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  1. Deuxième tome du mythe de l'ossuaire (car je le répète, il vaut mieux commencer par le passage) avec un tome résolument différent, avec une histoire un peu plus guidée, mais peut-être plus angoissante. Cette histoire monte en tension encore plus que le passage. L'histoire de Trish et Jackie nous est compté en mettant deux époques en parallèle : leur rencontre et la recherche de Trish disparues dans d'étrange condition. Jeff Lemire réussi à nous maintenir un suspens sur qui (ou quoi ?) est responsable de la disparition ? Un vrai thriller horrifique comme on peut les aimer, et ce toujours superbement illustré par Sorrentino !
  2. Titre de l'album : Le mythe de l'ossuaire - Des milliers de plumes noires Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Andrea Sorrentino Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Trish et Jackie sont deux meilleures amies qui partagent la même passion pour le jeux de rôle et la fantasy. Mais lorsque la frontière entre la réalité et leur monde imaginaire est brouillée par une entité maléfique, peuvent-elles rester les héroïnes de leur propre histoire ? Contenu vo : The Bone Orchard Mythos: Ten Thousand Black Feathers #1-5. Critique : Deuxième tome du mythe de l'ossuaire (car je le répète, il vaut mieux commencer par le passage) avec un tome résolument différent, avec une histoire un peu plus guidée, mais peut-être plus angoissante. Cette histoire monte en tension encore plus que le passage. L'histoire de Trish et Jackie nous est compté en mettant deux époques en parallèle : leur rencontre et la recherche de Trish disparues dans d'étrange condition. Jeff Lemire réussi à nous maintenir un suspens sur qui (ou quoi ?) est responsable de la disparition ? Un vrai thriller horrifique comme on peut les aimer, et ce toujours superbement illustré par Sorrentino ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mythe-de-l-ossuaire-des-milliers-de-plumes-noires/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Kevin Nivek

    L'homme qui venait d'ailleurs

    Je dois bien avouer ne pas avoir vu , ni connaître ce film devenu culte ,avec David Bowie tenant le rôle principal , en 1976 . Je n'étais pas né , mais est-ce une excuse , tant cette histoire semble intemporelle , et même avant-gardiste ? On pense à un autre chef d'oeuvre de SF sorti à l'époque et animé d'un esprit similaire : Soleil vert . J'ai donc plongé dans cette histoire de fiction pas comme les autres avec curiosité . D'emblée , on assiste au crash (atterrissage) de notre "alien" aux yeux vairons . Pas d'aéronef ou autre ovni , on reste dans le subjectif . L'humanoïde ne perd pas de temps et débute immédiatement sa quête : trouver et ramener de l'eau pour sa planète . Sauf que , pour arriver à ses fins , il faut de l'argent ! Il va ainsi profiter de son avancée technologique supérieure et lancer des brevets innovants sur le marché mondial . La cupidité de l'homme va resurgir et influencer l'extra-terrestre jusque dans ses profonds retranchements ... Ajoutez à cela que sa famille lui manque ! Vous l'aurez compris ,on est pas dans de la SF pure et dure , il s'agit ici du parcours d'un self made "man" , son ascension et sa chute dans les méandres de l'humanité et ses vices . Le dessin ultra-réaliste de Dev Pramanik convient à merveille au sujet . Ses couleurs chaudes surgissent des pages et il réalise cependant des ombrages puissants , comme pour mieux souligner la noirceur du sujet . Les regards des protagonistes sont intenses ,autant que les échanges verbaux , et bien entendu , le "héros" possède les traits de feu David Bowie 😉 Une lecture intense , portée par un sujet contemporain , qui viendra garnir les étagères des fans du film et autres amateurs de SF "réelle" .
