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  1. alx23

    Blacking out

    Blacking out est un comics au format bande dessinée issu d'un financement participatif aux Etats-Unis. Le scénariste Chip Mosher nous propose un polar bien sombre et poisseux. D'ailleurs la couverture donne déjà le ton de ce qui va nous attendre dans les pages de ce titre. On suit les mésaventures d'un ex-policier, en chute libre depuis la perte de son travail à cause de sa consommation d'alcool en service. Mais dès le début la chance semble avoir tournée pour le héros mal en point. Il va enquêter pour le compte d'un avocat qui défend un père accusé d'avoir tué sa fille et déclencher un incendie sans précédent. Le détective consomme toujours autant d'alcool mais reste un bon enquêteur et remonte la piste du véritable meurtrier. Pour la partie graphique, les connaisseurs de comics de super-héros reconnaitront le travail de Peter Krause. Il réalise des planches très bien découpées dans un style cinématographique de qualité. En plus, le format BD permet de bien profiter des dessins. L'atmosphère est très sombre comme on est en droit de l'attendre dans ce genre d'histoire. Blacking out est un très bon polar efficace avec plusieurs pistes à suivre sans jamais deviner la fin.
  2. alx23

    Blacking out

    Titre de l'album : Blacking out Scenariste de l'album : Chip Mosher Dessinateur de l'album : Peter Krause Coloriste : Giulia Brusco Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Tout en luttant contre son alcoolisme, Conrad - ex-flic - ne dispose que d'un seul maigre indice pour élucider la mort de la jeune Karen Littleton dont le corps a été retrouvé calciné dans une petite ville de Californie. Les rebondissements continus de cette affaire changent constamment le point de vue du lecteur, jusqu'à ce que le récit atteigne son apogée avec un final puissant et inattendu. Critique : Blacking out est un comics au format bande dessinée issu d'un financement participatif aux Etats-Unis. Le scénariste Chip Mosher nous propose un polar bien sombre et poisseux. D'ailleurs la couverture donne déjà le ton de ce qui va nous attendre dans les pages de ce titre. On suit les mésaventures d'un ex-policier, en chute libre depuis la perte de son travail à cause de sa consommation d'alcool en service. Mais dès le début la chance semble avoir tournée pour le héros mal en point. Il va enquêter pour le compte d'un avocat qui défend un père accusé d'avoir tué sa fille et déclencher un incendie sans précédent. Le détective consomme toujours autant d'alcool mais reste un bon enquêteur et remonte la piste du véritable meurtrier. Pour la partie graphique, les connaisseurs de comics de super-héros reconnaitront le travail de Peter Krause. Il réalise des planches très bien découpées dans un style cinématographique de qualité. En plus, le format BD permet de bien profiter des dessins. L'atmosphère est très sombre comme on est en droit de l'attendre dans ce genre d'histoire. Blacking out est un très bon polar efficace avec plusieurs pistes à suivre sans jamais deviner la fin. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blacking-out?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Bon alors je m'excuse du retard de cette critique car.... je pensais l'avoir faite. ET ca serait dommage de ne pas la faire, après le foin que e premier tome a fait outre atlantique. En effet, ce Superman nous montre un Jon Kent qui tombe amoureux... d'un garçon. Pour être très sincère, je trouverais vraiment dommage que l'on s'arrête à ce détail. En effet, ce nouveau tome de Superman recèle vraiment autre chose qu'un simple coming out de super héros. Il parle surtout du poids de l'héritage et de la difficulté à sortir des sillons tracés par son paternel. Et en cela ce tome un est très intéressant. On voit tout de suite que le nouveau superman ne sera PAS comme l'ancien. L'aspect politique du super héros est aussi au centre des préoccupations de Jon et change beaucoup du Clark très lisse. Un nouveau superman qui va être intéressant à suivre, et cela pour bien autre chose que son attirance pour les garçons.
  4. Titre de l'album : Superman son of Hal El Infinite T1 Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : John Timms Coloriste : John Timms Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Jonathan Kent a subi beaucoup d'expériences au cours de sa jeune vie : traversé de nombreuses épreuves et même vécu dans le futur avec la Légion des Super-Héros, chargés de l'entraîner pour le jour où son père, Clark Kent, ne pourrait plus être Superman. Même si Jon ne sait pas exactement Critique : Bon alors je m'excuse du retard de cette critique car.... je pensais l'avoir faite. ET ca serait dommage de ne pas la faire, après le foin que e premier tome a fait outre atlantique. En effet, ce Superman nous montre un Jon Kent qui tombe amoureux... d'un garçon. Pour être très sincère, je trouverais vraiment dommage que l'on s'arrête à ce détail. En effet, ce nouveau tome de Superman recèle vraiment autre chose qu'un simple coming out de super héros. Il parle surtout du poids de l'héritage et de la difficulté à sortir des sillons tracés par son paternel. Et en cela ce tome un est très intéressant. On voit tout de suite que le nouveau superman ne sera PAS comme l'ancien. L'aspect politique du super héros est aussi au centre des préoccupations de Jon et change beaucoup du Clark très lisse. Un nouveau superman qui va être intéressant à suivre, et cela pour bien autre chose que son attirance pour les garçons. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-son-of-kal-el-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Une étude en émeraude

