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  1. poseidon2

    Justice League - Knight terrors

    Mmmmhh ..... Bon autant vous le dire avant de commencer : ce tome n'a pas grand-chose de Justice League. C'est plutôt une aventure de "Deadman". Au mieux un crossover Deadman/Batman. Je vous dis cela, car c'est un personnage peu connu de l'univers DC. Non pas qu'il ne faille pas le connaitre. Juste pour que vous ne soyez pas déçu. Cela mis à part, cette histoire est plutôt sympa… si on ne connait pas Sandman de Gaiman. Car si on connait, comme moi, on ne peut s'empêcher de se dire que cette histoire est globalement… irréelle. En effet la plupart des personnages vu ici, tels que John Dee ou The Sandman sont des personnages qui sont partis prenants ou au moins dans la préfère du roi des rêves. Alors voir une planète entière plongée dans le cauchemar sans le voir intervenir... c'est pour moi n'importe quoi. C'est une partie du scenario des premiers Gaiman, mais c'est surtout super bizarre avec la renaissance du nouveau roi des rêves et le succès de la série éponyme. Si Williamson ne voulait pas faire intervenir Dream, il aurait au moins plus en parler en mode "Le roi des rêves doit être occupé ailleurs".... Et cette phrase que j'ai attendu tout du long n'est jamais venue. J'avoue que ca m'a gâche la lecture d'une histoire qui sera surement une lecture sympathique pour les non-connaisseur du tisseur. Vous êtes donc prévenu.
  2. poseidon2

    Alan Moore présente DC Comics

    Hop la, vous reprendrez bien une petite tranche d'Alan Moore ? Bon ok je dois être honnête, c'est du très bon Alan moore. De l'époque de sa jeunesse. Une époque où il avait pu réaliser des histoires courtes sur certain des héros les plus connus de l'univers DC: les Green lanterns Superman Swamp Thing Batman même Vigilante (surement le moins connu du lot). Des histoires illustrées par des grands noms de l'époque qui nous montrent l'étendu du talent de compteur de maitre Alan Moore. Les nouveaux lecteurs pourront découvrir le talent de Moore à ses debuts (s'ils passent outre les dessins un peu old school) et les vrais fans trouveront même une histoire inédite du maitre.
  3. Titre de l'album : Alan Moore présente DC Comics Scenariste de l'album : Alan Moore Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Acclamé comme l'un des scénaristes les plus influents de l'industrie des comics, Alan MOORE a laissé une empreinte indélébile sur le genre, marquant l'ensemble de la pop culture au passage. De sa reprise de SWAMP THING à l'ouragan WATCHMEN, en passant par son mythique V POUR VENDETTA, l'auteur britannique a également proposé sa propre version des personnages phares de DC Comics. Batman, Superman, Green Lantern... tous se sont renouvelés sous sa plume, se sont vus réinventés. Ce recueil regroupe l'ensemble des épisodes qu'Alan MOORE a scénarisés pour l'éditeur américain, et que des artistes incontournables de l'industrie ont illustrés, tels Dave GIBBONS (WATCHMEN), Kevin O'NEILL (La Ligue des Gentlemen Extraordinaires), Rick VEITCH (SWAMP THING) ou encore Klaus JANSON (Daredevil). Critique : Hop la, vous reprendrez bien une petite tranche d'Alan Moore ? Bon ok je dois être honnête, c'est du très bon Alan moore. De l'époque de sa jeunesse. Une époque où il avait pu réaliser des histoires courtes sur certain des héros les plus connus de l'univers DC: les Green lanterns Superman Swamp Thing Batman même Vigilante (surement le moins connu du lot). Des histoires illustrées par des grands noms de l'époque qui nous montrent l'étendu du talent de compteur de maitre Alan Moore. Les nouveaux lecteurs pourront découvrir le talent de Moore à ses debuts (s'ils passent outre les dessins un peu old school) et les vrais fans trouveront même une histoire inédite du maitre. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alan-moore-presente-dc-comics?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Titre de l'album : Assassin's Creed - Sujet 4 Scenariste de l'album : Karl Kerschl & Redd Stewart Dessinateur de l'album : Karl Kerschl & Redd Stewart Coloriste : Nadine Thomas, Tyson Hesse & Studio Lounak Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : À première vue, Daniel Cross est un simple marginal de plus, cumulant les tares habituelles : ex-taulard, ex-toxicomane, ex-alcoolique. Mais personne ne doute du véritable tourment du jeune homme dont les crises apparentes de démence le plongent dans les souvenirs de son arrière-grand-père Nikolai Orelov, un membre de l'ordre des Assassins ayant sévit au XIXe siècle en Russie. Sombrant de plus en plus dans la folie, il vit les aventures de Nikolai Orelov pendant la révolution bolchevique, alors qu'il tombe dans la ligne de mire des Assassins ainsi que celle de leurs adversaires, les Templiers. Tous se lancent dans une quête pour trouver un artefact légendaire du pouvoir laissé par une civilisation oubliée. Les histoires de Daniel et Nikolai nous emmèneront de la Russie aux États-Unis il y a un siècle de cela jusqu'au coeur de la hiérarchie des Assassins à Dubaï de nos jours en passant par les sinistres laboratoires des Templiers. Critique : Les one shot dans l'univers du jeu vidéo Assassin's Creed s'enchainent mais proposent souvent des histoires intéressantes. Chaque one shot se focalise sur un des personnages de la saga des jeux vidéo, cette fois-ci on retrouve Daniel Cross, le héros dans le jeu Assassin Creed III. Les auteurs construisent leur intrigue sur ce personnage torturé à cause de ses nombreuses visions et ses accès de violence incontrôlable. En parallèle, on apprend très vite que ces hallucinations se basent sur l'histoire son grand-père Nikolai Orelov, un membre de la confrérie des assassins en Russie au XIXème siècle. Action et révélations se succèdent dans cet album qui regroupe la Chute et la Chaîne dans un recueil avec une pagination importante. Les auteurs développent et expliquent beaucoup de chose, ce qui donne beaucoup de dialogues à lire sur la première partie pour nous remettre dans le contexte ou aux lecteurs ne connaissant pas le jeu et le personnage principale de comprendre l'histoire. Les deux auteurs collaborent sur le scénario et les dessins avec deux styles distincts mais de qualité avec des planches très détaillées et bien rythmée en action. La couleur sont gérées oar trois personnes différentes. L'album se termine sur de nombreux bonus pour expliquer le contexte historique mais aussi les personnages en relation avec le jeu vidéo et de nombreuses couvertures alternatives d'auteurs différents. Assassin's creed Sujet 4 devrait convenir aux lecteurs voulant cherchant à étendre l'univers de leur jeu préféré et les autres lecteurs une histoire dynamique sur plusieurs époques. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/assassin-s-creed-sujet-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Assassin's Creed - Sujet 4

