur père de Largo, aussi dur et sans scrupules que son fils sera humaniste. Berthet, comme toujours, est impeccable d'élégance. Critique : Clape de fin pour "la fortune des Winczlav" et clap de fin intéressant pour une série qui aura su rester restreinte en nombre de tome. Le succès et la réputation de la série mère aurait pu nous laisser imaginer une série à rallonge avec plein de dérives temporelles mais il n'en est rien. Nos auteurs finissent avec brio leur trilogie historique et familiale par une tome qui réussit à faire le lien avec le premier tome de largo. Par un judicieux découpage alternant les deux coté de la famille (aux US et en Yougoslavie), nos auteurs réussissent à bien rendre crédible l'adoption par Nerio du petit Largo, sans qu'il soit question d'argent ou d'adoption standard. Une belle fin à un préquel qui aura ravi tous les fans du milliardaire philanthrope. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fortune-des-winczlav-tome-3-danitza-1965?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Clifton - Tome 24 - Le dernier des Clifton Scenariste de l'album : Zidrou Dessinateur de l'album : Turk Coloriste : Kaël Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Si le colonel Harold Wilberforce Clifton s'enorgueillit de son inestimable collection de bagues de cigares, il est plus fier encore de son nom et de sa lignée. Mais qui dit dynastie séculaire dit secrets de famille. Et, par la faute d'un de ses ancêtres, notre colonel favori doit faire face à une mystérieuse bande d'assassins français - donc antipathiques - bien décidés à éteindre la lignée des Clifton ! Holy cow ! Critique : J'avoue que je ne suis pas un lecteur assidu des Clifton, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de celui-ci. L'essentiel des vannes reposent sur la rivalité franco anglaise, que Turk et Zidrou nous présentent officiellement du point de vue anglais, mais qui reste avant tout une source de blagues inépuisables pour qui aime détester la perfide albion. Petits et grands gags se succèdent donc avec toutefois un petit moment émotion bien vite balayé pour laisser place à l'aventure et l'humour. Je trouve que le format d'aventure ou d'histoire complète est particulièrement bien adapté à l'humour développé, puisque si une série de gags auraient peut être finis par nous lasser, là le parfum de l'aventure ou de l'enquête permet un relais agréable. Une lecture des plus sympathique donc. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clifton-tome-24-le-dernier-des-clifton?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. J'avoue que je ne suis pas un lecteur assidu des Clifton, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture de celui-ci. L'essentiel des vannes reposent sur la rivalité franco anglaise, que Turk et Zidrou nous présentent officiellement du point de vue anglais, mais qui reste avant tout une source de blagues inépuisables pour qui aime détester la perfide albion. Petits et grands gags se succèdent donc avec toutefois un petit moment émotion bien vite balayé pour laisser place à l'aventure et l'humour. Je trouve que le format d'aventure ou d'histoire complète est particulièrement bien adapté à l'humour développé, puisque si une série de gags auraient peut être finis par nous lasser, là le parfum de l'aventure ou de l'enquête permet un relais agréable. Une lecture des plus sympathique donc.