    Ce comics est l'adaptation d’une nouvelle écrit par Neil Gaiman, auteur de nombreux comics cultes comme Sandman pour ne citer que celui-là. Le scénariste Rafael Scavone se charge de son adaptation en comics. Avec une étude en émeraude, les auteurs s'inspirent des univers d’Arthur Conan Doyle pour la partie Sherlock Holmes et de Howard Phillips Lovecraft pour la partie des grands anciens, ces divinités sombres et tentaculaires. L'histoire est donc un mélange de récit policier avec une partie fantastique bien présente. Dans le monde du détective privé, les grands anciens gouvernent les hommes avec de postes clés parmi les familles royales. Cette dimension apporte évidemment beaucoup d'originalité à l'histoire mais l'on pourra regretter que le récit ne développe pas assez ce concept. Il reste très plaisant de suivre les aventures du détective avec toutes ses déductions qui ont fait son succès. La partie graphique est réalisée par Rafael Albuquerque très en forme sur cette histoire. Les planches sont de qualité avec une ambiance bien sombre comme on peut l'attendre d'un tel récit. Pour parfaire l'ensemble, Dave Stewart assure les couleurs. Avec Une étude en émeraude, les auteurs rendent de nombreux hommages comme vous pourrez le découvrir à des références de la littératures de cette époque, comme le docteur Jekyll et mister Hyde ou Dracula avec Vlad Tepes.
  6. Titre de l'album : Une étude en émeraude Scenariste de l'album : Rafael Scavone, Neil Gaiman Dessinateur de l'album : Rafael Albuquerque Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : L'éventreur frappe à Londres et seul le plus grand détective du monde saura l'arrêter ! Face à un étrange assassinat d'horreur cosmique, un détective de génie et son partenaire sont appelés à l'aide. Dans un monde où Sherlock Holmes et Chtulhu cohabitent, ce mystère surnaturel conduira les deux enquêteurs de Baker Street jusqu'au Palais de la Reine afin de résoudre un meurtre transcendant le genre humain. Après avoir remporté les prix Hugo, Bram Stoker, Locus, World Fantasy et Nebula, l'écrivain à succès Neil Gaiman nous livre cette adaptation en roman graphique, assisté au dessin par Rafael Albuquerque ! Critique : Ce comics est l'adaptation d’une nouvelle écrit par Neil Gaiman, auteur de nombreux comics cultes comme Sandman pour ne citer que celui-là. Le scénariste Rafael Scavone se charge de son adaptation en comics. Avec une étude en émeraude, les auteurs s'inspirent des univers d’Arthur Conan Doyle pour la partie Sherlock Holmes et de Howard Phillips Lovecraft pour la partie des grands anciens, ces divinités sombres et tentaculaires. L'histoire est donc un mélange de récit policier avec une partie fantastique bien présente. Dans le monde du détective privé, les grands anciens gouvernent les hommes avec de postes clés parmi les familles royales. Cette dimension apporte évidemment beaucoup d'originalité à l'histoire mais l'on pourra regretter que le récit ne développe pas assez ce concept. Il reste très plaisant de suivre les aventures du détective avec toutes ses déductions qui ont fait son succès. La partie graphique est réalisée par Rafael Albuquerque très en forme sur cette histoire. Les planches sont de qualité avec une ambiance bien sombre comme on peut l'attendre d'un tel récit. Pour parfaire l'ensemble, Dave Stewart assure les couleurs. Avec Une étude en émeraude, les auteurs rendent de nombreux hommages comme vous pourrez le découvrir à des références de la littératures de cette époque, comme le docteur Jekyll et mister Hyde ou Dracula avec Vlad Tepes. Autres infos : Edition Black River Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-etude-en-emeraude?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Assassin's creed est une référence dans le domaine du jeu vidéo avec le dernier épisode intitulé valhalla qui se déroule à l'époque des vikings. Avec le chant de gloire le scénariste Cavan Scott nous offre une intrigue prenante en guise de préquel au jeu. Les amateurs de jeux vidéo sont nombreux parmi les lecteurs de bande dessinée et de comics, cet album permet d'étendre l'univers des assassins afin d'apporter d'autres informations. Il n'est pas essentiel de connaitre le jeu pour profiter de l'histoire mais les clins d'œil et autres anecdotes y faisant référence sont nombreuses. On retrouve donc le personnage d'Eivor une guerrière viking parmi le clan de son père. En parallèle, son frère Sigurd est à la recherche d'une épée qui fera sa gloire future dans les combats. L'ambiance vikings est bien rendue avec des combats violents et une partie mythique avec l'oracle et ses visions de l'avenir. Dommage que ce one shot ne soit composé que de trois chapitres. Les dessins de Martín Tunica sont de qualité pour dépeindre ce monde barbare dans un style comics. Les joueurs d'Assassin's creed trouveront leur compte avec l’histoire du chant de gloire en compagnie d'Eivor le personnage principal du jeu vidéo et de son frère. Black River est un nouveau label de comics qui propose dès son lancement trois titres, Assassin's creed Valhalla, Une étude en émeraude et Magic dont les chroniques sont à venir. L’édition des albums est de qualité avec des genres bien définis dont la science-fiction, le fantastique, l’anticipation ou la mythologie pour leur catalogue.
  8. Titre de l'album : Assassin's creed valhalla - Le chant de gloire Scenariste de l'album : Cavan Scott Dessinateur de l'album : Martín Tunica Coloriste : Michael Atiyeh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : De courageux vikings en quête de gloire affrontent leurs destins dans ce préquel du célèbre jeu vidéo d'Ubisoft ! Norvège. Milieu du neuvième siècle après Jésus-Christ. Après avoir sauvé les habitants d'un village pillé par un royaume voisin, la guerrière viking Eivor revendique le butin au nom de son père, le sage roi Styrbjorn. Elle ramène également une prisonnière abandonnée par ses rivaux et qui déclare posséder les secrets de la légendaire Asgard. Mais sa victoire sera-t-elle une bénédiction pour son clan ou une terrible malédiction ? Pendant ce temps, dans les terres de l'Est, son frère Sigurd traque un autre genre de légende, celui d'une épée en acier au creuset qui changera son destin à tout jamais. Critique : Assassin's creed est une référence dans le domaine du jeu vidéo avec le dernier épisode intitulé valhalla qui se déroule à l'époque des vikings. Avec le chant de gloire le scénariste Cavan Scott nous offre une intrigue prenante en guise de préquel au jeu. Les amateurs de jeux vidéo sont nombreux parmi les lecteurs de bande dessinée et de comics, cet album permet d'étendre l'univers des assassins afin d'apporter d'autres informations. Il n'est pas essentiel de connaitre le jeu pour profiter de l'histoire mais les clins d'œil et autres anecdotes y faisant référence sont nombreuses. On retrouve donc le personnage d'Eivor une guerrière viking parmi le clan de son père. En parallèle, son frère Sigurd est à la recherche d'une épée qui fera sa gloire future dans les combats. L'ambiance vikings est bien rendue avec des combats violents et une partie mythique avec l'oracle et ses visions de l'avenir. Dommage que ce one shot ne soit composé que de trois chapitres. Les dessins de Martín Tunica sont de qualité pour dépeindre ce monde barbare dans un style comics. Les joueurs d'Assassin's creed trouveront leur compte avec l’histoire du chant de gloire en compagnie d'Eivor le personnage principal du jeu vidéo et de son frère. Black River est un nouveau label de comics qui propose dès son lancement trois titres, Assassin's creed Valhalla, Une étude en émeraude et Magic dont les chroniques sont à venir. L’édition des albums est de qualité avec des genres bien définis dont la science-fiction, le fantastique, l’anticipation ou la mythologie pour leur catalogue. Autres infos : Edition Black River Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/assassin-s-creed-valhalla-le-chant-de-gloire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Après un tome 1 qui était une claque visuelle et créative, nous offrant un monde de SF original et touffu qu'il nous tardait de mieux appréhender, on attendait de pied ferme ce tome 2. Las j'avoue que si visuellement c'est presque encore plus impressionnant que le tome 1 avec des couleurs toujours aussi pregnantes et une lisibilité que j'ai trouvé meilleure des scènes d'action, je vous avoue que le scénario un peu moins lisible et finalement beaucoup plus conventionnel m'a laissé sur ma faim. J'ai été surpris car après les éléments en place du tome 1 ce tome 2 fait presque pâle figure tant les enjeux semblent plus anecdotiques. Je vais attendre le tome 3 pour mieux comprendre quelle direction va prendre cette petite pépite, mais j'avoue être désormais un peu plus sur la réserve. Par contre visuellement si vous avez aimé le premier, ce second me semble presque plus abouti, même légèrement amputé des grands plans de space opéra qui faisaient le charme du premier.
  10. Titre de l'album : We only find them when they're dead - Tome 2 - Les voleurs Scenariste de l'album : Al Ewing Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Mariasara Miotti Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : 2414. Cinquante ans se sont écoulés depuis la mission funeste du Vihaan II. L'univers a changé radicalement, partagé entre les Moissonneurs et les Adorateurs. Jason Hauer, le dernier membre survivant de l'équipage du capitaine Malik, mène une vie de prisonnier. Quand l'ambassadrice des Mondes Internes vient négocier la paix entre les deux clans, Jason se retrouve au coeur d'une machination impliquant son ancien capitaine d'une façon qui dépasse l'entendement... Tout juste auréolé du titre de meilleur lancement pour un indé HiComics, We Only Find Them When They're Dead, de Al Ewing(Immortal Hulk, Avengers...) et Simone Di Meo(Tortues Ninjas & Power Rangers), est de retour avec un deuxième tome crucial pour Malik et son équipage. Critique : Après un tome 1 qui était une claque visuelle et créative, nous offrant un monde de SF original et touffu qu'il nous tardait de mieux appréhender, on attendait de pied ferme ce tome 2. Las j'avoue que si visuellement c'est presque encore plus impressionnant que le tome 1 avec des couleurs toujours aussi pregnantes et une lisibilité que j'ai trouvé meilleure des scènes d'action, je vous avoue que le scénario un peu moins lisible et finalement beaucoup plus conventionnel m'a laissé sur ma faim. J'ai été surpris car après les éléments en place du tome 1 ce tome 2 fait presque pâle figure tant les enjeux semblent plus anecdotiques. Je vais attendre le tome 3 pour mieux comprendre quelle direction va prendre cette petite pépite, mais j'avoue être désormais un peu plus sur la réserve. Par contre visuellement si vous avez aimé le premier, ce second me semble presque plus abouti, même légèrement amputé des grands plans de space opéra qui faisaient le charme du premier. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-only-find-them-when-they-re-dead-tome-2-les-voleurs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    The Cape

