Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'comics'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. alx23

    E-Ratic tome 1

    Kaare Andrews a souvent dessiné des comics dans l'univers des super-héros de chez Marvel. Aujourd'hui, il revient en auteur complet avec sa propre série, on reconnait très vite d'ailleurs son influence de Spider-man dans cette nouvelle création. En effet, l'histoire nous permet de découvrir en compagnie d'un adolescent, ses nouveaux pouvoirs qui ne durent seulement dix minutes par jours. On suit donc le quotidien de ce jeune dans sa nouvelle école avec les clichés des séries et films américains où le geek est persécuté par les autres camarades de classe, souvent les sportifs. De plus, un adulte développe des pouvoirs et devient l'ennemi du super-héros. Le scénario ne réinvente rien mais n'en reste pas moins efficace pour tous les lecteurs appréciant les récits de super-héros. La partie graphique de Kaare Andrews apporte beaucoup d'intérêt à ce titre, l'auteur est à l'aise pour dessiner des scènes d'action musclées avec des super-héros et des pouvoir proche de spider-man. Le premier tome de E-Ratic commence bien et introduit un nouveau super-héros pour une série pleine d'action pour un public adolescent.
  2. alx23

    E-Ratic tome 1

    Titre de l'album : E-Ratic tome 1 Scenariste de l'album : Kaare Andrews Dessinateur de l'album : Kaare Andrews Coloriste : Brian Reber Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : 15 ans et seulement dix minutes pour pouvoir sauver le monde! Vous avez 15 ans et des super pouvoirs ? Cool ? Sauf que ça ne dure que 10 min par jour. Il faut donc en faire usage avec parcimonie. Oliver se retrouve à affronter diverses menaces, à garder son identité secrète, à combattre des criminels, le tout en évitant de redoubler ! Critique : Kaare Andrews a souvent dessiné des comics dans l'univers des super-héros de chez Marvel. Aujourd'hui, il revient en auteur complet avec sa propre série, on reconnait très vite d'ailleurs son influence de Spider-man dans cette nouvelle création. En effet, l'histoire nous permet de découvrir en compagnie d'un adolescent, ses nouveaux pouvoirs qui ne durent seulement dix minutes par jours. On suit donc le quotidien de ce jeune dans sa nouvelle école avec les clichés des séries et films américains où le geek est persécuté par les autres camarades de classe, souvent les sportifs. De plus, un adulte développe des pouvoirs et devient l'ennemi du super-héros. Le scénario ne réinvente rien mais n'en reste pas moins efficace pour tous les lecteurs appréciant les récits de super-héros. La partie graphique de Kaare Andrews apporte beaucoup d'intérêt à ce titre, l'auteur est à l'aise pour dessiner des scènes d'action musclées avec des super-héros et des pouvoir proche de spider-man. Le premier tome de E-Ratic commence bien et introduit un nouveau super-héros pour une série pleine d'action pour un public adolescent. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/e-ratic-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Batman - One bad day - Bane

    Ahhh enfin un tome de One Bad Day qui arrive à la cheville de celui de Tom King. Une vraie belle histoire qui se révèle être autre chose qu'une énième présentation d'un méchant iconique. Ici, on est plus dans la rédemption d'un méchant de Batman. Méchant qui a toujours été ambivalent avec une histoire qui l'a transformé et donc il fut plus l'esclave qu'un méchant souhaitant faire le mal. Joshua Williamson nous livre une histoire touchante et plaisante à lire avec un Bane très humain. Un récit qui n'oublie pas de nous livrer des beaux combats portés par un dessin brut collant bien à l'histoire. Un des meilleurs qui validerait presque le tarif…
  4. Titre de l'album : Batman - One bad day - Bane Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Howard Porter Coloriste : Howard Porter Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Si Eduardo Dorrance doit sa stature colossale au venom, c'est également à ce stéroïde qu'il doit ses plus gros ennuis. Sevré depuis longtemps maintenant, Bane a définitivement raccroché son masque de criminel pour se parer de celui d'un catcheur sur le déclin. Aussi, quand il apprend qu'une nouvelle source de venom existe, il va tout faire pour la détruire, afin que personne ne soit victime du poison qui a ruiné sa vie. Critique : Ahhh enfin un tome de One Bad Day qui arrive à la cheville de celui de Tom King. Une vraie belle histoire qui se révèle être autre chose qu'une énième présentation d'un méchant iconique. Ici, on est plus dans la rédemption d'un méchant de Batman. Méchant qui a toujours été ambivalent avec une histoire qui l'a transformé et donc il fut plus l'esclave qu'un méchant souhaitant faire le mal. Joshua Williamson nous livre une histoire touchante et plaisante à lire avec un Bane très humain. Un récit qui n'oublie pas de nous livrer des beaux combats portés par un dessin brut collant bien à l'histoire. Un des meilleurs qui validerait presque le tarif… Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-bane?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Voici un tome des tortues ninja intéressant pour les fans, car il s'agit d'un recueil d'histoires courtes présentant plusieurs personnages principaux du run paru chez Hicomics à travers pas mal d'histoires courtes centrées à chaque fois sur un nouveau personnage. Chaque mini histoire est évidemment gérée par des auteurs différents Si comme d'habitude, toutes les histoires ne se valent pas, certaines concernant des personnages peut être moins marquants ou simplement moins attachants. Au niveau graphique même remarque, puisqu'il y en aura vraiment là aussi pour tous les goûts. Au final ce TMNT Heroes est un bon cru, qui est même indispensable pour ceux qui ont suivi le run complet des tortues.
