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  1. Décidément cela ne traîne pas. Nicolas Sinner et Jérôme Le Gris n'ont pas le temps pour nous livrer déjà le second tome de leur nouvelle série Lord Gravestone. Oui le tome 1 est sorti seulement au mois de mars de cette année. Et quand on voit la qualité de ces tomes on ne peut qu'être ébahi par ces délais de fous furieux. Ceci étant dit les lecteurs que nous sommes n'ont pas de raisons de se plaindre puisque le souvenir du tome 1 restait vivace dans nos mémoires. Il faut bien reconnaitre qu'il avait su marquer nos esprits par sa qualité et son cliffhanger final. L'aventure et le drame reprennent donc scéance tenante dès le début de ce tome avec un Lord Gravestone toujours aussi perdu face au poids de son héritage et de sa destinée, heureusement il va prendre de la densité au fil de l'album lorsque les fils tissés par le destins vont lentement se refermer sur lui, préparer vous au pire, car s'il y a une chose que l'on a appris avec ces deux auteurs sur Horacio d'Alba, leur précédente collaboration Ô combien réussie, c'est qu'ils n'aiment rien de plus que d'infliger un destin terrible à leurs héros, et Lord Gravestone ne fera pas exception. Les dessins et couleurs de Nicolas Siner sont toujours aussi splendides, et cette bd fut l'une des première que j'ai dévoré dans cette rentrée chargée car elle condense tout ce que j'aime dans la bd, de l'aventure, du drame humain, de l'action époustouflante, un univers riche et une intrigue qu'on aimerait ne pas lâcher. Je ne peux que vous le recommander car à l'heure actuelle, il n'y a que peu de séries qui présentent autant d'attraits que ce Lord Gravestone. Et ce tome 2 vient de confirmer encore une fois tout le bien qu'on pensant de ses deux auteurs. Merci messieurs.
  2. jusqu’à
    Le Salon Fantastique et la Japan Party s'associent pour partager un grand espace de 10 000 m3 au parc floral de Paris le week-end des 8 et 9 avril 2023 Le Salon Fantastique est un événement culturel dont l’objectif est de rendre justice aux cultures de l’imaginaire et ludiques, trop souvent décrites comme des cultures marginales. Nous accueillons chaque année presque une centaine d’auteurs, des dizaines d’artisans, des artistes, des éditeurs de romans ou de jeux et des créateurs de tous horizons. Depuis 2011, Japan Party est le festival des cultures geek et asiatiques organisé par l’association d’intérêt général Imagin’ Con. Le billet vous donnera accès aux 2 événements Chaque festival garde son identité propre tout en s’articulant autour du partage de valeurs communes : encourager les créateurs, auteurs et artisans ; respecter et écouter les partenaires, exposants et intervenants ; et faire de l’originalité le fer de lance de cette nouvelle édition ! Pour cette édition spéciale, plus de 400 exposants attendront les fans : boutiques, jeunes créateurs, illustrateurs, associations, animations Les premiers invités annoncés : Musiciens, auteurs, comédiens de doublage, youtubeurs et influenceurs… Tous ces univers se rencontrent aussi par le biais des invités présents durant le weekend. En voici quelques-uns, d’autres seront annoncés prochainement : Lixiviatio et Neivee (streameuses), Magoyond (musique), Davy Mourier (auteur), Evy Reeves (autrice), Joranne Bagoule (illustratrice et blogueuse Japon), Alexis Thomassian (voix de Martin Mystère, Light dans Death Note ou encore Fry dans Futurama), Céline Monsarrat (Bulma dans Dragon Ball, Dory dans Le Monde de Nemo/Dory…), Pascale Chemin (Kirua dans Hunter X Hunter, Annie dans L’Attaque des Titans, Command Shepard dans Mass Effect), Boris Rehlinger (voix régulière de Colin Farrell et Ben Affleck ; Pedro Pascal et son personnage de Joel dans la série The Last of US) ou encore Géraldine Asselin (Halle Berry, Zoe Saldana ; Ashley dans Mass Effects). Sachez qui si vous venez déguisé (au moins 80% de la tenue) Vous bénéficiez d'un tarif réduit ! Site officiel
  3. Cette nouvelle série l'agence Pendergast est l’adaptation de bande dessinée des romans de Christophe Lambert et Florent Sacré. Ce premier tome reprend l’intrigue du premier album et pose les bases avec le recrutement d'un enfant des rues pour rejoindre l'équipe de l'agence Pendergast. Ces derniers gèrent l'immigration des personnes spéciales dont les vampires, loups-garous et tous les autres montres de ce genre. Le public visé est jeune donc la partie fantastique est acceptable sans le côté horrifique avec toujours beaucoup d’humour. Il y a beaucoup d'action dans ce tome avec une équipe composée de membres aux aptitudes particulières pour combattre les monstres. La partie graphique est de qualité pour mettre en image ce récit fantastique. Les jeunes lecteurs pourront retrouver leur héros en version bande dessinée de leur livre ou découvrir cette série accrocheuse.
  4. Titre de l'album : L'agence Pendergast tome 1 : le prince des ténèbres Scenariste de l'album : Christophe Lambert & Florent Sacré Dessinateur de l'album : Javier Casado Coloriste : Hélia Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Des monstres menacent la ville ? Une solution : l'Agence Pendergast ! New York, 1893. Sean Donovan est un jeune voleur des rues, il connaît la ville par coeur. Sa vie bascule le jour où il est recruté par la mystérieuse Agence Pendergast. Situés au pied de la Statue de la Liberté, ses super-agents ont pour mission d'intercepter les créatures paranormales qui arrivent à New York dans le flots des migrants. Critique : Cette nouvelle série l'agence Pendergast est l’adaptation de bande dessinée des romans de Christophe Lambert et Florent Sacré. Ce premier tome reprend l’intrigue du premier album et pose les bases avec le recrutement d'un enfant des rues pour rejoindre l'équipe de l'agence Pendergast. Ces derniers gèrent l'immigration des personnes spéciales dont les vampires, loups-garous et tous les autres montres de ce genre. Le public visé est jeune donc la partie fantastique est acceptable sans le côté horrifique avec toujours beaucoup d’humour. Il y a beaucoup d'action dans ce tome avec une équipe composée de membres aux aptitudes particulières pour combattre les monstres. La partie graphique est de qualité pour mettre en image ce récit fantastique. Les jeunes lecteurs pourront retrouver leur héros en version bande dessinée de leur livre ou découvrir cette série accrocheuse. Autres infos : Editions : Auzou Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-agence-pendergast/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Issunboshi - Le petit Samouraï Scenariste de l'album : Ryan Lang Dessinateur de l'album : Ryan Lang Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Dans un Japon féodal où le mythe et le folklore sont réels, un démon décide de reforger une arme ancienne très puissante pour conquérir le monde. La légende dit que seul un véritable guerrier sans peur pourra l'arrêter. Au même moment, sur une autre île, naît Issunboshi, un jeune garçon d'à peine quelques centimètres de haut. Malgré sa petite taille, il suit l'entrainement pour devenir samouraï. Et si c'était sur ses petites épaules que reposait le sort du monde ? Issunboshi, par les choix qu'il va faire, nous rappelle qu'on ne nait pas héros, on trouve le courage d'en devenir un. Critique : Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/issunboshi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    Issunboshi - Le petit Samouraï

    Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi.
  7. Titre de l'album : Karolus Magnus - Tome 2 - La trahison de Brunehilde Scenariste de l'album : Jean-Claude Bartoll Dessinateur de l'album : Eon Coloriste : Simona Rossi & Eon Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nous retrouvons l'ancien otage Vascon, lutter contre son oncle Félon, meurtrier du Duc de Vasconie. Karolus Magnus, poursuit sa conquête des terres au-delà des Pyrénées mais la trahison du gouverneur de Saragosse va contrecarrer ses plans alors que Brunhilde et Marwan disparaissent dans cette cité fortifiée... Critique : Le second tome de Karolus Magnus ne parvient pas à répondre pour moi à cette question : pourquoi avoir choisi comme titre de cette série le personnage de Charlemagne alors qu'il est finalement un personnage assez secondaire de cette histoire. Karolus Magnus nous présente surtout l'histoire de la vengeance d'un prince déchu et des Vascons, peuple qui va entrainer entre autre la chute de Roland de Roncevaux (version française des faits). C'est plutôt une bonne idée tant cette période est peu représentée en bd, vite évacuée pendant nos cours d'histoire et assez brouillonne dans nos esprits. présenter en plus le point de vue d'un peuple "mineur" au regard de l'histoire à ce moment là est bien vu. On n'en garde que la chanson de Rolland et cela tombe bien puisqu'ici on va nous en présenter une autre version d'un autre point de vue. On retrouvera donc le dessin d'Eon avec grand plaisir puisque ce dernier nous rend des personnages et décors moyen âgeux plus qu'agréables et des scènes de batailles réussies. Le tout forme un ensemble qui s'il ne brille pas particulièrement par sa finesse, remplit son rôle à merveille et nous immerge dans ce monde là. Tant mieux. Je suis plus circonspect quand au choix narratifs de Jean-Claude Bartoll qui à mon sens dilue un peu trop son intrigue et ses personnages, un peu nombreux pour une série prévue en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karolus-magnus-l-empereur-des-barbares-tome-2-la-trahison-de-brunhilde/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Le second tome de Karolus Magnus ne parvient pas à répondre pour moi à cette question : pourquoi avoir choisi comme titre de cette série le personnage de Charlemagne alors qu'il est finalement un personnage assez secondaire de cette histoire. Karolus Magnus nous présente surtout l'histoire de la vengeance d'un prince déchu et des Vascons, peuple qui va entrainer entre autre la chute de Roland de Roncevaux (version française des faits). C'est plutôt une bonne idée tant cette période est peu représentée en bd, vite évacuée pendant nos cours d'histoire et assez brouillonne dans nos esprits. présenter en plus le point de vue d'un peuple "mineur" au regard de l'histoire à ce moment là est bien vu. On n'en garde que la chanson de Rolland et cela tombe bien puisqu'ici on va nous en présenter une autre version d'un autre point de vue. On retrouvera donc le dessin d'Eon avec grand plaisir puisque ce dernier nous rend des personnages et décors moyen âgeux plus qu'agréables et des scènes de batailles réussies. Le tout forme un ensemble qui s'il ne brille pas particulièrement par sa finesse, remplit son rôle à merveille et nous immerge dans ce monde là. Tant mieux. Je suis plus circonspect quand au choix narratifs de Jean-Claude Bartoll qui à mon sens dilue un peu trop son intrigue et ses personnages, un peu nombreux pour une série prévue en 3 tomes.
  9. The_PoP

