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  1. poseidon2

    Robin Infinite t1

    Avec le reboot qu'est Infinite, Damian Wayne, alias Robin, a le droit a son propre numéro. Finit le duo avec Johnatan Kent (qui a pris un coup de vieux d'un coup il faut dire) et bienvenue au travail en solo ! En vrai solo car Damian quitte la bat family et se lance sel à l'aventure. Et aventure est le mot qu'il faut pour décrire ce Robin infinite. Josh Williamson nous livre un récit orienté ado. Rien de très méchant, rien de très compliqué mais de la bonne action/aventure avec plein de jeune (méchant ou gentil) cherchant à faire leurs preuves. Le coté tournoi amène un coté manga qui plaira aux jeunes lecteurs tout comme le dynamise et la coloration de ce premier tome. On se prend au jeu rapidement et on se laisse entrainer dans les aventures trépidantes d'un jeune homme en quête de repère. Vivement la suite !
  2. Titre de l'album : Robin Infinite t1 Scenariste de l'album : Josh Williamson Dessinateur de l'album : Gleb Melnikov Coloriste : Gleb Melnikov Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Damian a disparu ! Malgré les recherches intensives lancées par sa famille, plus une trace du rejeton démoniaque de Bruce Wayne... Sur les traces de l'obscure Ligue de Lazare, une faction dissidente de la Ligue des Ombres de son grand-père Ra's al Ghul, Damian accède à un tournoi d'arts martiaux établi sur une île secrète. En parallèle, Batman redoute ce que son fils prépare et se demande s'ils pourront un jour se réconcilier après leurs récents différends. Tandis que Damian s'enfonce dans les machinations de la Ligue de Lazare, le fils de la chauve-souris découvre qu'il a peut-être trouvé la seule épreuve qu'il ne pourra surmonter seul... Critique : Avec le reboot qu'est Infinite, Damian Wayne, alias Robin, a le droit a son propre numéro. Finit le duo avec Johnatan Kent (qui a pris un coup de vieux d'un coup il faut dire) et bienvenue au travail en solo ! En vrai solo car Damian quitte la bat family et se lance sel à l'aventure. Et aventure est le mot qu'il faut pour décrire ce Robin infinite. Josh Williamson nous livre un récit orienté ado. Rien de très méchant, rien de très compliqué mais de la bonne action/aventure avec plein de jeune (méchant ou gentil) cherchant à faire leurs preuves. Le coté tournoi amène un coté manga qui plaira aux jeunes lecteurs tout comme le dynamise et la coloration de ce premier tome. On se prend au jeu rapidement et on se laisse entrainer dans les aventures trépidantes d'un jeune homme en quête de repère. Vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/robin-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. alx23

    Scurry tome 2 - La forêt immergée

    Seulement après quelques mois de la parution du premier tome, on retrouve les aventures des deux jeunes souris dans un monde post-apocalyptique. Le scénario de Mac Smith est intense avec beaucoup de rebondissement et d'action avec toute une flopée de nouveaux animaux qui aideront ou combattront les deux amis séparés à la fin du premier épisode. De son côté, Wix croisera la route d'un élan, ils partageront quelques aventures ensemble sur le chemin pour rejoindre Pict. Cette dernière souris échappe de justesse aux serres du faucon et des corbeaux pour être secouru par d'autres animaux. La narration est très prenante, on ne s'ennuie par avec tous les événements dans cet épisode. L'auteur a souvent travaillé dans le domaine des jeux vidéo et livre des dessins digitale de très grande qualité sur cette série. Les couvertures donnent un bon exemple des planches intérieures. Ce second tome est une réussite dans la continuité du premier, on prend plaisir à lire les aventures de ce clan de souris en quête de nourriture pour survivre. Le troisième et dernier tome est déjà programmé pour le mois de juin.
  4. Titre de l'album : Scurry tome 2 - La forêt immergée Scenariste de l'album : Mac Smith Dessinateur de l'album : Mac Smith Coloriste : Mac Smith Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Au cours d'une escapade pour tenter de trouver de la nourriture qui a mal tourné, deux souris se retrouvent loin de chez elles dans une région sauvage pleine de loups voraces, de serpents affamés et d'oiseaux de proie. Alors qu'elles sont séparées, elles doivent à tout prix regagner leur repaire avant qu'il ne soit trop tard... Critique : Seulement après quelques mois de la parution du premier tome, on retrouve les aventures des deux jeunes souris dans un monde post-apocalyptique. Le scénario de Mac Smith est intense avec beaucoup de rebondissement et d'action avec toute une flopée de nouveaux animaux qui aideront ou combattront les deux amis séparés à la fin du premier épisode. De son côté, Wix croisera la route d'un élan, ils partageront quelques aventures ensemble sur le chemin pour rejoindre Pict. Cette dernière souris échappe de justesse aux serres du faucon et des corbeaux pour être secouru par d'autres animaux. La narration est très prenante, on ne s'ennuie par avec tous les événements dans cet épisode. L'auteur a souvent travaillé dans le domaine des jeux vidéo et livre des dessins digitale de très grande qualité sur cette série. Les couvertures donnent un bon exemple des planches intérieures. Ce second tome est une réussite dans la continuité du premier, on prend plaisir à lire les aventures de ce clan de souris en quête de nourriture pour survivre. Le troisième et dernier tome est déjà programmé pour le mois de juin. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/scurry-tome-2-la-foret-immergee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Paris Fan Festival au parc de la Vilette