    Bon tout d'abord rétablissons une vérité importante : contrairement à ce que la couverture nous laisse supposer, ce The Cape n'est pas un comics signé par Joe Hill. C'est l'adaptation en comics d'une nouvelle écrite par Joe Hill. Et c'est réalisé par Zach Howard et Jason Ciaramella. Je comprends que l'éditeur communique sur le nom de Joe Hill car il est clairement un auteur que l'on s'arrache, mais j'aurais aimé quand même voir les noms des dessinateurs et scénaristes. Un simple adapté de l'oeuvre de Joe Hill c'est bien aussi. Bon, après cette introduction sous forme de douche froide, venons en aux faits. Ce The Cape est un indispensable du lecteur de comics indé et amateur de super héros à ces heures perdues. C'est un savant mix de No Héro et de The Boyz mais ramenés à une échelle bien plus humaine. Graphiquement c'est très très beau et parfaitement adapté à l'histoire sombre de The Cape. Les personnages sont crédibles, bien amenés, avec un soin apporté aussi bien aux seconds rôles qu'à notre anti héros. La narration est rythmée et parfaitement adaptée à l'histoire et au nombre de pages. Bref, foncez, j'ai adoré. Par contre, oubliez votre âme douce et charitable, ce The Cape est décidément une sombre affaire.
  12. The_PoP

