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  1. poseidon2

    Prez

    Titre de l'album : Prez Scenariste de l'album : Russell Mark Dessinateur de l'album : Ben Cldwell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Beth Ross est la première adolescente élue Présidente des États-Unis. Dans un pays où n'importe quelle corporation peut se présenter à la présidence, où les plus pauvres peuvent désormais louer leur corps pour afficher les pubs de leurs sponsors et où les tacos sont désormais livrés par drones, le seul espoir serait cette gamine de 19 ans découverte sur Twitter. La question n'est cependant pas de savoir si elle aura les épaules assez larges pour assurer ses nouvelles responsabilités mais si le système politique américain est prêt à passer au crible de cette fausse ingénue. Critique : Rhhhaaaa on parle des français mais il semblerait bien qu'il y ait des choses qu'on ne peut pas faire aux états Unis dont la première est bien de se foutre la gueule du pays lui-même et de ses dérives trop nombreuses pour être listées. En effet c'est la deuxième fois que sort Prez et pour la deuxième fois sa parution est raccourcie. Encore dans les années 70 on pouvait l'imaginer mais en 2019. Avant de lire ce Prez je pensais tout simplement que le comic serait moyen voir mauvais. Mais en fait pas du tout. Les dessins sont très bons (dans le style à la mode aux US genre the Weatherman, Black science etc...) et le scénario pour le moins... enormissime en forme de critique au vitriol de tous ce qui ne va pas aux US. Des armes, en passant par les lobbies, le règne des puissants, les différentes fractures sociales, du système de santé défaillant.... Et si d'un point de vue européens c'est délicieux plein de personnages hyper caricaturaux, il semblerait que ce "reboot" de Prez n'ait pas plus outre atlantique car la série qui devait compter 12 numéros n'en compte que 6... Ce qui joue forcement sur la qualité du dernier chapitre avec une fin un peu précipité et surtout une ouverture qui ne verra jamais le jour. Il faut donc se dire qu'être plus ambitieux (en termes de critique ouverte des problématiques de société) que Vaughan et son excellent Ex Machina ne semble pas encore être possible. C'est bien triste car j'aurai aimé voir notre Prez reprendre l'initiative comme dit ! Cette intégrale reste donc une excellente lecture mais qui aurait formé un ensemble encore plus sympa si l'histoire avait été au bout des idées des auteurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/prez?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Prez

    Rhhhaaaa on parle des français mais il semblerait bien qu'il y ait des choses qu'on ne peut pas faire aux états Unis dont la première est bien de se foutre la gueule du pays lui-même et de ses dérives trop nombreuses pour être listées. En effet c'est la deuxième fois que sort Prez et pour la deuxième fois sa parution est raccourcie. Encore dans les années 70 on pouvait l'imaginer mais en 2019. Avant de lire ce Prez je pensais tout simplement que le comic serait moyen voir mauvais. Mais en fait pas du tout. Les dessins sont très bons (dans le style à la mode aux US genre the Weatherman, Black science etc...) et le scénario pour le moins... enormissime en forme de critique au vitriol de tous ce qui ne va pas aux US. Des armes, en passant par les lobbies, le règne des puissants, les différentes fractures sociales, du système de santé défaillant.... Et si d'un point de vue européens c'est délicieux plein de personnages hyper caricaturaux, il semblerait que ce "reboot" de Prez n'ait pas plus outre atlantique car la série qui devait compter 12 numéros n'en compte que 6... Ce qui joue forcement sur la qualité du dernier chapitre avec une fin un peu précipité et surtout une ouverture qui ne verra jamais le jour. Il faut donc se dire qu'être plus ambitieux (en termes de critique ouverte des problématiques de société) que Vaughan et son excellent Ex Machina ne semble pas encore être possible. C'est bien triste car j'aurai aimé voir notre Prez reprendre l'initiative comme dit ! Cette intégrale reste donc une excellente lecture mais qui aurait formé un ensemble encore plus sympa si l'histoire avait été au bout des idées des auteurs.
  3. poseidon2

    Integrale Before Watchmen T1

    Ah Watchmen.... quand on parle d'une oeuvre majeure du comic on réfléchit toujours à ce que l'on va dire. Alors quand on ajoute, 30 ans plus tard, des pages à la mythologie, il faut faire très attention à ce que l'on fait. Et c'est ce qui m'avait fait peur avec les "before watchmen". La possibilité d'égratigner le mythe. Je me suis penché sur l’intégrale après les bons retours sur les albums seuls et aussi en ayant vu la liste des artistes qui se prêtaient aux jeu : de Azzarello à Darwin Cooke en passant par Steve Rude. Que des noms connus qui m'ont fait franchir le pas. Et j'ai bien fait. Mais je dis bien J'AI bien fait. En effet ce before Watchmen est aussi indispensable qu'inutile. Il n'a quasiment rien à voir avec les Watchmen de Gibbons et Moore en fait. Les auteurs se basent sur des brides d'infos disséminés dans Watchmen pour recréer la mythologie des personnages d'avant l'époque de Watchmen : les Minutemen. Ces mini-histoires sur des personnages du passés sont donc vraiment anecdotiques et, si elles restent bien réalisées et sympatiques à lire, surtout la première de Darwin Cooke sur la création de Minutemen, elles n'apportent rien à Watchmen. On se retrouve donc avec des histoires dans un univers connus qui vont entourer la légende mais sans ne rien lui apporter. Bref un indispensable pour les fans qui voudront tout savoir sur Watchmen mais un très dispensable pour tout ceux qui aiment Watchmen comme un autre comics.