    Les one shot dans l'univers du jeu vidéo Assassin's Creed s'enchainent mais proposent souvent des histoires intéressantes. Chaque one shot se focalise sur un des personnages de la saga des jeux vidéo, cette fois-ci on retrouve Daniel Cross, le héros dans le jeu Assassin Creed III. Les auteurs construisent leur intrigue sur ce personnage torturé à cause de ses nombreuses visions et ses accès de violence incontrôlable. En parallèle, on apprend très vite que ces hallucinations se basent sur l'histoire son grand-père Nikolai Orelov, un membre de la confrérie des assassins en Russie au XIXème siècle. Action et révélations se succèdent dans cet album qui regroupe la Chute et la Chaîne dans un recueil avec une pagination importante. Les auteurs développent et expliquent beaucoup de chose, ce qui donne beaucoup de dialogues à lire sur la première partie pour nous remettre dans le contexte ou aux lecteurs ne connaissant pas le jeu et le personnage principale de comprendre l'histoire. Les deux auteurs collaborent sur le scénario et les dessins avec deux styles distincts mais de qualité avec des planches très détaillées et bien rythmée en action. La couleur sont gérées oar trois personnes différentes. L'album se termine sur de nombreux bonus pour expliquer le contexte historique mais aussi les personnages en relation avec le jeu vidéo et de nombreuses couvertures alternatives d'auteurs différents. Assassin's creed Sujet 4 devrait convenir aux lecteurs voulant cherchant à étendre l'univers de leur jeu préféré et les autres lecteurs une histoire dynamique sur plusieurs époques.
  6. poseidon2

    Saga tome 11

    Nouveau tome de la série phare de Vaughan et un tome.... particulièrement sympa. Je trouvais que le tome précédent était un peu mou, mais celui-ci, en prenant comme personnages principal notre héroïne et son frère, redonne du dynamisme à la série. Les enfants sont ado et agissent comme tel, commettant boulettes sur boulettes et mettant le destin de famille en péril. Un tome qui rebat beaucoup de cartes et qui fait avancer notre histoire sur tous les fronts, de l'histoire de nos héros à celuis du testament et son chat, en passant par Gwendolyne. Une narration toujours au top pour une série que l'on n'en finit pas d'aimer. Vivement le prochain tome.
  7. poseidon2

