Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'bd'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Guerres d'Arran - Tome 3 - La bataille de Torunn Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Alina Yerofieieva Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Face à l'immense horde assanide, Kronan hésite entre l'honneur ou la raison, le combat ou la fuite. Tandis que les elfes Bleus de Port-Vogue, jusqu'alors préservés, se retrouvent assiégés par une immense flotte de navires yrlanais, à l'Ouest, une nouvelle légion d'hommes et de Golems assiègent les Elfes de la forêt de Torunn, repoussant toujours plus loin les Sylvains menés par la reine Ora... Critique : Les guerres d'arran c'est le règlement de compte que tout le monde attendait dans les terres d'Arran depuis la fin du cycle sur Lah'saa. Autant vous dire que les fans ne passent pas à côté. Pour ma part, j'y prends beaucoup de plaisir, même s'il faut reconnaître qu'on aimerait que nos héros ne soient peut être pas tous du même côté. Cela aurait gagné en profondeur, en enjeux et en émotions je pense, car là, ça finit un peu par faire un gros jeux de massacre entre des héros toujours en pseudo mauvaise posture, mais finalement tellement forts qu'ils massacrent leurs adversaires humains anonymes... On aurait pu aller vers une histoire plus mature, ou adulte. Même si ça aurait probablement choqué les fans 🙂 Bon la galerie de personnages et les retrouvailles avec tous les persos de la saga ça reste une belle madeleine de Proust. Cette fois-ci on retrouve donc Myth, Kronan, Ora et Athé'non entre autres. Côté narration rien de neuf donc puisque Nicolas Jarry use des mêmes recettes que Jean Luc Istin à savoir quelques scènes d'actions et de dialogues entre de grandes phases de narration en voix off à travers les pensées du narrateur choisi pour cet épisode. Je trouve qu'on y perd un peu, mais vu la densité de l'univers et l'ambition du scénario, c'est ici je crois un peu un passage obligé. Attention toutefois, cet opus est quand même bien verbeux. Les dessins de Yerofieieva sont dans l'esprit de la série, mais ils ne sont pas les plus détaillés ou les plus fins que l'on y a vu. La colorisation de J. Nanjan ne parvient pas à ramener plus de finesse à l'ensemble, qui se lit malgré ce que j'en dis très bien. Les scènes d'actions sont claires, et les personnages bien réussis. On sent toutefois que le dénouement approche. Les forces convergent 🙂 Autres infos : Storyboard de Kyko Duarte Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. On le sait , JD Morvan est passionné par le Japon et sa culture depuis de nombreuses années . En parallèle à la magnifique série retraçant la vie de Madeleine la résistante , il réalise cette adaptation d'un roman de Thomas Raucat publié en 1924 suite à sa mission en terre japonaise . Durant ces 128 pages à l'aquarelle douce et élégante de Roberto Melis , vous allez vivre un véritable choc des cultures . Quand ils ne portent pas de jugement sur les us des occidentaux , tellement éloignés des moeurs locales , les japonais dévoilent leur culture et ce sens exacerbé de l'honneur à travers de multiples situations . La place de la femme en société , des enfants (selon leur sexe) , la sexualité , les rapports hiérarchiques professionnels , bref , c'est une véritable introspection de leurs coutumes que l'européen découvre . L'honneur , le déshonneur , ces considérations peuvent paraître stupides du prisme occidental , mais vous découvrirez toute l'importance qu'elles revêtent dans ce pays où hiérarchie et respect ne sont pas de vains mots . Le passage avec le chef de gare est tellement révélateur , je vous invite grandement à le lire 😉 Alors , certes , nous sommes dans le Japon des années 20 , mais je doute que le conflit mondial à venir ainsi que les progrès technologiques et autres mondialisations viennent perturber cet équilibre si harmonieux 100 ans plus tard . Ils sont attachés à leurs traditions et l'on comprend pourquoi à la fin de l'album et cette amourette surprise , si riche en enseignements . Je ne peux que recommander ce one-shot si bien écrit , dessiné et pourvu d'un sens du découpage cinématographique totalement immersif . Pour peu que le pays du soleil levant vous intéresse 😉 .
  3. Titre de l'album : L'honorable partie de campagne Scenariste de l'album : Jean-David Morvan - Thomas Raucat Dessinateur de l'album : Roberto Melis Coloriste : Roberto Melis Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Tokyo, 1922, l'Exposition universelle bat son plein avec la grande attraction de l'année : un hydroplane. Un Européen aborde deux jeunes Japonaises et propose à la plus jolie d'aller visiter l'île d'Enoshima. Mais un homme qui passe par là y voit l'occasion de briller socialement et se précipite sur l'Occidental : nul autre que lui-même n'aura le plaisir de montrer Enoshima à « l'honorable étranger » et il l'attendra à la gare, accompagné de quelques amis. Pour avoir les coudées franches, l'étranger décide de prendre un autre train que son hôte japonais encombrant... Mais il aura beau faire : les mille et une complications de la vie nippone vont se jeter en travers de ses projets galants. Critique : On le sait , JD Morvan est passionné par le Japon et sa culture depuis de nombreuses années . En parallèle à la magnifique série retraçant la vie de Madeleine la résistante , il réalise cette adaptation d'un roman de Thomas Raucat publié en 1924 suite à sa mission en terre japonaise . Durant ces 128 pages à l'aquarelle douce et élégante de Roberto Melis , vous allez vivre un véritable choc des cultures . Quand ils ne portent pas de jugement sur les us des occidentaux , tellement éloignés des moeurs locales , les japonais dévoilent leur culture et ce sens exacerbé de l'honneur à travers de multiples situations . La place de la femme en société , des enfants (selon leur sexe) , la sexualité , les rapports hiérarchiques professionnels , bref , c'est une véritable introspection de leurs coutumes que l'européen découvre . L'honneur , le déshonneur , ces considérations peuvent paraître stupides du prisme occidental , mais vous découvrirez toute l'importance qu'elles revêtent dans ce pays où hiérarchie et respect ne sont pas de vains mots . Le passage avec le chef de gare est tellement révélateur , je vous invite grandement à le lire 😉 Alors , certes , nous sommes dans le Japon des années 20 , mais je doute que le conflit mondial à venir ainsi que les progrès technologiques et autres mondialisations viennent perturber cet équilibre si harmonieux 100 ans plus tard . Ils sont attachés à leurs traditions et l'on comprend pourquoi à la fin de l'album et cette amourette surprise , si riche en enseignements . Je ne peux que recommander ce one-shot si bien écrit , dessiné et pourvu d'un sens du découpage cinématographique totalement immersif . Pour peu que le pays du soleil levant vous intéresse 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-honorable-partie-de-campagne/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kevin Nivek

