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  1. Titre de l'album : Entre nos mains tome 1 Scenariste de l'album : BATTAN Dessinateur de l'album : BATTAN Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Makimura n'a jamais pu oublier Midori, la fille qu'elle aimait au lycée. Aujourd'hui étudiante, sur le point de terminer ses études, elle reste prisonnière de cette relation du passé. Mais quand Midori surgit par hasard dans le cabinet d'ophtalmologie où elle travaille, la jeune femme veut croire à un coup du destin. Mais la vie prend parfois des détours compliqués, et devenue adulte, Midori est-elle prête à enfin s'engager ouvertement aux yeux de tous ? Critique : Makimura et Midori ont passé tout le lycée ensemble, les deux jeunes filles filaient le parfait amour et profitaient de chaque instant. Mais le jour du diplôme Midori s’en va, estimant que deux filles ensemble, cela ne peut pas durer éternellement. Des années plus tard, Makimura se lamente auprès d’une amie, ce n’est pas facile de trouver l’amour quand on aime les filles et encore moins facile quand on n’a jamais pu oublier son amour de jeunesse. C’est là qu’elle croise Midori, elle pense pouvoir se rapprocher et avoir une seconde chance mais apprend que cette dernière est sur le point de se marier. Dans ce manga, chaque personnage amène un sujet. Makimura permet de montrer toute la difficulté d’être lesbienne dans la société actuelle. Midori représente parfaitement le conflit qui peut exister entre faire ce dont on a envie et se conformer à ce que la majorité considère comme normal : se marier avec un homme, devenir une bonne mère, être responsable quand on est adulte… Et Tazune (le futur mari) incarne le mâle suprême d’une société patriarcale qui se sent supérieur aux femmes. Il a d’ailleurs un certain nombre de propos offusquants « les femmes […] elles sont faciles à manipuler ». Mais toute l’histoire tourne autour de Midori, c’est elle le chef d’orchestre sauf qu’elle ne sait pas encore quelle partition jouer, elle hésite et ne se rend pas encore compte des futures tornades qu’elle engendre. Un peu dérangée par le graphisme où il y a quelques problèmes de proportion, le manga a quand même capté mon attention. Entre les réflexions du futur mari et cette pauvre Midori qui ne sait plus où elle en est et qui essaye de se convaincre qu’elle pourra être heureuse de cette façon, l’autrice arrive à nous faire réagir et à nous donner l’envie de lire la suite. La série est terminée en 4 tomes. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-nos-mains-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Le rossignol rêve de printemps

    Shirakawa est en terminale, il a battu à la baston tous ceux qui sont venus lui chercher des noises, une sorte de tradition dans son établissement. Mais il s’ennuie, n’a plus envie de rien jusqu’au jour où Narumi, un nouveau professeur arrive qui est aussi une légende dans l’histoire des bagarreurs du lycée. Shirakawa lui demande alors de le combattre. A force de suivre son professeur partout, le lycéen va éprouver des sentiments, de son côté le professeur le trouve attachant mais pense d’abord à son devoir d’enseignant. L’histoire est assez classique, met en scène le voyou du lycée qui a un bon fond et qui va réussir par sa sincérité à faire fondre le cœur du professeur. Le dessin comme la narration sont bien faits et agréables, le personnage de Shirakawa amène toute la fraicheur à l’histoire. C’est sans surprise mais c’est un bon divertissement.
  3. Titre de l'album : Le rossignol rêve de printemps Scenariste de l'album : NAYUTA Nago Dessinateur de l'album : NAYUTA Nago Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : La tradition du lycée ? Vaincre les élèves de terminale à la baston. Parmi les élèves de première, les meilleurs dans cette catégorie s'y donnent à cœur joie. Ça tombe bien, Haruka Shirakawa aime se battre mais ne rencontre aucun adversaire à sa hauteur. L'ennui total... Arrivé en terminale, il rencontre LA légende vivante de son lycée : Kazuyuki Narumi. Employé comme professeur, il était lui-même élève ici et est connu pour être resté invaincu à son époque. Haruka a trouvé une nouvelle obsession : se battre contre son professeur, ce qui va amener à une certaine proximité... Critique : Shirakawa est en terminale, il a battu à la baston tous ceux qui sont venus lui chercher des noises, une sorte de tradition dans son établissement. Mais il s’ennuie, n’a plus envie de rien jusqu’au jour où Narumi, un nouveau professeur arrive qui est aussi une légende dans l’histoire des bagarreurs du lycée. Shirakawa lui demande alors de le combattre. A force de suivre son professeur partout, le lycéen va éprouver des sentiments, de son côté le professeur le trouve attachant mais pense d’abord à son devoir d’enseignant. L’histoire est assez classique, met en scène le voyou du lycée qui a un bon fond et qui va réussir par sa sincérité à faire fondre le cœur du professeur. Le dessin comme la narration sont bien faits et agréables, le personnage de Shirakawa amène toute la fraicheur à l’histoire. C’est sans surprise mais c’est un bon divertissement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-rossignol-reve-de-printemps?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Soloist in a cage tome 1