    jusqu’à
    Manga, jeux de rôle, super-héros, univers de films, comics... Seront au rendez-vous le week-end du 7 et 8 mai Editeurs présents : Ki-oon, Mangetsu, Hicomics, Bragelonne Plus d'infos ici : Paris Fan Festival - Evènement 7 et 8 Mai 2022
  6. alx23

    Le manoir de chartwell

    Le manoir de Chartwell est un roman graphique autobiographique de la vie de Glenn Head. Ce dernier est un auteur de comics indépendant inspiré de la scène underground des années 60. Glenn Head annonce dans la préface ne pas rendre son personnage plus sympathique ou au contraire diaboliser d'autres personnes de son entourage. Il retranscrit son vécu et sa souffrance après son passage dans le manoir de Chartwell. En effet, ses parents décident de l'inscrire dans le manoir Chatwell à partir de la cinquième. Il se retrouve avec une centaine d'autres élèves difficiles dans un pensionnat où le directeur de l'établissement est un pédophile. L'auteur va donc essayer d'expliquer comment vivre avec les blessures de son enfance et les répercussions sur le restant de sa vie d'adulte. Le témoignage est intense de par son sujet et retrace la vie de Glenn de 1988 à 2011. Les dessins de Glenn sont en noir e blanc dans un style comics underground. Le manoir de Chartwell est un récit bouleversant, sincère où l'auteur se livre dans ce roman graphique comme une thérapie personnelle pour mieux se comprendre.
  7. Titre de l'album : Le manoir de chartwell Scenariste de l'album : Glenn Head Dessinateur de l'album : Glenn Head Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : « Bienvenus au manoir de Chartwell jeunes gens ! Je vous rappelle que dorénavant vous m'appellerez Monsieur ! » Lorsque Glenn, âgé d'une douzaine d'années écoute le discours de Mr Lynch, le directeur de l'école privée qu'il vient d'intégrer, il ne se doute pas que lui et les autres internes vont vivre un enfer qui détruira leur enfance et marquera aussi, par la suite, leur vie d'adulte. Critique : Le manoir de Chartwell est un roman graphique autobiographique de la vie de Glenn Head. Ce dernier est un auteur de comics indépendant inspiré de la scène underground des années 60. Glenn Head annonce dans la préface ne pas rendre son personnage plus sympathique ou au contraire diaboliser d'autres personnes de son entourage. Il retranscrit son vécu et sa souffrance après son passage dans le manoir de Chartwell. En effet, ses parents décident de l'inscrire dans le manoir Chatwell à partir de la cinquième. Il se retrouve avec une centaine d'autres élèves difficiles dans un pensionnat où le directeur de l'établissement est un pédophile. L'auteur va donc essayer d'expliquer comment vivre avec les blessures de son enfance et les répercussions sur le restant de sa vie d'adulte. Le témoignage est intense de par son sujet et retrace la vie de Glenn de 1988 à 2011. Les dessins de Glenn sont en noir e blanc dans un style comics underground. Le manoir de Chartwell est un récit bouleversant, sincère où l'auteur se livre dans ce roman graphique comme une thérapie personnelle pour mieux se comprendre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-manoir-de-chartwell?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Je ne suis pas particulièrement connaisseur des tueurs en série mais ça fait froid dans le dos de savoir que le romancier Robert Bloch a été inspiré par Ed Gein pour écrire son personnage de Norman Bates dans Psychose. Dans ce comics volumineux, Harold Schechter nous livre une biographie de ce psychopathe et d'un monstre auquel personne n'était préparé. Le scénariste se base plusieurs documents officiels, rapports et articles de journaux pour retracer le parcours de toute la famille de Gein. Ed est le cadet simplet de la famille qui subit les moqueries des habitants de sa petite ville natale, durant toute sa jeunesse. De plus, sa mère est autoritaire et éduque ses deux enfants dans une religion stricte et sévère. Ces méthodes extrêmes participeront à la psychologie défaillante d'Ed Gein. Pour la partie graphique, on retrouve Eric Powell le créateur de The Goon nous offre des planches magnifiques en noir et blanc avec des dégradés de gris. Son style est réaliste pour convenir au genre comme on peut le constater avec les photos du tueur en série. Un cahier graphique termine l'album avec des crayonnées et recherches graphiques de Powell. Quelques notes explicatives sont ajoutées en fin d'album pour revenir sur la véracité des événements. Cette autopsie documentaire sur ce tueur en série est fidèle à l’histoire et la vie de ce monstre.
  9. Titre de l'album : Ed Gein autopsie d'un tueur en série Scenariste de l'album : Harold Schechter & Eric Powell Dessinateur de l'album : Eric Powell Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ce récit révèle la véritable histoire d'un malade mental sous l'emprise d'une mère bigote et abusive. Cette biographie factuelle d'Ed Gein se focalise sur son enfance et sa vie de famille malheureuses, et sur la façon dont elles ont façonné sa psyché. Il explore aussi le choc collectif qui entoura l'affaire et la prise de conscience que les tueurs peuvent être des citoyens ordinaires. Critique : Je ne suis pas particulièrement connaisseur des tueurs en série mais ça fait froid dans le dos de savoir que le romancier Robert Bloch a été inspiré par Ed Gein pour écrire son personnage de Norman Bates dans Psychose. Dans ce comics volumineux, Harold Schechter nous livre une biographie de ce psychopathe et d'un monstre auquel personne n'était préparé. Le scénariste se base plusieurs documents officiels, rapports et articles de journaux pour retracer le parcours de toute la famille de Gein. Ed est le cadet simplet de la famille qui subit les moqueries des habitants de sa petite ville natale, durant toute sa jeunesse. De plus, sa mère est autoritaire et éduque ses deux enfants dans une religion stricte et sévère. Ces méthodes extrêmes participeront à la psychologie défaillante d'Ed Gein. Pour la partie graphique, on retrouve Eric Powell le créateur de The Goon nous offre des planches magnifiques en noir et blanc avec des dégradés de gris. Son style est réaliste pour convenir au genre comme on peut le constater avec les photos du tueur en série. Un cahier graphique termine l'album avec des crayonnées et recherches graphiques de Powell. Quelques notes explicatives sont ajoutées en fin d'album pour revenir sur la véracité des événements. Cette autopsie documentaire sur ce tueur en série est fidèle à l’histoire et la vie de ce monstre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ed-gein-autopsie-d-un-tueur-en-serie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    The last detective t1

