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  1. Je ne savais pas. J'en suis le premier désolé ais oui je pensais que Batman était une création de Bob Cane.... et uniquement de lui. Alors j'ai été surpris par le début de la lecture et j'ai ensuite dévoré l'histoire de ce scénariste malheureux, ais surtout l'histoire d'une époque ou l'univers du comics, sous couvert d'age d'or extérieurement, était une jungle ou les auteurs qui faisaient le devant de l'affiche pouvaient cacher une foule de personnes travaillant dans l'ombre. Porté par un dessin superbe tout en rondeur 'tendance Munuera", Julien Voloj nous livre une enquête biographique aussi intense que bien menée. On oscille entre les passages dans le présent avec des interviews de contemporains de Bill Finger et des passages représentant la vie à l'époque du boum des comics aux USA. Une belle histoire qui rend hommage à titre posthume aux idées derrières les dessins !
  2. Titre de l'album : Bill Finger, dans l'ombre du mythe Scenariste de l'album : Julien Voloj Dessinateur de l'album : Erez Zadok Coloriste : Erez Zadok Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : En 2006, Marc Tyler Nobleman débutait sa quête pour en savoir plus sur le co-créateur rarement cité de Batman. L'homme qui a créé la quasi-totalité de la mythologie entourant l'un des super-héros les plus emblématiques de l'histoire est mort dans la pauvreté en 1974. "Bill Finger, dans l'ombre du mythe" est un roman graphique sur la quête de Nobleman, c'est une histoire sur le traumatisme et la justice racontée à différents niveaux narratifs. Il y a la recherche de Nobleman, qui retrace la véritable histoire derrière le Chevalier Noir. Il y a ensuite l'histoire de Bill, sa rencontre avec Bob Kane, son travail et ses difficultés dans l'industrie de la bande dessinée, sa dépression alors que Kane, considéré comme l'unique créateur de Batman, est sous les feux de la rampe. Ensuite, il y a l'histoire du fils de Bill qui tente en vain de rétablir l'héritage de son père tout en luttant contre sa propre sexualité et, plus tard, contre le VIH. Enfin, il y a l'histoire d'Athena, la petite-fille de Bill, dont personne ne croit que son grand-père est le co-créateur de Batman. Fidèle aux récits de Batman, l'histoire prend des allures de roman policier révélant la tragique et véritable histoire derrière la création de Batman. Le livre bénéficie d'une préface de la petite-fille de Finger, Athena Finger, et de l'historien Marc Tyler Nobleman, qui a joué un rôle déterminant dans l'établissement du crédit de co-créateur de Finger à titre posthume en 2015. Critique : Je ne savais pas. J'en suis le premier désolé ais oui je pensais que Batman était une création de Bob Cane.... et uniquement de lui. Alors j'ai été surpris par le début de la lecture et j'ai ensuite dévoré l'histoire de ce scénariste malheureux, ais surtout l'histoire d'une époque ou l'univers du comics, sous couvert d'age d'or extérieurement, était une jungle ou les auteurs qui faisaient le devant de l'affiche pouvaient cacher une foule de personnes travaillant dans l'ombre. Porté par un dessin superbe tout en rondeur 'tendance Munuera", Julien Voloj nous livre une enquête biographique aussi intense que bien menée. On oscille entre les passages dans le présent avec des interviews de contemporains de Bill Finger et des passages représentant la vie à l'époque du boum des comics aux USA. Une belle histoire qui rend hommage à titre posthume aux idées derrières les dessins ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bill-finger-dans-l-ombre-du-mythe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Deadly class t10

    Le retour de la série complètement folle de Rick Remender. Enfin non pas folle, trash. Et dire qu'on attendait ce tome 10 avec impatience serait un euphémisme. En effet le tome 9 avait laissé nos hérios dans un état déplorable. Et comme souvent dans cette série, Rick Remender nous prend à contre pied en commencant cette histoire par... la fin. Voir meme peut être bien pas loin de la fin de la série. Et comme il le souhaite, il déboussole complètement le lecteur avec une temporalité que l'on ne comprend pas et surtout des personnages completement hors du sujet précédent. Mais de facon très intelligente, après nous avoir mis dans le brouillard, il nous prend la main pour nous montrer ce qu'il s'est passé pour en arriver là et cela à son rythme. Ce faisant il réussit à casser le rythme frénétique des précédents albums et de retrouver une histoire centrée sur Marcus et en faisant en sorte que cela nous paraisse naturel. Un vrai bon travail de scenarisation. Si graphiquement j'ai eu un peu de mal à me remettre dans l'ambiance, surtout au début de l'album, la montée en pression de l'histoire est quand même bien aidée par un dessin et une colorisation qui s'intensifie au fur et à mesure. En bref un tome dans le ligne des précedents : hors norme !