    The Cape

    Titre de l'album : The Cape Scenariste de l'album : Jason Ciaramella Dessinateur de l'album : Zach Howard Coloriste : Nelson Daniel Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Qui n'a pas rêvé de s'élancer dans les airs ? De détenir d'extraordinaires pouvoirs ? Mais qu'arriverait-il si ce rêve se réalisait ? Éric est un homme brisé. Depuis l'accident tragique qui a bouleversé sa vie, à huit ans, et lui a arraché ses rêves de grandeur, rien n'a plus de sens. Si seulement il remettait la main sur la cape de son enfance, l'impossible serait à portée de main. Il pourrait s'envoler vers le ciel... et assouvir enfin ses désirs de vengeance. Critique : Bon tout d'abord rétablissons une vérité importante : contrairement à ce que la couverture nous laisse supposer, ce The Cape n'est pas un comics signé par Joe Hill. C'est l'adaptation en comics d'une nouvelle écrite par Joe Hill. Et c'est réalisé par Zach Howard et Jason Ciaramella. Je comprends que l'éditeur communique sur le nom de Joe Hill car il est clairement un auteur que l'on s'arrache, mais j'aurais aimé quand même voir les noms des dessinateurs et scénaristes. Un simple adapté de l'oeuvre de Joe Hill c'est bien aussi. Bon, après cette introduction sous forme de douche froide, venons en aux faits. Ce The Cape est un indispensable du lecteur de comics indé et amateur de super héros à ces heures perdues. C'est un savant mix de No Héro et de The Boyz mais ramenés à une échelle bien plus humaine. Graphiquement c'est très très beau et parfaitement adapté à l'histoire sombre de The Cape. Les personnages sont crédibles, bien amenés, avec un soin apporté aussi bien aux seconds rôles qu'à notre anti héros. La narration est rythmée et parfaitement adaptée à l'histoire et au nombre de pages. Bref, foncez, j'ai adoré. Par contre, oubliez votre âme douce et charitable, ce The Cape est décidément une sombre affaire. Autres infos : Inspiré d'une nouvelle de Joe Hill Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-cape-231811?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Les aventures originales de Red Sonja se termine avec ce quatrième tome qui ne propose pas moins de treize histoires réalisées par plusieurs auteurs habitués à cette série depuis ses débuts. La grande majorité des histoires sont composées d'un seul chapitre sauf pour le récit de l'anneau d'Ikribu composé de quatre chapitres sur une centaine de pages. Toutes les histoires de ce volume couvrent la période de 1975 à 1995. Tous les scénaristes proposent des aventures hautes en couleur avec plein de monstres à combattre, des sorciers et autres personnages de l'heroic fantasy. Les histoires courtes se résument souvent à combattre un ennemi à coup d'épée pour régler les divers problématiques mais il est toujours plaisant de voir comment Red Sonja va s'en sortir. Un sorcier fait appelle à Red Sonja et devra faire face à plusieurs femmes avec les attributs de la fameuse guerrière. Une dizaine de dessinateurs se succèdent sur les histoires de Red Sonja avec des styles relativement proches. Les dessins n'ont pas vieilli et l'on peut admirer le travail de plusieurs auteurs de renommés comme Frank Thorne ou John Buscema pour ne citer que ces deux-là. Les quatre volumes de cette collection sont excellents et je les recommande aux amateurs des récits de fantasy et autres lecteurs des aventures de Conan comme les histoires se déroulent dans le même univers.
  14. Titre de l'album : Les aventures originales de Red Sonja tome 4 Scenariste de l'album : Roy Thomas, Doug Moench, Clair Noto, Frank Thorne, Christy Marx, Bruce Jones, Peter B Gillis, Mary Javins, Roy Thomas, Dann Thomas Dessinateur de l'album : Howard Chaykin, Frank Thorne, John Buscema, Tony DeZuniga, Dick Giordano, Bruce Jones, Steve Carr, Steve Bucellato, Michael Kelleher, Esteban Maroto Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Dans le Monde Hyborien de Conan le barbare, une paysanne des steppes d'Hyr­ka­nie vit ses derniers moments d'in­­­souciance. Des mercenaires font irruption et tuent sa famille avant d'abuser d'elle. Scathach, la déesse rouge, entendant les suppliques de la pauvrette, la pare d'un don pour le maniement des armes qui la rend invincible. Une seule condition : elle ne devra en aucun cas s'adonner à la chair avec un homme qui ne l'aura dominé au combat. Ainsi naît Red Sonja, la dia­blesse à l'épée et au tempérament revêche. Née d'une nouvelle de Robert E. Howard, le créateur de Conan, et d'un scénario de Roy Thomas, Red Sonja prend corps dans la tenue qu'on lui connaît sous le trait d'Esteban Maroto et prendra son essor dans une série à son nom avec Frank Thorne, en 1975. Ce livre est une mine d'or pour ceux qui souhaitent donner un sens à leurs vacances et leurs week-ends en Champagne. Critique : Les aventures originales de Red Sonja se termine avec ce quatrième tome qui ne propose pas moins de treize histoires réalisées par plusieurs auteurs habitués à cette série depuis ses débuts. La grande majorité des histoires sont composées d'un seul chapitre sauf pour le récit de l'anneau d'Ikribu composé de quatre chapitres sur une centaine de pages. Toutes les histoires de ce volume couvrent la période de 1975 à 1995. Tous les scénaristes proposent des aventures hautes en couleur avec plein de monstres à combattre, des sorciers et autres personnages de l'heroic fantasy. Les histoires courtes se résument souvent à combattre un ennemi à coup d'épée pour régler les divers problématiques mais il est toujours plaisant de voir comment Red Sonja va s'en sortir. Un sorcier fait appelle à Red Sonja et devra faire face à plusieurs femmes avec les attributs de la fameuse guerrière. Une dizaine de dessinateurs se succèdent sur les histoires de Red Sonja avec des styles relativement proches. Les dessins n'ont pas vieilli et l'on peut admirer le travail de plusieurs auteurs de renommés comme Frank Thorne ou John Buscema pour ne citer que ces deux-là. Les quatre volumes de cette collection sont excellents et je les recommande aux amateurs des récits de fantasy et autres lecteurs des aventures de Conan comme les histoires se déroulent dans le même univers. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-aventures-originales-de-red-sonja-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    The swamp thing infinite t1

