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  1. La série historique sur les reines de sang doit remporter beaucoup de succès auprès des lecteurs avec les nombreux diptyques et triptyques qui débutent en peu de temps. Après Boudicca la furie le mois dernier, on peut découvrir aujourd’hui Rani Lakshmi Bai, la séditieuse prévue en trois tomes. Le décor change complétement, les deux scénaristes Simona Mogavino et Arnaud Delalande nous emmènent en Inde pendant la colonisation britannique. Le contexte historique est électrique et la reine Rani Lakshmi Bai revient sur la fougue de sa jeunesse pour expliquer à son fils, ses choix. Il est très intéressant de découvrir l’histoire d’une reine peut connue du publique français. On plonge au cœur de l’Inde avec toute ses richesses et couleurs. Ce premier tome reprend la jeunesse de la reine jusqu’à ce quelle soit une jeune adulte. Les dessins de Carlos Gomez sont de qualité pour dépeindre l’Inde du XIXe siècle. Quelques doubles pages lors des célébrations de fêtes indiennes décrivent à merveilles l’ambiance et la culture du pays. Les lecteurs de la série seront comptant de découvrir une reine exotique et de voyager aux quatre coins du monde avec toutes les reines de sang.
  2. Titre de l'album : Les reines de sang - Rani Lakshmi Bai, la séditieuse tome 1 Scenariste de l'album : Simona Mogavino & Arnaud Delalande Dessinateur de l'album : Carlos Gomez Coloriste : Luca Saponti Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : D'origine roturière, Lakshmi Bai finit par devenir rani (ou reine) de Jhansi, un état princier de l'Inde du XIXe siècle. La plupart des contes de fées se seraient arrêtés là, mais pas celui de Lakshmi Bai. Cette ascension ne marque que le début de la vie remarquable de cette reine guerrière qui, avec son peuple, va devoir se confronter aux colons anglais. Critique : La série historique sur les reines de sang doit remporter beaucoup de succès auprès des lecteurs avec les nombreux diptyques et triptyques qui débutent en peu de temps. Après Boudicca la furie le mois dernier, on peut découvrir aujourd’hui Rani Lakshmi Bai, la séditieuse prévue en trois tomes. Le décor change complétement, les deux scénaristes Simona Mogavino et Arnaud Delalande nous emmènent en Inde pendant la colonisation britannique. Le contexte historique est électrique et la reine Rani Lakshmi Bai revient sur la fougue de sa jeunesse pour expliquer à son fils, ses choix. Il est très intéressant de découvrir l’histoire d’une reine peut connue du publique français. On plonge au cœur de l’Inde avec toute ses richesses et couleurs. Ce premier tome reprend la jeunesse de la reine jusqu’à ce quelle soit une jeune adulte. Les dessins de Carlos Gomez sont de qualité pour dépeindre l’Inde du XIXe siècle. Quelques doubles pages lors des célébrations de fêtes indiennes décrivent à merveilles l’ambiance et la culture du pays. Les lecteurs de la série seront comptant de découvrir une reine exotique et de voyager aux quatre coins du monde avec toutes les reines de sang. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-reines-de-sang-rani-lakshmi-bai-la-seditieuse-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. alx23

