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  1. Titre de l'album : Danger Girl tome 1 - opération Hammer Scenariste de l'album : Andy Hartnell Dessinateur de l'album : J Scott Campbell Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Quand la ravissante aventurière Abbey Chase se fait recruter par l'agence d'espionnes «top» secrètes Danger Girl, elle se lance dans l'affaire de sa vie. Avec ses collègues espionnes, elle va s'opposer à l'une des pires menaces qui pèse sur le Monde. Abbey et les Danger Girls ne se limiteront pas à combattre le Mal, elles le feront avec élégance, humour et sensualité ! Danger Girl, c'est des actions époustouflantes dans des lieux exotiques ! Une grande aventure drapée de mystère et d'intrigues ! Des filles sexy qui tentent de sauver le monde ! C'est tout ça, DANGER GIRL : Opération Hammer ! Critique : Les éditions Graph Zeppelin reprennent la série Danger girl avec tous les épisodes inédits jamais parus en français et la réédition des premières aventures de Danger girl dans une version luxueuse. Danger girl Opération Hammer reprend le début de l'histoire avec Abbey Chase recrutée pour rejoindre l'organisation des Danger girl. Cette série est un mélange de la série les drôles de dames, des films James Bond, avec de l'action pure et dure et beaucoup d'humour sur sept chapitres. Andy Hartnell nous propose une intrigue sans prise de tête avec une partie fantastique et des nazis. Cette série date des années 90, avec des femmes souvent en petite tenue avec de grosses poitrines dans des positions sexy. Les dessins de J Scott Campbell sont parfaits dans ce registre. Les scènes d'action sont dynamiques et exagérées avec les danger girl aux aptitudes différentes pour venir à bout des missions les plus dangereuses. L'album se termine avec de nombreux bonus, des couvertures des comics originaux dessinées par d'autres auteurs, des esquisses. Danger girl Opération Hammer est un comics divertissant avec quelques bonnes surprises dans le scénario et des dessins de qualité. Pour information, cinq autres tomes sont sortis depuis la parution d’Opération Hammer et un Sketchbook, ainsi qu’un crossover Danger Girl & G.I. Joe. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/danger-girl?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    Folklords tome 1

    En ce moment Matt Kindt est en train de devenir le scénariste tendance dont je vais suivre tous ses projets au même titre que Jeff Lemire. En effet, Kindt me surprend de projet en projet, après l'excellente trilogie Mind MGMT sur les personnes possédant des pouvoirs psychiques, on change de registre avec un récit d'heroic fantasy. Folklords est un mélange de plusieurs genres mais pourrait être comparé à la série Fables pour tous les personnages issus des contes. On suit le parcours d'un jeune homme qui souhaite exécuter sa quête malgré l'interdiction décrétée par les dirigeants. Le héros dénote avec tout son univers comme il est habillé en costume de notre époque. Il fabrique des objets étranges en suivant ses visions comme un briquet. On sent bien que Matt Kindt à beaucoup d’idées encore à développer pour la suite des aventures de la Folklords et on peut lui faire confiance pour nous surprendre. Matt Smith dessine avec beaucoup de talent cette série. Il est amusant de jongler entre une époque fantastique avec des chevaliers, des trolls pour basculer sur un monde proche du notre. Ce premier tome de Folklords commence très bien et je vais attendre avec impatience la suite de la quête.
  3. alx23

    Folklords tome 1

    Titre de l'album : Folklords tome 1 Scenariste de l'album : Matt Kindt Dessinateur de l'album : Matt Smith Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans un monde de magie et de monstres, Ansel est un outsider hanté par des visions de costumes bien repassés et de technologie moderne. Quand vient le temps pour lui de démarrer sa quête, Ansel brave l'interdit et décide de rechercher des personnages légendaires : les Folklords. Il veut aller jusqu'au bout car il espère qu'ils pourront expliquer ses visions... Critique : En ce moment Matt Kindt est en train de devenir le scénariste tendance dont je vais suivre tous ses projets au même titre que Jeff Lemire. En effet, Kindt me surprend de projet en projet, après l'excellente trilogie Mind MGMT sur les personnes possédant des pouvoirs psychiques, on change de registre avec un récit d'heroic fantasy. Folklords est un mélange de plusieurs genres mais pourrait être comparé à la série Fables pour tous les personnages issus des contes. On suit le parcours d'un jeune homme qui souhaite exécuter sa quête malgré l'interdiction décrétée par les dirigeants. Le héros dénote avec tout son univers comme il est habillé en costume de notre époque. Il fabrique des objets étranges en suivant ses visions comme un briquet. On sent bien que Matt Kindt à beaucoup d’idées encore à développer pour la suite des aventures de la Folklords et on peut lui faire confiance pour nous surprendre. Matt Smith dessine avec beaucoup de talent cette série. Il est amusant de jongler entre une époque fantastique avec des chevaliers, des trolls pour basculer sur un monde proche du notre. Ce premier tome de Folklords commence très bien et je vais attendre avec impatience la suite de la quête. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/folklords-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    Moby Dick

    Les adaptations de Moby Dick en bande dessinée sont assez nombreuses mais seulement celle de Chabouté me reste en mémoire. Les éditions Delcourt nous proposent une réédition de l'adaptation du roman d'Herman Melville par le génial Bill Sienkiewicz. En effet, ce dessinateur possède une grande réputation dans le monde des comics avec des titres cultes comme Stray Toasters, sa participation sur Daredevil, ou Elektra pour ne citer que quelques titres. Il faut reconnaître que les planches dessinées par Sienkiewicz sont très originales avec une mise en couleurs particulière. Il suffit juste d'ouvrir un de ces comics pour comprendre à quoi s'attendre. Avec Moby Dick, on retrouve l'intensité du roman avec le capitaine Achab, Queequeg et Ismaël qui est à la narration. L'auteur ne réinvente rien et l'histoire reste identique. La partie graphique apporte un cachet indéniable à cette adaptation. On peut oublier les planches traditionnelles avec les cases, car les illustrations de Sienkiewicz débordent et prennent la totalité de la page. Les cases en noir et banc s'alternent avec les cases très colorées. La mise en couleur joue un rôle important dans le style de Sienkiewicz. Cette version de Moby Dick est proche des romans graphiques indépendants que des productions de comics américains.
  5. alx23