    Saga tome 11

    Titre de l'album : Saga tome 11 Scenariste de l'album : Brian K. Vaughan Dessinateur de l'album : Fiona Staples Coloriste : Fiona Staples Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Alana, Hazel, Écuyer et Bombazine parcourent toujours la galaxie. Sous de fausses identités, ils mènent désormais une vie dangereuse de contrebandiers, échappent non sans quelques sacrifices aux pirates de l'espace et recourent à diverses stratégies pour déjouer la traque de l'Agent Spécial Gale. Une vie instable pour la jeune Hazel qui, malgré une force de caractère fièrement héritée de ses parents, peine à surmonter son deuil. Critique : Nouveau tome de la série phare de Vaughan et un tome.... particulièrement sympa. Je trouvais que le tome précédent était un peu mou, mais celui-ci, en prenant comme personnages principal notre héroïne et son frère, redonne du dynamisme à la série. Les enfants sont ado et agissent comme tel, commettant boulettes sur boulettes et mettant le destin de famille en péril. Un tome qui rebat beaucoup de cartes et qui fait avancer notre histoire sur tous les fronts, de l'histoire de nos héros à celuis du testament et son chat, en passant par Gwendolyne. Une narration toujours au top pour une série que l'on n'en finit pas d'aimer. Vivement le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saga-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    WildC.A.T.s Évolution

