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  1. poseidon2

    Dali tome 1 - Avant Gala

    Vous connaissez Dali ? Moi non.... en fait pas grand-chose. Et j'avoue que cette biographie m'a appris énormément de choses, nous montrant un Dali aussi insouciant que créatif. Comme beaucoup de personnages connus de cette époque, la vie de Dali fut tout sauf un long fleuve tranquille. Que ce soit au sujet de ses études, de sa sexualité et de son envie de fuite, Dali a fait partie de ses artistes qui ont trouvé l'inspiration dans leurs vies et leurs aventures. Une biographie intéressante mais qui risque de ne pas apporter grand-chose aux connaisseurs de l'artiste
  2. Kevin Nivek

    Le passeur

    Titre de l'album : Le passeur Scenariste de l'album : Lois Lowry Dessinateur de l'album : P. Craig Russel Coloriste : P. Craig Russel Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Lorsque Jonas aura douze ans, il se verra attribuer, comme tous les enfants de son âge, sa future fonction dans la communauté. Dans le monde où vit Jonas, la guerre, la pauvreté, le chômage, le divorce n'existent pas. Les inégalités n'existent pas. La désobéissance et la révolte n'existent pas. Jonas ne sait pas encore qu'il est unique... L'harmonie règne dans la communauté. Les cellules familiales sont constituées avec soin par le comité des sages. Les personnes trop âgées, ainsi que les nouveau-nés inaptes sont " déliés ", personne ne sait exactement ce que cela veut dire. Dans la communauté, une seule personne détient véritablement le savoir : le Receveur de Mémoire. Lui seul sait comment était le monde quand il y avait encore des animaux, quand l'oeil humain pouvait voir les couleurs, quand les gens tombaient amoureux. Mêlant science-fiction et philosophie, Lois Lowry signe un roman envoûtant d'une incroyable densité, dans un style très particulier, où les genres cohabitent. La réflexion profonde, intelligente et sensible du récit original est ici parfaitement retranscrite dans l'adaptation de P. Craig Russel. Critique : Je n'ai pas consulté le résumé de cette histoire avant de m'y plonger . Je dois bien avouer ne pas connaître l'écrivaine Lois Lowry et encore moins ce roman sorti en 1994 et adapté au cinéma en 2014 sous le nom The giver . C'est donc avec un regard neuf et curieux que j'ai découvert cette société aux codes bien particuliers . Oubliez notre mode de vie occidental judéo-chrétien , ici tout est nouveau , du vocabulaire employé au mode de vie ! Une société dystopique dépeinte avec brio par le dessinateur Russel en noir et blanc , mais pas que 😉 . Il est nécessaire d'accepter de ne rien comprendre en début de lecture. et découvrir ce récit centré sur Jonas . On saisit très vite les limites de ce monde à travers le fonctionnement des cellules familiales ou encore les rôles de chacun , le tout étant de comprendre : pourquoi ? Que cache cette société qui semble parfaite de prime abord ? Russel parvient à instaurer une réelle ambiance avec son trait européen et son découpage dynamique . Vous verrez que même ce choix de bichromie n'est pas une volonté de l'artiste , mais un symbole en respect avec le roman . Une adaptation de talent , faite par un auteur complet , ayant déjà travaillé avec Neil Gaiman entre autres et récompensé aux Eisner . Le tout étant de se laisser porter par la lecture , rassurez-vous , tout "s'éclaircira" à la fin 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-passeur-9782385020194/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Kevin Nivek

    Le passeur

    Je n'ai pas consulté le résumé de cette histoire avant de m'y plonger . Je dois bien avouer ne pas connaître l'écrivaine Lois Lowry et encore moins ce roman sorti en 1994 et adapté au cinéma en 2014 sous le nom The giver . C'est donc avec un regard neuf et curieux que j'ai découvert cette société aux codes bien particuliers . Oubliez notre mode de vie occidental judéo-chrétien , ici tout est nouveau , du vocabulaire employé au mode de vie ! Une société dystopique dépeinte avec brio par le dessinateur Russel en noir et blanc , mais pas que 😉 . Il est nécessaire d'accepter de ne rien comprendre en début de lecture. et découvrir ce récit centré sur Jonas . On saisit très vite les limites de ce monde à travers le fonctionnement des cellules familiales ou encore les rôles de chacun , le tout étant de comprendre : pourquoi ? Que cache cette société qui semble parfaite de prime abord ? Russel parvient à instaurer une réelle ambiance avec son trait européen et son découpage dynamique . Vous verrez que même ce choix de bichromie n'est pas une volonté de l'artiste , mais un symbole en respect avec le roman . Une adaptation de talent , faite par un auteur complet , ayant déjà travaillé avec Neil Gaiman entre autres et récompensé aux Eisner . Le tout étant de se laisser porter par la lecture , rassurez-vous , tout "s'éclaircira" à la fin 😉 .