    Après les aventures de la Justice League Dark et de Death metall, on se demandait ce qu'il était advenu de la créature du marais. Eh bien elle attendait d'avoir suffisamment de contenu pour nous montrer son reboot à elle et son futur possible. En effet, ce premier tome de Swamp Thing Infinite comprend aussi Swamp Thing Future state. On se retrouve donc avec un gros premier tome qui est complètement autonome. Tant qu'à faire un reboot, Ram V a choisi de transformer le personnage en changeant l'avatar historique de la sève. Exit Alex Holland et bienvenu à Levi Kamei. Cela permet vraiment à tout nouveau lecteur partir sans historique et de bien comprendre d'où vient cet avatar, car qui dit nouvel avatar dit explication sur le pourquoi de cette transformation tout comme l'acceptation de ce rôle. Un bon premier tome pour un personnage un peu trop sous-estimé.
  16. Titre de l'album : The swamp thing infinite t1 Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Mike Perkins Coloriste : Mike Perkins Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lors d'un voyage en Inde, le pays qui l'a vu naître, Levi Kamei s'est mystérieusement vu lié à la Sève, devenant ainsi la nouvelle incarnation de Swamp Thing. Incapable de contrôler son effroyable transformation, Levi est propulsé sur la piste d'une entité surnaturelle errant dans le désert de l'Arizona, laissant plusieurs corps mutilés sur son passage. Pour contrer cet ennemi impitoyable, il n'a guère d'autre choix que de partir en quête de son passé et de son intime connexion avec la Sève pour découvrir sa véritable nature, aussi horrible soit-elle. Contenu vo : The Swamp Thing #1-10 + Future State : Swamp Thing #1-2. Critique : Après les aventures de la Justice League Dark et de Death metall, on se demandait ce qu'il était advenu de la créature du marais. Eh bien elle attendait d'avoir suffisamment de contenu pour nous montrer son reboot à elle et son futur possible. En effet, ce premier tome de Swamp Thing Infinite comprend aussi Swamp Thing Future state. On se retrouve donc avec un gros premier tome qui est complètement autonome. Tant qu'à faire un reboot, Ram V a choisi de transformer le personnage en changeant l'avatar historique de la sève. Exit Alex Holland et bienvenu à Levi Kamei. Cela permet vraiment à tout nouveau lecteur partir sans historique et de bien comprendre d'où vient cet avatar, car qui dit nouvel avatar dit explication sur le pourquoi de cette transformation tout comme l'acceptation de ce rôle. Un bon premier tome pour un personnage un peu trop sous-estimé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/swamp-thing-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    The Plot - Tome 2 - 1674