  4. Titre de l'album : L'homme qui venait d'ailleurs Scenariste de l'album : Dan Watters , Walter Tevis Dessinateur de l'album : Dev Pramanik Coloriste : Dev Pramanik Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Envoyé sur la Terre pour en rapatrier l'eau qui peut sauver sa planète, un extraterrestre va utiliser son savoir et sa technologie pour arriver à ses fins. Parvenu au sommet de la réussite et séduit par la vie terrienne, il oublie le but de sa mission... L'adaptation du film culte de Nicholas Roeg avec David Bowie d'après le roman de Walter Tevis. L'adaptation en roman graphique du film culte de 1976 avec David Bowie et réalisé par Nicholas Roeg ! Basé sur le roman de Walter Tevis, ce récit de science-fiction voit l'extraterrestre Thomas Jerome Newton atterrir sur Terre à la recherche d'eau pour sauver sa planète mourante et toute sa population. Grâce à ses connaissances scientifiques avancées, Thomas devient incroyablement riche et utilise sa richesse pour chercher un moyen de transporter l'eau vers sa planète natale. Mais alors que sa mission sur Terre s'éternise, Thomas est séduit par les excès de notre monde sans se douter qu'il est devenu une cible d'intérêt pour le gouvernement américain ainsi que pour une sinistre société privée désireuse de l'exploiter... Critique : Je dois bien avouer ne pas avoir vu , ni connaître ce film devenu culte ,avec David Bowie tenant le rôle principal , en 1976 . Je n'étais pas né , mais est-ce une excuse , tant cette histoire semble intemporelle , et même avant-gardiste ? On pense à un autre chef d'oeuvre de SF sorti à l'époque et animé d'un esprit similaire : Soleil vert . J'ai donc plongé dans cette histoire de fiction pas comme les autres avec curiosité . D'emblée , on assiste au crash (atterrissage) de notre "alien" aux yeux vairons . Pas d'aéronef ou autre ovni , on reste dans le subjectif . L'humanoïde ne perd pas de temps et débute immédiatement sa quête : trouver et ramener de l'eau pour sa planète . Sauf que , pour arriver à ses fins , il faut de l'argent ! Il va ainsi profiter de son avancée technologique supérieure et lancer des brevets innovants sur le marché mondial . La cupidité de l'homme va resurgir et influencer l'extra-terrestre jusque dans ses profonds retranchements ... Ajoutez à cela que sa famille lui manque ! Vous l'aurez compris ,on est pas dans de la SF pure et dure , il s'agit ici du parcours d'un self made "man" , son ascension et sa chute dans les méandres de l'humanité et ses vices . Le dessin ultra-réaliste de Dev Pramanik convient à merveille au sujet . Ses couleurs chaudes surgissent des pages et il réalise cependant des ombrages puissants , comme pour mieux souligner la noirceur du sujet . Les regards des protagonistes sont intenses ,autant que les échanges verbaux , et bien entendu , le "héros" possède les traits de feu David Bowie 😉 Une lecture intense , portée par un sujet contemporain , qui viendra garnir les étagères des fans du film et autres amateurs de SF "réelle" . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-qui-venait-d-ailleurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. J'avais émis des doutes lors de la lecture du premier tome de cette "Soif légitime de vengeance" en trouvant que l'on avait pas assez d'information dans ce tome 1 pour se permettre de juger autre chose que le dessin. Et bien ce tome deux vient conforter cet avis : le tome 1 ne se lit pas tout seul. C'est une grosse première scène d'action pour une histoire qui prend tout son sens en lisant le t2. Il vaut mieux considérer cette histoire comme un gros one shot. Comme ca, on se retrouve avec un super polar prenant et tellement réaliste qu'on ne peut s'empêcher de soutenir cette vengeance, malgré tout ce que Marvel et les bonnes mœurs nous disent. C'est ca qui est marquant sur l'ensemble de cette histoire : Oui ,c'est bien fait pour sa gueu** ! C'est cette réaction épidermique que l'on a, à la fin du récit, qui montre à quel point ce polar est réussi. Mais aussi à quel point il est dur et sans piter. Un super polar à lire d'une traite !
  6. Titre de l'album : Une soif légitime de vengeance t2 (fin) Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : André Araújo Coloriste : André Araújo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Accompagné du jeune Xavier, qu'il se fait un devoir de protéger, Sonny a vu sa vie basculer dans une spirale de violence infernale. Fuyant une nuée de tueurs potentiels, il n'a d'autre choix que d'accorder sa confiance à des personnes douteuses. Mais quel espoir un homme ordinaire peut-il bien nourrir face à une horde d'ennemis aussi riches que puissants, et prêts à tout pour parvenir à leurs fins ? Critique : J'avais émis des doutes lors de la lecture du premier tome de cette "Soif légitime de vengeance" en trouvant que l'on avait pas assez d'information dans ce tome 1 pour se permettre de juger autre chose que le dessin. Et bien ce tome deux vient conforter cet avis : le tome 1 ne se lit pas tout seul. C'est une grosse première scène d'action pour une histoire qui prend tout son sens en lisant le t2. Il vaut mieux considérer cette histoire comme un gros one shot. Comme ca, on se retrouve avec un super polar prenant et tellement réaliste qu'on ne peut s'empêcher de soutenir cette vengeance, malgré tout ce que Marvel et les bonnes mœurs nous disent. C'est ca qui est marquant sur l'ensemble de cette histoire : Oui ,c'est bien fait pour sa gueu** ! C'est cette réaction épidermique que l'on a, à la fin du récit, qui montre à quel point ce polar est réussi. Mais aussi à quel point il est dur et sans piter. Un super polar à lire d'une traite ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-soif-legitime-de-vengeance-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Public Domain t1 Scenariste de l'album : Chip Zdarsky Dessinateur de l'album : Chip Zdarsky Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Syd Dallas est un auteur de comics légendaire, responsable du plus grand héros de la culture pop : THE DOMAIN ! Mais ses fils Miles et David ont une relation compliquée aussi bien avec le créateur qu'avec sa création. Pourront-ils convaincre leur père de se battre pour