  6. Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Heroes Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Les héros emblématiques des Tortues Ninja à l'honneur ! De l'apprentissage sévère qu'a connu le jeune Splinter et sa rencontre avec son grand amour, en passant par la promesse de Casey à sa mère malade et les origines dramatiques du Fugitoïde, diverses situations périlleuses subies par les Tortues ou leurs grands alliés sont révélées pour la première fois, éclairant un peu plus leur passé !Retrouvez tout à tour Raphael, Michelangelo, Donatello, Leonardo, Splinter, Casey, April et le Fugitoïde dans ce tome 100 % Heroes. Critique : Voici un tome des tortues ninja intéressant pour les fans, car il s'agit d'un recueil d'histoires courtes présentant plusieurs personnages principaux du run paru chez Hicomics à travers pas mal d'histoires courtes centrées à chaque fois sur un nouveau personnage. Chaque mini histoire est évidemment gérée par des auteurs différents Si comme d'habitude, toutes les histoires ne se valent pas, certaines concernant des personnages peut être moins marquants ou simplement moins attachants. Au niveau graphique même remarque, puisqu'il y en aura vraiment là aussi pour tous les goûts. Au final ce TMNT Heroes est un bon cru, qui est même indispensable pour ceux qui ont suivi le run complet des tortues. Autres infos : Tortues Ninja ! Cowabunga ! Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-micro-serie-heroes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Pffffff ce qu'il est bon ce tome 5. Très honnêtement, à la fin du tome 4, qui nous racontait l'enfance d'Erica et son intégration au sein des chevaliers de l'ordre de Saint Georges? j'ai eu un peu peur de ce qu'il restait à raconter. Mais je ne ferai plus l'erreur de remettre en cause le maitre du comics d'angoisse actuel : James Tyrion IV. Car ce tome 5 est excellent ! La rébellion d'Erica ne marque pas juste une aventure sans les chevaliers. Elle marque surtout l'introduction de chasseurs d'autre endroit dans le monde dans le but de couper court à la rébellion. Erica se retrouve donc à combattre toute seule des monstres, mais aussi à devoir faire face à un nouvel adversaire qui ne la connait que trop bien. C'est excellent du début à la fin. Rien à jeter dans cette série. Merci maitre Tyrion IV ! Et vivement le T6
  8. Titre de l'album : Something is killing the children t5 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Werther Dell'Edera Coloriste : Werther Dell'Edera Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a des traumatismes dont on peine à se relever, d'autres qui réveillent en nous une force insoupçonnée. Erica Slaughter est fait de ce bois-là, meurtrie par le sceau du deuil, atteinte dans sa chair par des créatures dont elle n'aurait jamais soupçonné l'existence – même dans ses pires cauchemars. Un an après avoir quitté précipitamment Archer's Peak, la voilà de retour, bien décidée à régler ses comptes avec la Loge du Massacre, mais surtout avec un tout nouveau type de monstre. Contenu vo : Contenu : Something is Killing the Children #21-25. Critique : Pffffff ce qu'il est bon ce tome 5. Très honnêtement, à la fin du tome 4, qui nous racontait l'enfance d'Erica et son intégration au sein des chevaliers de l'ordre de Saint Georges? j'ai eu un peu peur de ce qu'il restait à raconter. Mais je ne ferai plus l'erreur de remettre en cause le maitre du comics d'angoisse actuel : James Tyrion IV. Car ce tome 5 est excellent ! La rébellion d'Erica ne marque pas juste une aventure sans les chevaliers. Elle marque surtout l'introduction de chasseurs d'autre endroit dans le monde dans le but de couper court à la rébellion. Erica se retrouve donc à combattre toute seule des monstres, mais aussi à devoir faire face à un nouvel adversaire qui ne la connait que trop bien. C'est excellent du début à la fin. Rien à jeter dans cette série. Merci maitre Tyrion IV ! Et vivement le T6 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/something-is-killing-the-children-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    JSA chronicles tome 2 - 2000

