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  1. Lewis Trondheim et Joann Sfar sont très prolifiques sur leur série Donjon avec un album sorti en début d'année Donjon Antipodes et dernièrement ce Donjon monsters tome 14. Je n'ai pas souvenir de mettre autant amuser à la lecture d'un tome de cette série même si l'humour est toujours présent dans la série et les nombreux spin-off. Il faut dire que les dialogues sont vraiment excellents dans ce one shot et l'histoire et particulièrement bien trouvée. On suit la destinée de Bonny Malone, une lapine qui va parcourir le monde pour vendre la bière très réputée des lapins pour faire plus de profit. Cette nouvelle concurrente dans la vente de bière ne va pas convenir aux autres vendeurs qui avaient du monopole et la tête de la lapine est mise à prix. Quand on voit les lapins, on ne s'attend pas à autant de violence de leur part et pourtant. Les dessins sont réalisés par Bastien Quignon dans le style la série. Après autant d'album, les auteurs nous assurent toujours une grande qualité sur chaque album et ce tome 14 la bière supérieure le confirme.
  2. Titre de l'album : Donjon monsters tome 14 - La bière supérieure Scenariste de l'album : Lewis Trondheim & Joann Sfar Dessinateur de l'album : Bastien Quignon Coloriste : Bastien Quignon Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans le monde de Terra Amata, rares sont les lapins qui s'éloignent de Zautamauxime. C'est pourtant le chemin qu'emprunte Bonny Malone, une jeune lapine mandatée par un maître brasseur pour vendre son breuvage. Mais cette nouvelle arrivante sur le marché n'est pas du goût de tout le monde. Un assassin est embauché pour se débarrasser de cette encombrante concurrence. Critique : Lewis Trondheim et Joann Sfar sont très prolifiques sur leur série Donjon avec un album sorti en début d'année Donjon Antipodes et dernièrement ce Donjon monsters tome 14. Je n'ai pas souvenir de mettre autant amuser à la lecture d'un tome de cette série même si l'humour est toujours présent dans la série et les nombreux spin-off. Il faut dire que les dialogues sont vraiment excellents dans ce one shot et l'histoire et particulièrement bien trouvée. On suit la destinée de Bonny Malone, une lapine qui va parcourir le monde pour vendre la bière très réputée des lapins pour faire plus de profit. Cette nouvelle concurrente dans la vente de bière ne va pas convenir aux autres vendeurs qui avaient du monopole et la tête de la lapine est mise à prix. Quand on voit les lapins, on ne s'attend pas à autant de violence de leur part et pourtant. Les dessins sont réalisés par Bastien Quignon dans le style la série. Après autant d'album, les auteurs nous assurent toujours une grande qualité sur chaque album et ce tome 14 la bière supérieure le confirme. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/donjon-monsters-tome-14-la-biere-superieure/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Si je connaissais et apprécias Olivier Ruiz la chanteuse, je ne connaissais pas Olivier Ruiz l'écrivaine. C'est donc avec un grand plaisir que j'ai découvert cette histoire de femmes espagnoles. Une histoire dont on ne parle presque pas chez nous, celle de l'arrivée des refugiés espagnol qui fuyaient Franco et de l'accueil glaciale qui leur a été fait. Une histoire qui a forgé le caractère des différentes femmes de notre histoire. On se retrouve avec une lecture intéressante, poignante magnifiquement mis en image par Amelie Causse. La gestion du récit, découpé en passage entre le passé et le présent, permet de bien gérer le suspense et les sauts dans temps rendant la lecture super fluide. Une belle découverte qui fait comprendre pourquoi la livre s'est, semble-t-il, aussi bien vendu.
  4. Titre de l'album : La commode aux tiroirs de couleurs Scenariste de l'album : Véronique Grisseaux d'apres Olivia Ruiz / Dessinateur de l'album : Amelie Causse Coloriste : Winoc Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : « Enfin, après tant d'années d'impatience domptée, je vais connaître le secret que renfermaient ces dix tiroirs. Ma grand-mère les nommait ses renferme-mémoire». À la mort de sa grand-mère, une jeune femme hérite de l'intrigante commode qui a nourri tous ses fantasmes de petite fille. Le temps d'une nuit, elle va ouvrir ses dix tiroirs et dérouler le fil de la vie de Rita, son Abuela, dévoilant les secrets qui ont scellé le destin de quatre générations de femmes indomptables, entre Espagne et France, de la dictature franquiste à nos jours. D'après le brillant premier roman d'Olivia Ruiz, cet album porte une fresque flamboyante sur l'exil qui a déjà conquis des centaines de milliers de lecteurs. Critique : Si je connaissais et apprécias Olivier Ruiz la chanteuse, je ne connaissais pas Olivier Ruiz l'écrivaine. C'est donc avec un grand plaisir que j'ai découvert cette histoire de femmes espagnoles. Une histoire dont on ne parle presque pas chez nous, celle de l'arrivée des refugiés espagnol qui fuyaient Franco et de l'accueil glaciale qui leur a été fait. Une histoire qui a forgé le caractère des différentes femmes de notre histoire. On se retrouve avec une lecture intéressante, poignante magnifiquement mis en image par Amelie Causse. La gestion du récit, découpé en passage entre le passé et le présent, permet de bien gérer le suspense et les sauts dans temps rendant la lecture super fluide. Une belle découverte qui fait comprendre pourquoi la livre s'est, semble-t-il, aussi bien vendu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/commode-aux-tiroirs-de-couleurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Terre tome 2 - Retour au Jupiter

    La trilogie du second cycle se poursuit avec le retour au Jupiter, les personnages principaux de TER sont de retour sur la planète Terre qui a subi d'énormes changements et de mutations. Rodolphe nous propose de suivre les personnages avec des problématiques temporelles puisque certains auront vieilli plus vite que d'autres lors de l'exploration de la planète. On prend plaisir à suivre tous les personnages qui se retrouveront dans cet épisode avec autant de questionnements que de réponses pour l'instant. On peut toujours profiter des magnifiques décors avec les dessins de Christophe Dubois. L'auteur met en avant aussi toute une faune crédible avec les cousins des chats ou les énormes papillons comme on peut le voir sur la magnifique couverture. On ne peut que rester contemplatif devant les planches de l'auteur sur ce monde étrange. L'album se termine sur un cahier graphique avec des esquisses et quelques explications sur les animaux croisées lors de la lecture. Les deux auteurs maitrisent leur sujet et revisitent les classiques de la science-fiction à travers ces deux cycles. A noter pour les lecteurs désirant découvrir la série que l'intégrale de la première trilogie sera disponible le 18 novembre avant de plonger dans TERRE.