l'héritage de leur famille, dans un système qui veut s'accaparer leur création et ne leur laisser que les miettes ? Critique : Encore un excellent premier tome à 10 euro chez Urban. Un tome qui change des parutions de comics actuel avec une histoire contemporaine sur... l'édition de comics et les ayants droits de royalties des oeuvres. C'est une question épineuse dans l'univers du comic. En effet chaque héros à un créateur qui touche l'ensemble des royalties mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a aucun assistant ou co createur. Savoir ce qui revient à qui est vraiment compliqué mais provoque des écarts impressionnants entre les différentes personnes prenant part à la production. Ce premier tome réussit à méler habilement une histoire de droits d'auteur à une histoire de famille. Famille dont la "celébrité" non-remuneré du père est autant un motif de fierté qu'un motif de fracture. Bien dessiné, bien rythmé et, mine de rien, avec un vrai suspens et des belles surprises, ce premier tome est une excellente parution avec un Chip Zdarsky tout en maitrise. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/public-domain-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Public Domain t1

    Encore un excellent premier tome à 10 euro chez Urban. Un tome qui change des parutions de comics actuel avec une histoire contemporaine sur... l'édition de comics et les ayants droits de royalties des oeuvres. C'est une question épineuse dans l'univers du comic. En effet chaque héros à un créateur qui touche l'ensemble des royalties mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a aucun assistant ou co createur. Savoir ce qui revient à qui est vraiment compliqué mais provoque des écarts impressionnants entre les différentes personnes prenant part à la production. Ce premier tome réussit à méler habilement une histoire de droits d'auteur à une histoire de famille. Famille dont la "celébrité" non-remuneré du père est autant un motif de fierté qu'un motif de fracture. Bien dessiné, bien rythmé et, mine de rien, avec un vrai suspens et des belles surprises, ce premier tome est une excellente parution avec un Chip Zdarsky tout en maitrise.
  9. alx23

    Solo - Chemins tracés tome 2

    Après une attente plus longue que prévue, j'ai retrouvé avec plaisir l'univers postapocalyptique de Solo, dans la suite du spin-off, avec la chatte Fortuna. Óscar Martín maitrise très bien son histoire avec des thématiques souvent fortes et dramatiques dans ce monde dévasté où quelques animaux anthropomorphes sont dotés de la parole et vivent en marge des derniers humains. L’auteur nous dévoile des informations sur la mission que remplie Fortuna à la suite de ses parents en parcourant le monde pour le cartographier. D'autres entités sont présentées dans ce vaste plan mené par les chats avec une hiérarchie bien établie œuvrant sur un projet énorme. Alvaro Iglesias nous livre des planches magnifiques apportant sa touche personnelle avec un style différent des dessins de Martin. Les scènes d'action sont bien découpées avec un chat habile dans le maniement de sa hache pour combattre des mutants. Une voix-off accompagne souvent les héros lors de leur voyage dans les terres hostiles. Chemins tracés se démarque de la série principale en se basant sur des chats pour héros. L'histoire gagne en profondeur dans cette suite avec la quête des chats parcourant le monde. Si vous avez aimé Solo vous adorerez Chemins tracés.
  10. Titre de l'album : Solo - Chemins tracés tome 2 Scenariste de l'album : Óscar Martín Dessinateur de l'album : Alvaro Iglesias Coloriste : Alvaro Iglesias Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Fortuna connaît désormais la quête qui lui incombe. Repartie à la découverte du monde avec sa fille, elle continue à consigner ses aventures dans le livre des chemins. Alors que de grands dangers la menacent, le mystérieux Siro fait son apparition. L'héroïne doit-elle faire confiance à ce combattant qui semble la connaître et la suivre depuis longtemps ? Critique : Après une attente plus longue que prévue, j'ai retrouvé avec plaisir l'univers postapocalyptique de Solo, dans la suite du spin-off, avec la chatte Fortuna. Óscar Martín maitrise très bien son histoire avec des thématiques souvent fortes et dramatiques dans ce monde dévasté où quelques animaux anthropomorphes sont dotés de la parole et vivent en marge des derniers humains. L’auteur nous dévoile des informations sur la mission que remplie Fortuna à la suite de ses parents en parcourant le monde pour le cartographier. D'autres entités sont présentées dans ce vaste plan mené par les chats avec une hiérarchie bien établie œuvrant sur un projet énorme. Alvaro Iglesias nous livre des planches magnifiques apportant sa touche personnelle avec un style différent des dessins de Martin. Les scènes d'action sont bien découpées avec un chat habile dans le maniement de sa hache pour combattre des mutants. Une voix-off accompagne souvent les héros lors de leur voyage dans les terres hostiles. Chemins tracés se démarque de la série principale en se basant sur des chats pour héros. L'histoire gagne en profondeur dans cette suite avec la quête des chats parcourant le monde. Si vous avez aimé Solo vous adorerez Chemins tracés. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-chemins-traces-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Little monster t1

    Nouvelle collaboration de Jeff Lemire et Dustin NGuyen. Apres Descender et Ascender, ils nous reviennent avec une histoire qui n'a absolu rien à voir....même si des enfants sont les personnages principaux. Ici on parle... de Vampire. Oui oui de vampire. Enfin d'enfants vampire que l'on a laissé dans une ville leur interdisant de sortir et surtout leur interdisant de boire du sang humain.... Vous vous doutez bien que l'histoire commence quand l'un des enfants craque. Jeff Lemire manie très bien son histoire. Le mix entre contexte post apocalyptique et code respecté du vampirisme (soleil tout ça tout ça) n'était pas forcément évident à réussir, mais l'histoire prend bien. On est toujours dans l'introduction, mais pour 10 euros j'aurais tendance à dire que le risque de déception est faible.