  4. Titre de l'album : Deadly class t10 Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Wes Craig Coloriste : Wes Craig Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Depuis leur retour à l'Académie Kings Dominion, rien ne s'est passé comme prévu pour Marcus et Maria. Derrière les sourires, les alliances se sont rapidement mises en place pour éliminer le couple un peu trop désinvolte au goût des uns et des autres. Alors, déjà fragilisé par la dépression et l'abus de drogue, Marcus poursuit sa lente et douloureuse descente aux enfers lorsque Saya réapparaît dans sa vie et que Maria le trahit pour Stefano, l'héritier de la mafia de la côte Est. Le doigt sur la détente, il prit sa décision. Saura-t-il seulement en assumer les lourdes conséquences ? Critique : Le retour de la série complètement folle de Rick Remender. Enfin non pas folle, trash. Et dire qu'on attendait ce tome 10 avec impatience serait un euphémisme. En effet le tome 9 avait laissé nos hérios dans un état déplorable. Et comme souvent dans cette série, Rick Remender nous prend à contre pied en commencant cette histoire par... la fin. Voir meme peut être bien pas loin de la fin de la série. Et comme il le souhaite, il déboussole complètement le lecteur avec une temporalité que l'on ne comprend pas et surtout des personnages completement hors du sujet précédent. Mais de facon très intelligente, après nous avoir mis dans le brouillard, il nous prend la main pour nous montrer ce qu'il s'est passé pour en arriver là et cela à son rythme. Ce faisant il réussit à casser le rythme frénétique des précédents albums et de retrouver une histoire centrée sur Marcus et en faisant en sorte que cela nous paraisse naturel. Un vrai bon travail de scenarisation. Si graphiquement j'ai eu un peu de mal à me remettre dans l'ambiance, surtout au début de l'album, la montée en pression de l'histoire est quand même bien aidée par un dessin et une colorisation qui s'intensifie au fur et à mesure. En bref un tome dans le ligne des précedents : hors norme ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deadly-class-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Magic: the Gathering t1

    J'ai été un grand fan des premières années de Magc the Gathering. (oui ok ça remonte a loin) Une grande partie de mon collège et de mon argent de poches sont passés dans les magic. J'avais les livres (oui oui il y a eu 6 livres Magic), des decks et autres... Alors quand j'ai vu un comic, j'ai tout de suite pensé me rappeler ma jeunesse comme tout vieux qui se respecte… et bien en fait pas du tout. Point de mana, d'invocation et autres..... Ici, on a une aventure dans l'univers vaguement tiré de Magic (ou alors le jeu a vraiment changé depuis le temps). Mais une fois cette déception passée, ce tome Magic est un bon tome de fantasy. Ce tome est un vrai tome d'introduction où l'on nous présente l'univers, les guildes et autres Planeswalkers. Un tome d'introduction qui comprend quand même de l'action et une aventure assez sympa… mais un peu noyé dans les présentations malheureusement. Il y a tellement de notion à comprendre que l'aventure commence avant même qu'on ait bien compris ce qu'est un Planeswalker ou encore bien assimilé cette historie de multivers. Un comic qui devra donc prendre tout son sens dans le deuxième tome.
  6. Titre de l'album : Magic: the Gathering t1 Scenariste de l'album : Jed MacKay Dessinateur de l'album : Ig Guara Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : À travers le vaste multivers, certains peuvent puiser dans la puissance brute de la magie et voyager à travers les réalités : ce sont des Planeswalkers. Lorsque des tentatives d'assassinats coordonnées contre trois maîtres de guilde ébranlent la ville de Ravnica et que la vie d'un quatrième est en jeu, une menace s'abat non seulement sur ces trois guildes, mais toute la dimension. Le trio doit désormais former une alliance pour découvrir pourquoi les cibles des assassins sont toutes des Planeswalkers... ce qui les mènera à l'un des personnages les plus énigmatiques de l'histoire de Magic ! Critique : J'ai été un grand fan des premières années de Magc the Gathering. (oui ok ça remonte a loin) Une grande partie de mon collège et de mon argent de poches sont passés dans les magic. J'avais les livres (oui oui il y a eu 6 livres Magic), des decks et autres... Alors quand j'ai vu un comic, j'ai tout de suite pensé me rappeler ma jeunesse comme tout vieux qui se respecte… et bien en fait pas du tout. Point de mana, d'invocation et autres..... Ici, on a une aventure dans l'univers vaguement tiré de Magic (ou alors le jeu a vraiment changé depuis le temps). Mais une fois cette déception passée, ce tome Magic est un bon tome de fantasy. Ce tome est un vrai tome d'introduction où l'on nous présente l'univers, les guildes et autres Planeswalkers. Un tome d'introduction qui comprend quand même de l'action et une aventure assez sympa… mais un peu noyé dans les présentations malheureusement. Il y a tellement de notion à comprendre que l'aventure commence avant même qu'on ait bien compris ce qu'est un Planeswalker ou encore bien assimilé cette historie de multivers. Un comic qui devra donc prendre tout son sens dans le deuxième tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magic-the-gathering-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Je suis bien content de lire cette série dans le format cartonné et plus grand avec ce quatrième tome, on gagne beaucoup en confort de lecture. Cet épisode est consacré à la jeunesse d'Erica et comment elle est devenue une chasseuse de l'ordre de Saint-Georges. James Tynion IV nous délivre quelques secrets et mystères qui entourent les personnages importants les différentes loges symbolisées par des couleurs des masques des membres. Erica rejoint les membres des masques noirs, formés pour traquer et combattre en solitaire, ce sont de redoutables chasseurs de monstres. James Tynion IV fait partie des scénaristes tendances actuellement des séries fortes et originales comme The department of truth, Something is killing the children ou Batman infinte en super-héros et je vais surveiller son prochain titre à venir chez Urban, The Nice House on the Lake. Pour la partie graphique, Werther Dell'Edera fournit un travail de qualité avec un découpage qui demande une lecture simultanée de doubles pages. Son style convient bien pour le genre horrifique avec des scènes d'action dynamiques. J’adore beaucoup cette série où les enfants ont un rôle important mais le récit est adulte, d'ailleurs par moment on a l'impression de lire une histoire de Stephen King. House of slaughter, le spin-off de la série est sorti en même temps en librairie, la chronique est prévue dans la semaine.