  4. Titre de l'album : Integrale Before Watchmen T1 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Au début des années 1940, la mode des aventuriers costumés frappait les Etats-Unis, incitant plusieurs individus à porter le masque afin de rendre la justice. Parmi eux, le Comédien, le Hibou, le Spectre Soyeux, Capitaine Métropolis, le Juge Masqué, l'Homme-Insecte, la Silhouette et Bill Dollar se sont regroupés en une organisation, les Minutemen, qui inspirera une génération plus tard les Watchmen. Critique : Ah Watchmen.... quand on parle d'une oeuvre majeure du comic on réfléchit toujours à ce que l'on va dire. Alors quand on ajoute, 30 ans plus tard, des pages à la mythologie, il faut faire très attention à ce que l'on fait. Et c'est ce qui m'avait fait peur avec les "before watchmen". La possibilité d'égratigner le mythe. Je me suis penché sur l’intégrale après les bons retours sur les albums seuls et aussi en ayant vu la liste des artistes qui se prêtaient aux jeu : de Azzarello à Darwin Cooke en passant par Steve Rude. Que des noms connus qui m'ont fait franchir le pas. Et j'ai bien fait. Mais je dis bien J'AI bien fait. En effet ce before Watchmen est aussi indispensable qu'inutile. Il n'a quasiment rien à voir avec les Watchmen de Gibbons et Moore en fait. Les auteurs se basent sur des brides d'infos disséminés dans Watchmen pour recréer la mythologie des personnages d'avant l'époque de Watchmen : les Minutemen. Ces mini-histoires sur des personnages du passés sont donc vraiment anecdotiques et, si elles restent bien réalisées et sympatiques à lire, surtout la première de Darwin Cooke sur la création de Minutemen, elles n'apportent rien à Watchmen. On se retrouve donc avec des histoires dans un univers connus qui vont entourer la légende mais sans ne rien lui apporter. Bref un indispensable pour les fans qui voudront tout savoir sur Watchmen mais un très dispensable pour tout ceux qui aiment Watchmen comme un autre comics. Autres infos : Pour les fan de Watchmen Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/before-watchmen-integrale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Wonder Woman : Guerre et amour t1 Scenariste de l'album : G. Willow Wilson Dessinateur de l'album : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Envoyé en mission secrète dans le pays de Durovnie pour le compte de l'armée américaine, Steve Trevor se retrouve bien vite en mauvaise posture et y est fait prisonnier. Venue en renfort afin de le libérer, Wonder Woman ne se doute pas que cette incursion dans un pays étranger va la voir à nouveau réunie avec son demi-frère Arès, mystérieusement transformé. Ce dernier choque d'ailleurs Diana par sa proposition : l'ancien dieu de la guerre désire à présent aider la justicière dans son combat contre toute forme de tyrannie. Mais peut-on vraiment faire confiance au père de toutes les guerres ? Critique : Ça aurait pu être une idée sympa : Un problème à Themyscira fait descendre sur terre tout l'Olympe ce qui met pas mal Diana dans l'embarras car elle se retrouve avec Ares, et les autres dieux et demi dieux, sur les bras. Ça aurait donc pu donner quelque chose d'assez épique... Mais voilà pas du tout en fait. Pas du tout. Tout d'abord parce que les dieux décris dans ce tome ne sont pas vraiment crédibles. Arès est aussi irrationnel que versatile. Aphrodite aussi gentille qu'inutile et le bestiaire plutôt lourdingue. Bref des invités qui auraient pu être des invités de marques et qui se retrouve être les boulets de l'histoire. Etant des boulets cette histoire manquante considérablement de méchants. Diana est en mode pleurnicheuse et à besoin d’une thérapie de couple... bref ce n'est pas la bonne histoire. Pour ne pas tout jeter, les passages avec Giganta sont plutôt sympa et la fin promet un tome 2 plus intéressant... m'enfin ce n’est pas bien difficile. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonder-woman-guerre-amour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Ça aurait pu être une idée sympa : Un problème à Themyscira fait descendre sur terre tout l'Olympe ce qui met pas mal Diana dans l'embarras car elle se retrouve avec Ares, et les autres dieux et demi dieux, sur les bras. Ça aurait donc pu donner quelque chose d'assez épique... Mais voilà pas du tout en fait. Pas du tout. Tout d'abord parce que les dieux décris dans ce tome ne sont pas vraiment crédibles. Arès est aussi irrationnel que versatile. Aphrodite aussi gentille qu'inutile et le bestiaire plutôt lourdingue. Bref des invités qui auraient pu être des invités de marques et qui se retrouve être les boulets de l'histoire. Etant des boulets cette histoire manquante considérablement de méchants. Diana est en mode pleurnicheuse et à besoin d’une thérapie de couple... bref ce n'est pas la bonne histoire. Pour ne pas tout jeter, les passages avec Giganta sont plutôt sympa et la fin promet un tome 2 plus intéressant... m'enfin ce n’est pas bien difficile.