    Sol-13

    Titre de l'album : Sol-13 Scenariste de l'album : Harry Bozino , Julia Verlanger Dessinateur de l'album : Federico Dallochio Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Alors qu'Eiko, une agente de la CDE (Compagnie des Étoiles), envoyée en reconnaissance sur la planète Sol 13, disparait, une mission de sauvetage est lancée. A la tête d'un commando, Jatred découvre une planète sauvage sur laquelle la population humaine a été réduite en esclavage par une race alien aux pouvoirs psychiques et à la technologie très avancée : les Mokkais. Devant l'urgence de la situation, les agents de la CDE devront malgré eux prendre part à une révolte pour libérer les humains du joug terrible des extraterrestres. Critique : Après L'ange aux ailes de lumière , Horlemonde et Les décastés d'Orion , les Humanoïdes associés poursuivent leurs adaptations BD des oeuvres de Julia Verlanger . Ici il s'agit d'une assez libre transposition D'un lieu lointain nommé Soltrois , paru en 1979 . Il dépeint une planète aquatique lointaine colonisée par l'homme et "un peu" oubliée par la CDE . Avec très peu de terres immergées , les humains vivent de pêche au sein d'une société d'un âge reculé . Ils sont sous la domination d'une population extra-terrestre qui est dotée de technologies largement supérieures , en atteste cet engin sur la splendide couverture . Ils semblent venir du fond des mers et reviennent inlassablement ponctionner leur quotas d'humains sur des périodes régulières . Pour quelles raisons ? Agente de la CDE , Eiko découvre cet esclavagisme des temps modernes et mène l'enquête . On retrouve il est vrai les poncifs de science-fiction assez récurrents comme la domination technologique d'une peuplade , mais Harry Bozino puise dans l'imaginaire de Julia Verlanger et apporte sa touche personnelle . Des intrigues du CDE , en passant par des questions écologiques , il donne une vent de fraîcheur au roman initial . Le dessin réaliste de Federico Dallochio immerge , pour ne pas dire submerge le lecteur dans cette planète aux immense étendues marines et donc sous marines 😉 . On notera cependant quelques visages figés dans leurs expressions , mais cela n'enlève en rien la patte graphique de l'auteur italien . Ce dernier étant rompu aux joutes de SF car il a réalisé des adaptations de Gears of war , ainsi qu'un tome de Androïdes paru chez Soleil . Il s'inscrit parfaitement dans cette mouvance italienne avec les Rafaelle et autres Zucheri . Les Huma rendent une fois de plus hommage à Julia Verlanger et son imaginaire SF si avant-gardiste avec ce nouvel opus . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sol13/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Kevin Nivek

    Sol-13

    Après L'ange aux ailes de lumière , Horlemonde et Les décastés d'Orion , les Humanoïdes associés poursuivent leurs adaptations BD des oeuvres de Julia Verlanger . Ici il s'agit d'une assez libre transposition D'un lieu lointain nommé Soltrois , paru en 1979 . Il dépeint une planète aquatique lointaine colonisée par l'homme et "un peu" oubliée par la CDE . Avec très peu de terres immergées , les humains vivent de pêche au sein d'une société d'un âge reculé . Ils sont sous la domination d'une population extra-terrestre qui est dotée de technologies largement supérieures , en atteste cet engin sur la splendide couverture . Ils semblent venir du fond des mers et reviennent inlassablement ponctionner leur quotas d'humains sur des périodes régulières . Pour quelles raisons ? Agente de la CDE , Eiko découvre cet esclavagisme des temps modernes et mène l'enquête . On retrouve il est vrai les poncifs de science-fiction assez récurrents comme la domination technologique d'une peuplade , mais Harry Bozino puise dans l'imaginaire de Julia Verlanger et apporte sa touche personnelle . Des intrigues du CDE , en passant par des questions écologiques , il donne une vent de fraîcheur au roman initial . Le dessin réaliste de Federico Dallochio immerge , pour ne pas dire submerge le lecteur dans cette planète aux immense étendues marines et donc sous marines 😉 . On notera cependant quelques visages figés dans leurs expressions , mais cela n'enlève en rien la patte graphique de l'auteur italien . Ce dernier étant rompu aux joutes de SF car il a réalisé des adaptations de Gears of war , ainsi qu'un tome de Androïdes paru chez Soleil . Il s'inscrit parfaitement dans cette mouvance italienne avec les Rafaelle et autres Zucheri . Les Huma rendent une fois de plus hommage à Julia Verlanger et son imaginaire SF si avant-gardiste avec ce nouvel opus .
  6. alx23