  8. Titre de l'album : Something is killing the children tome 4 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Werther Dell'Edera Coloriste : Miquel Muerto Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans la petite ville d'Archer's Peak, théâtre de disparitions inexpliquées, Erica Slaughter n'a eu de cesse de se battre contre les monstres. Héritière des préceptes de l'ordre de Saint-Georges, la redoutable tueuse a vu ses sens forgés au prix de nombreux sacrifices. Déterminée à percer les secrets de ses origines, elle opère un retour dans la maison qui l'a formée, avide de réponses. Critique : Je suis bien content de lire cette série dans le format cartonné et plus grand avec ce quatrième tome, on gagne beaucoup en confort de lecture. Cet épisode est consacré à la jeunesse d'Erica et comment elle est devenue une chasseuse de l'ordre de Saint-Georges. James Tynion IV nous délivre quelques secrets et mystères qui entourent les personnages importants les différentes loges symbolisées par des couleurs des masques des membres. Erica rejoint les membres des masques noirs, formés pour traquer et combattre en solitaire, ce sont de redoutables chasseurs de monstres. James Tynion IV fait partie des scénaristes tendances actuellement des séries fortes et originales comme The department of truth, Something is killing the children ou Batman infinte en super-héros et je vais surveiller son prochain titre à venir chez Urban, The Nice House on the Lake. Pour la partie graphique, Werther Dell'Edera fournit un travail de qualité avec un découpage qui demande une lecture simultanée de doubles pages. Son style convient bien pour le genre horrifique avec des scènes d'action dynamiques. J’adore beaucoup cette série où les enfants ont un rôle important mais le récit est adulte, d'ailleurs par moment on a l'impression de lire une histoire de Stephen King. House of slaughter, le spin-off de la série est sorti en même temps en librairie, la chronique est prévue dans la semaine. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/something-is-killing-the-children-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Pepper Page sauve l'univers !

    Qu'il est difficile d'expliquer ce qu'on n'a pas apprécié dans une bd, d'autant plus quand cela n'est pas forcément évident tant la qualité globale de celle-ci où le travail des auteur ne saurait être remise en cause objectivement. Ne vous fiez pas nécessairement à ma note assez basse, ce Pepper Page a de belles qualités, et forcément étant très orienté ados je ne suis pas vraiment le public cible. Peut être suis-je un petit peu blasé de ce type d'histoires mais je me suis assez rapidement ennuyé dans ce Pepper Page avec une forte impression de déjà lu doublée d'une difficulté à m'immerger dans le monde proposé. Les enjeux et personnages ne m'ont pas parlé. Dommage car au fond si l'histoire est assez connue désormais du fan de héros qui se retrouve plongé dans la peau ou les aventures de ses idoles, cela aboutit pourtant souvent à des bd mémorables. Las, même le dessin bien léché d'Eric Jones n'aura réussi à me faire tenir jusqu'au bout. D'où ma note. A réserver pour moi aux jeunes ados (peut être même plutôt orientés pour les jeunes filles) qui y trouveront probablement bien plus leur compte que moi.