    Oui oui je ne me suis pas trompé. L'éditeur est bien Drakoo.Et on parle bien d'un comic dans une collection dirigée par Arleston, qui n'avait jamais caché son peu d'intérêt pour les super héros. Comment cela se fait-ce donc me demanderez vous ? Et bien il semblerait que monsieur Arleston ait été demarché par les auteurs Chiliens de The Last Detective. Auteurs qui étaient en recherche de visibilité internationale. Apres lecture Arleston a accepté... et il aurait eu bien tord de refuser. En effet cette enquête est un petit blade runner d'amérique du sud. Un blade runner suvitaminé devrais-je dire. Mais la ou ce The Last Detective est vraiment bon, ce n'est pas uniquement sur son enquête dans un futur rempli d'androïde. non il est bon parce que, déja, graphiquement c'est superbe mais aussi parce que cet album est bien pensé et innovant. Par l'intermeiaire de page de journal, nos auteurs réussissent à densifier le récit sans pour autant rendre la lecture de ces pages obligatoire à la compréhension de l'intrigue principale. Ces pages permettent de bien mettre en avant certaines spécificités d'Amérique latine et les problematiques qui en découle, comme les trafics de drogues, la corruption et j'en passe. On se retrouve donc avec une enquete interessantes et trépidantes et un comic, si on prend le temps de lire les journaux, qui apporte une trame et un décors vraiment spécifique qui differencie cet album de ses cousins d'amérique du nord. Une belle pépite tombée dans les mains de Drakoo qui j'espère fera des émules.... à commencer par une deuxième enquête de Joe Santos !
  11. Titre de l'album : The last detective t1 Scenariste de l'album : Claudio Alvarez Dessinateur de l'album : Geraldo Borges Coloriste : Geraldo Borges Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Un thriller au coeur d'une Amazonie futuriste... Dans un futur proche, une nouvelle drogue de synthèse fait des ravages dans l'état de New Amazonia. Elle vous promet tout ce dont vous pouvez rêver, beauté, pouvoir, succès... mais 5 jours plus tard, vous mourrez dans d'atroces souffrances. La commissaire à la tête des forces de l'ordre, humaines et robotiques, fait le lien avec une série de meurtres ayant eu lieu 20 ans plus tôt et qui a coûté la vie à sa soeur... Elle n'a d'autre choix que de faire appel à Joe Santos, une légende, et l'ancien équipier de sa soeur, qui s'est exilé dans la jungle depuis. Accompagné d'un androïde palliant ses faiblesses physiques, il va replonger au coeur de l'enquête qui a brisé sa vie... Critique : Oui oui je ne me suis pas trompé. L'éditeur est bien Drakoo.Et on parle bien d'un comic dans une collection dirigée par Arleston, qui n'avait jamais caché son peu d'intérêt pour les super héros. Comment cela se fait-ce donc me demanderez vous ? Et bien il semblerait que monsieur Arleston ait été demarché par les auteurs Chiliens de The Last Detective. Auteurs qui étaient en recherche de visibilité internationale. Apres lecture Arleston a accepté... et il aurait eu bien tord de refuser. En effet cette enquête est un petit blade runner d'amérique du sud. Un blade runner suvitaminé devrais-je dire. Mais la ou ce The Last Detective est vraiment bon, ce n'est pas uniquement sur son enquête dans un futur rempli d'androïde. non il est bon parce que, déja, graphiquement c'est superbe mais aussi parce que cet album est bien pensé et innovant. Par l'intermeiaire de page de journal, nos auteurs réussissent à densifier le récit sans pour autant rendre la lecture de ces pages obligatoire à la compréhension de l'intrigue principale. Ces pages permettent de bien mettre en avant certaines spécificités d'Amérique latine et les problematiques qui en découle, comme les trafics de drogues, la corruption et j'en passe. On se retrouve donc avec une enquete interessantes et trépidantes et un comic, si on prend le temps de lire les journaux, qui apporte une trame et un décors vraiment spécifique qui differencie cet album de ses cousins d'amérique du nord. Une belle pépite tombée dans les mains de Drakoo qui j'espère fera des émules.... à commencer par une deuxième enquête de Joe Santos ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-last-detective?