    L'or du temps tome 2

    On retrouve la suite des aventures de Théo dans une mauvaises posture suite aux événements du premier tome. Le scénariste Rodolphe nous réserve encore bien des surprises en nous emmenant dans Paris à l'époque de l'exposition universelle, à la recherche d'un sarcophage phénicien avec son mystère qu'il renferme. L'histoire se scinde en deux intrigues, dont Théo le héros prend part. En effet, il enquête sur le sarcophage avec l'aide d'Hugo et il accompagne le journaliste Claude en quête de sensation forte autour de l'occultisme pour écrire des articles très en vogue. On ne s'ennuie pas un seul moment dans ce diptyque entre révélations, enquête, ésotérisme et action. La partie graphique d'Oriol apporte la touche finale et donne un rendu visuel des plus réussi. L'auteur dessine à merveille Paris avec tous ses monuments importants dans l'intrigue. La mise en couleur est particulière mais convient très bien au genre mystérieux. D’ailleurs les visages des personnages sont souvent sans expressions ni aucun trait distinctif et pourtant l’ensemble fonctionne parfaitement. L'album se termine sur des recherches graphiques et des illustrations. Avec l'or du temps, les deux auteurs rendent hommages avec beaucoup de talents aux feuilletons de la littératures ou cinématographiques comme Belphégor. Je recommande ce diptyque en espérant que les auteurs poursuivent l'aventure.
  4. Titre de l'album : L'or du temps tome 2 Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Oriol Coloriste : Oriol Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : La suite et la fin du diptyque de Rodolphe et Oriol. Sous le trait impressionniste du dessinateur espagnol, Théo continue son enquête dans les bas-fonds de Paris, en forme d’hommage aux meilleurs feuilletons de la littérature et de la bande dessinée... à la recherche de l’«Or du temps». Critique : On retrouve la suite des aventures de Théo dans une mauvaises posture suite aux événements du premier tome. Le scénariste Rodolphe nous réserve encore bien des surprises en nous emmenant dans Paris à l'époque de l'exposition universelle, à la recherche d'un sarcophage phénicien avec son mystère qu'il renferme. L'histoire se scinde en deux intrigues, dont Théo le héros prend part. En effet, il enquête sur le sarcophage avec l'aide d'Hugo et il accompagne le journaliste Claude en quête de sensation forte autour de l'occultisme pour écrire des articles très en vogue. On ne s'ennuie pas un seul moment dans ce diptyque entre révélations, enquête, ésotérisme et action. La partie graphique d'Oriol apporte la touche finale et donne un rendu visuel des plus réussi. L'auteur dessine à merveille Paris avec tous ses monuments importants dans l'intrigue. La mise en couleur est particulière mais convient très bien au genre mystérieux. D’ailleurs les visages des personnages sont souvent sans expressions ni aucun trait distinctif et pourtant l’ensemble fonctionne parfaitement. L'album se termine sur des recherches graphiques et des illustrations. Avec l'or du temps, les deux auteurs rendent hommages avec beaucoup de talents aux feuilletons de la littératures ou cinématographiques comme Belphégor. Je recommande ce diptyque en espérant que les auteurs poursuivent l'aventure. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-or-du-temps-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Pffff difficile de dire autre chose que : je suis déçu. Vraiment déçu. Après un premier tome vraiment excellent, vraie critique de la haute société française, j'attendais avec impatience la suite des aventures de notre mamie espagnole. Et bien j'ai vraiment eu l'impression que notre auteur était en pannes d'idées. En effet mis à part des scènettes comme celle avec le voisin du dessous ou encore celle de l'AVC du père de notre héros, le reste est assez plat. Tellement plat que certaines pagessont uniquement des petites miniatures montrant le temps qui passe. Pas vraiment d'info sur la sœur, pas d'info non plus sur son ex ou alors pas d'action de sa part pour essayer deretrouver son coup de coeur du premier tome. Bref pas grand dans un tome qui n'arrive pas à la cheville du premier.Dommage.
