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  1. poseidon2

    DCeased hope at world's end

    Il y a quelques années de cela, quand nous étions ensevelis sous une montagne de parutions de Zombies diverses et variées, je n'aurais jamais pensé commencer une critique par une remarque de ce genre : Je pense que DCeased, avec ces zombies et sa fin du monde, est peut etre le comics le plus abouti et le plus agréable pour le grand public chez DC en ce moment. Oui oui. Je vous sens venir avec des remarques du genre : facile le zombie c'est porteur et tout et tout. Mais en fait non. Enfin si ca l'est toujours. Mais non nos auteurs ne tombent pas dans la facilité. Aussi étrange que cela puissse paraitre, le récit est clair depuis le début mais surtout, et c'est ce que l'on voit dans ce tome ci particulièrement, il est traité de facon intelligente. Ce tome ci est un tome qui se passe avant la fin du tome principale et nous raconte, apres nous avoir raconté le point de vue des méchants dans le précédent (excellent d'ailleurs), comment les gentils tentent, eux, de s'organiser. Ce qui est vraiment sympa ici c'est qu'on nous montre des héros qui ont encore de l'espoir. Loin de penser à migrer de la terre..... Le traitement des differents héros et méchants , sans prise de parti sur qui doit survivre ou non, est vraiment un des points excellents de cette série. Pour une fois nos héros ne font pas les malins et s'associent avec qui le veut bien pour sauver la terre. Bref en parrallele d'une série Metal qui est complexe au possible, cette réalité ci est rafraichissante et facile à suivre, que l'on connaisse les personnages ou non. Le cross over tout publique du moment !
  2. Titre de l'album : DCeased hope at world's end Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'équation anti-vie a infecté plus d'un milliard de personnes sur Terre. De chaque côté de l'échiquier, héros comme vilains, nombreux sont ceux qui lui ont succombé. Immédiatement après la destruction de Metropolis, Superman et Wonder Woman mènent un effort pour endiguer la vague d'infection, préserver et protéger les survivants et essayer d'entrevoir la lumière au bout du tunnel. À l'heure la plus sombre de la Terre, l'humanité fait face à son plus grand défi, ne pas perdre espoir, quand tout semble déjà perdu. Critique : Il y a quelques années de cela, quand nous étions ensevelis sous une montagne de parutions de Zombies diverses et variées, je n'aurais jamais pensé commencer une critique par une remarque de ce genre : Je pense que DCeased, avec ces zombies et sa fin du monde, est peut etre le comics le plus abouti et le plus agréable pour le grand public chez DC en ce moment. Oui oui. Je vous sens venir avec des remarques du genre : facile le zombie c'est porteur et tout et tout. Mais en fait non. Enfin si ca l'est toujours. Mais non nos auteurs ne tombent pas dans la facilité. Aussi étrange que cela puissse paraitre, le récit est clair depuis le début mais surtout, et c'est ce que l'on voit dans ce tome ci particulièrement, il est traité de facon intelligente. Ce tome ci est un tome qui se passe avant la fin du tome principale et nous raconte, apres nous avoir raconté le point de vue des méchants dans le précédent (excellent d'ailleurs), comment les gentils tentent, eux, de s'organiser. Ce qui est vraiment sympa ici c'est qu'on nous montre des héros qui ont encore de l'espoir. Loin de penser à migrer de la terre..... Le traitement des differents héros et méchants , sans prise de parti sur qui doit survivre ou non, est vraiment un des points excellents de cette série. Pour une fois nos héros ne font pas les malins et s'associent avec qui le veut bien pour sauver la terre. Bref en parrallele d'une série Metal qui est complexe au possible, cette réalité ci est rafraichissante et facile à suivre, que l'on connaisse les personnages ou non. Le cross over tout publique du moment ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dceased-hope-at-world-s-end?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. L'histoire : Lorsque la barrière entre notre monde et le royaume spirituel est mystérieusement déchirée, la terre entière devient HANTÉE. Treize ans plus tard, SARAH McCALLISTER survit alors qu’elle est constamment en fuite contre les fantômes, démons et autres horreurs. Mais quand elle rencontre deux inconnus qui disent savoir comment sauver le monde, elle doit décider de les abandonner ou de les aider à affronter une horde de fantômes dans la ville la plus hantée du monde. Rhhhooo encore un projets participatif qui à l'air d'etre super. Innovant et graphiquement superbe avec pleins de couleurs partout 🙂 Le genre de detente que j'apprecie. En plus sur cet album le prix estpas deconnant avec un tarif à 17 euro frais de ports inclus pour un album typique des editions Wanga : pagination assez importante (104 pages mini) avec une couverture souple avec rabat.Une qualité gloablement correct vu sur Neozoic. C'est ici que ca se passe : https://fr.ulule.com/haunted-vol-1/ Et un exempel graphique :
  4. alx23