  10. Titre de l'album : Pepper Page sauve l'univers ! Scenariste de l'album : Landry Q. Walker Dessinateur de l'album : Eric Jones Coloriste : Eric Jones Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Pepper Page, une jeune orpheline de 15 ans, n'aspire qu'à une chose : s'évader de son quotidien en trouvant refuge dans les bandes dessinées de son héroïne favorite, Supernova. Une expérience scientifique aux résultats inattendus menée par le Professeur Killian, son enseignant en science, va la propulser dans la peau et dans l'univers de sa super-héros fétiche. Accompagnée de Mister McKittens, un chat transporté malencontreusement avec elle dans cet univers fantastique, Pepper va être confrontée à la vie pleine d'action, d'aventure et de mystère d'une vraie héroïne... et comprendre par la même occasion que la réalité est parfois plus étrange que la fiction ! Critique : Qu'il est difficile d'expliquer ce qu'on n'a pas apprécié dans une bd, d'autant plus quand cela n'est pas forcément évident tant la qualité globale de celle-ci où le travail des auteur ne saurait être remise en cause objectivement. Ne vous fiez pas nécessairement à ma note assez basse, ce Pepper Page a de belles qualités, et forcément étant très orienté ados je ne suis pas vraiment le public cible. Peut être suis-je un petit peu blasé de ce type d'histoires mais je me suis assez rapidement ennuyé dans ce Pepper Page avec une forte impression de déjà lu doublée d'une difficulté à m'immerger dans le monde proposé. Les enjeux et personnages ne m'ont pas parlé. Dommage car au fond si l'histoire est assez connue désormais du fan de héros qui se retrouve plongé dans la peau ou les aventures de ses idoles, cela aboutit pourtant souvent à des bd mémorables. Las, même le dessin bien léché d'Eric Jones n'aura réussi à me faire tenir jusqu'au bout. D'où ma note. A réserver pour moi aux jeunes ados (peut être même plutôt orientés pour les jeunes filles) qui y trouveront probablement bien plus leur compte que moi. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pepper-page-sauve-l-univers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Blacking out

    Blacking out est un comics au format bande dessinée issu d'un financement participatif aux Etats-Unis. Le scénariste Chip Mosher nous propose un polar bien sombre et poisseux. D'ailleurs la couverture donne déjà le ton de ce qui va nous attendre dans les pages de ce titre. On suit les mésaventures d'un ex-policier, en chute libre depuis la perte de son travail à cause de sa consommation d'alcool en service. Mais dès le début la chance semble avoir tournée pour le héros mal en point. Il va enquêter pour le compte d'un avocat qui défend un père accusé d'avoir tué sa fille et déclencher un incendie sans précédent. Le détective consomme toujours autant d'alcool mais reste un bon enquêteur et remonte la piste du véritable meurtrier. Pour la partie graphique, les connaisseurs de comics de super-héros reconnaitront le travail de Peter Krause. Il réalise des planches très bien découpées dans un style cinématographique de qualité. En plus, le format BD permet de bien profiter des dessins. L'atmosphère est très sombre comme on est en droit de l'attendre dans ce genre d'histoire. Blacking out est un très bon polar efficace avec plusieurs pistes à suivre sans jamais deviner la fin.
  12. alx23

    Blacking out

    Titre de l'album : Blacking out Scenariste de l'album : Chip Mosher Dessinateur de l'album : Peter Krause Coloriste : Giulia Brusco Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Tout en luttant contre son alcoolisme, Conrad - ex-flic - ne dispose que d'un seul maigre indice pour élucider la mort de la jeune Karen Littleton dont le corps a été retrouvé calciné dans une petite ville de Californie. Les rebondissements continus de cette affaire changent constamment le point de vue du lecteur, jusqu'à ce que le récit atteigne son apogée avec un final puissant et inattendu. Critique : Blacking out est un comics au format bande dessinée issu d'un financement participatif aux Etats-Unis. Le scénariste Chip Mosher nous propose un polar bien sombre et poisseux. D'ailleurs la couverture donne déjà le ton de ce qui va nous attendre dans les pages de ce titre. On suit les mésaventures d'un ex-policier, en chute libre depuis la perte de son travail à cause de sa consommation d'alcool en service. Mais dès le début la chance semble avoir tournée pour le héros mal en point. Il va enquêter pour le compte d'un avocat qui défend un père accusé d'avoir tué sa fille et déclencher un incendie sans précédent. Le détective consomme toujours autant d'alcool mais reste un bon enquêteur et remonte la piste du véritable meurtrier. Pour la partie graphique, les connaisseurs de comics de super-héros reconnaitront le travail de Peter Krause. Il réalise des planches très bien découpées dans un style cinématographique de qualité. En plus, le format BD permet de bien profiter des dessins. L'atmosphère est très sombre comme on est en droit de l'attendre dans ce genre d'histoire. Blacking out est un très bon polar efficace avec plusieurs pistes à suivre sans jamais deviner la fin. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blacking-out?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Bon alors je m'excuse du retard de cette critique car.... je pensais l'avoir faite. ET ca serait dommage de ne pas la faire, après le foin que e premier tome a fait outre atlantique. En effet, ce Superman nous montre un Jon Kent qui tombe amoureux... d'un garçon. Pour être très sincère, je trouverais vraiment dommage que l'on s'arrête à ce détail. En effet, ce nouveau tome de Superman recèle vraiment autre chose qu'un simple coming out de super héros. Il parle surtout du poids de l'héritage et de la difficulté à sortir des sillons tracés par son paternel. Et en cela ce tome un est très intéressant. On voit tout de suite que le nouveau superman ne sera PAS comme l'ancien. L'aspect politique du super héros est aussi au centre des préoccupations de Jon et change beaucoup du Clark très lisse. Un nouveau superman qui va être intéressant à suivre, et cela pour bien autre chose que son attirance pour les garçons.