    Congo blanc

    Les éditions Daniel Maghen proposent une réédition de trois histoires ayant pour décor le Congo belge, sur trois époques différentes réalisées par Eric Warnauts & Guy Raives. Ce recueil regroupe Congo 40, la plus longue des trois histoires, Fleurs d'ébène et Congo blanc, une histoire courte de l'album Equatoriales. Eric Warnauts se charge de l'écriture des scénarios. Congo 40 prend place au Congo en 1942 où un gigolo rejoint un planteur et sa fille qu'il a connu quelques années auparavant. Il tombe sous le charme de cette dernière devenue une jeune femme depuis leur première rencontre. L'auteur nous plonge dans l'ambiance lourde du Congo colonisé par les belges avec leur méthode trop discutable envers les natifs. De plus tous les colons sont regroupés autour d’un secret malsain. La seconde histoire se déroule à la fin des années 50, avec une enquête policière où un congolais est écrasé par une voiture. L'inspecteur va devoir batailler pour démontrer que ce n'est pas un accident. La troisième et dernière histoire se déroule lors de l'indépendance de 1960 avec un couple. La parie graphique est dessinée par Eric Warnauts et Guy Raives pour un résultat très soigné pour retranscrire l'ambiance et les paysages du Congo. Les trois histoires sont agrémentées pour l'occasion par de nombreuses aquarelles et des dessins d'Eric Warnauts et Guy Raives réalisées durant leur voyage en Afrique. L'album se termine sur plusieurs recherches de personnages. Les thématiques abordées dans Congo blanc sont vraiment dérangeantes même si j’imagine qu’elles sont proche de la réalité. Les personnages sont détestables et le racisme ambiant durant la colonisation n’arrange rien à l’ensemble. Les auteurs dénoncent certainement et installent un climat particulier avec un mélange des genres historique, drame et romance sensuelle avec un rythme très lent. Par contre, l'édition de ce recueil est de qualité avec une couverture souple et de nombreux dessins en bonus.
  7. alx23