  6. Titre de l'album : Réfugiés climatiques & castagnettes t2 Scenariste de l'album : David Ratte Dessinateur de l'album : David Ratte Coloriste : David Ratte Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Quiconque disposant d'un logement suffisamment grand devra héberger un ou plusieurs réfugiés climatiques sous peine de poursuites. Le réchauffement climatique s'est accentué. L'Italie, l'Espagne, le Portugal sont devenus inhabitables et les habitants doivent fuir vers le Nord. Pour faire face à cette crise migratoire sans précédent, les gouvernements prennent des mesures drastiques. En France, un décret ordonne la réquisition des surfaces habitables disponibles afin d'accueillir les réfugiés. Louis se voit attribuer Maria del Pilar, une vieille mamie espagnole qui ne parle pas un mot de français. Heureusement, Nieves, sa très séduisante petite-fille est hébergée au quatrième étage et sert d'interprète. Mais depuis que Nieves et son frère ont brusquement immigré vers l'Allemagne, Louis se retrouve seul avec Maria. Le moins que l'on puisse dire c'est que rien ne l'a préparé à ça... et que cette cohabitation forcée pourrait bien changer sa vie à tout jamais. Critique : Pffff difficile de dire autre chose que : je suis déçu. Vraiment déçu. Après un premier tome vraiment excellent, vraie critique de la haute société française, j'attendais avec impatience la suite des aventures de notre mamie espagnole. Et bien j'ai vraiment eu l'impression que notre auteur était en pannes d'idées. En effet mis à part des scènettes comme celle avec le voisin du dessous ou encore celle de l'AVC du père de notre héros, le reste est assez plat. Tellement plat que certaines pagessont uniquement des petites miniatures montrant le temps qui passe. Pas vraiment d'info sur la sœur, pas d'info non plus sur son ex ou alors pas d'action de sa part pour essayer deretrouver son coup de coeur du premier tome. Bref pas grand dans un tome qui n'arrive pas à la cheville du premier.Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/refugies-climatiques-castagnettes-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. J'ai longtemps hésité avant de lire cette BD. En effet j'ai souvent du mal avec l'humour sarcastique. J'ai donc attendu un peu pour me décider. Suite à des retours plutôt bons je me suis lancé et.... c'est pile poil le genre d'humour que j’apprécie. Ça critique. Ça se moque des réflexions débiles qu'on entend tout les jours. Et ça j'aime bien. Etant dans une société ou l'on n'a plus le droit de ne se moquer de personne, sous peine de se faire mettre au pilori des gens qui ne sont pas "bienveillants", un peu de critique de la bêtise ça fait du bien. Car autant vous le dire tout de suite, cette BD n'est pas bienveillante envers les gens qui ne réfléchissent pas avant de parler. Elle n'est pas bienveillante mais qu'est ce qu'elle est drôle. Comme toutes les BD d'humour le niveau des blagues varies. Mais certaines sont excellentes ! Celle ci par exemple : ou celle ci: Bref de l'humour qui ne plaira pas à tout le monde, c'est indéniable... mais n'est ce pas la base quand on parle d'humour ?
  8. Titre de l'album : Rattrapage : Il ne faut pas prendre les cons pour des gens Scenariste de l'album : Nicolas Rouhaud / Emmanuel Reuzé Dessinateur de l'album : Emmanuel Reuzé Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : En deux mots : Faut pas prendre les cons pour des gens est un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire, de plus en plus présente autour de nous. À la manière d'un Goossens ou d'un Fabcaro, il tord et maltraite les clichés de la société dans une BD hilarante et grinçante à souhait. Racisme ordinaire, mesures gouvernementales ubuesques, maisons connectées, quotas policiers, surpopulation carcérale, rejet des laissés-pour-compte... Reuzé n'épargne rien ni personne pour notre plus grand plaisir. Côté dessin, il singe la BD contemporaine qui n'hésite pas à reprendre le même dessin sur plusieurs cases. Comme vous l'aurez compris, ce bougre ne prend vraiment rien au sérieux, pas même son éditeur ! Critique : J'ai longtemps hésité avant de lire cette BD. En effet j'ai souvent du mal avec l'humour sarcastique. J'ai donc attendu un peu pour me décider. Suite à des retours plutôt bons je me suis lancé et.... c'est pile poil le genre d'humour que j’apprécie. Ça critique. Ça se moque des réflexions débiles qu'on entend tout les jours. Et ça j'aime bien. Etant dans une société ou l'on n'a plus le droit de ne se moquer de personne, sous peine de se faire mettre au pilori des gens qui ne sont pas "bienveillants", un peu de critique de la bêtise ça fait du bien. Car autant vous le dire tout de suite, cette BD n'est pas bienveillante envers les gens qui ne réfléchissent pas avant de parler. Elle n'est pas bienveillante mais qu'est ce qu'elle est drôle. Comme toutes les BD d'humour le niveau des blagues varies. Mais certaines sont excellentes ! Celle ci par exemple : ou celle ci: Bref de l'humour qui ne plaira pas à tout le monde, c'est indéniable... mais n'est ce pas la base quand on parle d'humour ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/faut-pas-prendre-les-cons-pour-des-gens?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Nero t1

