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  1. Fiou qu'est-ce que c'est beau et bon ! Fiouuuuu Graphiquement parlant, Munuera est au sommet de son art. C'est sublime ! Que ce soit les robots, les humains ou les décors, c'est magnifique. Et le scénario..... est d'une fraicheur infinie. Super innovant, ambitieux et tout doux à la fois. Ce conte de Béka est une très belle métaphore de l'exclusion des autres et plus précisément de l'esclavage. Mais c'est aussi un superbe aventure à la Tom Sawyer. Une aventure ou une petite fille découvre le monde avec des yeux aussi innocent que plein d'étoiles. Une petite fille pleine de vie et d'envies, mais aussi d'illusions sur le monde. Et attention aux illusions quand elles disparaissent. Et ci cela ne suffisait pas, Béka nous livre une fin de tome à tomber par terre de cynisme, faisant redescendre le lecteur de son petit nuage, et ce, directement dans une flaque de boue. Bref une superbe lecture. Peut-être la meilleure de ce mois de juin !
  2. poseidon2

    Celle qui parle

    Heran Cortes ça vous dit quelque chose ? Vous savez la conquête du Mexique, la folie de l'or, la fin des Aztèques tout ça tout ça. Et La Malinche par contre je parie que vous n'en avez jamais entendu parler. C'est en effet un personnage inconnu chez nous et pourtant controversé au Mexique car c'est une femme indigène ayant servie d'interprète à Cortès lui permettant de communiquer avec toutes les tributs différentes (qui avaient chacune leur dialecte) d’Amérique centrale. Elle est donc soit une traitresse soit une personne ayant fait tout ce qu'elle pouvait pour éviter des bains de sang et... survivre. C'est cette facette que nous montre Alicia Jaraba Abellan dans "Celle qui parle". Elle nous montre le combat d'une femme pour survivre. Un combat qu'elle mène avec son arme : le savoir et l'apprentissage des langues. Malinalli est ballotté au grès de son statut d'esclave et cherche uniquement à avoir un peu d'emprise sur son propre destin. C'est le premier point intéressant de cette BD : la découverte. En effet l'histoire de l'Amérique centrale n'est pas quelque chose que, nous autres Français, maitrisons. Et en cela découvrir cette histoire de dialectes, de conflit en Amériques centrales, de poids des Aztèques sur les autres populations et du rôle de sauveur qu'on peut prendre les espagnols pour beaucoup, c'est super instructif. Le second point c'est le parti pris de nous raconter cette histoire au travers des yeux de Malinalli. La candeur de ses débuts, les frustrations de sa vie d'esclave, ses espoirs et ses déceptions rythment le récit à merveilles. Ces 200 pages passent à une vitesse affolante. Ma première réaction a même été d'être frustré de la fin qui ne traite pas de la guerre entre l'Espagne et les Aztèques. Mais après réflexion je me suis dit que c'était logique car il faut bien se dire que cette histoire n'est pas celle de Cortès mais bien de Celle qui parle. Un superbe album, une histoire passionnante et une femme impressionnante. A lire !
  3. poseidon2

    Celle qui parle

    Titre de l'album : Celle qui parle Scenariste de l'album : Alicia Jaraba Abellan Dessinateur de l'album : Alicia Jaraba Abellan Coloriste : Alicia Jaraba Abellan Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : « Fille d'un chef déchu, offerte comme esclave, elle est devenue l'une des plus grandes figures féminines de l'Histoire ». XVIe siècle. Malinalli est la fille d'un chef d'un clan d'Amérique centrale. Peu de temps après la mort de son père, elle est vendue à un autre clan pour travailler aux champs et satisfaire la libido de son nouveau maître. Un jour, d'immenses navires apparaissent à l'horizon, commandés par Hernan Cortez, obsédé par la recherche d'or. Le conquistador repère Malinalli et son don pour les langues. Elle sera son interprète et un des éléments clés dans ses espoirs de conquête. Elle sera également celle qui aura le courage de dire un mot interdit aux femmes de son époque : non ! Au-delà de la légende, voici l'histoire de la Malinche, vivante, jeune, inexpérimentée, souvent dépassée par les événements, mais avant tout, humaine. Critique : Heran Cortes ça vous dit quelque chose ? Vous savez la conquête du Mexique, la folie de l'or, la fin des Aztèques tout ça tout ça. Et La Malinche par contre je parie que vous n'en avez jamais entendu parler. C'est en effet un personnage inconnu chez nous et pourtant controversé au Mexique car c'est une femme indigène ayant servie d'interprète à Cortès lui permettant de communiquer avec toutes les tributs différentes (qui avaient chacune leur dialecte) d’Amérique centrale. Elle est donc soit une traitresse soit une personne ayant fait tout ce qu'elle pouvait pour éviter des bains de sang et... survivre. C'est