  7. Titre de l'album : Diana, princesse des amazones Scenariste de l'album : Dean Hale Dessinateur de l'album : Shannon Hale / Victoria Ying Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : À onze ans, Diana mène une vie paisible sur l'île de Themyscira où elle est née, aux côtés d'une mère aimante, la reine Hippolyte, et de ses nombreuses « tantes ». Mais la petite fille est enfant unique dans ce paradis isolé, au coeur de l'océan, et la solitude commence à lui peser. Pour tromper le temps, la jeune Diana décide alors de suivre l'exemple de sa mère – sans trop y croire - qui la façonna dans la glaise, et de se modeler une amie avec qui elle pourrait vivre et partager les aventures les plus folles. Elle n'aurait jamais imaginé que son rêve puisse devenir réalité. Contenu vo : Diana: Princess of the Amazons TPB. Critique : C'est très rigolo. Car la première personne qui a attrapé ce comic à la maison... c’est ma fille de "presque" 6 ans. Celle qui ne sait pas lire (même si on la soupçonne de nous cacher un truc). Comme quoi la couverture de ce nouveau numéro d'Urban Kids est vraiment réussie. Et l’intérieur aussi. SI j'avais été un peu déçu par le Shazam pour petit, ce Diana est, lui, parfait pour les jeunes lecteurs. La présentation de notre princesse est succincte (mais de toute façon les gosses n'en ont que faire) et laisse place à une vraie histoire d'une petit fille pas comme les autres. Et une belle histoire. Une histoire que comprendront toutes les petites filles du monde. Les illustrations sont belles et pas trop "compliquée". L'histoire finie bien et est prenante. La bonne lecture comics pour les 6-8 ans ! Autres infos : Pour 6-8 ans Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/diana-princesse-des-amazones?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Diana, princesse des amazones

    C'est très rigolo. Car la première personne qui a attrapé ce comic à la maison... c’est ma fille de "presque" 6 ans. Celle qui ne sait pas lire (même si on la soupçonne de nous cacher un truc). Comme quoi la couverture de ce nouveau numéro d'Urban Kids est vraiment réussie. Et l’intérieur aussi. SI j'avais été un peu déçu par le Shazam pour petit, ce Diana est, lui, parfait pour les jeunes lecteurs. La présentation de notre princesse est succincte (mais de toute façon les gosses n'en ont que faire) et laisse place à une vraie histoire d'une petit fille pas comme les autres. Et une belle histoire. Une histoire que comprendront toutes les petites filles du monde. Les illustrations sont belles et pas trop "compliquée". L'histoire finie bien et est prenante. La bonne lecture comics pour les 6-8 ans !
  9. Titre de l'album : Wonder Woman : Legendary Scenariste de l'album : De Liz Dessinateur de l'album : De Liz Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Née du désir profond de la reine Hippolyte d'avoir un enfant, Diana vit ses premières années entre quatre murs, elle que l'effronterie et l'inépuisable curiosité poussent pourtant sans cesse vers le monde extérieur. Les obligations liées à son rang et la destinée que les amazones ont semblent-elles déjà tout tracé pour elle ne lui conviennent pas. Elle en est convaincue, son avenir est ailleurs, et sa rencontre avec le pilote Steve Trevor ne fera que confirmer son ressenti. Car même le coeur de la légendaire Wonder Woman n'échappe pas à l'adage : il a ses raisons que la raison ignore, et il est prêt à la mener jusqu'au bout du monde ! Critique : MMMhhhh il y a un truc qui me gêne dans ce Wonder Woman legendary.... Pas les dessins qui sont globalement très bon. Non ce qui me gêne c'est.... que, à l'instar de Black Canary, ce comic n'a rien de très "Link". Par la j''entend rien de très "roman graphique" comme le veut la collection Urban. En fait cette histoire n'est ni plus ni moins que l'histoire de base de Wonder woman. Mise dans un nouveau format. Format qui ne doit pas forcement être celui de base d'ailleurs. En effet les textes sont écris tout petit et certain sont écrits en jaune sur blanc ou rouge sur noir ce qui n'aide pas à la lecture et laisse penser que tous ces textes étaient originellement écris plus gros... Niveau histoire, comme je le disais, on suit (presque) exactement la version classique. Celle qu'on a vue dans le film globalement. Une version sans réel surprise ni réel coté "roman graphique" avec très peu d'introspection du personnage à contrario de l'excellent "Super Girl : Being super" sorti en même temps. En bref uns bonne histoire pour qui ne connait pas le personnage et a des bons yeux. Une lecture par forcement obligatoire pour tout le reste.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonder-woman-legendary?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Wonder Woman : Legendary

    MMMhhhh il y a un truc qui me gêne dans ce Wonder Woman legendary.... Pas les dessins qui sont globalement très bon. Non ce qui me gêne c'est.... que, à l'instar de Black Canary, ce comic n'a rien de très "Link". Par la j''entend rien de très "roman graphique" comme le veut la collection Urban. En fait cette histoire n'est ni plus ni moins que l'histoire de base de Wonder woman. Mise dans un nouveau format. Format qui ne doit pas forcement être celui de base d'ailleurs. En effet les textes sont écris tout petit et certain sont écrits en jaune sur blanc ou rouge sur noir ce qui n'aide pas à la lecture et laisse penser que tous ces textes étaient originellement écris plus gros... Niveau histoire, comme je le disais, on suit (presque) exactement la version classique. Celle qu'on a vue dans le film globalement. Une version sans réel surprise ni réel coté "roman graphique" avec très peu d'introspection du personnage à contrario de l'excellent "Super Girl : Being super" sorti en même temps. En bref uns bonne histoire pour qui ne connait pas le personnage et a des bons yeux. Une lecture par forcement obligatoire pour tout le reste....