  14. Titre de l'album : Superman son of Hal El Infinite T1 Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : John Timms Coloriste : John Timms Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Jonathan Kent a subi beaucoup d'expériences au cours de sa jeune vie : traversé de nombreuses épreuves et même vécu dans le futur avec la Légion des Super-Héros, chargés de l'entraîner pour le jour où son père, Clark Kent, ne pourrait plus être Superman. Même si Jon ne sait pas exactement Critique : Bon alors je m'excuse du retard de cette critique car.... je pensais l'avoir faite. ET ca serait dommage de ne pas la faire, après le foin que e premier tome a fait outre atlantique. En effet, ce Superman nous montre un Jon Kent qui tombe amoureux... d'un garçon. Pour être très sincère, je trouverais vraiment dommage que l'on s'arrête à ce détail. En effet, ce nouveau tome de Superman recèle vraiment autre chose qu'un simple coming out de super héros. Il parle surtout du poids de l'héritage et de la difficulté à sortir des sillons tracés par son paternel. Et en cela ce tome un est très intéressant. On voit tout de suite que le nouveau superman ne sera PAS comme l'ancien. L'aspect politique du super héros est aussi au centre des préoccupations de Jon et change beaucoup du Clark très lisse. Un nouveau superman qui va être intéressant à suivre, et cela pour bien autre chose que son attirance pour les garçons. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-son-of-kal-el-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Une étude en émeraude

    Ce comics est l'adaptation d’une nouvelle écrit par Neil Gaiman, auteur de nombreux comics cultes comme Sandman pour ne citer que celui-là. Le scénariste Rafael Scavone se charge de son adaptation en comics. Avec une étude en émeraude, les auteurs s'inspirent des univers d’Arthur Conan Doyle pour la partie Sherlock Holmes et de Howard Phillips Lovecraft pour la partie des grands anciens, ces divinités sombres et tentaculaires. L'histoire est donc un mélange de récit policier avec une partie fantastique bien présente. Dans le monde du détective privé, les grands anciens gouvernent les hommes avec de postes clés parmi les familles royales. Cette dimension apporte évidemment beaucoup d'originalité à l'histoire mais l'on pourra regretter que le récit ne développe pas assez ce concept. Il reste très plaisant de suivre les aventures du détective avec toutes ses déductions qui ont fait son succès. La partie graphique est réalisée par Rafael Albuquerque très en forme sur cette histoire. Les planches sont de qualité avec une ambiance bien sombre comme on peut l'attendre d'un tel récit. Pour parfaire l'ensemble, Dave Stewart assure les couleurs. Avec Une étude en émeraude, les auteurs rendent de nombreux hommages comme vous pourrez le découvrir à des références de la littératures de cette époque, comme le docteur Jekyll et mister Hyde ou Dracula avec Vlad Tepes.
  16. Titre de l'album : Une étude en émeraude Scenariste de l'album : Rafael Scavone, Neil Gaiman Dessinateur de l'album : Rafael Albuquerque Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : L'éventreur frappe à Londres et seul le plus grand détective du monde saura l'arrêter ! Face à un étrange assassinat d'horreur cosmique, un détective de génie et son partenaire sont appelés à l'aide. Dans un monde où Sherlock Holmes et Chtulhu cohabitent, ce mystère surnaturel conduira les deux enquêteurs de Baker Street jusqu'au Palais de la Reine afin de résoudre un meurtre transcendant le genre humain. Après avoir remporté les prix Hugo, Bram Stoker, Locus, World Fantasy et Nebula, l'écrivain à succès Neil Gaiman nous livre cette adaptation en roman graphique, assisté au dessin par Rafael Albuquerque ! Critique : Ce comics est l'adaptation d’une nouvelle écrit par Neil Gaiman, auteur de nombreux comics cultes comme Sandman pour ne citer que celui-là. Le scénariste Rafael Scavone se charge de son adaptation en comics. Avec une étude en émeraude, les auteurs s'inspirent des univers d’Arthur Conan Doyle pour la partie Sherlock Holmes et de Howard Phillips Lovecraft pour la partie des grands anciens, ces divinités sombres et tentaculaires. L'histoire est donc un mélange de récit policier avec une partie fantastique bien présente. Dans le monde du détective privé, les grands anciens gouvernent les hommes avec de postes clés parmi les familles royales. Cette dimension apporte évidemment beaucoup d'originalité à l'histoire mais l'on pourra regretter que le récit ne développe pas assez ce concept. Il reste très plaisant de suivre les aventures du détective avec toutes ses déductions qui ont fait son succès. La partie graphique est réalisée par Rafael Albuquerque très en forme sur cette histoire. Les planches sont de qualité avec une ambiance bien sombre comme on peut l'attendre d'un tel récit. Pour parfaire l'ensemble, Dave Stewart assure les couleurs. Avec Une étude en émeraude, les auteurs rendent de nombreux hommages comme vous pourrez le découvrir à des références de la littératures de cette époque, comme le docteur Jekyll et mister Hyde ou Dracula avec Vlad Tepes. Autres infos : Edition Black River Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-etude-en-emeraude?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Assassin's creed est une référence dans le domaine du jeu vidéo avec le dernier épisode intitulé valhalla qui se déroule à l'époque des vikings. Avec le chant de gloire le scénariste Cavan Scott nous offre une intrigue prenante en guise de préquel au jeu. Les amateurs de jeux vidéo sont nombreux parmi les lecteurs de bande dessinée et de comics, cet album permet d'étendre l'univers des assassins afin d'apporter d'autres informations. Il n'est pas essentiel de connaitre le jeu pour profiter de l'histoire mais les clins d'œil et autres anecdotes y faisant référence sont nombreuses. On retrouve donc le personnage d'Eivor une guerrière viking parmi le clan de son père. En parallèle, son frère Sigurd est à la recherche d'une épée qui fera sa gloire future dans les combats. L'ambiance vikings est bien rendue avec des combats violents et une partie mythique avec l'oracle et ses visions de l'avenir. Dommage que ce one shot ne soit composé que de trois chapitres. Les dessins de Martín Tunica sont de qualité pour dépeindre ce monde barbare dans un style comics. Les joueurs d'Assassin's creed trouveront leur compte avec l’histoire du chant de gloire en compagnie d'Eivor le personnage principal du jeu vidéo et de son frère. Black River est un nouveau label de comics qui propose dès son lancement trois titres, Assassin's creed Valhalla, Une étude en émeraude et Magic dont les chroniques sont à venir. L’édition des albums est de qualité avec des genres bien définis dont la science-fiction, le fantastique, l’anticipation ou la mythologie pour leur catalogue.
