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  1. Nouvelle série jeunesse historique chez Le Lombard, orientée sur la période suivant la révolution française. Nos jeunes héros vont devoir affronter la grande Histoire à travers leurs histoires personnelles. Ce tome 1 suit un rythme assez effréné et démarre au quart de tour. Si le début de l'intrigue est somme toute d'une grande banalité, le contexte dans lequel elle s'inscrit et les profils des personnages font que l'alchimie prend bien. Les planches de Xavier Fourquemin m'ont plu et elles me changent un peu sur des détails qui ont leur importance des standards actuels de la bd jeunesse. Ce tome met en place des éléments pour des développements plus ambitieux sur les tomes prochains et la fin de celui-ci nous tient en haleine. Nous verrons donc au prochain tome si Régis Hautière arrive à nous livrer une aventure à la hauteur des espoirs suscités. Pour le moment il me manque encore un petit quelque chose.
  2. Titre de l'album : Révolutionnaires - Tome 1 - Les princes Misère Scenariste de l'album : Régis Hautière Dessinateur de l'album : Xavier Fourquemin Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Nantes, 1792. Pour fuir les intentions meurtrières de son oncle, le Marquis de Valoire, Célénie n'a trouvé d'autre refuge que les sombres ruelles de la ville. Désormais, pour récupérer son héritage, la jeune aristocrate devenue orpheline ne peut plus compter que sur ses nouveaux camarades d'infortune, Pince-Mitraille, Titor et Mélina. Plongés dans le tourment de la Révolution Française, c'est dans l'Égalité et la Fraternité que les quatre enfants vont devoir lutter pour leur Liberté. Critique : Nouvelle série jeunesse historique chez Le Lombard, orientée sur la période suivant la révolution française. Nos jeunes héros vont devoir affronter la grande Histoire à travers leurs histoires personnelles. Ce tome 1 suit un rythme assez effréné et démarre au quart de tour. Si le début de l'intrigue est somme toute d'une grande banalité, le contexte dans lequel elle s'inscrit et les profils des personnages font que l'alchimie prend bien. Les planches de Xavier Fourquemin m'ont plu et elles me changent un peu sur des détails qui ont leur importance des standards actuels de la bd jeunesse. Ce tome met en place des éléments pour des développements plus ambitieux sur les tomes prochains et la fin de celui-ci nous tient en haleine. Nous verrons donc au prochain tome si Régis Hautière arrive à nous livrer une aventure à la hauteur des espoirs suscités. Pour le moment il me manque encore un petit quelque chose. Autres infos : BD jeunesse Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/revolutionnaires-tome-1-les-princes-misere?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Second tome de nos deux aventuriers qui enquêtent grâce à l'exploration urbaine (Urbex donc) sur des affaires familiales et paranormales. L'étrange villa est loin de révéler tous ses secrets mais continue de se dévoiler peu à peu. Les indices sont posés, et on comprend bien que certains seront utilisés plus tard. Les relations entre nos deux héros vont grandement évoluer dans ce tome, et dans une direction étonnamment inattendue, c'est chouette. Clarke nous livre une nouvelle fois de belles planches, qui si elles s'inscrivent dans les codes de la bd pour ados réussiront toutefois à faire passer de beaux moments au lecteur adulte. Le thème général d'urbex ne m'a pas parlé plus que cela je vous l'avoue, et comme le paranormal n'est guère une passion pour moi aussi, vous comprendrez plus facilement la note que j'ai mis qui ne reflète pas forcément la qualité globale de cette BD pour ado. Les goûts et les couleurs...
