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  1. Titre de l'album : Magic the gathering t2 Scenariste de l'album : Jed MacKay Dessinateur de l'album : Ig Guara Coloriste : Ig Guara Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Quand la survie du multivers dépend de la coopération entre guildes ennemies : les Planeswalkers parviendront-ils à s'unir face à la menace ? Dans leur quête pour arrêter le culte qui dévaste Ravnica, les Maîtres de Guilde Kaya, Ral et Vraska mènent une audacieuse mission de sauvetage à l'Hôpital du Coeur Gelé pour secourir Jace Beleren, mortellement blessé... qui pourrait bien être la clé pour sauver la cité ! Ils risquent toutefois de perdre espoir suite aux révélations du sournois Planeswalker Tezzeret, qui n'a cessé de les espionner. Mais les cultistes ne sont que les signes avant-coureurs d'un plus grand mal, et le trio va cette fois-ci devoir faire appel à toute l'aide qu'il peut recevoir des autres Planeswalkers, vieux amis comme anciens ennemis. C'est uniquement en unissant leurs forces et en travaillant main dans la main qu'ils parviendront à sauver toutes formes de vie... mais l'un d'eux n'y survivra pas. Ce nouvel opus de l'épopée à succès inspirée par Magic, le phénomène mondial de pop culture, est signé par Jed MacKay (Moon Knight pour Marvel) et Ig Guara (Ghost Spiderpour Marvel). Critique : Deuxième de Magic qui entre dans le vif du sujet dès le début. Après le flot d'information ininterrompu du premier tome, place à l'action avec la découverte de l'ennemie et le combat pour la survie. Ce premier tome nous est raconté à tambour battant. Les choses s'enchainent vite et les actions se suivent sans se ressembler. On pourra regretter l'étrange habitude de faire des pages de retour en arrière un peu partout pour expliquer le moindre point d'ombre, la ou une explication plus linéaire aurait suffi. Reste que ce tome 2 est un vrai bon divertissement fantastique et rehausse un premier tome trop verbeux lu tout seul. Autres infos : Black river éditions Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magic-the-gathering-tome-2-233823?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Low T5 (fin)

    The Scumbag, Seven to eternity, Deadly Class, Tokyo Ghost, Black science et Low sont des exemples assez marquant de ce qu'est Rick Remender : un magicien du scenario qui réussi à nous fournir des histoires intéressantes et réfléchies peu importe le thème. Et des histoires finies. Avec tout le respect que j'ai pour mister Vaughan, autre des monstres du scenario actuel, ce n'est pas facile pour tous. Et c'est encore le cas pour ce Low. Si graphiquement certains des essais de Greg Tocchini me laissent perplexes (comme des dessins qui semblent tassés pour rentrer dans des cases trop petites pour lui), le scenario est, lui, encore une fois fidèle à l'esprit de la série depuis le début : L'espoir permet de déplacer des montagnes. Notre grande famille explosée finie son aventure en apothéose et en... fin du monde. Entre l'espoir absolu de Stel et l'envie d beaucoup de voir se monde définitivement sombrer, ce final est dantesque ! Entre batailles démentielles, sacrifices et renaissance, Rick Remender nous offre une fin digne de sa série de SF : Colorée, épique, dramatique et pleine d'espoir.
  3. poseidon2

    Low T5 (fin)