    Latah

    Titre de l'album : Latah Scenariste de l'album : Thomas Legrain Dessinateur de l'album : Thomas Legrain Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Une légende raconte que quelque part au beau milieu de la jungle vietnamienne se trouve le territoire du Latah. Le récipiendaire des douleurs de son peuple. Et des douleurs, les Américains en ont infligé leur lot… Lorsque leurs membres commencent à tomber, une petite troupe de GI égarée comprend qu'elle vient d'entrer au purgatoire de cet enfer vert. Sur les terres du Latah, les victimes deviennent bourreaux, et vice-versa… Car le bouc émissaire finit toujours par ruer. Critique : La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/latah/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Latah

    La collection signé chez le Lombard est décidément une collection que nous apprécions beaucoup car elle est souvent synonyme de one-shot de qualité avec des auteurs remarquables. C'est à nouveau le cas avec ce Latah qui ne portera pas atteinte à l'estime que nous portons à cette collection. S'il n'atteint pas je trouve le niveau des meilleurs one-shot Signé, ce Latah nous présente assez finement l'enfer du vietnam, la partie fantastique ne venant que rehausser l'horreur globale ambiante. Le dessin de Thomas Legrain que l'on a découvert notamment sur Sisco se prête assez bien à cette ambiance martiale sérieuse. L'auteur gère ici scénario et dessin et les couleurs sont réalisées par Mikl pour un résultat particulièrement chouette pour restituer cette ambiance de jungle étouffante. Les personnages sont rapidement brossés mais crédibles et cohérents. Latah se dévore, et donne également un peu à penser et en ce sens c'est une réussite. La partie fantatsique est elle aussi bien gérée puisque vous ne refermerez pas ce tome avec une tonne de questions non résolues, et sa présence permet à l'histoire de prendre son ampleur, sans pour autant la dénaturer, évoquant parfois Apocalypse Now. Attention cependant la violence et le gore sont très présent dans cette bd, à ne pas mettre donc entre toutes les mains. Bravo.
  11. alx23

