Fred Duval et Jean-Pierre Pécau donnent une conclusion à leur diptyque avec pour personnage principal de la révolution, le peintre Salvator Dali et introduisent le personnage de Trotski. Dans cette suite, Dali est enlevé par un groupuscule, à la suite de sa participation à l'expédition punitive pour venger son ami. Les deux scénaristes ajoutent une intrigue avec Trotski qui séjourne en Espagne. Les rebondissements sont nombreux et il ne faut pas se concentrer pour suivre cette histoire plus complexe que le laisse supposer l'intrigue avec Dali. Il est amusant de retrouver le peintre déchainé avec son langage surréaliste durant sa captivité et en tout circonstances. D'autres personnages historiques feront leur apparition dans ce tome pour renforcer l'intrigue politique et le climat de l'époque même si l'on reste dans un monde différent de la réalité. Les planches de Renato Arlem sont parfaites avec des personnages très bien dessiné. Les décors sont bien travaillés.
La grande saga Jour J a déjà prouvé sa qualité avec de nombreux one shot de qualité ou même parfois des diptyques comme cette histoire avec Dali et une ou deux trilogies depuis le début. Les noces de sang est une bonne histoire bien pensée dans le contexte historique.
Chronique du premier tome : Jour J tome 46 - Les noces de sang 1/2
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