    On ne va pas se le cacher, la sortie de ce The Plot - Tome 2 risque fort de faire bien moins de bruit que celle du préquel de Locke & Key la même semaine chez Hi Comics. S'ils ont en commun l'approche fantastique et Lovecraftienne du thème de la famille, on va tout de suite le dire : les ambiances sont radicalement différentes. Si l'intrigue de The Plot est beaucoup plus simple et classique que celle de Locke & Key, elle n'en reste pas moins très réussie pour un diptyque d'horreur en comics, genre Ô combien compliqué. D'ailleurs les ambiances sont particulièrement réussies, notamment servies par le dessin anxiogène de Hicxson. Il faut par ailleurs savoir que ce tome 2 n'aurait jamais du voir le jour en France car devant le faible nombre de vente du premier tome, celui-ci devait être abandonné. Cela aurait été à mon humble avis fort dommage tant cette conclusion est parfaite et nous livre un final haletant à un diptyque angoissant à souhait. The Plot est passé à tort relativement incognito dans le paysage du comics indé, mais ses qualités sauront séduire ses lecteurs. Ceux qui ont aimé le premier, jetez vous dessus, car il n'y en aura malheureusement probablement pas beaucoup en librairies.
  18. Titre de l'album : The Plot - Tome 2 - 1674 Scenariste de l'album : Tim Daniel Dessinateur de l'album : Josh Hixson Coloriste : Jordan Boyd Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Aux origines de la malédiction Blaine... Un mal ancien frappe la famille Blaine depuis des générations et hante leur demeure ancestrale. Pour échapper à son sinistre héritage et protéger ses neveux, Chaise Blaine n'a plus le choix : il doit trouver un moyen de détruire la maison et toutes les horreurs tapies en ses murs... mais les fantômes du passé n'ont pas dit leur dernier mot. Alors que la tempête fait rage à Cape Augusta, les secrets de famille se réveillent et menacent de tout engloutir. Chase, MacKenzie et Zach Blaine semblent condamnés à payer les erreurs de leurs ancêtres... Une plongée cauchemardesque dans les eaux troubles du passé, une atmosphère poisseuse et des personnages terriblement attachants pour une conclusion magistrale au rythme haletant. Tim Daniel, Michael Moreci (Curse, Burning Fields) et Joshua Hixson (Shanghai Red) livrent le dernier volet de leur série d'horreur à la croisée de Locke & Key, Swamp Thing et H.P. Lovecraft. Critique : On ne va pas se le cacher, la sortie de ce The Plot - Tome 2 risque fort de faire bien moins de bruit que celle du préquel de Locke & Key la même semaine chez Hi Comics. S'ils ont en commun l'approche fantastique et Lovecraftienne du thème de la famille, on va tout de suite le dire : les ambiances sont radicalement différentes. Si l'intrigue de The Plot est beaucoup plus simple et classique que celle de Locke & Key, elle n'en reste pas moins très réussie pour un diptyque d'horreur en comics, genre Ô combien compliqué. D'ailleurs les ambiances sont particulièrement réussies, notamment servies par le dessin anxiogène de Hicxson. Il faut par ailleurs savoir que ce tome 2 n'aurait jamais du voir le jour en France car devant le faible nombre de vente du premier tome, celui-ci devait être abandonné. Cela aurait été à mon humble avis fort dommage tant cette conclusion est parfaite et nous livre un final haletant à un diptyque angoissant à souhait. The Plot est passé à tort relativement incognito dans le paysage du comics indé, mais ses qualités sauront séduire ses lecteurs. Ceux qui ont aimé le premier, jetez vous dessus, car il n'y en aura malheureusement probablement pas beaucoup en librairies. Autres infos : Ambiance réussie Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-plot-tome-2-1674?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    After t1

    Attention. Cette critique s'adresse aux personnes qui ont moins de 17 ans et plus de 12, et majoritairement aux filles..... Je préfère vous le dire tout de suite, car ce comics, tiré d'une série de romans connus pour avoir été écrit sur smartphone par Anna Todd en 2014, enchaine les clichés de l'histoire d'amour américaine pour jeune fille. Notre histoire parle d'une jeune fille de bonne famille de la campagne qui arrive dans la grande université et qui tombe amoureuse du bad guy pas si bad que ça, car mal dans sa peau, mais qu'elle ne doit pas approcher parce qu'elle a un petit ami frigide qui l'attend dans sa cambrousse. Et elle passe par tous les stades normaux de tourments amoureux... Ce n'est pas mal fait, mais c'est juste super téléphoné… À lire si vous n'aviez pas déjà lu de love story américaine depuis 6 mois
  20. poseidon2

    After t1

    Titre de l'album : After t1 Scenariste de l'album : Anna Todd Dessinateur de l'album : Anna Todd Coloriste : Anna Todd Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : Avant lui, elle contrôlait sa vie... Tessa est une fille bien. Son petit ami, un garçon doux et sur qui elle peut compter, l'attend dans sa ville natale. Elle est ambitieuse, volontaire, et a une mère déterminée à la garder dans le droit chemin. Elle vient à peine d'emménager dans sa chambre de première année de fac quand elle rencontre Hardin Scott, les cheveux bruns en bataille, un accent anglais insolent et des tatouages sur tout le corps. Il est beau, sûr de lui et plutôt grossier, voire un peu cruel. Avec son arrogance et ses insultes, Hardin représente tout ce que Tessa devrait haïr, et c'est le cas... jusqu'au moment où son côté taciturne finit par avoir raison d'elle. Ce n'est alors plus qu'une question de temps avant qu'Hardin ne souffle sur les braises d'une passion que Tessa n'avait encore jamais connue. Il va lui dire qu'elle est magnifique, affirmer qu'il n'est pas celui qu'il lui faut à coups de faux prétextes et d'absences injustifiées, encore et encore. Il se détournera d'elle, mais s'accrochera encore plus fort lorsqu'elle voudra aller de l'avant. En dépit de la désinvolture avec laquelle Hardin la traite, Tessa ne peut s'empêcher d'être attirée par sa vulnérabilité et est déterminée à révéler le vrai Hardin sous ce masque de mensonges. Critique : Attention. Cette critique s'adresse aux personnes qui ont moins de 17 ans et plus de 12, et majoritairement aux filles..... Je préfère vous le dire tout de suite, car ce comics, tiré d'une série de romans connus pour avoir été écrit sur smartphone par Anna Todd en 2014, enchaine les clichés de l'histoire d'amour américaine pour jeune fille. Notre histoire parle d'une jeune fille de bonne famille de la campagne qui arrive dans la grande université et qui tombe amoureuse du bad guy pas si bad que ça, car mal dans sa peau, mais qu'elle ne doit pas approcher parce qu'elle a un petit ami frigide qui l'attend dans sa cambrousse. Et elle passe par tous les stades normaux de tourments amoureux... Ce n'est pas mal fait, mais c'est juste super téléphoné… À lire si vous n'aviez pas déjà lu de love story américaine depuis 6 mois Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/after-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. alx23