    BRZRKR tome 1

    Titre de l'album : BRZRKR tome 1 Scenariste de l'album : Matt Kindt & Keanu Reeves Dessinateur de l'album : Ron Garney Coloriste : Bill Crabtree Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : L'homme connu uniquement sous le nom de B est un guerrier immortel. Il est sujet à des accès d'ultraviolence... au détriment de sa raison. Après des siècles d'errance, B a accepté de travailler pour le gouvernement américain en prenant part à des missions trop dangereuses pour des mortels. En échange, B espère obtenir la vérité sur les origines de son existence... et surtout comment y mettre fin ! Critique : BRZRKR fait beaucoup de bruit dans le monde du comics avec l'acteur Keanu Reeves dans l'équipe artistique et à l'origine du projet ou du moins l'idée de l'histoire. Ce premier tome ne laissera pas indifférent les lecteurs avec une introduction portée sur l'action comme les films de Reeves en général, dans un style très violent. On suit donc un personnage mystérieux surnommé B, dans une mission périlleuse, armé juste de ses deux poings face à des soldats. Reeves collabore avec Matt Kindt pour apporter de la matière à l'intrigue. Cette série est prévue en trois tomes dont une version en noir et blanc du premier tome disponible en même temps en librairie. L'album se termine sur un chapitre director's cut avec les explications des deux scénaristes qui commentent toutes les planches du premier chapitre, ainsi que le titre énigmatique. La partie graphique est assurée par Ron Garney secondé par Rafael Grampa sur la conception des personnages de l'histoire. Le dessinateur propose des planches très dynamiques pour suivre l'action avec des scènes souvent sanglante où B démembre les adversaires à mains nus. On ressent une forte influence de Franck Miller dans le trait, d'ailleurs Reeves et Kindt y font allusion en fin d'album. BRZRKR tome 1 est un titre d'action efficace dans ce registre, attendons de lire la suite pour juger du potentiel, avec le prochain tome prévu pour octobre 2023. Après les films, le jeu vidéo, Keanu Reeves donne ses traits à un personnage de comics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brzrkr-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    BRZRKR tome 1