  4. Titre de l'album : Urbex - Tome 2 - Douleurs fantômes Scenariste de l'album : Vincent Dugomier Dessinateur de l'album : Clarke Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Alex et Julie partagent bien plus que l'Urbex : ils viennent de se découvrir une arrière-grand-mère en commun ! C'est la Villa Pandora, « leur » manoir fantôme, qui le leur a révélé. Et sans doute dissimule-t-elle encore bien des réponses. Mais Pandora est telle une psyché humaine : tortueuse et hantée par son passé. Pour en pousser les portes les plus recluses, ils vont devoir continuer leur oeuvre de « psys de l'urbex ». Peut-être, alors, que cet héritage maudit cessera de venir les tourmenter jusque dans leur quotidien, et dans leur chair... Critique : Second tome de nos deux aventuriers qui enquêtent grâce à l'exploration urbaine (Urbex donc) sur des affaires familiales et paranormales. L'étrange villa est loin de révéler tous ses secrets mais continue de se dévoiler peu à peu. Les indices sont posés, et on comprend bien que certains seront utilisés plus tard. Les relations entre nos deux héros vont grandement évoluer dans ce tome, et dans une direction étonnamment inattendue, c'est chouette. Clarke nous livre une nouvelle fois de belles planches, qui si elles s'inscrivent dans les codes de la bd pour ados réussiront toutefois à faire passer de beaux moments au lecteur adulte. Le thème général d'urbex ne m'a pas parlé plus que cela je vous l'avoue, et comme le paranormal n'est guère une passion pour moi aussi, vous comprendrez plus facilement la note que j'ai mis qui ne reflète pas forcément la qualité globale de cette BD pour ado. Les goûts et les couleurs... Autres infos : Exploration urbaine pour ados doublée d'enquête fantastique Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urbex-tome-2-douleurs-fantomes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Que c'est difficile de noter cette BD pour moi. C'est l'histoire d'un fait divers sordide dont beaucoup d'entre vous ont entendu parler. Le format BD est entrecoupé d'éléments graphiques et de documents d'époques permettant de mettre en valeurs les témoignages et les narrations qui entrecoupent le récit. Celui-ci se concentre finalement sur ce que l'on sait de la victime, sur les mois qui précèdent son assassinat. Je vous avoue que je me suis ennuyé sur cette BD, alors même que le traitement graphique de Florent Maudoux est juste sublime comme à son habitude. Reste que c'est un documentaire sur une vieille affaire de fait divers sanglante et macabre, et que la victime n'attire même pas la sympathie, ajoutez à cela qu'à la fin on n'en sait pas bien plus qu'au début sur l'identité du meurtrier, et pour cause, celui-ci n'ayant toujours pas été formellement identifié, et bien j'ai eu du mal à trouver un intérêt à cette lecture. J'avais eu le même ressenti sur l'homme qui tua Chris Kyle par Nury et Büno, alors même que c'est également deux auteurs que j'adore. Je vous avoue également que le personnage et la personnalité de Melle Short ne m'a pas passionné outre mesure bien que les auteurs aient visiblement été très intéressés par cette partie là. Bref, pour les amateurs de faits divers et de cette amérique d'après guerre, foncez, le dessin de Florent Maudoux est juste exceptionnel et la quantité de travail documentaire réalisé stupéfiante. L'album est énorme, et la quantité de textes, témoignages et photos d'époque vous immergeront à coups sûr, en plus de vous occuper une longue soirée. Pour les autres, passez votre tour.
  6. Titre de l'album : A Short Story - La véritable histoire du Dahlia Noir Scenariste de l'album : Run Dessinateur de l'album : Florent Maudoux Coloriste : Run & Florent Maudoux Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : A Short Story retrace avec un souci du détail sans précédent la vraie histoire d'Elizabeth Short, plus connue sous le pseudonyme du Dahlia Noir, qui avait quitté son Massachusetts natal pour s'installer à Los Angeles, envisageant une carrière de star hollywoodienne. L'histoire et les dialogues, écrits d'après les documents déclassifiés du FBI, retrace la vie de cette jeune femme perdue dans Hollywood, en particulier les 3 mois qui ont précédé son horrible assassinat, et repose sur les témoignages recoupés de gens l'ayant connue et côtoyée. De son séjour au Figueroa Hotel avec Marjorie Grahams, à l'incident des trois de San Diego, un récit méticuleusement documenté, loin des clichés habituels sur une figure féminine dont on pensait tout connaître. Critique : Que c'est difficile de noter cette BD pour moi. C'est l'histoire d'un fait divers sordide dont beaucoup d'entre vous ont entendu parler. Le format BD est entrecoupé d'éléments graphiques et de documents d'époques permettant de mettre en valeurs les témoignages et les narrations qui entrecoupent le récit. Celui-ci se concentre finalement sur ce que l'on sait de la victime, sur les mois qui précèdent son assassinat. Je vous avoue que je me suis ennuyé sur cette BD, alors même que le traitement graphique de Florent Maudoux est juste sublime comme à son habitude. Reste que c'est un documentaire sur une vieille affaire de fait divers sanglante et macabre, et que la victime n'attire même pas la sympathie, ajoutez à cela qu'à la fin on n'en sait pas bien plus qu'au début sur l'identité du meurtrier, et pour cause, celui-ci n'ayant toujours pas été formellement identifié, et bien j'ai eu du mal à trouver un intérêt à cette lecture. J'avais eu le même ressenti sur l'homme qui tua Chris Kyle par Nury et Büno, alors même que c'est également deux auteurs que j'adore. Je vous avoue également que le personnage et la personnalité de Melle Short ne m'a pas passionné outre mesure bien que les auteurs aient visiblement été très intéressés par cette partie là. Bref, pour les amateurs de faits divers et de cette amérique d'après guerre, foncez, le dessin de Florent Maudoux est juste exceptionnel et la quantité de travail documentaire réalisé stupéfiante. L'album est énorme, et la quantité de textes, témoignages et photos d'époque vous immergeront à coups sûr, en plus de vous occuper une longue soirée. Pour les autres, passez votre tour. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-short-story?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Si le premier tome de la résurrection de ces polars sentant bon les années 80 ne m'avait guère emballé, le second tome très "L'aventurier" m'avait déjà plus plu. Je vous colle ici le lien vers la chronique du second tome : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/les-nouvelles-aventures-de-bruno-brazil-tome-2-black-program-r351/ Ce troisième opus confirme lui tout le bien qu'on peut penser de la résurrection de Bruno Brazil. Inventif, punchy, ne s'encombrant pas d'un réalisme exacerbé, lorgnant une nouvelle fois volontiers du côté de James Bond, il ne manque plus grand chose à ce Bruno Brazil pour devenir plus marquant. Je trouve que les personnages secondaires de son équipe ne sont peut être pas encore assez étoffés, et le brave Bruno souffre pour ma part d'un déficit de charisme un peu gênant. Pas de quoi vous gâcher l'aventure ceci dit, d'autant plus que le travail de Philippe Aymond est dans la plus pure traditions du polar franco belge. Ni plus, ni moins, et c'est déjà pas mal pour les amateurs et les nostalgiques. Ce tome 3 est donc un bon cru de cet ersatz de Bob Morane. Pour le moment d'ailleurs meilleur que le reboot dudit Bob à mon humble avis.