  13. Titre de l'album : Robfox et le voyage du Souvnhir Scenariste de l'album : Nicolas Pothier Dessinateur de l'album : Vincent Joubert Coloriste : Vincent Joubert Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un faune géant est retrouvé endormi dans un champ près du village de Vertbagne. Les habitants font appel à Robfox, un surprenant renard-robot capable de toutes les missions les plus improbables. Celui-ci réussit à faire partir le faune. Mais à sa place, il découvre un tout petit Souvnhir, créature mythique à la réputation sulfureuse. Le maire du village missionne Robfox pour qu'il s'en débarrasse... Critique : Ce premier tome commence très bien une nouvelle série pour un public jeune, avec un renard pour héros accompagné d'un puissant robot qui le transporte. Les deux compères font le tour des villages pour résoudre toutes les problématiques des habitants et autres personnes en difficulté. Dès l'introduction, notre renard est confronté à un problème inattendu avec l'apparition d'un Souvnhir et sa malédiction. Dès lors commence un périple pour notre petite troupe de héros. Nicolas Pothier gère à merveille l'écriture de son histoire avec deux lectures différentes pour adultes et enfants comme dans les films d'animation. Nicolas Pothier s'amuse avec les jeux de mots tout au long de son histoire. Les dessins et couleurs de Vincent Joubert sont parfait pour le récit, l’auteur détailles beaucoup les planches pour nous plonger dans cet univers. De plus, l’anthropomorphisme est bien géré pour donner des réactions crédibles aux animaux. Ce premier tome termine l’intrigue autour du Souvnhir mais d’autres tomes sont prévus pour de nouvelles aventures avec RoxFox. Autres infos : Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/robfox-et-le-voyage-du-souvnhir/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    Robfox et le voyage du Souvnhir

    Ce premier tome commence très bien une nouvelle série pour un public jeune, avec un renard pour héros accompagné d'un puissant robot qui le transporte. Les deux compères font le tour des villages pour résoudre toutes les problématiques des habitants et autres personnes en difficulté. Dès l'introduction, notre renard est confronté à un problème inattendu avec l'apparition d'un Souvnhir et sa malédiction. Dès lors commence un périple pour notre petite troupe de héros. Nicolas Pothier gère à merveille l'écriture de son histoire avec deux lectures différentes pour adultes et enfants comme dans les films d'animation. Nicolas Pothier s'amuse avec les jeux de mots tout au long de son histoire. Les dessins et couleurs de Vincent Joubert sont parfait pour le récit, l’auteur détailles beaucoup les planches pour nous plonger dans cet univers. De plus, l’anthropomorphisme est bien géré pour donner des réactions crédibles aux animaux. Ce premier tome termine l’intrigue autour du Souvnhir mais d’autres tomes sont prévus pour de nouvelles aventures avec RoxFox.
  15. alx23

    Les illuminés

    Titre de l'album : Les illuminés Scenariste de l'album : Laurent-Frédéric Bollée & Jean Dytar Dessinateur de l'album : Jean Dytar Coloriste : Jean Dytar Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Qui se cache à l'ombre des Illuminations, cette pièce unique de la poésie française ? Arthur Rimbaud, bien sûr, mais aussi Paul Verlaine et Germain Nouveau. Entre 1872 et 1877, les trois poètes se tournent autour, se cherchent, se fuient, s'enivrent, tentent d'être libres ou s'acharnent à ne pas l'être. Et puis un manuscrit, l'ultime, circule de main en main et semble leur brûler les doigts... Critique : Laurent-Frédéric Bollée et Jean Dytar scénarisent ce roman graphique imposant en se basant sur le recueil de poèmes en proses d'Arthur Rimbaud, les Illuminations. Dans ce titre, les auteurs testent une narration surprenante au départ, avec une histoire sur la première moitié d'une planche et une seconde sur la deuxième. Avec cette méthode, les auteurs peuvent revenir sur la complicité des poètes et écrivain que sont Arthur Rimbaud, Paul Verlaine et Germain Nouveau. Sur la fin de l'album, les planches sont séparées en trois horizontalement pour continuer avec la vie des trois hommes chacun de leur côté. On croisera d'autres artistes connus comme Paul Cézane durant l'histoire. Ce titre se déroule durant une dizaine d'année autour d'un manuscrit secret partagé par les trois amis. La partie graphique de Jean Dytar est impressionnante, d'ailleurs la couverture est assez représentative des planches intérieures. Les paysages sont magnifiques ainsi que les monuments entourant les trois compères. Les couleurs sont différentes suivant les deux parties des planches pour différenciés les lieux et les personnages. Cette technique de deux histoires distinctes à lire sur la même planche est originale même s’il faut un temps d'adaptation au démarrage. Cet effet, nous permet de suivre toujours les trois personnages aux mêmes moments dans des lieux différents. Les illuminés est un très bel hommage à ces trois auteurs. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-illumines/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Les illuminés