    Le retour du messie - verset 1

    Suite à une pression importante des religieux intégristes aux Etats-Unis, la série n’a pas pu sortir dans le catalogue de la maison d’édition DC, comme prévue initialement. Le problème majeur vient du fait de réunir un super-héros qui devait être Superman et Jésus Christ dans des aventures complétements déjantés et loufoques. On comprend rapidement pourquoi le titre s'est attiré des problèmes des groupes religieux dès l'introduction quand Dieu crée la terre avec Adam et Eve. Il tourne en dérision la religion chrétienne ce qui n’est pas bien vu encore aujourd’hui. L'histoire est vraiment amusante, les répliques de dieu ou ses réflexions sont excellentes et l’ensemble est très bien réfléchi. Face à l'échec de la dernière création de dieu, Jésus propose d'aller sur Terre pour remettre de l'ordre mais il sera crucifié et dieu aura du mal à s'en remettre. Face à la déception d'avoir un fils comme Jésus, Dieu demande à Sunstar un super-héros indestructible et immortel d’éduquer son fils. Deux auteurs dessinateurs se partagent le travail, avec deux styles différents qui s'alternent suivant si c'est le point de vu de Jésus ou celui de Sunstar. Le style sur Sunstar est vraiment classique pour les comics de super-héros mais efficace. Le style sur Jésus se rapproche des productions BD franco-belge avec des traits crayonnés encore apparent par-dessus la couleur. J'ai vraiment adoré ce titre, je ne m'attendais pas à tant d'humour et autres subtilités dans Le Retour du Messie, les dessins fourmillent de détails amusants. J'adore comment les docteurs diagnostiquent Jésus, il a le fantasme du messie, avec illusions de grandeur et complexe de persécution.
  5. Titre de l'album : Le retour du messie - verset 1 Scenariste de l'album : Mark Russell Dessinateur de l'album : Leonard Kirk, Richard Pace Coloriste : Andy Troy, Richard Pace Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dieu ordonne à Sunstar - le super-héros le plus puissant de la Terre - d'accueillir son fils, autrement dit Jésus, en tant que co-locataire, afin de lui apprendre à utiliser ses pouvoirs de manière plus... puissante et spectaculaire. Jésus, choqué par la façon dont les humains ont déformé son message et celui de son père, jure de tout faire pour remettre les choses en place. Critique : Suite à une pression importante des religieux intégristes aux Etats-Unis, la série n’a pas pu sortir dans le catalogue de la maison d’édition DC, comme prévue initialement. Le problème majeur vient du fait de réunir un super-héros qui devait être Superman et Jésus Christ dans des aventures complétements déjantés et loufoques. On comprend rapidement pourquoi le titre s'est attiré des problèmes des groupes religieux dès l'introduction quand Dieu crée la terre avec Adam et Eve. Il tourne en dérision la religion chrétienne ce qui n’est pas bien vu encore aujourd’hui. L'histoire est vraiment amusante, les répliques de dieu ou ses réflexions sont excellentes et l’ensemble est très bien réfléchi. Face à l'échec de la dernière création de dieu, Jésus propose d'aller sur Terre pour remettre de l'ordre mais il sera crucifié et dieu aura du mal à s'en remettre. Face à la déception d'avoir un fils comme Jésus, Dieu demande à Sunstar un super-héros indestructible et immortel d’éduquer son fils. Deux auteurs dessinateurs se partagent le travail, avec deux styles différents qui s'alternent suivant si c'est le point de vu de Jésus ou celui de Sunstar. Le style sur Sunstar est vraiment classique pour les comics de super-héros mais efficace. Le style sur Jésus se rapproche des productions BD franco-belge avec des traits crayonnés encore apparent par-dessus la couleur. J'ai vraiment adoré ce titre, je ne m'attendais pas à tant d'humour et autres subtilités dans Le Retour du Messie, les dessins fourmillent de détails amusants. J'adore comment les docteurs diagnostiquent Jésus, il a le fantasme du messie, avec illusions de grandeur et complexe de persécution. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-retour-du-messie-verset-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    Big girls

    Big Girls arrive pour le public français après avoir reçu un bon accueil aux États-Unis. Jason Howard le dessinateur de la série Trees entre autre, revient en artiste complet sur Big Girls. Il nous propose un scenario fantastique avec des femmes géantes protectrices des derniers survivants dans une zone contrôlée par ces fameuses Big Girls. La menace est grande avec des monstres géants surnommés les Jacks qui détruisent tout en cherchant de la nourriture. Il faut bien reconnaitre que le trait de l'auteur m'a beaucoup surpris durant les six chapitres très maitrisés de Big Girls. Il faut voir les scènes d'actions avec les géants qui combattent dans les derniers quartiers habités pour se rendre compte de son excellent travail. On retrouve toutes couvertures des fascicules d'origine et quelqu’une d'autres dessinateurs. Big girls est le deuxième titre des éditions 404 comics qui démarrent très fort dans le monde de la bande dessinée. L'édition du comics est soignée comme avec Dunce et semble très solide, le titre est en orange fluo pour contraster avec le décor et les géants de la couverture. Dunce était déjà un ovni des pays scandinave et cette fois, Big Girls nous permet lire un titre récent des États-Unis. La fin de Big Girls reste ouverte pour une éventuelle suite qui devrait ravir beaucoup de lecteurs.
  7. alx23