  18. Titre de l'album : Assassin's creed valhalla - Le chant de gloire Scenariste de l'album : Cavan Scott Dessinateur de l'album : Martín Tunica Coloriste : Michael Atiyeh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : De courageux vikings en quête de gloire affrontent leurs destins dans ce préquel du célèbre jeu vidéo d'Ubisoft ! Norvège. Milieu du neuvième siècle après Jésus-Christ. Après avoir sauvé les habitants d'un village pillé par un royaume voisin, la guerrière viking Eivor revendique le butin au nom de son père, le sage roi Styrbjorn. Elle ramène également une prisonnière abandonnée par ses rivaux et qui déclare posséder les secrets de la légendaire Asgard. Mais sa victoire sera-t-elle une bénédiction pour son clan ou une terrible malédiction ? Pendant ce temps, dans les terres de l'Est, son frère Sigurd traque un autre genre de légende, celui d'une épée en acier au creuset qui changera son destin à tout jamais. Critique : Assassin's creed est une référence dans le domaine du jeu vidéo avec le dernier épisode intitulé valhalla qui se déroule à l'époque des vikings. Avec le chant de gloire le scénariste Cavan Scott nous offre une intrigue prenante en guise de préquel au jeu. Les amateurs de jeux vidéo sont nombreux parmi les lecteurs de bande dessinée et de comics, cet album permet d'étendre l'univers des assassins afin d'apporter d'autres informations. Il n'est pas essentiel de connaitre le jeu pour profiter de l'histoire mais les clins d'œil et autres anecdotes y faisant référence sont nombreuses. On retrouve donc le personnage d'Eivor une guerrière viking parmi le clan de son père. En parallèle, son frère Sigurd est à la recherche d'une épée qui fera sa gloire future dans les combats. L'ambiance vikings est bien rendue avec des combats violents et une partie mythique avec l'oracle et ses visions de l'avenir. Dommage que ce one shot ne soit composé que de trois chapitres. Les dessins de Martín Tunica sont de qualité pour dépeindre ce monde barbare dans un style comics. Les joueurs d'Assassin's creed trouveront leur compte avec l’histoire du chant de gloire en compagnie d'Eivor le personnage principal du jeu vidéo et de son frère. Black River est un nouveau label de comics qui propose dès son lancement trois titres, Assassin's creed Valhalla, Une étude en émeraude et Magic dont les chroniques sont à venir. L’édition des albums est de qualité avec des genres bien définis dont la science-fiction, le fantastique, l’anticipation ou la mythologie pour leur catalogue. Autres infos : Edition Black River Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/assassin-s-creed-valhalla-le-chant-de-gloire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Après un tome 1 qui était une claque visuelle et créative, nous offrant un monde de SF original et touffu qu'il nous tardait de mieux appréhender, on attendait de pied ferme ce tome 2. Las j'avoue que si visuellement c'est presque encore plus impressionnant que le tome 1 avec des couleurs toujours aussi pregnantes et une lisibilité que j'ai trouvé meilleure des scènes d'action, je vous avoue que le scénario un peu moins lisible et finalement beaucoup plus conventionnel m'a laissé sur ma faim. J'ai été surpris car après les éléments en place du tome 1 ce tome 2 fait presque pâle figure tant les enjeux semblent plus anecdotiques. Je vais attendre le tome 3 pour mieux comprendre quelle direction va prendre cette petite pépite, mais j'avoue être désormais un peu plus sur la réserve. Par contre visuellement si vous avez aimé le premier, ce second me semble presque plus abouti, même légèrement amputé des grands plans de space opéra qui faisaient le charme du premier.