    Wildcats c'est un morceau d'histoire des comics à eux tout seul. C'est l'incarnation de la révolution du monde du comics américain des années 90. Une époque ou les meilleurs auteurs comics de leur époque mettaient leurs réputations en péril pour créer une maison d'édition pas comme les autres nommées Image Comics. Une maison d'édition qui fera fi du comic code pour lancer des comics plus durs, plus matures et résolument innovants. Ce Wildcast Evolution marque rien de moins que l'arrivée d'Alan Moore aux manettes pour nous livrer un des exemples des années 90. Graphiquement parlant, on est au top de ce que les années 90 offraient : des jolies filles pulpeuses, des mecs pleins de muscles et un dessin chiadé au possible. Niveau scenario, Moore nous livre une histoire qui bouscule l'équipe. Une partie sur le retour aux sources de la première équipe superbement réussi mixé avec une création d"équipe décadente qui fait image à son époque. Un mix détonnant pour un scenario intelligent, mais assez exigeant avec, comme il était de coutume dans les années 90, beaucoup de lecture.
  9. Titre de l'album : WildC.A.T.s Évolution Scenariste de l'album : Alan Moore Dessinateur de l'album : Travis Charest Coloriste : Travis Charest Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Alan Moore est considéré par beaucoup comme le meilleur auteur de bandes dessinées du dernier quart de siècle. Le cycle déterminant de Moore sur WildC.A.T.s est réuni ici en un seul volume! Il a ramené les WILDC.A.T.'S à leurs racines en revenant sur le conflit qui opposait les Kherubim aux Daemonites, et a considérablement remué l'univers WildStorm. C'est un récit rempli de révélations troublantes et de drames captivants, sans oublier l'introduction de l'un des plus grands méchants de WildStorm : Tao ! Critique : Wildcats c'est un morceau d'histoire des comics à eux tout seul. C'est l'incarnation de la révolution du monde du comics américain des années 90. Une époque ou les meilleurs auteurs comics de leur époque mettaient leurs réputations en péril pour créer une maison d'édition pas comme les autres nommées Image Comics. Une maison d'édition qui fera fi du comic code pour lancer des comics plus durs, plus matures et résolument innovants. Ce Wildcast Evolution marque rien de moins que l'arrivée d'Alan Moore aux manettes pour nous livrer un des exemples des années 90. Graphiquement parlant, on est au top de ce que les années 90 offraient : des jolies filles pulpeuses, des mecs pleins de muscles et un dessin chiadé au possible. Niveau scenario, Moore nous livre une histoire qui bouscule l'équipe. Une partie sur le retour aux sources de la première équipe superbement réussi mixé avec une création d"équipe décadente qui fait image à son époque. Un mix détonnant pour un scenario intelligent, mais assez exigeant avec, comme il était de coutume dans les années 90, beaucoup de lecture. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wildc-a-t-s-evolution?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. La dernière parution des éditions 404 Comics est un récit fantastique et un peu autobiographique sur H.P. Lovecraft. Le scénariste Romuald Giulivo préfère inventer une histoire autour de Lovecraft tout en insérant des faits réels ou de fictions ainsi que de nombreuses références à ses nouvelles avec des grands anciens et autres héros. En effet, sur son lit de mort à l'hôpital, Lovecraft reçoit la visite de personnes surprenantes comme Randolph Carter, un personnage de ses histoires, son ex-femme pour se remémorer quelques bons moments de sa vie assez ténébreuse mais aussi Harry Houdini pour qui il était engagé pour écrire des histoires à sa place. L'histoire de Romuald Giulivo est originale et fait voyager Lovecraft dans le temps pour lui donner un aperçu des auteurs influencés par son travail comme Stephen King, Neil Gaiman et biens d'autres. Parfois, on a l'impression d'assister à son jugement avec ses idées arrêtés de l'époque malgré son génie et la manière dont il fût éduqué par sa mère et ses tantes, éloigné du monde extérieur. Des lettres de l'auteur terminent les chapitres mais la police utilisée proche de l'écriture à la main est peu lisible. La partie graphique fonctionne à merveille avec toutes ces teintes de rouges comme pour la couverture. Jakub Rebelka réussit à retranscrire l'étrangeté des histoires fantastique lorsque l'écrivain voyage en compagnie de ses visiteurs. L'album se termine avec des planches et illustrations. Je recommande cet album à tous les lecteurs appréciant les histoires de Lovecraft et souhaitant apprendre quelques anecdotes sur sa vie. Le dernier jour de Howard Phillips Lovecraft est un titre très original.
  11. Titre de l'album : Le dernier jour de Howard Phillips Lovecraft Scenariste de l'album : Romuald Giulivo Dessinateur de l'album : Jakub Rebelka Coloriste : Jakub Rebelka Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Pièce de théâtre sous forme de dialogues intérieurs, Le Dernier Jour de Howard Phillips Lovecraft revisite les contrées imaginaires de l’auteur, les souvenirs de l’homme, ses colères et ses zones d’ombre. On y suit le dernier voyage d’un homme complexe et torturé faisant face à ses choix, ses errances et ses renoncements, persuadé que seule une nuit éternelle réconfortante attend les hommes au moment de leur mort. Mais un auteur n’est-il pas par essence immortel grâce à ses récits dont nous sommes les dépositaires ? Critique : La dernière parution des éditions 404 Comics est un récit fantastique et un peu autobiographique sur H.P. Lovecraft. Le scénariste Romuald Giulivo préfère inventer une histoire autour de Lovecraft tout en insérant des faits réels ou de fictions ainsi que de nombreuses références à ses nouvelles avec des grands anciens et autres héros. En effet, sur son lit de mort à l'hôpital, Lovecraft reçoit la visite de personnes surprenantes comme Randolph Carter, un personnage de ses histoires, son ex-femme pour se remémorer quelques bons moments de sa vie assez ténébreuse mais aussi Harry Houdini pour qui il était engagé pour écrire des histoires à sa place. L'histoire de Romuald Giulivo est originale et fait voyager Lovecraft dans le temps pour lui donner un aperçu des auteurs influencés par son travail comme Stephen King, Neil Gaiman et biens d'autres. Parfois, on a l'impression d'assister à son jugement avec ses idées arrêtés de l'époque malgré son génie et la manière dont il fût éduqué par sa mère et ses tantes, éloigné du monde extérieur. Des lettres de l'auteur terminent les chapitres mais la police utilisée proche de l'écriture à la main est peu lisible. La partie graphique fonctionne à merveille avec toutes ces teintes de rouges comme pour la couverture. Jakub Rebelka réussit à retranscrire l'étrangeté des histoires fantastique lorsque l'écrivain voyage en compagnie de ses visiteurs. L'album se termine avec des planches et illustrations. Je recommande cet album à tous les lecteurs appréciant les histoires de Lovecraft et souhaitant apprendre quelques anecdotes sur sa vie. Le dernier jour de Howard Phillips Lovecraft est un titre très original. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-dernier-jour-de-howard-phillips-lovecraft/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Parlons peu parlons bien, ce tome 6 vient boucler le second cycle "Legatus" de Solo. Et il le fait de manière admirable. Grandes épopées, énormes batailles, fond philosophique, on a tout dedans. En plus le tome est plus que touffu, et l'ensemble qualité / prix / temps de lecture est assez incroyable. En gros vous allez vous régaler, les dessins d'Osacr Martin sont toujours aussi emballants, et les doubles pages de batailles vont en ravir plus d'un. Seul bémol ? On a déjà lu un truc un chouïa encore meilleur. Dans le premier cycle de Solo. Parce que les enjeux de famille et d'attachements, de sentiments me manquent un peu dans ce cycle, aux enjeux pourtant peut être plus épiques et importants, mais qui ont suscité moins d'émotions que le premier cycle de Solo. Bref, une déception d'enfant gâté, courrez l'acheter cette conclusion est épique, assez logique et terrible et ouvre encore de nouveaux horizons.
  13. Titre de l'album : Solo - Tome 6 - La fin d'un cercle infini Scenariste de l'album : Oscar Martin Dessinateur de l'album : Oscar Martin Coloriste : Oscar Martin Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les humains ont décidé de frapper fort. Sans relâche, soldats et mercenaires attaquent et déciment les factions herbivores les plus proches. Alors que le conflit entre espèces se répand, Legatus et son peuple n'ont plus d'autre choix que de prendre position. Vont-ils rejoindre la bataille finale ? Ce tome 6 est une nouvelle preuve du talent de conteur et de dessinateur hors pair d'Oscar Martin. Critique : Parlons peu parlons bien, ce tome 6 vient boucler le second cycle "Legatus" de Solo. Et il le fait de manière admirable. Grandes épopées, énormes batailles, fond philosophique, on a tout dedans. En plus le tome est plus que touffu, et l'ensemble qualité / prix / temps de lecture est assez incroyable. En gros vous allez vous régaler, les dessins d'Osacr Martin sont toujours aussi emballants, et les doubles pages de batailles vont en ravir plus d'un. Seul bémol ? On a déjà lu un truc un chouïa encore meilleur. Dans le premier cycle de Solo. Parce que les enjeux de famille et d'attachements, de sentiments me manquent un peu dans ce cycle, aux enjeux pourtant peut être plus épiques et importants, mais qui ont suscité moins d'émotions que le premier cycle de Solo. Bref, une déception d'enfant gâté, courrez l'acheter cette conclusion est épique, assez logique et terrible et ouvre encore de nouveaux horizons. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-tome-6/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Batman / Spawn