    La Cité-prison est une ville où tous les prisonniers sont enfermés, une ville isolée du reste par de grands murs infranchissables mais où la population carcérale a fini par se construire une vie avec ses propres règles, avec des familles qui se créent et qui procréent. Chloé est une enfant née dans cette ville impitoyable, elle vit seule avec son petit frère encore bébé. Ils ne sont jamais sortis de leurs appartements et leurs parents ont disparus. Alors quand leur voisin leur propose de s’échapper avec lui, Chloé finit par le suivre mais dans sa fuite, elle est séparée de son frère. Des années plus tard, elle reviendra pour le retrouver. Soloist in a cage est d’abord une claque visuelle, un dessin détaillé et fourni qui fait ressortir toutes les émotions de cet endroit. On y sent le froid de la neige, l’obscurité de la ville, la noirceur des habitants. Puis arrive le contraste avec la présence de ces deux enfants qui survivent, une vie malgré tout joyeuse avec des rires et des danses. Ensuite une Chloé partagée entre désespoir et espoir, avec une volonté capable de renverser des montagnes, des rencontres fortes, des personnages singuliers… Le livre nous entraine avec lui dès le début et ne nous lâche plus, tout est soigné, le graphisme comme le scénario. Je n’ai qu’une crainte que les 3 tomes de la série soient trop courts ! Un premier tome à lire et à savourer. Extrait Trailer
  5. Titre de l'album : Soloist in a cage tome 1 Scenariste de l'album : MORIYA Shiro Dessinateur de l'album : MORIYA Shiro Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : La Cité-prison est un immense ghetto où sont rassemblés des criminels de tous horizons. Une fois entré, aucun espoir d'en sortir... Chloé, sept ans, et son petit frère Locke, encore nourrisson, sont nés dans cette enceinte et n'ont jamais quitté leur chambre. Depuis la disparition de leurs parents, prendre soin de son cadet est devenu la raison de vivre de la fillette ; elle le dorlote, le rassure et danse pour garder une lueur d'espoir dans leur foyer. Les seules ressources à disposition viennent d'un voisin inconnu, qui dépose des provisions devant leur porte... Leur bienfaiteur n'est autre que Ross Sandberg, chef d'un groupe de mercenaires craint de tous. Quand Chloé découvre qu'il prépare une évasion, elle prend une décision folle : pour assurer l'avenir de son frère, elle suit l'homme et escalade les murs à sa suite, le bébé sur le dos ! Mais les robots de surveillance la repèrent vite... Locke tombe, et Chloé est rattrapée de justesse par Ross, qui parvient à l'emmener à l'extérieur. Il lui promet de la protéger et de lui transmettre son savoir, afin qu'un jour Chloé puisse revenir chercher son frère... Dans ce huis clos angoissant, la mort rôde à chaque coin de rue tandis que l'amour se cache dans des repères insoupçonnés. Critique : La Cité-prison est une ville où tous les prisonniers sont enfermés, une ville isolée du reste par de grands murs infranchissables mais où la population carcérale a fini par se construire une vie avec ses propres règles, avec des familles qui se créent et qui procréent. Chloé est une enfant née dans cette ville impitoyable, elle vit seule avec son petit frère encore bébé. Ils ne sont jamais sortis de leurs appartements et leurs parents ont disparus. Alors quand leur voisin leur propose de s’échapper avec lui, Chloé finit par le suivre mais dans sa fuite, elle est séparée de son frère. Des années plus tard, elle reviendra pour le retrouver. Soloist in a cage est d’abord une claque visuelle, un dessin détaillé et fourni qui fait ressortir toutes les émotions de cet endroit. On y sent le froid de la neige, l’obscurité de la ville, la noirceur des habitants. Puis arrive le contraste avec la présence de ces deux enfants qui survivent, une vie malgré tout joyeuse avec des rires et des danses. Ensuite une Chloé partagée entre désespoir et espoir, avec une volonté capable de renverser des montagnes, des rencontres fortes, des personnages singuliers… Le livre nous entraine avec lui dès le début et ne nous lâche plus, tout est soigné, le graphisme comme le scénario. Je n’ai qu’une crainte que les 3 tomes de la série soient trop courts ! Un premier tome à lire et à savourer. Extrait Trailer Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soloist-in-a-cage-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Mission Yozakura family t12