    Big girls

    Titre de l'album : Big girls Scenariste de l'album : Jason Howard Dessinateur de l'album : Jason Howard Coloriste : Jason Howard Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Des hommes monstrueux à éradiquer ? Faites appel aux Big Girls ! Suite à une terrible maladie, les hommes deviennent des monstres géants, des " Jacks " déterminés à détruire le monde, et seules des filles géantes peuvent les arrêter. Ember et les autres grandes filles sont tout ce qui s'oppose à l'anéantissement complet de notre monde ! Au service d'une agence qui élimine les malades dès leur plus jeune âge, Ember commence à douter de son rôle, se pourrait-il que quelque chose ou quelqu'un se cache derrière cette maladie ? Et si elle pouvait changer les choses ? Critique : Big Girls arrive pour le public français après avoir reçu un bon accueil aux États-Unis. Jason Howard le dessinateur de la série Trees entre autre, revient en artiste complet sur Big Girls. Il nous propose un scenario fantastique avec des femmes géantes protectrices des derniers survivants dans une zone contrôlée par ces fameuses Big Girls. La menace est grande avec des monstres géants surnommés les Jacks qui détruisent tout en cherchant de la nourriture. Il faut bien reconnaitre que le trait de l'auteur m'a beaucoup surpris durant les six chapitres très maitrisés de Big Girls. Il faut voir les scènes d'actions avec les géants qui combattent dans les derniers quartiers habités pour se rendre compte de son excellent travail. On retrouve toutes couvertures des fascicules d'origine et quelqu’une d'autres dessinateurs. Big girls est le deuxième titre des éditions 404 comics qui démarrent très fort dans le monde de la bande dessinée. L'édition du comics est soignée comme avec Dunce et semble très solide, le titre est en orange fluo pour contraster avec le décor et les géants de la couverture. Dunce était déjà un ovni des pays scandinave et cette fois, Big Girls nous permet lire un titre récent des États-Unis. La fin de Big Girls reste ouverte pour une éventuelle suite qui devrait ravir beaucoup de lecteurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/big-girls?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Pffff que c'est dur de parler de Bitter Root, tellement j'ai adoré ce premier opus, alors même qu'il a été plutôt encensé par la critique tandis que les ventes du premier opus se sont révélées très décevantes. Dur, dur d'y voir clair la dedans. Et ce tome 2 ne va clairement mettre personne d'accord. Disons le clairement le parti pris de la narration est de volontairement foutre le bordel dans le fil de l'histoire qui jusqu'ici était plutôt classique. Mélange d'époques sans dates repères, chronologies et lieux fouillis, personnages multiples et liés les uns aux autres, pouah, la première lecture de ce Bitter Root va vous retourner la tête. Même l'arbre généalogique réussi à être inutilement tordu. Et pour ma part je ne peux que trouver ça dommage. Dommage car c'est de mon point de vue clairement inutile, tant le propos de fond est génial, la mise en scène réussie, et les graphismes, comme souvent inégaux dans les comics, globalement super originaux et cohérents avec l'oeuvre. Cet artifice donc n'apporte rien, et retire inutilement un plaisir de lecture qui aurait pu être tellement parfait. Bon voilà, j'ai bien râlé, bien ronchonné. Mais en vrai c'est presque toujours aussi bon. Et j'attends beaucoup de ma relecture. Et oui il s'avère qu'une fois passé la difficulté de rentrer de nouveau dans l'histoire et d'appréhender la cohérence narrative, cette lecture nous prend une nouvelle fois aux tripes pour ne plus nous lâcher avant la dernière page. Voilà, on ne sera pas tous d'accord sur Bitter Root, mais il faudra vous y frotter au moins une fois pour voir si comme moi vous trouverez ça génial, ou si comme certains de mes amis BDphiles, vous trouverez ça quelconque.
  9. Titre de l'album : Bitter Root - Tome 2 - Rage et rédemption Scenariste de l'album : Chuck Brown &David F. Walker Dessinateur de l'album : Sanford Greene Coloriste : Sofie Dodgson & Sanford Greene Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Vainqueur de l'Eisner Award 2020 de la meilleure série régulière. Nommé au Eisner Award 2019 de la meilleure nouvelle série. Chasser les monstres est une affaire familiale pour les Sangerye. De génération en génération, ils ont combattu les Jinoos, d'horribles créatures nées de la haine. Mais ils doivent désormais faire face à une menace bien différente : les redoutables Inzondos, un nouveau type de monstre engendré par le deuil et les traumatismes. Tandis qu'une légion d'âmes torturées s'abat sur Harlem, les Sangerye vont encore devoir se battre pour sauver le monde... avant que leur propre souffrance ne les transforme eux aussi ! Récompensés par le prestigieux Eisner Award de la meilleure série régulière, David F. Walker, Chuck Brown et Sanford Greene poursuivent le combat de la famille Sangerye dans le Harlem des années 1920 à coups de scènes d'action grandioses et de métaphores limpides dont la puissance résonne aujourd'hui tout autant qu'en 1924. Critique : Pffff que c'est dur de parler de Bitter Root, tellement j'ai adoré ce premier opus, alors même qu'il a été plutôt encensé par la critique tandis que les ventes du premier opus se sont révélées très décevantes. Dur, dur d'y voir clair la dedans. Et ce tome 2 ne va clairement mettre personne d'accord. Disons le clairement le parti pris de la narration est de volontairement foutre le bordel dans le fil de l'histoire qui jusqu'ici était plutôt classique. Mélange d'époques sans dates repères, chronologies et lieux fouillis, personnages multiples et liés les uns aux autres, pouah, la première lecture de ce Bitter Root va vous retourner la tête. Même l'arbre généalogique réussi à être inutilement tordu. Et pour ma part je ne peux que trouver ça dommage. Dommage car c'est de mon point de vue clairement inutile, tant le propos de fond est génial, la mise en scène réussie, et les graphismes, comme souvent inégaux dans les comics, globalement super originaux et cohérents avec l'oeuvre. Cet artifice donc n'apporte rien, et retire inutilement un plaisir de lecture qui aurait pu être tellement parfait. Bon voilà, j'ai bien râlé, bien ronchonné. Mais en vrai c'est presque toujours aussi bon. Et j'attends beaucoup de ma relecture. Et oui il s'avère qu'une fois passé la difficulté de rentrer de nouveau dans l'histoire et d'appréhender la cohérence narrative, cette lecture nous prend une nouvelle fois aux tripes pour ne plus nous lâcher avant la dernière page. Voilà, on ne sera pas tous d'accord sur Bitter Root, mais il faudra vous y frotter au moins une fois pour voir si comme moi vous trouverez ça génial, ou si comme certains de mes amis BDphiles, vous trouverez ça quelconque. Autres infos : Quand Ghost Buster rencontre Malcolm X dans le Harlme des années 20. Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bitter-root-tome-2-la-rage-et-la-redemption?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Once en future T2