    Titre de l'album : Low T5 (fin) Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Greg Tocchini Coloriste : Greg Tocchini Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : À la recherche d'une sonde détenant des informations pouvant sauver l'humanité, Stel Caine échoue dans sa tentative de rallier la surface et se retrouve prisonnière de la cité de Salus, où elle fait l'objet d'une étude minutieuse. Les savants cherchent dans son esprit des informations afin de localiser les dômes grâce auxquels l'humanité a pu survivre au fond des océans. Mais une autre raison semble motiver leurs observations. Captive, et alors que la guerre se prépare, Stel entretient ce qui a toujours fait sa force : l'espoir ! Critique : The Scumbag, Seven to eternity, Deadly Class, Tokyo Ghost, Black science et Low sont des exemples assez marquant de ce qu'est Rick Remender : un magicien du scenario qui réussi à nous fournir des histoires intéressantes et réfléchies peu importe le thème. Et des histoires finies. Avec tout le respect que j'ai pour mister Vaughan, autre des monstres du scenario actuel, ce n'est pas facile pour tous. Et c'est encore le cas pour ce Low. Si graphiquement certains des essais de Greg Tocchini me laissent perplexes (comme des dessins qui semblent tassés pour rentrer dans des cases trop petites pour lui), le scenario est, lui, encore une fois fidèle à l'esprit de la série depuis le début : L'espoir permet de déplacer des montagnes. Notre grande famille explosée finie son aventure en apothéose et en... fin du monde. Entre l'espoir absolu de Stel et l'envie d beaucoup de voir se monde définitivement sombrer, ce final est dantesque ! Entre batailles démentielles, sacrifices et renaissance, Rick Remender nous offre une fin digne de sa série de SF : Colorée, épique, dramatique et pleine d'espoir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/low-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. En voilà une bonne idée. Hi Comics a regroupé en un tome pas mal d'histoires spinn off sur les persos ennemis emblématiques du premier cycle des tortues parues chez hi Comics. Et si habituellement ces spinn off me laissent de marbre, il faut avouer que celui-ci est globalement intéressant et que certaines histoires sont même vraiment bien. Moins fantasque que la série mère, plus terre à terre, on en découvre un peu plus sur ses personnages secondaires emblématiques. Attention cependant, graphiquement il y a pas mal de différences entre chaque nouvelle et si certaines sont très réussies, d'autres m'ont moins plu. Je le recommande aux amateurs des tortues, si vous avez la série mère complète, ne faites pas l'impasse sur ce tome.
  5. Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Villains Scenariste de l'album : Multiples Dessinateur de l'album : Multiples Coloriste : Multiples Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Pleins feux sur les ennemis emblématiques des Tortues Ninja ! De la jeunesse du plus cruel des Utroms au mystérieux séjour d'Oroku Saki au royaume des morts, en passant par l'éveil poignant d'Alopex et la lutte de Karai pour s'imposer au sein du clan Foot, les adversaires iconiques des fils de Splinter sortent de l'ombre pour dévoiler tour à tour une facette inédite de leur histoire. Un tome 100 % Villains qui regroupe les huit micro-series consacrées à Krang, Baxter Stockman, Old Hob, Alopex, Karai, Bebop & Rocksteady, Hun et Shredder. Critique : En voilà une bonne idée. Hi Comics a regroupé en un tome pas mal d'histoires spinn off sur les persos ennemis emblématiques du premier cycle des tortues parues chez hi Comics. Et si habituellement ces spinn off me laissent de marbre, il faut avouer que celui-ci est globalement intéressant et que certaines histoires sont même vraiment bien. Moins fantasque que la série mère, plus terre à terre, on en découvre un peu plus sur ses personnages secondaires emblématiques. Attention cependant, graphiquement il y a pas mal de différences entre chaque nouvelle et si certaines sont très réussies, d'autres m'ont moins plu. Je le recommande aux amateurs des tortues, si vous avez la série mère complète, ne faites pas l'impasse sur ce tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-micro-serie-villains?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    Les sept secrets tome 1

    Ce tome introductif nous présente tous les personnages et le contexte de l'histoire avec les sept secrets gardés dans des valises. Ces valises sont confiées des équipes de deux protecteurs, composées d'un porteur et d'un gardien. Les sept équipes se planquent dans le monde et appartiennent à l’organisation nommée l'ordre. Le scénariste Tom Taylor raconte l'histoire de l'enfant d'une équipe ainsi que son entrainement afin de comprendre tout le concept de la série. Les six premiers chapitres sont proposés dans ce tome avec beaucoup d'actions et d'informations. On n’a pas le temps de s’ennuyer un seul moment. La partie graphique de Daniele Di Nicuolo est un mélange de genres entre les comics et les mangas surtout pour les visages des personnages dans les scènes d'action. Son trait est très dynamique et fonctionne bien sur les genres thriller et action autour des théories du complot sur les vérités que l'ordre cache au reste du monde. Les agents sont très entrainés et pourrait passer pour des super-héros durant les nombreux combats. Ce premier tome des sept secrets commence bien une nouvelle trilogie.
  7. Titre de l'album : Les sept secrets tome 1 Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Daniele Di Nicuolo Coloriste : Walter Baiamonte Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lorsque le siège de l'organisation The Order est attaqué, les pontes du système craignent que les sept secrets les plus importants de l'histoire humaine soient divulgués au public. Des secrets suffisamment bouleversants pour chambouler notre compréhension du monde. Il appartiendra à la nouvelle recrue de ce groupe mystérieux, Caspar, d'identifier et de combattre la menace ! Critique : Ce tome introductif nous présente tous les personnages et le contexte de l'histoire avec les sept secrets gardés dans des valises. Ces valises sont confiées des équipes de deux protecteurs, composées d'un porteur et d'un gardien. Les sept équipes se planquent dans le monde et appartiennent à l’organisation nommée l'ordre. Le scénariste Tom Taylor raconte l'histoire de l'enfant d'une équipe ainsi que son entrainement afin de comprendre tout le concept de la série. Les six premiers chapitres sont proposés dans ce tome avec beaucoup d'actions et d'informations. On n’a pas le temps de s’ennuyer un seul moment. La partie graphique de Daniele Di Nicuolo est un mélange de genres entre les comics et les mangas surtout pour les visages des personnages dans les scènes d'action. Son trait est très dynamique et fonctionne bien sur les genres thriller et action autour des théories du complot sur les vérités que l'ordre cache au reste du monde. Les agents sont très entrainés et pourrait passer pour des super-héros durant les nombreux combats. Ce premier tome des sept secrets commence bien une nouvelle trilogie. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sept-secrets-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    UltraMega