  12. Titre de l'album : Little monster t1 Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Dustin Nguyen Coloriste : Dustin Nguyen Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Ils sont les derniers « enfants » en vie de notre planète... Ou, devrions-nous dire, les derniers jeunes vampires. D'aussi loin qu'ils s'en souviennent, ils ont vécu une vie d'éternel émerveillement parmi les ruines de l'humanité. Mais des événements d'une brutalité sans précédent viennent bientôt fracturer le groupe, les mettant sur la voie d'une découverte qui brisera leur innocence à jamais. Critique : Nouvelle collaboration de Jeff Lemire et Dustin NGuyen. Apres Descender et Ascender, ils nous reviennent avec une histoire qui n'a absolu rien à voir....même si des enfants sont les personnages principaux. Ici on parle... de Vampire. Oui oui de vampire. Enfin d'enfants vampire que l'on a laissé dans une ville leur interdisant de sortir et surtout leur interdisant de boire du sang humain.... Vous vous doutez bien que l'histoire commence quand l'un des enfants craque. Jeff Lemire manie très bien son histoire. Le mix entre contexte post apocalyptique et code respecté du vampirisme (soleil tout ça tout ça) n'était pas forcément évident à réussir, mais l'histoire prend bien. On est toujours dans l'introduction, mais pour 10 euros j'aurais tendance à dire que le risque de déception est faible. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/little-monsters-tome-1-248118?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Six mois après avoir découvert A walk through hell de Garth Ennis et Goran Sudzuka, les éditions Black river nous proposent Marjorie Finnegan des deux mêmes auteurs. Garth Ennis en pleine forme avec ce one shot nous embarque dans un récit de science-fiction avec beaucoup d'action et d'humour déjanté. Bien évidement on retrouve les provocations d'Ennis qui sont devenus sa marque de fabrique au fur et à mesure de ses productions. Si vous appréciez cette caractéristique, vous passerez un très bon moment de lecture avec Marjorie Finnegan, cette voleuse peu délicate avec son ami docteur douze, un fusil à pompe. Les voyages dans le temps donnent un prétexte à l'auteur pour faire parcourir sa voleuse excentrique sans scrupule dans des époques clés de l'histoire du monde pour les parodier, comme une fusillade en pleine cérémonie funéraire d’un pharaon. L'auteur ajoute le diable à l'histoire qui n'est autre que l'ex de Marjorie, le seigneur du mal, une sœur shérif des affaires temporelles et une tête pour voyager dans le temps. Garth Ennis s'amuse du voyage dans le temps pour exploiter les incohérences. Les deux auteurs seront en France prochainement au le Paris Fan Festival et en dédicace à Angers. La lecture de Marjorie Finnefan permet de passer un bon moment entre humour et violence avec des voyages dans le temps.
  14. Titre de l'album : Marjorie Finnegan - Criminelle temporelle Scenariste de l'album : Garth Ennis Dessinateur de l'album : Goran Sudzuka Coloriste : Miroslav Mrva Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Marjorie se balade à travers les époques pour dérober tout ce qui lui fait envie et en profite pour faire tourner en bourrique le monde entier, en particulier sa soeur, chargée de la mettre sous les verrous. Tout ce que Marjorie veut faire, c'est parcourir le Temps et voler tous les objets précieux qu'elle peut. Mais son parcours de voleuse, du Big Bang au 95e Reich, ne passe pas inaperçu. Elle attire l'attention du marshall adjoint, un enquêteur acharné de la police temporelle mais aussi de son ex, un sale type. Ce dernier et son partenaire encore plus pourri ont l'intention d'utiliser sa technologie temporelle pour changer l'histoire à leur propre avantage. Le seul allié de Marjorie ? Un gars appelé Tim. Et c'est juste une tête... Critique : Six mois après avoir découvert A walk through hell de Garth Ennis et Goran Sudzuka, les éditions Black river nous proposent Marjorie Finnegan des deux mêmes auteurs. Garth Ennis en pleine forme avec ce one shot nous embarque dans un récit de science-fiction avec beaucoup d'action et d'humour déjanté. Bien évidement on retrouve les provocations d'Ennis qui sont devenus sa marque de fabrique au fur et à mesure de ses productions. Si vous appréciez cette caractéristique, vous passerez un très bon moment de lecture avec Marjorie Finnegan, cette voleuse peu délicate avec son ami docteur douze, un fusil à pompe. Les voyages dans le temps donnent un prétexte à l'auteur pour faire parcourir sa voleuse excentrique sans scrupule dans des époques clés de l'histoire du monde pour les parodier, comme une fusillade en pleine cérémonie funéraire d’un pharaon. L'auteur ajoute le diable à l'histoire qui n'est autre que l'ex de Marjorie, le seigneur du mal, une sœur shérif des affaires temporelles et une tête pour voyager dans le temps. Garth Ennis s'amuse du voyage dans le temps pour exploiter les incohérences. Les deux auteurs seront en France prochainement au le Paris Fan Festival et en dédicace à Angers. La lecture de Marjorie Finnefan permet de passer un bon moment entre humour et violence avec des voyages dans le temps. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marjorie-finnegan-criminelle-temporelle/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Les sept lames