    En voilà une série qui suit pile-poil le planning. Apres un tome 11 de transition avec le passage de la licence par Taiyo, ce tome lance un nouvel arc avec l'apparition du père des Yozakura mais aussi l'évolution de Tayio avec le développement des milles fleurs. Avec l'arrivée du père arrive un nouvel ennemi qui ne semble pas venir tout seul et menace l'équilibre de la famille Yozakura. Une série qui continue bon train et nous livre des tomes de bonnes factures les uns après les autres. Une valeur sûre.
  7. Titre de l'album : Mission Yozakura family t12 Scenariste de l'album : Hitsuji Gondaira Dessinateur de l'album : Hitsuji Gondaira Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Taiyô a réussi le difficile examen des espions et obtenu sa licence de rang Silver. Le jeune homme se voit ainsi accorder l'entrevue tant attendue et transmet le message de Tsubomi à Kawashita. Mais un cruel destin attend encore ce dernier. De son côté, Momo, le père de la fratrie Yozakura, va de nouveau passer à l'action...!! Critique : En voilà une série qui suit pile-poil le planning. Apres un tome 11 de transition avec le passage de la licence par Taiyo, ce tome lance un nouvel arc avec l'apparition du père des Yozakura mais aussi l'évolution de Tayio avec le développement des milles fleurs. Avec l'arrivée du père arrive un nouvel ennemi qui ne semble pas venir tout seul et menace l'équilibre de la famille Yozakura. Une série qui continue bon train et nous livre des tomes de bonnes factures les uns après les autres. Une valeur sûre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mission-yozakura-family-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Clevatess tome 3

    Clenn se sépare d’Alicia et Luna pour aller affronter Dorel et surtout lui poser des questions concernant la disparition de bêtes démoniaques. De son côté Alicia, accompagnée à présent de Nellie arrivent au village de Shiron pour y séjourner un peu mais se retrouvent face à deux magiciens du royaume de Boelate bien décidés à mettre la main sur Luna, le prince de Hiden, le seul capable de faire fonctionner la forge royale. Ce qui est bien dans ce manga c’est qu’il y a vraiment deux niveaux de lecture tout aussi intéressants l’un que l’autre : il y a l’aventure dans le monde de fantasy avec des monstres et des méchants encore plus monstrueux que les démons mais il y a surtout de vraies réflexions sur différents sujets. Ce qui est mis en avant dans ce tome c’est le rapport aux traditions : faut-il suivre aveuglément les traditions ? « Est-ce qu’elle mérite tant de sacrifices ? Quels bénéfices est-ce qu’on en retire ? ». Dans Clevatess, il y a toujours des propos qui interpellent, une question à laquelle on n’avait pas pensé et qui nous poussent à réfléchir ? Un manga très bien fait à continuer.
  9. Nickad

    Clevatess tome 3

    Titre de l'album : Clevatess tome 3 Scenariste de l'album : IWAHARA Yuji Dessinateur de l'album : IWAHARA Yuji Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le puissant démon Clevatess est dérangé dans son antre par une troupe de héros venue l'éliminer. Voilà un millénaire qu'il n'avait pas fait face à des humains. Ceux-ci s'élancent vaillamment... et sont décimés ! Malgré tout, leurs épées, forgées dans un métal rare, ont égratigné ses cornes... La créature s'interroge. Comment ces insectes insignifiants ont-ils pu développer de telles armes ? Pourquoi veulent-ils sa mort ? Critique : Clenn se sépare d’Alicia et Luna pour aller affronter Dorel et surtout lui poser des questions concernant la disparition de bêtes démoniaques. De son côté Alicia, accompagnée à présent de Nellie arrivent au village de Shiron pour y séjourner un peu mais se retrouvent face à deux magiciens du royaume de Boelate bien décidés à mettre la main sur Luna, le prince de Hiden, le seul capable de faire fonctionner la forge royale. Ce qui est bien dans ce manga c’est qu’il y a vraiment deux niveaux de lecture tout aussi intéressants l’un que l’autre : il y a l’aventure dans le monde de fantasy avec des monstres et des méchants encore plus monstrueux que les démons mais il y a surtout de vraies réflexions sur différents sujets. Ce qui est mis en avant dans ce tome c’est le rapport aux traditions : faut-il suivre aveuglément les traditions ? « Est-ce qu’elle mérite tant de sacrifices ? Quels bénéfices est-ce qu’on en retire ? ». Dans Clevatess, il y a toujours des propos qui interpellent, une question à laquelle on n’avait pas pensé et qui nous poussent à réfléchir ? Un manga très bien fait à continuer. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clevatess-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Demon lord retry T3-4