    J'avais découvert le travail de dessinateur de James Harren sur plusieurs épisodes du B.P.R.D., dans l'univers de de Hellboy, ou les aventures de Conan. Harren a ensuite enchainé avec Rumble sur un scénario de John Arcudi. Aujourd'hui, les éditions Delcourt nous permettent de lire sa première production en solo avec Ultramega, d'ailleurs une édition spéciale Pulp'S Comics est disponible pour l'occasion. UltraMega est un condensé d'action souvent violente dans le monde des Kaijus, des montres géants. Pour combattre les Kaijus, il y a les ultraMegas des héros qui ont la possibilité de se transformer et de changer de tailles pour affronter ces monstres sanguinaires. Les combats se déroulent dans des grandes cités avec des dégâts collatérales très importants pour la population. Des immeubles et des quartiers entiers s'effondrent lors de ces batailles épiques et dévastatrices. Très vite d'autres thématiques viennent se greffer à l'histoire pour plus de profondeur. La partie graphique apporte beaucoup sur ce genre de récit, Harren est à l'aise pour dépeindre toutes les créatures étranges et monstrueuses qui attaquent les villes. Les couleurs de Dave Stewart finalisent en beauté le rendu pour des combats dynamiques. L'album est composé des quatre premiers chapitres de UltraMega avec un interlude, tout en sachant qu'un chapitre tient sur une soixante pages. L'album se termine sur des couvertures alternatives. James Harren réussi à rendre original une histoire de Kaijus.
  9. alx23

    UltraMega

    Titre de l'album : UltraMega Scenariste de l'album : James Harren Dessinateur de l'album : James Harren Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un fléau cosmique s'est propagé, transformant les gens ordinaires en kaiju hyper-violents et monstrueux. Seuls les UltraMegas, trois individus dotés de pouvoirs incroyables, peuvent faire front face à cette déferlante de destruction. Leurs batailles détruisent des villes et sèment une horreur indicible dans leur sillage. Mais est-ce une guerre qu'ils peuvent gagner? Critique : J'avais découvert le travail de dessinateur de James Harren sur plusieurs épisodes du B.P.R.D., dans l'univers de de Hellboy, ou les aventures de Conan. Harren a ensuite enchainé avec Rumble sur un scénario de John Arcudi. Aujourd'hui, les éditions Delcourt nous permettent de lire sa première production en solo avec Ultramega, d'ailleurs une édition spéciale Pulp'S Comics est disponible pour l'occasion. UltraMega est un condensé d'action souvent violente dans le monde des Kaijus, des montres géants. Pour combattre les Kaijus, il y a les ultraMegas des héros qui ont la possibilité de se transformer et de changer de tailles pour affronter ces monstres sanguinaires. Les combats se déroulent dans des grandes cités avec des dégâts collatérales très importants pour la population. Des immeubles et des quartiers entiers s'effondrent lors de ces batailles épiques et dévastatrices. Très vite d'autres thématiques viennent se greffer à l'histoire pour plus de profondeur. La partie graphique apporte beaucoup sur ce genre de récit, Harren est à l'aise pour dépeindre toutes les créatures étranges et monstrueuses qui attaquent les villes. Les couleurs de Dave Stewart finalisent en beauté le rendu pour des combats dynamiques. L'album est composé des quatre premiers chapitres de UltraMega avec un interlude, tout en sachant qu'un chapitre tient sur une soixante pages. L'album se termine sur des couvertures alternatives. James Harren réussi à rendre original une histoire de Kaijus. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ultramega-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. alx23