cette facette que nous montre Alicia Jaraba Abellan dans "Celle qui parle". Elle nous montre le combat d'une femme pour survivre. Un combat qu'elle mène avec son arme : le savoir et l'apprentissage des langues. Malinalli est ballotté au grès de son statut d'esclave et cherche uniquement à avoir un peu d'emprise sur son propre destin. C'est le premier point intéressant de cette BD : la découverte. En effet l'histoire de l'Amérique centrale n'est pas quelque chose que, nous autres Français, maitrisons. Et en cela découvrir cette histoire de dialectes, de conflit en Amériques centrales, de poids des Aztèques sur les autres populations et du rôle de sauveur qu'on peut prendre les espagnols pour beaucoup, c'est super instructif. Le second point c'est le parti pris de nous raconter cette histoire au travers des yeux de Malinalli. La candeur de ses débuts, les frustrations de sa vie d'esclave, ses espoirs et ses déceptions rythment le récit à merveilles. Ces 200 pages passent à une vitesse affolante. Ma première réaction a même été d'être frustré de la fin qui ne traite pas de la guerre entre l'Espagne et les Aztèques. Mais après réflexion je me suis dit que c'était logique car il faut bien se dire que cette histoire n'est pas celle de Cortès mais bien de Celle qui parle. Un superbe album, une histoire passionnante et une femme impressionnante. A lire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celle-qui-parle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Soyons honnête, ma lecture du premier tome du Boiseleur m'avait laissé un souvenir mitigé : bon sans être mémorable ( voir le lien de la chronique ici : Et ce tome 2 vient me rappeler pourquoi il faut toujours se laisser tenter par une histoire, fusse-t-elle sur un sujet qui à priori ne vous attire pas, pour peu que les auteurs soient bons. ) Ce boiseleur vient pour moi se ranger finalement à côté de Le Sculpteur, dans sa pertinence à nous parler d'art. Le tour de force de Gaëlle Hersent au dessin est de réussir à nous rendre des sensations de sculpture, de mouvement, d'espaces et de vides sur une feuille de papier. Quand au scénario du génial Hubert, que nous ne pouvons que regretter, il réussit à insuffler un souffle épique dans un second tome prenant là où les enjeux du premier tome ne m'avaient finalement que peu émoustillé. Ce Boiseleur est donc au final une très belle réussite que je ne peux que recommander aux amateurs d'arts, et aux autres.
  5. Titre de l'album : Le boiseleur - Tome 2 - L'esprit d'Atelier Scenariste de l'album : Hubert Dessinateur de l'album : Gaëlle Hersent Coloriste : Gaëlle Hersent Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le talent d'Illian, jeune sculpteur, franchit les frontières de Solidor et suscite l'intérêt jusqu'à Bélizonde, seule cité dirigée par des artistes. Un couple de grands maîtres sculpteurs, Tullio et Zenia, parvient à convaincre le jeune d'homme d'intégrer leur prestigieux atelier. Leur souhait ? Le faire concourir à un grand événement qui leur permettrait de sauver leur atelier, leur savoir-faire... Critique : Soyons honnête, ma lecture du premier tome du Boiseleur m'avait laissé un souvenir mitigé : bon sans être mémorable ( voir le lien de la chronique ici : Et ce tome 2 vient me rappeler pourquoi il faut toujours se laisser tenter par une histoire, fusse-t-elle sur un sujet qui à priori ne vous attire pas, pour peu que les auteurs soient bons. ) Ce boiseleur vient pour moi se ranger finalement à côté de Le Sculpteur, dans sa pertinence à nous parler d'art. Le tour de force de Gaëlle Hersent au dessin est de réussir à nous rendre des sensations de sculpture, de mouvement, d'espaces et de vides sur une feuille de papier. Quand au scénario du génial Hubert, que nous ne pouvons que regretter, il réussit à insuffler un souffle épique dans un second tome prenant là où les enjeux du premier tome ne m'avaient finalement que peu émoustillé. Ce Boiseleur est donc au final une très belle réussite que je ne peux que recommander aux amateurs d'arts, et aux autres. Autres infos : Fin du diptyque Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-boiseleur-tome-2-l-esprit-d-atelier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Fred Duval et Jean-Pierre Pécau donnent une conclusion à leur diptyque avec pour personnage principal de la révolution, le peintre Salvator Dali et introduisent le personnage de Trotski. Dans cette suite, Dali est enlevé par un groupuscule, à la suite de sa participation à l'expédition punitive pour venger son ami. Les deux scénaristes ajoutent une intrigue avec Trotski qui séjourne en Espagne. Les rebondissements sont nombreux et il ne faut pas se concentrer pour suivre cette histoire plus complexe que le laisse supposer l'intrigue