    Deux épisodes très sympathiques à lire avec une normalisation de notre demon lord. Pour tout vous dire ces deux tomes ressemble à des épisodes de Chilling in another world (chez Meian aussi d'ailleurs). Notre héros hyper puissant fait tout pour améliorer la vie des gens, mais en les aidant à mieux vivre et non en combattant. Nos auteurs ajoutent un petit coté malin avec les intensions que les gens prêtes secrètement aux seigneurs des demon alors même que lui est globalement transparent dans sa façon d'être. Deux tomes qui manquent juste un peu de la présence du pendant "héroïque" du seigneur des démons alors même que les premiers tomes nous prédisait une part importance de ce personnage. Si ces tomes furent très sympathiques à lire, il serait plus qu'intéressant que le héros prenne une place plus importante, ne serait ce que pour gêner un peu notre seigneur des démons trop puissant
  11. Titre de l'album : Demon lord retry T3-4 Scenariste de l'album : Kurone Kanzaki Dessinateur de l'album : Amaru Minotake Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Akira Ôno est coincé dans un monde alternatif sous les traits du personnage de jeu vidéo Seigneur démon.En attendant de trouver le moyen de rentrer chez lui, il décide de s'établir un siège dans ce nouveau monde et jette son dévolu sur une bourgade de campagne. Il invoque donc un nouvel associé et, avec l'aide des jolies habitantes, crée une station thermale et un hôpital afin de développer le village. Critique : Deux épisodes très sympathiques à lire avec une normalisation de notre demon lord. Pour tout vous dire ces deux tomes ressemble à des épisodes de Chilling in another world (chez Meian aussi d'ailleurs). Notre héros hyper puissant fait tout pour améliorer la vie des gens, mais en les aidant à mieux vivre et non en combattant. Nos auteurs ajoutent un petit coté malin avec les intensions que les gens prêtes secrètement aux seigneurs des demon alors même que lui est globalement transparent dans sa façon d'être. Deux tomes qui manquent juste un peu de la présence du pendant "héroïque" du seigneur des démons alors même que les premiers tomes nous prédisait une part importance de ce personnage. Si ces tomes furent très sympathiques à lire, il serait plus qu'intéressant que le héros prenne une place plus importante, ne serait ce que pour gêner un peu notre seigneur des démons trop puissant Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/demon-lord-retry-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Amour Placebo tome 1

    Voici le nouveau manga d’Akane TORIKAI, encore une fois, elle nous emmène sur des thèmes peu fréquents avec sa façon très particulière de mettre les femmes à l’honneur. Et le thème n’est pas facile car il parle de prostitution, pas de façon générale mais d’un jeune trentenaire Tamio Satô qui décide d’aller pour la première fois en maison close et de la jeune femme qu’il va rencontrer : Serika. Satô est un jeune homme écorché, qui a eu une adolescence difficile, il est professeur d’arts dans un lycée, il n’a pas de contrat à long terme, il n’a personne dans sa vie et il se sent surtout rejeté par la société. Il peut néanmoins se confier à une amie, ancienne copine de fac, qui va incarner le sens moral « commun » face à la situation. Serika est une jeune femme pleine de vie qui semble être sincère avec ses clients, qui ne juge pas, qui est compréhensive. Et tous deux vont peu à peu dépasser les limites de la relation professionnelle comme s’ils avaient trouvé leur âme sœur. L’histoire est là, l’histoire de leur relation compliquée, difficilement avouable et encore moins acceptable. Car on s’interroge, est-ce que cet amour est vrai ? N’est-ce pas un peu trop facile ? C’est encore une fois une thématique difficile qu’Akane Torikai nous propose, elle nous met face à des situations sur lesquelles nous n’aurions peut-être pas réfléchies, elle met en scène des personnages complexes, difficiles à cerner, des existences sur le fil du rasoir. Série finie en 2 tomes.
  13. Titre de l'album : Amour Placebo tome 1 Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Tamio Satô est un professeur d'art qui peine à trouver un emploi stable. Célibataire et malheureux en amour, il ne correspond pas au modèle de réussite véhiculé par la société. Un soir, réalisant à quel point la solitude commence à lui peser, il décide de s'offrir le service de prostituées pour combler le vide en lui, sans grand succès. Cependant, tout change lorsqu'il rencontre Serika, une jeune femme de la maison close. Au fil des jours, alors qu'une véritable intimité se développe entre eux, Tamio Satô ne risque-t-il pas de se brûler les ailes ? Critique : Voici le nouveau manga d’Akane TORIKAI, encore une fois, elle nous emmène sur des thèmes peu fréquents avec sa façon très particulière de mettre les femmes à l’honneur. Et le thème n’est pas facile car il parle de prostitution, pas de façon générale mais d’un jeune trentenaire Tamio Satô qui décide d’aller pour la première fois en maison close et de la jeune femme qu’il va rencontrer : Serika. Satô est un jeune homme écorché, qui a eu une adolescence difficile, il est professeur d’arts dans un lycée, il n’a pas de contrat à long terme, il n’a personne dans sa vie et il se sent surtout rejeté par la société. Il peut néanmoins se confier à une amie, ancienne copine de fac, qui va incarner le sens moral « commun » face à la situation. Serika est une jeune femme pleine de vie qui semble être sincère avec ses clients, qui ne juge pas, qui est compréhensive. Et tous deux vont peu à peu dépasser les limites de la relation professionnelle comme s’ils avaient trouvé leur âme sœur. L’histoire est là, l’histoire de leur relation compliquée, difficilement avouable et encore moins acceptable. Car on s’interroge, est-ce que cet amour est vrai ? N’est-ce pas un peu trop facile ? C’est encore une fois une thématique difficile qu’Akane Torikai nous propose, elle nous met face à des situations sur lesquelles nous n’aurions peut-être pas réfléchies, elle met en scène des personnages complexes, difficiles à cerner, des existences sur le fil du rasoir. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/amour-placebo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Mighty mothers tome 1