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Cela fait quelques tomes que ces tortues ninja avaient cessé de m'amuser il faut bien le reconnaître. Des intrigues moins passionnantes, des univers plus ou moins farfelus, des dessins assez inégaux. Bref, cela ne suscitait pas de gros enthousiasme chez moi. Et pourtant ce tome 16 m'a beaucoup plu. J'ai d'ailleurs failli mettre la note de 4. Pour ne pas finir ma chronique sur une mauvaise note, il faut que je vous parle d'abord du dernier chapitre dont j'ai eu l'impression qu'il avait été dessiné à la serpe par Brahm Revel et qui ne m'a pas du tout convaincu. Sorte de préquel au prochain tome, les dessins, l'intrigue et le scénario ne m'ont pas emballé. La différence graphique entre le prélude superbement illustré par Pablo Tunica et le dernier chapitre de Brahm Revel est assez étonnante d'ailleurs... c'est un peu incompréhensible. Dommage de ternir cette si belle impression, même si ce n'est que sur 11 pages. Ce tome 16 aura pourtant réussi l'exploit de me faire plaisir sur toutes les pages précédentes et de me procurer une lecture plus que sympa. L'intrigue y est fluide, bien pensée, on n'est pas vraiment submergés par les personnages secondaires sans importance, et la clôture est propre. Les persos principaux gagnent en épaisseur et en cohérence. On retrouve bien les univers désormais plus familiers, et les dialogues sont réussis. Bref un gros regain d'intérêt. Surtout que graphiquement excepté le dernier chapitre anecdotique, l'ensemble est très propre pour cette série qui a parfois souffert d'une forme d'irrégularité. Le prélude étant même très réussi à mon sens.
  13. Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Tome 16 - Le royaume des rats Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Tom Waltz & Bobby Curnow Dessinateur de l'album : Dave Wachter & Brahm Revel & Pablo Tunica Coloriste : Ronda Pattison Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Le Roi des Rats est de retour, plus redoutable que jamais ! Profitant du chaos laissé par l'invasion des Tricératons, différentes forces se rassemblent et d'inquiétants jeux de pouvoir se mettent en place pour faire main basse sur New York. Tandis que les Tortues tentent de protéger la ville de cette nouvelle menace, il est un Immortel qui se fiche éperdument de la puissance ou de la victoire et désire seulement semer le chaos... Le roi des rats ! Les fils de Splinter parviendront-ils à l'arrêter avant que l'innommable ne se produise ? Critique : Cela fait quelques tomes que ces tortues ninja avaient cessé de m'amuser il faut bien le reconnaître. Des intrigues moins passionnantes, des univers plus ou moins farfelus, des dessins assez inégaux. Bref, cela ne suscitait pas de gros enthousiasme chez moi. Et pourtant ce tome 16 m'a beaucoup plu. J'ai d'ailleurs failli mettre la note de 4. Pour ne pas finir ma chronique sur une mauvaise note, il faut que je vous parle d'abord du dernier chapitre dont j'ai eu l'impression qu'il avait été dessiné à la serpe par Brahm Revel et qui ne m'a pas du tout convaincu. Sorte de préquel au prochain tome, les dessins, l'intrigue et le scénario ne m'ont pas emballé. La différence graphique entre le prélude superbement illustré par Pablo Tunica et le dernier chapitre de Brahm Revel est assez étonnante d'ailleurs... c'est un peu incompréhensible. Dommage de ternir cette si belle impression, même si ce n'est que sur 11 pages. Ce tome 16 aura pourtant réussi l'exploit de me faire plaisir sur toutes les pages précédentes et de me procurer une lecture plus que sympa. L'intrigue y est fluide, bien pensée, on n'est pas vraiment submergés par les personnages secondaires sans importance, et la clôture est propre. Les persos principaux gagnent en épaisseur et en cohérence. On retrouve bien les univers désormais plus familiers, et les dialogues sont réussis. Bref un gros regain d'intérêt. Surtout que graphiquement excepté le dernier chapitre anecdotique, l'ensemble est très propre pour cette série qui a parfois souffert d'une forme d'irrégularité. Le prélude étant même très réussi à mon sens. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-tome-16-le-royaume-des-rats?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    Marqués tome 2