avec Dali. Il est amusant de retrouver le peintre déchainé avec son langage surréaliste durant sa captivité et en tout circonstances. D'autres personnages historiques feront leur apparition dans ce tome pour renforcer l'intrigue politique et le climat de l'époque même si l'on reste dans un monde différent de la réalité. Les planches de Renato Arlem sont parfaites avec des personnages très bien dessiné. Les décors sont bien travaillés. La grande saga Jour J a déjà prouvé sa qualité avec de nombreux one shot de qualité ou même parfois des diptyques comme cette histoire avec Dali et une ou deux trilogies depuis le début. Les noces de sang est une bonne histoire bien pensée dans le contexte historique. Chronique du premier tome : Jour J tome 46 - Les noces de sang 1/2
  7. Titre de l'album : Jour J tome 47 - Les noces de sang tome 2/2 Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Renato Arlem Coloriste : Thiago Rocha Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le plan de Dali pour venger la mort de Lorca a réussi. La France est intervenue et les armées de Franco sont en déroute. À Barcelone, Trotsky scelle une alliance pour expulser les communistes staliniens du gouvernement. À Madrid, les services spéciaux soviétiques tentent de voler la réserve d'or espagnole. Tous ces événements vont converger vers une conclusion étonnante en forme de... homard ! Critique : Fred Duval et Jean-Pierre Pécau donnent une conclusion à leur diptyque avec pour personnage principal de la révolution, le peintre Salvator Dali et introduisent le personnage de Trotski. Dans cette suite, Dali est enlevé par un groupuscule, à la suite de sa participation à l'expédition punitive pour venger son ami. Les deux scénaristes ajoutent une intrigue avec Trotski qui séjourne en Espagne. Les rebondissements sont nombreux et il ne faut pas se concentrer pour suivre cette histoire plus complexe que le laisse supposer l'intrigue avec Dali. Il est amusant de retrouver le peintre déchainé avec son langage surréaliste durant sa captivité et en tout circonstances. D'autres personnages historiques feront leur apparition dans ce tome pour renforcer l'intrigue politique et le climat de l'époque même si l'on reste dans un monde différent de la réalité. Les planches de Renato Arlem sont parfaites avec des personnages très bien dessiné. Les décors sont bien travaillés. La grande saga Jour J a déjà prouvé sa qualité avec de nombreux one shot de qualité ou même parfois des diptyques comme cette histoire avec Dali et une ou deux trilogies depuis le début. Les noces de sang est une bonne histoire bien pensée dans le contexte historique. Chronique du premier tome : Jour J tome 46 - Les noces de sang 1/2 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jour-j-tome-47-les-noces-de-sang-2-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Green Class - Tome 4 - L'éveil

    Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi.
  9. Titre de l'album : Green Class - Tome 4 - L'éveil Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : David Tako Coloriste : David Tako Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le plan de Naïa ayant foiré en beauté, nos cinq amis sont à présent séparés. Pire, ils sont traqués par des militaires bien décidés à ne laisser personne les empêcher d'ouvrir le portail entre la Terre et le monde des grands anciens. Le général espère que ces derniers feront table rase de l'humanité et de tous ses excès. Mais, dans leur fuite, Lucas et Sato découvrent une fresque qui pose une question des plus dérangeantes : si les « infectés » - les Shoggoths ? sont les serviteurs des Grands Anciens et qu'ils sont déjà venus sur Terre, alors pourquoi n'ont-ils pas ouvert le portail à l'époque ? Critique : Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/green-class-tome-4-l-eveil/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Les mondes d'Arven t1

    Dargaud se lance dans la bataille des BDs d'aventures jeunesse avec une nouvelle série nommée "Les mondes d'Arven". Comme le titre le laisse pensée, cette série est une série d'aventures fantastiques et, comme le dessin le laisse penser cette fois, c'est une série radicalement pour enfants. C'est en partie ce que je lui reprocherais : prendre de trop grosse facilité. Si le thème est assez innovant dans la BD et cherche intelligemment à se rapprocher actuelle de l'Isekai (voir l'excellente description de Nickad pour plus d'info) dans le manga, certains raccourcis scénaristiques sont trop faciles et cela peu provoquer des incohérences et donc une frustration chez les plus grands. Les enfants ne se poseront eux surement moins de questions et apprécieront cette BD pleine de couleur et de vie. Attention donc à ne pas se tromper de bibliothèque.