    Miam le retour de mon comics arthurien. Surtout le retour de Dan Mora. Car on peu dire sans aucune honte que le trait de Dan Mora fait pour 60% de l'interet de ce comic. C'est somptueux avec des couleurs super vives et un bestiaire de folie. Franchement ca dépote ! Mais ne vous inquietez pas les 40% de scénario sont toujours aussi sympas. Notre Duncan est toujours autant perdu. A l'inverse le mysère globale derrière cette invasion de monstre se disperse petite à petit. Pour ne pas finir trop rapidement son histoire, Kieron Gillen renforce le coté litteraire en allant chercher une légende hors de l'épopée Arthurienne pour nous presenter le personnage de Beowulf. Personnage pas forcement très connu en france donc un peu plus difficile d'acces mais personnage servant surtout de support à la partie principale du récit : les manigances de Merlin. Manigances qui me font dire, encore une fois, qu'il faudrait relire à minima un résumé de l'ensemble de l'épopée d'Arthur pour encore plus apprécier ce comics. Ce que je ferais sans nul doute avant le troisième et dernier tome.
  11. Titre de l'album : Once en future T2 Scenariste de l'album : Kieron Gillen Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Dan Mora Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Bien que Bridgette et Duncan ont empêché Arthur de récupérer le Graal, leurs actions ont accidentellement provoqué la ruine de L'Autre Monde, permettant à de nouvelles légendes et personnages de faire leur apparition - et leurs problèmes aussi. Lorsqu'un casque est volé au British Museum, Bridgette et Duncan sont confrontés à un nouveau challenge de taille : un monstre et sa mère. Critique : Miam le retour de mon comics arthurien. Surtout le retour de Dan Mora. Car on peu dire sans aucune honte que le trait de Dan Mora fait pour 60% de l'interet de ce comic. C'est somptueux avec des couleurs super vives et un bestiaire de folie. Franchement ca dépote ! Mais ne vous inquietez pas les 40% de scénario sont toujours aussi sympas. Notre Duncan est toujours autant perdu. A l'inverse le mysère globale derrière cette invasion de monstre se disperse petite à petit. Pour ne pas finir trop rapidement son histoire, Kieron Gillen renforce le coté litteraire en allant chercher une légende hors de l'épopée Arthurienne pour nous presenter le personnage de Beowulf. Personnage pas forcement très connu en france donc un peu plus difficile d'acces mais personnage servant surtout de support à la partie principale du récit : les manigances de Merlin. Manigances qui me font dire, encore une fois, qu'il faudrait relire à minima un résumé de l'ensemble de l'épopée d'Arthur pour encore plus apprécier ce comics. Ce que je ferais sans nul doute avant le troisième et dernier tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/once-and-future-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    Marqués tome 1

    Après un très bon premier tome de science-fiction avec Sonata voir la chronique de ICI, on retrouve la même équipe artistique sur Marqués une série fantastique très impressionnante. David Hine et Brian Harbelin écrivent tous les deux l'histoire avec cette confrérie secrète autour de la magie et des glyphes. Les membres de ces groupuscules sont tatoués avec des glyphes magiques qui leur amplifient leur pouvoir, on les appelle les Marqués. Ce premier tome introduit très vite le contexte, l'histoire et les mystères autour des Marqués avant de nous plonger dans l'action avec des pouvoirs surprenants. La partie graphique est entièrement numérique mais lorsque l'on voit les planches avec les pouvoirs lumineux on comprend ce choix car le rendu est absolument magnifique. On retrouve ce côté sombre avec beaucoup d'encrage malgré des décors très travaillés pour un comics. Brian Harbelin et secondé par Jay Anacleto pour mettre en image tous ces pouvoir lumineux qui ressortent très bien avec la noirceur des planches. On a l’impression que les images sont prises depuis un jeu vidéo. Ce premier tome est excellent et donne envie de poursuivre l'aventure avec les Marqués et leurs tatouages magiques. Je vais me procurer Sonota dans la journée.
  13. alx23

    Marqués tome 1

    Titre de l'album : Marqués tome 1 Scenariste de l'album : Brian Harbelin & David Hine Dessinateur de l'album : Brian Harbelin & Jay Anacleto Coloriste : Geirrod Van Dyke Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après des années sans réelle menace occulte, Les Marqués - ces sorcières modernes recouvertes de tatouages qui sont autant de glyphes magiques - utilisent leurs pouvoirs de manière ludique et vivent comme des Rock Stars, jusqu'au jour où une nouvelle forme de magie hybride, terrifiante et destructrice, apparaît... Elles vont devoir assumer pleinement leur rôle de protecteurs de l'humanité. Critique : Après un très bon premier tome de science-fiction avec Sonata voir la chronique de ICI, on retrouve la même équipe artistique sur Marqués une série fantastique très impressionnante. David Hine et Brian Harbelin écrivent tous les deux l'histoire avec cette confrérie secrète autour de la magie et des glyphes. Les membres de ces groupuscules sont tatoués avec des glyphes magiques qui leur amplifient leur pouvoir, on les appelle les Marqués. Ce premier tome introduit très vite le contexte, l'histoire et les mystères autour des Marqués avant de nous plonger dans l'action avec des pouvoirs surprenants. La partie graphique est entièrement numérique mais lorsque l'on voit les planches avec les pouvoirs lumineux on comprend ce choix car le rendu est absolument magnifique. On retrouve ce côté sombre avec beaucoup d'encrage malgré des décors très travaillés pour un comics. Brian Harbelin et secondé par Jay Anacleto pour mettre en image tous ces pouvoir lumineux qui ressortent très bien avec la noirceur des planches. On a l’impression que les images sont prises depuis un jeu vidéo. Ce premier tome est excellent et donne envie de poursuivre l'aventure avec les Marqués et leurs tatouages magiques. Je vais me procurer Sonota dans la journée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marques-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Décorum t1