    Laurent-Frédéric Bollée et Jean Dytar scénarisent ce roman graphique imposant en se basant sur le recueil de poèmes en proses d'Arthur Rimbaud, les Illuminations. Dans ce titre, les auteurs testent une narration surprenante au départ, avec une histoire sur la première moitié d'une planche et une seconde sur la deuxième. Avec cette méthode, les auteurs peuvent revenir sur la complicité des poètes et écrivain que sont Arthur Rimbaud, Paul Verlaine et Germain Nouveau. Sur la fin de l'album, les planches sont séparées en trois horizontalement pour continuer avec la vie des trois hommes chacun de leur côté. On croisera d'autres artistes connus comme Paul Cézane durant l'histoire. Ce titre se déroule durant une dizaine d'année autour d'un manuscrit secret partagé par les trois amis. La partie graphique de Jean Dytar est impressionnante, d'ailleurs la couverture est assez représentative des planches intérieures. Les paysages sont magnifiques ainsi que les monuments entourant les trois compères. Les couleurs sont différentes suivant les deux parties des planches pour différenciés les lieux et les personnages. Cette technique de deux histoires distinctes à lire sur la même planche est originale même s’il faut un temps d'adaptation au démarrage. Cet effet, nous permet de suivre toujours les trois personnages aux mêmes moments dans des lieux différents. Les illuminés est un très bel hommage à ces trois auteurs.
  17. Titre de l'album : La course du siècle Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Jose Luis Munuera Coloriste : Sedyas Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 1904. Les États-Unis accueillent les Jeux Olympiques pour la première fois et sont bien décidés à prouver leur supériorité. Le marathon aura lieu à Saint-Louis, dans le Missouri, et il va marquer les esprits... en tant que course la plus rocambolesque de l'histoire de ce sport ! Trente-deux coureurs sur la ligne de départ, mais seulement quatorze à l'arrivée. Entre dopage expérimental, triche, sentiers balisés aléatoirement, tout peut ? et va - arriver. Faites vos jeux, rien ne va plus... mais alors vraiment plus du tout ! Critique : Bon j'ai beau aimer le sport et l'histoire, je vous avoue que je ne connaissais rien à l'histoire des débuts des jeux olympiques. Et encore moins l'histoire de ce marathon plus que rocambolesque. Kid Toussaint et Jose Luis Munuera ont eu la bonne idée de s'associer pour nous raconter cette course du siècle. Pour les amateurs de BD il devient inutile de présenter ces deux auteurs, pour les autres sachez que ce sont deux auteurs prolifiques qui nous ont livré de bien belles bd jusqu'ici. Autant vous dire que leur association semble prometteuse. Les auteurs nous préviennent bien qu'il s'agit d'une oeuvre avec une base historique réelle sur laquelle une forme de romanesque a évidemment été ajouté. Sans trop en dire sur l'intrigue, cela semble cohérent et n'est pas vraiment gênant, le point de départ et d'arrivée étant les faits historiques, et laissant la place à un développement plus romancé mais cohérent. Je ne sais pas si c'est vraiment utile de vous dire que le dessin de Jose Luis Munuera est toujours aussi beau, mais l'on peut rajouter que les couleurs choisies et appliquées avec talent par Sedyas rendent le tout encore plus sublime. C'est fin, expressif et l'atmosphère est magnifiquement rendue. Concernant l'histoire, elle m'a laissé une impression un peu bizarre car c'est une course avec des personnages bien différents développés un peu chacun à leurs tours, mais qui n'apporte finalement pas d'énormes rebondissements. C'est donc très enrichissant car pour les non initiés il parait impensable que la course se soit passée ainsi, cependant au delà de ça, l'histoire n'est finalement pas si marquante... Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-course-du-siecle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. The_PoP

    La course du siècle

    Bon j'ai beau aimer le sport et l'histoire, je vous avoue que je ne connaissais rien à l'histoire des débuts des jeux olympiques. Et encore moins l'histoire de ce marathon plus que rocambolesque. Kid Toussaint et Jose Luis Munuera ont eu la bonne idée de s'associer pour nous raconter cette course du siècle. Pour les amateurs de BD il devient inutile de présenter ces deux auteurs, pour les autres sachez que ce sont deux auteurs prolifiques qui nous ont livré de bien belles bd jusqu'ici. Autant vous dire que leur association semble prometteuse. Les auteurs nous préviennent bien qu'il s'agit d'une oeuvre avec une base historique réelle sur laquelle une forme de romanesque a évidemment été ajouté. Sans trop en dire sur l'intrigue, cela semble cohérent et n'est pas vraiment gênant, le point de départ et d'arrivée étant les faits historiques, et laissant la place à un développement plus romancé mais cohérent. Je ne sais pas si c'est vraiment utile de vous dire que le dessin de Jose Luis Munuera est toujours aussi beau, mais l'on peut rajouter que les couleurs choisies et appliquées avec talent par Sedyas rendent le tout encore plus sublime. C'est fin, expressif et l'atmosphère est magnifiquement rendue. Concernant l'histoire, elle m'a laissé une impression un peu bizarre car c'est une course avec des personnages bien différents développés un peu chacun à leurs tours, mais qui n'apporte finalement pas d'énormes rebondissements. C'est donc très enrichissant car pour les non initiés il parait impensable que la course se soit passée ainsi, cependant au delà de ça, l'histoire n'est finalement pas si marquante... Dommage.