  6. Titre de l'album : Terre tome 2 - Retour au Jupiter Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Christophe Dubois Coloriste : Christophe Dubois Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Revenu sur Terre, l’équipage du Jupiter explore l’étrange planète de leurs origines. Mandor et Beth retrouvent leur vaisseau sous la forme d’une épave qui semble s’être échouée il y a un siècle… Ils viennent pourtant de le quitter. Le temps est-il devenu fou ? Critique : La trilogie du second cycle se poursuit avec le retour au Jupiter, les personnages principaux de TER sont de retour sur la planète Terre qui a subi d'énormes changements et de mutations. Rodolphe nous propose de suivre les personnages avec des problématiques temporelles puisque certains auront vieilli plus vite que d'autres lors de l'exploration de la planète. On prend plaisir à suivre tous les personnages qui se retrouveront dans cet épisode avec autant de questionnements que de réponses pour l'instant. On peut toujours profiter des magnifiques décors avec les dessins de Christophe Dubois. L'auteur met en avant aussi toute une faune crédible avec les cousins des chats ou les énormes papillons comme on peut le voir sur la magnifique couverture. On ne peut que rester contemplatif devant les planches de l'auteur sur ce monde étrange. L'album se termine sur un cahier graphique avec des esquisses et quelques explications sur les animaux croisées lors de la lecture. Les deux auteurs maitrisent leur sujet et revisitent les classiques de la science-fiction à travers ces deux cycles. A noter pour les lecteurs désirant découvrir la série que l'intégrale de la première trilogie sera disponible le 18 novembre avant de plonger dans TERRE. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terre-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Cela en surprendra peut être certains mais ça fait un moment que j'ai arrêté de lire les nouveaux Astérix. Uderzo l'a usé.... je les achetais donc pour les enfants qui n'ont pas besoin de second degré pour apprécier un Astérix. Et là mon libraire m'a dit : celui-là, il n'est pas comme les autres, il est très bon. Alors cette fois ci, en plus de l'acheter, je l'ai lu. Et.... et bien effectivement il est bon. Enfin il faut rendre à Ferry ce qui est à ferry : les romains sont EXCELLENTS. De Fakenius à Terreinconnus en passant par le centurion Danssonjus, ils sont tous à mourir de rire, la palme revenant à Fakenius et son impact sur la cohorte des romains. Les autres personnages ne sont pas en reste avec une superbe intervention de la peuplade des Scythes. Peuplade pouvant faire guide de voyage, encyclopédie et essayant de toujours se déplacer en ligne. Si on pourra regretter que le peu de second degré des Sarmates (mise à part les E inversés) mais, comme souvent dans Astérix, eux portent l'histoire la ou les romains portent l'humour. Et cette histoire est très sympa. Un coté féministe mais pas trop. Un coté Astérix le héros mais pas trop non plus. Un coté Idefix le loup copain de Wolverine comme on a jamais trop. Bref une lecture drôle, agréable et qui devrait réconcilier toute la famille autour d'un de nos emblèmes nationaux. Et ça c'est une excellente chose :)
  8. Titre de l'album : Astérix tome 39 - Astérix et le griffon Scenariste de l'album : Ferry Dessinateur de l'album : Conrad Coloriste : Conrad Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Accompagnés de Panoramix, le plus célèbre des druides gaulois, ils s'apprêtent à partir pour un long et mystérieux voyage en quête d'une créature étrange et terrifiante. « Mais quelle est donc cette créature ? » Didier Conrad a fait parvenir un dessin aux Éditions Albert René. Un dessin étrange et mystérieux... Celui-ci montre nos deux héros - créés il y a plus de 60 ans par les géniaux René Goscinny et Albert Uderzo - grimpant le long d'un grand tronc d'arbre pour tenter de récupérer Idéfix qui semble vouloir leur échapper... Ce tronc est bien singulier car il est sculpté à l'effigie d'une créature énigmatique, dotée de crocs impressionnants et d'un terrible bec de rapace... ...Idolâtrée ou crainte par les peuples de l'Antiquité, cette créature, c'est... le Griffon... Critique : Cela en surprendra peut être certains mais ça fait un moment que j'ai arrêté de lire les nouveaux Astérix. Uderzo l'a usé.... je les achetais donc pour les enfants qui n'ont pas besoin de second degré pour apprécier un Astérix. Et là mon libraire m'a dit : celui-là, il n'est pas comme les autres, il est très bon. Alors cette fois ci, en plus de l'acheter, je l'ai lu. Et.... et bien effectivement il est bon. Enfin il faut rendre à Ferry ce qui est à ferry : les romains sont EXCELLENTS. De Fakenius à Terreinconnus en passant par le centurion Danssonjus, ils sont tous à mourir de rire, la palme revenant à Fakenius et son impact sur la cohorte des romains. Les autres personnages ne sont pas en reste avec une superbe intervention de la peuplade des Scythes. Peuplade pouvant faire guide de voyage, encyclopédie et essayant de toujours se déplacer en ligne. Si on pourra regretter que le peu de second degré des Sarmates (mise à part les E inversés) mais, comme souvent dans Astérix, eux portent l'histoire la ou les romains portent l'humour. Et cette histoire est très sympa. Un coté féministe mais pas trop. Un coté Astérix le héros mais pas trop non plus. Un coté Idefix le loup copain de Wolverine comme on a jamais trop. Bref une lecture drôle, agréable et qui devrait réconcilier toute la famille autour d'un de nos emblèmes nationaux. Et ça c'est une excellente chose :) Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/asterix-et-le-griffon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Un nouveau Lanfeust ? Mais Lanfeust Odyssey me semblait pourtant terminé non ? Et bien oui, et ce tome 9 qui vient poursuivre l'aventure originelle se déroule pourtant, après Odyssey. Lanfeust est donc plus vieux, et la vie a repris un semblant de normalité. Deuxième spécificité étonnante : c'est une one shot. Oui un Lanfeust en One shot. Mais attention, c'est le début d'une série de one shot puisque les auteurs souhaitent désormais se faire plaisir avec Lanfeust. Oui mais et nous, les lecteurs ? Et bien je vous avoue que j'ai beaucoup aimé lire ce Lanfeust, là où les Odyssey avaient fini par me perdre dans leur asterixisation... De l'humour mais pas trop, un poil d'enjeu, le plaisir de retrouver nos héros un peu changés, bref. C'est bien. Graphiquement, Didier Tarquin maîtrise complètement son sujet, c'est donc du Lanfeust, et il n'y a plus grand chose à en dire après 26 épisodes. Une fois que j'ai dit tout le bien que je pensais de cet album, qu'une nouvelle fois j'ai pris beaucoup de plaisir à lire, j'aimerais cependant apporter un bémol. J'ai refermé ce livre et je me suis dit, "oui mais à quoi bon ?". Pourquoi reprendre Lanfeust si c'est pour en faire du Ekko ? Lanfeust c'était d'abord, avant même l'humour, un souffle épique fort et prenant, et des personnages qu'on prenait plaisir à voir évoluer. Là, on se retrouve avec une soupe rallongée. Et comme j'ai adoré et que j'adore toujours Lanfeust, j'ai simplement envie de demander aux auteurs si plutôt que de continuer dans une petite routine sympa et finir par faire rentrer Lanfeust dans le rang vous lui apportiez plutôt une conclusion digne de cette Saga ? Un truc à faire frémir les tripes, comme la fin d'un Jazz Maynard, sinon quel intérêt de faire vieillir Lanfeust ? Allez messieurs, du panache. Il sera toujours tant de nous faire une série dérivée sur la jeunesse de Lanfeust...