    Moby Dick

    Titre de l'album : Moby Dick Scenariste de l'album : Herman Melville et Bill Sienkiewicz Dessinateur de l'album : Bill Sienkiewicz Coloriste : Bill Sienkiewicz Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Attiré par la mer, Ismaël, le narrateur, décide de partir à la chasse à la baleine. Il embarque sur Le Pequod, commandé par le Capitaine Achab, obsédé par un cachalot blanc particulièrement féroce surnommé Moby Dick qui lui a arraché la jambe. À travers le voyage « sans retour » de son personnage principal, Melville aborde des thèmes universels, le concept de classe et de statut social. Critique : Les adaptations de Moby Dick en bande dessinée sont assez nombreuses mais seulement celle de Chabouté me reste en mémoire. Les éditions Delcourt nous proposent une réédition de l'adaptation du roman d'Herman Melville par le génial Bill Sienkiewicz. En effet, ce dessinateur possède une grande réputation dans le monde des comics avec des titres cultes comme Stray Toasters, sa participation sur Daredevil, ou Elektra pour ne citer que quelques titres. Il faut reconnaître que les planches dessinées par Sienkiewicz sont très originales avec une mise en couleurs particulière. Il suffit juste d'ouvrir un de ces comics pour comprendre à quoi s'attendre. Avec Moby Dick, on retrouve l'intensité du roman avec le capitaine Achab, Queequeg et Ismaël qui est à la narration. L'auteur ne réinvente rien et l'histoire reste identique. La partie graphique apporte un cachet indéniable à cette adaptation. On peut oublier les planches traditionnelles avec les cases, car les illustrations de Sienkiewicz débordent et prennent la totalité de la page. Les cases en noir et banc s'alternent avec les cases très colorées. La mise en couleur joue un rôle important dans le style de Sienkiewicz. Cette version de Moby Dick est proche des romans graphiques indépendants que des productions de comics américains. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moby-dick-192506?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    These savage shores

    Grosse parution cet été chez Hi Comics avec ce These Savage shores qui mêle adroitement les mythes vampires européens et les mythes Indiens sur fond de colonialisme et de l'inde du 18ème siècle. Autant vous dire que c'est original comme univers, mais la vraie grande réussite c'est que ce mélange original est rendu très cohérent, passionnant même par une narration maîtrisée de bout en bout. Le seul défaut est que finalement cette histoire aurait méritée d'être plus développée je crois. C'est intense, puissant et on ressort de cette aventure avec un goût de trop peu qui ne peu que nous pousser à conclure que ce qu'on vient de lire était bon. Voir très bon. La partie graphique est complètement maîtrisée par Sumit Kumar au dessin et Vittorio Astone aux couleurs. C'est superbe, cohérent, certaines scènes dégagent une vraie puissance et les scènes d'actions sont parfaitement mises en scène. Les personnages sont suffisamment travaillés pour coller à leurs personnalités et nous faire ressentir une vraie empathie pour eux et l'on sent bien que dessin et narration sont en osmose. Ceci étant dit These Savage Shores au delà de proposer une aventure très chouette qui nous rappellera nécessairement le Dracula de Bram Stoker, These Savage shores propose également une réflexion plus poussée sur nos sociétés, notre rapport à la sauvagerie ou à la destinée, et dans une moindre mesure une évocation vu de l'Inde du colonialisme Anglais. Ce n'est certes pas cette partie qui m'a le plus marqué le récit m'ayant complètement envoûté. These Savage shores est un one shot sublime porté par une narration sans faille au service d'une histoire universelle. Une réussite à tous points de vue.
  7. Titre de l'album : These savage shores Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Sumit Kumar Coloriste : Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Sur les rives de l'Indus, les jours sont rudes, et les nuits, déchirantes. 1766. Deux siècles après l'arrivée du premier navire européen sur les côtes de Malabar et l'implantation des colons à Calicut, la Compagnie des Indes cherche à protéger ses intérêts économiques sur la Route de la Soie. Une ancienne créature diabolique embarque sur un bateau de la Compagnie, dans l'espoir de redémarrer de zéro sur ces nouvelles terres prometteuses. Mais il comprendra vite que les rives de l'Indus abritent des démons et créatures légendaires bien plus anciennes que lui. Critique : Grosse parution cet été chez Hi Comics avec ce These Savage shores qui mêle adroitement les mythes vampires européens et les mythes Indiens sur fond de colonialisme et de l'inde du 18ème siècle. Autant vous dire que c'est original comme univers, mais la vraie grande réussite c'est que ce mélange original est rendu très cohérent, passionnant même par une narration maîtrisée de bout en bout. Le seul défaut est que finalement cette histoire aurait méritée d'être plus développée je crois. C'est intense, puissant et on ressort de cette aventure avec un goût de trop peu qui ne peu que nous pousser à conclure que ce qu'on vient de lire était bon. Voir très bon. La partie graphique est complètement maîtrisée par Sumit Kumar au dessin et Vittorio Astone aux couleurs. C'est superbe, cohérent, certaines scènes dégagent une vraie puissance et les scènes d'actions sont parfaitement mises en scène. Les personnages sont suffisamment travaillés pour coller à leurs personnalités et nous faire ressentir une vraie empathie pour eux et l'on sent bien que dessin et narration sont en osmose. Ceci étant dit These Savage Shores au delà de proposer une aventure très chouette qui nous rappellera nécessairement le Dracula de Bram Stoker, These Savage shores propose également une réflexion plus poussée sur nos sociétés, notre rapport à la sauvagerie ou à la destinée, et dans une moindre mesure une évocation vu de l'Inde du colonialisme Anglais. Ce n'est certes pas cette partie qui m'a le plus marqué le récit m'ayant complètement envoûté. These Savage shores est un one shot sublime porté par une narration sans faille au service d'une histoire universelle. Une réussite à tous points de vue. Autres infos : Quand un vampire rencontre un Rashtaka... Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/these-savage-shores?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    Luminary tome 2 - Black power