    Après le Batman Spawn de 1994, voici venir un tout nouveau Batman Spawn 30 années après le précédent. MacFarlane remet ça et pas avec n'importe qui. Rien de moins que Greg Cappulo au dessin. Autant vous dire que graphiquement, c'est top ! Et l'histoire est elle même très sympa. Bien plus que les précédents. Ici nos héros n'affrontent rien de moins que les Hiboux e Gotham. Plus qu'un ennemi commun, Mac Farlane nous livre un parallèle intéressant entre les deux personnages, que ce soit sur leurs histoires ou sur leurs combats. Une bonne histoire plombée par un ensemble au final trop cher de mon point de vue. En effet, cette histoire fait... 48 pages. Pour vendre quelque chose, Urban ajoute une version noir et blanc plus une version crayonnée pour arriver à 176 pages.... pour 19 euros. Mais toujours 48 pages d'histoire. Alors c'est beau comme tout et les fans n'auront pas à acheter deux albums. Est-ce que ca en vaux vraiment le coup....Je vous laissserais juger.....
  15. poseidon2

    Batman / Spawn

    Titre de l'album : Batman / Spawn Scenariste de l'album : Todd McFarlane Dessinateur de l'album : Greg Capullo Coloriste : Greg Capullo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Deux héros, maudits par de sombres tragédies, voient leurs chemins se croiser à nouveau... mais pas par choix ! Quel sinistre ennemi est à l'oeuvre, opposant le Chevalier Noir aux Hellspawn ? Des ombres de Gotham City à New York, cet événement épique est la superproduction que vous attendiez depuis plus de vingt ans ! Critique : Après le Batman Spawn de 1994, voici venir un tout nouveau Batman Spawn 30 années après le précédent. MacFarlane remet ça et pas avec n'importe qui. Rien de moins que Greg Cappulo au dessin. Autant vous dire que graphiquement, c'est top ! Et l'histoire est elle même très sympa. Bien plus que les précédents. Ici nos héros n'affrontent rien de moins que les Hiboux e Gotham. Plus qu'un ennemi commun, Mac Farlane nous livre un parallèle intéressant entre les deux personnages, que ce soit sur leurs histoires ou sur leurs combats. Une bonne histoire plombée par un ensemble au final trop cher de mon point de vue. En effet, cette histoire fait... 48 pages. Pour vendre quelque chose, Urban ajoute une version noir et blanc plus une version crayonnée pour arriver à 176 pages.... pour 19 euros. Mais toujours 48 pages d'histoire. Alors c'est beau comme tout et les fans n'auront pas à acheter deux albums. Est-ce que ca en vaux vraiment le coup....Je vous laissserais juger..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-spawn?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Une critique de @TheOtaku : Bien que je sois une grande fan de new romance je n'ai pas lu Adopted love (bien que le collector fasse assez envie ) du coup, je ne pourrais pas vous faire une diserte sur les différences, les détails en moins, la ressemblance des personnages, ... Et ne croyez pas qu'en tant que fan je vais vous dire à quels points c'est mille fois mieux de lire le roman et que c'est une honte d'avoir osé faire de ce roman à succès une pauvre BD car c'est complètement FAUX ! J'en profite pour faire passer un petit message aux gens qui pensent comme ça : ARRETEZ ! C'est géniale pour l'auteur d'adapter son roman, c'est la preuve qu'il est INCROYABLE ! Après vous êtes libre de penser comme vous le voulez mais sachez que dénigrer cette BD c'est dénigrer le travail d'un.e dessinateur.e, d'une adaptation du roman de la part d'un.e scénariste, d'éditeurs et de tas de gens. PS: en plus je suis sur que vous avez tous vu les films Harry Potter Du coup (désolé pour ce petit égarement) comme je vous les disais je n'ai lu que la BD et je la trouve sacrément bien. Le scénario est très poussé, on suit Teagan un orphelin en conditionnelle qui va arriver chez la famille d'Elena, une jeune fille pleine de secret et assez tourmentée. L’accueil aura beau être très chaleureux, Teagan et Elena sont comme chien et chat. Hanté par son passé, sera-t-elle son avenir ? Les dessins sont plutôt beaux, l'intrigue est prenante, et ce premier tome donne des frissons. J'ai adoré découvrir le début de cette histoire et j'ai beaucoup aimé les thèmes abordés. Vous aimez les passés sombres, les histoires de lycéens, les secrets, les ennemis to lover et l'amour interdit ? Alors vous allez être servi sinon ... passez. Autre chose vous attend surement pas très loin. J'ai fini ! Alors maintenant foncez en librairie (gogogo)