  10. Titre de l'album : Lanfeust de Troy - Tome 9 - La forêt noiseuse Scenariste de l'album : Arleston Dessinateur de l'album : Didier Tarquin Coloriste : Lyse Tarquin Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Rien ne va plus dans le monde de Troy. Les sages, relais de la magie, disparaissent un à un. Lanfeust lui-même a perdu son pouvoir. Qui est cet être mégalomane qui plonge villes et villages dans le chaos ? Et quid de cet arbre gigantesque d'où semblent provenir tous les maux qui les accablent ? Lanfeust et Hébus, à nouveau réunis, partent au Delpont enquêter sur ces étranges disparitions... Critique : Un nouveau Lanfeust ? Mais Lanfeust Odyssey me semblait pourtant terminé non ? Et bien oui, et ce tome 9 qui vient poursuivre l'aventure originelle se déroule pourtant, après Odyssey. Lanfeust est donc plus vieux, et la vie a repris un semblant de normalité. Deuxième spécificité étonnante : c'est une one shot. Oui un Lanfeust en One shot. Mais attention, c'est le début d'une série de one shot puisque les auteurs souhaitent désormais se faire plaisir avec Lanfeust. Oui mais et nous, les lecteurs ? Et bien je vous avoue que j'ai beaucoup aimé lire ce Lanfeust, là où les Odyssey avaient fini par me perdre dans leur asterixisation... De l'humour mais pas trop, un poil d'enjeu, le plaisir de retrouver nos héros un peu changés, bref. C'est bien. Graphiquement, Didier Tarquin maîtrise complètement son sujet, c'est donc du Lanfeust, et il n'y a plus grand chose à en dire après 26 épisodes. Une fois que j'ai dit tout le bien que je pensais de cet album, qu'une nouvelle fois j'ai pris beaucoup de plaisir à lire, j'aimerais cependant apporter un bémol. J'ai refermé ce livre et je me suis dit, "oui mais à quoi bon ?". Pourquoi reprendre Lanfeust si c'est pour en faire du Ekko ? Lanfeust c'était d'abord, avant même l'humour, un souffle épique fort et prenant, et des personnages qu'on prenait plaisir à voir évoluer. Là, on se retrouve avec une soupe rallongée. Et comme j'ai adoré et que j'adore toujours Lanfeust, j'ai simplement envie de demander aux auteurs si plutôt que de continuer dans une petite routine sympa et finir par faire rentrer Lanfeust dans le rang vous lui apportiez plutôt une conclusion digne de cette Saga ? Un truc à faire frémir les tripes, comme la fin d'un Jazz Maynard, sinon quel intérêt de faire vieillir Lanfeust ? Allez messieurs, du panache. Il sera toujours tant de nous faire une série dérivée sur la jeunesse de Lanfeust... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lanfeust-de-troy-tome-9-la-foret-noiseuse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Les enquêtes de Victor Legris est l'adaptation en bande dessinée des romans de Claude Izner dont la première enquête s'intitule Mystère rue Saints-Pères. On retrouve Jean-David Morvan un scénariste aux nombreuses parutions mais souvent assez inégale certainement à cause de la quantité. Je ne connais pas les romans donc je ne pourrais pas juger de l'adaptation. Dans cet épisode, les auteurs introduisent les personnages principaux avec évidement Victor Legris qui n'est pas policier ni détective mais libraire. Il est assez étonnant d’avoir un libraire pour héros de récit policier mais pourquoi pas et cela apporte de l'originalité à l'ensemble. Notre héros qui visite et rencontre plusieurs personnalités durant l'exposition universelle de Paris, à la faculté d'être présent quand des personnes décèdent de façon inexplicable. La partie graphique est très classique même si Bruno Bazile retranscrit bien l'ambiance de l'époque de Paris. Les dessins manquent de détails ou de finition. Les éditions Philéas sont spécialisés dans les adaptations de romans à succès et un second tome des enquêtes de Victor Legris est déjà programmée avec La disparue du Père-Lachaise.
  12. Titre de l'album : Les enquêtes de Victor Legris : Mystère rue des Saints Pères Scenariste de l'album : Jean-David Morvan Dessinateur de l'album : Bruno Bazile Coloriste : Annelise Sauvêtre Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : La série des Enquêtes de Victor Legris a pour héros un libraire d'une trentaine d'années, propriétaire de la librairie L'Elzévir, sise au 18 rue des Saints-Pères, dans le Paris des années 1890-1900. Passionné de photographie et d'ouvrages anciens, il se trouve mêlé à des affaires criminelles qui défraient souvent la chronique. Parmi les autres personnages qu'il côtoie, citons Kenji Mori, père adoptif de Legris et son associé, Iris, fille de Mori, Tasha, peintre et épouse de Legris, Joseph, commis de librairie et friand de comptes