    Bon alors il faut que je vous avoue que j'ai un peu de mal avec les dessins des années 2000. Autant ceux des années 90 m'allaient bien, autant je trouve ceux-ci un peu trop tranché. Peu de transition entre les couleurs, peu d'utilisation des ombres et des colorations qui piquent un peu les yeux. C'est un peu dommage car sinon ce tome est rafraichissant. Rafraîchissant, car il fait la part belle à énormément de nouveau héros et des méchants jamais vu. Pas des héros qui vont forcément sauver l'univers, mais des héros aux pouvoir et caractère bien tranché qui ne changent pas rapport à d'habitude. Cette version 2000 est la vraie prise de pouvoir de Geoff Johns avec la diversification de l'équipe, mais aussi l'intégration de l'équipe dans Elseworlds avec des crossover avec la Justice league, mais aussi des versions de cette JSA agissant en tant qu'espion dans la seconde guerre mondiale. Un bon recueil sur une des meilleures ventes de DC des années 2000 pour lequel il faut juste être sûr d'adhérer au graphisme.
  10. Titre de l'album : JSA chronicles tome 2 - 2000 Scenariste de l'album : Geoff Johns Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'année 2000 marque l'arrivée d'un scénariste débutant dans l'industrie des comics, mais un fan de longue date des membres de la JSA : Geoff JOHNS. Sous le patronage de David S. GOYER, JOHNS va donner au thème de la transmission une place centrale dans ses épisodes et moderniser le concept de la JSA à travers les jeunes héritiers des héros de l'âge d'Or de DC Comics. Contenu vo : JSA #6-15, JSA : The Liberty File #1-2, JSA Annual #1. Critique : Bon alors il faut que je vous avoue que j'ai un peu de mal avec les dessins des années 2000. Autant ceux des années 90 m'allaient bien, autant je trouve ceux-ci un peu trop tranché. Peu de transition entre les couleurs, peu d'utilisation des ombres et des colorations qui piquent un peu les yeux. C'est un peu dommage car sinon ce tome est rafraichissant. Rafraîchissant, car il fait la part belle à énormément de nouveau héros et des méchants jamais vu. Pas des héros qui vont forcément sauver l'univers, mais des héros aux pouvoir et caractère bien tranché qui ne changent pas rapport à d'habitude. Cette version 2000 est la vraie prise de pouvoir de Geoff Johns avec la diversification de l'équipe, mais aussi l'intégration de l'équipe dans Elseworlds avec des crossover avec la Justice league, mais aussi des versions de cette JSA agissant en tant qu'espion dans la seconde guerre mondiale. Un bon recueil sur une des meilleures ventes de DC des années 2000 pour lequel il faut juste être sûr d'adhérer au graphisme. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jsa-chronicles-2000?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    La nuit de la goule

    Scott Snyder est un habitué des récits fantastiques depuis la série American vampire où l'auteur remontait à l'origine des vampires sur le territoire américain. Avec la nuit de la goule, Snyder semble vouloir cette fois apporter l'origine même de tous les créateurs maléfiques. Ce one shot reprend les six chapitres où l'on suit un homme à la recherche de la fin d'un film mythique fantastique, avec son fils qui l'accompagne. L'action présente est entrecoupée par des scènes du film en noir et blanc des années 50, pour mieux comprendre. Les réactions du père de famille sont un peu étranges sur les premiers chapitres, comme il met beaucoup de temps à accepter la situation fantastique. J'ai toujours apprécié le côté bien sombre des dessins de Francesco Francavilla, depuis American vampire ou Scalped. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives réalisées aussi par d'autres dessinateurs de comics. La nuit de la goule est un titre horrifique intéressant avec une histoire terminée en un seul tome. De plus, la goule est un monstre moins connu avec ses caractéristiques, une nourriture spécifique et spéciale.