    En voilà un récit ou l'on reconnait bien la touche d'Hickman. Ceux qui trouvent que East of West est trop compliqué, qui ne comprennent rien à Black Mondays Murders ou encore qui préféraient les X-Men des années 2000, vous pouvez passer votre chemin et ne pas lire la suite de la critique. Car Hickman nous livre ici peut etre ce qu'il a produit de plus exigeant. Exigeant graphiquement tout d'abord. En effet à chaque "caste" est associé un type de dessin et une coloration spécifique. Mike Huddleston manie ca comme un maitre de l'art dans son ensemble. Les planches sont aussi sompteuses qu'exigenantes grace aussi bien à des grandes vues de l'espace qu'à des planches ou il faut arreter sa lecture pour bien tout comprendre. Mais exigeant car le scenario ne semble que prendre un corps homogène vers les 2/3 du livre. Pour etre très honnete durant le premier quart de la BD on se demande bien de quoi ca parle et on hésite à poursuivre. On ne poursuit cette lecture que parce que l'on connait Hickman et que l'on sait que derrière l'exigeance il y aura un travail soigné et une histoire qui vaux le coup. C'est ce qui vaut le demi point à ce premier tome : impossible de le conseiller à quelqu'un sans lui faire lire du Hickman d'abord. Ou alors avec une présentation très precise de la difficulté qu'il va rencontrer. Mais si vous aimez le monsieur, et c'est mon cas, alors vous vous régalerez à découvrir l'univers proposé ici. Vous lirez chaque ligne des pages séparant les chapitres. Vous regardez partout pour voir tous les détails qui font la richesse et la cohérence de l'univers des oeuvres de Hickman. Bref vous adorerez. En somme un superbe album très exigeant qui ne plaira pas à tout le modne... un bon Hickman quoi
  15. poseidon2