    Alors que les trois mousquetaires est au cinéma, les éditions Black river nous proposent les sept lames un one shot autour D’Artagnan. Le scénariste Evan Daugherty a travaillé dans le monde du cinéma avant de se lancer dans le monde des comics avec les sept lames. Comme pour la League des gentleman extraordinaires, ce comics regroupe différents protagonistes de la littérature française et étrangères pour utiliser les compétences de chaque héros afin de combattre une plus grande menace surnaturelle. Parmi les sept épéistes, on retrouve D’Artagnan, Don Juan, Cyrano de Bergerac et quatre autres moins connus. La partie graphique de Federico Dallocchio et Ricardo Latina est remarquable, les deux auteurs font des merveilles dans un style réaliste. L’album se termine avec des illustrations, recherche graphique des personnages et illustrations alternatives. Les sept lames est un one shot facile à lire avec beaucoup d’action pour un bon divertissement sans prise de tête et la partie fantastique fonctionne bien sur ce genre. Avec plusieurs héros dans un même groupe, il est toujours difficile de donner de l’importance à toutes les personnes surtout sur cinq chapitres.
  16. alx23

    Les sept lames

    Titre de l'album : Les sept lames Scenariste de l'album : Evan Daugherty Dessinateur de l'album : Federico Dallocchio & Ricardo Latina Coloriste : Valentina Bianconi Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : D'Artagnan est entraîné dans un conflit avec le cardinal de Richelieu, dont la quête impitoyable du pouvoir l'a conduit vers le surnaturel. Pour sauver le monde, d'Artagnan devra s'allier à sept héros de cape et d'épée emblématiques tels que Don Juan ou Cyrano de Bergerac. Les SEPT LAMES devront surmonter une foule de différences et travailler ensemble pour déjouer les plans diaboliques de Richelieu. Critique : Alors que les trois mousquetaires est au cinéma, les éditions Black river nous proposent les sept lames un one shot autour D’Artagnan. Le scénariste Evan Daugherty a travaillé dans le monde du cinéma avant de se lancer dans le monde des comics avec les sept lames. Comme pour la League des gentleman extraordinaires, ce comics regroupe différents protagonistes de la littérature française et étrangères pour utiliser les compétences de chaque héros afin de combattre une plus grande menace surnaturelle. Parmi les sept épéistes, on retrouve D’Artagnan, Don Juan, Cyrano de Bergerac et quatre autres moins connus. La partie graphique de Federico Dallocchio et Ricardo Latina est remarquable, les deux auteurs font des merveilles dans un style réaliste. L’album se termine avec des illustrations, recherche graphique des personnages et illustrations alternatives. Les sept lames est un one shot facile à lire avec beaucoup d’action pour un bon divertissement sans prise de tête et la partie fantastique fonctionne bien sur ce genre. Avec plusieurs héros dans un même groupe, il est toujours difficile de donner de l’importance à toutes les personnes surtout sur cinq chapitres. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sept-lames?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Seven toi Eternity t4 (fin) : les sources de Zhal Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Jerome Opeña Coloriste : Jerome Opeña Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Véritable salut ou énième manipulation, les sources légendaires de Zhal promises par le Roi Fange à Adam Osidis ont soudainement rebattu les cartes d'un jeu qui semblait pourtant gagné pour le peuple Mosak et le royaume de Zhal. Aussi, Adam fait désormais cavalier seul au côté du Maître des Murmures, chargé du lourd fardeau d'avoir préféré la vie de son pire ennemi à celles de nombreux innocents. L'honneur de la famille Osidis est mis à rude épreuve et l'heure d'affronter son destin est venu pour chacun. Critique : Alors oui j'ai mis un cœur à ce tome 4 alors même qu'il n'a que 4.5/5. Mais ce cœur récompense la série elle-même et surtout l'ambition et l'imagination de Rick Remender. Car si ce tome 4 est bon (graphiquement époustouflant comme les autres) avec une conclusion à notre histoire un poil trop rapide à mon gout (et encore) et un Adam Osidis plus torturé que jamais, c'est plutôt l'ensemble de la série qui mérite un coup de cœur. En effet, je ne pense pas avoir vu de création d'univers aussi complet et vaste depuis... aller lâchons les grands mots... Star wars. Oui j'exagère forcément, mais