    Ce deuxième tome est aussi le dernier des aventures de la confrérie des marqués, David Hine et Brian Haberlin écrivent les deux premiers chapitres ensemble comme sur le premier album. Les trois derniers sont écrits par Brian Haberlin qui insère par la même occasion le personnage de Lady Kildare, une autre série de l'auteur. Les premiers chapitres nous apportent la solution sur comment venir en aide à l'âme de Pope, en revenant sur son passé et sur une mystérieuse urne aux âmes. Dans la suite de l'album, Lady kildare vient en aide aux marqués pour combattre une invasion de monstres. Il est nécessaire de connaitre la série avec Lady Kildare pour comprendre ce que vient faire ce personnage en plein milieu d'album. Les dessins de Brian Haberlin sont entièrement numériques qui convient très bien pour le côté fantastique et les effets magiques des marqués. L'album se termine sur une galerie d'illustrations de Haberlin. Marqués est une série courte dans un univers original avec de la magie et des monstres à combattre. L'action est bien présente du début à la fin.
  15. alx23

    Marqués tome 2

    Titre de l'album : Marqués tome 2 Scenariste de l'album : David Hine & Brian Haberlin Dessinateur de l'album : Brian Haberlin Coloriste : Van Dyke Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les Marqués sont des sorcières - et quelques sorciers - modernes recouvertes de tatouages qui sont autant de glyphes magiques. Alors qu'ils comptent leurs pertes après leur bataille contre la Sphère de Pouvoir, le groupe explore ses origines, à commencer par le sauvetage de Lovecraft des griffes du mystérieux Kah-Loh-Lu, et en remontant à la première femme à être dotée du pouvoir de la magie. Critique : Ce deuxième tome est aussi le dernier des aventures de la confrérie des marqués, David Hine et Brian Haberlin écrivent les deux premiers chapitres ensemble comme sur le premier album. Les trois derniers sont écrits par Brian Haberlin qui insère par la même occasion le personnage de Lady Kildare, une autre série de l'auteur. Les premiers chapitres nous apportent la solution sur comment venir en aide à l'âme de Pope, en revenant sur son passé et sur une mystérieuse urne aux âmes. Dans la suite de l'album, Lady kildare vient en aide aux marqués pour combattre une invasion de monstres. Il est nécessaire de connaitre la série avec Lady Kildare pour comprendre ce que vient faire ce personnage en plein milieu d'album. Les dessins de Brian Haberlin sont entièrement numériques qui convient très bien pour le côté fantastique et les effets magiques des marqués. L'album se termine sur une galerie d'illustrations de Haberlin. Marqués est une série courte dans un univers original avec de la magie et des monstres à combattre. L'action est bien présente du début à la fin. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marques-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    I am not Starfire

    Décidément Mariko Tamaki a le vent en poupe chez DC. Apres avoir pris les commandes de Batman Detective, la voici cette fois revenir dans le roman graphique de super héros avec un excellent "I am not Starfire". Sur ce coup-ci Mariko Tamaki traite de la vie des enfants de super héros. Enfin des enfants de super héros qui ont révélé leur identité. Bon ok pour Starfire ça aurait été dur de la cacher. Mais c'est tant mieux. Car nos auteurs traitent aussi bien de la vie de fils de célébrité que de celle de ne pas avoir de pouvoir et de ne pas correspondre au prototype de sa mère. Mais là ou ce roman graphique est intelligent, c'est que Mariko Tamaki n'oublie pas e traité assez finement Starfire elle-même. Même si c'est un personnage secondaire, on arrive quand même à voir son désarroi devant une fille vraiment terrienne qui grandit dans un univers que Starfire ne connait pas du tout. Un comics dans la ligné des précédents de Tamaki chez Urban Link
  17. Titre de l'album : I am not Starfire Scenariste de l'album : Mariko Tamaki Dessinateur de l'album : Yoshi Yoshitani Coloriste : Yoshi Yoshitani Editeur de l'album : Urban Link Note : Résumé de l'album : Si Starfire est grande, belle, brillante, et héroïque, sa fille âgée de 17 ans n'est pas du tout comme elle. Mandy se teint les cheveux en noirs, déteste tout le monde sauf son meilleur ami et sa charmante camarade de classe Claire, et surtout elle n'a pas de pouvoirs. Et depuis qu'elle s'est enfuie de son test d'admission à l'université, les problèmes s'enchaînent... Aussi, lorsque quelqu'un du passé de Starfire refait surface, Mandy doit faire un choix : abandonner avant même que le combat ait commencé ou faire un pas en terrain inconnu et tout risquer pour sauver sa mère. Critique : Décidément Mariko Tamaki a le vent en poupe chez DC. Apres avoir pris les commandes de Batman Detective, la voici cette fois revenir dans le roman graphique de super héros avec un excellent "I am not Starfire". Sur ce coup-ci Mariko Tamaki traite de la vie des enfants de super héros. Enfin des enfants de super héros qui ont révélé leur identité. Bon ok pour Starfire ça aurait été dur de la cacher. Mais c'est tant mieux. Car nos auteurs traitent aussi bien de la vie de fils de célébrité que de celle de ne pas avoir de pouvoir et de ne pas correspondre au prototype de sa mère. Mais là ou ce roman graphique est intelligent, c'est que Mariko Tamaki n'oublie pas e traité assez finement Starfire elle-même. Même si c'est un personnage secondaire, on arrive quand même à voir son désarroi devant une fille vraiment terrienne qui grandit dans un univers que Starfire ne connait pas du tout. Un comics dans la ligné des précédents de Tamaki chez Urban Link Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-am-not-starfire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Décorum t1