    Lorsque l'on feuillette Nero, on ne peut s'empêcher d'avoir une impression bizarre. Impression qui vient de la taille de pages : en effet les pages (et l'album) sont très grandes, mais ce n'est pas pour mettre plus de dessins. C'est avant tout pour agrandir les dessins et nous faire profiter du talent graphique d'Emiliano Mammucari. Une fois la claque visuelle passée, on se rend compte qu'il y a un scenario derrière. Scenario assez proche de Croisades, mais vu du côté "Maures" de l'histoire. On a un tome un intéressant qui passe pas mal de temps à nous introduire la guerre entre les envahisseurs chrétiens et le peuple musulman, mais qui réussit à orienter la lecture vers le côté fantastique en douceur. Suffisamment pour pouvoir finir par une vraie partie sur les mythes et légendes des pays arabes. La capacité de notre auteur à ne pas tomber dans l'excès de fantastique dans le tome deux jouera pour beaucoup dans la note globale de cette histoire qui est, avant tout, portée par son sublime dessin sur ce premier jet. Pour l'instant, on en prend surtout plein les yeux, ce qui est déjà pas mal.
  10. poseidon2

    Nero t1

    Titre de l'album : Nero t1 Scenariste de l'album : Emiliano Mammucari Dessinateur de l'album : Emiliano Mammucari Coloriste : Emiliano Mammucari Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Syrie, an de l'hégire 551, 58e année d'un combat sans merci. Nero, un féroce guerrier arabe, livre un combat acharné contre les ennemis de l'Orient. Nous sommes au cœur des croisades, l'une des périodes les plus sombres de la grande Histoire. Nero n'est pas un homme comme les autres : redouté par ses ennemis comme par ses alliés, il porte sur son front les stigmates d'un rituel ancestral, une cicatrice qui remonte à l'enfance, ce jour maudit où son propre père a tenté de le sacrifier à Iblis, le Djinn du feu. Unis malgré eux dans une guerre sans merci, Nero et un chevalier chrétien vont devoir mettre leurs différences de côté et combattre ensemble des menaces bien plus dangereuses, des créatures primordiales qui se nourrissent de la haine qui divise les peuples. Emiliano Mammucari, la star italienne, livre ici un incroyable récit d'aventure fantastique et d'histoire revisitée au coeur des croisades. Il met en scène un héros emblématique hanté par un passé douloureux qui va devoir se dépasser pour vaincre des forces obscures vouées à l'extinction de l'Humanité. Critique : Lorsque l'on feuillette Nero, on ne peut s'empêcher d'avoir une impression bizarre. Impression qui vient de la taille de pages : en effet les pages (et l'album) sont très grandes, mais ce n'est pas pour mettre plus de dessins. C'est avant tout pour agrandir les dessins et nous faire profiter du talent graphique d'Emiliano Mammucari. Une fois la claque visuelle passée, on se rend compte qu'il y a un scenario derrière. Scenario assez proche de Croisades, mais vu du côté "Maures" de l'histoire. On a un tome un intéressant qui passe pas mal de temps à nous introduire la guerre entre les envahisseurs chrétiens et le peuple musulman, mais qui réussit à orienter la lecture vers le côté fantastique en douceur. Suffisamment pour pouvoir finir par une vraie partie sur les mythes et légendes des pays arabes. La capacité de notre auteur à ne pas tomber dans l'excès de fantastique dans le tome deux jouera pour beaucoup dans la note globale de cette histoire qui est, avant tout, portée par son sublime dessin sur ce premier jet. Pour l'instant, on en prend surtout plein les yeux, ce qui est déjà pas mal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nero-tome-1-sacrifice?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Mademoiselle Sophie

    Zabus et Hippolyte nous avaient déjà livré un bel ouvrage avec "Incroyable !" et les voici qui récidive avec une très belle histoire sur le passage de l'enfance à l'adolescence, mais surtout une leçon de la vie sur l'acceptation de soi et sur la compréhension des autres. Moi qui ai un fils de 12 ans, cette BD a été une lecture en tout point superbe. Je pense sincèrement que mon fils a traversé les mêmes questionnements que Romain : Pourquoi je vois les adultes différemment ? Pourquoi est-ce que mes Playmobils et autres Legos ne m'intéressent plus autant ? pourquoi est-ce que je réfléchis tout le temps ? ....... Pourquoi est-ce que maintenant le malheur des autres me touche ? Mais cette BD parlera à tout le monde, car on est quelque part tous des enfants qui continuent de grandir. Qui, comme Romain, ne s'imagine pas souvent ce qu'il devrait faire sans avoir le courage de vraiment le faire ? Combien ferme les yeux parce que c'est plus facile ? Plein de questions, bien illustrées et superbement racontées pour faire de cet album une lecture obligatoire de ce début d'année !
  12. Titre de l'album : Mademoiselle Sophie Scenariste de l'album : Vincent Zabus Dessinateur de l'album : Hippolyte Coloriste : Hippolyte Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Romain, 12 ans, a une soeur, étudiante à l'université, et a pour professeur d'école mademoiselle Sophie. L'embonpoint prononcé de Sophie lui vaut les moqueries de plusieurs élèves, sans qu'elle semble y prêter attention. Romain observe avec curiosité et empathie sa professeure et devine un mal-être qu'il ne peut expliquer avec son regard de jeune ado. Romain essaie pourtant de comprendre cette tristesse palpable : sa corpulence est-elle une conséquence de ses sentiments, ou l'inverse ? Est-elle malade ? A quoi ressemble son quotidien ? A-t-elle un amoureux ? ... Doté d'une imagination débordante, Romain commence son apprentissage de la vie et découvre une partie du monde des adultes, notamment grâce à sa grande soeur. Peut-on dissimuler les souffrances ou les doutes et tenter, malgré tout, de faire bonne figure ? ... Critique : Zabus et Hippolyte nous avaient déjà livré un bel ouvrage avec "Incroyable !" et les voici qui récidive avec une très belle histoire sur le passage de l'enfance à l'adolescence, mais surtout une leçon de la vie sur l'acceptation de soi et sur la compréhension des autres. Moi qui ai un fils de 12 ans, cette BD a été une lecture en tout point superbe. Je pense sincèrement que mon fils a traversé les mêmes questionnements que Romain : Pourquoi je vois les adultes différemment ? Pourquoi est-ce que mes Playmobils et autres Legos ne m'intéressent plus autant ? pourquoi est-ce que je réfléchis tout le temps ? ....... Pourquoi est-ce que maintenant le malheur des autres me touche ? Mais cette BD parlera à tout le monde, car on est quelque part tous des enfants qui continuent de grandir. Qui, comme Romain, ne s'imagine pas souvent ce qu'il devrait faire sans avoir le courage de vraiment le faire ? Combien ferme les yeux parce que c'est plus facile ? Plein de questions, bien illustrées et superbement racontées pour faire de cet album une lecture obligatoire de ce début d'année ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mademoiselle-sophie-ou-la-fable-du-lion-et-de-l-hippopotame?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    In Mémoriam T1