rendus d'affaires criminelles dans les journaux, et époux d'Iris. La série est en outre l'occasion de croiser des personnages historiques réels, parmi lesquels, au premier rang, Henri de Toulouse-Lautrec, mais aussi Alphonse Bertillon, La Goulue, Ravachol, Paul Verlaine et d'autres célébrités de l'époque. Critique : Les enquêtes de Victor Legris est l'adaptation en bande dessinée des romans de Claude Izner dont la première enquête s'intitule Mystère rue Saints-Pères. On retrouve Jean-David Morvan un scénariste aux nombreuses parutions mais souvent assez inégale certainement à cause de la quantité. Je ne connais pas les romans donc je ne pourrais pas juger de l'adaptation. Dans cet épisode, les auteurs introduisent les personnages principaux avec évidement Victor Legris qui n'est pas policier ni détective mais libraire. Il est assez étonnant d’avoir un libraire pour héros de récit policier mais pourquoi pas et cela apporte de l'originalité à l'ensemble. Notre héros qui visite et rencontre plusieurs personnalités durant l'exposition universelle de Paris, à la faculté d'être présent quand des personnes décèdent de façon inexplicable. La partie graphique est très classique même si Bruno Bazile retranscrit bien l'ambiance de l'époque de Paris. Les dessins manquent de détails ou de finition. Les éditions Philéas sont spécialisés dans les adaptations de romans à succès et un second tome des enquêtes de Victor Legris est déjà programmée avec La disparue du Père-Lachaise. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/enquetes-victor-legris/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Adrastée l'intégrale Scénario : Mathieu Bablet Dessin : Mathieu Bablet Couleur : Mathieu Bablet Genre : Fantastique Edition : Ankama Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : Le jeune fils du roi d'hyperborée joue toutes les journées dans les rues de la grande cité au milieu de son peuple au visage à la peau blanche. La vie était agréable et paisible pour tous dans cette magnifique cité antique à l'architecture grandiose. Seulement le jeune prince porte un lourd fardeau depuis sa naissance, il crache des petites pierres rondes dès qu'il s'alimente. Ce phénomène étrange l'amuse durant sa jeunesse et lui donne une particularité rare parmi les siens. En grandissant, ce phénomène l'ennui alors il décide d'arrêter de se nourrir mais paradoxalement il ne meurt de faim. Son métabolisme ne vieillit pas comme le reste des habitants de la ville, il voit alors mourir tous ses proches en subissant les conséquences de l'immortalité. Je me rappelle avoir beaucoup apprécié la lecture d'Adrastée avec la découverte de ce monde fantastique et du roi immortel. Aujourd'hui, les éditions Ankama proposent une intégrale retravaillée par l'auteur, des deux tomes dans un format luxueux, plus grand qu'une bande dessinée franco-belge. Ce format permet aux lecteurs d'apprécier l'univers développé par Mathieu Bablet avec les cités énormes et autres monstres qui affrontent le héros. Cette intégrale est proposée également à un prix avantageux pour convaincre les plus réticents des lecteurs qui attendaient un autre avantage. Avec Adrastée, l'auteur revisite les mythes antiques avec un héros immortel venant directement de l'hyperborée. Le héros se questionne sur son immortalité alors que le peuple de cette cité se meurt autour de lui avec les siècles qui passent. L'auteur maîtrise son sujet et passionne avec les réflexions de ce héros qui peine à se souvenir de sa vie et de sa jeunesse au fil des années. Il quitte sa cité et traverse le royaume des dieux pour rejoindre les hommes et peut-être trouver des réponses à son existence. Il se dirige vers l'Olympe pour demander aux Dieux directement. L'humour n'est pas en reste aussi bien présent dans les dialogues que les situations. Les planches d'Adrastée sont absolument fantastiques avec des décors très détaillées aux architectures fascinantes. La coloration est parfaite et renforce la qualité des dessins. De nombreuses planches se passent de phylactères devenant inutile pour décrire l'action et nous laissant contemplateur et admiratif des dessins. L'auteur donne sa propre vision des monstres peuplant ce monde antique avec un petit lexique en fin d'album pour identifier ou s'informer sur ces créatures mythiques. Mathieu Bablet nous emmène avec son roi d'Hyperborée dans un voyage vers la raison de son existence et de sa vie. Bablet s'impose comme un artiste complet avec cette intégrale d'Adrastée qui sort en librairie en même temps que l'intégrale de Shangri-la. Ce nouveau titre se déroule dans le futur à bord d'une station spatiale, la chronique est prévue prochainement. Note : Alx23