  11. Titre de l'album : Les mondes d'Arven t1 Scenariste de l'album : Éric Stoffel / Serge Scotto / Yvon Bertorello Dessinateur de l'album : Cédric Fernandez Coloriste : Amélie Vidal Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En Auvergne, de nos jours, Blandine crée avec son ami Marco un jeu vidéo en partie géré par une IA, le Monde d'Arven. Une société utopique aux décors inspirés par sa région et l'antiquité gréco-romaine, et dont l'organisation est basée sur les énergies renouvelables. Mais lorsque Blandine explore le jeu, elle constate que sa création lui a échappé : des PNJ y sont autonomes et un monstre inconnu se met à semer le chaos ! La clé du mystère peut se trouver aussi bien dans le monde virtuel que réel... Critique : Dargaud se lance dans la bataille des BDs d'aventures jeunesse avec une nouvelle série nommée "Les mondes d'Arven". Comme le titre le laisse pensée, cette série est une série d'aventures fantastiques et, comme le dessin le laisse penser cette fois, c'est une série radicalement pour enfants. C'est en partie ce que je lui reprocherais : prendre de trop grosse facilité. Si le thème est assez innovant dans la BD et cherche intelligemment à se rapprocher actuelle de l'Isekai (voir l'excellente description de Nickad pour plus d'info) dans le manga, certains raccourcis scénaristiques sont trop faciles et cela peu provoquer des incohérences et donc une frustration chez les plus grands. Les enfants ne se poseront eux surement moins de questions et apprécieront cette BD pleine de couleur et de vie. Attention donc à ne pas se tromper de bibliothèque. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-mondes-d-arven-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    Brouhaha

    Brouhaha est le dernier album de la collection Pataquès. Arthur Levrard propose une soixantaine d'histoire humoristique qui tiennent sur une planche avec la chute en fin de page. Le format de la planche varie entre trois et neuf cases pour poser le contexte. On peut qualifier d'humour noir les histoires qui vous attendent dans cet album. En effet, l'auteur pose une ambiance calme avec une chute assez surprenante et drôle. Certains personnages sont utilisés plusieurs fois durant l’album comme pour exemple, l'homme qui accepte tous les défis de ses amis pilier de bar. Les dessins ne laissent pas envisager la tournure de l’histoire et fonctionnent bien, en donnant cette impression de situation classique et banale. Les personnages sont souvent déformés avec un trait minimaliste et des couleurs pâle. Les amateurs d'humour et de cette excellente collection trouveront leur compte avec des histoires déjantées et amusantes.
  13. alx23

    Brouhaha

    Titre de l'album : Brouhaha Scenariste de l'album : Arthur Levrard Dessinateur de l'album : Arthur Levrard Coloriste : Arthur Levrard Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Brouhaha : nom masculin, bruit confus produit par une foule. Ici, la foule en question, ce sont les multiples personnages qui se succèdent et qui parlent, parfois beaucoup, parfois fort, qui se confient, qui s'interpellent... pour arriver à une chute surprenante ou édifiante à chaque bas de page. Avec pour unique objectif de provoquer le fameux suffixe du titre : Haha ! Critique : Brouhaha est le dernier album de la collection Pataquès. Arthur Levrard propose une soixantaine d'histoire humoristique qui tiennent sur une planche avec la chute en fin de page. Le format de la planche varie entre trois et neuf cases pour poser le contexte. On peut qualifier d'humour noir les histoires qui vous attendent dans cet album. En effet, l'auteur pose une ambiance calme avec une chute assez surprenante et drôle. Certains personnages sont utilisés plusieurs fois durant l’album comme pour exemple, l'homme qui accepte tous les défis de ses amis pilier de bar. Les dessins ne laissent pas envisager la tournure de l’histoire et fonctionnent bien, en donnant cette impression de situation classique et banale. Les personnages sont souvent déformés avec un trait minimaliste et des couleurs pâle. Les amateurs d'humour et de cette excellente collection trouveront leur compte avec des histoires déjantées et amusantes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brouhaha?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    L'impudence des chiens

    Cet album commence très fort avec une introduction qui donne vraiment l'ambiance qui va se poursuivre durant toute l'histoire. Aurélien Ducoudray revient cette fois avec une histoire s’inspirant d'une étrange pratique du XVII ième siècle en France et détournée avec beaucoup d'humour. On suit les mésaventures du Comte de Dardille qui souffre d'impuissance et fait appel à un expert du genre, le marquis. En effet, sa jeune femme demande l'épreuve du Congrès, une pratique odieuse où le couple doit démontrer sa force et passer à l'acte devant tout un public qui jugera du sort du mariage. A partir de ce concept assez étonnant, Aurélien Ducoudray nous offre des situations invraisemblables, tout en restant correct. On suit donc le pauvre Comte de Dardille en compagnie du marquis en quête de professionnelle pour lui redonner de la vigueur. Les dessins de Nicolas Dumontheuil servent à merveilles cette comédie avec un trait caricatural des hommes et femmes de l’époque. Les planches sont bien détaillées avec des décors très travaillés pour accompagner les déboires du Comte. A partir de ce fait historique peu connu, les auteurs nous livrent un récit très amusant avec des dialogues bien trouvés. L'impudence des chiens est une très bonne surprise.