    Titre de l'album : In Mémoriam T1 Scenariste de l'album : Mathieu Salvia Dessinateur de l'album : Djet Coloriste : Djet Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Paris est en ruines. De la capitale mondiale des Arts et de la Sorcellerie, il ne reste désormais plus rien. Il a suffi d'une nuit pour qu'une déflagration d'origine inconnue balaie non seulement les immeubles haussmanniens, les statues centenaires et les bâtiments historiques, mais également la connexion liant les sorciers à la magie. C'était il y a quelques mois. Depuis, la vie reprend lentement son cours au milieu des décombres, des sortilèges défectueux et des avis de recherche placardés par centaines. Autrefois intouchables, les sorciers sont désormais la cible de toutes les persécutions. Accusés par l'opinion publique d'être à l'origine de la catastrophe, pourchassés par le gouvernement, ceux qui n'ont pas encore fui le pays sont contraints à la clandestinité. C'est dans ce climat tendu et incertain que le destin de Manon, jeune policière d'une vingtaine d'années, va croiser celui d'Adam, ancien sorcier au passé trouble. Alors que tout les oppose, ce duo dysfonctionnel va devoir unir ses forces pour retrouver une petite fille égarée dans les rues dévastées de Paris, à la recherche de ses souvenirs. Une petite fille poursuivie par deux assassins immortels. Une petite fille dont les pouvoirs semblent avoir été épargnés par la catastrophe, et qui pourrait bien détenir les réponses à toutes leurs questions. Mathieu Salvia et Djet, les auteurs du diptyque Croquemitaines, arrivent en force chez Dupuis avec un récit dystopique épique, sans temps mort et dans une mise en scène qui convoque le dynamisme du comics, l'énergie du manga et la narration de la bande dessinée. Critique : Bim première claque en BD européenne de l'année ! Claque d'autant plus grosse que cet album ne joue sur aucune innovation d'aucun type. Pas de découpage étonnant, de graphisme surprenant ou encore de conception hallucinante. Ici, on a juste une histoire super impressionnante, un dessin dynamique et coloré et un ensemble palpitant et intriguant. La base quoi. Mais une base diablement efficace. Basé sur un trait qui n'est pas sans rappeler celui de Petrimaux et son Ramirez, ce In Mémoriam marie avec talent un soupçon de science-fiction, un gros brin de magie et, surtout, surtout, une partie Tragédie Grecque rarement vu dans une BD Ado-adulte. En effet ne pensée pas que cette BD, sous ses habits de couleurs, est une BD pour enfants. C'est une BD au scenario sérieux, au sujet important et aux répercussions... logiques. Un excellent premier tome qui nous fait nous languir du second ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-memoriam-tome-1-manon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    In Mémoriam T1

    Bim première claque en BD européenne de l'année ! Claque d'autant plus grosse que cet album ne joue sur aucune innovation d'aucun type. Pas de découpage étonnant, de graphisme surprenant ou encore de conception hallucinante. Ici, on a juste une histoire super impressionnante, un dessin dynamique et coloré et un ensemble palpitant et intriguant. La base quoi. Mais une base diablement efficace. Basé sur un trait qui n'est pas sans rappeler celui de Petrimaux et son Ramirez, ce In Mémoriam marie avec talent un soupçon de science-fiction, un gros brin de magie et, surtout, surtout, une partie Tragédie Grecque rarement vu dans une BD Ado-adulte. En effet ne pensée pas que cette BD, sous ses habits de couleurs, est une BD pour enfants. C'est une BD au scenario sérieux, au sujet important et aux répercussions... logiques. Un excellent premier tome qui nous fait nous languir du second !
  15. alx23

    Le ferry

    L'histoire commence à Lille dans les années 70 avec une bande de potes qui décide de monter un groupe de musique à la recherche d'un chanteur. L'album est séparé en plusieurs chapitres intitulés track, comme sur un album de musique. Xavier Bétaucourt en profite pour ajuter plusieurs ambiances sonores à son histoire, avec les paroles de quelques groupes emblématiques, comme The Clash, Joy Division, Deep purple. Ces groupes accompagnent et influencent fortement cette bande d’amis, comme l'arrivée du punk. L'album débute à l'hôpital dans la chambre d'une femme avant que plusieurs personnes la rejoignent pour ensuite se remémorer toute leur jeunesse dans l'attente du chanteur parti pour l'Angleterre afin de réaliser son rêve. On suit plusieurs anecdotes et tranches de vie du quotidien de jeunes passionnés de musique. Les dessins correspondent très bien à l'ambiance du récit et la mise en couleur est très bien géré suivant les chapitres. Ferry est une très bonne histoire d'amitié entre amis musiciens mais aussi d'amour, de rock, de new wave de hard et de punk. Déjà si le contexte musical vous parle vous devriez être conquis par cet album.
  16. alx23