    Akane est une mère célibataire, elle courre entre son petit boulot où elle n’excelle pas vraiment et le jardin d’enfant. Ce dernier accueille surtout les enfants de mères seules en difficulté, mais cache en réalité une organisation prête à défendre les opprimés. Ces mamans agissent dans l’ombre contre la mafia locale qui fait du trafic d’humains, de jeunes femmes notamment destinées à la prostitution ou la revente d’organes… Mais une riposte se prépare et un affrontement violent est inévitable… Mighty mothers est un manga d’action avec une organisation secrète qui agit contre les « méchants », c’est un graphisme dynamique avec des personnages principaux féminins forts, c’est des scènes de combats efficaces dans un contexte assez sombre. Car si on y regarde de plus près, le manga pointe du doigt les agissements de l’ombre, dénonce l’impuissance de la loi et de la justice… Il y a aussi le témoignage sur la vie des mères célibataires qui font de leur mieux avec ce qu’elles ont, partagées entre les difficultés de leurs situations et leur amour maternel. Cependant, Mighty Mothers reste avant tout de l’action efficace qui va à 100 à l’heure ! Des super mamans à la James Bond qui vont aller remettre de l’ordre dans les malversations de notre société !
  15. Titre de l'album : Mighty mothers tome 1 Scenariste de l'album : KARASUYAMA Eiji Dessinateur de l'album : KARASUYAMA Eiji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Dans une société gangrenée par la pauvreté et les inégalités, les drames humains se multiplient à l'insu de tous. C'est là qu'intervient Akane Honjô, qui, sous couvert de prendre son « service » au jardin d'enfants de son fils, défend les faibles et les opprimés lors de périlleuses missions !Un manga d'action survolté, où les femmes n'hésitent pas à se salir les mains et à prendre les armes pour protéger celles qui doivent l'être !Mighty Mothers est une série spectaculaire sublimée par le trait dynamique d'Eiji Karasuyama ! Terminé en trois volumes, il s'agit d'un manga publié au Japon en 2021 par Nihon Bungeisha, une maison d'édition réputée pour ses titres d'action captivants. Critique : Akane est une mère célibataire, elle courre entre son petit boulot où elle n’excelle pas vraiment et le jardin d’enfant. Ce dernier accueille surtout les enfants de mères seules en difficulté, mais cache en réalité une organisation prête à défendre les opprimés. Ces mamans agissent dans l’ombre contre la mafia locale qui fait du trafic d’humains, de jeunes femmes notamment destinées à la prostitution ou la revente d’organes… Mais une riposte se prépare et un affrontement violent est inévitable… Mighty mothers est un manga d’action avec une organisation secrète qui agit contre les « méchants », c’est un graphisme dynamique avec des personnages principaux féminins forts, c’est des scènes de combats efficaces dans un contexte assez sombre. Car si on y regarde de plus près, le manga pointe du doigt les agissements de l’ombre, dénonce l’impuissance de la loi et de la justice… Il y a aussi le témoignage sur la vie des mères célibataires qui font de leur mieux avec ce qu’elles ont, partagées entre les difficultés de leurs situations et leur amour maternel. Cependant, Mighty Mothers reste avant tout de l’action efficace qui va à 100 à l’heure ! Des super mamans à la James Bond qui vont aller remettre de l’ordre dans les malversations de notre société ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mighty-mothers-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Imaginary tome 1