  20. Titre de l'album : We only find them when they're dead - Tome 2 - Les voleurs Scenariste de l'album : Al Ewing Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Mariasara Miotti Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : 2414. Cinquante ans se sont écoulés depuis la mission funeste du Vihaan II. L'univers a changé radicalement, partagé entre les Moissonneurs et les Adorateurs. Jason Hauer, le dernier membre survivant de l'équipage du capitaine Malik, mène une vie de prisonnier. Quand l'ambassadrice des Mondes Internes vient négocier la paix entre les deux clans, Jason se retrouve au coeur d'une machination impliquant son ancien capitaine d'une façon qui dépasse l'entendement... Tout juste auréolé du titre de meilleur lancement pour un indé HiComics, We Only Find Them When They're Dead, de Al Ewing(Immortal Hulk, Avengers...) et Simone Di Meo(Tortues Ninjas & Power Rangers), est de retour avec un deuxième tome crucial pour Malik et son équipage. Critique : Après un tome 1 qui était une claque visuelle et créative, nous offrant un monde de SF original et touffu qu'il nous tardait de mieux appréhender, on attendait de pied ferme ce tome 2. Las j'avoue que si visuellement c'est presque encore plus impressionnant que le tome 1 avec des couleurs toujours aussi pregnantes et une lisibilité que j'ai trouvé meilleure des scènes d'action, je vous avoue que le scénario un peu moins lisible et finalement beaucoup plus conventionnel m'a laissé sur ma faim. J'ai été surpris car après les éléments en place du tome 1 ce tome 2 fait presque pâle figure tant les enjeux semblent plus anecdotiques. Je vais attendre le tome 3 pour mieux comprendre quelle direction va prendre cette petite pépite, mais j'avoue être désormais un peu plus sur la réserve. Par contre visuellement si vous avez aimé le premier, ce second me semble presque plus abouti, même légèrement amputé des grands plans de space opéra qui faisaient le charme du premier. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-only-find-them-when-they-re-dead-tome-2-les-voleurs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    The Cape

    Bon tout d'abord rétablissons une vérité importante : contrairement à ce que la couverture nous laisse supposer, ce The Cape n'est pas un comics signé par Joe Hill. C'est l'adaptation en comics d'une nouvelle écrite par Joe Hill. Et c'est réalisé par Zach Howard et Jason Ciaramella. Je comprends que l'éditeur communique sur le nom de Joe Hill car il est clairement un auteur que l'on s'arrache, mais j'aurais aimé quand même voir les noms des dessinateurs et scénaristes. Un simple adapté de l'oeuvre de Joe Hill c'est bien aussi. Bon, après cette introduction sous forme de douche froide, venons en aux faits. Ce The Cape est un indispensable du lecteur de comics indé et amateur de super héros à ces heures perdues. C'est un savant mix de No Héro et de The Boyz mais ramenés à une échelle bien plus humaine. Graphiquement c'est très très beau et parfaitement adapté à l'histoire sombre de The Cape. Les personnages sont crédibles, bien amenés, avec un soin apporté aussi bien aux seconds rôles qu'à notre anti héros. La narration est rythmée et parfaitement adaptée à l'histoire et au nombre de pages. Bref, foncez, j'ai adoré. Par contre, oubliez votre âme douce et charitable, ce The Cape est décidément une sombre affaire.
  22. The_PoP

    The Cape

    Titre de l'album : The Cape Scenariste de l'album : Jason Ciaramella Dessinateur de l'album : Zach Howard Coloriste : Nelson Daniel Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Qui n'a pas rêvé de s'élancer dans les airs ? De détenir d'extraordinaires pouvoirs ? Mais qu'arriverait-il si ce rêve se réalisait ? Éric est un homme brisé. Depuis l'accident tragique qui a bouleversé sa vie, à huit ans, et lui a arraché ses rêves de grandeur, rien n'a plus de sens. Si seulement il remettait la main sur la cape de son enfance, l'impossible serait à portée de main. Il pourrait s'envoler vers le ciel... et assouvir enfin ses désirs de vengeance. Critique : Bon tout d'abord rétablissons une vérité importante : contrairement à ce que la couverture nous laisse supposer, ce The Cape n'est pas un comics signé par Joe Hill. C'est l'adaptation en comics d'une nouvelle écrite par Joe Hill. Et c'est réalisé par Zach Howard et Jason Ciaramella. Je comprends que l'éditeur communique sur le nom de Joe Hill car il est clairement un auteur que l'on s'arrache, mais j'aurais aimé quand même voir les noms des dessinateurs et scénaristes. Un simple adapté de l'oeuvre de Joe Hill c'est bien aussi. Bon, après cette introduction sous forme de douche froide, venons en aux faits. Ce The Cape est un indispensable du lecteur de comics indé et amateur de super héros à ces heures perdues. C'est un savant mix de No Héro et de The Boyz mais ramenés à une échelle bien plus humaine. Graphiquement c'est très très beau et parfaitement adapté à l'histoire sombre de The Cape. Les personnages sont crédibles, bien amenés, avec un soin apporté aussi bien aux seconds rôles qu'à notre anti héros. La narration est rythmée et parfaitement adaptée à l'histoire et au nombre de pages. Bref, foncez, j'ai adoré. Par contre, oubliez votre âme douce et charitable, ce The Cape est décidément une sombre affaire. Autres infos : Inspiré d'une nouvelle de Joe Hill Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-cape-231811?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Les aventures originales de Red Sonja se termine avec ce quatrième tome qui ne propose pas moins de treize histoires réalisées par plusieurs auteurs habitués à cette série depuis ses débuts. La grande majorité des histoires sont composées d'un seul chapitre sauf pour le récit de l'anneau d'Ikribu composé de quatre chapitres sur une centaine de pages. Toutes les histoires de ce volume couvrent la période de 1975 à 1995. Tous les scénaristes proposent des aventures hautes en couleur avec plein de monstres à combattre, des sorciers et autres personnages de l'heroic fantasy. Les histoires courtes se résument souvent à combattre un ennemi à coup d'épée pour régler les divers problématiques mais il est toujours plaisant de voir comment Red Sonja va s'en sortir. Un sorcier fait appelle à Red Sonja et devra faire face à plusieurs femmes avec les attributs de la fameuse guerrière. Une dizaine de dessinateurs se succèdent sur les histoires de Red Sonja avec des styles relativement proches. Les dessins n'ont pas vieilli et l'on peut admirer le travail de plusieurs auteurs de renommés comme Frank Thorne ou John Buscema pour ne citer que ces deux-là. Les quatre volumes de cette collection sont excellents et je les recommande aux amateurs des récits de fantasy et autres lecteurs des aventures de Conan comme les histoires se déroulent dans le même univers.