  19. Titre de l'album : Super pixel boy tome 2 - C'est le plus beau jour de ma vie ! Scenariste de l'album : Loïc Clément Dessinateur de l'album : Boris Mirroir Coloriste : Boris Mirroir Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Pour occuper ses vacances en Espagne, la réponse c'est Golden Axe. Un souci avec des oiseaux pilleurs de cerises dans le jardin de papi ? Hogan's Alley est la solution. Pour les problèmes de coeur avec son amoureuse, c'est simple, il faut s'inspirer de Zelda. Pixel trouve ses réponses dans les jeux vidéo ! Idée de génie ? Peut-être pas, mais ça fait de beaux souvenirs ! Critique : On retrouve la suite des aventures de Pixel boy pour replonger avec beaucoup de nostalgie dans les années 80, où l'on découvrait les premiers jeux vidéo sur console. Le scénariste Loïc Clément met en situation son jeune héros sur plus d'une douzaine d'histoires courtes. Chaque histoire est amenée à tourner autour d'un jeu vidéo bien précis et comment le héros l'a découvert. Nous avons droit à un résumé de l'histoire et quelques informations sur les graphismes du jeu. Ce deuxième tome commence avec Golden axe, le beat'em all tendance de l'époque avec la possibilité de jouer à plusieurs. Altered beast, Super Mario Bros 2, Another world ou Zelda mais aussi des jeux moins connus seront présentés dans ce tome de Pixel boy. Les dessins sont dans un style cartoon avec des images tirées des jeux vidéo. L'édition est siognée avec une carte en relief sur la couverture. Cette série convient parfaitement aux lecteurs qui ont connu les années 80 mais surtout les jeux vidéo qui inondaient le marché international en cartouche pour console ou les salles d’arcade. Les mises en situations du héros rappelleront ou pas des anecdotes de la vie de chacun mais ce sont surtout les jeux énumérés dans l'abum qui donnent l'intérêt de cette série. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/super-pixel-boy-t02-c-est-le-plus-beau-jour-de-ma-vie/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. On retrouve la suite des aventures de Pixel boy pour replonger avec beaucoup de nostalgie dans les années 80, où l'on découvrait les premiers jeux vidéo sur console. Le scénariste Loïc Clément met en situation son jeune héros sur plus d'une douzaine d'histoires courtes. Chaque histoire est amenée à tourner autour d'un jeu vidéo bien précis et comment le héros l'a découvert. Nous avons droit à un résumé de l'histoire et quelques informations sur les graphismes du jeu. Ce deuxième tome commence avec Golden axe, le beat'em all tendance de l'époque avec la possibilité de jouer à plusieurs. Altered beast, Super Mario Bros 2, Another world ou Zelda mais aussi des jeux moins connus seront présentés dans ce tome de Pixel boy. Les dessins sont dans un style cartoon avec des images tirées des jeux vidéo. L'édition est siognée avec une carte en relief sur la couverture. Cette série convient parfaitement aux lecteurs qui ont connu les années 80 mais surtout les jeux vidéo qui inondaient le marché international en cartouche pour console ou les salles d’arcade. Les mises en situations du héros rappelleront ou pas des anecdotes de la vie de chacun mais ce sont surtout les jeux énumérés dans l'abum qui donnent l'intérêt de cette série.