    L’histoire semble être assez quelconque à première vue, Maika et Tasuku, des amis d’enfance se revoient après quelques années, ils éprouvent des sentiments l’un pour l’autre mais ne savent pas comment passer à l’étape suivante. Ils ont des amis qui les conseillent mais n’arrivent pas forcément à agir comme il le faut car la gêne, la timidité ou peut-être les regrets s’immiscent dans leur relation. Sous ses allures de tranches de vie, c’est la narration qui fait toute la différence et le charme de cette lecture. Car l’auteur ne se contente pas du présent et de la réalité, il met en image toutes les réflexions et pensées que les personnages peuvent avoir. Ce qui nous vient à l’esprit quand on réfléchit, ce que l’on se dit quand on revient sur le passé en se disant que l’on aurait dû faire ça ou encore les mondes que l’on invente quand on est enfant. Bien qu’étant à présent étudiante, Maika pousse son ami à reprendre son âme d’enfant, à continuer à rêver… Il n’y a donc aucun événement important dans cette histoire mais la lecture est étrangement agréable, elle nous pousse à nous rappeler ce que nous vivions quand on était enfant, elle nous pousse à apprécier les petites choses du quotidien et à continuer à s’amuser du moindre instant. Il y a un peu de nostalgie, de mélancolie mais aussi une bouffée d’oxygène qui nous dit d’oser vivre notre vie.
  17. Nickad

    Imaginary tome 1

    Titre de l'album : Imaginary tome 1 Scenariste de l'album : IKUHANA Niiro Dessinateur de l'album : IKUHANA Niiro Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Lorsqu'il était enfant, Tasuku était secrètement amoureux de son amie Maika. Mais cette dernière ayant déménagé, il n'a jamais trouvé le courage de lui avouer ses sentiments. Adultes, Tasuku et Maika se sont retrouvés, sont amis et apprécient de se remémorer leur passé commun. Que sont devenus leurs rêves et leurs jeux ? Que reste-t-il de leur imaginaire ? Critique : L’histoire semble être assez quelconque à première vue, Maika et Tasuku, des amis d’enfance se revoient après quelques années, ils éprouvent des sentiments l’un pour l’autre mais ne savent pas comment passer à l’étape suivante. Ils ont des amis qui les conseillent mais n’arrivent pas forcément à agir comme il le faut car la gêne, la timidité ou peut-être les regrets s’immiscent dans leur relation. Sous ses allures de tranches de vie, c’est la narration qui fait toute la différence et le charme de cette lecture. Car l’auteur ne se contente pas du présent et de la réalité, il met en image toutes les réflexions et pensées que les personnages peuvent avoir. Ce qui nous vient à l’esprit quand on réfléchit, ce que l’on se dit quand on revient sur le passé en se disant que l’on aurait dû faire ça ou encore les mondes que l’on invente quand on est enfant. Bien qu’étant à présent étudiante, Maika pousse son ami à reprendre son âme d’enfant, à continuer à rêver… Il n’y a donc aucun événement important dans cette histoire mais la lecture est étrangement agréable, elle nous pousse à nous rappeler ce que nous vivions quand on était enfant, elle nous pousse à apprécier les petites choses du quotidien et à continuer à s’amuser du moindre instant. Il y a un peu de nostalgie, de mélancolie mais aussi une bouffée d’oxygène qui nous dit d’oser vivre notre vie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/imaginary?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Je suis un assassin t4