    Alors que je ne lis que très peu d’albums de super-héros mais on m’avait fortement conseillé la lecture de Luminary. A la fin du premier tome on apprenait dans les bonus que ce titre était un hommage à Photonik, un super-héros français des années 80. Je ne connais pas mais Luc Brunschwig explique qu’il a pris beaucoup de libertés scénaristiques par rapport à l’œuvre originale. Le premier tome introduisait les trois personnages principaux ainsi que leur pouvoir mais d’autres personnages secondaires prennent plus d’importance dans cette suite. Luc Brunschwig nous donne quelques informations sur le passé de ces personnages pour comprendre la situation. Dans ce nouvel épisode, le climat politique est tendu comme les autorités accusent les membres des blacks panthers d’être les commanditaires des récents attentats. Les extrémistes racistes profitent de la situation pour lâcher toute leur haine et violence dans les villes du sud des Etats-Unis. Les super-héros vont être sur le devant de la scène avec leur apparition devant le public. Les dessins de Stéphane Perger sont magnifiques pour dépeindre l’action. La mise en scène et le découpage des planches sont parfaits. Je recommande la lecture de cette série qui démarre très fort avec deux excellents tomes. De plus, le format plus grand d’un comics nous permet de profiter des dessins de Stéphane Perger.
  9. Titre de l'album : Luminary tome 2 - Black power Scenariste de l'album : Luc Brunschwig Dessinateur de l'album : Stéphane Perger Coloriste : Stéphane Perger Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Une lumière s'est éteinte. Un feu s'est déclenché. En accusant à tort Gabriel King - et par extension les Black Panthers - d'avoir commis l'attentat ayant ravagé la clinique polytraumatique située à Manhattan, le gouvernement américain a allumé l'étincelle d'un immense feu de révolte. Les communautés racistes n'hésitent plus à s'exposer au grand jour et enclenchent un processus de lynchage généralisé sur la population noire. C'est dans les états du Sud que les troubles sont les plus marqués et Billy, malgré la protection que lui offrent ses capacités de communications avec les animaux, est l'une des victimes de ces comportements agressifs et furieux. À Washington, pour faire face à cette escalade de violence, le commandant Greenwood recommande au Président Carter d'user des pouvoirs offerts aux spécimens issus du projet Shamash afin de stabiliser la situation. Car, même si Darby a perdu l'intégralité de ses capacités extraordinaires, Mila, elle, paraît tout à fait encline à mettre sa puissance au service de l'État. Critique : Alors que je ne lis que très peu d’albums de super-héros mais on m’avait fortement conseillé la lecture de Luminary. A la fin du premier tome on apprenait dans les bonus que ce titre était un hommage à Photonik, un super-héros français des années 80. Je ne connais pas mais Luc Brunschwig explique qu’il a pris beaucoup de libertés scénaristiques par rapport à l’œuvre originale. Le premier tome introduisait les trois personnages principaux ainsi que leur pouvoir mais d’autres personnages secondaires prennent plus d’importance dans cette suite. Luc Brunschwig nous donne quelques informations sur le passé de ces personnages pour comprendre la situation. Dans ce nouvel épisode, le climat politique est tendu comme les autorités accusent les membres des blacks panthers d’être les commanditaires des récents attentats. Les extrémistes racistes profitent de la situation pour lâcher toute leur haine et violence dans les villes du sud des Etats-Unis. Les super-héros vont être sur le devant de la scène avec leur apparition devant le public. Les dessins de Stéphane Perger sont magnifiques pour dépeindre l’action. La mise en scène et le découpage des planches sont parfaits. Je recommande la lecture de cette série qui démarre très fort avec deux excellents tomes. De plus, le format plus grand d’un comics nous permet de profiter des dessins de Stéphane Perger. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/luminary-tome-2-black-power?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Matt Kindt est un auteur assez prolifique entre ses productions de super-héros chez DC, Marvel ou même chez Valiant mais aussi ses titres plus indépendants comme Mind MGMT, Grass Kings, Dept. H ou encore Black Badge. Ces titres indépendants ont attiré mon attention après avoir en lu quelques-uns. Le Mind MGMT est présenté comme sa création culte à lire. Après avoir adoré le premier tome j'ai enchaîné le second pour en profiter pleinement comme j'avais encore l'histoire en tête. Il est vrai que ce titre demande beaucoup de concentration pour bien comprendre l'histoire. La galerie de personnages avec des pouvoirs psychiques est importante comme les pouvoirs qu'ils maîtrisent. De plus l'histoire fait des bons dans le temps et certains agents ressentent des troubles de mémoire suite à leur rencontre avec L'effaceur. Le récit est très intense, étrange et très prenant. Matt Kindt réalise la partie graphique dans son style particulier, si vous connaissez Dept. H ou Du sang sur les mains, vous avez une bonne idée de ce qui vous attend. Je suis assez amateur de dessins atypiques ou moins classiques, de cette manière l'auteur peut se permettre d'expérimenter. Il gère complètement son récit et sa vision graphique. Il ajoute des notes à lire verticalement sur la partie gauche des planches qui pourront perturber au départ mais elles donnent des informations intéressantes. Chaque volume édité par Monsieur Toussaint Louverture regroupe 350 pages de récit épiques et d'affrontement d'agent spéciaux. L'introduction du premier tome retranscrit très bien ce qui attend le lecteur. Le troisième et dernier tome est programmé pour le 7 janvier prochain. Si j’avais fait la critique du premier tome, j’aurais mis 5 étoiles mais j’étais passé à côté de cette sortie.
  11. Titre de l'album : MIND MGMT - rapport d'opérations tome 2 - Espionnage mental et son incidence collective Scenariste de l'album : Matt Kindt Dessinateur de l'album : Matt Kindt Coloriste : Matt Kindt Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Et s'il existait des individus capables de manipuler la mémoire des autres ? Et si certains, en ayant accès aux pensées des êtres vivants à proximité, pouvaient prédire le futur ? Et si quelqu'un, visualisant le moindre défaut dans chaque chose, bâtiment, arme ou homme, s'en servait pour la détruire ? Et si toutes ces personnes aux pouvoirs terrifiants étaient réunies au sein d'une même agence gouvernementale qui agit dans l'ombre ? Entrez dans l'univers fascinant et paranoïaque du MIND MANAGEMENT, préparez-vous à douter de tout, à suivre des pistes que vous avez déjà suivies, à vous battre contre des ennemis immortels, à parler avec des dauphins, à remonter les méandres du MIND MANAGEMENT aux quatre coins du globe pour répondre à cette simple question : qui êtes-vous en vérité ? Critique : Matt Kindt est un auteur assez prolifique entre ses productions de super-héros chez DC, Marvel ou même chez Valiant mais aussi ses titres plus indépendants comme Mind MGMT, Grass Kings, Dept. H ou encore Black Badge. Ces titres indépendants ont attiré mon attention après avoir en lu quelques-uns. Le Mind MGMT est présenté comme sa création culte à lire. Après avoir adoré le premier tome j'ai enchaîné le second pour en profiter pleinement comme j'avais encore l'histoire en tête. Il est vrai que ce titre demande beaucoup de concentration pour bien comprendre l'histoire. La galerie de personnages avec des pouvoirs psychiques est importante comme les pouvoirs qu'ils maîtrisent. De plus l'histoire fait des bons dans le temps et certains agents ressentent des troubles de mémoire suite à leur rencontre avec L'effaceur. Le récit est très intense, étrange et très prenant. Matt Kindt réalise la partie graphique dans son style particulier, si vous connaissez Dept. H ou Du sang sur les mains, vous avez une bonne idée de ce qui vous attend. Je suis assez amateur de dessins atypiques ou moins classiques, de cette manière l'auteur peut se permettre d'expérimenter. Il gère complètement son récit et sa vision graphique. Il ajoute des notes à lire verticalement sur la partie gauche des planches qui pourront perturber au départ mais elles donnent des informations intéressantes. Chaque volume édité par Monsieur Toussaint Louverture regroupe 350 pages de récit épiques et d'affrontement d'agent spéciaux. L'introduction du premier tome retranscrit très bien ce qui attend le lecteur. Le troisième et dernier tome est programmé pour le 7 janvier prochain. Si j’avais fait la critique du premier tome, j’aurais mis 5 étoiles mais j’étais passé à côté de cette sortie. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mind-mgmt-rapport-d-operation-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. The_PoP