    BRZRKR fait beaucoup de bruit dans le monde du comics avec l'acteur Keanu Reeves dans l'équipe artistique et à l'origine du projet ou du moins l'idée de l'histoire. Ce premier tome ne laissera pas indifférent les lecteurs avec une introduction portée sur l'action comme les films de Reeves en général, dans un style très violent. On suit donc un personnage mystérieux surnommé B, dans une mission périlleuse, armé juste de ses deux poings face à des soldats. Reeves collabore avec Matt Kindt pour apporter de la matière à l'intrigue. Cette série est prévue en trois tomes dont une version en noir et blanc du premier tome disponible en même temps en librairie. L'album se termine sur un chapitre director's cut avec les explications des deux scénaristes qui commentent toutes les planches du premier chapitre, ainsi que le titre énigmatique. La partie graphique est assurée par Ron Garney secondé par Rafael Grampa sur la conception des personnages de l'histoire. Le dessinateur propose des planches très dynamiques pour suivre l'action avec des scènes souvent sanglante où B démembre les adversaires à mains nus. On ressent une forte influence de Franck Miller dans le trait, d'ailleurs Reeves et Kindt y font allusion en fin d'album. BRZRKR tome 1 est un titre d'action efficace dans ce registre, attendons de lire la suite pour juger du potentiel, avec le prochain tome prévu pour octobre 2023. Après les films, le jeu vidéo, Keanu Reeves donne ses traits à un personnage de comics.
  13. Titre de l'album : M.O.R.I.A.R.T.Y Tome 4 - Le voleur aux cent visages 2/2 Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Gess Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sherlock, Watson et Freud guettent le départ de la course en ballon autour du monde pour appréhender leur cible mais l'épreuve ne cesse d'être repoussée à cause d'intempéries. En attendant, le prodige de Baker Street se penche sur les disparitions de cargos en pleine mer. Les armateurs, victimes de ces larcins de grande envergure, parlent d'un unique rescapé qui ne cesse de déblatérer sur un Kraken... Critique : En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moriarty-tome-4-le-voleur-aux-cent-visages-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes.
  15. Titre de l'album : House of slaughter tome 1 Scenariste de l'album : James Tynion IV & Tate Brombal Dessinateur de l'album : Chris Shehan Coloriste : Miquel Muerto Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Avant de revêtir le masque noir, le mentor d'Erica Slaughter, Aaron Slaughter, a fait ses armes dans un ordre peu conventionnel. Fief de l'ordre des chasseurs, les enfants, destinés à devenir des guerriers, y sont confrontés à des menaces plurielles. Élève réservé, la trajectoire d'Aaron prend une tournure inattendue et inquiétante quand il s'éprend du jeune homme qui deviendra son rival. La chasse horrifique dans les forêts du Midwest se teinte alors d'un drame intime. Critique : Le quatrième tome de something is killing the children était centré sur la jeunesse du personnage d'Erica alors que House of slaughter se consacre à Aaron slaughter, la première recrue des membres des masques noir de la loge du massacre. James Tynion IV en profite pour nous révéler beaucoup d'informations sur le fonctionnement de la loge. On retrouve la même qualité d'écriture avec une histoire passionnante qui donne envie de poursuivre l'aventure, d'ailleurs un deuxième tome est déjà annoncé au dos du comics. Something is killing the children doit recevoir un bon accueil des lecteurs en France pour avoir droit à une version cartonnée et après au House of slaughter dans le même univers. Les dessins de Chris Shehan sont dans la même mouvance que ceux de Werther Dell'Edera, les couleurs sont toujours réalisées par Miquel Muerto, ce qui donne certainement cette harmonie entre les deux dessinateurs. Les auteurs prouvent avoir beaucoup d'idées intéressantes pour leur création et c'est avec plaisir que j'ai lu cet épisode. Les fans de something is killing the children peuvent se le procurer les yeux fermés, en plus le prix de lancement finira de convaincre les autres lecteurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/house-of-slaughter-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    House of slaughter tome 1