    Hé ben ca faisait un moment qu'on l'attendait celui-là. 2 ans non ? Pour un manga, c'est super long et souvent synonyme d'arrêt de série… C'est aussi, pour le lecteur, dur de se replonger dans notre aventure après une si longue pause. Il aurait peut-être fallu que je relise tour pour être un peu moins perdu. Car ce tome 4 repart pieds au planché pile-poil ou le 3 s'est arrêté. Il marque la fin de la partie d'histoire sur les Elfes et le début d'une nouvelle aventure. Nouvelle aventure aussi pour les membres de sa classe n'ayant pas succombé au charme du début, ceci n'ayant plus le temps d'attendre notre assassin. Un bon tome 4, mais qui nécessite de se remettre dans la série pour être apprécié. En espérant que le 5 arrive plus rapidement.
  19. Titre de l'album : Je suis un assassin t4 Scenariste de l'album : Hiroyuki Aigamo Dessinateur de l'album : Hiroyuki Aigamo Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Victimes d'un complot, et si leur seul espoir était entre les mains d'un assassin ? Au pays des elfes, la patrie d'Amelia, Akira a affronté et vaincu Kirika.Alors que Kirika voue une haine farouche envers sa soeur Amelia à laquelle elle est toujours comparée, son père, le roi des elfes, brise le sortilège qu'il lui a lancé jadis afin de sceller ses souvenirs, lui révélant ainsi une grande vérité : c'est en réalité une erreur qu'elle a elle-même commise autrefois qui a failli entraîner la chute du peuple des elfes et c'est Amelia qui les a sauvés.Kirika s'excuse alors pour son ignorance, Amelia lui pardonne et les deux soeurs se réconcilient.Après cet épisode émouvant, Amelia fait part de son désir de poursuivre son voyage avec Akira et ils se mettent tous les eux en route pour Bruta, le continent des hommes-bêtes.Dans ce 4e volume, notre assassin arrive sur un nouveau continent. Critique : Hé ben ca faisait un moment qu'on l'attendait celui-là. 2 ans non ? Pour un manga, c'est super long et souvent synonyme d'arrêt de série… C'est aussi, pour le lecteur, dur de se replonger dans notre aventure après une si longue pause. Il aurait peut-être fallu que je relise tour pour être un peu moins perdu. Car ce tome 4 repart pieds au planché pile-poil ou le 3 s'est arrêté. Il marque la fin de la partie d'histoire sur les Elfes et le début d'une nouvelle aventure. Nouvelle aventure aussi pour les membres de sa classe n'ayant pas succombé au charme du début, ceci n'ayant plus le temps d'attendre notre assassin. Un bon tome 4, mais qui nécessite de se remettre dans la série pour être apprécié. En espérant que le 5 arrive plus rapidement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-suis-un-assassin-et-je-surpasse-le-heros-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Blue box tome 1

    Taiki est en première année de lycée, il pratique le badminton. Depuis plus d’un an, il est amoureux de Chinatsu, la star de basket du lycée. Tous les entrainements ont lieu dans le même gymnase alors il est aux anges quand il peut la croiser un peu, ce qui arrive presque tous les matins. Pour pouvoir être à la hauteur de sa belle, il décide de faire tout son possible pour se qualifier pour le tournoi inter-lycée. Blue box c’est à la fois un manga sur le sport et une romance. Côté sport, on est gâté puisque l’on va suivre l’évolution des différents personnages, on aura le droit au basket, au badminton et même à la gymnastique rythmique. Même si dans ce 1er tome, le sport n’est pas l’aspect le plus détaillé, on sait qu’il va y avoir des qualifications et des tournois et pour l’occasion, de beaux discours sur la motivation des sportifs et leurs ambitions. Et puis il y a la romance et comme c’est assez rare, il faut souligner que c’est le garçon qui est amoureux de la fille, qui est plus âgée et qui va tout faire pour être digne d’elle afin d’attirer son attention. C’est une romance pleine de fraicheur, des jeunes sportifs prêts à aller au bout de leurs rêves ou qui au moins s’en donnent les moyens. Un manga qui plaira autant aux filles qu’aux garçons ! Découvrez l'extrait
  21. Nickad

    Blue box tome 1

    Titre de l'album : Blue box tome 1 Scenariste de l'album : MIURA Kouji Dessinateur de l'album : MIURA Kouji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Taiki Inomata, membre du club de badminton, a eu le coup de foudre pour Chinatsu Kano, la star du club de basket de son établissement. Il s'entraîne à ses côtés tous les matin. Sa relation avec Chinatsu va prendre un tournant totalement inédit lorsqu'un jour de printemps, une nouvelle des plus déconcertantes va lui offrir une opportunité inespérée de conquérir sa belle Critique : Taiki est en première année de lycée, il pratique le badminton. Depuis plus d’un an, il est amoureux de Chinatsu, la star de basket du lycée. Tous les entrainements ont lieu dans le même gymnase alors il est aux anges quand il peut la croiser un peu, ce qui arrive presque tous les matins. Pour pouvoir être à la hauteur de sa belle, il décide de faire tout son possible pour se qualifier pour le tournoi inter-lycée. Blue box c’est à la fois un manga sur le sport et une romance. Côté sport, on est gâté puisque l’on va suivre l’évolution des différents personnages, on aura le droit au basket, au badminton et même à la gymnastique rythmique. Même si dans ce 1er tome, le sport n’est pas l’aspect le plus détaillé, on sait qu’il va y avoir des qualifications et des tournois et pour l’occasion, de beaux discours sur la motivation des sportifs et leurs ambitions. Et puis il y a la romance et comme c’est assez rare, il faut souligner que c’est le garçon qui est amoureux de la fille, qui est plus âgée et qui va tout faire pour être digne d’elle afin d’attirer son attention. C’est une romance pleine de fraicheur, des jeunes sportifs prêts à aller au bout de leurs rêves ou qui au moins s’en donnent les moyens. Un manga qui plaira autant aux filles qu’aux garçons ! Découvrez l'extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-box-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Sous le linceul de la mariée