    Rick & Morty - Tome 9

    Rick & Morty nous revienne dans un tome 9 encore complètement déjanté, ou l'humour noir, cynique et corrosif, et la haine de l'humanite de Rick prévalent encore une fois. Certaines vannes font heureusement mouche, et vous risquez de vous marrer un paquet de fois. Et puis il y a le reste qui oscille entre le juste vaseux jusqu'au bide total. Je trouve par ailleurs que le personnage de Rick s'en sort un peu trop bien à chaque fois d'ailleurs. Normal pour une BD d'humour tant il est difficile et délicat de faire marrer avec ce support. Reste que dans le genre, je préfère toujours certaines de mes vieilles séries de chez Fluide Glacial... Les amateurs, et ils sont nombreux seront cependant ravis une fois de plus. Les allergiques à l'humour noir et corrosif devront faire un grand détour. Je ne sais pas si c'est le digne héritier de South Park, mais cette série m'y fait directement penser depuis longtemps. Ce qui doit plutôt être bon signe. Vous l'avez compris, j'ai réessayé et même si j'ai pris un peu de plaisir à la lecture il faut bien le reconnaitre, cette série se rapproche vraiment trop pour moi du côté obscur régressif de la BD pour m'intéresser sur plus long terme. Pour ceux qui ne savent pas encore, les épisodes en crossover Donjon & Dragon sont un peu plus accessibles je trouve.
  13. Titre de l'album : Rick & Morty - Tome 9 Scenariste de l'album : Tini Howard & Kyle Starks Dessinateur de l'album : Marc Ellerby & Sabrina Mati & Juan Meza-Leon & Jarett Williams Coloriste : Sarah Stern Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Dick et Farty pour toujours ! Pardon, quoi ? On reprend : Rick et Morty, toujours prêts à semer la désolation et le chaos ! Mais au fil de leurs aventures intergalactiques, Rick Sanchez et son petit-fils se sont faits un paquet d'ennemis, et les voilà qui s'unissent pour réclamer vengeance. La famille du scientifique sociopathe est en danger, tout ça à cause de Jerry... Ca va tabasser sévère dans le multivers ! Avec, en prime, des retrouvailles aussi glauques qu'émouvantes dans la dimension Cronenberg, et la toute première mission des Revancheurs ! La série phare enfin en BD ! Venez pour les blagues, restez pour la dévastation de votre âme. Porté par Kyle Starks, nommé aux Eisner Awards, et Tini Howard, ce neuvième tome signe le retour jouissif de personnages bien connus de la série, tout en continuant de repousser les limites de l'univers Rick & Morty. Il paraît même que Monsieur Boîte à Caca est de la partie, oooo-oui ! " Pour faire une déclaration controversée (en fait, c'est vraiment pas le cas) : le comics Rick & Morty est bien mieux que la série. Critique : Rick & Morty nous revienne dans un tome 9 encore complètement déjanté, ou l'humour noir, cynique et corrosif, et la haine de l'humanite de Rick prévalent encore une fois. Certaines vannes font heureusement mouche, et vous risquez de vous marrer un paquet de fois. Et puis il y a le reste qui oscille entre le juste vaseux jusqu'au bide total. Je trouve par ailleurs que le personnage de Rick s'en sort un peu trop bien à chaque fois d'ailleurs. Normal pour une BD d'humour tant il est difficile et délicat de faire marrer avec ce support. Reste que dans le genre, je préfère toujours certaines de mes vieilles séries de chez Fluide Glacial... Les amateurs, et ils sont nombreux seront cependant ravis une fois de plus. Les allergiques à l'humour noir et corrosif devront faire un grand détour. Je ne sais pas si c'est le digne héritier de South Park, mais cette série m'y fait directement penser depuis longtemps. Ce qui doit plutôt être bon signe. Vous l'avez compris, j'ai réessayé et même si j'ai pris un peu de plaisir à la lecture il faut bien le reconnaitre, cette série se rapproche vraiment trop pour moi du côté obscur régressif de la BD pour m'intéresser sur plus long terme. Pour ceux qui ne savent pas encore, les épisodes en crossover Donjon & Dragon sont un peu plus accessibles je trouve. Autres infos : Attention corrosif Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rick-morty-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Bon forcément quand un comics de science fiction nous arrive avec l'étiquette du prix Eisner de la meilleure nouvelle série 2020, on l'attend un peu au tournant. Surtout quand en plus le travail du dessinateur, Christian Ward est en plus couvert d'éloges sur cet ouvrage. Les deux auteurs étaient jusqu'ici connus en