    Congo blanc

    Titre de l'album : Congo blanc Scenariste de l'album : Eric Warnauts Dessinateur de l'album : Eric Warnauts & Guy Raives Coloriste : Eric Warnauts & Guy Raives Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : En 1988, Congo 40 paraissait dans la prestigieuse collection des albums À Suivre, aux côtés des albums de Pratt, Comès et Tardi. Pour la première fois, deux auteurs belges évoquaient le passé colonial de la Belgique dans une bande dessinée pour adultes, sous la forme d'un récit envoûtant et largement documenté. Avec Fleurs d'ébène et le court récit Congo Blanc, ces trois albums depuis longtemps épuisés sont réunis sous la forme d'une intégrale grand format et entièrement restaurée, avec ses couleurs originales, de nouveaux lettrages et un cahier graphique inédit. Critique : Les éditions Daniel Maghen proposent une réédition de trois histoires ayant pour décor le Congo belge, sur trois époques différentes réalisées par Eric Warnauts & Guy Raives. Ce recueil regroupe Congo 40, la plus longue des trois histoires, Fleurs d'ébène et Congo blanc, une histoire courte de l'album Equatoriales. Eric Warnauts se charge de l'écriture des scénarios. Congo 40 prend place au Congo en 1942 où un gigolo rejoint un planteur et sa fille qu'il a connu quelques années auparavant. Il tombe sous le charme de cette dernière devenue une jeune femme depuis leur première rencontre. L'auteur nous plonge dans l'ambiance lourde du Congo colonisé par les belges avec leur méthode trop discutable envers les natifs. De plus tous les colons sont regroupés autour d’un secret malsain. La seconde histoire se déroule à la fin des années 50, avec une enquête policière où un congolais est écrasé par une voiture. L'inspecteur va devoir batailler pour démontrer que ce n'est pas un accident. La troisième et dernière histoire se déroule lors de l'indépendance de 1960 avec un couple. La parie graphique est dessinée par Eric Warnauts et Guy Raives pour un résultat très soigné pour retranscrire l'ambiance et les paysages du Congo. Les trois histoires sont agrémentées pour l'occasion par de nombreuses aquarelles et des dessins d'Eric Warnauts et Guy Raives réalisées durant leur voyage en Afrique. L'album se termine sur plusieurs recherches de personnages. Les thématiques abordées dans Congo blanc sont vraiment dérangeantes même si j’imagine qu’elles sont proche de la réalité. Les personnages sont détestables et le racisme ambiant durant la colonisation n’arrange rien à l’ensemble. Les auteurs dénoncent certainement et installent un climat particulier avec un mélange des genres historique, drame et romance sensuelle avec un rythme très lent. Par contre, l'édition de ce recueil est de qualité avec une couverture souple et de nombreux dessins en bonus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/congo-blanc/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : La quête - Tome 1 - La dame du lac perdu Scenariste de l'album : Frédéric Maupomé Dessinateur de l'album : Wauter Mannaert Coloriste : Wauter Mannaert Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis mille ans, le roi Pellinor et ses descendants traquent la Bête... et échouent lamentablement. Du coup, c'est au tour de Pelli de se lancer dans la quête familiale. Ça tombe bien, parce qu'il est présentement sans véritable emploi - et puis ça fait super plaisir à son grand-père qu'il reprenne le flambeau. Après, on ne va pas se mentir... Pelli n'a pas les capacités physiques dignes des chevaliers de légende et son acolyte, la Dame du lac, a perdu sa magie. Dans un monde qui change, où le merveilleux laisse la place à la banalité, leur quête s'annonce un vrai défi. Mais après tout, l'important, dans une quête, n'est-ce pas le chemin plutôt que la destination...? Critique : Ce tome 1 de la quête est une oeuvre assez sympa destinée à la jeunesse. L'histoire est plutôt bien vue, et va nous proposer à travers son côté décalé des petits sujets de réflexion. On comprend vite que la quête est en fait la quête de soi, et que le prétexte à l'imaginaire dans cette aventure va plus nous amener vers don quichotte que vers les chevaliers de la table ronde. Les dessins eux sont malheureusement dans un style que l'on a beaucoup vu ses dernières années, et je ne suis pas sur que cela soit le plus adapté au public jeunesse visé. Mais c'est peut être simplement moi qui ai fait un peu la fine bouche. Pourtant ils sont bien réussis dans leur genre et largement au niveau de romans graphiques qui ont cartonné ces dernières années, mais comme souvent dans ce style pour ma part, ils ne m'ont pas vraiment permis d'entrer en empathie avec les personnages. Ceci étant dit, la lecture de ce tome 1 reste très agréable, et assez intelligente. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-quete-tome-1-la-dame-du-lac-perdu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Ce tome 1 de la quête est une oeuvre assez sympa destinée à la jeunesse. L'histoire est plutôt bien vue, et va nous proposer à travers son côté décalé des petits sujets de réflexion. On comprend vite que la quête est en fait la quête de soi, et que le prétexte à l'imaginaire dans cette aventure va plus nous amener vers don quichotte que vers les chevaliers de la table ronde. Les dessins eux sont malheureusement dans un style que l'on a beaucoup vu ses dernières années, et je ne suis pas sur que cela soit le plus adapté au public jeunesse visé. Mais c'est peut être simplement moi qui ai fait un peu la fine bouche. Pourtant ils sont bien réussis dans leur genre et largement au niveau de romans graphiques qui ont cartonné ces dernières années, mais comme souvent dans ce style pour ma part, ils ne m'ont pas vraiment permis d'entrer en empathie avec les personnages. Ceci étant dit, la lecture de ce tome 1 reste très agréable, et assez intelligente.
  10. poseidon2

    Deux soeurs

    Nouvelle tranche de vie chez grand angle avec celles de deux soeurs radicalement différentes qui vont être obligés de se parler pour pouvoir garder leurs maisons. SI l'ensemble est ultra-caricatural avec des sœurs trop clichées des bobos contre les capitalistes, cela reste assez drôle et au final touchant sur les racines de la sphère familiale. À lire une fois pour la détente
  11. poseidon2

    Deux soeurs

    Titre de l'album : Deux soeurs Scenariste de l'album : Bruno Duhamel Dessinateur de l'album : Isabelle Sivan Coloriste : Isabelle Sivan Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : La seule chose qu'elles partagent,c'est une maison ! Lise et Camille sont deux soeurs. L'une, énergique et sportive, travaille dans la finance et adore le foot. L'autre, plutôt hippie, est enseignante et collectionne les instruments de musique. Curieusement, bien que tout les sépare, elles habitent la même maison, coupée en deux. Mais pour combien de temps encore ? Lorsque le propriétaire décide de vendre son bien, elles envisagent de le racheter ensemble. Mais sont-elles seulement capables de s'entendre ? Critique : Nouvelle tranche de vie chez grand angle avec celles de deux soeurs radicalement différentes qui vont être obligés de se parler pour pouvoir garder leurs maisons. SI l'ensemble est ultra-caricatural avec des sœurs trop clichées des bobos contre les capitalistes, cela reste assez drôle et au final touchant sur les racines de la sphère familiale. À lire une fois pour la détente Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deux-soeurs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Ladies with guns tome 3