  17. Titre de l'album : Critique par une ado : Adopted love tome 1 Scenariste de l'album : Véronique Grisseaux Dessinateur de l'album : Francesca Follini Coloriste : Francesca Follini Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : L'adaptation en roman graphique de la série à succès !Orphelin, Teagan erre depuis son plus jeune âge de foyers en familles d'accueil. Jeune homme écorché par la vie, la justice le rattrape à l'aube de ses 18 ans. La sentence ? Un an de conditionnelle durant lequel il devra se tenir à carreau s'il ne veut pas finir en prison. Il ne lui reste qu'une chance de se remettre dans le droit chemin et c'est dans une ultime famille d'accueil qu'elle va se jouer. Mais la rencontre avec Elena, la fille aînée de la famille, risque de compliquer les choses. Critique : Une critique de @TheOtaku : Bien que je sois une grande fan de new romance je n'ai pas lu Adopted love (bien que le collector fasse assez envie ) du coup, je ne pourrais pas vous faire une diserte sur les différences, les détails en moins, la ressemblance des personnages, ... Et ne croyez pas qu'en tant que fan je vais vous dire à quels points c'est mille fois mieux de lire le roman et que c'est une honte d'avoir osé faire de ce roman à succès une pauvre BD car c'est complètement FAUX ! J'en profite pour faire passer un petit message aux gens qui pensent comme ça : ARRETEZ ! C'est géniale pour l'auteur d'adapter son roman, c'est la preuve qu'il est INCROYABLE ! Après vous êtes libre de penser comme vous le voulez mais sachez que dénigrer cette BD c'est dénigrer le travail d'un.e dessinateur.e, d'une adaptation du roman de la part d'un.e scénariste, d'éditeurs et de tas de gens. PS: en plus je suis sur que vous avez tous vu les films Harry Potter Du coup (désolé pour ce petit égarement) comme je vous les disais je n'ai lu que la BD et je la trouve sacrément bien. Le scénario est très poussé, on suit Teagan un orphelin en conditionnelle qui va arriver chez la famille d'Elena, une jeune fille pleine de secret et assez tourmentée. L’accueil aura beau être très chaleureux, Teagan et Elena sont comme chien et chat. Hanté par son passé, sera-t-elle son avenir ? Les dessins sont plutôt beaux, l'intrigue est prenante, et ce premier tome donne des frissons. J'ai adoré découvrir le début de cette histoire et j'ai beaucoup aimé les thèmes abordés. Vous aimez les passés sombres, les histoires de lycéens, les secrets, les ennemis to lover et l'amour interdit ? Alors vous allez être servi sinon ... passez. Autre chose vous attend surement pas très loin. J'ai fini ! Alors maintenant foncez en librairie (gogogo) Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adopted-love-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Batman / Spawn 1994

    Vous êtes fan de Batman ? Vous etes fan de Cross over chelou ? Non ? ben passez votre chemin. Oui ? Et bien... je vous laisserais juge. Ce "recueil" nous propose deux histoires à deux époques différentes d'un l'une avec Franck Miller au dessin... rien que cela....et oui rien que cela. En effet, si la première histoire est intéressante, mais assez old school, avec un vrai aspect Diabolique qui sied à Spawn, la deuxième devait servir à surfer sur le succès du Dark Knight et vendre des albums. L'histoire est donc assez quelconque mais avec Franck Miller en nom sur la couverture. J'ai d'ailleurs déjà oublié une grande partie de l'histoire. Un ensemble assez moyen dont Urban justifie le prix en comblant l'album avec une version noir et blanc de la première histoire… bref pas très intéressant mais heureusement pas si cher que cela
  19. Titre de l'album : Batman / Spawn 1994 Scenariste de l'album : Alan Grant | Frank Miller | Douglas Moench | Charles Dixon Dessinateur de l'album : Klaus Janson (Dessin, Couleurs) | Todd McFarlane Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un mal ancien est revenu à Gotham City. La dernière fois qu'il est apparu, une colonie entière a été rayée de la surface de la Terre, ne laissant qu'un seul indice : Croatoan. Qui que soit Croatoan, il faudra tout le talent d'enquêteur de Batman et les capacités surnaturelles d'un ancien soldat devenu Hellspawn pour sauver les citoyens de Gotham de l'enfer qui est sur le point de se déchaîner sur notre monde. Critique : Vous êtes fan de Batman ? Vous etes fan de Cross over chelou ? Non ? ben passez votre chemin. Oui ? Et bien... je vous laisserais juge. Ce "recueil" nous propose deux histoires à deux époques différentes d'un l'une avec Franck Miller au dessin... rien que cela....et oui rien que cela. En effet, si la première histoire est intéressante, mais assez old school, avec un vrai aspect Diabolique qui sied à Spawn, la deuxième devait servir à surfer sur le succès du Dark Knight et vendre des albums. L'histoire est donc assez quelconque mais avec Franck Miller en nom sur la couverture. J'ai d'ailleurs déjà oublié une grande partie de l'histoire. Un ensemble assez moyen dont Urban justifie le prix en comblant l'album avec une version noir et blanc de la première histoire… bref pas très intéressant mais heureusement pas si cher que cela Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-spawn-1994?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Vanish tome 1