on retrouve un peu l'effet découverte de l'univers de Georges Lucas dans ce Seven to Eternity. Rick Remender nous un monde qui ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. Mais rien. Que se soit le bestiaire, l'univers, les Moska, les Rumeurs, le marais... tout est nouveau et tout est bien pensé. La tenue du journal par Adam lui-même apporte beaucoup de détails sur la psychologie de notre héros, mais aussi sur l'univers et le passé de la famille. Les flash backs nous explique petit à petit ce qu'il s'est passé dans ce monde et les discussions avec le maitre des Murmures nous permettent de mieux comprendre la psychologie des personnages… à condition que ceux-ci disent la vérité. Et c'est ce qui est aussi excellent dans Seven to Eternity (titre qui prend un double sens dans ce tome 4 de façon magistral) : on ne sait jamais (surtout au vu de la fin du tome 4) si ce que dit le maitre des Murmures est vraie ou juste pile ce que veut entendre la personne avec qui il parle. Ce doute permanent oblige le lecteur à rester éveillé et surtout à réfléchir par lui-même sur les motivations d'Adam. Et c'est le dernier point à mettre en avant : Adam Osidis est un héros des plus intéressants. Dès le début, on le sent plus à l'écoute du compromis que son père alors même que l'on sait que le compromis est l'arme du maitre des Murmures. Mais Adam ne tombe pas non plus dans le héros. Il est pus un héros humains avec ses doutes, ses questions et son égoïsme qu'il cherche à refouler. Égoïsme qu'il peut cacher derrière l'adage qui dit qu'un Osidis à la trahison dans le sang. En bref une série dont le seul défaut aura été les 2 chapitre ou le dessinateur a changé (sans savoir pourquoi car c'est 2 chapitres sur 24...) et qui sera passé sous le radar de beaucoup. Peut-être trop ambitieux à une époque où on a plus l'habitude de toujours lire les mêmes séries ou rester sur des thèmes que l'on connait. Je ne sais pas si Urban prévoit une intégrale de seven to eternity mais si cela arrive je vous encourage à vous plonger dans le monde de Zhal. Vous en sortirez changé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seven-to-eternity-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Alors oui j'ai mis un cœur à ce tome 4 alors même qu'il n'a que 4.5/5. Mais ce cœur récompense la série elle-même et surtout l'ambition et l'imagination de Rick Remender. Car si ce tome 4 est bon (graphiquement époustouflant comme les autres) avec une conclusion à notre histoire un poil trop rapide à mon gout (et encore) et un Adam Osidis plus torturé que jamais, c'est plutôt l'ensemble de la série qui mérite un coup de cœur. En effet, je ne pense pas avoir vu de création d'univers aussi complet et vaste depuis... aller lâchons les grands mots... Star wars. Oui j'exagère forcément, mais on retrouve un peu l'effet découverte de l'univers de Georges Lucas dans ce Seven to Eternity. Rick Remender nous un monde qui ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. Mais rien. Que se soit le bestiaire, l'univers, les Moska, les Rumeurs, le marais... tout est nouveau et tout est bien pensé. La tenue du journal par Adam lui-même apporte beaucoup de détails sur la psychologie de notre héros, mais aussi sur l'univers et le passé de la famille. Les flash backs nous explique petit à petit ce qu'il s'est passé dans ce monde et les discussions avec le maitre des Murmures nous permettent de mieux comprendre la psychologie des personnages… à condition que ceux-ci disent la vérité. Et c'est ce qui est aussi excellent dans Seven to Eternity (titre qui prend un double sens dans ce tome 4 de façon magistral) : on ne sait jamais (surtout au vu de la fin du tome 4) si ce que dit le maitre des Murmures est vraie ou juste pile ce que veut entendre la personne avec qui il parle. Ce doute permanent oblige le lecteur à rester éveillé et surtout à réfléchir par lui-même sur les motivations d'Adam. Et c'est le dernier point à mettre en avant : Adam Osidis est un héros des plus intéressants. Dès le début, on le sent plus à l'écoute du compromis que son père alors même que l'on sait que le compromis est l'arme du maitre des Murmures. Mais Adam ne tombe pas non plus dans le héros. Il est pus un héros humains avec ses doutes, ses questions et son égoïsme qu'il cherche à refouler. Égoïsme qu'il peut cacher derrière l'adage qui dit qu'un Osidis à la trahison dans le sang. En bref une série dont le seul défaut aura été les 2 chapitre ou le dessinateur a changé (sans savoir pourquoi car c'est 2 chapitres sur 24...) et qui sera passé sous le radar de beaucoup. Peut-être trop ambitieux à une époque où on a plus l'habitude de toujours lire les mêmes séries ou rester sur des thèmes que l'on connait. Je ne sais pas si Urban prévoit une intégrale de seven to eternity mais si cela arrive je vous encourage à vous plonger dans le monde de Zhal. Vous en sortirez changé.