    Le quatrième tome de something is killing the children était centré sur la jeunesse du personnage d'Erica alors que House of slaughter se consacre à Aaron slaughter, la première recrue des membres des masques noir de la loge du massacre. James Tynion IV en profite pour nous révéler beaucoup d'informations sur le fonctionnement de la loge. On retrouve la même qualité d'écriture avec une histoire passionnante qui donne envie de poursuivre l'aventure, d'ailleurs un deuxième tome est déjà annoncé au dos du comics. Something is killing the children doit recevoir un bon accueil des lecteurs en France pour avoir droit à une version cartonnée et après au House of slaughter dans le même univers. Les dessins de Chris Shehan sont dans la même mouvance que ceux de Werther Dell'Edera, les couleurs sont toujours réalisées par Miquel Muerto, ce qui donne certainement cette harmonie entre les deux dessinateurs. Les auteurs prouvent avoir beaucoup d'idées intéressantes pour leur création et c'est avec plaisir que j'ai lu cet épisode. Les fans de something is killing the children peuvent se le procurer les yeux fermés, en plus le prix de lancement finira de convaincre les autres lecteurs.
  17. Titre de l'album : Capitaine Vaudou tome 2 - Le trésor de Christophe Colomb Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Darko Perovic Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sur l'île des fantômes, le Baron Mort Lente se livre à d'étranges expériences sur le frère de Cormac qu'il s'apprête à transformer en zombie. Il a compris l'importance du lien unissant le jeune rebelle irlandais à Erzuli, divinité de la beauté et de l'amour. Mort Lente part pour la Jamaïque afin d'y rencontrer les esclaves révoltés qui y ont créé une communauté au service des dieux du vaudou. Critique : Le premier tome de Capitaine Vaudou a reçu un très bon accueil lors de sa sortie et j'attendais cette suite pour reprendre cette aventure de pirate avec une partie fantastique très marquée. Ce titre est une adaptation du jeu de rôle par Jean-Pierre Pécau qui est aussi cocréateur du jeu. Comme on pouvait s'en attendre avec le tome précédent, le frère du héros sera le déclencheur pour poursuivre dans une histoire fantastique avec le vaudou. Les couvertures de Ugo Pinson mettent bien en avant cette série et donnent envie de découvrir cette série. La partie graphique de Darko Perovic est dans un style réaliste et très détaillé. Les couleurs de Nuria Sayago fonctionnent très bien avec des couleurs plus claires sur cette suite. Avec Capitaine Vaudou, les auteurs fusionnent une aventure de pirates en respectant les codes avec une histoire fantastique très poussée pour un résultat des plus convaincant. J'avais beaucoup apprécié le premier tome et cette suite confirme l'excellente qualité aussi bien de l'histoire que des dessins. Le prochain tome apportera la conclusion de l’histoire qui pourrait découler sur un autre cycle. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/capitaine-vaudou-tome-2-le-tresor-de-christophe-colomb?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Le premier tome de Capitaine Vaudou a reçu un très bon accueil lors de sa sortie et j'attendais cette suite pour reprendre cette aventure de pirate avec une partie fantastique très marquée. Ce titre est une adaptation du jeu de rôle par Jean-Pierre Pécau qui est aussi cocréateur du jeu. Comme on pouvait s'en attendre avec le tome précédent, le frère du héros sera le déclencheur pour poursuivre dans une histoire fantastique avec le vaudou. Les couvertures de Ugo Pinson mettent bien en avant cette série et donnent envie de découvrir cette série. La partie graphique de Darko Perovic est dans un style réaliste et très détaillé. Les couleurs de Nuria Sayago fonctionnent très bien avec des couleurs plus claires sur cette suite. Avec Capitaine Vaudou, les auteurs fusionnent une aventure de pirates en respectant les codes avec une histoire fantastique très poussée pour un résultat des plus convaincant. J'avais beaucoup apprécié le premier tome et cette suite confirme l'excellente qualité aussi bien de l'histoire que des dessins. Le prochain tome apportera la conclusion de l’histoire qui pourrait découler sur un autre cycle.
  19. alx23

    Salamandre

    I.N.J. Culbard est un auteur notamment connu pour ses adaptations de HP Lovecraft en comics, avec les montagnes hallucinées ou l'abîme du temps. Aujourd'hui, on peut découvrir l'auteur dans un autre registre que le fantastique horrifique avec ce titre plus tendre autour d'un drame. Culbard s'inspire de sa jeunesse pour inventer tout un univers dans un régime autoritaire où un enfant va passer quelques vacances suite au décès de son père. Son père est aussi au centre de l'histoire en le dessinant en héros avec son travail de plongeur dans les eaux profondes. Ce jeune ado va vivre le deuil de son père dans un pays très conditionné sur toutes les formes d'art, seul la peinture de l'empereur est autorisée dans les maisons. Les dessins de Culbard ont gagné en détails depuis les adaptations de Lovecraft avec des personnes aux visages plus expressifs. L’album se termine sur plusieurs pages de recherches graphiques et des recherches pour les couvertures des comics VO. D’ailleurs la couverture de Salamandre donne vraiment envie d’ouvrir cet album avec les couleurs vives des fleurs. Salamandre jongle entre le drame familial avec une touche de fantastique pour décrire l’acceptation de la mort pour les enfants mais aussi l’importance de l’art dans la vie de tous les jours.
  20. alx23