  4. Titre de l'album : Conan - Le maraudeur noir Scenariste de l'album : Jean-Luc Masbou Dessinateur de l'album : Jean-Luc Masbou Coloriste : Jean-Luc Masbou Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Conan et le trésor maudit.Sur le territoire sauvage des Pictes, Zarono et ses hommes ont dû construire une forteresse de fortune après le naufrage de leur navire. Prisonniers de ce bout de terre, ils craignent le pire lorsqu’un bateau pirate des Barachas accoste sur la plage. Sous les ordres de Strom, le bastion est attaqué. Pourtant, les assaillants prennent la fuite devant l’imposant pavillon zingaréen qui arrive à son tour… Tout comme Strom, les Zingaréens sont à la recherche du trésor perdu de Tranicos le sanguinaire,... Critique : On a tout entendu sur ce Conan. Il faut bien reconnaitre que ce que nous a proposé Jean-Luc Masbou est assez étonnant dans le cadre d'une adaptation de Conan. Ok qu'on se le dise, le style graphique de Jean-Luc Masbou n'est pas dans les canons habituels de la Fantasy. Pas de tonnes d'hémoglobines ou de dessin semi réaliste, pas de filles pulpeuses et dénudées, un conan pas vraiment sous stéroïdes... Pour les amateurs de Masbou on retrouve son trait vu dans De Cape et de Crocs, mais sans les scènes d'humour en second plan. Moi, en grand amateur de son travail, j'aime son interprétation graphique du mythe, sans se dénaturer. Côté histoire, pareil, c'est probablement l'une des plus intéressante de Conan depuis un bail. D'abord parce que son déroulé n'est pas classique par rapport aux nouvelles de Howard. Ensuite parce que les interactions entre les personnages secondaires et les enjeux sont ici importants et intéressants. Bref, je crois que ce Conan est victime des attentes des fans purs et durs et conservateurs de l'héroic fantasy. Sauf que sorti de ce carcan on a une belle bd d'aventure de Conan. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Conan - Le maraudeur noir

    On a tout entendu sur ce Conan. Il faut bien reconnaitre que ce que nous a proposé Jean-Luc Masbou est assez étonnant dans le cadre d'une adaptation de Conan. Ok qu'on se le dise, le style graphique de Jean-Luc Masbou n'est pas dans les canons habituels de la Fantasy. Pas de tonnes d'hémoglobines ou de dessin semi réaliste, pas de filles pulpeuses et dénudées, un conan pas vraiment sous stéroïdes... Pour les amateurs de Masbou on retrouve son trait vu dans De Cape et de Crocs, mais sans les scènes d'humour en second plan. Moi, en grand amateur de son travail, j'aime son interprétation graphique du mythe, sans se dénaturer. Côté histoire, pareil, c'est probablement l'une des plus intéressante de Conan depuis un bail. D'abord parce que son déroulé n'est pas classique par rapport aux nouvelles de Howard. Ensuite parce que les interactions entre les personnages secondaires et les enjeux sont ici importants et intéressants. Bref, je crois que ce Conan est victime des attentes des fans purs et durs et conservateurs de l'héroic fantasy. Sauf que sorti de ce carcan on a une belle bd d'aventure de Conan.
  6. alx23

    Ce que le jour doit à la nuit

    Ce que le jour doit à la nuit est à l'origine un roman de Yasmina Khadra et bestseller de l'année 2008. Aujourd'hui, les éditions Philéas spécialisées dans les adaptations de romans à succès en bande dessinée nous propose ce roman graphique. Stella Lory se charge de l'écriture du scénario pour le format BD. Cette histoire retrace le parcours de Younes un jeune algérien depuis son enfance avec sa famille paysage ruinée par de mauvaises récoltes et un incendie. Dès ce moment, le récit se focalise sur Younes avant et après de devenir membre d'un groupe de français vivant en Algérie et profitant de leur jeunesse avant l'insurrection. L’histoire nous présente les moments forts d’une vie mais aussi l’amour que l’on porte à son pays malgré la violence vécu mais surtout la nostalgie. Le style de dessins de Marion Duclos est original que l’on pourrait comparer à celui de Sfar par moment. Les dessins sont simplistes mais avec des visages étranges. Les lecteurs voulant se replonger dans cette histoire devraient trouver leur compte avec ce roman graphique. Les autres devront s’adapter aux dessins particuliers et aux couleurs pour profiter de l’histoire.