    Le meilleur des mondes

    Fred Fordham se charge de l'adaptation revisitée du meilleur des mondes d’Aldous Huxley, en bande dessinée avec une pagination importante, dans un format plus petit et à la couverture souple. On retrouve un peu le style ainsi que le design de la série tv qui était sorti il y a quelques temps. Pour l'histoire, dans une cité futuriste avec des innovations scientifiques importantes, la population est contrôlée depuis la naissance. Ainsi on affecte un rôle et un titre à chaque nouvel enfant. Plus tard, les jeunes adultes vivent dans un univers étrange en prenant des drogues de synthèses pour modifier les émotions. On suit la destinée de Lénina et d'Henry Foster au milieu de toute cette population docile et conditionnée. Les dessins sont de qualité pour dépeindre ce monde futuriste. Cette adaptation plaira autant aux lecteurs connaissant l'œuvre d'origine qu'aux lecteurs désirant découvrir ce monument de science-fiction.
  11. Titre de l'album : Le meilleur des mondes Scenariste de l'album : Fred Fordham Dessinateur de l'album : Fred Fordham Coloriste : Fred Fordham Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Le chef-d’œuvre d’Aldous Huxley, Le Meilleur des Mondes, “L’une des œuvres dystopiques les plus prophétiques du XXe siècle” (Wall Street Journal), pour la première fois adapté en roman graphique. Publié pour la première fois en 1932, Le Meilleur des Mondes est l’une des œuvres les plus vénérées et les plus profondes de la littérature du XXe siècle. Abordant les thèmes de l’hédonisme et du contrôle, de l’humanité, de la technologie et de l’influence, le classique d’Aldous Huxley est un reflet et un avertissement pour l’époque à laquelle il a été écrit, mais reste terriblement pertinent aujourd’hui. Critique : Fred Fordham se charge de l'adaptation revisitée du meilleur des mondes d’Aldous Huxley, en bande dessinée avec une pagination importante, dans un format plus petit et à la couverture souple. On retrouve un peu le style ainsi que le design de la série tv qui était sorti il y a quelques temps. Pour l'histoire, dans une cité futuriste avec des innovations scientifiques importantes, la population est contrôlée depuis la naissance. Ainsi on affecte un rôle et un titre à chaque nouvel enfant. Plus tard, les jeunes adultes vivent dans un univers étrange en prenant des drogues de synthèses pour modifier les émotions. On suit la destinée de Lénina et d'Henry Foster au milieu de toute cette population docile et conditionnée. Les dessins sont de qualité pour dépeindre ce monde futuriste. Cette adaptation plaira autant aux lecteurs connaissant l'œuvre d'origine qu'aux lecteurs désirant découvrir ce monument de science-fiction. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-meilleur-des-mondes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Quelques mois seulement après la sortie du premier Assassin's creed valhalla intitulé Le chant de gloire, on retrouve la même équipe artistique pour ce nouvel épisode, Les mythes oubliés. Alexander Freed se penche sur l'histoire Assassin's creed Valhalla, l'Aube du Ragnarök qui est le premier DLC du jeu, une extension du jeu vidéo d'origine. La guerre semble imminente entre les neuf royaumes, Baldr le héros de cette aventure et fils d'Odin va s'associer à Loki le frère ennemi de Thor. On retrouve bien l'ambiance du jeu vidéo dans un aventure pleine de combat dans une ambiance vikings. Comme pour le premier épisode, on pourra reprocher une pagination trop courtes avec trois chapitres. Les dessins sont dans un style classique pour des comics grand public. Une fois de plus, les joueurs d'Assassin's creed trouveront leur compte surtout s’ils ont eu l'occasion de jouer à ce DLC, ou ils pourront découvrir l'histoire qui les attendent en y jouant. Les autres lecteurs ne seront pas perdus avec cette histoire qui reste ouvertes pour les non joueurs.
  13. Titre de l'album : Assassin's creed Valhalla - Les mythes oubliés Scenariste de l'album : Alexander Freed Dessinateur de l'album : Martín Tunica Coloriste : Michael Atiyeh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Accompagnez Baldr, fils d'Odin, dans sa quête pour forger une paix durable entre les neuf royaumes ! La guerre est sur le point d'éclater entre les deux royaumes voisins de Muspelheim et Svartalfheim, et Surtr, le seigneur des Muspels, rassemble son armée de géants du feu. Déterminé à empêcher un tel bain de sang, Baldr, fils d'Odin et dieu de la lumière, demande l'aide du grand dieu fallacieux, Loki. Loki trahira-t-il Baldr et le reste des Æsir ? Ou Baldr gagnera-t-il le coeur de la fille de Surtr et forgera-t-il une paix durable entre les neuf royaumes ? Critique : Quelques mois seulement après la sortie du premier Assassin's creed valhalla intitulé Le chant de gloire, on retrouve la même équipe artistique pour ce nouvel épisode, Les mythes oubliés. Alexander Freed se penche sur l'histoire Assassin's creed Valhalla, l'Aube du Ragnarök qui est le premier DLC du jeu, une extension du jeu vidéo d'origine. La guerre semble imminente entre les neuf royaumes, Baldr le héros de cette aventure et fils d'Odin va s'associer à Loki le frère ennemi de Thor. On retrouve bien l'ambiance du jeu vidéo dans un aventure pleine de combat dans une ambiance vikings. Comme pour le premier épisode, on pourra reprocher une pagination trop courtes avec trois chapitres. Les dessins sont dans un style classique pour des comics grand public. Une fois de plus, les joueurs d'Assassin's creed trouveront leur compte surtout s’ils ont eu l'occasion de jouer à ce DLC, ou ils pourront découvrir l'histoire qui les attendent en y jouant. Les autres lecteurs ne seront pas perdus avec cette histoire qui reste ouvertes pour les non joueurs. Autres infos : Editions : Black River Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/assassin-s-creed-valhalla-les-mythes-oublies?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Troisième tome du retour de Sandman sur le devant de la scène et premier tome après le retour du nouveau maitre dans son royaume. Donc premier tome "standard" et un standard qui fait un peu bizarre. En effet, ce tome 3 est une aventure indépendante quelque peu "standard". Alors c'est très joli et on retrouve nos héros dont notre petit elfe de l'époque de Dream. Et si cet attachement aux passifs ravira les fans du premier cycle, comme on peut l'appeler maintenant, il ne masquera pas non plus le fait que cette aventure est "marginale". Surtout en rapport aux grandes manœuvres de la fin du cycle précédent et au retour de Daniel. Reste que ce "tome 3" est une lecture agréable et plaira à tous les fans, leur permettant de mieux appréhender le nouveau roi du rêve.
  15. Titre de l'album : Sandman : Dreaming - Waking hours Scenariste de l'album : G. Willow Wilson Dessinateur de l'album : Nick Robles Coloriste : Nick Robles Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'une des responsabilités les plus lourdes du maître du Songe est la création de cauchemars, ces entités capables d'exposer nos plus profondes angoisses. Morphée souhaitait faire de Ruine, le rêve de l'échec catastrophique, son chef-d'oeuvre. Mais chaque création avance son lot de conséquences inattendues. Aussi, lorsque le cauchemar tombe amoureux de la première rêveuse croisant son chemin, il entraîne dans son sillage. Critique : Troisième tome du retour de Sandman sur le devant de la scène et premier tome après le retour du nouveau maitre dans son royaume. Donc premier tome "standard" et un standard qui fait un peu bizarre. En effet, ce tome 3 est une aventure indépendante quelque peu "standard". Alors c'est très joli et on retrouve nos héros dont notre petit elfe de l'époque de Dream. Et si cet attachement aux passifs ravira les fans du premier cycle, comme on peut l'appeler maintenant, il ne masquera pas non plus le fait que cette aventure est "marginale". Surtout en rapport aux grandes manœuvres de la fin du cycle précédent et au retour de Daniel. Reste que ce "tome 3" est une lecture agréable et plaira à tous les fans, leur permettant de mieux appréhender le nouveau roi du rêve. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-the-dreaming-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Rorschach