  12. alx23

    La nuit de la goule

    Titre de l'album : La nuit de la goule Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Francesco Francavilla Coloriste : Francesco Francavilla Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un passionné enquête sur un ancien studio de cinéma qui aurait brûlé et finit par tomber sur ce projet. Il remonte la piste du réalisateur, qui vit reclus dans une maison de retraite. Selon lui, une goule hanterait son hospice, et la découverte d'une vieille bobine de La Nuit de la Goule risque bien de réveiller la bête, que le film soi-disant disparu avait détruit. Critique : Scott Snyder est un habitué des récits fantastiques depuis la série American vampire où l'auteur remontait à l'origine des vampires sur le territoire américain. Avec la nuit de la goule, Snyder semble vouloir cette fois apporter l'origine même de tous les créateurs maléfiques. Ce one shot reprend les six chapitres où l'on suit un homme à la recherche de la fin d'un film mythique fantastique, avec son fils qui l'accompagne. L'action présente est entrecoupée par des scènes du film en noir et blanc des années 50, pour mieux comprendre. Les réactions du père de famille sont un peu étranges sur les premiers chapitres, comme il met beaucoup de temps à accepter la situation fantastique. J'ai toujours apprécié le côté bien sombre des dessins de Francesco Francavilla, depuis American vampire ou Scalped. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives réalisées aussi par d'autres dessinateurs de comics. La nuit de la goule est un titre horrifique intéressant avec une histoire terminée en un seul tome. De plus, la goule est un monstre moins connu avec ses caractéristiques, une nourriture spécifique et spéciale. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-nuit-de-la-goule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Red hood : Souriez

    Jason Todd est un héros qui a le vent en poupe. Bien aidé par la mode actuelle d'avoir des héros ambivalents, ce red hood nous livre une histoire dans l'univers à part de ce anti héros. SI l'histoire est globalement sympathique, avec un nouveau méchant et une nouvelle drogue qui pollue la vie de Gotham, on pourra reprocher à ce Red Hood de s'obliger à nous re-re-re- repeter l'histoire de Jason Todd en tant que Robin. On se retrouve avec toute une partie qui coupe l'histoire principale et qui ennuiera le lecteur averti. Ce tome est plus un tome de présentation pour nouveau lecteur que pour lecteur averti.
  14. Titre de l'album : Red hood : Souriez Scenariste de l'album : Chip Zdarsky Dessinateur de l'album : Eddy Barrows Coloriste : Eddy Barrows Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Jason Todd est de retour à Gotham City et les problèmes de la ville le poussent à porter le masque à nouveau. La menace numéro un : une nouvelle drogue envahit la ville et son influence grandissante devient extrêmement problématique. Alors qu'il enquête sur l'origine de ce nouveau fléau, l'ancien Robin croisera inévitablement la route du Chevaler Noir. Red Hood et Batman arriveront-ils à unir leurs forces pour arrêter ce nouveau fléau ? Critique : Jason Todd est un héros qui a le vent en poupe. Bien aidé par la mode actuelle d'avoir des héros ambivalents, ce red hood nous livre une histoire dans l'univers à part de ce anti héros. SI l'histoire est globalement sympathique, avec un nouveau méchant et une nouvelle drogue qui pollue la vie de Gotham, on pourra reprocher à ce Red Hood de s'obliger à nous re-re-re- repeter l'histoire de Jason Todd en tant que Robin. On se retrouve avec toute une partie qui coupe l'histoire principale et qui ennuiera le lecteur averti. Ce tome est plus un tome de présentation pour nouveau lecteur que pour lecteur averti. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-hood-souriez/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Et voilà , clap de fin pour Calie et sa ville Violette , dans une tempête d'action ! Ce second et dernier tome , clôturant ce nouvel arc scénaristique , se veut plus psychologique que l'opus précédent . Toujours en fâcheuses postures , nos héroïnes vont devoir puiser dans leurs retranchements pour lutter efficacement . La reine de pique , toujours dans sa volonté de régner , cherche une autre reine , perdue dans les contrées enneigées et qui semble une proie facile . Mais les apparences sont parfois trompeuses 😉 . Calie et sa fille , toujours en fuite , pensent avoir trouvé un havre de paix , mais une curieuse voisine va faire irruption dans leur vie ! A Los Angeles ainsi qu'à Wonderland , vont se jouer des batailles épiques avec un final pas si évident que ça . Je vous laisse le découvrir . J'ai trouvé le dessin plus précis et détaillé que lors du premier tome . Sheldon Goh est aidé par 3 auteurs assez talentueux , qui donnent de la profondeur et du réalisme aux diverses scènes du livre . Cela rend un graphisme moins stérile et informatisé . Dans l'ensemble c'est une série qui comblera les amateurs et fans de la première saga . J'avoue pour ma part avoir eu un peu de mal à m'immerger dans le récit , n'ayant pas lu les événements précédents .