  19. Brubaker et Phillips tiennent un bon rythme sur cette série polar, avec des enquêtes souvent tordues pour justement surprendre les lecteurs. Brubaker est maitre dans l'art d'écrire des polars depuis longtemps avec ses nombreuses séries dans le genre. Pour ce quatrième tome, le héros principal de l'histoire sera absent une bonne partie de l'histoire pour laisser sa place à son assistante Anna. Cette dernière prend en charge une affaire au demeurant facile sur une maison hantée de Los Angeles. Cet épisode transitoire dans la série, permet aux auteurs d'approfondir l'histoire d'Anna en nous révélant des anecdotes de son enfance et sur mère qui réapparait après une cure aux alcooliques anonymes. La partie graphique de Sean Phillips et une merveille, l'auteur gère bien les décors d'époque. Les couleurs de Jacob Phillips assurent un rendu final remarquable. Recless est déjà une grande série avec quatre excellents albums, le prochain tome reviendra sur Ethan et pourquoi il était absent durant tout cet épisode pour régler une autre affaire en dehors de LA.
  20. Titre de l'album : Reckless tome 4 - Ce fantôme en toi Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Sean Phillips Coloriste : Jacob Phillips Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hiver 1989. Ethan est absent, si bien qu'Anna est seule pour prendre ce job. Lorsqu'une reine du cinéma lui demande de prouver que le manoir qu'elle est en train de rénover n'est pas hanté, Anna tombe sur un mystère vieux de plusieurs décennies qui implique l'une des scènes de crime les plus terrifiantes d'Hollywood... Un endroit qui renferme de nombreux secrets indicibles, dont certains pourraient s'avérer mortels... Critique : Brubaker et Phillips tiennent un bon rythme sur cette série polar, avec des enquêtes souvent tordues pour justement surprendre les lecteurs. Brubaker est maitre dans l'art d'écrire des polars depuis longtemps avec ses nombreuses séries dans le genre. Pour ce quatrième tome, le héros principal de l'histoire sera absent une bonne partie de l'histoire pour laisser sa place à son assistante Anna. Cette dernière prend en charge une affaire au demeurant facile sur une maison hantée de Los Angeles. Cet épisode transitoire dans la série, permet aux auteurs d'approfondir l'histoire d'Anna en nous révélant des anecdotes de son enfance et sur mère qui réapparait après une cure aux alcooliques anonymes. La partie graphique de Sean Phillips et une merveille, l'auteur gère bien les décors d'époque. Les couleurs de Jacob Phillips assurent un rendu final remarquable. Recless est déjà une grande série avec quatre excellents albums, le prochain tome reviendra sur Ethan et pourquoi il était absent durant tout cet épisode pour régler une autre affaire en dehors de LA. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reckless-ce-fantome-en-toi/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Les philanthropes aux poches percées est un roman autobiographique d'une partie de la vie de Robert Tressel, alors qu'il est de retour en Angleterre. Il écrit ce roman pour dénoncer les abus du travail et la pauvreté des travailleurs. Scarlet et Sophie Rickard se chargent de cette adaptation d'une œuvre forte de la littérature prolétarienne. Ce petit pavé de plus de 350 pages revient sur le parcours de plusieurs travailleurs peintres dans le bâtiment. Les employés souffrent de pauvreté et enchainent les heures de travail sans voir de solution venir du gouvernement. Quelques personnes ressortent de ce groupe d'employés et on les suit également dans leur foyer avec leur femme et enfants. Les idées politiques fusent dans tous les sens parmi ces hommes vivant dans la peur de perdre leur emploi du jour au lendemain sans de véritables sources de reproches et sans que les employeurs aient besoin de se justifier. La parie graphique convient très bien à l'œuvre pour mettre en image cette épisode assez dure et froide. Ce roman graphique prend de temps de détaillés et mettre en place les situations pour les différents travailleurs avec leur crainte tout en voyant une évolution de la façon de pensée.