  15. Titre de l'album : L'impudence des chiens Scenariste de l'album : Aurélien Ducoudray Dessinateur de l'album : Nicolas Dumontheuil Coloriste : Nicolas Dumontheuil Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le Comte de Dardille est dans un bel imbroglio judiciaire ! Sa femme, Amélie de Figule l'accuse de renâcler à la besogne. Elle réclame donc le divorce et la moitié de sa fortune. Charge au facétieux marquis de préparer son ami le comte à l'épreuve du Congrès durant laquelle le malheureux devra, sous l'oeil de Dieu, contenter bibliquement sa femme. Critique : Cet album commence très fort avec une introduction qui donne vraiment l'ambiance qui va se poursuivre durant toute l'histoire. Aurélien Ducoudray revient cette fois avec une histoire s’inspirant d'une étrange pratique du XVII ième siècle en France et détournée avec beaucoup d'humour. On suit les mésaventures du Comte de Dardille qui souffre d'impuissance et fait appel à un expert du genre, le marquis. En effet, sa jeune femme demande l'épreuve du Congrès, une pratique odieuse où le couple doit démontrer sa force et passer à l'acte devant tout un public qui jugera du sort du mariage. A partir de ce concept assez étonnant, Aurélien Ducoudray nous offre des situations invraisemblables, tout en restant correct. On suit donc le pauvre Comte de Dardille en compagnie du marquis en quête de professionnelle pour lui redonner de la vigueur. Les dessins de Nicolas Dumontheuil servent à merveilles cette comédie avec un trait caricatural des hommes et femmes de l’époque. Les planches sont bien détaillées avec des décors très travaillés pour accompagner les déboires du Comte. A partir de ce fait historique peu connu, les auteurs nous livrent un récit très amusant avec des dialogues bien trouvés. L'impudence des chiens est une très bonne surprise. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-impudence-des-chiens?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Astra saga tome 1 - L'or des dieux

    Avec Astra saga, Philippe Ogaki démarre une nouvelle série de science-fiction alimenté par les croyances vikings pour poser le décor et le contexte. D’ailleurs, il est très important de lire les textes sur les gardes de la couverture pour comprendre tous les thermes employés dans l’histoire. Tous le jargon est tiré de la mythologie viking. Le démarrage est très prenant puisque l'on commence avec une bataille dans l'espace avec un enjeu de la plus grande importance. On est projeté dans le vif du sujet avec de l'action lors de la présentation des héros et tout cela durant l'introduction musclée avant de revenir sur la jeunesse des héros ensuite. Cette méthode nous permet de découvrir les membres de la troupe d'élite de l'empire mais aussi les enjeux politiques et conflits. La partie graphique est certainement l'atout majeur de ce titre face à un scénario assez convenu dans le monde de la bande dessinée. Philippe Ogaki montre tout son talent et l'évolution de son style depuis sa dernière réalisation Terra Prime. Les troupes d’élites avec leurs épées laser sont assez impressionnantes lors des phases d’action. Les lecteurs de science-fiction qui apprécient le genre space opéra seront comblés par ce premier tome.