    Titre de l'album : Rorschach Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Jorge Fornés Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Cela fait 35 ans qu'Ozymandias a téléporté un monstre tentaculaire sur New York, tuant des milliers de personnes et détruisant une fois pour toutes la confiance du public dans ses protecteurs. Depuis cette catastrophe, Rorschach est devenue une icône culturelle fascinante, symptôme d'un monde en perte de repères. Lors de la tentative d'assassinat d'un candidat populiste, on abat un homme portant le masque de Rorschach. Qui est l'homme derrière le masque, et surtout quelles étaient ses motivations ? L'inspecteur chargé de découvrir la véritable identité du tueur abattu s'engage alors dans une enquête qui l'entraîne dans un méandre de conspirations, d'invasions extraterrestres, de bienfaiteurs en disgrâce, de visions mystiques et même de bandes dessinées. Contenu vo : Rorschach #1-12. Critique : Décidément, en plus d'être bon, Tom King devient prolifique. Pour le plaisir du plus grand nombre, il reste sur un format one-shot qui part d'une figure du comics connus pour en faire une histoire global et accessible à tous ceux... qui aime les comics aux scenarios travaillés et à la mise en page originale. Et, encore une fois, ce Rorschach coche toutes les cases : Le scénario est très bon et change des habituels de Tom King. Ici par de psychologie du héros. C'est un pur polar à l'ancienne. Un polar dans l'univers de Watchmen mais un vrai polar. Un assassinat déjoué. Des tueurs qui semblent être des fous. Le meilleur des enquêteurs mis sur leurs traces pour être sûr qu'il n'y a rien de plus… et qui part dans une enquête à tiroir des plus surprenantes. Ce qui est aussi marquant dans ce Rorschach, c'est le travail de mise en page. On passe de chapitre complet qui ne sont que des récits de correspondances, à un autre chapitre, on suit trois récits parallèles, coloriés avec trois couleurs et présentant des scènes quasiment identiques, et on finit par un subtil mélange des époques où les cases entre passés et présent se mêlent habilement en fonction des pensées de notre enquêteur. Encore un sublime travail pour le maitre des one shot en comics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rorschach?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Rorschach