  22. Titre de l'album : Les philanthropes aux poches percées Scenariste de l'album : Scarlet & Sophie Rickard Dessinateur de l'album : Scarlet & Sophie Rickard Coloriste : Scarlet & Sophie Rickard Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les philanthropes, c'est le nom que se donnent les ouvriers, peintres en bâtiments de la ville anglaise de Mugsborough dans les sombres années de l'après-guerre de 1919. Philanthropes car ils s'usent le corps et l'âme pour enrichir leurs patrons. L'un d'entre eux, Owen, va tenter de leur faire prendre conscience qu'il existe des solutions de résistance à cette oppression. Critique : Les philanthropes aux poches percées est un roman autobiographique d'une partie de la vie de Robert Tressel, alors qu'il est de retour en Angleterre. Il écrit ce roman pour dénoncer les abus du travail et la pauvreté des travailleurs. Scarlet et Sophie Rickard se chargent de cette adaptation d'une œuvre forte de la littérature prolétarienne. Ce petit pavé de plus de 350 pages revient sur le parcours de plusieurs travailleurs peintres dans le bâtiment. Les employés souffrent de pauvreté et enchainent les heures de travail sans voir de solution venir du gouvernement. Quelques personnes ressortent de ce groupe d'employés et on les suit également dans leur foyer avec leur femme et enfants. Les idées politiques fusent dans tous les sens parmi ces hommes vivant dans la peur de perdre leur emploi du jour au lendemain sans de véritables sources de reproches et sans que les employeurs aient besoin de se justifier. La parie graphique convient très bien à l'œuvre pour mettre en image cette épisode assez dure et froide. Ce roman graphique prend de temps de détaillés et mettre en place les situations pour les différents travailleurs avec leur crainte tout en voyant une évolution de la façon de pensée. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-philanthropes-aux-poches-percees/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : The nice house on the lake t1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Álvaro Martínez Coloriste : Álvaro Martínez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Tous les conviés connaissent Walter - enfin, ils le connaissent un peu, en tout cas. Certains l'ont rencontré dans leur enfance, d'autres l'ont rencontré quelques mois auparavant. Et Walter a toujours été un peu... absent. Mais après une année difficile, personne n'allait refuser l'invitation de ce dernier dans une maison de campagne située à l'orée d'un bois et avec vue sur lac. C'est beau, c'est opulent, c'est privé – de quoi supporter les petites combines et les surnoms bizarres donnés par Walter. Mais ces vacances de luxe revêtent très vite des airs de prison dorée. Critique : Voici l'une des lectures comics de l'année à n'en pas douter. Une lecture en deux tomes, mais dont le deuxième arrive dès le mois de mars ! Quelle claque nous met James Tyrion IV dans ce premier tome. Il réussit à mixer avec brio the thème du huis clos avec l'aspect horrifique d'une fin du monde arrivant sans crier gare. Imaginez un peu : un pote vous convie à un weekend retrouvaille entre amis dans une maison éloignée. Et une fois arrivée, vous vous rendez compte que vous êtes les seuls survivants de l'espèce humaine... Comment réagiriez-vous ? vis-à-vis des autres ? vis-à-vis du monde ? et vis-à-vis de celui qui vous a invité ici ???? Un premier tome génial, sublimement illustré, et une histoire qui promet de rester dans les annales des huis clos en bande dessinée ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-nice-house-on-the-lake?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    The nice house on the lake t1

    Voici l'une des lectures comics de l'année à n'en pas douter. Une lecture en deux tomes, mais dont le deuxième arrive dès le mois de mars ! Quelle claque nous met James Tyrion IV dans ce premier tome. Il réussit à mixer avec brio the thème du huis clos avec l'aspect horrifique d'une fin du monde arrivant sans crier gare. Imaginez un peu : un pote vous convie à un weekend retrouvaille entre amis dans une maison éloignée. Et une fois arrivée, vous vous rendez compte que vous êtes les seuls survivants de l'espèce humaine... Comment réagiriez-vous ? vis-à-vis des autres ? vis-à-vis du monde ? et vis-à-vis de celui qui vous a invité ici ???? Un premier tome génial, sublimement illustré, et une histoire qui promet de rester dans les annales des huis clos en bande dessinée !
  25. Début décembre 2022, nous avons eu la chance de rencontrer Dustin lors du Paris-Manga & Sci-Fi show. Bien que le temps de l'entretien était très court, il a répondu à deux de nos questions Bonjour Dustin, enchantée de faire votre connaissance, nos lecteurs ont deux questions à vous poser concernant Ascender & Descender Comment avez-vous rencontré Jeff Lemire ? Jeff et moi, on travaillait chez Vertigo. Je l’ai rencontré à un comic-con, nous participions ensemble à un panel (une table-ronde). Nous sommes donc sur scène et c'est la première fois que je rencontre Jeff. A l’époque, je travaillais à DC comics et j’avais un contrat d'exclusivité pendant 14 ans. Jeff était aussi sous contrat avec DC, nous avons tous les deux fini nos contrats en même temps. J’avais envie de faire un livre et par coïncidence, Jeff m’a demandé « hé, as-tu envie de travailler sur quelque chose ? » Je lui ai dit oui. C'était très facile. « Qu'est-ce que tu veux faire? » Faisons un livre sur les robots et les enfants. Ça s’est déroulé très simplement. Concernant Descender, il y a eu un changement sur la fin de l’histoire, pourquoi ? Nous voulions que cela reste amusant. La première histoire de Descender était comme la science-fiction avec laquelle nous avons grandi : donc beaucoup de robots, beaucoup d'espace et de mécanique. Et puis Jeff m’a demandé si je voulais continuer sur cette lancée et ce que je voulais vraiment faire. Je pouvais dessiner des monstres et des dragons. Donc c'est ce que nous avons fait, juste pour nous amuser. La plupart du temps, nous avons créé l’histoire d’Ascender et Descender pour nous-mêmes, pour le plaisir, pour écrire et dessiner. Et j’aime vraiment ça, dessiner des dragons et des monstres, c’est très amusant. Merci à Dustin Nguyen d’avoir acceptée cette courte interview, d’avoir posé pour la photo et d’avoir laissé un message vidéo pour les lecteurs de 1001BD Retrouvez Dustin Nguyen et Jeff Lemire pour leur nouveau livre "Little Monsters" à paraître le 7 avril 2023 Dustin Nguyen dec 2022.mp4
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