  8. Titre de l'album : Les nouvelles aventures de Bruno Brazil - Tome 3 - Terreur boréale à eskimo point Scenariste de l'album : LF Bollée Dessinateur de l'album : Philippe Aymond Coloriste : Didier Ray Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Lorsque le cadavre d'un jeune homme recouvert d'écailles de poisson est retrouvé dans un container de pêche, le Commando Caïman est chargé de l'enquête. Bruno Brazil et le Nomade remontent ainsi la piste du corps jusqu'à Eskimo Point. Ils réalisent rapidement que les ours polaires sont loin d'être les créatures les plus hostiles du lieu. Et que, pour laisser la neige recouvrir les secrets de cet étrange cadavre, certains sont prêts à les refroidir plus vite que le climat local... Critique : Si le premier tome de la résurrection de ces polars sentant bon les années 80 ne m'avait guère emballé, le second tome très "L'aventurier" m'avait déjà plus plu. Je vous colle ici le lien vers la chronique du second tome : https://www.1001bd.com/index.php?/ecriturecritiques/les-nouvelles-aventures-de-bruno-brazil-tome-2-black-program-r351/ Ce troisième opus confirme lui tout le bien qu'on peut penser de la résurrection de Bruno Brazil. Inventif, punchy, ne s'encombrant pas d'un réalisme exacerbé, lorgnant une nouvelle fois volontiers du côté de James Bond, il ne manque plus grand chose à ce Bruno Brazil pour devenir plus marquant. Je trouve que les personnages secondaires de son équipe ne sont peut être pas encore assez étoffés, et le brave Bruno souffre pour ma part d'un déficit de charisme un peu gênant. Pas de quoi vous gâcher l'aventure ceci dit, d'autant plus que le travail de Philippe Aymond est dans la plus pure traditions du polar franco belge. Ni plus, ni moins, et c'est déjà pas mal pour les amateurs et les nostalgiques. Ce tome 3 est donc un bon cru de cet ersatz de Bob Morane. Pour le moment d'ailleurs meilleur que le reboot dudit Bob à mon humble avis. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nouvelles-aventures-de-bruno-brazil-tome-3-terreur-boreale-a-eskimo-point?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Marshall River Bass est de retour dans une histoire encore bien sordide pour ce premier adjoint au shérif afro-américain, des états-unis. Le scénariste Darko Macan fait preuve de beaucoup d'imagination pour inventer des récits qui mettent à mal son shérif et aussi des protagonistes toujours originaux. Dans cet épisode, une prostituée est accusée de meurtre avec toute une troupe de cowboys imbibés de whisky à sa poursuite pour un jugement expéditif. Bass se voit confier la mission de protéger cette prostituée, pour lui offrir un véritable jugement comme il se doit et écouter sa version. Il croisera la route d'un des frères de la famille Defoe qu'il a déjà affronter dès le premier tome. Les indiens ne sont pas oubliés pour parfaire cette histoire au far ouest sauvage où les armes sont utilisés pour régler les problèmes. La partie graphique d'Igor Kordey est parfaite comme depuis le début sur cette série, l'auteur gère à merveilles ce western. La fin annonce une thématique pour le prochain album des aventures de Marshall Bass, qui devra encore se faire respecter pour ensuite appliquer la loi en tant que shérif afro-américain.