    En voilà un récit ou l'on reconnait bien la touche d'Hickman. Ceux qui trouvent que East of West est trop compliqué, qui ne comprennent rien à Black Mondays Murders ou encore qui préféraient les X-Men des années 2000, vous pouvez passer votre chemin et ne pas lire la suite de la critique. Car Hickman nous livre ici peut etre ce qu'il a produit de plus exigeant. Exigeant graphiquement tout d'abord. En effet à chaque "caste" est associé un type de dessin et une coloration spécifique. Mike Huddleston manie ca comme un maitre de l'art dans son ensemble. Les planches sont aussi sompteuses qu'exigenantes grace aussi bien à des grandes vues de l'espace qu'à des planches ou il faut arreter sa lecture pour bien tout comprendre. Mais exigeant car le scenario ne semble que prendre un corps homogène vers les 2/3 du livre. Pour etre très honnete durant le premier quart de la BD on se demande bien de quoi ca parle et on hésite à poursuivre. On ne poursuit cette lecture que parce que l'on connait Hickman et que l'on sait que derrière l'exigeance il y aura un travail soigné et une histoire qui vaux le coup. C'est ce qui vaut le demi point à ce premier tome : impossible de le conseiller à quelqu'un sans lui faire lire du Hickman d'abord. Ou alors avec une présentation très precise de la difficulté qu'il va rencontrer. Mais si vous aimez le monsieur, et c'est mon cas, alors vous vous régalerez à découvrir l'univers proposé ici. Vous lirez chaque ligne des pages séparant les chapitres. Vous regardez partout pour voir tous les détails qui font la richesse et la cohérence de l'univers des oeuvres de Hickman. Bref vous adorerez. En somme un superbe album très exigeant qui ne plaira pas à tout le modne... un bon Hickman quoi
  19. poseidon2

    Décorum t1

    Titre de l'album : Décorum t1 Scenariste de l'album : Jonathan Hickman Dessinateur de l'album : Mike Huddleston Coloriste : Mike Huddleston Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : S'il est vrai que le meurtre constitue un dénominateur commun entre toutes les espèces, il n'en va pas de même pour l'assassinat, qui relève plutôt de... la vocation. Contenu vo : Decorum #1-4. Critique : En voilà un récit ou l'on reconnait bien la touche d'Hickman. Ceux qui trouvent que East of West est trop compliqué, qui ne comprennent rien à Black Mondays Murders ou encore qui préféraient les X-Men des années 2000, vous pouvez passer votre chemin et ne pas lire la suite de la critique. Car Hickman nous livre ici peut etre ce qu'il a produit de plus exigeant. Exigeant graphiquement tout d'abord. En effet à chaque "caste" est associé un type de dessin et une coloration spécifique. Mike Huddleston manie ca comme un maitre de l'art dans son ensemble. Les planches sont aussi sompteuses qu'exigenantes grace aussi bien à des grandes vues de l'espace qu'à des planches ou il faut arreter sa lecture pour bien tout comprendre. Mais exigeant car le scenario ne semble que prendre un corps homogène vers les 2/3 du livre. Pour etre très honnete durant le premier quart de la BD on se demande bien de quoi ca parle et on hésite à poursuivre. On ne poursuit cette lecture que parce que l'on connait Hickman et que l'on sait que derrière l'exigeance il y aura un travail soigné et une histoire qui vaux le coup. C'est ce qui vaut le demi point à ce premier tome : impossible de le conseiller à quelqu'un sans lui faire lire du Hickman d'abord. Ou alors avec une présentation très precise de la difficulté qu'il va rencontrer. Mais si vous aimez le monsieur, et c'est mon cas, alors vous vous régalerez à découvrir l'univers proposé ici. Vous lirez chaque ligne des pages séparant les chapitres. Vous regardez partout pour voir tous les détails qui font la richesse et la cohérence de l'univers des oeuvres de Hickman. Bref vous adorerez. En somme un superbe album très exigeant qui ne plaira pas à tout le modne... un bon Hickman quoi Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/decorum-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Batman detective Infinite t1