France par les amateurs pour leurs contributions à l'univers Marvel. Force est de constater que cette série mérite notre intérêt. Moins créative à priori que Saga, elle n'en propose pas moins un univers original, cohérent, et des personnages Ô combien consistants. Ce premier tome nous lance dans une aventure presque dès l'entame et ne nous lâche pas avant la dernière page. J'ai encore un peu de mal à imaginer les répercussions des révélations faites sur cet opus et comment cela va s'articuler autour de l'univers créé, mais il faut bien constater un point : la critique acerbe de notre société actuelle fait mouche. Et plutôt deux fois qu'une, alors on pardonnera facilement à ce premier tome de peut être manquer un peu d'ampleur au niveau du scénario, privilégiant le rythme et l'action. La partie graphique est pour moi plus contrastée, parce que de prime abord, je n'ai pas aimé le dessin. Puis pages après pages, je me suis habitué, et sans finir subjugué, il faut reconnaitre qu'il y a la la patte d'un artiste. Cela vous plaira ou non, mais vous ne l'avez pas déjà vu 100 fois, et c'est suffisamment intéressant pour être souligné, notamment venant d'un ancien de chez Marvel. Chapeau donc, d'autant que je ne doute pas que si moi j'ai eu parfois du mal à rentrer dans cet univers graphique, certains vont littéralement adorer. Attendons donc le prochain tome au tournant mais ne vous privez pas de découvrir ce comics proposé par Hi Comics, dont je salue une nouvelle fois le flair et le travail d'édition.
  15. Titre de l'album : Invisible Kingdom - Tome 1 - Le Sentier Scenariste de l'album : G. Willow Wilson Dessinateur de l'album : Christian Ward Coloriste : Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : L'épopée de deux jeunes femmes dans une galaxie lointaine. Vess est une jeune initiée de la Renonciation, dévorée par une passion brûlante et une foi inébranlable. Pilote de fret aguerrie au service de la méga-corporation Lux, Grix est son antithèse. Elle trace sa route de planète en planète, épaulée par un équipage téméraire. Tout chavire quand Vess et Grix tombent sur une information explosive... Cette découverte fait chanceler les fondations de leur univers. Réunies par le hasard, elles doivent faire un choix : suivre le sentier auquel elles étaient destinées, ou s'en forger un tout nouveau. Critique : Bon forcément quand un comics de science fiction nous arrive avec l'étiquette du prix Eisner de la meilleure nouvelle série 2020, on l'attend un peu au tournant. Surtout quand en plus le travail du dessinateur, Christian Ward est en plus couvert d'éloges sur cet ouvrage. Les deux auteurs étaient jusqu'ici connus en France par les amateurs pour leurs contributions à l'univers Marvel. Force est de constater que cette série mérite notre intérêt. Moins créative à priori que Saga, elle n'en propose pas moins un univers original, cohérent, et des personnages Ô combien consistants. Ce premier tome nous lance dans une aventure presque dès l'entame et ne nous lâche pas avant la dernière page. J'ai encore un peu de mal à imaginer les répercussions des révélations faites sur cet opus et comment cela va s'articuler autour de l'univers créé, mais il faut bien constater un point : la critique acerbe de notre société actuelle fait mouche. Et plutôt deux fois qu'une, alors on pardonnera facilement à ce premier tome de peut être manquer un peu d'ampleur au niveau du scénario, privilégiant le rythme et l'action. La partie graphique est pour moi plus contrastée, parce que de prime abord, je n'ai pas aimé le dessin. Puis pages après pages, je me suis habitué, et sans finir subjugué, il faut reconnaitre qu'il y a la la patte d'un artiste. Cela vous plaira ou non, mais vous ne l'avez pas déjà vu 100 fois, et c'est suffisamment intéressant pour être souligné, notamment venant d'un ancien de chez Marvel. Chapeau donc, d'autant que je ne doute pas que si moi j'ai eu parfois du mal à rentrer dans cet univers graphique, certains vont littéralement adorer. Attendons donc le prochain tome au tournant mais ne vous privez pas de découvrir ce comics proposé par Hi Comics, dont je salue une nouvelle fois le flair et le travail d'édition. Autres infos : Eisner Award 2020 Nouvelle Série - Eisner Award 2020 Meilleur artiste numérique Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/invisible-kingdom-tome-1-le-sentier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    James Bond - Casino royale