  10. Titre de l'album : Marshal Bass tome 8 - La mort misérable et solitaire de Mindy Maguire Scenariste de l'album : Darko Macan Dessinateur de l'album : Igor Kordey Coloriste : Len O'grady & Anubis Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Personne ne sait pourquoi Mindy Maguire a assassiné Skunk Bernhardt avant de s'enfuir en territoire indien et personne ne s'en soucie. Sauf les hommes de Dryheave... qui la pourchassent sans répit tant que l'alcool coule à flot. La seule chance de survie de Mindy est que le Marshal Bass la trouve en premier... Critique : Marshall River Bass est de retour dans une histoire encore bien sordide pour ce premier adjoint au shérif afro-américain, des états-unis. Le scénariste Darko Macan fait preuve de beaucoup d'imagination pour inventer des récits qui mettent à mal son shérif et aussi des protagonistes toujours originaux. Dans cet épisode, une prostituée est accusée de meurtre avec toute une troupe de cowboys imbibés de whisky à sa poursuite pour un jugement expéditif. Bass se voit confier la mission de protéger cette prostituée, pour lui offrir un véritable jugement comme il se doit et écouter sa version. Il croisera la route d'un des frères de la famille Defoe qu'il a déjà affronter dès le premier tome. Les indiens ne sont pas oubliés pour parfaire cette histoire au far ouest sauvage où les armes sont utilisés pour régler les problèmes. La partie graphique d'Igor Kordey est parfaite comme depuis le début sur cette série, l'auteur gère à merveilles ce western. La fin annonce une thématique pour le prochain album des aventures de Marshall Bass, qui devra encore se faire respecter pour ensuite appliquer la loi en tant que shérif afro-américain. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marshal-bass-tome-8-la-mort-miserable-et-solitaire-de-mindy-maguire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Journal inquiet d'Istanbul t1 Scenariste de l'album : Ersin Karabulut Dessinateur de l'album : Ersin Karabulut Coloriste : Ersin Karabulut Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : L'histoire vraie d'Ersin Karabulut, célèbre artiste de bande dessinée turc ; son parcours des banlieues déshéritées d'Istanbul aux sommets de l'édition et de la presse satirique ; comment il vécut, parfois en première ligne, les bouleversements et l'agitation politique de son pays, une Turquie transitant lentement d'une démocratie à un régime autoritaire. En même temps qu'il raconte son parcours d'artiste et de citoyen lambda, Ersin Karabulut dresse le portrait d'un pays tiraillé par des antagonismes politiques et sociétaux profonds, dont l'histoire récente est faite de coup d'états, d'espoir, de désillusion et de drames. Critique : La montée du totalitarisme ordinaire. Voilà comment on pourrait décrire le récit de Ersin Karabulut. On le savait plus ou moins. Nous en étions les témoins lointains de cette montée du totalitarisme en Turquie se demandant comment les gens pouvaient tolérer ça. Le récit de Ersin Karabulut est une vraie merveille d'éclaircissement sur l'évolution de la Turquie en 20 ans. Il est pile dans la tranche d'age qui a subi ce changement. Et donc en nous racontant sa vie, il nous montre les raisons de l'acceptation d'Erdogan par la majorité du peuple Turque. Mais il nous montre aussi à quel point les libres penseurs et autres laïques ont subi cette transformation sans ne pouvoir rien y faire. Ce qui fait de cet album une excellente BD plus qu'un documentaire sur la Turquie, c'est l'honnêteté dont fait preuve Ersin Karabulut en nous racontant sa vie, de jeune garçon rêveur à star de la BD, avec ses doutes, ses peines, ses erreurs... une vie normale au milieu de grand changement politiques ou Ersin Karabulut nous montre bien que ce genre de changement politique n'a pas le même impact en fonction de l'age auquel on le subit. Une BD aussi humaine qu'instructive. Elle met vraiment en avant le fait que personne n'est à l'abri d'un virage totalitaire rapide comme nous le rappel chaque élection présidentielle depuis plus de 15 ans. Une BD aussi sublimement illustrée. Ersin Karabulut nous montre l'étendu de son talent sur cet album. À première vue, on ne voit que les personnages ronds aux expressions disproportionnées. Mais en y regardant un peu plus, on remarque bien que notre auteur est capable de faire des dessins de style bien différents et que c'est vraiment un choix de sa part et non une limitation. Certaines case sont sublimes. Vous l'aurez compris, je commence cette rentrée avec un énorme coup de coeur ! Vivement le tome 2, même si l'on sait déjà qu'il risque de nous montrer une réalité bien triste sur la Turquie d'aujourd'hui. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/journal-inquiet-d-istanbul-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Journal inquiet d'Istanbul t1

    La montée du totalitarisme ordinaire. Voilà comment on pourrait décrire le récit de Ersin Karabulut. On le savait plus ou moins. Nous en étions les témoins lointains de cette montée du totalitarisme en Turquie se demandant comment les gens pouvaient tolérer ça. Le récit de Ersin Karabulut est une vraie merveille d'éclaircissement sur l'évolution de la Turquie en 20 ans. Il est pile dans la tranche d'age qui a subi ce changement. Et donc en nous racontant sa vie, il nous montre les raisons de l'acceptation d'Erdogan par la majorité du peuple Turque. Mais il nous montre aussi à quel point les libres penseurs et autres laïques ont subi cette transformation sans ne pouvoir rien y faire. Ce qui fait de cet album une excellente BD plus qu'un documentaire sur la Turquie, c'est l'honnêteté dont fait preuve Ersin Karabulut en nous racontant sa vie, de jeune garçon rêveur à star de la BD, avec ses doutes, ses peines, ses erreurs... une vie normale au milieu de grand changement politiques ou Ersin Karabulut nous montre bien que ce genre de changement politique n'a pas le même impact en fonction de l'age auquel on le subit. Une BD aussi humaine qu'instructive. Elle met vraiment en avant le fait que personne n'est à l'abri d'un virage totalitaire rapide comme nous le rappel chaque élection présidentielle depuis plus de 15 ans. Une BD aussi sublimement illustrée. Ersin Karabulut nous montre l'étendu de son talent sur cet album. À première vue, on ne voit que les personnages ronds aux expressions disproportionnées. Mais en y regardant un peu plus, on remarque bien que notre auteur est capable de faire des dessins de style bien différents et que c'est vraiment un choix de sa part et non une limitation. Certaines case sont sublimes. Vous l'aurez compris, je commence cette rentrée avec un énorme coup de coeur ! Vivement le tome 2, même si l'on sait déjà qu'il risque de nous montrer une réalité bien triste sur la Turquie d'aujourd'hui.