  21. Titre de l'album : Adieu Birkenau - Une survivante d'Auschwitz raconte Scenariste de l'album : Jean-David Morvan | Victor Matet Dessinateur de l'album : Francesc Fullana Dalmases | Ricard Fernandez Coloriste : Francesc Fullana Dalmases | Ricard Fernandez Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : En avril 1944, à 19 ans Ginette Kolinka est déportée au camp d'extermination Auschwitz II-Birkenau.Elle n'en parle pas durant 50 ans, avant d'accepter d'être filmée pour la Shoah Foundation, que Steven Spielberg vient de créer.À la grande surprise de la septuagénaire, les souvenirs enfouis rejaillissent. Elle se lance à corps perdu dans le témoignage.En octobre 2020, à 95 ans, elle permet à Victor Matet et Jean-David Morvan de l'accompagner lors d'un de ses voyages de groupe en Pologne, à l'issue duquel elle décide de ne plus jamais revenir.Dans cet album bouleversant mis en images avec pudeur et puissance par Efa, Cesc et Roger, elle fait le point entre son premier et son dernier passage dans le plus grand cimetière du monde avec ce mélange unique de force, d'humour et d'espoir qui la caractérise.Sélection Prix BD FNAC/FRANCE INTER 2024 Critique : Après madeleine résistance, c'est au tour d'Albin Michel de nous livrer un récit sur la seconde guerre mondiale avec "Adieux Birkenau". C'est encore une fois le récit d'une survivante de la seconde guerre mondial, mais c'est cette fois-ci une survivante des camps de la mort et donc du amp de Birkenau, le deuxième camping d'Auschwitz. Ce récit est édifiant. Édifiant, car notre narratrice nous raconte comme son vécu d'enfant, à une période où les grandes personnes deviennent folles. Une enfant qui se doit de grandir trop vite et voit son innocence disparaitre bien trop tôt et bien trop vite. Cette histoire est aussi l'histoire de notre narratrice qui, plutôt que de chercher à oublier, cherche à raconter et à transmettre, quitte à revenir sur les lieux où l'humanité à montre ce qu'elle avait de pire. À lire et à faire lire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adieu-birkenau-une-survivante-d-auschwitz-raconte?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Après madeleine résistance, c'est au tour d'Albin Michel de nous livrer un récit sur la seconde guerre mondiale avec "Adieux Birkenau". C'est encore une fois le récit d'une survivante de la seconde guerre mondial, mais c'est cette fois-ci une survivante des camps de la mort et donc du amp de Birkenau, le deuxième camping d'Auschwitz. Ce récit est édifiant. Édifiant, car notre narratrice nous raconte comme son vécu d'enfant, à une période où les grandes personnes deviennent folles. Une enfant qui se doit de grandir trop vite et voit son innocence disparaitre bien trop tôt et bien trop vite. Cette histoire est aussi l'histoire de notre narratrice qui, plutôt que de chercher à oublier, cherche à raconter et à transmettre, quitte à revenir sur les lieux où l'humanité à montre ce qu'elle avait de pire. À lire et à faire lire !
  23. poseidon2

    Mécanique céleste - La source

    Bon alors si vous êtes comme moi, c'est-à-dire fan de la mécanique céleste et fan de Merwan, vous aurez surement été surpris de ce tome deux de la mécanique céleste. En effet, le tome un état excellent et se suffisaient à lui-même. Pourquoi prendre le risque d'en faire une suite ? Eh bien tout simplement parce que Merwan avait encore (et à toujours je pense) des choses à dire sur son univers si particulier. Si ce deuxième tome n'a plus rien à voir (malheureusement) avec la mécanique céleste et ce fameux combat de..... balle au prisonnier qui faisait la fraicheur du tome un, Merwan nous montre que son univers ne se résume pas à ce jeu mais est bien plus vaste et complexe. Ce deuxième tome nous permet de mieux comprendre les forces en présences, tout en nous livrant une course poursuite haletante. Un bon deuxième tome dans un univers qui se densifie et offre de belle possibilité pour la suite.