    Salamandre

    Titre de l'album : Salamandre Scenariste de l'album : I.N.J. Culbard Dessinateur de l'album : I.N.J. Culbard Coloriste : I.N.J. Culbard Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Kaspar Salamandre est un jeune artiste endeuillé qui est envoyé vivre chez son énigmatique grand-père dans un pays gouverné par un régime oppressif, où il ne peut y avoir qu’un être adulé : l'Empereur. Dans ce pays où les fleurs sont des objets de contrebande où la musique est illégale et dans lequel l'art se crée dans la clandestinité, Kaspar découvre un monde peuplé d’artistes révolutionnaires, d’espions et de membres de la police secrète. Kaspar Salamandre est un jeune artiste endeuillé qui est envoyé vivre chez son énigmatique grand-père dans un pays gouverné par un régime oppressif, où il ne peut y avoir qu’un être adulé : l'Empereur. Critique : I.N.J. Culbard est un auteur notamment connu pour ses adaptations de HP Lovecraft en comics, avec les montagnes hallucinées ou l'abîme du temps. Aujourd'hui, on peut découvrir l'auteur dans un autre registre que le fantastique horrifique avec ce titre plus tendre autour d'un drame. Culbard s'inspire de sa jeunesse pour inventer tout un univers dans un régime autoritaire où un enfant va passer quelques vacances suite au décès de son père. Son père est aussi au centre de l'histoire en le dessinant en héros avec son travail de plongeur dans les eaux profondes. Ce jeune ado va vivre le deuil de son père dans un pays très conditionné sur toutes les formes d'art, seul la peinture de l'empereur est autorisée dans les maisons. Les dessins de Culbard ont gagné en détails depuis les adaptations de Lovecraft avec des personnes aux visages plus expressifs. L’album se termine sur plusieurs pages de recherches graphiques et des recherches pour les couvertures des comics VO. D’ailleurs la couverture de Salamandre donne vraiment envie d’ouvrir cet album avec les couleurs vives des fleurs. Salamandre jongle entre le drame familial avec une touche de fantastique pour décrire l’acceptation de la mort pour les enfants mais aussi l’importance de l’art dans la vie de tous les jours. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/salamandre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. alx23