  11. poseidon2

    Super girl : being super

    Difficile de se réinventer la façon de voir les supers héros. C'est pourtant le challenge que se donnent Urban et DC via la collection Link. Collection pour l'instant plutôt réussi et porté par deux titres excellents: Catwoman et Harley Quinn. Et bien il faudra ajouter à ceux-ci ce Super Girl : Being Super. Et étrangement on retrouve aux scénario de cet excellent super girl, Mariko Tamaki, la scénariste.... de Harley Quinn, Breaking Glass. Le moins que l'on puisse dire c'est que Mariko Tamaki a bien compris la philosophie de de la collection "Roman Graphique" de DC. Encore une fois elle réussit à se couper de l'aspect super héroïque du personnage pour nous livrer une vision extrêmement humaine de Kara Zor-el. Un personnage qui, avant d'être une fille pleine de pouvoir et extraterrestre de surcroit, est avant tout une lycéenne de 16 ans vivant avec et pour ses deux meilleures copines dans un monde presque parfait. Etant quand même une histoire de super héros, un petit grain détraque l'engrenage. ET l'histoire de Mariko Tamaki est tellement bien pensée que lorsque ce grain de sable arrive on est vraiment ému. Mais vraiment tout comme on est en colère autant que Kara quand elle découvre qui est derrière tout ça. Une superbe lecture qu'il est difficile de quitter et qui vient de placer Super Girl dans mon top 5 de mes personnages DC préférés. Superbe !
  12. Titre de l'album : Super girl : being super Scenariste de l'album : Mariko Tamaki Dessinateur de l'album : Joelle Jones Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : A seize ans - du moins, c'est à peu près l'âge qu'elle pense avoir -, Kara aimerait être aussi insouciante et pleine d'assurance que Jennifer et Dolly, ses deux meilleures amies. Les deux jeunes femmes savent ce qu'elles veulent et ce qu'elles sont, contrairement à Kara, qui semble pourtant tout avoir pour être heureuse, notamment des parents adoptifs aimants qui n'ont jamais craints sa différence. Pourtant, les huit premières années de sa vie restent une énigme qui ne cesse de hanter ses nuits, et la perte de ses pouvoirs au moment où elle en avait le plus besoin ne fera qu'accentuer son mal être et sa profonde remise en question. Le chemin vers la vérité est encore long. Critique : Difficile de se réinventer la façon de voir les supers héros. C'est pourtant le challenge que se donnent Urban et DC via la collection Link. Collection pour l'instant plutôt réussi et porté par deux titres excellents: Catwoman et Harley Quinn. Et bien il faudra ajouter à ceux-ci ce Super Girl : Being Super. Et étrangement on retrouve aux scénario de cet excellent super girl, Mariko Tamaki, la scénariste.... de Harley Quinn, Breaking Glass. Le moins que l'on puisse dire c'est que Mariko Tamaki a bien compris la philosophie de de la collection "Roman Graphique" de DC. Encore une fois elle réussit à se couper de l'aspect super héroïque du personnage pour nous livrer une vision extrêmement humaine de Kara Zor-el. Un personnage qui, avant d'être une fille pleine de pouvoir et extraterrestre de surcroit, est avant tout une lycéenne de 16 ans vivant avec et pour ses deux meilleures copines dans un monde presque parfait. Etant quand même une histoire de super héros, un petit grain détraque l'engrenage. ET l'histoire de Mariko Tamaki est tellement bien pensée que lorsque ce grain de sable arrive on est vraiment ému. Mais vraiment tout comme on est en colère autant que Kara quand elle découvre qui est derrière tout ça. Une superbe lecture qu'il est difficile de quitter et qui vient de placer Super Girl dans mon top 5 de mes personnages DC préférés. Superbe ! Autres infos : La couverture chez bdfugue n'est pas la bonne, la mienne si :) Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/supergirl-being-super?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Justice league / Black Hammer

    A force de faire des clins d'oeils aux plus grands héros du comics, un crossover ne pouvait que voir le jour. Et le fait qu'il soit avec les personnages DC est un bon choix. En effet le ton sombre de l'univers DC actuel correspond bien à l'histoire de Black Hammer. Je me demandais sincerement comment Jeff lemire allait pouvoir trouver une facon de meler les deux univers. Et bien il a encore une fois supris son monde : Il n'y a, au début, aucune explication sauf un mec en valise qui echange les deux équipes. La ou c'est une bonne idée, c'est que cela laisse beaucoup de place à l'incompréhension et à la recherche de qui et pourquoi. Mais cela laisse surtout la possibilité aux personnages forts en gueule de Black Hammer de bacher à tout va les membres restant de la ligue de justice. 😄 Coté ligue de justice prise aux piège de la ferme... je vous laisserais découvrir qui a pris le role de qui mais les choix sont savoureux 🙂 On pourra juste regretter deux choses sur ce cross over: sa taille premièrement. En effet la mayonnaise prend bien et on aurait aimé une histoire plus poussée. Ensuite si la résolution est crédible et pas mal pensée, elle en reste pour moi un peu facile. Je vous encourage à le lire pour en discuter avec moi 🙂 Pour résumé, c'est un album qui plaira aux fans, dont je fais parti, de la série Black hammer mais aura du mal à plaire aux autres.