    Décidément, en plus d'être bon, Tom King devient prolifique. Pour le plaisir du plus grand nombre, il reste sur un format one-shot qui part d'une figure du comics connus pour en faire une histoire global et accessible à tous ceux... qui aime les comics aux scenarios travaillés et à la mise en page originale. Et, encore une fois, ce Rorschach coche toutes les cases : Le scénario est très bon et change des habituels de Tom King. Ici par de psychologie du héros. C'est un pur polar à l'ancienne. Un polar dans l'univers de Watchmen mais un vrai polar. Un assassinat déjoué. Des tueurs qui semblent être des fous. Le meilleur des enquêteurs mis sur leurs traces pour être sûr qu'il n'y a rien de plus… et qui part dans une enquête à tiroir des plus surprenantes. Ce qui est aussi marquant dans ce Rorschach, c'est le travail de mise en page. On passe de chapitre complet qui ne sont que des récits de correspondances, à un autre chapitre, on suit trois récits parallèles, coloriés avec trois couleurs et présentant des scènes quasiment identiques, et on finit par un subtil mélange des époques où les cases entre passés et présent se mêlent habilement en fonction des pensées de notre enquêteur. Encore un sublime travail pour le maitre des one shot en comics.
  18. poseidon2

    Saga t10

    Il est de retour le precieuxxxxx !!!!! Voila l'expression de beaucoup de lecteurs de comics. Saga revient enfin. 4 longues années apres la sortie du T9.... le temps qu'il fallait pour surmonter l'épreuve de la mort de Marko, le héros de cette série. Si au final on a trouvé le temp long, cette attente nous permet aussi de mieux nous mettre dans la peau des personnages chez qui il est aussi passé 4 ans. Hazel a maintenant 10 et l'on se retrouve avec plein de nouveautés apparues durant ces quatre années. Mais cela parait normal et c'est bien la la réussite de Bryan K Vaughan : Nous livrer un scenario ou ces 4 années d'attente se sont vraimennt passées dans l'univers de Saga et ou les personnages ont veillit et ont grandit comme leur lecteur. Cela rend la lecture encore plus forte. On se demande bien ce qu'il a pu se passer durant quatre ans? Qui est ce nouveau et étrange personnage qui accompagne Alana? Enormement de question auquels répond (au moins partiellement) Vaughan dans ce tome 10, mais sans oublier l'avbenture de notre famille qui est tout sauf un long fleuve tranquille. 4 ans d'attente mais une attente qui est justifiée au vu du contenu fourni. Vivement le tome 11
  19. poseidon2

    Saga t10

    Titre de l'album : Saga t10 Scenariste de l'album : Brian K. Vaughan Dessinateur de l'album : Fiona Staples Coloriste : Fiona Staples Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Alors qu'elle célèbre ses dix ans, Hazel et sa mère Alana parcourent toujours la galaxie clandestinement et parviennent, parfois, à trouver un semblant d'apaisement. Installée dans un havre de paix en forêt, la petite famille tente de maintenir une stabilité, malgré la crise d'adolescence prématurée d'Hazel. Mais une menace bien plus grande que les velléités de résistance liées au jeune âge plane sur la famille. Une fois de plus, la guerre fratricide que se livrent les peuples de l'Univers menace tout équilibre. Critique : Il est de retour le precieuxxxxx !!!!! Voila l'expression de beaucoup de lecteurs de comics. Saga revient enfin. 4 longues années apres la sortie du T9.... le temps qu'il fallait pour surmonter l'épreuve de la mort de Marko, le héros de cette série. Si au final on a trouvé le temp long, cette attente nous permet aussi de mieux nous mettre dans la peau des personnages chez qui il est aussi passé 4 ans. Hazel a maintenant 10 et l'on se retrouve avec plein de nouveautés apparues durant ces quatre années. Mais cela parait normal et c'est bien la la réussite de Bryan K Vaughan : Nous livrer un scenario ou ces 4 années d'attente se sont vraimennt passées dans l'univers de Saga et ou les personnages ont veillit et ont grandit comme leur lecteur. Cela rend la lecture encore plus forte. On se demande bien ce qu'il a pu se passer durant quatre ans? Qui est ce nouveau et étrange personnage qui accompagne Alana? Enormement de question auquels répond (au moins partiellement) Vaughan dans ce tome 10, mais sans oublier l'avbenture de notre famille qui est tout sauf un long fleuve tranquille. 4 ans d'attente mais une attente qui est justifiée au vu du contenu fourni. Vivement le tome 11 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saga-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Mister Miracle