  16. Titre de l'album : Wonderland - le monde d'après tome 2 Scenariste de l'album : Grégory Raven Dessinateur de l'album : Sheldon Goh Coloriste : Ulises Grostieta Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Après avoir vaincu l'esprit malveillant du Chapelier Fou et fuit la terreur d'une ville possédée par la folie, Calie et sa fille Violette se dirigent vers Los Angeles dans l'espoir d'échapper à l'emprise toujours croissante du Pays des Merveilles mais elles vont très vite découvrir que peu importe où elles se cachent, Wonderland ne les lâchera jamais. Arriveront-elles à se faire oublier de ce royaume où règne le chaos et où une bataille fait rage pour s'emparer du trône de l'ancien maître, le Jabberwock ? Sombreront-elles dans la folie suintante de ce monde cauchemardesque ? Mélange subtil d'horreur, de thriller et de fantastique, la série Wonderland nous invite à un voyage aux confins de la folie ! Critique : Et voilà , clap de fin pour Calie et sa ville Violette , dans une tempête d'action ! Ce second et dernier tome , clôturant ce nouvel arc scénaristique , se veut plus psychologique que l'opus précédent . Toujours en fâcheuses postures , nos héroïnes vont devoir puiser dans leurs retranchements pour lutter efficacement . La reine de pique , toujours dans sa volonté de régner , cherche une autre reine , perdue dans les contrées enneigées et qui semble une proie facile . Mais les apparences sont parfois trompeuses 😉 . Calie et sa fille , toujours en fuite , pensent avoir trouvé un havre de paix , mais une curieuse voisine va faire irruption dans leur vie ! A Los Angeles ainsi qu'à Wonderland , vont se jouer des batailles épiques avec un final pas si évident que ça . Je vous laisse le découvrir . J'ai trouvé le dessin plus précis et détaillé que lors du premier tome . Sheldon Goh est aidé par 3 auteurs assez talentueux , qui donnent de la profondeur et du réalisme aux diverses scènes du livre . Cela rend un graphisme moins stérile et informatisé . Dans l'ensemble c'est une série qui comblera les amateurs et fans de la première saga . J'avoue pour ma part avoir eu un peu de mal à m'immerger dans le récit , n'ayant pas lu les événements précédents . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonderland-le-monde-d-apres-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    Hotell Tome 1

    Les recueils d'histoires d'horreur sont très tendances en comics actuellement, mais Hotell se démarque de tous les autres concurrents avec quatre histoires de qualité. Le scénariste John Lees maitrise bien son sujet avec l'hôtel nommé Pierrot courts, en point commun entre toutes les histoires ainsi que le réceptionniste qui introduit les histoires. De plus, les personnages des différentes histoires se croisent ou discutent ensemble avant de les retrouver dans leur propre récit. On pense forcément à Norman Bates de Psychose avec ce réceptionniste mais ce dernier n'intervient jamais car l'horreur provient du lieu lui-même. Les intrigues sont originales et l’on prend plaisir à suivre les protagonistes dans des aventures improbables ou l’horreur s’impose en conclusion. Dalibor Talajic dessine aussi bien des grosses productions de chez Marvel que des titres de maison d'éditions plus indépendantes comme Awa comics pour Hotell. Il réalise des planches de qualité pour installer un climat effrayant. Le format d’histoires courtes convient très bien pour les récits d’horreur dans le genre Tales from the Crypt, Creepshow et maintenant Hotell. Un deuxième tome est déjà sortis en version originale qui j’espère sera bientôt disponible en français pour retourner au Pierrot Courts.