  14. A bout de bras est l'adaptation en bande dessinée du roman Pied-noir, poings nus de Michel Acariès, avec Pierre Ballester. Ce titre retrace le parcours des deux frères depuis leur jeunesse avec les événements de la guerre d'Algérie puis leur fuite vers la France. Louis Acariès débute alors une carrière de boxeur durant sa jeunesse avant de devenir professionnelle à sa majorité, son frère Michel traine avec les petits trafiquants avant de se reprendre en devenant chauffeur de taxi. Jean-Christophe Deveney scénarise ce roman graphique proche d'une autobiographie rapide des deux frères mais aussi de leur père sur 150 pages. On découvre le milieu de la boxe et les difficultés pour devenir professionnel en évitant les truands qui gravitent dans les matchs de boxe. Des textes et interviews des deux frères complètent ce titre en fin d'album avec des photos de leur parcours atypiques aux nombreux succès dans le monde de la boxe. Les dessins de Sagar sont de qualité avec un trait très dynamique surtout pour mettre en image les combats sur le ring. A bout de bras rejoint la collection coup de tête aux Delcourt qui est spécialisée dans les bande dessinée sur le sport et pour relater des histoires vraies.
  15. Titre de l'album : À bout de bras - La folle saga des frères Acariès Scenariste de l'album : Jean-Christophe Deveney Dessinateur de l'album : Sagar Coloriste : Sagar Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Depuis les premiers combats dans les faubourgs de Marseille, Michel et Louis Acariès ont traversé des centaines de rings, en tenue de boxeur comme en costume de promoteur jusqu'à Las Vegas et Paris-Bercy. Ils ont tout vécu de ce que la boxe peut donner, jusqu'au seuil du championnat du monde pour Louis, qu'il remportera finalement en tant qu'entraineur de Brahim Asloum en 2007. Critique : A bout de bras est l'adaptation en bande dessinée du roman Pied-noir, poings nus de Michel Acariès, avec Pierre Ballester. Ce titre retrace le parcours des deux frères depuis leur jeunesse avec les événements de la guerre d'Algérie puis leur fuite vers la France. Louis Acariès débute alors une carrière de boxeur durant sa jeunesse avant de devenir professionnelle à sa majorité, son frère Michel traine avec les petits trafiquants avant de se reprendre en devenant chauffeur de taxi. Jean-Christophe Deveney scénarise ce roman graphique proche d'une autobiographie rapide des deux frères mais aussi de leur père sur 150 pages. On découvre le milieu de la boxe et les difficultés pour devenir professionnel en évitant les truands qui gravitent dans les matchs de boxe. Des textes et interviews des deux frères complètent ce titre en fin d'album avec des photos de leur parcours atypiques aux nombreux succès dans le monde de la boxe. Les dessins de Sagar sont de qualité avec un trait très dynamique surtout pour mettre en image les combats sur le ring. A bout de bras rejoint la collection coup de tête aux Delcourt qui est spécialisée dans les bande dessinée sur le sport et pour relater des histoires vraies. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-bout-de-bras/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. The_PoP

    Mages - Tome 6 - Yoni

    Les sorties des terres d'Arran s'effectuant souvent de manière groupée pour les séries dérivées de l'univers développé dans Elfes, il faut bien reconnaitre qu'on a beau jeu de les comparer. ET à ce jeu, malheureusement Mages m'a toujours donné l'impression du parent pauvre. Bon soyons honnêtes : il est vrai que j'ai assez peu d'empathie d'une manière générale pour les mages en Heroïc Fantasy, mais je suppose que cela n'explique pas tout. Et là en comparant ce tome avec le dernier Nains et le dernier Orcs et Gobelins et bien... je dois avouer que ça fait mal. Car ce Mage est plutôt pas mal, mais cette comparaison fait ressortir tout ce qui manque pour moi dans cette série. Je n'y ressens pas vraiment de souffle épique, et les personnages et leurs relations entre eux me semblent souvent assez fades. Oui j'ai la dent dure, surtout que ce tome est assez certainement l'un des meilleurs des 6 premiers. On sent que le graphisme a cepêndant été travaillé car c'est plutôt réussi, mais même là encore, je n'y trouve pas autant de qualités qu'aux autres parutions récentes. Bref, ce tome de Mage ravira les fans des Terres d'Arran car il est intrinsèquement plutôt bien. Pour les autres, il n'y a mlaheureusement que peu de chance que ce tome vous fasse changer d'avis sur cette série dérivée là.