    Vous aimez les films de Batman ? Le personnage en lui-même mais par contre vous êtes perdus par les complots de super méchants à l'échelle universelle ? Et bien ce Batman Détective Infinite est fait pour vous. Déjà il contient une histoire entière qui se commence à la première page et finit à la dernière. Ensuite c'est un "début". Le peu d'historique nécessaire est décrit en introduction mais pour l'essentiel cet album est traité comme un début de série avec la présentation des personnages tout ça tout ça. Donc pas besoin de background pour apprécier cette enquête 100% Gothamienne. Cerise sur le gâteau c'est Dan Mora au dessin. L'auteur de l'excellent once and Future ou encore Klaus nous livre encore ici des planches de toutes beautés. Coté scénario, si Mariko Tamaki est reconnue pour ses romans graphiques, j'attendais un peu de voir ce qu'elle réussirait à faire aux mains d'un héros plus nori et brutal. Si l'histoire traine un peu en longueur, elle est quand même bien maitrisée et Mariko Tamaki réussi à se servir des méchants historiques de Gotham tout en mettant ses petits nouveaux à elle. Bref une très bonne histoire de Batman calibré pour les lecteurs amateurs de la chauve-souris en mode détective comme l'indique la couverture.
  21. Titre de l'album : Batman detective Infinite t1 Scenariste de l'album : Mariko Tamaki Dessinateur de l'album : Viktor Bogdanovic / Dan Mora Coloriste : Viktor Bogdanovic / Dan Mora Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lorsque sa fille est tuée au cours de la vague de crimes qui s'abat sur Gotham City, Roland Worth, une montagne de muscles et d'argent de deux mètres de haut, se lance dans une quête personnelle de vengeance contre Batman, responsable présumé de ce chaos. Victime d'une machination savamment orchestrée, le Chevalier Noir désargenté ne pourra compter que sur son intelligence et le peu d'équipement qui lui reste. Critique : Vous aimez les films de Batman ? Le personnage en lui-même mais par contre vous êtes perdus par les complots de super méchants à l'échelle universelle ? Et bien ce Batman Détective Infinite est fait pour vous. Déjà il contient une histoire entière qui se commence à la première page et finit à la dernière. Ensuite c'est un "début". Le peu d'historique nécessaire est décrit en introduction mais pour l'essentiel cet album est traité comme un début de série avec la présentation des personnages tout ça tout ça. Donc pas besoin de background pour apprécier cette enquête 100% Gothamienne. Cerise sur le gâteau c'est Dan Mora au dessin. L'auteur de l'excellent once and Future ou encore Klaus nous livre encore ici des planches de toutes beautés. Coté scénario, si Mariko Tamaki est reconnue pour ses romans graphiques, j'attendais un peu de voir ce qu'elle réussirait à faire aux mains d'un héros plus nori et brutal. Si l'histoire traine un peu en longueur, elle est quand même bien maitrisée et Mariko Tamaki réussi à se servir des méchants historiques de Gotham tout en mettant ses petits nouveaux à elle. Bref une très bonne histoire de Batman calibré pour les lecteurs amateurs de la chauve-souris en mode détective comme l'indique la couverture. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-detective-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Là on touche au sublime comme dirait l'autre. On avait déjà vu avec le Curse of the White Knight l'effet Urban Limited. Mais avec ce chef d'œuvre qu'est le premier tome de la série White Knight, c'est encore mieux. Graphiquement les dessins de Murphy prennent une autre dimension. Les grandes pages laissent voir énormément de détails que l'on ne voit pas forcement sur les versions plus petites. Les planches en pleine page sont tellement belles qu'on a envie de découper l'album pour les afficher. Surtout les couvertures alternatives en fin d'album. Le tout sublimé par un scenario qui, après relecture et deux ans plus tard, se trouve être vraiment génial. Je vais me faire insulter car cette édition n'est plus disponible nul par, à peine une semaine après sa sortie. Mais c'est plus pour vous encourager à guetter les occasions et surtout à guetter les éditions Urban Limited de l'année prochaine. Et à m'aider à faire du lobbysme pour avec une version Urban Limited de Punk Rock Jesus......
  23. Titre de l'album : Batman The whit knight : Urban Limited edition Scenariste de l'album : Sean Murphy Dessinateur de l'album : Sean Murphy Coloriste : Sean Murphy Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La collection Urban Limited propose de découvrir des récits majeurs de DC Comics dans un format hors du commun et une fabrication particulièrement luxueuse. Les tirages sont uniques, limités à 1500 exemplaires et numérotés à la machine à l'intérieur des ouvrages. Contenu vo : Batman White Knight #1-8. Critique : Là on touche au sublime comme dirait l'autre. On avait déjà vu avec le Curse of the White Knight l'effet Urban Limited. Mais avec ce chef d'œuvre qu'est le premier tome de la série White Knight, c'est encore mieux. Graphiquement les dessins de Murphy prennent une autre dimension. Les grandes pages laissent voir énormément de détails que l'on ne voit pas forcement sur les versions plus petites. Les planches en pleine page sont tellement belles qu'on a envie de découper l'album pour les afficher. Surtout les couvertures alternatives en fin d'album. Le tout sublimé par un scenario qui, après relecture et deux ans plus tard, se trouve être vraiment génial. Je vais me faire insulter car cette édition n'est plus disponible nul par, à peine une semaine après sa sortie. Mais c'est plus pour vous encourager à guetter les occasions et surtout à guetter les éditions Urban Limited de l'année prochaine. Et à m'aider à faire du lobbysme pour avec une version Urban Limited de Punk Rock Jesus...... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urban-limited-batman-white-edition-luxe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Trese tome 1