    Petite déception que ce Lady with guns tome 3. Petite déception car j'ai trouvé que graphiquement ce tome était plus irrégulier que les précédents avec des pages étrangements brouillonnes alors que d'autres sont très belles. Et puis coté scenario, c'est une évasion un peu "trop facile". Si le traitement des filles au bagne est plutôt bien fait et "violent", l'ensemble de l'évasion est un peu trop facile et nos "héroïnes" s'en sorte encore une fois un peu trop bien. Un premier cycle intéressant, mais surtout porté par un premier tome inégalé par la suite
  13. Titre de l'album : Ladies with guns tome 3 Scenariste de l'album : Olivier Bocquet Dessinateur de l'album : Anlor Coloriste : Anlor Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Mises au fer comme des criminelles sanguinaires, Kathleen, Daisy, Chumani et Cassie sont envoyées au pénitencier. Mais dans cet enfer de travaux de force et d'humiliations, l'hostilité des gardiens et la convoitise des détenus sont bousculées par l'arrivée de ces détenues d'un autre genre. A priori, pas le lieu idéal pour faire d'heureuses rencontres. Mais ça, c'est sans compter leur petit caractère et aussi qu'une lady manque à l'appel Critique : Petite déception que ce Lady with guns tome 3. Petite déception car j'ai trouvé que graphiquement ce tome était plus irrégulier que les précédents avec des pages étrangements brouillonnes alors que d'autres sont très belles. Et puis coté scenario, c'est une évasion un peu "trop facile". Si le traitement des filles au bagne est plutôt bien fait et "violent", l'ensemble de l'évasion est un peu trop facile et nos "héroïnes" s'en sorte encore une fois un peu trop bien. Un premier cycle intéressant, mais surtout porté par un premier tome inégalé par la suite Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ladies-with-guns-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Jungle book tome 1 - La meute