  17. Titre de l'album : Mages - Tome 6 - Yoni Scenariste de l'album : Nicolas Jarry & David Courtois Dessinateur de l'album : Giovanni Lorusso Coloriste : Elodie Jacquemoire Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lors de la guerre des goules, les mages runistes de Dumn sont passés maîtres dans la fabrication de Golem. Avec la paix, ces colosses ravageurs s'affrontent désormais dans les arènes faisant la fortune de leur maître. Yoni, 11 ans rêve d'être l'un d'entre eux, mais lors d'une funeste nuit, il devient orphelin. Yoni n'a plus qu'une obsession : réaliser le Golem parfait qui vengera les siens ! Critique : Les sorties des terres d'Arran s'effectuant souvent de manière groupée pour les séries dérivées de l'univers développé dans Elfes, il faut bien reconnaitre qu'on a beau jeu de les comparer. ET à ce jeu, malheureusement Mages m'a toujours donné l'impression du parent pauvre. Bon soyons honnêtes : il est vrai que j'ai assez peu d'empathie d'une manière générale pour les mages en Heroïc Fantasy, mais je suppose que cela n'explique pas tout. Et là en comparant ce tome avec le dernier Nains et le dernier Orcs et Gobelins et bien... je dois avouer que ça fait mal. Car ce Mage est plutôt pas mal, mais cette comparaison fait ressortir tout ce qui manque pour moi dans cette série. Je n'y ressens pas vraiment de souffle épique, et les personnages et leurs relations entre eux me semblent souvent assez fades. Oui j'ai la dent dure, surtout que ce tome est assez certainement l'un des meilleurs des 6 premiers. On sent que le graphisme a cepêndant été travaillé car c'est plutôt réussi, mais même là encore, je n'y trouve pas autant de qualités qu'aux autres parutions récentes. Bref, ce tome de Mage ravira les fans des Terres d'Arran car il est intrinsèquement plutôt bien. Pour les autres, il n'y a mlaheureusement que peu de chance que ce tome vous fasse changer d'avis sur cette série dérivée là. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mages-tome-6-yoni?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. alx23

    Macadam Shooters Tome 1

    Macadam Shooters est le premier tome d'une série pour adolescents ou jeunes ados. L'histoire n'est pas sans rappeler la guerre des boutons mais remis au gout du jours avec des bandes de jeunes qui se battent pour conserver leur territoire ou en gagner. Les bandes suivent un règlement strict en trois règles lors des affrontements avec des lances pierres et toutes les autres armes improvisés pour combattre. Dans ce premier tome, les auteurs nous donnent le contexte avec une ville pratiquement abandonnée à la suite de la fermeture de l'usine principale. Ensuite on rencontre les bandes les plus importantes et leur projet de conquête. Les dessins de Roger Vidale sont de qualité et soignés pour mettre en image la ville désertée et industrielles. Les scènes de combats sont dynamiques et bien rythmées. Les jeunes lecteurs devraient trouver leur compte avec cette introduction.