  7. Titre de l'album : Ce que le jour doit à la nuit Scenariste de l'album : Yasmina Khadra & Stella Lory Dessinateur de l'album : Marion Duclos Coloriste : Marion Duclos Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Avec ses beaux yeux bleus et son physique avantageux, Younes, petit Algérien de dix ans, intègre une communauté de roumis, ces Français vivant en Algérie à la veille de l'insurrection. Younes, un petit Algérien de dix ans, vit avec ses parents et sa soeur. Après l'incendie criminel de leur récolte, ils sont ruinés et doivent quitter leurs terres pour trouver du travail en ville à Oran. Son père, ne pouvant subvenir à ses besoins, décide de confier son fils à son frère, pharmacien, marié à une Française. Younes devient Jonas et intègre une communauté de roumis c'est-à-dire des Français vivant en Algérie, les futurs pieds-noirs . Avec ses beaux yeux bleus et son physique avantageux, Younes est vite accepté par sa nouvelle communauté aisée. Au fil des années, il va découvrir son pays et apprendre à l'aimer, l'amitié entre quatre amis, de jeunes colons, et l'amour nommé Émilie. Mais il va aussi découvrir la misère des siens, la guerre et l'injustice. À travers le destin de Younès, Yasmina Khadra retrace l'histoire de l'insurrection algérienne et les raisons du déracinement des français d'Algérie. Critique : Ce que le jour doit à la nuit est à l'origine un roman de Yasmina Khadra et bestseller de l'année 2008. Aujourd'hui, les éditions Philéas spécialisées dans les adaptations de romans à succès en bande dessinée nous propose ce roman graphique. Stella Lory se charge de l'écriture du scénario pour le format BD. Cette histoire retrace le parcours de Younes un jeune algérien depuis son enfance avec sa famille paysage ruinée par de mauvaises récoltes et un incendie. Dès ce moment, le récit se focalise sur Younes avant et après de devenir membre d'un groupe de français vivant en Algérie et profitant de leur jeunesse avant l'insurrection. L’histoire nous présente les moments forts d’une vie mais aussi l’amour que l’on porte à son pays malgré la violence vécu mais surtout la nostalgie. Le style de dessins de Marion Duclos est original que l’on pourrait comparer à celui de Sfar par moment. Les dessins sont simplistes mais avec des visages étranges. Les lecteurs voulant se replonger dans cette histoire devraient trouver leur compte avec ce roman graphique. Les autres devront s’adapter aux dessins particuliers et aux couleurs pour profiter de l’histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ce-que-le-jour-doit-a-la-nuit?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Shi tome 6 - La grande puanteur Scenariste de l'album : Benoît Drousie Dessinateur de l'album : Josep Homs Coloriste : Josep Homs Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Londres, 1858. Alors que Jay attend son jugement en prison et se morfond dans ses remords après les tragiques événements de Trafalgar Square, et que Kita et Senseï tentent, comme leurs démons, de se remettre tant bien que mal de leurs blessures, un nouveau malheur s'abat sur l'Angleterre et la capitale de l'Empire victorien. Une énorme vague de chaleur assèche la Tamise, empuante Londres et menace de relancer une épidémie de choléra. Ce qui n'empêche pas les fondatrices des « Angry Mothers » de fomenter de nouveaux attentats - dont l'enlèvement du fils de la Reine Victoria elle-même ! -, de se battre pour la fin du travail des enfants et de rechercher la fille de Jay, alors que le signe SHI continue, quant à lui, de se répandre sur les murs de la ville pour défendre femmes et enfants. Il ne manque plus que l'incarnation du quatrième démon pour se venger définitivement de l'Empire, car comme le dit la comptine : « 4 est son nombre, son nombre malin »... Suite du deuxième cycle de « Shi », la fantastique aventure mêlant Histoire et démons dans l'Angleterre victorienne du 19e siècle ! Zidrou plonge cette fois ses héroïnes assoiffées de vengeance et de justice sociale au coeur d'un