    Le ferry

    Titre de l'album : Le ferry Scenariste de l'album : Xavier Bétaucourt Dessinateur de l'album : Thierry Bouüaert Coloriste : Thierry Bouüaert Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Should I stay or should I go ? Pour Max, le rock, c'est la vie. Bassiste dans un petite groupe de punk, il a plus d'ambition que ses potes de fac. Il veut devenir une rock star, et pour ça, passage obligé par la patrie de la musique : l'Angleterre. Max serait-il prêt à tout quitter pour une chimère ? Critique : L'histoire commence à Lille dans les années 70 avec une bande de potes qui décide de monter un groupe de musique à la recherche d'un chanteur. L'album est séparé en plusieurs chapitres intitulés track, comme sur un album de musique. Xavier Bétaucourt en profite pour ajuter plusieurs ambiances sonores à son histoire, avec les paroles de quelques groupes emblématiques, comme The Clash, Joy Division, Deep purple. Ces groupes accompagnent et influencent fortement cette bande d’amis, comme l'arrivée du punk. L'album débute à l'hôpital dans la chambre d'une femme avant que plusieurs personnes la rejoignent pour ensuite se remémorer toute leur jeunesse dans l'attente du chanteur parti pour l'Angleterre afin de réaliser son rêve. On suit plusieurs anecdotes et tranches de vie du quotidien de jeunes passionnés de musique. Les dessins correspondent très bien à l'ambiance du récit et la mise en couleur est très bien géré suivant les chapitres. Ferry est une très bonne histoire d'amitié entre amis musiciens mais aussi d'amour, de rock, de new wave de hard et de punk. Déjà si le contexte musical vous parle vous devriez être conquis par cet album. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-ferry/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    Genèse & prozac

    La collection Pataquès ne cesse de m'amuser d'album en album dans des registres d'humour très variés. Le dernier en date est Genèse et prozac, déjà le titre annonce la couleur des histoires qui nous attendent dans cet album, qui est proposé dans un format plus grand que d'habitude pour cette collection. Le scénariste Ami inintéressant à un pseudonyme amusant nous propose une réinterprétation du dernier testament et de la bible avec beaucoup d'humour. Dieu est au centre du projet avec représentation en forme de triangle avec un œil, il rencontre et échange ses concepts avec ses créations comme les animaux ou les hommes... On ertrouve donc Adam et Eve, Noé et son arche, Moïse et plein d'autres. Toutes les histoires tiennent sur une ou deux planches avec une chute qui arrive avec la dernière case. On s'amuse énormément et les chutes sont bien trouvées. Les dessins ne sont pas reste pour compléter les situations humoristiques. Remi Lascault dessine des planches détaillées surtout pour le genre. Je vous recommande la lecture de Genèse et prozac pour passer un bon moment de lecture avec beaucoup de rire en prévision.
  18. alx23