    Décorum t1

    Titre de l'album : Décorum t1 Scenariste de l'album : Jonathan Hickman Dessinateur de l'album : Mike Huddleston Coloriste : Mike Huddleston Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : S'il est vrai que le meurtre constitue un dénominateur commun entre toutes les espèces, il n'en va pas de même pour l'assassinat, qui relève plutôt de... la vocation. Contenu vo : Decorum #1-4. Critique : En voilà un récit ou l'on reconnait bien la touche d'Hickman. Ceux qui trouvent que East of West est trop compliqué, qui ne comprennent rien à Black Mondays Murders ou encore qui préféraient les X-Men des années 2000, vous pouvez passer votre chemin et ne pas lire la suite de la critique. Car Hickman nous livre ici peut etre ce qu'il a produit de plus exigeant. Exigeant graphiquement tout d'abord. En effet à chaque "caste" est associé un type de dessin et une coloration spécifique. Mike Huddleston manie ca comme un maitre de l'art dans son ensemble. Les planches sont aussi sompteuses qu'exigenantes grace aussi bien à des grandes vues de l'espace qu'à des planches ou il faut arreter sa lecture pour bien tout comprendre. Mais exigeant car le scenario ne semble que prendre un corps homogène vers les 2/3 du livre. Pour etre très honnete durant le premier quart de la BD on se demande bien de quoi ca parle et on hésite à poursuivre. On ne poursuit cette lecture que parce que l'on connait Hickman et que l'on sait que derrière l'exigeance il y aura un travail soigné et une histoire qui vaux le coup. C'est ce qui vaut le demi point à ce premier tome : impossible de le conseiller à quelqu'un sans lui faire lire du Hickman d'abord. Ou alors avec une présentation très precise de la difficulté qu'il va rencontrer. Mais si vous aimez le monsieur, et c'est mon cas, alors vous vous régalerez à découvrir l'univers proposé ici. Vous lirez chaque ligne des pages séparant les chapitres. Vous regardez partout pour voir tous les détails qui font la richesse et la cohérence de l'univers des oeuvres de Hickman. Bref vous adorerez. En somme un superbe album très exigeant qui ne plaira pas à tout le modne... un bon Hickman quoi Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/decorum-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. C'est un peu le "buzz" du moment (oui j'ai quasi 40 ans, j'assume d'utiliser Buzz) : Apres les BD numériques chez Izneo ou autres, les BD audio sont en plein démarrage et marches plutôt pas mal outre atlantique. On ne pouvait donc pas ne passer essayer. Et quitte à essayer autant ne pas commencer avec n'importe quoi mais avec le numéro 1 des ventes aux US : Sandman. Déjà en terme d'utilisation tant l'application que l'accès web Audible (filiale d’Amazon), tout s’est passé sans soucis. Prise en main facile. Début sur une plateforme, on continue sur autre etc.... La qualité du son est top. Coté adaptation c'est plutôt très très bon. Des voix très qui colle vraiment aux personnages, des sonorités d'ambiance bien calibrées qui font bien leur effet, et une histoire toujours aussi prenante. Ce n'est absolument pas "juste" une lecture de texte ! Ce qui en vient au point suivant : Je me demande sincèrement s’il est possible de découvrir un album via cette solution. Si j'avoue prendre énormément de plaisir à entendre l'histoire de Sandman (oui je n'ai pas fini, il y a 10h d'enregistrement), je pense que c'est en grande partie parce que j'ai déjà lu cette histoire. Je me pose la question du cas d'une histoire que l'on ne connait pas. En effet il sera dans ce cas la difficile d'écouter cette histoire en "bruit" de fond genre podcast. En effet lors de l'écoute d'une émission de radio, notre cerveaux ne capte que les mots importants et se concentrent sur certaines parties de la discussion, pas sur tout. Sur une roman/adaptation d'une histoire que l'on ne connait pas, on ne peut vraiment se permettre de rater une partie sans mettre en branle la qualité de l'histoire. On doit donc se concentrer sur l'histoire. Et le souci c'est que pour faire cela il ne faut rien faire d'autre. Cela se transforme donc en loisir intéressant quasi uniquement dans les transports en commun me concernant. Je suis preneur de retour d'expérience sur la question ! Venez nous donnez votre ressenti !
  17. Titre de l'album : Sandman en version Audio chez Audible Scenariste de l'album : Neil Gaiman, Dirk Maggs Dessinateur de l'album : NA Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : The Sandman, sera disponible en français le 25 février 2021 en exclusivité sur Audible. Déjà disponible en anglais sur Audible (#1 des ventes aux Etats-Unis et au Royaume-Uni), cette fiction audio est l’adaptation de la célèbre série de romans graphiques de DC. Elle a été écrite par Neil Gaiman, et adaptée par Dirk Maggs (producteur des séries Audible Alien et X-files). Cette adaptation donne vie à la fantastique épopée de The Sandman, dans un format audio multicast minutieusement travaillé pour une immersion totale. Célébrée dans le monde entier pour son mélange vibrant entre mythe moderne et fantasme sombre, l’histoire mêle harmonieusement fiction contemporaine, drame historique et légende Critique : C'est un peu le "buzz" du moment (oui j'ai quasi 40 ans, j'assume d'utiliser Buzz) : Apres les BD numériques chez Izneo ou autres, les BD audio sont en plein démarrage et marches plutôt pas mal outre atlantique. On ne pouvait donc pas ne passer essayer. Et quitte à essayer autant ne pas commencer avec n'importe quoi mais avec le numéro 1 des ventes aux US : Sandman. Déjà en terme d'utilisation tant l'application que l'accès web Audible (filiale d’Amazon), tout s’est passé sans soucis. Prise en main facile. Début sur une plateforme, on continue sur autre etc.... La qualité du son est top. Coté adaptation c'est plutôt très très bon. Des voix très qui colle vraiment aux personnages, des sonorités d'ambiance bien calibrées qui font bien leur effet, et une histoire toujours aussi prenante. Ce n'est absolument pas "juste" une lecture de texte ! Ce qui en vient au point suivant : Je me demande sincèrement s’il est possible de découvrir un album via cette solution. Si j'avoue prendre énormément de plaisir à entendre l'histoire de Sandman (oui je n'ai pas fini, il y a 10h d'enregistrement), je pense que c'est en grande partie parce que j'ai déjà lu cette histoire. Je me pose la question du cas d'une histoire que l'on ne connait pas. En effet il sera dans ce cas la difficile d'écouter cette histoire en "bruit" de fond genre podcast. En effet lors de l'écoute d'une émission de radio, notre cerveaux ne capte que les mots importants et se concentrent sur certaines parties de la discussion, pas sur tout. Sur une roman/adaptation d'une histoire que l'on ne connait pas, on ne peut vraiment se permettre de rater une partie sans mettre en branle la qualité de l'histoire. On doit donc se concentrer sur l'histoire. Et le souci c'est que pour faire cela il ne faut rien faire d'autre. Cela se transforme donc en loisir intéressant quasi uniquement dans les transports en commun me concernant. Je suis preneur de retour d'expérience sur la question ! Venez nous donnez votre ressenti ! Autres infos : Livre Audio Type de l'album : Comic Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. alx23

    The 7 deadly sins

    The 7 deadly sins est le troisième titre de TKO Studios à être édité en français dans le catalogue de Panini comics. Pour rappel, les deux premiers titres étaient de qualité avec des équipes artistes réputées dans le monde des comics avec Sentient de Jeff Lemire et Gabirle Hernandez Walyta et Sara de Garth Ennis et Steve Epting. Aujourd'hui, on peut découvrir The 7 deadly sins, un western assez sombre et violent comme cela devait être à cette époque. Tze Chun ne réinvente pas le genre mais joue avec tous les codes du western pour écrire une bonne histoire. Un prêtre fait échapper des criminels pour ensuite les embaucher dans une mission suicide en territoire Comanche. Je ne connais pas le travail de Artyom Trakhanov et je ne sais pas si c'est son premier comics qu'il dessine. Son style est un mélange entre RM Guera et Mignola, ça donne un trait anguleux et sombre avec beaucoup d'encrage. Ce one shot est composé des six chapitres de l'histoire pour une ballade en compagnie de sept criminels.
  19. alx23