    Nouvelle série de Donny Cates, un des scénaristes indépendant qui monte en ce moment. Après l'excellent Crossover ou il joue habilement avec les codes du comicsc de toutes les époques, le voici qui se lance dans une série fantastique ou il croise The Boys et Spawn tout en rendant hommage à Garth Ennis en termes de gore. C'est bien dessiné, c'est violent et le point de vue du héros intransigeant qui préfère basculer du côté obscure plutôt que de renier ses principes est bien utilisé et pousse le concept de Batman un cran plus haut Le seul regret serait la pagination avec seulement 4 chapitres. Pour 10 euros cela vaut le coup, mais si le prix double ça risque d'etre trop peu....
  21. poseidon2

    Vanish tome 1

    Titre de l'album : Vanish tome 1 Scenariste de l'album : Donny Cates Dessinateur de l'album : Sonia Oback | Ryan Stegman | J.P. Mayer Coloriste : Sonia Oback | Ryan Stegman | J.P. Mayer Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Adolescent, Oliver Harrison était le plus grand héros de son temps. Il avait triomphé de Vanish, un mage noir responsable de la mort de milliers de magiciens et démonistes. Malheureusement, ses disciples avaient réussi à s'enfuir et à disparaître totalement de la circulation. Adulte, Oliver est devenu toxicomane, paranoïaque, menant une vie « normale », loin de sa gloire d'antan. Mais l'arrivée d'une nouvelle équipe de héros en ville attire son attention. Ne seraient-ils pas les disciples de Vanish, déguisés en héros, prêts à prendre leur revanche ? Critique : Nouvelle série de Donny Cates, un des scénaristes indépendant qui monte en ce moment. Après l'excellent Crossover ou il joue habilement avec les codes du comicsc de toutes les époques, le voici qui se lance dans une série fantastique ou il croise The Boys et Spawn tout en rendant hommage à Garth Ennis en termes de gore. C'est bien dessiné, c'est violent et le point de vue du héros intransigeant qui préfère basculer du côté obscure plutôt que de renier ses principes est bien utilisé et pousse le concept de Batman un cran plus haut Le seul regret serait la pagination avec seulement 4 chapitres. Pour 10 euros cela vaut le coup, mais si le prix double ça risque d'etre trop peu.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vanish-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. alx23

    Kroma

    Titre de l'album : Kroma Scenariste de l'album : Lorenzo De Felici Dessinateur de l'album : Lorenzo De Felici Coloriste : Lorenzo De Felici Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Emprisonnée dans une tour à l'intérieur des murs de la ville pâle, Kroma vit totalement dans l'obscurité, croyant qu'elle est la créature la plus maléfique qui soit. Cependant, là où son peuple ne voit qu'un monstre, le jeune et mystérieux orphelin Zet voit un être humain. Mais s'ils veulent survivre aux étranges rituels de la ville, ils devront surmonter le cruel destin de Kroma... quitte à risquer une mort certaine. Critique : Si vous connaissez la série Oblivion Song, vous avez déjà une bonne de la qualité des dessins et du talent de Lorenzo De Felici. De plus, sur Kroma, il gère intégralement ce one shot avec un design très bien travaillé et avec une colorisation intéressante puisque le scénario met en évidence un conflit entre le monde du noir et blanc et celui de la couleur. L’auteur assure des scènes d’action muettes sur plusieurs planches, très bien réussies. Au niveau de l’histoire, on découvre la jeune Kroma aux yeux de couleurs prisonnière de son peuple qui la considère comme maléfique et apportant la mort sur son passage. Sa rencontre avec un jeune disciple de l'ordre va chambouler toute ces croyances en libérant Kroma. L'auteur met en avant les mensonges et l’importance qu'ils peuvent avoir ainsi que les répercussions sur la vie. Comme souvent avec les comics, l’album se termine sur des recherches graphiques, des illustrations et couvertures dessinées par d’autres auteurs de comics. Kroma devrait trouver son public avec cette histoire originale et bien traité. La couverture est très bien faite et donne envie de feuilleter les planches intérieures. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kroma/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    Kroma