    Casino Royale est le premier roman sur le célèbre agent secret 007 écrit par Ian Fleming en 1953. Cette adaptation en comics est très fidèle à l'œuvre d'origine comme on peut l'apprendre en postface de l'album ainsi que d'autres informations sur l'auteur. Van Jensen suit le déroulement du roman pour les chapitres du comics. Il insère une voix-off pour les pensées de Bond qui doit réfléchir à toutes les éventualités qu'il pourra rencontrer suivant la situation. Dans les détails amusants, on peut avoir le décompte du nombre de cigarettes que l'agent fume durant la journée, la recette de son cocktail ou les pensées envers sa ravissante collègue. Une grande partie de l'histoire va se dérouler dans un casino français où James Bond doit prendre le dessus sur son adversaire Le chiffre, pour le ruiner lors d’une partie de Baccara. Bien évidement les auteurs nous font une petite explication de ce jeu pour les lecteurs ne le connaissant pas comme moi. Les dessins sont de qualité dans un style réaliste avec une mise en scène très soignée pour apporter une ambiance prenante. Je ne me souviens plus trop du film avec Daniel Craig mais je sais que l’époque où se déroule le comics et le roman est différente, l’intrigue doit plus ou moins être identique. Casino Royale est la meilleure adaptation de James Bond en Comics que j’ai pu lire pour l’instant.
  17. Titre de l'album : James Bond - Casino royale Scenariste de l'album : Van Jensen Dessinateur de l'album : Dennis Calero Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : À l'occasion de la sortie sur grand écran de No Time to Die, le 25e film mettant en scène James Bond, c'est au tour d'une adaptation fidèle du roman d'origine, Casino Royale, de rejoindre le catalogue Contrebande. Les débuts littéraires de l'agent 007 - membre du British Secret Service - de Ian Fleming sont adaptés ici en BD par Van Jensen et Denis Calero dans un véritable roman graphique qui respecte l'ambiance de Casino Royale. Envoyé vers le casino français de Royale-les-Eaux, Bond a pour objectif d'éliminer la menace du meurtrier baptisé 'Le Chiffre'... Critique : Casino Royale est le premier roman sur le célèbre agent secret 007 écrit par Ian Fleming en 1953. Cette adaptation en comics est très fidèle à l'œuvre d'origine comme on peut l'apprendre en postface de l'album ainsi que d'autres informations sur l'auteur. Van Jensen suit le déroulement du roman pour les chapitres du comics. Il insère une voix-off pour les pensées de Bond qui doit réfléchir à toutes les éventualités qu'il pourra rencontrer suivant la situation. Dans les détails amusants, on peut avoir le décompte du nombre de cigarettes que l'agent fume durant la journée, la recette de son cocktail ou les pensées envers sa ravissante collègue. Une grande partie de l'histoire va se dérouler dans un casino français où James Bond doit prendre le dessus sur son adversaire Le chiffre, pour le ruiner lors d’une partie de Baccara. Bien évidement les auteurs nous font une petite explication de ce jeu pour les lecteurs ne le connaissant pas comme moi. Les dessins sont de qualité dans un style réaliste avec une mise en scène très soignée pour apporter une ambiance prenante. Je ne me souviens plus trop du film avec Daniel Craig mais je sais que l’époque où se déroule le comics et le roman est différente, l’intrigue doit plus ou moins être identique. Casino Royale est la meilleure adaptation de James Bond en Comics que j’ai pu lire pour l’instant. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/james-bond-casino-royale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Le tombeau de Dracula est le premier omnibus sur les deux de la série à être édité en français avec presque 800 pages de bande dessinée des années soixante-dix aux États-Unis. Ce monument est un classique horrifique de l'époque qui durera 70 numéros, bien plus que toutes les autres séries d'horreurs chez Marvel. Marv Wolfman scénarise une grande partie des histoires de cet omnibus mais d'autres scénaristes interviennent sur les des épisodes du tombeau de Dracula. Au niveau de l'histoire, on suit le petit fils de Dracula renommé Drake qui découvre son héritage. Il part en compagnie de sa compagne et de son ami pour prendre possession du château délabré dans les Carpates. Frank Drake vole le cercueil du vampire en sachant que ce dernier voudra le récupérer. Très rapidement, l'histoire tourne autour de comment tuer Dracula qui de nouveau terrorise et tue les jeunes femmes pour se nourrir. Marv Wolfman assure un intérêt grandissant avec tous les personnages secondaires que va rencontrer Drake pour combattre Dracula, comme Rachel Van Helsing ou Blade. Les vampires ne seront pas les seuls monstres présents puisque le héros croise des démons, loup-garou et d'autres créatures maléfiques. Giant-size chillers revient sur la malédiction de Dracula avec des textes et quelques illustrations. Les dessins de Gene Colan sont de qualité pour dépeindre l'univers du vampire. Tom Palmer le seconde à l'encrage et réalise les couleurs. J'ai lu la version numérique donc les couleurs rendent très bien mais je n'ai eu l'occasion de voir la version papier. L'album se termine sur plusieurs couvertures en noir et blanc des comics en fascicule, des illustrations et des pages non colorisées. Cet énorme recueil est composé des épisodes de Tomb of Dracula du numéro 1 au 31, de Werewolf by night numéro 15, Giant-size chillers numéro 1 et de Giant-size Dracula du numéro 2 au 4. Avec le tombeau de Dracula, on se rapproche des productions Eerie ou Creepy ou les productions E.C. Comics qui reviennent à la mode aujourd’hui et sont considérées comme des classiques ou des récits cultes de l'horreur et du fantastique.
  19. Titre de l'album : Le tombeau de Dracula - La nuit du vampire Scenariste de l'album : Marv Wolfman Dessinateur de l'album : Gene Colan Coloriste : Tom Palmer Editeur de l'album : Panini Comics Note : Résumé de l'album : La collection MARVEL OMNIBUS vous propose ce mois-ci un morceau d'histoire, un album événement consacré au roi des vampires, Dracula en personne. Découvrez ces épisodes cultes réalisés par les plus grands auteurs Marvel, dont un inédit et les autres jamais publiés en France depuis la fin des années 70. Critique : Le tombeau de Dracula est le premier omnibus sur les deux de la série à être édité en français avec presque 800 pages de bande dessinée des années soixante-dix aux États-Unis. Ce monument est un classique horrifique de l'époque qui durera 70 numéros, bien plus que toutes les autres séries d'horreurs chez Marvel. Marv Wolfman scénarise une grande partie des histoires de cet omnibus mais d'autres scénaristes interviennent sur les des épisodes du tombeau de Dracula. Au niveau de l'histoire, on suit le petit fils de Dracula renommé Drake qui découvre son héritage. Il part en compagnie de sa compagne et de son ami pour prendre possession du château délabré dans les Carpates. Frank Drake vole le cercueil du vampire en sachant que ce dernier voudra le récupérer. Très rapidement, l'histoire tourne autour de comment tuer Dracula qui de nouveau terrorise et tue les jeunes femmes pour se nourrir. Marv Wolfman assure un intérêt grandissant avec tous les personnages secondaires que va rencontrer Drake pour combattre Dracula, comme Rachel Van Helsing ou Blade. Les vampires ne seront pas les seuls monstres présents puisque le héros croise des démons, loup-garou et d'autres créatures maléfiques. Giant-size chillers revient sur la malédiction de Dracula avec des textes et quelques illustrations. Les dessins de Gene Colan sont de qualité pour dépeindre l'univers du vampire. Tom Palmer le seconde à l'encrage et réalise les couleurs. J'ai lu la version numérique donc les couleurs rendent très bien mais je n'ai eu l'occasion de voir la version papier. L'album se termine sur plusieurs couvertures en noir et blanc des comics en fascicule, des illustrations et des pages non colorisées. Cet énorme recueil est composé des épisodes de Tomb of Dracula du numéro 1 au 31, de Werewolf by night numéro 15, Giant-size chillers numéro 1 et de Giant-size Dracula du numéro 2 au 4. Avec le tombeau de Dracula, on se rapproche des productions Eerie ou Creepy ou les productions E.C. Comics qui reviennent à la mode aujourd’hui et sont considérées comme des classiques ou des récits cultes de l'horreur et du fantastique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tombeau-de-dracula?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Giants