    Genèse & prozac

    Titre de l'album : Genèse & prozac Scenariste de l'album : Ami Ininteressant Dessinateur de l'album : Remi Lascault Coloriste : Remi Lascault Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Que se passe-t-il si Jésus fait un plongeon dans l'eau ? Pourquoi Dieu choisit-il d'apparaître sous la forme d'un vieux buisson ? Qu'est-ce qui a amené Dieu à créer les règles pour les femmes ? Et si Dieu était finalement aussi faillible que n'importe quel humain ? Et surtout pourquoi l'ornithorynque ? Genèse et Prozac revisite la mythologie biblique pour la démystifier et ainsi la démythifier. Critique : La collection Pataquès ne cesse de m'amuser d'album en album dans des registres d'humour très variés. Le dernier en date est Genèse et prozac, déjà le titre annonce la couleur des histoires qui nous attendent dans cet album, qui est proposé dans un format plus grand que d'habitude pour cette collection. Le scénariste Ami inintéressant à un pseudonyme amusant nous propose une réinterprétation du dernier testament et de la bible avec beaucoup d'humour. Dieu est au centre du projet avec représentation en forme de triangle avec un œil, il rencontre et échange ses concepts avec ses créations comme les animaux ou les hommes... On ertrouve donc Adam et Eve, Noé et son arche, Moïse et plein d'autres. Toutes les histoires tiennent sur une ou deux planches avec une chute qui arrive avec la dernière case. On s'amuse énormément et les chutes sont bien trouvées. Les dessins ne sont pas reste pour compléter les situations humoristiques. Remi Lascault dessine des planches détaillées surtout pour le genre. Je vous recommande la lecture de Genèse et prozac pour passer un bon moment de lecture avec beaucoup de rire en prévision. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/genese-et-prozac?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Deuxième album de la série Les grandes batailles de chars après la bataille des Ardennes dans le froid et la neige, la bataille d'El Alamein se déroule dans la chaleur du désert. Cette nouvelle série prend des contextes historiques intenses en combat pour mettre en scène des équipages de chars. Le tank Cruiser MK VI, crusader II est à l'honneur dans cet album. Le scénariste Thierry Lamy met en place une rivalité entre un gradé et le lieutenant en chef de l'équipage d'un char. L'atmosphère des batailles en plein désert est palpable à la lecture de cet album. Les dessins sont réalisés par Alessio Cammardella dans un style réaliste. Elia Bonetti dessine toutes les magnifiques couvertures de la série. L’album se termine avec un cahier documentaire pour obtenir plus d’informations sur cette bataille et le char mis en avant. El Alamein réussi à convaincre davantage avec les tensions entre les hommes gradés et leurs décisions stratégiques mais aussi grâce aux liens d’amitiés unissant les soldats anglais à bord du char. Deux autres albums sont déjà prévus prochainement avec les batailles de Koursk et La Marne.
  20. Titre de l'album : Les grandes batailles de chars - El Alamein - De sable et de sang Scenariste de l'album : Thierry Lamy Dessinateur de l'album : Alessio Cammardella Coloriste : Maxflan Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : 1er juillet 1942. La guerre du désert fait rage. Le 20 juin, les troupes italo-allemandes du maréchal Rommel ont bousculé la 8ème armée britannique à Tobrouk. Après une retraite peu glorieuse à travers la Libye et l’Égypte, les Anglais se retranchent derrière une ligne de défense hâtivement montée entre El Alamein au nord et le désert de Qattara au sud. Le général Auchinleck, commandant de la 8e armée, se sait en mauvaise posture. Rommel bénéficie d'une réputation d'adversaire coriace et audacieux auprès de ses propres troupes qui ont le moral au plus bas. Auchinleck s'attend à ce que «le renard du désert» profite de sa victoire pour tenter de percer ses positions. Mais après des mois de guerre sous un climat étouffant, ce sont deux armées épuisées qui se font face avant l'ultime affrontement... Critique : Deuxième album de la série Les grandes batailles de chars après la bataille des Ardennes dans le froid et la neige, la bataille d'El Alamein se déroule dans la chaleur du désert. Cette nouvelle série prend des contextes historiques intenses en combat pour mettre en scène des équipages de chars. Le tank Cruiser MK VI, crusader II est à l'honneur dans cet album. Le scénariste Thierry Lamy met en place une rivalité entre un gradé et le lieutenant en chef de l'équipage d'un char. L'atmosphère des batailles en plein désert est palpable à la lecture de cet album. Les dessins sont réalisés par Alessio Cammardella dans un style réaliste. Elia Bonetti dessine toutes les magnifiques couvertures de la série. L’album se termine avec un cahier documentaire pour obtenir plus d’informations sur cette bataille et le char mis en avant. El Alamein réussi à convaincre davantage avec les tensions entre les hommes gradés et leurs décisions stratégiques mais aussi grâce aux liens d’amitiés unissant les soldats anglais à bord du char. Deux autres albums sont déjà prévus prochainement avec les batailles de Koursk et La Marne. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batailles-chars-el-alamein-de-sable-et-de-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Tous les vivants