    Il m'a bien fallu 3 pages de lecture et l'arrivée de Serkhan pour me dire : mais au fait ca veut dire Livre de la Jungle "Jungle Book" ! Et oui cet album est une transposition des nouvelles de Rudyard Kipling dans un univers ou les bêtes parlent, se tiennent sur leurs pattes, utilisent des fusils et sont habillés. Cela donne une histoire bien plus adulte, bien plus sombre mais plus agréable à lire pour public plus mature. Notre autrice réussie à garder l'histoire, avec des transpositions fameuses comme Baloo, en la dynamisant un peu avec un côté "thriller" prenant. Enfin cela si vous réussissez à vous faire au graphisme fait à l'ordinateur, qui, s'il est bien fait, ne plairait pas forcément à tout le monde.
  15. Titre de l'album : Jungle book tome 1 - La meute Scenariste de l'album : Anne Quenton Dessinateur de l'album : Anne Quenton Coloriste : Anne Quenton Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un monde où les animaux ont pris le dessus sur les hommes, Mowgli est une jeune orpheline recueillie par une famille de loups. Elle va grandir à leurs côtés et partager leurs repas, leurs jeux et leurs rêves de liberté. Car si Raksha et les siens se sont émancipés de leur mode de vie passé, Mowgli étouffe sous leur protection. Taquinée pour son absence de pelage et son caractère un peu craintif, elle a du mal à trouver sa place au sein de la fratrie. L'adolescence est pour elle l'occasion de s'affirmer et de chercher à comprendre d'où elle vient. Mais l'ombre de Shere Khan plane et la menace qu'il fait courir sur Mowgli et les siens va l'obliger à se confronter aux événements qui ont causé la disparition des hommes. Pourra-t-elle compter sur ses frères loups et sur Baloo, vieux gardien bienveillant mais préférant sa solitude à la vie en meute ? Une réécriture audacieuse du Livre de la jungle. Les animaux anthropomorphisés sont plongés dans un monde post-apocalyptique dont les humains ont pratiquement disparu. Critique : Il m'a bien fallu 3 pages de lecture et l'arrivée de Serkhan pour me dire : mais au fait ca veut dire Livre de la Jungle "Jungle Book" ! Et oui cet album est une transposition des nouvelles de Rudyard Kipling dans un univers ou les bêtes parlent, se tiennent sur leurs pattes, utilisent des fusils et sont habillés. Cela donne une histoire bien plus adulte, bien plus sombre mais plus agréable à lire pour public plus mature. Notre autrice réussie à garder l'histoire, avec des transpositions fameuses comme Baloo, en la dynamisant un peu avec un côté "thriller" prenant. Enfin cela si vous réussissez à vous faire au graphisme fait à l'ordinateur, qui, s'il est bien fait, ne plairait pas forcément à tout le monde. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jungle-book-tome-1-la-meute?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Ophélia et les abysses - tome 1 Scenariste de l'album : Hans Jorgen Sandnes Dessinateur de l'album : Hans Jorgen Sandnes Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Ophélia emménage dans la petite ville côtière de Saltvik. Elle va y vivre avec sa nouvelle famille d'accueil, joyeuse et sportive. Mais la jeune fifille se lie d'amitié avec son voisin, Bernard, un pêcheur avec qui elle partage une fascination pour les créatures sous-marines. Ophélia préfère discuter de cryptozoologie plutôt que de se suspendre à un mur d'escalade. Un soir, par la fenêtre, Ophélia aperçoit une forme étrange. Quelle est donc cette créature qui se dissimule dans la mer ? Aurait-elle un rapport avec le garçon ayant récemment disparu après avoir plongé à l'eau ? Critique : L'histoire commence par un enfant plongeant du haut d'un falaise sous l'oeil admiratif de ses camarades . Le problème étant qu'il ne remonte plus à la surface une fois le saut effectué ! Puis l'on passe à Ophélia emménageant avec sa nouvelle famille d'accueil dans cette petite ville côtière typique norvégienne . Passionnée de créatures sous-marines "imaginaires" , elle va faire la rencontre d'un vieux pêcheur local et nouer une amitié qui va les mener vers bien des dangers , mais aussi des découvertes ! Pour une première oeuvre dans ce média , l'auteur prend son temps et installe le contexte peu à peu avec la galerie de personnages entourant Ophélia . Pour l'instant il s'attarde sur les événements nouveaux et inexpliqués touchant la ville , et ne rentre pas dans les détails du passé de notre jeune héroïne . C'est une lecture agréable , avec une histoire assez commune mais qui gagnerait à s'épaissir dans les tomes suivants . La série est finie en 5 tomes dans le royaume scandinave . Ayant par ailleurs touché au cinéma d'animation , l'auteur propose un style "cartoon" frais et enjolivé par de jolies couleurs et dégradés de verts . Une première aventure qui ravira les plus jeunes , en attendant la suite 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ophelia-et-les-abysses-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. L'histoire commence par un enfant plongeant du haut d'un falaise sous l'oeil admiratif de ses camarades . Le problème étant qu'il ne remonte plus à la surface une fois le saut effectué ! Puis l'on passe à Ophélia emménageant avec sa nouvelle famille d'accueil dans cette petite ville côtière typique norvégienne . Passionnée de créatures sous-marines "imaginaires" , elle va faire la rencontre d'un vieux pêcheur local et nouer une amitié qui va les mener vers bien des dangers , mais aussi des découvertes ! Pour une première oeuvre dans ce média , l'auteur prend son temps et installe le contexte peu à peu avec la galerie de personnages entourant Ophélia . Pour l'instant il s'attarde sur les événements nouveaux et inexpliqués touchant la ville , et ne rentre pas dans les détails du passé de notre jeune héroïne . C'est une lecture agréable , avec une histoire assez commune mais qui gagnerait à s'épaissir dans les tomes suivants . La série est finie en 5 tomes dans le royaume scandinave . Ayant par ailleurs touché au cinéma d'animation , l'auteur propose un style "cartoon" frais et enjolivé par de jolies couleurs et dégradés de verts . Une première aventure qui ravira les plus jeunes , en attendant la suite 🙂