événement historique qui résonne particulièrement aujourd'hui : « The Big Stink », ou la Grande Puanteur, une catastrophe climatique qui provoqua une véritable révolution sanitaire en Angleterre. Une ambiance crépusculaire où la puissance d'évocation du dessin de Homs fait à nouveau des merveilles. Critique : Deuxième et dernier tome du deuxième cycle de Shi... enfin, ça c'est vraiment histoire de découper ce cycle en 2. Car si ce tome est encore excellent et graphiquement sublime, c'est tout sauf une vraie fin de cycle. En l'état des choses, on ne peut pas s'arrêter la ! L'histoire monte d'un cran avec la reine qui prend un réel rôle dans notre histoire et qui cherche un positionnement entre celui de mère et celui de reine. Les femmes sont vraiment au centre de l'histoire plus que jamais avec cette prise d'intérêt de la reine, mais aussi avec une part plus importante donnée aux actions des femmes dans les années 80, deuxième temporalité un peu laissée de côté dans les épisodes précédents. Un très bon tome qui nous annonce un dernier cycle haut en couleur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shi-tome-6-la-grande-puanteur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Shi tome 6 - La grande puanteur

    Deuxième et dernier tome du deuxième cycle de Shi... enfin, ça c'est vraiment histoire de découper ce cycle en 2. Car si ce tome est encore excellent et graphiquement sublime, c'est tout sauf une vraie fin de cycle. En l'état des choses, on ne peut pas s'arrêter la ! L'histoire monte d'un cran avec la reine qui prend un réel rôle dans notre histoire et qui cherche un positionnement entre celui de mère et celui de reine. Les femmes sont vraiment au centre de l'histoire plus que jamais avec cette prise d'intérêt de la reine, mais aussi avec une part plus importante donnée aux actions des femmes dans les années 80, deuxième temporalité un peu laissée de côté dans les épisodes précédents. Un très bon tome qui nous annonce un dernier cycle haut en couleur.
  10. Titre de l'album : Ivo a mis les voiles Scenariste de l'album : Nicolaï Pinheiro Dessinateur de l'album : Nicolaï Pinheiro Coloriste : Nicolaï Pinheiro Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Fin des années 80. Un quinquagénaire qui porte sur son visage brun les stigmates d'une vie sans concession, gare sa vieille coccinelle sur le bord d'une route poussiéreuse. Il pousse la porte d'un bar miteux et commande une cachaça. On entend à peine ce qu'il dit : Ivo, mécanicien de métier, fumeur invétéré et alcoolique, souffre d'un cancer de la gorge. Mais son plus grand vice, c'est la route : sa vie durant, il n'a jamais pu se poser, toujours en perpétuel mouvement. Que quitte-il ? Où va-t-il ? Cette fois, plus que toutes les autres, seul Ivo le sait. Pedro, un jeune Carioca, beau garçon taiseux, apprend la mort d'Ivo et se lance alors sur la trace de son dernier périple, sur les routes du Nordeste. Allant d'indice en indice, l'amour et l'amitié s'invitent bientôt au voyage. Pedro embarque dans sa voiture des compagnons improvisés, pour quelques kilomètres, parfois quelques jours : la jolie Vania qui a fui sa famille, Valdo, un surfeur à la recherche de son fils, ou encore Gabriel et Kadu, jeunes chercheurs scientifiques à l'âme poétique. Mais qui est Ivo pour Pedro ? Et qui est Pedro pour Ivo ? Le savent-ils eux-mêmes ? Critique : C'est un road-trip délicieux et prenant que nous livre ce jeune auteur franco-brésilien de grand talent ! Nous suivons en parallèle tout au long du récit , Ivo le mécanicien et Pedro un jeune homme, sur les voies côtières brésiliennes du sud au nord . L'un chasse le temps , pendant que l'autre le remonte . Le certificat de décès d'Ivo en main , Pedro va parcourir le même chemin que le défunt sur fond de quête initiatique . Un véritable pèlerinage jalonné de surprises , de personnages en fuite ou en recherche de passé , ou de futur . Cette galerie de rencontres est à la fois émouvante et rafraichissante tant les histoires de chacun nous