  18. alx23

    Hotell Tome 1

    Titre de l'album : Hotell Tome 1 Scenariste de l'album : John Lees Dessinateur de l'album : Dalibor Talajic Coloriste : Dalibor Talajic Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Quatre histoires d'horreur interconnectées se déroulant toutes dans un hôtel mystérieux qui semble n'apparaître qu'à certains clients. L'hôtel Pierrot Courts. Vous ne le trouverez sur aucune carte, mais s'il vous arrive de conduire sur la Route 66 tard dans la nuit et que vous avez désespérément besoin d'un refuge ou de vous cacher, vous apercevrez peut-être un panneau abîmé en bordure de route. C'est un endroit où beaucoup s'enregistrent au comptoir mais d'où bien peu repartent. Et vu les horreurs qui vous attendent à l'intérieur, vous auriez peut-être préféré continuer à rouler... Critique : Les recueils d'histoires d'horreur sont très tendances en comics actuellement, mais Hotell se démarque de tous les autres concurrents avec quatre histoires de qualité. Le scénariste John Lees maitrise bien son sujet avec l'hôtel nommé Pierrot courts, en point commun entre toutes les histoires ainsi que le réceptionniste qui introduit les histoires. De plus, les personnages des différentes histoires se croisent ou discutent ensemble avant de les retrouver dans leur propre récit. On pense forcément à Norman Bates de Psychose avec ce réceptionniste mais ce dernier n'intervient jamais car l'horreur provient du lieu lui-même. Les intrigues sont originales et l’on prend plaisir à suivre les protagonistes dans des aventures improbables ou l’horreur s’impose en conclusion. Dalibor Talajic dessine aussi bien des grosses productions de chez Marvel que des titres de maison d'éditions plus indépendantes comme Awa comics pour Hotell. Il réalise des planches de qualité pour installer un climat effrayant. Le format d’histoires courtes convient très bien pour les récits d’horreur dans le genre Tales from the Crypt, Creepshow et maintenant Hotell. Un deuxième tome est déjà sortis en version originale qui j’espère sera bientôt disponible en français pour retourner au Pierrot Courts. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hotell?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Gilt, la guilde de temporalistes indépendants est un mélange des genres entre SF, humour et chronique sociale le tout écrit par la scénariste Alisa Kwitney. En effet, la thématique principale tourne autour du voyage temporel avec deux femmes qui conservent leur conscience et mémoire du futur quand elles intègrent leur corps plus jeune dans les années 70. L'autre thème mis en place par Alisa Kwitney est la condition des femmes avec le point de vue des années 70, puis comment il évolue jusqu'à nos jours. Pour traiter ces deux thématiques, Alisa Kwitney ajoute une note d'humour bien présente tout l’album. Le dessinateur Mauricet réalise souvent des comics en parallèle d'autres productions de bande dessinée franco-belge. Le style de l'auteur convient bien avec des planches détaillées. L’album se termine sur un carnet de croquis, de recherches graphiques pour les personnages ou encore des essais de couvertures avec les commentaires de l’auteur. Gilt, la guilde de temporalistes indépendants devrait trouver son publique avec ce comics des éditions Ahoy comics dont la plupart des titres sont traduits aux éditions Delcourt en France. Gilt est un bon one shot à lire.
  20. Titre de l'album : Gilt, la guilde de temporalistes indépendants Scenariste de l'album : Alisa Kwitney Dessinateur de l'album : Mauricet Coloriste : Mauricet Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hildy Winters est une survivante, une dure à cuire de l'Upper West Side de New York, une sacrée vieille bonne femme qui possède son propre portail lui permettant de voyager dans le temps. Hildy appartient à La Guilde des Temporalistes Indépendantes, des femmes capables de voyager dans le passé (sans le modifier !), tout en bénéficiant de leur expérience accumulée jusqu'à présent. Critique : Gilt, la guilde de temporalistes indépendants est un mélange des genres entre SF, humour et chronique sociale le tout écrit par la scénariste Alisa Kwitney. En effet, la thématique principale tourne autour du voyage temporel avec deux femmes qui conservent leur conscience et mémoire du futur quand elles intègrent leur corps plus jeune dans les années 70. L'autre thème mis en place par Alisa Kwitney est la condition des femmes avec le point de vue des années 70, puis comment il évolue jusqu'à nos jours. Pour traiter ces deux thématiques, Alisa Kwitney ajoute une note d'humour bien présente tout l’album. Le dessinateur Mauricet réalise souvent des comics en parallèle d'autres productions de bande dessinée franco-belge. Le style de l'auteur convient bien avec des planches détaillées. L’album se termine sur un carnet de croquis, de recherches graphiques pour les personnages ou encore des essais de couvertures avec les commentaires de l’auteur. Gilt, la guilde de temporalistes indépendants devrait trouver son publique avec ce comics des éditions Ahoy comics dont la plupart des titres sont traduits aux éditions Delcourt en France. Gilt est un bon one shot à lire. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gilt-la-guilde-de-temporalistes-independants/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. La faute d'un clou est une réédition du comics parue en 1998 par Alan Davis et de sa suite parue elle en 2004. C'est un des exemples de la collection Elseworlds, ces "what if" si cher à DC. Ici on est dans le changement minimaliste aux retombées gigantesques : et si les kent avaient crevé au moment de l'atterrissage de Clark sur terre et n'avaient donc pas sauvé et élevé l'enfant qui deviendrait le fer de lance des super héros ? Quel impact cela aurait-il ? Si l'idée n''est pas nouvelle en 2023 (Mark Millar et son red Son sont passés par la depuis) elle était super novatrice en 1998 et a été parfaitement exécutée par Alan Davis. Surtout la première partie. En effet il réussit à nous montrer un monde différent (je vous laisserais découvrir les différences) sans forcément devoir tout nous réexpliquer. il réussit surtout à nous faire comprendre la chaine d'impact de ce "clou" sans avoir à nous livrer des flashbacks à n'en plus finir. Un vrai tour de force. Tour de force un peu trop exagéré dans la suite de 2004 présent en deuxième partie de ce tome. En effet cela tourne plus au catalogue de héros dans cet univers parallèle qu'autre chose. L'histoire est alambiquée et globalement brouillonne et a surtout pour elle d'être très bien dessinée. Je ne saurai donc trop quoi vous dire mise à part : lisez la première partie qui mérite un 4.5/5.... ici ou ailleurs en occase. Et si c'est avec cette intégrale... et bien lisez la deuxième tant qu'à faire même si lui ne mérite qu'un 3.5 😉
  22. Titre de l'album : Justice league - Faute d'un clou... Scenariste de l'album : Alan Davis Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a de longues années, dans le Kansas : Martha et Jonathan Kent, qui ont projeté de faire quelques courses dans la bourgade de Smallville, découvrent qu'un pneu de leur voiture est crevé. Ils choisissent de reporter leur balade à plus tard et restent chez eux, sans se rendre compte que le ciel est traversé par une météorite étrange. Celle-ci abrite un enfant extraterrestre envoyé sur Terre depuis une lointaine planète. L'engin s'écrase un peu plus loin, et les Kent ne seront jamais là pour adopter l'enfant tombé des étoiles. Au fil des ans, les premiers super-héros apparaissent, mais dans ce monde légèrement différent du nôtre, jamais Superman ne se fera connaître, et l'histoire en sera à jamais bouleversée. Critique : La faute d'un clou est une réédition du comics parue en 1998 par Alan Davis et de sa suite parue elle en 2004. C'est un des exemples de la collection Elseworlds, ces "what if" si cher à DC. Ici on est dans le changement minimaliste aux retombées gigantesques : et si les kent avaient crevé au moment de l'atterrissage de Clark sur terre et n'avaient donc pas sauvé et élevé l'enfant qui deviendrait le fer de lance des super héros ? Quel impact cela aurait-il ? Si l'idée n''est pas nouvelle en 2023 (Mark Millar et son red Son sont passés par la depuis) elle était super novatrice en 1998 et a été parfaitement exécutée par Alan Davis. Surtout la première partie. En effet il réussit à nous montrer un monde différent (je vous laisserais découvrir les différences) sans forcément devoir tout nous réexpliquer. il réussit surtout à nous faire comprendre la chaine d'impact de ce "clou" sans avoir à nous livrer des flashbacks à n'en plus finir. Un vrai tour de force. Tour de force un peu trop exagéré dans la suite de 2004 présent en deuxième partie de ce tome. En effet cela tourne plus au catalogue de héros dans cet univers parallèle qu'autre chose. L'histoire est alambiquée et globalement brouillonne et a surtout pour elle d'être très bien dessinée. Je ne saurai donc trop quoi vous dire mise à part : lisez la première partie qui mérite un 4.5/5.... ici ou ailleurs en occase. Et si c'est avec cette intégrale... et bien lisez la deuxième tant qu'à faire même si lui ne mérite qu'un 3.5 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jla-le-clou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    The flash Chronicles 1992