    Si vous connaissez la série Oblivion Song, vous avez déjà une bonne de la qualité des dessins et du talent de Lorenzo De Felici. De plus, sur Kroma, il gère intégralement ce one shot avec un design très bien travaillé et avec une colorisation intéressante puisque le scénario met en évidence un conflit entre le monde du noir et blanc et celui de la couleur. L’auteur assure des scènes d’action muettes sur plusieurs planches, très bien réussies. Au niveau de l’histoire, on découvre la jeune Kroma aux yeux de couleurs prisonnière de son peuple qui la considère comme maléfique et apportant la mort sur son passage. Sa rencontre avec un jeune disciple de l'ordre va chambouler toute ces croyances en libérant Kroma. L'auteur met en avant les mensonges et l’importance qu'ils peuvent avoir ainsi que les répercussions sur la vie. Comme souvent avec les comics, l’album se termine sur des recherches graphiques, des illustrations et couvertures dessinées par d’autres auteurs de comics. Kroma devrait trouver son public avec cette histoire originale et bien traité. La couverture est très bien faite et donne envie de feuilleter les planches intérieures.
  24. poseidon2

    Batman & Joker - Deadly duo

    Batman a fait équipe avec beaucoup de personnages au cours de son histoire, mais rarement avec le Joker, hors Whie Knight bien sur. Pour associer ces deux ennemis intimes, il faut absolument une base de "rencontre" fiable tellement rien ne pourrait nous faire adhérer à ce duo improbable. C'est le cas dans ce deadly Duo avec un duo qui commence... à la moitié du tome. A un moment ou cela paraitra logique à tous lecteurs. Mais plus que former le duo, il faut lui fournir un ennemi à sa hauteur et.... c'est la que j'ai eu plus de mal. En effet, j'ai trouvé que notre histoire était trop fantastique et pas assez réfléchie. Ce que j'aime dans Batman ce sont des scenarios bien ficelés, sans failles et qui mettent le détective à l'épreuve. La, on a un scenario en début de World War Z qui s'arrête bizarrement après des combats "façon cinéma" impressionnants mais pas vraiment "Batmanesque", c'est-à-dire plus en brutalité qu'en réflexion et gadget. Si la dualité Batman/Joker est intéressante avec un Batman qui doit mettre de l'eau dans son vin, l'emballage scénaristique est malheureusement trop creux pour moi. Et ce malgré un dessin vraiment très sympa de Silvestri.
  25. Titre de l'album : Batman & Joker - Deadly duo Scenariste de l'album : Marc Silvestri Dessinateur de l'album : Marc Silvestri Coloriste : Marc Silvestri Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : De mystérieuses goules à l'apparence du Joker sillonnent les rues de Gotham, semant têtes coupées et cadavres sur leur passage. Dans ce chaos funeste, Harley Quinn et le Commissaire Gordon manquent à l'appel. Le Chevalier Noir se met aussitôt à leur recherche, et ne tarde pas à comprendre que quelqu'un d'autre suit leur piste : le Prince Clown du Crime. Les ennemis jurés vont devoir se résoudre à l'impensable pour arriver à leurs fins : enterrer la hache de guerre. Critique : Batman a fait équipe avec beaucoup de personnages au cours de son histoire, mais rarement avec le Joker, hors Whie Knight bien sur. Pour associer ces deux ennemis intimes, il faut absolument une base de "rencontre" fiable tellement rien ne pourrait nous faire adhérer à ce duo improbable. C'est le cas dans ce deadly Duo avec un duo qui commence... à la moitié du tome. A un moment ou cela paraitra logique à tous lecteurs. Mais plus que former le duo, il faut lui fournir un ennemi à sa hauteur et.... c'est la que j'ai eu plus de mal. En effet, j'ai trouvé que notre histoire était trop fantastique et pas assez réfléchie. Ce que j'aime dans Batman ce sont des scenarios bien ficelés, sans failles et qui mettent le détective à l'épreuve. La, on a un scenario en début de World War Z qui s'arrête bizarrement après des combats "façon cinéma" impressionnants mais pas vraiment "Batmanesque", c'est-à-dire plus en brutalité qu'en réflexion et gadget. Si la dualité Batman/Joker est intéressante avec un Batman qui doit mettre de l'eau dans son vin, l'emballage scénaristique est malheureusement trop creux pour moi. Et ce malgré un dessin vraiment très sympa de Silvestri. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-joker-deadly-duo/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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