  13. Titre de l'album : Les coeurs de ferraille t1 : Debry, Cyrano et moi Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : José-Luis Munuera Coloriste : José-Luis Munuera Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un monde rétrofuturiste où les humains vivent entourés de serviteurs robots, la jeune Iséa préfère se réfugier dans Cyrano de Bergerac, film conseillé par Tal, sa seule amie, qu'elle ne rencontre que par écran interposé. Mais le jour où Debry, sa robot-nounou adorée, est renvoyée par sa mère, le fragile équilibre de l'adolescente s'effondre. Coûte que coûte, Iséa décide de retrouver la seule personne qui lui ait jamais donné de l'amour, fût-elle un robot... Accompagnée par un camarade d'école, Tilio, elle va partir vers l'étrange ville de Tulpa... Conte à la toile de fond étonnante et au propos qui l'est tout autant, ce premier tome des Coeurs de Ferraille explore avec intelligence et délicatesse le rapport mère-fille dans ce qu'il a d'inné ou de construit, mais aussi parfois de toxique... Les BeKa et Munuera, après leur collaboration sur Les Tuniques Bleues, offrent une nouvelle preuve de leur complémentarité. Le propos est toujours plus sensible, intelligent et surprenant. Le dessin de Munuera encore plus esthétique grâce à l'ajout d'une pointe réaliste. Critique : Fiou qu'est-ce que c'est beau et bon ! Fiouuuuu Graphiquement parlant, Munuera est au sommet de son art. C'est sublime ! Que ce soit les robots, les humains ou les décors, c'est magnifique. Et le scénario..... est d'une fraicheur infinie. Super innovant, ambitieux et tout doux à la fois. Ce conte de Béka est une très belle métaphore de l'exclusion des autres et plus précisément de l'esclavage. Mais c'est aussi un superbe aventure à la Tom Sawyer. Une aventure ou une petite fille découvre le monde avec des yeux aussi innocent que plein d'étoiles. Une petite fille pleine de vie et d'envies, mais aussi d'illusions sur le monde. Et attention aux illusions quand elles disparaissent. Et ci cela ne suffisait pas, Béka nous livre une fin de tome à tomber par terre de cynisme, faisant redescendre le lecteur de son petit nuage, et ce, directement dans une flaque de boue. Bref une superbe lecture. Peut-être la meilleure de ce mois de juin ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-coeurs-de-ferraille-tome-1-debry-cyrano-et-moi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Fiou qu'est-ce que c'est beau et bon ! Fiouuuuu Graphiquement parlant, Munuera est au sommet de son art. C'est sublime ! Que ce soit les robots, les humains ou les décors, c'est magnifique. Et le scénario..... est d'une fraicheur infinie. Super innovant, ambitieux et tout doux à la fois. Ce conte de Béka est une très belle métaphore de l'exclusion des autres et plus précisément de l'esclavage. Mais c'est aussi un superbe aventure à la Tom Sawyer. Une aventure ou une petite fille découvre le monde avec des yeux aussi innocent que plein d'étoiles. Une petite fille pleine de vie et d'envies, mais aussi d'illusions sur le monde. Et attention aux illusions quand elles disparaissent. Et ci cela ne suffisait pas, Béka nous livre une fin de tome à tomber par terre de cynisme, faisant redescendre le lecteur de son petit nuage, et ce, directement dans une flaque de boue. Bref une superbe lecture. Peut-être la meilleure de ce mois de juin !