    Je vais arrêter de dire du bien de la collection Urban Link.... ah ben non en fait. Non car ce one shot est encore très sympa. Peut être pas excellent comme certains autres mais très sympa. On pourra lui reprocher une impression de déjà vu. Entre SAM en bd, ou tout plein de mangas qui sont la source d'inspiration de nos auteurs espagnols, ou Godzilla au cinéma, ce genre d'histoire ne manque pas. Mais on aurait tord de ne pas se pencher sur ce comics, écrit comme un vrai blockbuster de cinéma. On ne s'ennuie pas une seconde et, même si la fin est un peu cousue de fil blanc, la réalisation est suffisamment bien faite pour que l'on apprécie la lecture comme on apprécie les effets spéciaux d'un gros film. Un bon gros moment de détente pas forcément original mais efficace. Pas besoin de plus en ce moment
  21. poseidon2

    Giants

    Titre de l'album : Giants Scenariste de l'album : Valderrama Dessinateur de l'album : Valderrama Coloriste : Valderrama Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Sur une Terre désolée, couverte d'un hiver sans fin et peuplée de kaiju, ces créatures géantes venue d'un autre âge, ce qu'il reste de l'humanité tente de survivre sous la surface. La loi du plus fort règne au sein de cette communauté brutale, prête à tout pour asseoir le peu d'autorité qu'elle croit encore posséder. Parmi eux, les jeunes frères Zedo et Gogi rêvent d'intégrer le gang des Bloodwolves, mais pour ça ils devront faire leurs preuves en prenant un risque inconsidéré : remonter à la surface pour trouver une précieuse matière première, de l'ambrenoir pure. Une quête durant laquelle les valeurs élémentaires de la fraternité seront mis à rude épreuve. Critique : Je vais arrêter de dire du bien de la collection Urban Link.... ah ben non en fait. Non car ce one shot est encore très sympa. Peut être pas excellent comme certains autres mais très sympa. On pourra lui reprocher une impression de déjà vu. Entre SAM en bd, ou tout plein de mangas qui sont la source d'inspiration de nos auteurs espagnols, ou Godzilla au cinéma, ce genre d'histoire ne manque pas. Mais on aurait tord de ne pas se pencher sur ce comics, écrit comme un vrai blockbuster de cinéma. On ne s'ennuie pas une seconde et, même si la fin est un peu cousue de fil blanc, la réalisation est suffisamment bien faite pour que l'on apprécie la lecture comme on apprécie les effets spéciaux d'un gros film. Un bon gros moment de détente pas forcément original mais efficace. Pas besoin de plus en ce moment Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/giants?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Legion of super hereos t1