  14. Titre de l'album : Justice league / Black Hammer Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Michael Walsh Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Venant de mondes différents, la Ligue de Justice et les champions oubliés de Spiral City étaient amenés à ne jamais se rencontrer. Mais lorsque qu'un mystérieux voyageur temporel croise leur chemin, tout bascule. Les anciens héros de Spiral City se retrouvent sur Terre-2 tandis que Batman, Superman, Wonder Woman et le reste de la Ligue atterrissent dans la paisible ferme des compagnons d'armes du héros disparu Black Hammer. Si les héros ont échangé leurs places, les problèmes restent bien les mêmes ! Critique : A force de faire des clins d'oeils aux plus grands héros du comics, un crossover ne pouvait que voir le jour. Et le fait qu'il soit avec les personnages DC est un bon choix. En effet le ton sombre de l'univers DC actuel correspond bien à l'histoire de Black Hammer. Je me demandais sincerement comment Jeff lemire allait pouvoir trouver une facon de meler les deux univers. Et bien il a encore une fois supris son monde : Il n'y a, au début, aucune explication sauf un mec en valise qui echange les deux équipes. La ou c'est une bonne idée, c'est que cela laisse beaucoup de place à l'incompréhension et à la recherche de qui et pourquoi. Mais cela laisse surtout la possibilité aux personnages forts en gueule de Black Hammer de bacher à tout va les membres restant de la ligue de justice. 😄 Coté ligue de justice prise aux piège de la ferme... je vous laisserais découvrir qui a pris le role de qui mais les choix sont savoureux 🙂 On pourra juste regretter deux choses sur ce cross over: sa taille premièrement. En effet la mayonnaise prend bien et on aurait aimé une histoire plus poussée. Ensuite si la résolution est crédible et pas mal pensée, elle en reste pour moi un peu facile. Je vous encourage à le lire pour en discuter avec moi 🙂 Pour résumé, c'est un album qui plaira aux fans, dont je fais parti, de la série Black hammer mais aura du mal à plaire aux autres. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/justice-league-black-hammer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Fin de serie : Black Science t9 : Mnesterophonie Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Mattéo Scalera Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Grant et Sara se sont retrouvés et sont partis à la recherche de leurs enfants, Pia et Nate, dans toutes les dimensions. et leurs versions alternatives ont fait de même. Seulement, s'ils ne renoncent pas tous à cette quête, le multivers risque de s'effondrer. Alors qu'ils avaient atteint la dimension originelle, le coeur de l'Oignon, et abandonné tout espoir de les retrouver, leurs enfants refont surface en les téléportant dans leur vaisseau. Peut-être est-ce bientôt la fin du cauchemar pour la famille McKay ? Contenu vo : BLACK SCIENCE #39-43. Critique : Qu'il est difficile de finir ce genre de série..........Quand on commence une des séries scientifique parmi les plus complexe du comics actuel et de l'on s'enfonce dans des niveaux de détails scientifiques quasi microscopique, le dernier tome et la conclusion de l'histoire ont tout du piège. En effet comment faire revenir le lecteur à un niveau émotionnel tel qu'il se souviendra de la série comme une belle lecture et non comme une lecture compliquée ? Et bien c'est exactement ce que réussi Rick Remender dans ce tome 9 et dernier de Black Science. Et pour se faire il fait un choix osé qui ne sera pas apprécié par tous : il coupe court à son histoire pour faire des 3/4 de ce tome 9 une belle et profonde conclusion. L'histoire telle que nous la suivons depuis 8 tomes, enfin sa partie exploration/fin du monde, est conclue dans le premier chapitre, à coup de sous-entendu et de référence aux albums précédents. Pour être clair, si vous ne relisez pas le dernier (et peut être l'avant dernier), cette fin vous laissera un gout d'inachevé dans la bouche. Mais en y réfléchissant, en faisant cela, Rick Remender se réserve la possibilité d'une fin de série centrée sur Grant lui-même et au final c'est très bien. Car on avait perdu de vu a fil des tomes que cette histoire complète est partie d'un homme et de ses problèmes relationnels. Ce "grand nombre de pages de conclusion" offre aussi à Rick Remender l'occasion de nous livrer une fin comme il les aime : à double lecture. Une fois n'est pas coutume et sans trop vous en dire, la couverture de ce tome 9 ne triche pas. Elle est même parfaite. Vraiment parfaite. En résumé je dirais que ce tome clôture une série de SF tel que le monde du comic n'en a jamais vu. Un niveau de complexité et de folie rarement atteint. Mais une série qui a le mauvais côté de prendre tout son sens quand elle est lue d'une traite ! Il faut donc que je me trouve 48h sans rien faire...... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-science-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Qu'il est difficile de finir ce genre de série..........Quand on commence une des séries scientifique parmi les plus complexe du comics actuel et de l'on s'enfonce dans des niveaux de détails scientifiques quasi microscopique, le dernier tome et la conclusion de l'histoire ont tout du piège. En effet comment faire revenir le lecteur à un niveau émotionnel tel qu'il se souviendra de la série comme une belle lecture et non comme une lecture compliquée ? Et bien c'est exactement ce que réussi Rick Remender dans ce tome 9 et dernier de Black Science. Et pour se faire il fait un choix osé qui ne sera pas apprécié par tous : il coupe court à son histoire pour faire des 3/4 de ce tome 9 une belle et profonde conclusion. L'histoire telle que nous la suivons depuis 8 tomes, enfin sa partie exploration/fin du monde, est conclue dans le premier chapitre, à coup de sous-entendu et de référence aux albums précédents. Pour être clair, si vous ne relisez pas le dernier (et peut être l'avant dernier), cette fin vous laissera un gout d'inachevé dans la bouche. Mais en y réfléchissant, en faisant cela, Rick Remender se réserve la possibilité d'une fin de série centrée sur Grant lui-même et au final c'est très bien. Car on avait perdu de vu a fil des tomes que cette histoire complète est partie d'un homme et de ses problèmes relationnels. Ce "grand nombre de pages de conclusion" offre aussi à Rick Remender l'occasion de nous livrer une fin comme il les aime : à double lecture. Une fois n'est pas coutume et sans trop vous en dire, la couverture de ce tome 9 ne triche pas. Elle est même parfaite. Vraiment parfaite. En résumé je dirais que ce tome clôture une série de SF tel que le monde du comic n'en a jamais vu. Un niveau de complexité et de folie rarement atteint. Mais une série qui a le mauvais côté de prendre tout son sens quand elle est lue d'une traite ! Il faut donc que je me trouve 48h sans rien faire......
  17. Titre de l'album : Batman universe t0 Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : Alex Maleev / Nick Derington Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : En tentant d'empêcher le vol d'un oeuf de grande valeur par le Sphinx, Batman ne va pas tarder à embarquer dans une aventure qui va l'emmener à travers l'espace et le temps. En effet, l'oeuf en question possède des pouvoirs surnaturels et le commanditaire du Sphinx, Vandal Savage, tient absolument à le récupérer. Le Chevalier Noir devra faire appel à de nombreux alliés dont Green Lantern et le chasseur de primes du Far-West Jonah Hex ! Contenu vo : Batman Universe # ; "Citizen Wayne" (Batman Chronicles #21) ; "I Know" (Detective Comics #1000) Critique : Apres une sortie de confinement ou on a eu droit à un énorme lot de comics pour adultes avec la grosse avancer de la saga Métal, les DCeased et autre. L'été chez Urban est, elle, l'occasion de donner la part belle aux autres collections. Entre des Urban Kids, des Urban link (à venir), voici venir un Batman pour nouveau lecteur. Une vision très simple de l'univers DC. Un peu comme on pouvait en lire dans les années 90. Ici on ne se pose pas de question métaphysique et il n'est pas question de Crise alors même que cela pourrait être le cas. Malgré une histoire qui amènera Batman dans le passé, sur des mondes différents et qui le fera côtoyer ce qu'il se fait de mieux en héros, les dialogues restent simples et accessibles (avec une vraie touche d'humour très sympa) et les problématiques scientifique et compliqué, chère à Scott Snyder par exemple, sont, elles, complètement misent de cotés. Brian Bendis nous livre une histoire pour jeune lecteur et / ou débutant en DCU. Rien n'est compliqué, il y a de l'action, des rebondissements et des personnages haut en couleurs. Un vrai bon divertissement pour les vacances ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-universe-tome-0?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Batman universe t0

    Apres une sortie de confinement ou on a eu droit à un énorme lot de comics pour adultes avec la grosse avancer de la saga Métal, les DCeased et autre. L'été chez Urban est, elle, l'occasion de donner la part belle aux autres collections. Entre des Urban Kids, des Urban link (à venir), voici venir un Batman pour nouveau lecteur. Une vision très simple de l'univers DC. Un peu comme on pouvait en lire dans les années 90. Ici on ne se pose pas de question métaphysique et il n'est pas question de Crise alors même que cela pourrait être le cas. Malgré une histoire qui amènera Batman dans le passé, sur des mondes différents et qui le fera côtoyer ce qu'il se fait de mieux en héros, les dialogues restent simples et accessibles (avec une vraie touche d'humour très sympa) et les problématiques scientifique et compliqué, chère à Scott Snyder par exemple, sont, elles, complètement misent de cotés. Brian Bendis nous livre une histoire pour jeune lecteur et / ou débutant en DCU. Rien n'est compliqué, il y a de l'action, des rebondissements et des personnages haut en couleurs. Un vrai bon divertissement pour les vacances !