prennent aux tripes . L'empathie fonctionne à merveille et il faut féliciter l'auteur pour cela . Les pages se tournent et passent d'un protagoniste à l'autre sans que le lecteur ne se perde en route . Il faut dire que le dessin aide énormément , son trait semi-réaliste aux couleurs chatoyantes est un régal pour les pupilles . La couverture donne le ton , on y aperçoit 4 jeunes gens marchant sur le fil de l'eau entre ciel et mer ,une ligne séparant le passé et les promesses d'un futur . L'auteur insiste sur le "jeu des acteurs" , on s'attarde parfois sur une seule personne dans 2 ou 3 cases afin de mieux cerner ses réactions et suivre cette histoire comme un film . Je mettrais un léger bémol sur la grande quantité de personnages , pas toujours évidente à ingérer , mais cela peut inviter à une seconde lecture des plus agréable , tant l'histoire est belle et graphiquement de grande qualité . Une aventure humaine émouvante et prenante à la façon d'un polar . On en redemande monsieur Pinheiro , et merci pour le voyage 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ivo-a-mis-les-voiles/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Kevin Nivek

    Ivo a mis les voiles

    C'est un road-trip délicieux et prenant que nous livre ce jeune auteur franco-brésilien de grand talent ! Nous suivons en parallèle tout au long du récit , Ivo le mécanicien et Pedro un jeune homme, sur les voies côtières brésiliennes du sud au nord . L'un chasse le temps , pendant que l'autre le remonte . Le certificat de décès d'Ivo en main , Pedro va parcourir le même chemin que le défunt sur fond de quête initiatique . Un véritable pèlerinage jalonné de surprises , de personnages en fuite ou en recherche de passé , ou de futur . Cette galerie de rencontres est à la fois émouvante et rafraichissante tant les histoires de chacun nous prennent aux tripes . L'empathie fonctionne à merveille et il faut féliciter l'auteur pour cela . Les pages se tournent et passent d'un protagoniste à l'autre sans que le lecteur ne se perde en route . Il faut dire que le dessin aide énormément , son trait semi-réaliste aux couleurs chatoyantes est un régal pour les pupilles . La couverture donne le ton , on y aperçoit 4 jeunes gens marchant sur le fil de l'eau entre ciel et mer ,une ligne séparant le passé et les promesses d'un futur . L'auteur insiste sur le "jeu des acteurs" , on s'attarde parfois sur une seule personne dans 2 ou 3 cases afin de mieux cerner ses réactions et suivre cette histoire comme un film . Je mettrais un léger bémol sur la grande quantité de personnages , pas toujours évidente à ingérer , mais cela peut inviter à une seconde lecture des plus agréable , tant l'histoire est belle et graphiquement de grande qualité . Une aventure humaine émouvante et prenante à la façon d'un polar . On en redemande monsieur Pinheiro , et merci pour le voyage 🙂
  12. Et hop déjà la suite et la fin de ce diptyque consacré aux évènements de la commune et au début du vingtième siècle à paris. A travers son intrigue de polar sombre et sanguinaire, Phillipe Pelaez nous livre une histoire de la commune. Cette période de l'histoire pourtant si riche mais si peu étudiée a pourtant marqué des générations de parisiens et inspiré poètes et grands écrivains. Philippe Pelaez nous livre des pages, des dialogues et des descriptions qui font honneur à la prose française et à nos écrivains. Bravo. L'histoire elle est toujours menée tambour battante mais que dire ici des illustrations de Tiburce Oger. Une maestria, mise en lumière par le choix d'une colorisation monochrome à quelques exceptions près. On se régale, il nous rend ce paris vivant, avec ces drames, ces histoires et ces humains. Le choix des colorisations vous rappellera forcément une des oeuvres majeures de la bd au passage... Le seul léger bémol pour moi c'est la fin car si elle est logique et classique, je trouve qu'elle manque peut être un peu de panache, mais après tout c'est aussi le sens de ce diptyque, de salut il n'y aura point.