  15. poseidon2

    Celle qui parle

    Heran Cortes ça vous dit quelque chose ? Vous savez la conquête du Mexique, la folie de l'or, la fin des Aztèques tout ça tout ça. Et La Malinche par contre je parie que vous n'en avez jamais entendu parler. C'est en effet un personnage inconnu chez nous et pourtant controversé au Mexique car c'est une femme indigène ayant servie d'interprète à Cortès lui permettant de communiquer avec toutes les tributs différentes (qui avaient chacune leur dialecte) d’Amérique centrale. Elle est donc soit une traitresse soit une personne ayant fait tout ce qu'elle pouvait pour éviter des bains de sang et... survivre. C'est cette facette que nous montre Alicia Jaraba Abellan dans "Celle qui parle". Elle nous montre le combat d'une femme pour survivre. Un combat qu'elle mène avec son arme : le savoir et l'apprentissage des langues. Malinalli est ballotté au grès de son statut d'esclave et cherche uniquement à avoir un peu d'emprise sur son propre destin. C'est le premier point intéressant de cette BD : la découverte. En effet l'histoire de l'Amérique centrale n'est pas quelque chose que, nous autres Français, maitrisons. Et en cela découvrir cette histoire de dialectes, de conflit en Amériques centrales, de poids des Aztèques sur les autres populations et du rôle de sauveur qu'on peut prendre les espagnols pour beaucoup, c'est super instructif. Le second point c'est le parti pris de nous raconter cette histoire au travers des yeux de Malinalli. La candeur de ses débuts, les frustrations de sa vie d'esclave, ses espoirs et ses déceptions rythment le récit à merveilles. Ces 200 pages passent à une vitesse affolante. Ma première réaction a même été d'être frustré de la fin qui ne traite pas de la guerre entre l'Espagne et les Aztèques. Mais après réflexion je me suis dit que c'était logique car il faut bien se dire que cette histoire n'est pas celle de Cortès mais bien de Celle qui parle. Un superbe album, une histoire passionnante et une femme impressionnante. A lire !
  16. poseidon2

    Celle qui parle

    Titre de l'album : Celle qui parle Scenariste de l'album : Alicia Jaraba Abellan Dessinateur de l'album : Alicia Jaraba Abellan Coloriste : Alicia Jaraba Abellan Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : « Fille d'un chef déchu, offerte comme esclave, elle est devenue l'une des plus grandes figures féminines de l'Histoire ». XVIe siècle. Malinalli est la fille d'un chef d'un clan d'Amérique centrale. Peu de temps après la mort de son père, elle est vendue à un autre clan pour travailler aux champs et satisfaire la libido de son nouveau maître. Un jour, d'immenses navires apparaissent à l'horizon, commandés par Hernan Cortez, obsédé par la recherche d'or. Le conquistador repère Malinalli et son don pour les langues. Elle sera son interprète et un des éléments clés dans ses espoirs de conquête. Elle sera également celle qui aura le courage de dire un mot interdit aux femmes de son époque : non ! Au-delà de la légende, voici l'histoire de la Malinche, vivante, jeune, inexpérimentée, souvent dépassée par les événements, mais avant tout, humaine. Critique : Heran Cortes ça vous dit quelque chose ? Vous savez la conquête du Mexique, la folie de l'or, la fin des Aztèques tout ça tout ça. Et La Malinche par contre je parie que vous n'en avez jamais entendu parler. C'est en effet un personnage inconnu chez nous et pourtant controversé au Mexique car c'est une femme indigène ayant servie d'interprète à Cortès lui permettant de communiquer avec toutes les tributs différentes (qui avaient chacune leur dialecte) d’Amérique centrale. Elle est donc soit une traitresse soit une personne ayant fait tout ce qu'elle pouvait pour éviter des bains de sang et... survivre. C'est cette facette que nous montre Alicia Jaraba Abellan dans "Celle qui parle". Elle nous montre le combat d'une femme pour survivre. Un combat qu'elle mène avec son arme : le savoir et l'apprentissage des langues. Malinalli est ballotté au grès de son statut d'esclave et cherche uniquement à avoir un peu d'emprise sur son propre destin. C'est le premier point intéressant de cette BD : la découverte. En effet l'histoire de l'Amérique centrale n'est pas quelque chose que, nous autres Français, maitrisons. Et en cela découvrir cette histoire de dialectes, de conflit en Amériques centrales, de poids des Aztèques sur les autres populations et du rôle de sauveur qu'on peut prendre les espagnols pour beaucoup, c'est super instructif. Le second point c'est le parti pris de nous raconter cette histoire au travers des yeux de Malinalli. La candeur de ses débuts, les frustrations de sa vie d'esclave, ses espoirs et ses déceptions rythment le récit à merveilles. Ces 200 pages passent à une vitesse affolante. Ma première réaction a même été d'être frustré de la fin qui ne traite pas de la guerre entre l'Espagne et les Aztèques. Mais après réflexion je me suis dit que c'était logique car il faut bien se dire que cette histoire n'est pas celle de Cortès mais bien de Celle qui parle. Un superbe album, une histoire passionnante et une femme impressionnante. A lire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celle-qui-parle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Soyons honnête, ma lecture du premier tome du Boiseleur m'avait laissé un souvenir mitigé : bon sans être mémorable ( voir le lien de la chronique ici : Et ce tome 2 vient me rappeler pourquoi il faut toujours se laisser tenter par une histoire, fusse-t-elle sur un sujet qui à priori ne vous attire pas, pour peu que les auteurs soient bons. ) Ce boiseleur vient pour moi se ranger finalement à côté de Le Sculpteur, dans sa pertinence à nous parler d'art. Le tour de force de Gaëlle Hersent au dessin est de réussir à nous rendre des sensations de sculpture, de mouvement, d'espaces et de vides sur une feuille de papier. Quand au scénario du génial Hubert, que nous ne pouvons que regretter, il réussit à insuffler un souffle épique dans un second tome prenant là où les enjeux du premier tome ne m'avaient finalement que peu émoustillé. Ce Boiseleur est donc au final une très belle réussite que je ne peux que recommander aux amateurs d'arts, et aux autres.