    Titre de l'album : Mister Miracle Scenariste de l'album : Varian Johnson Dessinateur de l'album : Daniel Isles Coloriste : Daniel Isles Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : SYNDROME DE STOCKHOLM À APOKOLIPS. Étudiant à Apokolips, dirigée d'une main de fer par Lord Darkseid, Scott Free n'aspire qu'à une chose : s'enfuir pour se rendre sur la planète Terre. Le plan d'évasion de Scott Free est bien ficelé, mais un événement inattendu bouleverse ses calculs. En effet, tomber amoureux de la chef des Furies féminines, Big Barda, justement chargée de veiller à ce qu'il ne s'échappe jamais, n'est pas pour faciliter les choses. Critique : J'ai connu mister miracle au travers de l'analyse de Tom King. Autant, vous dire que ce n'est pas là que l'on peut vraiment dire qu'on pourrait connaitre les bases d'un personnage, alors même que je trouve que c'est un des meilleurs comics des 10 dernières années. J'avais donc besoin d'un peu d'historique et ce tome de Mister Miracle tombe à pique. Car il nous décrit l'enfance de Scott Free AVANT qu'il ne devienne Mister Miracle. Enfin si on peut parler d'enfance quand c'est à Apokolips. Ce tome est une vraie belle histoire. Sans être un sommet comme ont pu l'être Wonder woman ou encore le Batgirl. Mais un super histoire quand même. Bien rythmée, avec des personnages attachants et un univers de plus dépaysant, ce comic est un vrai comics pour tout le monde, sans besoin d'un quelconque historique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mister-miracle-the-great-escape?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Mister Miracle