  13. Titre de l'album : La vieille Anglaise et le continent Scenariste de l'album : Valérie Mangin Dessinateur de l'album : Stefano Martino Coloriste : Stefano Martino Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Un thriller abyssal ! Des scientifiques ont mis au point la transmnèse : le transfert de l'esprit dans un nouveau corps. Lorsque Ann Kelvin, mourante, se voit proposer la possibilité de migrer dans un grand cachalot, elle n'hésite pas longtemps. Cette éco-activiste qui place ses idéaux au-delà de sa propre vie espère ainsi sauver des espèces maritimes menacées par la pêche et la chasse en inoculant un virus hautement transmissible aux cétacés. Épidémie bénigne pour les baleines, mais pandémie aux effets secondaires délétères pour l'espèce humaine qui continuerait d'en consommer.Des profondeurs abyssales à l'immensité spectaculaire des eaux glacées de l'Antarctique, Ann va faire de nombreuses et dangereuses rencontres. Mais le plus redoutable des prédateurs reste l'Homme : des privilégiés ont détourné la transmnèse à leur profit... Critique : Adaptation d'une nouvelle de science-fiction de J-A Debats par Valérie Magnin, avec une histoire d'anticipation qui fait aussi froid dans le dos qu'elle n'est belle. On parle ici de la recherche de la vie éternelle par la "transmission" des pensées dans un nouveau corps. Qui n'a jamais rêvé de trouver un nouveau corps... peu importe le corps ? Et on parle forcément des dérives que peuvent impliquer ce genre d'évolution technologique. Sublimement dessinée avec des parties sous l'eau à couper le souffle, cette histoire réussit à nous faire rêver autant qu'à nous faire peur. Une bien belle histoire dont on espère qu'elle restera de l'ordre de la science-fiction Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vieille-anglaise-et-le-continent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Adaptation d'une nouvelle de science-fiction de J-A Debats par Valérie Magnin, avec une histoire d'anticipation qui fait aussi froid dans le dos qu'elle n'est belle. On parle ici de la recherche de la vie éternelle par la "transmission" des pensées dans un nouveau corps. Qui n'a jamais rêvé de trouver un nouveau corps... peu importe le corps ? Et on parle forcément des dérives que peuvent impliquer ce genre d'évolution technologique. Sublimement dessinée avec des parties sous l'eau à couper le souffle, cette histoire réussit à nous faire rêver autant qu'à nous faire peur. Une bien belle histoire dont on espère qu'elle restera de l'ordre de la science-fiction
  15. Titre de l'album : Traqueurs d'âmes tome 1 - Premier contact Scenariste de l'album : Niko Tackian Dessinateur de l'album : Soann Coloriste : Soann Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Au coeur de la fascinante et mystérieuse ville de Ludendorf, la famille Minsky s'installe dans une ancienne boutique d'antiquités. Alors qu'il découvre sa nouvelle vie, Lino révèle un talent extraordinaire : CELUI DE VOIR ET D'AIDER LES FANTÔMES. Soutenu par Erasmus, un camarade de classe et par sa soeur Solal, il se lance dans une incroyable aventure pour aider l'âme de Théophile, un jeune garçon disparu il y a près d'un siècle, à retrouver la paix. Tout au long d'enquêtes passionnantes dans d'anciennes bibliothèques, d'aventures audacieuses dans des grottes sous-marines et d'explorations fascinantes du monde des esprits, Lino et ses amis s'efforcent de résoudre le mystère de la disparition de Théophile et de lui accorder le repos éternel. Critique : L'auteur de polars Niko Tackian se lance dans le 9ème art avec cette aventure destinée aux ados mais aussi aux adultes , avides de découvertes . Il signe avec Soann , déjà à l'oeuvre sur Ma vague parue chez Jungle , une aventure paranormale teintée de mystères et de surprises . D'emblée le lecteur découvre avec la famille Minsky cette ville rurale austère et peu accueillante de Ludendorf . L'installation dans cette nouvelle maison avec son magasin d'antiquités , les premiers pas au collège pour les deux enfants Solal et Lino et très vite des apparitions étranges survenant dans le champs de vision de Lino . Ce dernier semble en effet capable d'aider les morts "perdus" dans les limbes , il est un "traqueur d'âmes" comme le mystérieux gardien du collège qui va l'initier à ce nouveau "travail" et l'aider à maitriser ce pouvoir . Le récit prend des airs d'enquête policière paranormale et ouvre des portes ça et là donnant lieues à des ouvertures scénaristiques intéressantes pour l'avenir . Le travail de la dessinatrice Soann est moins "numérique" (que dans Ma vague) et prend de l'ampleur dans les séquences oniriques de Lino . Elle offre un monde nouveau aux couleurs chaudes tout en y ajoutant de la lumière , pour un rendu final assez spectaculaire . Cet espace interdimensionnel est assurément l'atout de cette aventure . Le scénario se veut quand à lui classique mais prometteur de surprises dans des tomes futurs . A découvrir , si vous n'êtes pas trop effrayés par les revenants 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/traqueurs-d-ames-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. L'auteur de polars Niko Tackian se lance dans le 9ème art avec cette aventure destinée aux ados mais aussi aux adultes , avides de découvertes . Il signe avec Soann , déjà à l'oeuvre sur Ma vague parue chez Jungle , une aventure paranormale teintée de mystères et de surprises . D'emblée le lecteur découvre avec la famille Minsky cette ville rurale austère et peu accueillante de Ludendorf . L'installation dans cette nouvelle maison avec son magasin d'antiquités , les premiers pas au collège pour les deux enfants Solal et Lino et très vite des apparitions étranges survenant dans le champs de vision de Lino . Ce dernier semble en effet capable d'aider les morts "perdus" dans les limbes , il est un "traqueur d'âmes" comme le mystérieux gardien du collège qui va l'initier à ce nouveau "travail" et l'aider à maitriser ce pouvoir . Le récit prend des airs d'enquête policière paranormale et ouvre des portes ça et là donnant lieues à des ouvertures scénaristiques intéressantes pour l'avenir . Le travail de la dessinatrice Soann est moins "numérique" (que dans Ma vague) et prend de l'ampleur dans les séquences oniriques de Lino . Elle offre un monde nouveau aux couleurs chaudes tout en y ajoutant de la lumière , pour un rendu final assez spectaculaire . Cet espace interdimensionnel est assurément l'atout de cette aventure . Le scénario se veut quand à lui classique mais prometteur de surprises dans des tomes futurs . A découvrir , si vous n'êtes pas trop effrayés par les revenants 😉
  17. Titre de l'album : Vikings dans la brume tome 2 - Valhalla Akbar Scenariste de l'album : Wilfrid Lupano Dessinateur de l'album : Rodolphe Lupano Coloriste : Rodolphe Lupano Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le chef Arnulf et son « armée » de Vikings poursuivent leur raid dans des contrées froides et glacées en quête de butin, mais en pure perte ! Dernière chance avant leur retour, un petit village nommé Troulabbé, habité par des Chrétiens qui comptent bien leur résister.... Avant d'autres raids, plus au sud, de mondes inconnus ! Cette série proposée en gags en demi-pages, permet aux frères Lupano de raconter - avec beaucoup d'humour ? les périples d'un peuple guerrier et voyageur confronté à d'autres modèles de société... Irrésistible. Critique : Lupano revient sur nos idiots de vikings pour nous livrer un tome encore plus drôle que le précédent. Le personnage de l'évêque est juste magique. C'est super drôle. Que ce soit les comparaisons des religions de chacun ou alors la façon dont il 'survit' au milieu des Vikings, tout est truculent ! La bêtise des vikings est encore une fois mise à l'honneur dans ce tome qui exporte nos vikings vers les mers du sud et qui nous fait comparer nos héros aux érudits arabes de l'époque. On en redemande ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vikings-dans-la-brume-tome-2-valhalla-ouakbar?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Lupano revient sur nos idiots de vikings pour nous livrer un tome encore plus drôle que le précédent. Le personnage de l'évêque est juste magique. C'est super drôle. Que ce soit les comparaisons des religions de chacun ou alors la façon dont il 'survit' au milieu des Vikings, tout est truculent ! La bêtise des vikings est encore une fois mise à l'honneur dans ce tome qui exporte nos vikings vers les mers du sud et qui nous fait comparer nos héros aux érudits arabes de l'époque. On en redemande !
  19. Deuxième tome de la série loufoque de Dupuis et deuxième tome aussi sympa que le premier. Notre héros se voit attribuer d'un vrai diable et se retrouve donc à devenir vraiment mauvais, la ou avant il était seulement bête. Et cette bêtise est rafraichissante. Les blagues potaches et culcul sont tellement..... potaches et culcul et sans filtre que l'on continue à se laisser porter et à bien rigoler. Ne cherchez rien sauf de là déconne. Mais.... on s'en fou non ?
  20. Titre de l'album : Wishlist tome 2 - Le caid du lycée Scenariste de l'album : Cédric Asna Dessinateur de l'album : Stivo Chopin Coloriste : Stivo Chopin Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Marcus est prêt à faire n'importe quoi quand il est in love... Par exemple, participer à un rituel d'invocation satanique afin de plaire à Jesslinda la gothique, la fille du lycée qu'il kiffe... Et c'est ainsi que l'adolescent se retrouve flanqué de Clay, un démon prêt à exaucer tous les voeux de sa wishlist en échange de trois fois rien : son âme. Le souci, c'est que Clay est un démon débutant, super gentil mais méga gaffeur. Ce qui fait qu'il va interpréter n'importe comment les voeux de Marcus ! Après Lolicornes, Ced imprime à nouveau la marque d'un humour tous publics et gentiment transgressif. Stivo, son collègue de Mystery, pousse toujours plus loin la tonicité et la fraîcheur du trait, en webtoon comme en album ! Critique : Deuxième tome de la série loufoque de Dupuis et deuxième tome aussi sympa que le premier. Notre héros se voit attribuer d'un vrai diable et se retrouve donc à devenir vraiment mauvais, la ou avant il était seulement bête. Et cette bêtise est rafraichissante. Les blagues potaches et culcul sont tellement..... potaches et culcul et sans filtre que l'on continue à se laisser porter et à bien rigoler. Ne cherchez rien sauf de là déconne. Mais.... on s'en fou non ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wishlist-tome-1-mon-demon-favori?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau.