  18. Titre de l'album : Le boiseleur - Tome 2 - L'esprit d'Atelier Scenariste de l'album : Hubert Dessinateur de l'album : Gaëlle Hersent Coloriste : Gaëlle Hersent Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le talent d'Illian, jeune sculpteur, franchit les frontières de Solidor et suscite l'intérêt jusqu'à Bélizonde, seule cité dirigée par des artistes. Un couple de grands maîtres sculpteurs, Tullio et Zenia, parvient à convaincre le jeune d'homme d'intégrer leur prestigieux atelier. Leur souhait ? Le faire concourir à un grand événement qui leur permettrait de sauver leur atelier, leur savoir-faire... Critique : Soyons honnête, ma lecture du premier tome du Boiseleur m'avait laissé un souvenir mitigé : bon sans être mémorable ( voir le lien de la chronique ici : Et ce tome 2 vient me rappeler pourquoi il faut toujours se laisser tenter par une histoire, fusse-t-elle sur un sujet qui à priori ne vous attire pas, pour peu que les auteurs soient bons. ) Ce boiseleur vient pour moi se ranger finalement à côté de Le Sculpteur, dans sa pertinence à nous parler d'art. Le tour de force de Gaëlle Hersent au dessin est de réussir à nous rendre des sensations de sculpture, de mouvement, d'espaces et de vides sur une feuille de papier. Quand au scénario du génial Hubert, que nous ne pouvons que regretter, il réussit à insuffler un souffle épique dans un second tome prenant là où les enjeux du premier tome ne m'avaient finalement que peu émoustillé. Ce Boiseleur est donc au final une très belle réussite que je ne peux que recommander aux amateurs d'arts, et aux autres. Autres infos : Fin du diptyque Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-boiseleur-tome-2-l-esprit-d-atelier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Fred Duval et Jean-Pierre Pécau donnent une conclusion à leur diptyque avec pour personnage principal de la révolution, le peintre Salvator Dali et introduisent le personnage de Trotski. Dans cette suite, Dali est enlevé par un groupuscule, à la suite de sa participation à l'expédition punitive pour venger son ami. Les deux scénaristes ajoutent une intrigue avec Trotski qui séjourne en Espagne. Les rebondissements sont nombreux et il ne faut pas se concentrer pour suivre cette histoire plus complexe que le laisse supposer l'intrigue avec Dali. Il est amusant de retrouver le peintre déchainé avec son langage surréaliste durant sa captivité et en tout circonstances. D'autres personnages historiques feront leur apparition dans ce tome pour renforcer l'intrigue politique et le climat de l'époque même si l'on reste dans un monde différent de la réalité. Les planches de Renato Arlem sont parfaites avec des personnages très bien dessiné. Les décors sont bien travaillés. La grande saga Jour J a déjà prouvé sa qualité avec de nombreux one shot de qualité ou même parfois des diptyques comme cette histoire avec Dali et une ou deux trilogies depuis le début. Les noces de sang est une bonne histoire bien pensée dans le contexte historique. Chronique du premier tome : Jour J tome 46 - Les noces de sang 1/2
  20. Titre de l'album : Jour J tome 47 - Les noces de sang tome 2/2 Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Renato Arlem Coloriste : Thiago Rocha Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le plan de Dali pour venger la mort de Lorca a réussi. La France est intervenue et les armées de Franco sont en déroute. À Barcelone, Trotsky scelle une alliance pour expulser les communistes staliniens du gouvernement. À Madrid, les services spéciaux soviétiques tentent de voler la réserve d'or espagnole. Tous ces événements vont converger vers une conclusion étonnante en forme de... homard ! Critique : Fred Duval et Jean-Pierre Pécau donnent une conclusion à leur diptyque avec pour personnage principal de la révolution, le peintre Salvator Dali et introduisent le personnage de Trotski. Dans cette suite, Dali est enlevé par un groupuscule, à la suite de sa participation à l'expédition punitive pour venger son ami. Les deux scénaristes ajoutent une intrigue avec Trotski qui séjourne en Espagne. Les rebondissements sont nombreux et il ne faut pas se concentrer pour suivre cette histoire plus complexe que le laisse supposer l'intrigue avec Dali. Il est amusant de retrouver le peintre déchainé avec son langage surréaliste durant sa captivité et en tout circonstances. D'autres personnages historiques feront leur apparition dans ce tome pour renforcer l'intrigue politique et le climat de l'époque même si l'on reste dans un monde différent de la réalité. Les planches de Renato Arlem sont parfaites avec des personnages très bien dessiné. Les décors sont bien travaillés. La grande saga Jour J a déjà prouvé sa qualité avec de nombreux one shot de qualité ou même parfois des diptyques comme cette histoire avec Dali et une ou deux trilogies depuis le début. Les noces de sang est une bonne histoire bien pensée dans le contexte historique. Chronique du premier tome : Jour J tome 46 - Les noces de sang 1/2 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jour-j-tome-47-les-noces-de-sang-2-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    Green Class - Tome 4 - L'éveil

    Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi.