    The 7 deadly sins

    Titre de l'album : The 7 deadly sins Scenariste de l'album : Tze Chun Dessinateur de l'album : Artyom Trakhanov Coloriste : Giulia Brusco Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Sept péchés mortels, une seule mission (qui est mortelle également ! ). Au Texas en 1857, des criminels condamnés à mort sont recrutés par un prêtre pour une mission suicide en territoire Comanche. Ce groupe hétéroclite est emmené par un hors-la-loi au passé sanglant, dans une aventure digne des plus grands Westerns. Critique : The 7 deadly sins est le troisième titre de TKO Studios à être édité en français dans le catalogue de Panini comics. Pour rappel, les deux premiers titres étaient de qualité avec des équipes artistes réputées dans le monde des comics avec Sentient de Jeff Lemire et Gabirle Hernandez Walyta et Sara de Garth Ennis et Steve Epting. Aujourd'hui, on peut découvrir The 7 deadly sins, un western assez sombre et violent comme cela devait être à cette époque. Tze Chun ne réinvente pas le genre mais joue avec tous les codes du western pour écrire une bonne histoire. Un prêtre fait échapper des criminels pour ensuite les embaucher dans une mission suicide en territoire Comanche. Je ne connais pas le travail de Artyom Trakhanov et je ne sais pas si c'est son premier comics qu'il dessine. Son style est un mélange entre RM Guera et Mignola, ça donne un trait anguleux et sombre avec beaucoup d'encrage. Ce one shot est composé des six chapitres de l'histoire pour une ballade en compagnie de sept criminels. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-seven-deadly-sins?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Middlewest t2 : Fear