  19. Titre de l'album : Macadam Shooters Tome 1 Scenariste de l'album : Mike Zonnenberg Dessinateur de l'album : Roger Vidal Coloriste : Roger Vidal Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : La guerre des gangs va-t-elle éclater ? Depuis que la crise économique a frappé Briquestone, les adultes ont quitté la ville. Pour survivre, les jeunes qui ont décidé de rester se sont réunis en bande et en ont pris le contrôle. Les clans les plus forts se sont installés dans des squats stratégiques et règnent en maître sur leur territoire. Ils s'affrontent dans les rues et sont appelés les Macadam Shooters. Les Kingstones squattent l'ancienne usine textile à l'Ouest de la ville et cherchent à retrouver une vie dans ce chaos. Mais l'atmosphère est électrique et même si la trêve a été déclarée, la paix est si fragile que la moindre étincelle risque de déclencher un nouveau conflit... Critique : Macadam Shooters est le premier tome d'une série pour adolescents ou jeunes ados. L'histoire n'est pas sans rappeler la guerre des boutons mais remis au gout du jours avec des bandes de jeunes qui se battent pour conserver leur territoire ou en gagner. Les bandes suivent un règlement strict en trois règles lors des affrontements avec des lances pierres et toutes les autres armes improvisés pour combattre. Dans ce premier tome, les auteurs nous donnent le contexte avec une ville pratiquement abandonnée à la suite de la fermeture de l'usine principale. Ensuite on rencontre les bandes les plus importantes et leur projet de conquête. Les dessins de Roger Vidale sont de qualité et soignés pour mettre en image la ville désertée et industrielles. Les scènes de combats sont dynamiques et bien rythmées. Les jeunes lecteurs devraient trouver leur compte avec cette introduction. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/macadam-shooters/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Après m'être régalé de la lecture du dernier Tome de Nains tout juuste sorti j'ai enchaîné avec le dernier Orcs et Gobelins. Forcément quand on passe du temps sur les terres d'Arran, on finit quand même par s'y plaire. Alors enchainer avec l'une des plus récentes séries dérivées de l'univers imaginé par Jean Luc Istin, et probablement d'ailleurs l'une de mes préférées, ça ressemble au bonbon de fin de repas, même après un mois de Novembre aux allures de gueuleton de fête de fin d'année. Dur d'y résister. Orcs et Gobelins c'est la série dérivée où les auteurs s'autorisent le plus de choses finalement. Forcément quand les héros sont les méchants habituels, les fans sont moins enclins à la pendaison lorsqu'on profite d'un épisode ou deux pour rendre de beaux hommages à la Pop culture cinématographique. Ainsi on avait eu un épisode aux allures parfois de Ghostbuster, on a évidemment eu l'hommage à Conan et voici désormais le film de Labyrinthe revisité façon Orcs. Vous noterez d'ailleurs que c'est le second scénario signé par M. Peru dont je dis du bien ce mois-ci. Bravo, faire du frais sur des univers aussi revisité c'est toujours louable. Vous l'avez compris, outre un scénario qui m'a beaucoup plu, il faut noter également que la réalisation signée Ma Yi est irréprochable et particulièrement soignée. Au final j'ai une nouvelle fois passé un excellent moment avec cet épisode d'Orcs et Gobelins. Et si le précédent avait été un brin plus fade, force est de constater que la série reste globalement excellente.
  21. Titre de l'album : Orcs et Gobelins - Tome 15 - Lardeur Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Ma Yi Coloriste : Ma Yi Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : S'ils avaient su ce qui les attendait en Terres des Ogres, Lardeur et sa bande de mercenaires ne seraient jamais descendus aussi loin au sud des Terres d'Arran. Mais quand la mort est à vos trousses, et que vous avez déjà tout perdu, que vient le temps d'embrasser la Faucheuse, autant se présenter à elle en véritable cul-vert, le poing serré et la rage au coeur. Critique : Après m'être régalé de la lecture du dernier Tome de Nains tout juuste sorti j'ai enchaîné avec le dernier Orcs et Gobelins. Forcément quand on passe du temps sur les terres d'Arran, on finit quand même par s'y plaire. Alors enchainer avec l'une des plus récentes séries dérivées de l'univers imaginé par Jean Luc Istin, et probablement d'ailleurs l'une de mes préférées, ça ressemble au bonbon de fin de repas, même après un mois de Novembre aux allures de gueuleton de fête de fin d'année. Dur d'y résister. Orcs et Gobelins c'est la série dérivée où les auteurs s'autorisent le plus de choses finalement. Forcément quand les héros sont les méchants habituels, les fans sont moins enclins à la pendaison lorsqu'on profite d'un épisode ou deux pour rendre de beaux hommages à la Pop culture cinématographique. Ainsi on avait eu un épisode aux allures parfois de Ghostbuster, on a évidemment eu l'hommage à Conan et voici désormais le film de Labyrinthe revisité façon Orcs. Vous noterez d'ailleurs que c'est le second scénario signé par M. Peru dont je dis du bien ce mois-ci. Bravo, faire du frais sur des univers aussi revisité c'est toujours louable. Vous l'avez compris, outre un scénario qui m'a beaucoup plu, il faut noter également que la réalisation signée Ma Yi est irréprochable et particulièrement soignée. Au final j'ai une nouvelle fois passé un excellent moment avec cet épisode d'Orcs et Gobelins. Et si le précédent avait été un brin plus fade, force est de constater que la série reste globalement excellente. Autres infos : De la bonne fantasy créative et pleine d'hommages Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orcs-et-gobelins-tome-15-lardeur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Et voici qu'approche Novembre et sa désormais traditionnelle fournée d'aventures sur les terres d'Arran. Je ne fais pas vraiment partie de la cohorte de fan absolu de cet univers, mais je reconnais bien volontiers mon plaisir coupable d'y replonger parfois. Evidemment il me manque alors quelques références, mais suivant de relativement près la série tout de même, l'ensemble de l'univers présenté reste impressionnant. Cette fois-ci ce tome 21 de Nains va nous parler des enfants de la légende Redwin et nul doute que les fans vont vraiment apprécier cet épisode. On y retrouve en effet tout ce que j'aime dans cette série : des personnages hauts en couleur, une aventure, de la fantasy et un certain souffle épique. Alors quand en plus le tout est enfin rendu plus nerveux avec un recours plus fréquent aux dialogues qu'aux textes en voix off, on ne peut qu'apprécier. La lecture y est dense, compacte et rythmée comme on l'aime jusque dans les dernières pages, et le tout est rendu passionnant par le trait de plus en plus remarquable de Pierre-Denis Goux. Alors n'hésitez pas, ce tome est issu d'un beau travail de forge !