  17. Titre de l'album : Astra saga tome 1 - L'or des dieux Scenariste de l'album : Philippe Ogaki Dessinateur de l'album : Philippe Ogaki Coloriste : Philippe Ogaki Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un cargo spatial traverse l'espace profond. A son bord une cargaison des plus précieuses qui ne doit surtout pas tomber entre de mauvaises mains car les forces politiques qui régissent la galaxie pourraient changer drastiquement de camps et ainsi le cours de l'histoire. Une escouade de soldats dragons mandatée par l'empire aborde le cargo et perce sa coque épaisse en quête de l'Or Sacré. Critique : Avec Astra saga, Philippe Ogaki démarre une nouvelle série de science-fiction alimenté par les croyances vikings pour poser le décor et le contexte. D’ailleurs, il est très important de lire les textes sur les gardes de la couverture pour comprendre tous les thermes employés dans l’histoire. Tous le jargon est tiré de la mythologie viking. Le démarrage est très prenant puisque l'on commence avec une bataille dans l'espace avec un enjeu de la plus grande importance. On est projeté dans le vif du sujet avec de l'action lors de la présentation des héros et tout cela durant l'introduction musclée avant de revenir sur la jeunesse des héros ensuite. Cette méthode nous permet de découvrir les membres de la troupe d'élite de l'empire mais aussi les enjeux politiques et conflits. La partie graphique est certainement l'atout majeur de ce titre face à un scénario assez convenu dans le monde de la bande dessinée. Philippe Ogaki montre tout son talent et l'évolution de son style depuis sa dernière réalisation Terra Prime. Les troupes d’élites avec leurs épées laser sont assez impressionnantes lors des phases d’action. Les lecteurs de science-fiction qui apprécient le genre space opéra seront comblés par ce premier tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/astra-saga-tome-1-l-or-des-dieux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. En voilà une BD qui redonne un peu d'espoir en l'humanité. Une histoire ou la motivation de certain à réussi à profiter au bien de tous. Thibaut Lambert réussi le périlleux exercice de nous montrer un reportage sur la construction d'un bar sans alourdir la lecture de détails trop technique. Pour ce faire, il choisit intelligemment de ne se baser que sur les anecdotes des créateurs, pas vraiment sur les faits. Cela rend le reportage plus vivant et la réalisation de ce bar associatif beaucoup plus réaliste et accessible. Ça aurait pu être nous. Ce qui est vraiment bien dans ce reportage, c'est que Thibaut Lambert va au-delà de la simple création. Il va jusqu'à la passation de pouvoir des créateurs aux petits nouveaux. Une passation qui marque la viabilité du projet, un pu comme le passage de l'adolescence à l'âge adulte. Reste plus qu'à aller boire un verre à la Bigaille !
  19. Titre de l'album : La bigaille - histoire d'une utopie culturelle collective Scenariste de l'album : Thibaut Lambert Dessinateur de l'album : Thibaut Lambert Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Face aux difficultés d'accès à la culture en milieu rural, un groupe de citoyens a créé une association qui donne vie à un projet culturel collectif : La Bigaille, un bar associatif, ouvert à tous et géré par des bénévoles depuis 10 ans. Leur programmation artistique séduisante redynamise la petite ville de campagne et ses environs. L'expérience, véritable modèle de réussite, montre à quel point l'important n'est pas d'avoir ni d'être, mais de faire ensemble ; elle nous invite à co construire nos propres projets écologiques ayant du sens dans un monde en mutation. Critique : En voilà une BD qui redonne un peu d'espoir en l'humanité. Une histoire ou la motivation de certain à réussi à profiter au bien de tous. Thibaut Lambert réussi le périlleux exercice de nous montrer un reportage sur la construction d'un bar sans alourdir la lecture de détails trop technique. Pour ce faire, il choisit intelligemment de ne se baser que sur les anecdotes des créateurs, pas vraiment sur les faits. Cela rend le reportage plus vivant et la réalisation de ce bar associatif beaucoup plus réaliste et accessible. Ça aurait pu être nous. Ce qui est vraiment bien dans ce reportage, c'est que Thibaut Lambert va au-delà de la simple création. Il va jusqu'à la passation de pouvoir des créateurs aux petits nouveaux. Une passation qui marque la viabilité du projet, un pu comme le passage de l'adolescence à l'âge adulte. Reste plus qu'à aller boire un verre à la Bigaille ! Autres infos : Des ronds dans l'O Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bigaille/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Automne, en baie de Somme

    Philippe Pelaez est des auteurs prolixes du moment. Pinard/Bagnard de guerre, Enfer pour Aube, Furioso, Maudit soit-tu, le bossu de montfaucon..... et j'en oublie surement. Mais s'il réussit à maintenir ce niveau de qualité et à nous sortir quelques perles comme ce "Automne en baie de Somme", on ne s'en plaindra pas. Car cet album est aussi beau qui bien écrit. Le choix de la belle époque est supporté par une écriture en français "soutenu" dirait-on maintenant. Il contient surtout une très belle enquête policière que madame Agatha Christie ou les plus grands écrivains d'enquêtes ne pourraient renier tellement on est baladé de gauche à droite par Philippe Pelaez. Une enquête qui, lorsque que toutes les pièces s'imbriquent, forme un puzzle bien pensé et logique. Bien aidé par des sublimes dessins d'Alexis Chabert qui réussi à reproduire à merveille l'ambiance bohème de la Belle époque , cet Automne en baie de Somme est une des excellentes surprises de ce printemps qui ravira tous les amateurs d'enquêtes policières !