    Difficile de critiquer ce genre d'album "métaphysique". Difficile, car il appelle au ressenti de chacun. Son ressenti par rapport à l'histoire, mais surtout son ressentit par rapport aux non-dits et à l'interprétation des dessins. Et une grande part de cet album dépend de cette compréhension : Comment vivre une deuxième chance quand on ne la veut pas ? comment interpréter ce besoin de solitude et, paradoxalement, ce changement positif qui vient a l'arrivée du fantôme. Des questions dont notre auteur ne donne pas expressivement la réponse, nous laissant à nos réflexions. Moi j'ai eu du mal à me faire une idée définitive sur l'histoire et ses implications. Je sais juste que cette lecture m'a empli de mélancolie. Une douce et tendre mélancolie qui me fait dire que cet album est réussi. Je vous laisserai vous faire votre propre avis.
  22. Titre de l'album : Tous les vivants Scenariste de l'album : Roman Muradov Dessinateur de l'album : Roman Muradov Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Elle voulait en finir avec la vie, mais arrivée au purgatoire, elle gagne contre son gré le droit de revenir chez elle, bien vivante. Elle découvre que si rien n'a changé ? sa vie morne et monotone, sa profonde solitude ? elle voit désormais autour d'elle tous les fantômes des gens morts, à commencer par le sien, à elle, de fantôme. Et la jeune femme de découvrir que cohabiter avec son fantôme a des avantages, et pas tant d?inconvénients que ça... Critique : Difficile de critiquer ce genre d'album "métaphysique". Difficile, car il appelle au ressenti de chacun. Son ressenti par rapport à l'histoire, mais surtout son ressentit par rapport aux non-dits et à l'interprétation des dessins. Et une grande part de cet album dépend de cette compréhension : Comment vivre une deuxième chance quand on ne la veut pas ? comment interpréter ce besoin de solitude et, paradoxalement, ce changement positif qui vient a l'arrivée du fantôme. Des questions dont notre auteur ne donne pas expressivement la réponse, nous laissant à nos réflexions. Moi j'ai eu du mal à me faire une idée définitive sur l'histoire et ses implications. Je sais juste que cette lecture m'a empli de mélancolie. Une douce et tendre mélancolie qui me fait dire que cet album est réussi. Je vous laisserai vous faire votre propre avis. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tous-les-vivants?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Les grandes batailles de chars est une nouvelle série qui débute aux éditions Glénat avec deux albums qui sortent simultanément, Les Ardennes et El Alamein. Cet album se déroule durant la bataille des Ardennes pendant la seconde mondiale à bord du Panther Ausf. G, Panzer V. Dobbs commence son récit en 1944, alors qu'Hitler tente de reprendre le contrôle du port d'Anvers. Cependant la situation pour les soldats allemands se complique et la défaite se fait déjà ressentir. L’histoire prend la bataille des Ardennes comme décors mais se focalise sur le char Panzer V et son équipage. Les dessins sont de qualité pour décrire la guerre durant l'hiver et les hommes à bout de force se droguent pour trouver le courage de se battre dans des frigos sur chenilles. Un dossier documentaire de Stéphane Dubreuil vient compléter l'histoire avec davantage d'informations sur les batailles mais aussi sur le char. Les amateurs de récits de guerre et de chars trouveront leur compte avec cette nouvelle série. Les machines de guerres sont très tendances actuellement dans les récits de guerre en bande dessinée.
  24. Titre de l'album : Les grandes batailles de chars - Les Ardennes - Lâchez les fauves Scenariste de l'album : Dobbs Dessinateur de l'album : Fabrizio Fiorentino Coloriste : Maxflan Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Après le revers de 1944, avec le débarquement de Normandie et la libération de Paris, les forces armées allemandes adoptent une campagne particulièrement défensive. Dans ce contexte de regroupement de ses forces, Hitler s’entête contre l’avis de certains de ses conseillers dans un plan de contre-offensive pour s’emparer du port d’Anvers et rééditer ainsi la campagne victorieuse de 1940 : fin décembre, un groupe d’armées se projette dans le plus grand secret à travers les Ardennes et provoque panique et confusion chez les Alliés. Eisenhower mobilise alors le plus rapidement possible blindés et parachutistes. Perdu dans la forêt et le brouillard glacé, un chef de char allemand et l’équipage de son Panther vont devoir agir, malgré l’ennemi tout proche et les difficultés de communication et de ravitaillement. Le blindage et la supériorité du canon de l’engin feront-ils le poids face à l’omnipotence de l’adversaire et l’hostilité du terrain d’opération ? Critique : Les grandes batailles de chars est une nouvelle série qui débute aux éditions Glénat avec deux albums qui sortent simultanément, Les Ardennes et El Alamein. Cet album se déroule durant la bataille des Ardennes pendant la seconde mondiale à bord du Panther Ausf. G, Panzer V. Dobbs commence son récit en 1944, alors qu'Hitler tente de reprendre le contrôle du port d'Anvers. Cependant la situation pour les soldats allemands se complique et la défaite se fait déjà ressentir. L’histoire prend la bataille des Ardennes comme décors mais se focalise sur le char Panzer V et son équipage. Les dessins sont de qualité pour décrire la guerre durant l'hiver et les hommes à bout de force se droguent pour trouver le courage de se battre dans des frigos sur chenilles. Un dossier documentaire de Stéphane Dubreuil vient compléter l'histoire avec davantage d'informations sur les batailles mais aussi sur le char. Les amateurs de récits de guerre et de chars trouveront leur compte avec cette nouvelle série. Les machines de guerres sont très tendances actuellement dans les récits de guerre en bande dessinée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batailles-chars-ardennes-lachez-les-fauves?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    CONCOURS GOODIES

    jusqu’à
    Toutes les questions sont désormais disponibles Vous avez jusqu'au 5 février minuit pour y répondre Bonne chance à tous PS : n'hésitez pas à répondre au hasard et à mettre des détails (exemple : à qu'a-t-il acheté ? ne répondez pas juste un vêtement mais précisez lequel >> un pull et encore mieux >> un pull Mickey) Bonjour à tous, Il aura fallu quelques mois pour que ce concours arrive mais finalement pour fêter la nouvelle année, ce n’est peut-être pas plus mal ! Je vous propose donc un concours pour gagner des GOODIES récupérés ici et là, certains étant exclusifs à la Japan expo 2022. Le principe est simple, vous avez deux questions par jour : 1 à choix multiple et 1 question ouverte, il y aura un lot pour chaque jour ! Le concours durera 7 jours, soit 7 lots à gagner ! Vous pouvez répondre seulement à un jour ou à plusieurs, les réponses seront possibles jusqu’à une semaine après la dernière question. Il est donc possible de gagner plusieurs lots !! Et surtout n’hésitez pas à répondre au hasard, on ne sait jamais d’autant plus qu’il n’y a pas forcément la réponse sur internet… En cas d’égalité, un tirage au sort sera effectué. Et comme je suis très gentille, il y aura aussi un lot BD/comics et pas que des goodies manga ! Le Concours est terminé, merci à tous les participants Les gagnants seront prévenus par email
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