  19. Titre de l'album : Billy Batson et la magie de Shazam Scenariste de l'album : Mike Kunkel Dessinateur de l'album : Mike Kunkel Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lorsque le jeune Billy Batson est choisi par un vieux sorcier pour hériter des pouvoirs des six plus grands héros de la Grèce antique et de venir Captain Marvel, c'est tout un nouveau monde qui s'ouvre à lui. Seulement, ce qu'il ignore encore, c'est qu'il n'est pas le seul à posséder ce don incroyable. Theo Adam, quatorze ans, est de retour sur Terre après un long bannissement. Seul problème : il est incapable de se rappeler du mot magique qui lui permet de devenir Black Adam ! Il va donc devoir ruser pour obtenir le précieux secret de son nouveau camarade de classe, et il ne reculera devant rien. Critique : Urban continue la différenciation de ses "sous-marques". Apres la lancée de Urban Link, pour les plus grands, revoici des nouveautés pour Urban kids avec une introduction à un personnage encore absent chez les très jeunes : Shazam! Et là c'est vraiment pour les tout petits ! 5-9 ans. Pas bien plus. En effet on a les présentations de tous les protagonistes de Shazam mais ceci via des blagues et des strips imagés. Des présentations rigolotes, des petites énigmes, et des dessins orientés vers les enfants. Si un adulte trouvera cela marrant, un jeune lecteur s'amusera vraiment à découvrir des personnages qu'il ne connaît pas et le faire sans avoir à se prendre le chou avec des histoires compliquées. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/billy-batson-et-la-magie-de-shazam?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Urban continue la différenciation de ses "sous-marques". Apres la lancée de Urban Link, pour les plus grands, revoici des nouveautés pour Urban kids avec une introduction à un personnage encore absent chez les très jeunes : Shazam! Et là c'est vraiment pour les tout petits ! 5-9 ans. Pas bien plus. En effet on a les présentations de tous les protagonistes de Shazam mais ceci via des blagues et des strips imagés. Des présentations rigolotes, des petites énigmes, et des dessins orientés vers les enfants. Si un adulte trouvera cela marrant, un jeune lecteur s'amusera vraiment à découvrir des personnages qu'il ne connaît pas et le faire sans avoir à se prendre le chou avec des histoires compliquées.
  21. Titre de l'album : Green Arrow, the longbow hunter Scenariste de l'album : Mike Grell Dessinateur de l'album : Mike Grell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Revenu à Seattle, le tandem d'Oliver Queen et Dinah Lance, plus connus sous les pseudonymes de Green Arrow et Black Canary, partagent leur temps entre leurs aventures nocturnes et la boutique de fleuriste de Dinah. Mais une enquête particulièrement violente concernant un trafic de drogue va sévèrement ébranler leur relation, d'autant qu'une nouvelle et mystérieuse mercenaire débarque en ville et va faire chavirer l'archer d'émeraude. Son nom ? Shado. Contenu vo : Green Arrow: Longbow Hunters #1-3 + Detective Comics #549-550 + Adventure Comics #418-419. Critique : Green Arrow fait partit des héros qui, pour moi, manquait de charisme. J'ai été, comme tout le monde, fan de robin des bois quand j'étais petit mais j'ai toujours eu du mal à comprendre comment un homme avec un arc et des flèches pouvait combattre le mal dans un univers DC plein de méchant aux pouvoirs démentiels. Je remercie donc de tout cœur Mike Grell pour son Green Arrow. Car Mike Grell nous présente un Green Arrow fidèle à l'image que j'en avais : un héros qui se bat avec ce qu'il a contre des ennemis de son niveau: des humains. Sans aucun regret on oubli complètement l'aspect grandiose de l'univers DC pour se concentrer sur l’aspect sombre et mafieux de celui-ci. A l'instar d'un Gotham central, on reste ici au niveau du commun des mortels et cela est plus dans les cordes du personnage. Plus qu'avoir simplement bien choisi le cadre des aventures de son Green Arrow, Mike Grell réussi son adaptation grâce à la mise en avant du côté "homme" de son héros. Déjà, une fois n’est pas coutume, notre héros a 40 ans, est heureux en ménage et se pose des questions existentielles comme un homme normal sur le fait d'avoir des enfants, sur sa vie, soin implication etc..... Pour résumer on pourrait dire que ce Green Arrow est plus proche d'un Largo Winch que d'un Superman. Ça rend le personnage beaucoup plus crédible et fait de ce one shot une bonne introduction au personnage. Introduction qui pèche juste par des dessins (et surtout une coloration) assez old school qui n'attirera pas forcement le jeune public. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/green-arrow-the-longbow-hunter?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Green Arrow, the longbow hunter

    Green Arrow fait partit des héros qui, pour moi, manquait de charisme. J'ai été, comme tout le monde, fan de robin des bois quand j'étais petit mais j'ai toujours eu du mal à comprendre comment un homme avec un arc et des flèches pouvait combattre le mal dans un univers DC plein de méchant aux pouvoirs démentiels. Je remercie donc de tout cœur Mike Grell pour son Green Arrow. Car Mike Grell nous présente un Green Arrow fidèle à l'image que j'en avais : un héros qui se bat avec ce qu'il a contre des ennemis de son niveau: des humains. Sans aucun regret on oubli complètement l'aspect grandiose de l'univers DC pour se concentrer sur l’aspect sombre et mafieux de celui-ci. A l'instar d'un Gotham central, on reste ici au niveau du commun des mortels et cela est plus dans les cordes du personnage. Plus qu'avoir simplement bien choisi le cadre des aventures de son Green Arrow, Mike Grell réussi son adaptation grâce à la mise en avant du côté "homme" de son héros. Déjà, une fois n’est pas coutume, notre héros a 40 ans, est heureux en ménage et se pose des questions existentielles comme un homme normal sur le fait d'avoir des enfants, sur sa vie, soin implication etc..... Pour résumer on pourrait dire que ce Green Arrow est plus proche d'un Largo Winch que d'un Superman. Ça rend le personnage beaucoup plus crédible et fait de ce one shot une bonne introduction au personnage. Introduction qui pèche juste par des dessins (et surtout une coloration) assez old school qui n'attirera pas forcement le jeune public.