    J'ai connu mister miracle au travers de l'analyse de Tom King. Autant, vous dire que ce n'est pas là que l'on peut vraiment dire qu'on pourrait connaitre les bases d'un personnage, alors même que je trouve que c'est un des meilleurs comics des 10 dernières années. J'avais donc besoin d'un peu d'historique et ce tome de Mister Miracle tombe à pique. Car il nous décrit l'enfance de Scott Free AVANT qu'il ne devienne Mister Miracle. Enfin si on peut parler d'enfance quand c'est à Apokolips. Ce tome est une vraie belle histoire. Sans être un sommet comme ont pu l'être Wonder woman ou encore le Batgirl. Mais un super histoire quand même. Bien rythmée, avec des personnages attachants et un univers de plus dépaysant, ce comic est un vrai comics pour tout le monde, sans besoin d'un quelconque historique.
  22. Si je regarde pas mal d'animé, j'avoue que l coté loufoque des séries animés DC m'a toujours laissé de marbre. Étant plus lecteur, j'ai voulu essayer la version papier… et je n'aurai pas dû. Je n'aurais pas dû parce que, premièrement, c'est la suite directe de la série. Donc, je n'ai pas compris le début. En plus la version papier est surement très fidèle au dessin animé ce qui fait que j'ai retrouvé ce qu'i ne me plaisait pas : les blagues potache pour enfants, Gordon en méchant débile, les méchants pas vraiment méchants..... Bref ce comics n'était pas pour moi. Mais je pense qu'il ravira les fans de la série animé. Je les laisserai donc juger à ma place 😛
  23. Titre de l'album : Harley Quinn the animated series tome 1 - The eat. bang ! kill. tour Scenariste de l'album : Tee Franklin Dessinateur de l'album : Max Sarin Coloriste : Max Sarin Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Harley & Ivy ont pris la route pour la virée du siècle ! Fuyant Gotham City après une cérémonie de mariage particulièrement désastreuse, Harley Quinn et Poison Ivy doivent impérativement semer un commissaire Gordon particulièrement à cran. Alors qu'Ivy se prend à regretter d'avoir laissé Kiteman au pied de l'autel, Harley promet à sa partenaire un remède radical à son état "post-marium" ! Contenu vo : HARLEY QUINN: THE ANIMATED SERIES—THE EAT. BANG. KILL TOUR #1-6. Critique : Si je regarde pas mal d'animé, j'avoue que l coté loufoque des séries animés DC m'a toujours laissé de marbre. Étant plus lecteur, j'ai voulu essayer la version papier… et je n'aurai pas dû. Je n'aurais pas dû parce que, premièrement, c'est la suite directe de la série. Donc, je n'ai pas compris le début. En plus la version papier est surement très fidèle au dessin animé ce qui fait que j'ai retrouvé ce qu'i ne me plaisait pas : les blagues potache pour enfants, Gordon en méchant débile, les méchants pas vraiment méchants..... Bref ce comics n'était pas pour moi. Mais je pense qu'il ravira les fans de la série animé. Je les laisserai donc juger à ma place 😛 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harley-quinn-animated-series-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Red room est un titre à ne pas mettre en toutes les mains par sa thématique gore et très trash. Pour information, ce titre est interdit à la diffusion dans cinq pays. Je connaissais des interdictions pour les films mais pas pour les comics. Ed Piskor explique avoir été bercé par les auteurs d'horreur comme Stephen King, Clive Barker et bien autres encore dans le domaine de l'horreur mais aussi des films de genre à l'époque des magasins de location de films. L'auteur a pris le temps de réaliser ce titre choquant entre deux autres productions. Pour l'histoire, les red room sont des snuff movie réalisés en live où des tueurs en série se donnent en public devant des caméras sur un site du dark net. Ainsi, des gens peuvent suivre les exécutions ou tortures en échanges de paiement en bitcoins. Ce phénomène de red room est une légende urbaine du dark web et Piskor exploite à fond l’idée. Les lecteurs peuvent s'attendre à des histoires très violentes, en même temps la couverture en donne un bon aperçu. Les dessins de Piskor sont en noir et blanc avec des dégradés de gris, l'auteur explique ses influences de dessinateurs dans la préface. Le style est semi-réaliste avec des personnages souvent déformés ou avec des défauts exagérés. L'album se termine avec des bonus commentés par Piskor, une galerie d’illustrations et la première version de la première histoire en crayonné pour comparer. Vous l'aurez compris Red room est le titre le plus trash que j'ai eu l'occasion de lire, encore plus que la référence Crossed. Red room est réservé à un public plus qu'averti !
  25. Titre de l'album : Red room tome 1 - Le réseau antisocial Scenariste de l'album : Ed Piskor Dessinateur de l'album : Ed Piskor Coloriste : Ed Piskor Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Goblin est un dérangé qui diffuse sur sa chaîne des actes de tortures innommables à l'abri dans les zones d'ombre du Dark Web. Son public le soutient à coup de Bitcoin et de commentaires salaces. Davis Fairfield, lui, enterre sa femme et sa cadette renversées par un ivrogne et se retrouve en charge de sa dernière fille, Brianna. Vous n'êtes pas prêts pour cette Amérique dépeinte par Ed Piskor... Critique : Red room est un titre à ne pas mettre en toutes les mains par sa thématique gore et très trash. Pour information, ce titre est interdit à la diffusion dans cinq pays. Je connaissais des interdictions pour les films mais pas pour les comics. Ed Piskor explique avoir été bercé par les auteurs d'horreur comme Stephen King, Clive Barker et bien autres encore dans le domaine de l'horreur mais aussi des films de genre à l'époque des magasins de location de films. L'auteur a pris le temps de réaliser ce titre choquant entre deux autres productions. Pour l'histoire, les red room sont des snuff movie réalisés en live où des tueurs en série se donnent en public devant des caméras sur un site du dark net. Ainsi, des gens peuvent suivre les exécutions ou tortures en échanges de paiement en bitcoins. Ce phénomène de red room est une légende urbaine du dark web et Piskor exploite à fond l’idée. Les lecteurs peuvent s'attendre à des histoires très violentes, en même temps la couverture en donne un bon aperçu. Les dessins de Piskor sont en noir et blanc avec des dégradés de gris, l'auteur explique ses influences de dessinateurs dans la préface. Le style est semi-réaliste avec des personnages souvent déformés ou avec des défauts exagérés. L'album se termine avec des bonus commentés par Piskor, une galerie d’illustrations et la première version de la première histoire en crayonné pour comparer. Vous l'aurez compris Red room est le titre le plus trash que j'ai eu l'occasion de lire, encore plus que la référence Crossed. Red room est réservé à un public plus qu'averti ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-room-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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