    Nouveau lancement de monsieur Bendis (oui oui encore un) avec cette fois un relaunch de la Légion des super héros du XXXI siècle. Un relaunch pour intégrer le Super Boy actuel dans la continuité de la légion. Mais ce premier tome ne nous présente pas que cela. Il nous présente aussi un personnage au parcours étrange : Rose / Ecarlate. Et ce qui choque dans ce tome 1 c'est la différence entre les deux présentations. Pour être transparent, la première partie sur Rose est tellement bonne que celle qui suit sur l'arrivée de Jon ne tient pas la comparaison. Cette deuxième partie est quand même sympa surtout porté par le personnage de Jon Kent (grand pote de Damian) mais n'a sinon rien de très original. Un bon reboot pour ceux qui commenceraient la légion ici. Alors que la première partie est pour moi assez magistrale. On suit notre Rose écarlate, immortelle, au travers de son parcours temporelle durant plus 1000 ans. On suit le parcours de cette femme blasé au travers des évolutions majeures du monde. Le traitement par scénette à chaque grande évolution de l'humanité est super bien pensé surtout que le caractère de Rose évolue avec le temps. On passe par de retour à des âges sombres, des guerres, des disparitions de civilisations... mais un homme reproduisant toujours les mêmes erreurs. Cette "introduction" est super dense et super intéressante mais.... et bien elle n'a aucun impact sur le reste du tome qui se perds en présentation des différents membres de la légion (qui sont.... légions 😄 😄 😄 ). Bref une excellente intro qui aurait mérité un tome sur la Rose Ecarlate pour elle toute seule. Et au final un tome à deux niveaux un peu déroutants qui serait peut-être mieux passé en mode «Super sons» pour ados sans l'intro.
  23. Titre de l'album : Legion of super hereos t1 Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : Ryan Sook Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Jonathan Kent, le fils de Superman est appelé au XXXIe siècle afin de devenir membre de la Légion des Super-Héros : l'équipe composée de jeunes justiciers qui défendent les Planètes Unies. Les rejoint également une immortelle nommée Rose qui a parcouru les époques et assisté de nombreuses fois à la destruction, puis à la reconstruction de la Terre... Critique : Nouveau lancement de monsieur Bendis (oui oui encore un) avec cette fois un relaunch de la Légion des super héros du XXXI siècle. Un relaunch pour intégrer le Super Boy actuel dans la continuité de la légion. Mais ce premier tome ne nous présente pas que cela. Il nous présente aussi un personnage au parcours étrange : Rose / Ecarlate. Et ce qui choque dans ce tome 1 c'est la différence entre les deux présentations. Pour être transparent, la première partie sur Rose est tellement bonne que celle qui suit sur l'arrivée de Jon ne tient pas la comparaison. Cette deuxième partie est quand même sympa surtout porté par le personnage de Jon Kent (grand pote de Damian) mais n'a sinon rien de très original. Un bon reboot pour ceux qui commenceraient la légion ici. Alors que la première partie est pour moi assez magistrale. On suit notre Rose écarlate, immortelle, au travers de son parcours temporelle durant plus 1000 ans. On suit le parcours de cette femme blasé au travers des évolutions majeures du monde. Le traitement par scénette à chaque grande évolution de l'humanité est super bien pensé surtout que le caractère de Rose évolue avec le temps. On passe par de retour à des âges sombres, des guerres, des disparitions de civilisations... mais un homme reproduisant toujours les mêmes erreurs. Cette "introduction" est super dense et super intéressante mais.... et bien elle n'a aucun impact sur le reste du tome qui se perds en présentation des différents membres de la légion (qui sont.... légions 😄 😄 😄 ). Bref une excellente intro qui aurait mérité un tome sur la Rose Ecarlate pour elle toute seule. Et au final un tome à deux niveaux un peu déroutants qui serait peut-être mieux passé en mode «Super sons» pour ados sans l'intro. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/legion-of-super-heroes-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Superman Red son

    Superman Red son ressort une fois de plus dans la collection Black Label aux éditions Urban Comics, après avoir fait partie de l'offre découverte de l'été dernier dans un format plus petit et sans bonus. Mark Millar est au scénario de ce one shot avec une idée assez originale et si Superman avait attiré en URSS et pas aux Etats-Unis. L'auteur prend suffisamment de recul pour ne pas tomber dans le cliché des méchants russes et gentils américains pour développer son histoire. En effet, Superman est élevé dans l'idéologie communiste et veut imposer sa vision face au capitalisme en prônant la propagande soviétique. On retrouve tous les personnages emblématiques de DC univers comme Batman russe ou Wonder woman pour ne citer qu'eux. Millar a la réputation de bouleverser les grands classiques des super-héros déjà depuis quelques temps. Les dessins Dave Johnson sont classiques pour l'univers DC. L'album se termine avec plusieurs recherches graphiques de l'auteur et autres illustrations. Je ne suis pas un grand amateur de super-héros et encore moins de Superman mais j'ai apprécié la lecture de ce Red son qui apporte une alternative intéressante et bien développée par Millar. Après le traitement de l'histoire reste très conforme aux récits des super-héros.
  25. alx23

    Superman Red son

    Titre de l'album : Superman Red son Scenariste de l'album : Mark Millar Dessinateur de l'album : Dave Johnson Coloriste : Kilian Plunkett Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Ukraine, 1938. Une fusée s'écrase en pleine campagne : à son bord, un bébé qui va être rapidement adopté par un couple de fermiers. Des années plus tard, l'enfant a grandi au sein du régime stalinien. Il devient alors le héros des travailleurs et la fierté de l'état soviétique. Son nom ? Superman ! Mais lorsque Joseph Staline meurt, c'est à cet homme de fer qu'il incombe de diriger et de faire fructifier un empire à l'abandon... Critique : Superman Red son ressort une fois de plus dans la collection Black Label aux éditions Urban Comics, après avoir fait partie de l'offre découverte de l'été dernier dans un format plus petit et sans bonus. Mark Millar est au scénario de ce one shot avec une idée assez originale et si Superman avait attiré en URSS et pas aux Etats-Unis. L'auteur prend suffisamment de recul pour ne pas tomber dans le cliché des méchants russes et gentils américains pour développer son histoire. En effet, Superman est élevé dans l'idéologie communiste et veut imposer sa vision face au capitalisme en prônant la propagande soviétique. On retrouve tous les personnages emblématiques de DC univers comme Batman russe ou Wonder woman pour ne citer qu'eux. Millar a la réputation de bouleverser les grands classiques des super-héros déjà depuis quelques temps. Les dessins Dave Johnson sont classiques pour l'univers DC. L'album se termine avec plusieurs recherches graphiques de l'auteur et autres illustrations. Je ne suis pas un grand amateur de super-héros et encore moins de Superman mais j'ai apprécié la lecture de ce Red son qui apporte une alternative intéressante et bien développée par Millar. Après le traitement de l'histoire reste très conforme aux récits des super-héros. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-red-son-edition-black-label?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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