  21. Titre de l'album : Automne, en baie de Somme Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Alexis Chabert Coloriste : Alexis Chabert Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : « À la Belle Époque, elles détiennent deux armes d'exception : la beauté et l'argent.». 1896. Le corps d'un riche industriel est découvert à bord d'une goélette échouée dans la baie de Somme. Pour une affaire de cette importance, on envoie le meilleur policier de Paris, Amaury Broyan. Très vite, l'inspecteur soupçonne la veuve, héritière de l'immense empire. L'enquête révèle alors que l'industriel avait également une maîtresse, Axelle Valencourt, un modèle ayant posé pour de nombreux artistes et notamment Alfons Mucha. Des quartiers cossus de Paris aux cabarets de la Butte Montmartre, l'inspecteur se retrouve plongé dans une affaire complexe et périlleuse, dans laquelle chaque personnage, y compris l'inspecteur, va révéler sa part d'ombre. Critique : Philippe Pelaez est des auteurs prolixes du moment. Pinard/Bagnard de guerre, Enfer pour Aube, Furioso, Maudit soit-tu, le bossu de montfaucon..... et j'en oublie surement. Mais s'il réussit à maintenir ce niveau de qualité et à nous sortir quelques perles comme ce "Automne en baie de Somme", on ne s'en plaindra pas. Car cet album est aussi beau qui bien écrit. Le choix de la belle époque est supporté par une écriture en français "soutenu" dirait-on maintenant. Il contient surtout une très belle enquête policière que madame Agatha Christie ou les plus grands écrivains d'enquêtes ne pourraient renier tellement on est baladé de gauche à droite par Philippe Pelaez. Une enquête qui, lorsque que toutes les pièces s'imbriquent, forme un puzzle bien pensé et logique. Bien aidé par des sublimes dessins d'Alexis Chabert qui réussi à reproduire à merveille l'ambiance bohème de la Belle époque , cet Automne en baie de Somme est une des excellentes surprises de ce printemps qui ravira tous les amateurs d'enquêtes policières ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/automne-en-baie-de-somme?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Les adaptations des nouvelles de l'auteur à succès Liu Cixin se poursuivent avec ce cinquième tome, sur la perfection du cercle. Xavier Besse se charge de l'adaptation de l'histoire pour le format bande dessinée et également des dessins. Avec la perfection du cercle, nous découvrons la dynastie Qin en Chine, au temps féodal au contraire des premiers tomes qui nous plongeaient dans le futur, comme souvent avec les récits de science-fiction. Un mystérieux savant et mathématicien va sauver le roi d'un attentat pour lui dévoiler un immense secret. Le roi Ying Zheng convoque toute une assemblée de savants pour déterminer l'importance du secret en question. Le sauveur affirme qu'avec des travaux importants il pourrait réaliser un cercle parfait et découvrir le langage du ciel. Les dessins de Xavier Besse sont de qualité avec des planches de textes pour expliquer les informations du récit initial, qui ralentissent la fluidité lors de la lecture. On retrouve la page à déplier pour former un panorama sur trois pages qui est la touche de la série. La finalité de ce tome apportera la subtilité à cette histoire de guerre féodal.