  23. poseidon2

    Multiversity terre X

    En voilà une bonne idée d'Urban pour les vacances : et si on proposait un one shot hors de toute continuité, hors de presque tout super héros connu, et qui était super sympa ? Et voici la version Big Book de Multiversity terre-X. Cette terre X que beaucoup ont découvert durant le cross over Multiversity (ou ne connaissent pas du tout) est super "rafraîchissante". Elle nous propose un univers parallèle ou superman est tombé en Allemagne et, appelé Overman, a aidé les nazis à gagner la guerre. Un univers ou la résistance passe, aux états unis, par l’incarnation de la nation, un super être nommé Oncle Sam. Etre qui n'existe que temps que le peuple croit au rêve américain. Cette histoire nous propose le réveille de la nation justement. Une bonne vraie histoire de vacances avec des méchants nazis TRES TRES méchants et de gentils américains très très gentils. On a tout pour faire une histoire qui plait : on commence avec les méchants qui dominent puis on suit avec le peuple qui se réveille petit à petit. La seule vraie question de cet album c'est : pourquoi avoir mis batman et wonderwoman en couverture alors qu'ils n'apparaissent pas du tout ? Ça fait un peu publicité mensongère même si me concernant j'ai vraiment apprécié de voir uniquement des nouveaux héros que je ne connaissais pas et pour lesquels je n'avais pas d'attente.
  24. Titre de l'album : Multiversity terre X Scenariste de l'album : Robert Venditti Dessinateur de l'album : Eddy Barrows Editeur de l'album : Urban Comics Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.0.png Résumé de l'album : Dans le Multivers, parmi les 52 Terres parallèles, certaines ont connu une histoire radicalement différente des autres. Sur Terre-X, la Seconde Guerre mondiale a été remportée par l'Allemagne nazie et compte ainsi la Ligue de Justice dans ses rangs ! Mais la résistance s'organise autour des Combattants de la Liberté emmenés par le charismatique Oncle Sam. Critique : En voilà une bonne idée d'Urban pour les vacances : et si on proposait un one shot hors de toute continuité, hors de presque tout super héros connu, et qui était super sympa ? Et voici la version Big Book de Multiversity terre-X. Cette terre X que beaucoup ont découvert durant le cross over Multiversity (ou ne connaissent pas du tout) est super "rafraîchissante". Elle nous propose un univers parallèle ou superman est tombé en Allemagne et, appelé Overman, a aidé les nazis à gagner la guerre. Un univers ou la résistance passe, aux états unis, par l’incarnation de la nation, un super être nommé Oncle Sam. Etre qui n'existe que temps que le peuple croit au rêve américain. Cette histoire nous propose le réveille de la nation justement. Une bonne vraie histoire de vacances avec des méchants nazis TRES TRES méchants et de gentils américains très très gentils. On a tout pour faire une histoire qui plait : on commence avec les méchants qui dominent puis on suit avec le peuple qui se réveille petit à petit. La seule vraie question de cet album c'est : pourquoi avoir mis batman et wonderwoman en couverture alors qu'ils n'apparaissent pas du tout ? Ça fait un peu publicité mensongère même si me concernant j'ai vraiment apprécié de voir uniquement des nouveaux héros que je ne connaissais pas et pour lesquels je n'avais pas d'attente. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/multiversity-presente-terre-x?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Abe sapien tome 7 - Le brasier secret Scenariste de l'album : Mike Mignola et Scott Allie Dessinateur de l'album : Max et Sebastian Fiumara Editeur de l'album : Delcourt Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png Résumé de l'album : Après avoir parcouru le pays à la recherche de la vérité sur luimême, Abe Sapien découvre les secrets qu'il cherchait lorsqu'il affronte un monstre géant, en train de détruire une partie de la côte de la Floride, et une jeune fille avec un lien psychique avec les plus anciennes puissances de la mythologie Hellboy. Critique : La série principale du BPRD est désormais terminée avec le dernier tome un mal bien connu. Cependant, le spin-off sur Abe Sapien se poursuit même si son histoire se situe en même moment que les aventures du BPRD. Mike Mignola et Scott Allie s'associent une nouvelle fois pour continuer de décrire l'errance de ce héros amphibien dans un monde dévasté. On remonte vers l'origine d'Abe Sapien au fur et à mesure des tomes. Ce personnage est proche physiquement des monstres qui dévastent la planète. Les derniers survivants ne l'accueillent pas forcément comme un sauveur. Max et Sebastian Fiumara dessinent alternativement les différents chapitres de ce tome. Les deux auteurs sont des habitués depuis longtemps des récits du BPRD. Leurs styles très réalistes sont très proches. Tyler Crook participe aussi à ce tome lors d'un flashback et les couleurs sont de Dave Stewart. Les auteurs prennent peut-être trop leur temps de développer l'intrigue dans ce spin-off, même si les rebondissements sont intéressants, on a l’impression de stagner dans l’histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/abe-sapien-tome-7-le-brasier-secret?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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