    A chaque mois son nouveau "Chronicles" et, sans lignée de la sortie du film, c'est Flash qui maintenant droit au sien avec un focus sur l'année 1992. Année de prise de pouvoir de Mark Waid de la franchise sur héros super rapide. Reprise qui est marquée par la montée en puissance de....Wally West. Et oui on se trouve après la mort de ce dernier dans Crisis on Infinite Earth. Ce Chronicles marque un changement dans l'univers DC avec un Mark Waid qui cherche à bien plus se pencher sur la vie du héros plus que sur des suites d'intrigues sans lendemain. Il change le personnage de Wally West pour le faire passer d'égoïste à l'un des héros les plus aimés des fans de DC. Un chronicles super intéressant centré sur l'un des flash les plus complexes du "speed verse" A note : un dessin typique des années 90, mettant en avant les formes généreuses de ces dames... on aime ou pas. Mais il faut le savoir 😉
  24. Titre de l'album : The flash Chronicles 1992 Scenariste de l'album : Mark Waid Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Mark WAID a largement contribué à développer le personnage de Flash à travers la personnalité de Wally West, là où la série des années 1950-1960, incarnée par Barry Allen se concentrait davantage sur l'intrigue des épisodes. L'auteur, en incluant des éléments de sa vie personnelle, humanise le super-héros et le rend plus accessible aux yeux du lecteur, transformant le successeur de Barry Allen en l'un des héros les plus populaires de DC. Critique : A chaque mois son nouveau "Chronicles" et, sans lignée de la sortie du film, c'est Flash qui maintenant droit au sien avec un focus sur l'année 1992. Année de prise de pouvoir de Mark Waid de la franchise sur héros super rapide. Reprise qui est marquée par la montée en puissance de....Wally West. Et oui on se trouve après la mort de ce dernier dans Crisis on Infinite Earth. Ce Chronicles marque un changement dans l'univers DC avec un Mark Waid qui cherche à bien plus se pencher sur la vie du héros plus que sur des suites d'intrigues sans lendemain. Il change le personnage de Wally West pour le faire passer d'égoïste à l'un des héros les plus aimés des fans de DC. Un chronicles super intéressant centré sur l'un des flash les plus complexes du "speed verse" A note : un dessin typique des années 90, mettant en avant les formes généreuses de ces dames... on aime ou pas. Mais il faut le savoir 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-flash-chronicles-1992?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nouvel opus des aventures de Batm , euh non , des ennemis de Batman 🙂 Veuillez excuser cette maladresse inopportune ! Mr Freeze ( non ce n'est pas un bâtonnet glacé à la grenadine) fait des siennes dans une ville de Gotham sous un manteau neigeux . Pour l'arrêter , nos intrépides héros , oui , je dis bien "nos héros" car pour la première fois dans cette série "bad guys" , est incorporé Robin , le jeune compagnon de Bruce Wayne . Les auteurs ont voulu imprimer un caractère old school au récit avec des costumes "rétros" , celui de Batman est gris , similaire à celui d'Adam West . Il en va de même pour les batmobiles décapotables et imprégnées du look des 30 glorieuses . Mais rassurez-vous , nous sommes bel et bien à une époque contemporaine où les ordinateurs et autres labos de recherches sont à la pointe du progrès . Gerry Duggan a voulu donner de l'envergure à ce méchant pas comme les autres , en imaginant Batman lui tendre la main afin de sauver sa femme cryogénisée . La suite ne se déroulera pas exactement comme prévue ! J'espérais en savoir un peu plus sur ce vilain givré , mais sa vie passée en couple est succincte , le récit s'attarde peu à sa relation amoureuse ainsi que la tragédie à venir . Au lieu de cela , il nous propose un Bruce Wayne se déguisant en alcoolo en quête d'indices et donne un ton assez humoristique à la relation Batman / Robin . Cela plaira à certains , moins sûr pour une grande majorité d'autres ! Scalera et son trait (dont je ne suis pas un grand fan) assure le boulot dans son style si particulier : un dessin avec des proportions taillées à la serpe , dans un trait arrondi ! Je mets la moyenne car cela finit sur une note amusante et empreinte de sincérité sur Freeze ; il en aurait fallu un peu plus ... Décidément , tout le monde n'est pas Tom King ! NDLR : Note gloable remontée à 3/5 pour refléter l'avis de @poseidon2 qui a bien plus apprécié de tome.
×
×
  • Créer...