  23. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - La perfection du cercle Scenariste de l'album : Xavier Besse Dessinateur de l'album : Xavier Besse Coloriste : Xavier Besse Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 227 avant JC, époque des Royaumes combattants. Ying Zheng, roi de la dynastie Qin, veut unifier la Chine. S'il prouve qu'il connaît le langage du Ciel et en comprend les desseins, il les mènera tous vers un avenir meilleur. Grâce à un tout nouveau mode de calcul de données à grande échelle, le savant Jing Ke va lui enseigner ce langage qui réside dans la forme la plus parfaite au monde, le cercle. Critique : Les adaptations des nouvelles de l'auteur à succès Liu Cixin se poursuivent avec ce cinquième tome, sur la perfection du cercle. Xavier Besse se charge de l'adaptation de l'histoire pour le format bande dessinée et également des dessins. Avec la perfection du cercle, nous découvrons la dynastie Qin en Chine, au temps féodal au contraire des premiers tomes qui nous plongeaient dans le futur, comme souvent avec les récits de science-fiction. Un mystérieux savant et mathématicien va sauver le roi d'un attentat pour lui dévoiler un immense secret. Le roi Ying Zheng convoque toute une assemblée de savants pour déterminer l'importance du secret en question. Le sauveur affirme qu'avec des travaux importants il pourrait réaliser un cercle parfait et découvrir le langage du ciel. Les dessins de Xavier Besse sont de qualité avec des planches de textes pour expliquer les informations du récit initial, qui ralentissent la fluidité lors de la lecture. On retrouve la page à déplier pour former un panorama sur trois pages qui est la touche de la série. La finalité de ce tome apportera la subtilité à cette histoire de guerre féodal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-la-perfection-du-cercle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Comment ca Spirou est mort ? Hein ? Commenttttttttttttt Vous l'aurez compris, le titre de cet album est plus un spoiler qu'autre chose, car cet album est le premier d'un diptyque (enfin, on l'espère) et la mort de Spirou... est la fin de l'album. Le début de l'album est une grande aventure qui mène donc au titre. Nos duettistes sont dans leurs éléments en ce début d'album avec un Fantasio aussi soupe au lait que d'habitude et un Spirou toujours réfléchit. Si l'album se lit avec plaisir, il est quand même vraiment orienté pour les enfants, avec certaines décisions et choix de nos héros qui sont dans le sens de faire avancer le récit, mais pas forcément réfléchis (Le voyage qui ne peut pas attendre la fête dès 100 ans par exemple). Graphiquement, le trait d'Olivier Schwartz n'est pas ans rappeler celui d'Emilie Bravo, remis à XXIieme siècle bien sur. On se retrouve avec un tome qui plaira aux enfants, mais qui est différent, par son absence de second degré de lecture, de la frange pour adulte de la série.
  25. Titre de l'album : Spirou et Fantasio t56 : la mort de Spirou Scenariste de l'album : Sophie Guerrive / Benjamin Abitan Dessinateur de l'album : Olivier Schwartz Coloriste : Olivier Schwartz Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : À l'approche du centenaire des Éditions Dupuis, Spirou et Fantasio ont la mauvaise idée de disparaître de la surface de la Terre ! Peut-être justement parce qu'ils sont en dessous. Dans la cité sous-marine de Korallion, qu'ils avaient déjà visitée lors d'une précédente et mythique aventure de Franquin :Spirou et les Hommes-Bulles... Merveilleuse passerelle entre le glorieux passé de Spirou et les codes narratifs de l'aventure contemporaine, La Mort de Spirou lui offre une renaissance enivrante, entre grande aventure et réflexion sur notre société. Aux manettes graphiques de ce Spirou "next gen" : Olivier Schwartz, dont le dessin vintage pratiqué sur « Le Groom vert-de-gris » se mue en merveilleux traducteur de la modernité contemporaine. À l'écriture du scénario, un duo piquant, composé de Benjamin Abitan, auteur et homme de radio, et Sophie Guerrive, auteure des remarqués Tulipe et Le Club des amis. Critique : Comment ca Spirou est mort ? Hein ? Commenttttttttttttt Vous l'aurez compris, le titre de cet album est plus un spoiler qu'autre chose, car cet album est le premier d'un diptyque (enfin, on l'espère) et la mort de Spirou... est la fin de l'album. Le début de l'album est une grande aventure qui mène donc au titre. Nos duettistes sont dans leurs éléments en ce début d'album avec un Fantasio aussi soupe au lait que d'habitude et un Spirou toujours réfléchit. Si l'album se lit avec plaisir, il est quand même vraiment orienté pour les enfants, avec certaines décisions et choix de nos héros qui sont dans le sens de faire avancer le récit, mais pas forcément réfléchis (Le voyage qui ne peut pas attendre la fête dès 100 ans par exemple). Graphiquement, le trait d'Olivier Schwartz n'est pas ans rappeler celui d'Emilie Bravo, remis à XXIieme siècle bien sur. On se retrouve avec un tome qui plaira aux enfants, mais qui est différent, par son absence de second degré de lecture, de la frange pour adulte de la série. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spirou-et-fantasio-tome-56-la-mort-de-spirou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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