  18. La saga des Jour J arrive au cinquantième tome avec une nouvelle uchronie encore bien orchestrée par le duo Jean-Pierre Pecau et Fred Duval. La nouvelle France règne sur l’île de Manhattan au milieu des tribus amérindiennes. Pendant ce temps, sur l'ancien continent, les anglais ne s'avouent pas vaincu avec l'organisation d'une prochaine offensive en Amérique. Le jeu des espions n'est pas en reste dans cet univers parallèle où l'histoire ne s'est as déroulée comme nous la connaissons. Les deux scénaristes sont devenus des spécialistes des uchronies depuis le temps et s’amusent à réinterpréter notre histoire tout en se basant sur la réalité. Les dessins de Vladimir Alesksic sont de qualité pour dépeindre des bâtiments proches des constructions de château de l'époque en France mais sur l’île de Manhattan au milieu des cherokees. Cela donne un mélange assez intéressant comme vous pouvez le découvrir sur la couverture d'Ugo Pinson et Fred Blanchard. Les amateurs de la série et des bandes dessinée historiques seront comblés par cet album programmé en diptyque pour prendre le temps d'installer cette histoire.
  19. Titre de l'album : Jour J Tome 50 : Saint-Denis des Amériques Partie 1 : 1685, le roi Philippe VII règne sur la Nouvelle France Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pecau et Fred Duval Dessinateur de l'album : Vladimir Alesksic Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Retranché dans son palais de Saint-Denis-des-Amériques, le roi Philippe VII est décidé à reconquérir le territoire perdu de l'Ancienne France, tandis que l'Angleterre intrigue pour lâcher une machine infernale sur Manhattan. Critique : La saga des Jour J arrive au cinquantième tome avec une nouvelle uchronie encore bien orchestrée par le duo Jean-Pierre Pecau et Fred Duval. La nouvelle France règne sur l’île de Manhattan au milieu des tribus amérindiennes. Pendant ce temps, sur l'ancien continent, les anglais ne s'avouent pas vaincu avec l'organisation d'une prochaine offensive en Amérique. Le jeu des espions n'est pas en reste dans cet univers parallèle où l'histoire ne s'est as déroulée comme nous la connaissons. Les deux scénaristes sont devenus des spécialistes des uchronies depuis le temps et s’amusent à réinterpréter notre histoire tout en se basant sur la réalité. Les dessins de Vladimir Alesksic sont de qualité pour dépeindre des bâtiments proches des constructions de château de l'époque en France mais sur l’île de Manhattan au milieu des cherokees. Cela donne un mélange assez intéressant comme vous pouvez le découvrir sur la couverture d'Ugo Pinson et Fred Blanchard. Les amateurs de la série et des bandes dessinée historiques seront comblés par cet album programmé en diptyque pour prendre le temps d'installer cette histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jour-j-tome-50-saint-denis-des-ameriques-partie-1-1685-le-roi-philippe-vii-regne-sur-la-nouvelle-france?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Rhaaa jusque là j'étais fan des aventures de Spoon et WHite. Les albums précédents étaient drollissime avec des personnages ridicules mais un tout logique et plein de références. Ce tome-ci m'a un peu déçu. Déjà notre journaliste a un rôle bien moins important et reste dans son rôle d'égérie des Spoon et White la ou elle était plus dans les tomes précédents. Faire de la figuration ne correspond pas a son caractère. De plus les références sont moins rigolotes et l'aventure un peu trop tirée par les cheveux pour être autre chose. On se repose donc uniquement sur les gags habituels sur Spoon et se peluche ou White et sa mal chance. Bref une lecture au mieux sympa dont le seul intérêt est de retrouver nos deux guignols.
  21. Titre de l'album : Spoon & White tome 5 - Funky Junky Scenariste de l'album : Yann Leturgie | Jean Leturgie Dessinateur de l'album : Franck Isard Coloriste : Franck Isard Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Trafic de drogue pour Spoon et White ! That's 70's show ! Jaloux que leur nouveau collègue Harry Khan se soit vu confier la tâche de remettre une valise à leur idole Courtney Balconi, Spoon et White lui jouent un mauvais tour et l'envoient involontairement au cimetière. Entretemps, la valise disparaît. S'engage alors une course-poursuite à travers la ville de New York pour la retrouver. Critique : Rhaaa jusque là j'étais fan des aventures de Spoon et WHite. Les albums précédents étaient drollissime avec des personnages ridicules mais un tout logique et plein de références. Ce tome-ci m'a un peu déçu. Déjà notre journaliste a un rôle bien moins important et reste dans son rôle d'égérie des Spoon et White la ou elle était plus dans les tomes précédents. Faire de la figuration ne correspond pas a son caractère. De plus les références sont moins rigolotes et l'aventure un peu trop tirée par les cheveux pour être autre chose. On se repose donc uniquement sur les gags habituels sur Spoon et se peluche ou White et sa mal chance. Bref une lecture au mieux sympa dont le seul intérêt est de retrouver nos deux guignols. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spoon-white-tome-5-funky-junky?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Hooky tome 3