  24. Titre de l'album : Mécanique céleste - La source Scenariste de l'album : Merwan Chabane Dessinateur de l'album : Merwan Chabane Coloriste : Merwan Chabane Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après leur victoire contre Fortuna à la Mécanique Céleste, Aster et l'équipe de Pan fuient la cité et trouvent refuge dans une ancienne usine désaffectée. Ils y rencontrent une étrange communauté recluse, La Source, qui prône la neutralité envers Fortuna et Cérès. Mais la paix ne dure qu'un temps et les émissaires de Fortuna débarquent dans l'usine, bien décidés à mettre la main sur les responsables d'un attentat contre leurs dispositifs technologiques qui s'y seraient réfugiés. S'ensuit une véritable course-poursuite entre faux terroristes, vrais espions et au milieu de ce bazar, Aster et son équipe de bras cassés ! Un récit à l'énergie, à la générosité et à la bonne humeur communicative qui reprend tous les éléments qui ont fait le succès de "Mécanique Céleste" ! Critique : Bon alors si vous êtes comme moi, c'est-à-dire fan de la mécanique céleste et fan de Merwan, vous aurez surement été surpris de ce tome deux de la mécanique céleste. En effet, le tome un état excellent et se suffisaient à lui-même. Pourquoi prendre le risque d'en faire une suite ? Eh bien tout simplement parce que Merwan avait encore (et à toujours je pense) des choses à dire sur son univers si particulier. Si ce deuxième tome n'a plus rien à voir (malheureusement) avec la mécanique céleste et ce fameux combat de..... balle au prisonnier qui faisait la fraicheur du tome un, Merwan nous montre que son univers ne se résume pas à ce jeu mais est bien plus vaste et complexe. Ce deuxième tome nous permet de mieux comprendre les forces en présences, tout en nous livrant une course poursuite haletante. Un bon deuxième tome dans un univers qui se densifie et offre de belle possibilité pour la suite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mecanique-celeste-la-source?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Les 110 pilules et autres envoûtements Scenariste de l'album : Magnus Dessinateur de l'album : Magnus Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le riche Hsi-Meng Sen a reçu d'un moine un cadeau incomparable : 110 pilules qui décuplent la force sexuelle... Cette aubaine s'accompagne toutefois d'un commandement : ne prendre qu'une seule pilule à la fois, à chaque nouvelle lune. Mais le libertin se laisse aller à les consommer sans aucune modération... et commence une insatiable immersion dans les plaisirs de la chair. Critique : Après la réédition luxueuse de Chiara Rosenberg et autres gourmandises début septembre, les éditions Delcourt poursuivent la collection Erotix avec les 110 pilules et autres envoutements de Magnus. Les 110 pilules est certainement le meilleur album réalisé intégralement par Magnus. Magnus nous propose de suivre les ébats sexuels d'un homme riche utilisant des pilules pour augmenter sa force virile avec toutes ses conquêtes et autres maitresses. Cependant, l'homme en consomme beaucoup trop et ne suit les indications du moine et devra en payer le prix. Les 110 pilules est un titre érotique et sensuel autour de ce que l’on appellerait le viagra aujourd’hui. Cette histoire est suivie de Femmes envoutées, Milady 3000, Exhibition, Sur la terrasse et le compte à rebours de Socrate. Les dessins de l'auteur sont réalistes tout en noir et blanc. Son style diffère suivant les histoires. L'album se termine sur un portfolio important avec de nombreuses illustrations en couleur, des recherches graphiques de l'auteur. Cette nouvelle édition permettra de faire découvrir le travail de Magnus et les albums luxueux de la collection Erotix devraient intéressés de nombreux lecteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catalog/product/view/id/435922/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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