  22. Titre de l'album : Le convoyeur - Tome 4 - La saison des spores Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Lucille Noël et Dimitri Armand Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Minerva a récupéré son aimé mais l'esprit de ce dernier appartient toujours à la Reine des Convoyeurs. Et les stocks du sérum capable de le rendre à son humanité diminuent drastiquement. A présent, pour sauver Kivan, à défaut d'avoir pu sauver leur fils Iram, Minerva n'a plus le choix : elle doit retrouver le cargo et tuer la Reine ! Enfin, si la horde des Convoyeurs, la Nature ou le mystérieux homme lancé à ses trousses ne la tuent pas avant... Critique : Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-4-la-saison-des-spores?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    Space relic hunters

    On retrouve la même équipe artistique de la trilogie de science-fiction On mars, pour un one shot de plus d'une centaine de pages pour mettre en image ce space opera plein d'action. Sylvain Runberg s'est déjà forgé une bonne réputation de scénariste avec toutes ses productions. Il est très à l'aise sur ce genre science-fiction, avec cette histoire où trois chasseurs de reliques doivent faire équipe pour avoir la récompense s'ils retrouvent cet objet d'une religion oubliée. Les personnages sont haut en couleur entre l'humaine alcoolique de par sa religion, un alien discret et un ancien soldat de la légion divine. Les trois héros sont engagés pour affronter toutes sortes de danger sur plusieurs planètes pour leur réussir leur mission. Grun est un dessinateur habitué également aux récits de SF, il s'amuse à mettre en scène les personnages dans des mondes exotiques avec des races extraterrestres. Les scènes d'action sont bien rythmées et les planches très détaillées. L'album se termine sur des recherches graphiques de l'auteur. Si vous avez appréciez On mars, vous devriez êtes conquis par cette nouvelle production de Runberg et Grun. Sinon ce one shot est une bonne occasion de découvrir leur travail.
  24. Titre de l'album : Durango La jeunesse - Tome 2 - De feu et de sang Scenariste de l'album : Yves Swolfs Dessinateur de l'album : Roman Surzhenko Coloriste : Jackie de Gennaro Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Texas 1882. Témoin de l'assassinat de trois cowboys , un jeune vagabond échappe lui-même de justesse au tueur, un professionnel armé d'une carabine équipée d'une lunette. Le jeune homme est engagé par le propriétaire du plus grand ranch de la région pour qui travaillaient les trois victime mais ignore qu'en acceptant cet emploi, il deviendra témoin actif d'une sanglante guerre entre éleveurs. Critique : Mais pourquoi ces tomes de la Jeunesse de Durango sont ils aussi courts ? Ce tome 2 : De feu et de Sang est plutôt bon, prenant le temps de distiller son intrigue et ne faisant pas l'erreur de nous transformer trop rapidement notre jeune Durango vagabond en pur pistolero... Je l'ai par contre trouvé bien trop court, l'intrigue n'avançant finalement que bien peu, et Durango en étant spectateur tout le long. Un peu dommage car on sent aussi bien Roman Surzhenko à l'aise sur le dessin, que Swolfs sur son histoire de Western, certes classique mais bien ficelée. Pour les amateurs de Durango, cette série reste une bonne façon de prolonger le plaisir, les derniers tomes de la série mère ayant été un brin décevants pour moi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/durango-la-jeunesse-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Mais pourquoi ces tomes de la Jeunesse de Durango sont ils aussi courts ? Ce tome 2 : De feu et de Sang est plutôt bon, prenant le temps de distiller son intrigue et ne faisant pas l'erreur de nous transformer trop rapidement notre jeune Durango vagabond en pur pistolero... Je l'ai par contre trouvé bien trop court, l'intrigue n'avançant finalement que bien peu, et Durango en étant spectateur tout le long. Un peu dommage car on sent aussi bien Roman Surzhenko à l'aise sur le dessin, que Swolfs sur son histoire de Western, certes classique mais bien ficelée. Pour les amateurs de Durango, cette série reste une bonne façon de prolonger le plaisir, les derniers tomes de la série mère ayant été un brin décevants pour moi.
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