    Radiant black tome 1

    Ce premier tome de Radiant black reprend les six premiers chapitres de cette série de super-héros comparable à la série Invincible. En effet, le scénario nous propose de suivre le quotidien d'un jeune écrivain endetté qui retourne vivre chez ses parents en attendant d'être édité un jour. Il retrouve un ami d'enfance de sa ville natale avant l'apparition de petites sphères noir qui donnent des pouvoirs à certains élus. L'histoire bascule alors dans les aventures de super-héros pure et dure avec des ennemis possédants des pouvoirs à combattre. Le récit n'est pas très original et n'apporte pas de nouveauté au genre mais reste efficace pour les lecteurs aimant les histoires de super-héros hors DC et Marvel. Pour la partie graphique, Marcelo Costa donne la touche de la série sur les quatre premiers chapitres avant de laisser la place à deux autres dessinateurs dans des styles différents. C'est une technique courante aux Etats-Unis pour permettre des sorties de comics rapprochés. Le costume de Radiant Black a un design très stylé. Ce premier tome est une agréable lecture sans grande surprise dans son déroulement.
  22. Titre de l'album : Radiant black tome 1 Scenariste de l'album : Kyle Higgins & Cherish Chen Dessinateur de l'album : Marcelo Costa, Edouardo Ferinato & David Lafuente Coloriste : Marcelo Costa, Natalia Marques & Miquel Muerto Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Nathan Burnett vient d'avoir trente ans. Sa vie est moche. Il cumule deux emplois, s'endette trop et est obligé de retourner vivre chez ses parents. En revanche, quand il découvre et active le Radiant , un colossal pouvoir cosmique, son existence change du jour au lendemain ! Seul petit problème : les êtres cosmiques qui ont créé le Radiant veulent le récupérer... à tout prix ! Critique : Ce premier tome de Radiant black reprend les six premiers chapitres de cette série de super-héros comparable à la série Invincible. En effet, le scénario nous propose de suivre le quotidien d'un jeune écrivain endetté qui retourne vivre chez ses parents en attendant d'être édité un jour. Il retrouve un ami d'enfance de sa ville natale avant l'apparition de petites sphères noir qui donnent des pouvoirs à certains élus. L'histoire bascule alors dans les aventures de super-héros pure et dure avec des ennemis possédants des pouvoirs à combattre. Le récit n'est pas très original et n'apporte pas de nouveauté au genre mais reste efficace pour les lecteurs aimant les histoires de super-héros hors DC et Marvel. Pour la partie graphique, Marcelo Costa donne la touche de la série sur les quatre premiers chapitres avant de laisser la place à deux autres dessinateurs dans des styles différents. C'est une technique courante aux Etats-Unis pour permettre des sorties de comics rapprochés. Le costume de Radiant Black a un design très stylé. Ce premier tome est une agréable lecture sans grande surprise dans son déroulement. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/radiant-black-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. The_PoP