  23. Titre de l'album : Nains - Tome 21 - Ulrog de la forge Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Pierre-Denis Goux Coloriste : Julia Pinchuk Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Suite à son refus de servir les intérêts du grand maître de Forge, Ulrog, fils ainé de Redwin, est accusé de trahison. S'il veut sauver sa tête : il doit acquérir une place au conseil de son ordre en remportant le tournoi du meilleur forgeron d'Arran. Pour y parvenir, il a besoin d'un combattant exceptionnel capable de maîtriser son art. Il partira en quête de Jorun, son propre frère. Critique : Et voici qu'approche Novembre et sa désormais traditionnelle fournée d'aventures sur les terres d'Arran. Je ne fais pas vraiment partie de la cohorte de fan absolu de cet univers, mais je reconnais bien volontiers mon plaisir coupable d'y replonger parfois. Evidemment il me manque alors quelques références, mais suivant de relativement près la série tout de même, l'ensemble de l'univers présenté reste impressionnant. Cette fois-ci ce tome 21 de Nains va nous parler des enfants de la légende Redwin et nul doute que les fans vont vraiment apprécier cet épisode. On y retrouve en effet tout ce que j'aime dans cette série : des personnages hauts en couleur, une aventure, de la fantasy et un certain souffle épique. Alors quand en plus le tout est enfin rendu plus nerveux avec un recours plus fréquent aux dialogues qu'aux textes en voix off, on ne peut qu'apprécier. La lecture y est dense, compacte et rythmée comme on l'aime jusque dans les dernières pages, et le tout est rendu passionnant par le trait de plus en plus remarquable de Pierre-Denis Goux. Alors n'hésitez pas, ce tome est issu d'un beau travail de forge ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nains-tome-21-ulrog-de-la-forge?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Tout d'abord je tiens à créditer Benoit Dellac qui a réalisé le Storyboard de ce tome de No Zombies. Notre interface ne nous permettait pas de le faire. A noter aussi la collaboration créditée de J-L Istin pour la création des personnages. Bon vous l'avez compris, vu le nombre et la qualité des auteurs, ce no zombies n'est pas une petite production pour les éditions soleil. Il faut bien reconnaitre que même si l'on pense toujours avoir tout lu quand on parle de zombies, le scénario ici se révèle bon ET original. Je me suis régalé à découvrir cette histoire finalement presque évidente une fois lue. Bref, c'est bon côté histoire et ça se lit très très bien. Le traitement graphique est lui très propre, presque trop puisque je regretterais un peu le manque de caractère du trait. On sent que ce dessinateur est capable de bien mieux mais qu'il est peut être un peu trop contraint par le cadre qui semble règner au sein des productions soleil. Reste que l'ensemble est plutôt joli et propre, et que finalement on n'en demandait presque pas tant. Pour les amateurs de Zombies, il sera difficile de passer à côté de ce No Zombies
  25. Titre de l'album : No Zombies - tome 1 - Le livre de Joseph Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Evgeniy Bornyakov Coloriste : Simon Champelovier Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Joseph était un zombie jusqu'à ce que le vaccin le ramène... Mais le goût du sang et l'esprit de la meute n'ont pas disparu en lui ; il est aujourd'hui un No Zombie. Il sillonne les routes pour sauver des zombies, un par un, et de rares survivants à l'agonie. Les No Zombies ne sont qu'une goutte d'eau dans l'océan, ils sont pourtant le dernier espoir du monde. Critique : Tout d'abord je tiens à créditer Benoit Dellac qui a réalisé le Storyboard de ce tome de No Zombies. Notre interface ne nous permettait pas de le faire. A noter aussi la collaboration créditée de J-L Istin pour la création des personnages. Bon vous l'avez compris, vu le nombre et la qualité des auteurs, ce no zombies n'est pas une petite production pour les éditions soleil. Il faut bien reconnaitre que même si l'on pense toujours avoir tout lu quand on parle de zombies, le scénario ici se révèle bon ET original. Je me suis régalé à découvrir cette histoire finalement presque évidente une fois lue. Bref, c'est bon côté histoire et ça se lit très très bien. Le traitement graphique est lui très propre, presque trop puisque je regretterais un peu le manque de caractère du trait. On sent que ce dessinateur est capable de bien mieux mais qu'il est peut être un peu trop contraint par le cadre qui semble règner au sein des productions soleil. Reste que l'ensemble est plutôt joli et propre, et que finalement on n'en demandait presque pas tant. Pour les amateurs de Zombies, il sera difficile de passer à côté de ce No Zombies Autres infos : Zombies, zombies, zombies... mais pas que :) Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-zombies-tome-1-le-livre-de-joseph?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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