    L'or du temps tome 2

    On retrouve la suite des aventures de Théo dans une mauvaises posture suite aux événements du premier tome. Le scénariste Rodolphe nous réserve encore bien des surprises en nous emmenant dans Paris à l'époque de l'exposition universelle, à la recherche d'un sarcophage phénicien avec son mystère qu'il renferme. L'histoire se scinde en deux intrigues, dont Théo le héros prend part. En effet, il enquête sur le sarcophage avec l'aide d'Hugo et il accompagne le journaliste Claude en quête de sensation forte autour de l'occultisme pour écrire des articles très en vogue. On ne s'ennuie pas un seul moment dans ce diptyque entre révélations, enquête, ésotérisme et action. La partie graphique d'Oriol apporte la touche finale et donne un rendu visuel des plus réussi. L'auteur dessine à merveille Paris avec tous ses monuments importants dans l'intrigue. La mise en couleur est particulière mais convient très bien au genre mystérieux. D’ailleurs les visages des personnages sont souvent sans expressions ni aucun trait distinctif et pourtant l’ensemble fonctionne parfaitement. L'album se termine sur des recherches graphiques et des illustrations. Avec l'or du temps, les deux auteurs rendent hommages avec beaucoup de talents aux feuilletons de la littératures ou cinématographiques comme Belphégor. Je recommande ce diptyque en espérant que les auteurs poursuivent l'aventure.
  22. Titre de l'album : L'or du temps tome 2 Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Oriol Coloriste : Oriol Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : La suite et la fin du diptyque de Rodolphe et Oriol. Sous le trait impressionniste du dessinateur espagnol, Théo continue son enquête dans les bas-fonds de Paris, en forme d’hommage aux meilleurs feuilletons de la littérature et de la bande dessinée... à la recherche de l’«Or du temps». Critique : On retrouve la suite des aventures de Théo dans une mauvaises posture suite aux événements du premier tome. Le scénariste Rodolphe nous réserve encore bien des surprises en nous emmenant dans Paris à l'époque de l'exposition universelle, à la recherche d'un sarcophage phénicien avec son mystère qu'il renferme. L'histoire se scinde en deux intrigues, dont Théo le héros prend part. En effet, il enquête sur le sarcophage avec l'aide d'Hugo et il accompagne le journaliste Claude en quête de sensation forte autour de l'occultisme pour écrire des articles très en vogue. On ne s'ennuie pas un seul moment dans ce diptyque entre révélations, enquête, ésotérisme et action. La partie graphique d'Oriol apporte la touche finale et donne un rendu visuel des plus réussi. L'auteur dessine à merveille Paris avec tous ses monuments importants dans l'intrigue. La mise en couleur est particulière mais convient très bien au genre mystérieux. D’ailleurs les visages des personnages sont souvent sans expressions ni aucun trait distinctif et pourtant l’ensemble fonctionne parfaitement. L'album se termine sur des recherches graphiques et des illustrations. Avec l'or du temps, les deux auteurs rendent hommages avec beaucoup de talents aux feuilletons de la littératures ou cinématographiques comme Belphégor. Je recommande ce diptyque en espérant que les auteurs poursuivent l'aventure. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-or-du-temps-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Voici une nouvelle série, plutôt positionnée sur le secteur jeunesse/ados qui a vu paraitre pas mal de belles choses ces derniers temps. S'il est encore trop tôt après ce tome 1 pour dire si cette série prendra date sur ce public là, il faut reconnaitre qu'à première vue les ingrédients sont là pour un développement un peu ambitieux mais maitrisé de cet univers assez bien pensé. Les planches de Stefano Vergani sont réussies, mêlant les influences sans pour autant en oublier les détails et décors. Sur une série jeunesse c'est une bonne initiative je trouve, reste peut être à rendre plus lisibles certaines scènes d'actions, qui pour le moment ne sont pas encore super claires, la faute au côté fantastique avec lequel il faudra composer. Je vous encourage à découvrir ce premier tome, qui reste aussi une lecture divertissante pour les adultes. A voir si l'essai sera confirmé au second tome.
  24. Titre de l'album : Lost Shelter - Tome 1 - Résonance Scenariste de l'album : Mattia Umelesi Dessinateur de l'album : Stefano Vergani Coloriste : Stefano Vergani Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Sur une planète comparable à la Terre au climat glacial et rude, Namet, jeune aspirant marchand, découvre incidemment que le fragment d'étoile qui soutient sa ville, puissante source d'énergie, s'est craquelé et va exploser incessamment. Il décide alors de partir seul en quête d'un Chercheur qui pourrait l'aider à trouver une nouvelle source d'énergie pour sauver sa ville et ses habitants... Critique : Voici une nouvelle série, plutôt positionnée sur le secteur jeunesse/ados qui a vu paraitre pas mal de belles choses ces derniers temps. S'il est encore trop tôt après ce tome 1 pour dire si cette série prendra date sur ce public là, il faut reconnaitre qu'à première vue les ingrédients sont là pour un développement un peu ambitieux mais maitrisé de cet univers assez bien pensé. Les planches de Stefano Vergani sont réussies, mêlant les influences sans pour autant en oublier les détails et décors. Sur une série jeunesse c'est une bonne initiative je trouve, reste peut être à rendre plus lisibles certaines scènes d'actions, qui pour le moment ne sont pas encore super claires, la faute au côté fantastique avec lequel il faudra composer. Je vous encourage à découvrir ce premier tome, qui reste aussi une lecture divertissante pour les adultes. A voir si l'essai sera confirmé au second tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lost-shelter-tome-1-resonance?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. alx23

    Big under

    Big under est la deuxième créations des éditions 404 comics après le très remarqué Mundus et ses univers parallèles visités. Avec Big under, on plonge dans un récit fantastique se déroulant à Paris avec une bande de jeunes adolescentes à la recherche d'une amie absente lors de la rentrée scolaire. En parallèle, on suit un groupe de travailleurs descendants dans les sous-sols de la capitale pour comprendre les derniers éboulements ressentis dans certains quartiers qui touchent les fondations même de la ville. Comme on peut s'y attendre les deux récits vont se rejoindre à un moment donné. Le scénariste Virgil Iscan nous offre une histoire intéressante, comparable à la série Tv, Stranger things de par son genre et la bande de jeunes pour résoudre les problématiques fantastiques. On pourra cependant reprocher les dialogues des jeunes avec leurs expressions trop répétées comme "Frère" ou "boomers". Les dessins d’Alex Nieto sont de qualité avec un mélange d'influence de Bd européennes et de comics. Big under sera séduire avec cette histoire fantastique qui nous emmène dans les catacombes et les profondeurs de Paris. A noter aussi, qu'une fois de plus, la qualité de l'édition de l'album est irréprochable.
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