  22. Titre de l'album : Green Class - Tome 4 - L'éveil Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : David Tako Coloriste : David Tako Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le plan de Naïa ayant foiré en beauté, nos cinq amis sont à présent séparés. Pire, ils sont traqués par des militaires bien décidés à ne laisser personne les empêcher d'ouvrir le portail entre la Terre et le monde des grands anciens. Le général espère que ces derniers feront table rase de l'humanité et de tous ses excès. Mais, dans leur fuite, Lucas et Sato découvrent une fresque qui pose une question des plus dérangeantes : si les « infectés » - les Shoggoths ? sont les serviteurs des Grands Anciens et qu'ils sont déjà venus sur Terre, alors pourquoi n'ont-ils pas ouvert le portail à l'époque ? Critique : Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/green-class-tome-4-l-eveil/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Les mondes d'Arven t1

    Dargaud se lance dans la bataille des BDs d'aventures jeunesse avec une nouvelle série nommée "Les mondes d'Arven". Comme le titre le laisse pensée, cette série est une série d'aventures fantastiques et, comme le dessin le laisse penser cette fois, c'est une série radicalement pour enfants. C'est en partie ce que je lui reprocherais : prendre de trop grosse facilité. Si le thème est assez innovant dans la BD et cherche intelligemment à se rapprocher actuelle de l'Isekai (voir l'excellente description de Nickad pour plus d'info) dans le manga, certains raccourcis scénaristiques sont trop faciles et cela peu provoquer des incohérences et donc une frustration chez les plus grands. Les enfants ne se poseront eux surement moins de questions et apprécieront cette BD pleine de couleur et de vie. Attention donc à ne pas se tromper de bibliothèque.
  24. Titre de l'album : Les mondes d'Arven t1 Scenariste de l'album : Éric Stoffel / Serge Scotto / Yvon Bertorello Dessinateur de l'album : Cédric Fernandez Coloriste : Amélie Vidal Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En Auvergne, de nos jours, Blandine crée avec son ami Marco un jeu vidéo en partie géré par une IA, le Monde d'Arven. Une société utopique aux décors inspirés par sa région et l'antiquité gréco-romaine, et dont l'organisation est basée sur les énergies renouvelables. Mais lorsque Blandine explore le jeu, elle constate que sa création lui a échappé : des PNJ y sont autonomes et un monstre inconnu se met à semer le chaos ! La clé du mystère peut se trouver aussi bien dans le monde virtuel que réel... Critique : Dargaud se lance dans la bataille des BDs d'aventures jeunesse avec une nouvelle série nommée "Les mondes d'Arven". Comme le titre le laisse pensée, cette série est une série d'aventures fantastiques et, comme le dessin le laisse penser cette fois, c'est une série radicalement pour enfants. C'est en partie ce que je lui reprocherais : prendre de trop grosse facilité. Si le thème est assez innovant dans la BD et cherche intelligemment à se rapprocher actuelle de l'Isekai (voir l'excellente description de Nickad pour plus d'info) dans le manga, certains raccourcis scénaristiques sont trop faciles et cela peu provoquer des incohérences et donc une frustration chez les plus grands. Les enfants ne se poseront eux surement moins de questions et apprécieront cette BD pleine de couleur et de vie. Attention donc à ne pas se tromper de bibliothèque. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-mondes-d-arven-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. alx23

    Brouhaha

    Brouhaha est le dernier album de la collection Pataquès. Arthur Levrard propose une soixantaine d'histoire humoristique qui tiennent sur une planche avec la chute en fin de page. Le format de la planche varie entre trois et neuf cases pour poser le contexte. On peut qualifier d'humour noir les histoires qui vous attendent dans cet album. En effet, l'auteur pose une ambiance calme avec une chute assez surprenante et drôle. Certains personnages sont utilisés plusieurs fois durant l’album comme pour exemple, l'homme qui accepte tous les défis de ses amis pilier de bar. Les dessins ne laissent pas envisager la tournure de l’histoire et fonctionnent bien, en donnant cette impression de situation classique et banale. Les personnages sont souvent déformés avec un trait minimaliste et des couleurs pâle. Les amateurs d'humour et de cette excellente collection trouveront leur compte avec des histoires déjantées et amusantes.
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