    Les lecteurs de Trese connaitront certainement la première saison en six épisodes de l'animée tirée de la bande dessinée et diffusée sur Netflix en 2021, sous le nom Trese : Entre deux mondes. Le succès de l'animé, nous permet de pouvoir lire le Komiks philippin d'origine, d'ailleurs j'ai appris dans les explications en fin d'album que Komiks était le mot pour les BD aux Philippines. Au niveau de l'histoire, Budjette Tan nous propose de suivre Alexandra Trese, une consultante de la police pour toutes les histoires de morts inexplicables ou étranges. Alexandra Trese a des connaissances sur la magie mais aussi sur les personnes fantastiques du folklore philippin. Les auteurs donnent des explications sur ces entités en fin de récits pour mieux comprendre leur pouvoir et leur origine. Pour exemples, les aswang conservent leur forme humaine de jour mais se transforment en monstres sanguinaires quand ils ont faim avec une force décuplée. La partie graphique d'Hajo Baldisimo est dans un style réaliste malgré tous les montres rencontrés dans ce tome. Les dessins sont en noir et blanc avec un découpage nerveux dans les scènes d'action. Le style est un mélange de comics et de bande dessinée franco-belge. Je n'ai regardé que le premier épisode de la série animée par curiosité et pour comparer, alors les dessins sont très différents déjà avec la couleur sinon l'histoire était la même que le premier récit de l'album. Trese est un très bon album avec cette enquêtrice de l'occulte et des histoires originales qui changent des vampires ou autres zombies plus classiques.
  25. alx23

    Trese tome 1

    Titre de l'album : Trese tome 1 Scenariste de l'album : Budjette Tan Dessinateur de l'album : Hajo Baldisimo Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Quand le soleil se couche sur la ville de Manille, ce n'est pas le moment de faire un faux pas ou de trainer dans les couloirs mal éclairés du métro, là où les aswang suceurs de sang dirigent un réseau d'enlèvement, où les kapre sont les chevilles ouvrières du crime et les engkantos passent entre les mailles du filet et volent vos biens les plus précieux. C'est là qu'intervient TRESE... Critique : Les lecteurs de Trese connaitront certainement la première saison en six épisodes de l'animée tirée de la bande dessinée et diffusée sur Netflix en 2021, sous le nom Trese : Entre deux mondes. Le succès de l'animé, nous permet de pouvoir lire le Komiks philippin d'origine, d'ailleurs j'ai appris dans les explications en fin d'album que Komiks était le mot pour les BD aux Philippines. Au niveau de l'histoire, Budjette Tan nous propose de suivre Alexandra Trese, une consultante de la police pour toutes les histoires de morts inexplicables ou étranges. Alexandra Trese a des connaissances sur la magie mais aussi sur les personnes fantastiques du folklore philippin. Les auteurs donnent des explications sur ces entités en fin de récits pour mieux comprendre leur pouvoir et leur origine. Pour exemples, les aswang conservent leur forme humaine de jour mais se transforment en monstres sanguinaires quand ils ont faim avec une force décuplée. La partie graphique d'Hajo Baldisimo est dans un style réaliste malgré tous les montres rencontrés dans ce tome. Les dessins sont en noir et blanc avec un découpage nerveux dans les scènes d'action. Le style est un mélange de comics et de bande dessinée franco-belge. Je n'ai regardé que le premier épisode de la série animée par curiosité et pour comparer, alors les dessins sont très différents déjà avec la couleur sinon l'histoire était la même que le premier récit de l'album. Trese est un très bon album avec cette enquêtrice de l'occulte et des histoires originales qui changent des vampires ou autres zombies plus classiques. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/trese-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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