    Troisième tome qui était très attendu ici après une fin de tome 2 pleine de surprise et pleine de promesse. Et troisième tome... un peu en deçà de ce que j'espérais. Si l'histoire avance, elle le fait plus doucement qu'espéré et surtout sans trop avancer sur le côté "méchant" de notre jumelle. Un côté que l'on pensait prendre le dessus plus rapidement. On a une aventure très honnête de notre groupe d'enfant qui cherche à empêcher leur pays de partir en fumée. Mais le "retour"des enfants est assez "lent" avec une aventure qui plaira aux jeunes lecteurs, mais laissera les adultes qui avaient été charmés par les précédents.... un peu sur leur faim. Vivement le t4 pour que l'histoire avance un peu plus
  23. poseidon2

    Hooky tome 3

    Titre de l'album : Hooky tome 3 Scenariste de l'album : Miriam Bonastre Tur Dessinateur de l'album : Miriam Bonastre Tur Coloriste : Miriam Bonastre Tur Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Après l'incendie criminel de la maison de maître Pendragon, Dani, Dorian et toute leur petite bande se réfugient dans une discrète maison, nichée au coeur de la forêt. Un havre de paix, qui leur permettra de se réparer... Nico, qui a retrouvé dans les ruines de la maison de Pendragon incendiée la boule de cristal de son maître, parvient à localiser le prince William. Une nouvelle quête démarre... Mais rien ne sera simple, car le roi Damien entame la même. Sans parler du fait que Dorian et Dani, avec leurs tours et leurs potions bizarres, sont toujours aussi gaffeurs ! Míriam Bonastre Tur a créé l'événement avec son webtoon Hooky, aux 110 millions de vues. Avec le tome 3 de son édition française, elle confirme sa belle rencontre avec le public franco-belge ! Critique : Troisième tome qui était très attendu ici après une fin de tome 2 pleine de surprise et pleine de promesse. Et troisième tome... un peu en deçà de ce que j'espérais. Si l'histoire avance, elle le fait plus doucement qu'espéré et surtout sans trop avancer sur le côté "méchant" de notre jumelle. Un côté que l'on pensait prendre le dessus plus rapidement. On a une aventure très honnête de notre groupe d'enfant qui cherche à empêcher leur pays de partir en fumée. Mais le "retour"des enfants est assez "lent" avec une aventure qui plaira aux jeunes lecteurs, mais laissera les adultes qui avaient été charmés par les précédents.... un peu sur leur faim. Vivement le t4 pour que l'histoire avance un peu plus Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hooky-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Grand initiateur du "club des 27" (artistes décédés à l'âge de 27 ans : Cobain , Winehouse , Basquiat , Morrison , Hendrix entre autres) , Robert Johnson a brûlé la vie par les deux bouts . Je dois avouer ma méconnaissance du guitariste de blues , mort en 1938 , mais ayant influencé de nombreux musiciens par la suite . Frantz Duchazeau avait déjà démontré ses talents de conteur avec Le rêve de Meteor Slim , sur la vie imaginaire d'un guitariste de blues taillant la route à la rencontre du monde . Il recommence ici avec un véritable artiste en dévoilant sa (courte) vie dans un méli-mélo de planches passées et présentes . Là réside le seul bémol de ce roman graphique volumineux : ces alternances temporelles sans aucun moyen d'identifier l'époque en place , si ce n'est le contexte et les personnages . Car le trait de Duchazeau , aussi remarquable soit-il sur les paysages et descriptions des villes d'époque ; souffre en revanche d'un manque de finesse sur les visages . Rassurez-vous , il délivre ceci dit des planches remarquables dans un noir et blanc "crayonné" puissant et vivace . La trame principale suit donc Robert Johnson qui décide de partir à New-York pour un concours musical , sans savoir que durant son périple , deux personnes le recherchent pour justement le mener à cette compétition . Quelle ironie de voir ce pauvre ère déambuler dans la campagne américaine du sud , sans le sou , dormant à la belle étoile et cherchant de la nourriture et de l'alcool dans les petites villes traversées . Dans les années 30 de ce pays , le racisme est omniprésent avec des pancartes de ségrégation et autres pendaisons sauvages initiées par le Ku Klux Klan . On ressent à travers ces pages , les difficultés éprouvées par la population noire à cette époque . Tout au long du récit , vous découvrirez aussi une autre quête jalonnant la vie de Robert Johnson , une recherche sur son passé et ce qui le rend tel qu'il est : un alcoolique et un guitariste touché par la grâce de Dieu (mais pas que 😉 ) . Un scénario riche et un dessin contemplatif . J'avais découvert le talent de Duchazeau dans son crépusculaire Les vaincus , depuis , le natif d'Angoulême ne cesse de progresser !
  25. Titre de l'album : Les derniers jours de Robert Johnson Scenariste de l'album : Frantz Duchazeau Dessinateur de l'album : Frantz Duchazeau Coloriste : Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Années 1930, un homme, la vingtaine, mi vagabond, mi dandy, sillonne les routes poussiéreuses du Mississippi avec pour seuls bagages une guitare acoustique et une bouteille de vin. Malgré son jeune âge, il semble porter sur les épaules tout le poids du monde, traînant derrière lui comme un boulet de forçat un passé déjà trop douloureux : l'abandon d'un père, une enfance passée dans les champs de coton, sous la surveillance un beau-père violent, puis la mort en couches de l'amour de sa vie ... Qui peut douter qu'il s'agit de Robert Johnson, l'auteur de « Sweet Home Chicago», et que, de ses souffrances, il tire un blues à nul autre pareil ? Disséminant sa musique encore méconnue de ville en ville, dans un Sud raciste, Johnson a rendez-vous avec sa gloire en une date et en un lieu : la scène du Carnegie Hall, à New York, où des producteurs qui croient en son talent l'attendent impatiemment. Mais son autodestruction est à la hauteur de son talent : immense. Arrivera-t-il à destination ? Critique : Grand initiateur du "club des 27" (artistes décédés à l'âge de 27 ans : Cobain , Winehouse , Basquiat , Morrison , Hendrix entre autres) , Robert Johnson a brûlé la vie par les deux bouts . Je dois avouer ma méconnaissance du guitariste de blues , mort en 1938 , mais ayant influencé de nombreux musiciens par la suite . Frantz Duchazeau avait déjà démontré ses talents de conteur avec Le rêve de Meteor Slim , sur la vie imaginaire d'un guitariste de blues taillant la route à la rencontre du monde . Il recommence ici avec un véritable artiste en dévoilant sa (courte) vie dans un méli-mélo de planches passées et présentes . Là réside le seul bémol de ce roman graphique volumineux : ces alternances temporelles sans aucun moyen d'identifier l'époque en place , si ce n'est le contexte et les personnages . Car le trait de Duchazeau , aussi remarquable soit-il sur les paysages et descriptions des villes d'époque ; souffre en revanche d'un manque de finesse sur les visages . Rassurez-vous , il délivre ceci dit des planches remarquables dans un noir et blanc "crayonné" puissant et vivace . La trame principale suit donc Robert Johnson qui décide de partir à New-York pour un concours musical , sans savoir que durant son périple , deux personnes le recherchent pour justement le mener à cette compétition . Quelle ironie de voir ce pauvre ère déambuler dans la campagne américaine du sud , sans le sou , dormant à la belle étoile et cherchant de la nourriture et de l'alcool dans les petites villes traversées . Dans les années 30 de ce pays , le racisme est omniprésent avec des pancartes de ségrégation et autres pendaisons sauvages initiées par le Ku Klux Klan . On ressent à travers ces pages , les difficultés éprouvées par la population noire à cette époque . Tout au long du récit , vous découvrirez aussi une autre quête jalonnant la vie de Robert Johnson , une recherche sur son passé et ce qui le rend tel qu'il est : un alcoolique et un guitariste touché par la grâce de Dieu (mais pas que 😉 ) . Un scénario riche et un dessin contemplatif . J'avais découvert le talent de Duchazeau dans son crépusculaire Les vaincus , depuis , le natif d'Angoulême ne cesse de progresser ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-derniers-jours-de-robert-johnson/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...