  24. Titre de l'album : Les aventures originales de Red Sonja tome 4 Scenariste de l'album : Roy Thomas, Doug Moench, Clair Noto, Frank Thorne, Christy Marx, Bruce Jones, Peter B Gillis, Mary Javins, Roy Thomas, Dann Thomas Dessinateur de l'album : Howard Chaykin, Frank Thorne, John Buscema, Tony DeZuniga, Dick Giordano, Bruce Jones, Steve Carr, Steve Bucellato, Michael Kelleher, Esteban Maroto Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Dans le Monde Hyborien de Conan le barbare, une paysanne des steppes d'Hyr­ka­nie vit ses derniers moments d'in­­­souciance. Des mercenaires font irruption et tuent sa famille avant d'abuser d'elle. Scathach, la déesse rouge, entendant les suppliques de la pauvrette, la pare d'un don pour le maniement des armes qui la rend invincible. Une seule condition : elle ne devra en aucun cas s'adonner à la chair avec un homme qui ne l'aura dominé au combat. Ainsi naît Red Sonja, la dia­blesse à l'épée et au tempérament revêche. Née d'une nouvelle de Robert E. Howard, le créateur de Conan, et d'un scénario de Roy Thomas, Red Sonja prend corps dans la tenue qu'on lui connaît sous le trait d'Esteban Maroto et prendra son essor dans une série à son nom avec Frank Thorne, en 1975. Ce livre est une mine d'or pour ceux qui souhaitent donner un sens à leurs vacances et leurs week-ends en Champagne. Critique : Les aventures originales de Red Sonja se termine avec ce quatrième tome qui ne propose pas moins de treize histoires réalisées par plusieurs auteurs habitués à cette série depuis ses débuts. La grande majorité des histoires sont composées d'un seul chapitre sauf pour le récit de l'anneau d'Ikribu composé de quatre chapitres sur une centaine de pages. Toutes les histoires de ce volume couvrent la période de 1975 à 1995. Tous les scénaristes proposent des aventures hautes en couleur avec plein de monstres à combattre, des sorciers et autres personnages de l'heroic fantasy. Les histoires courtes se résument souvent à combattre un ennemi à coup d'épée pour régler les divers problématiques mais il est toujours plaisant de voir comment Red Sonja va s'en sortir. Un sorcier fait appelle à Red Sonja et devra faire face à plusieurs femmes avec les attributs de la fameuse guerrière. Une dizaine de dessinateurs se succèdent sur les histoires de Red Sonja avec des styles relativement proches. Les dessins n'ont pas vieilli et l'on peut admirer le travail de plusieurs auteurs de renommés comme Frank Thorne ou John Buscema pour ne citer que ces deux-là. Les quatre volumes de cette collection sont excellents et je les recommande aux amateurs des récits de fantasy et autres lecteurs des aventures de Conan comme les histoires se déroulent dans le même univers. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-aventures-originales-de-red-sonja-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    The swamp thing infinite t1

    Après les aventures de la Justice League Dark et de Death metall, on se demandait ce qu'il était advenu de la créature du marais. Eh bien elle attendait d'avoir suffisamment de contenu pour nous montrer son reboot à elle et son futur possible. En effet, ce premier tome de Swamp Thing Infinite comprend aussi Swamp Thing Future state. On se retrouve donc avec un gros premier tome qui est complètement autonome. Tant qu'à faire un reboot, Ram V a choisi de transformer le personnage en changeant l'avatar historique de la sève. Exit Alex Holland et bienvenu à Levi Kamei. Cela permet vraiment à tout nouveau lecteur partir sans historique et de bien comprendre d'où vient cet avatar, car qui dit nouvel avatar dit explication sur le pourquoi de cette transformation tout comme l'acceptation de ce rôle. Un bon premier tome pour un personnage un peu trop sous-estimé.
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