    Middlewest est en train de devenir le porte étendard de la nouvelle branche Urban Link de Urban Comics. Apres un Fauve d'or à Angoulême dans la catégorie 12-16 ans, le tome deux mais la barre encore plus haut et nous amène vers une sublime trilogie. En effet le premier tome était porté par les impressionnants dessins de Jorge Corona qui réussissaient à rendre ce tome d'introduction super vivant. Mais cela restait malgré tout un tome d'introduction ou le gros de notre histoire était la mise en place des personnages et la promesse d'une histoire intéressante dans les prochains tomes. Et bien ce tome 2 nous montre que les promesses sont tenues. Ici on en apprend beaucoup sur le passé de cette étrange famille mais on voit aussi les aventures d'Abel continuer et surtout prendre un tournant imprévu qui permet à nos auteurs d'enrichir encore plus leur monde. On est passionné du début à la fin par ce petit garçon dépassé par un pouvoir dont il ne veut pas. On est à fond derrière lui quand il ne veut pas démordre du fait que lui ne veut pas de cette "bénédiction" et on tremble à chaque fois qu'il se met en colère. Ne manque que la fin de l'histoire... mais elle arrive à grand pas !
  21. Titre de l'album : Middlewest t2 : Fear Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Jorge Corona Coloriste : Jorge Corona Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Pour sauver sa peau, Abel n'avait qu'une seule solution : fuir la toxicité de Dale, son père. Mais tourner le dos à son passé n'était que la première épreuve d'un long et périlleux voyage. Le mal qui ronge le garçon semble si intense que même l'aide apportée au détour du chemin ne semble pas suffire à apaiser ses démons. Seule la stabilité offerte par les forains de la Hurst Family lui laisse entrevoir le bonheur car, pour la première fois de sa vie, Abel se sent aimé par cette famille d'adoption. Un sentiment inédit, puissant, à l'image de la colère qui anime toujours son père, furieux d'avoir vu son autorité remise en question. La traque a commencé, et le spectre de Dale se rapproche dangereusement. Critique : Middlewest est en train de devenir le porte étendard de la nouvelle branche Urban Link de Urban Comics. Apres un Fauve d'or à Angoulême dans la catégorie 12-16 ans, le tome deux mais la barre encore plus haut et nous amène vers une sublime trilogie. En effet le premier tome était porté par les impressionnants dessins de Jorge Corona qui réussissaient à rendre ce tome d'introduction super vivant. Mais cela restait malgré tout un tome d'introduction ou le gros de notre histoire était la mise en place des personnages et la promesse d'une histoire intéressante dans les prochains tomes. Et bien ce tome 2 nous montre que les promesses sont tenues. Ici on en apprend beaucoup sur le passé de cette étrange famille mais on voit aussi les aventures d'Abel continuer et surtout prendre un tournant imprévu qui permet à nos auteurs d'enrichir encore plus leur monde. On est passionné du début à la fin par ce petit garçon dépassé par un pouvoir dont il ne veut pas. On est à fond derrière lui quand il ne veut pas démordre du fait que lui ne veut pas de cette "bénédiction" et on tremble à chaque fois qu'il se met en colère. Ne manque que la fin de l'histoire... mais elle arrive à grand pas ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/middlewest-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Avec Middlwest, ce Something is killing the children était la série la plus prometteuse d'Urban Link (attention beaucoup de one shot super). Cette suite était donc vraiment attendue et on peut dire que les attentes ont été comblées et surtout.... que la suite sera aussi bien. Car ce tome 2 est la suite directe du premier et il est vraiment excellent. On enchaine comme si on n’avait jamais arrêté et on reprend notre histoire et on enchaine les réponses aux questions sur Erica, sur la secte qui la soutient, sur les monstres. Révélations qui sont bien sur des intermèdes à des scènes d'action et d'angoisse. Certaines scènes sont mythiques. Celle des enfants par exemple.... ou quand Erica apprend pour les enfants. Cette histoire est d'une cohérence et d'une maitrise diabolique. Moi qui ne suis pas fan du genre, je suis pourtant envouté. Vivement la suite !
  23. Titre de l'album : Something is killing the children T2 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Werther Dell'Edera Coloriste : Werther Dell'Edera Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : En tant que coupable idéal, James avait perdu espoir de se faire entendre au sujet du meurtre de ses amis auquel il a assisté, impuissant. Après tout, ses arguments de défense étaient tout sauf crédibles. Des monstres auraient investi les environs d'Angel Peak et seraient à l'origine des récentes disparitions d'enfants... James rencontre alors Erica Slaughter qui lui confirmera l'existence de ces créatures. S'il n'a pas tout à fait sombré dans la folie, James n'en est pas rassuré pour autant. Mais il dépassera ses appréhensions pour apporter toute l'aide possible à la tueuse de monstres. aura eu le mérite de confirmer qu'il n'est pas totalement fou. La mission d'Erica est de les éliminer, et James compte bien lui apporter son aide. Tout comme Tommy, le frère d'une des victimes. Lui aussi les voit désormais, et ils ne seront pas de trop de trois pour venir à bout de l'invasion qui menace Archer's Peak. Critique : Avec Middlwest, ce Something is killing the children était la série la plus prometteuse d'Urban Link (attention beaucoup de one shot super). Cette suite était donc vraiment attendue et on peut dire que les attentes ont été comblées et surtout.... que la suite sera aussi bien. Car ce tome 2 est la suite directe du premier et il est vraiment excellent. On enchaine comme si on n’avait jamais arrêté et on reprend notre histoire et on enchaine les réponses aux questions sur Erica, sur la secte qui la soutient, sur les monstres. Révélations qui sont bien sur des intermèdes à des scènes d'action et d'angoisse. Certaines scènes sont mythiques. Celle des enfants par exemple.... ou quand Erica apprend pour les enfants. Cette histoire est d'une cohérence et d'une maitrise diabolique. Moi qui ne suis pas fan du genre, je suis pourtant envouté. Vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/something-is-killing-the-children-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Les aventures originales de Red Sonja est le premier tome qui reprend tous les récits de la guerrière rousse de 1975 à 1976. Le second tome proposera les histoires de l’année 1977, le troisième de 1977 à 1978 et le dernier les autres aventures inédites en français. La préface est écrite par Roy Thomas le scénariste, pour retracer le cheminement de la création de ce personnage, qui est une version féminine de Conan le barbare. Ce premier recueil est composé des huit premières histoires mettant en scène Red Sonja. Roy Thomas scénarise les débuts puis Bruce Jones prend la suite. Dans sa première apparition, Sonja fait équipe avec Conan pour affronter un serpent géant. Les récits sont courts et se terminent à chaque chapitre sauf pour les deux derniers où Conan et sa femme Bêlit croisent Sonja durant leur quête. Les histoires sont souvent des explorations de lieux maudits, ou Red Sonja loue ses services de mercenaire et voleuse. Trois dessinateurs se succèdent sur ce premier tome mais Frank Thorne est l’auteur qui en dessina le plus. Son style ne fait pas trop vieux bien au contraire. Les amateurs de Red Sonja seront comblés de pouvoir lire les premiers fait d’armes de cette guerrière de l’heroic fantasy. Il est toujours intéressant de lire les récits d’origines de la création de personnage emblématique des comics.
  25. Titre de l'album : Les aventures originales de Red Sonja T.1 - les années Marvel : 1975-1976 Scenariste de l'album : Roy Thomas et Bruce Jones Dessinateur de l'album : Frank Thorne, Esteban Maroto, Dick Giordano Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Dans le Monde Hyborien de Conan le barbare, une paysanne des steppes d'Hyrkanie vit ses derniers moments d'insouciance. Des mercenaires font irruption et tuent sa famille avant d'abuser d'elle. Scathach, la déesse rouge, entendant les suppliques de la pauvrette, la part d'un don pour le maniement des armes qui la rend invincible. Une seule condition : elle ne devra en aucun cas s'adonner à la chair avec un homme qui ne l'aura dominé au combat. Ainsi naît Red Sonja, la diablesse à l'épée et au tempérament revêche. Née d'une nouvelle de Robert E. Howard, le créateur de Conan, et d'un scénario de RoyThomas, Red Sonja prend corps dans la tenue qu'on lui connaît sous le trait d'Esteban Maroto et prendra son essor dans une série à son nom avec Frank Thorne, en 1975. Critique : Les aventures originales de Red Sonja est le premier tome qui reprend tous les récits de la guerrière rousse de 1975 à 1976. Le second tome proposera les histoires de l’année 1977, le troisième de 1977 à 1978 et le dernier les autres aventures inédites en français. La préface est écrite par Roy Thomas le scénariste, pour retracer le cheminement de la création de ce personnage, qui est une version féminine de Conan le barbare. Ce premier recueil est composé des huit premières histoires mettant en scène Red Sonja. Roy Thomas scénarise les débuts puis Bruce Jones prend la suite. Dans sa première apparition, Sonja fait équipe avec Conan pour affronter un serpent géant. Les récits sont courts et se terminent à chaque chapitre sauf pour les deux derniers où Conan et sa femme Bêlit croisent Sonja durant leur quête. Les histoires sont souvent des explorations de lieux maudits, ou Red Sonja loue ses services de mercenaire et voleuse. Trois dessinateurs se succèdent sur ce premier tome mais Frank Thorne est l’auteur qui en dessina le plus. Son style ne fait pas trop vieux bien au contraire. Les amateurs de Red Sonja seront comblés de pouvoir lire les premiers fait d’armes de cette guerrière de l’heroic fantasy. Il est toujours intéressant de lire les récits d’origines de la création de personnage emblématique des comics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-aventures-de-red-sonja-volume-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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