    Locke & Key - L'âge d'or

    En fantastique Joe Hill aura à travers Locke & Key définitivement marqué de son empreinte le monde de la bd et plus largement je pense celui de la littérature. Reprenant à son compte, sans travestir ni copier les inspirations Lovecraftiennes, il a su les utiliser au mieux pour servir magnifiquement ses récits, qui à travers le prisme du Fantastique nous parle avant tout de nous. Toujours imaginatif et créatif, nous embarquant avec poésie et terreur pour un voyage dans l'imaginaire finalement cohérent et diablement pensé, Joe Hill ne cesse de m'émerveiller. Les doubles sens philosophiques, un féminisme puissant et construit, des réflexions classiques mais éternelles ne cessent ainsi de venir enrichir nos lectures. Cette fois-ci ce sera donc à travers ce recueil de nouvelles sur les origines et donc l'âge d'or de la famille Locke que nous allons replonger dans cet univers. Je le dis tout de suite, si le précédent one shot de nouvelles m'avait parfois laissé sur ma faim, celui-ci est simplement indispensable. J'en connais notamment parmi vous, que l'épisode crossover avec Sandman va titiller sévèrement. Seul bémol, l'une des nouvelles (assez courte) était déjà présente dans l'édition Hi Comics de Locke & Key : Ciel et Terre. Pourquoi donc l'avoir édité sur les deux volumes au lieu d'un seul ? A mon humble avis il y a deux raisons à cela : la première est que la thématique de cette nouvelle s'inscris éditorialement sur les 2 tomes naturellement. La seconde moins noble est pécuniaire, si on enlevait Open the Moon de Ciel et Terre, il ne restait plus assez de nouvelles pour faire une édition séparée, même enrichie du travail bibliographique et de reportage présent en fin d'album. Quand à sa présence dans ce recueil L'âge d'Or, elle est indispensable pour nous donner les clefs de la narration. Vous l'aurez compris, si Ciel et terre s'avère du coup complètement dispensable, sa meilleure nouvelle étant désormais aussi présente dans L'âge d'or, ce dernier se révèle lui juste complètement indispensable. Que vous soyez fan de Locke & Key ou de Sandman. Le dessin de Gabriel Rodriguez ne cesse de m'impressionner car je vous l'avoue très très honnêtement, à l'ouverture du comics pour la première fois, il m'a clairement donné envie de le refermer. Sauf qu'une fois habitué, le niveau de détail, l'expressivité des personnages et des situations, la puissance de l'imaginaire et des mises en scènes fait que vous oublierez très vite vos goûts pour faire face à l'universalité d'une oeuvre majeure : on en reconnait la puissance évocatrice, que l'on aime ou non. Je profite d'ailleurs de cette chronique pour remercier avec émotion mon dealer libraire de l'époque qui à ma question piège "si je dois ressortir avec une seule bd à lire absolument vous me conseillez quoi" m'avait simplement fait partir avec deux tomes de Locke and Key. Merci.
  24. Titre de l'album : Locke & Key - L'âge d'or Scenariste de l'album : Joe Hill Dessinateur de l'album : Gabriel Rodriguez Coloriste : Jay Fotos Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Tous les secrets de Lovecraft n'ont pas encore été révélés.En six histoires courtes, les deux maîtres du Manoir Keyhouse, Joe Hill et Gabriel Rodriguez, vous invitent à un voyage dans le temps et l'espace, et lèvent le voile sur les mystères qui entourent les clés et la famille Locke.Small World Une maison de poupées, une clé magique, un horrible monstre à huit pattes qui sème la terreur à Keyhouse... Des ingrédient de choix pour la pièce maîtresse de ce recueil, brillante réécriture de L'Homme qui rétrécit, le chef-d'oeuvre de Richard Matheson.Dog Days Être les gardiens des clés de Keyhouse de génération en génération est une terrible responsabilité... mais aussi une extraordinaire source d'émerveillement, surtout quand il s'agit de la clé animale !Grindhouse! Des gangsters s'attaquent à la famille Locke, sans savoir que Keyhouse recèle des mystères bien plus redoutables qu'eux... Une histoire grinçante et pleine de suspens, et un habile clin d'oeil aux romans noirs et films de série B.Open the Moon! Après les événements de Small World, retrouvez la famille Locke le temps d'une nuit d'été tout aussi tragique que magique, où une nouvelle clé révèle un pouvoir fantastique: celui d'ouvrir la Lune...In the Can et Nailed it!Où l'on prend quelques nouvelles de Bode, Kinsey et Tyler Locke.Immense succès sur Netflix, Locke & Key déroule le parcours mouvementé de ses héros en six volumes et un recueil d'histoires courtes, bientôt suivis de nouvelles aventures. Critique : En fantastique Joe Hill aura à travers Locke & Key définitivement marqué de son empreinte le monde de la bd et plus largement je pense celui de la littérature. Reprenant à son compte, sans travestir ni copier les inspirations Lovecraftiennes, il a su les utiliser au mieux pour servir magnifiquement ses récits, qui à travers le prisme du Fantastique nous parle avant tout de nous. Toujours imaginatif et créatif, nous embarquant avec poésie et terreur pour un voyage dans l'imaginaire finalement cohérent et diablement pensé, Joe Hill ne cesse de m'émerveiller. Les doubles sens philosophiques, un féminisme puissant et construit, des réflexions classiques mais éternelles ne cessent ainsi de venir enrichir nos lectures. Cette fois-ci ce sera donc à travers ce recueil de nouvelles sur les origines et donc l'âge d'or de la famille Locke que nous allons replonger dans cet univers. Je le dis tout de suite, si le précédent one shot de nouvelles m'avait parfois laissé sur ma faim, celui-ci est simplement indispensable. J'en connais notamment parmi vous, que l'épisode crossover avec Sandman va titiller sévèrement. Seul bémol, l'une des nouvelles (assez courte) était déjà présente dans l'édition Hi Comics de Locke & Key : Ciel et Terre. Pourquoi donc l'avoir édité sur les deux volumes au lieu d'un seul ? A mon humble avis il y a deux raisons à cela : la première est que la thématique de cette nouvelle s'inscris éditorialement sur les 2 tomes naturellement. La seconde moins noble est pécuniaire, si on enlevait Open the Moon de Ciel et Terre, il ne restait plus assez de nouvelles pour faire une édition séparée, même enrichie du travail bibliographique et de reportage présent en fin d'album. Quand à sa présence dans ce recueil L'âge d'Or, elle est indispensable pour nous donner les clefs de la narration. Vous l'aurez compris, si Ciel et terre s'avère du coup complètement dispensable, sa meilleure nouvelle étant désormais aussi présente dans L'âge d'or, ce dernier se révèle lui juste complètement indispensable. Que vous soyez fan de Locke & Key ou de Sandman. Le dessin de Gabriel Rodriguez ne cesse de m'impressionner car je vous l'avoue très très honnêtement, à l'ouverture du comics pour la première fois, il m'a clairement donné envie de le refermer. Sauf qu'une fois habitué, le niveau de détail, l'expressivité des personnages et des situations, la puissance de l'imaginaire et des mises en scènes fait que vous oublierez très vite vos goûts pour faire face à l'universalité d'une oeuvre majeure : on en reconnait la puissance évocatrice, que l'on aime ou non. Je profite d'ailleurs de cette chronique pour remercier avec émotion mon dealer libraire de l'époque qui à ma question piège "si je dois ressortir avec une seule bd à lire absolument vous me conseillez quoi" m'avait simplement fait partir avec deux tomes de Locke and Key. Merci. Autres infos : Un must have Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/locke-key-tome-7-age-d-or?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. alx23

    Safrane Chu tome 2

    Au final, je crois que je préfère ce spin-off à la série d'origine. John Layman est toujours au scénario avec des histoires déjantés et des personnes aux pouvoirs très particuliers. Safrane est une ciboparse, elle est capable de lire dans les pensées de tous ceux avec qui elle partage un repas. Elle est accompagnée de son compagnon, aux envies meurtrières et son grand-père en chaise roulante qui est le seul à se souvenir de l'emplacement d'ancien trésor. Au contraire de son frère, elle utilise son don pour parfaire son expertise dans les domaines illégaux comme le cambriolage, les arnaques et toutes autres méfaits pour gagner de l'argent. Dance cet épisode, John Layman nous propose même des voyages dans le temps après une croisière en bateau où le couple de voleurs dérobait tous les passagers. L'humour est bien présent, j'aime beaucoup cette touche particulière de cette série. Pour les dessins, Dan Boultwood assure des planches dans un style assez cartoon, très réussi. Je pense que les auteurs ont encore pas mal d'idées pour la suite de cette série avec la nouvelle équipe de braqueurs.
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