    Sous le linceul de la mariée parle d’un sujet délicat, tabou même : un amour entre deux demi-frères, un amour tellement fort qu’il va réussir à transcender les lois de la nature. Le gros problème de ce manga c’est le scénario, non pas qu’il soit inintéressant mais c’est qu’il est trop dense. Impossible de trop en dire sans spoiler mais il y a beaucoup trop d’éléments pour un one shot, du coup, c’est parfois confus et cela manque de développement. L’autre point négatif, ce sont les personnages, peut-être parce que l’auteur n’avait pas assez de place pour développer leur personnalité, peut-être parce que le dessin ne retranscrit pas leurs sentiments. Le graphisme a un côté très esthétique, des visages longilignes, androgynes mais presque toujours impassibles. On sait que les personnages sont attachés l’un à l’autre parce que c’est écrit, cette amour incroyablement fort que l’on nous présente, on ne le ressent quasiment pas. Pourtant il y a une certaine élégance, une couverture envoutante, des idées originales, une histoire qui aurait mérité au moins 2 tomes.
  23. Titre de l'album : Sous le linceul de la mariée Scenariste de l'album : AKAGAWA Sagan Dessinateur de l'album : AKAGAWA Sagan Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après un épouvantable conflit autour de la succession familiale, la cérémonie de mariage du plus jeune frère, devenu chef de famille, eut lieu dans une ambiance austère. Le visage de la mariée, caché de tous sous un voile épais, lui valut le surnom d’« épouse sans visage ». Mais celle qu’il étreignit lors de leur nuit de noces avait tout de son demi-frère plus âgé, présumé mort… Critique : Sous le linceul de la mariée parle d’un sujet délicat, tabou même : un amour entre deux demi-frères, un amour tellement fort qu’il va réussir à transcender les lois de la nature. Le gros problème de ce manga c’est le scénario, non pas qu’il soit inintéressant mais c’est qu’il est trop dense. Impossible de trop en dire sans spoiler mais il y a beaucoup trop d’éléments pour un one shot, du coup, c’est parfois confus et cela manque de développement. L’autre point négatif, ce sont les personnages, peut-être parce que l’auteur n’avait pas assez de place pour développer leur personnalité, peut-être parce que le dessin ne retranscrit pas leurs sentiments. Le graphisme a un côté très esthétique, des visages longilignes, androgynes mais presque toujours impassibles. On sait que les personnages sont attachés l’un à l’autre parce que c’est écrit, cette amour incroyablement fort que l’on nous présente, on ne le ressent quasiment pas. Pourtant il y a une certaine élégance, une couverture envoutante, des idées originales, une histoire qui aurait mérité au moins 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sous-le-linceul-de-la-mariee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Mon petit ami genderless tome 1

    Pour être honnête si ce manga n’avait pas porté ce titre j’aurais mis 4. Oui car forcément le mot « genderless » sans genre en français fait référence aux personnes non binaires qui ne se retrouvent ni dans le genre féminin ni dans le masculin. Aujourd’hui, c’est un sujet ouvert, la société a commencé à les prendre en compte comme un « genre » à part entière, certains pays ont déjà établi une identification « sans genre » sur les papiers d’identité et en France on utilise même le pronom « iel ». Alors le titre portait une promesse, j’espérais une immersion dans le sujet, découvrir la vie au quotidien, les difficultés à s’assumer, à s’intégrer dans une société encore très vieux-jeu. J’espérais aussi que le sujet ressorte dans cette histoire d’amour. Hélas, la promesse n’est pas tenue, Meguru, le petit ami, est mannequin, personne ne trouve étrange la façon dont il s’habille, ni le fait qu’il se maquille ou se fasse les ongles, tout se passe facilement (et tant mieux pour lui !), même son couple et sans surprise : il est avec une fille fan de tout ce qui est beau et mignon. Je ne dis pas que le manga n’est pas bien car l’histoire est toute mignonne et pleine de bon sentiment et en plus le graphisme est agréable. C’est un bon shojo mais cela reste une déception par rapport à un sujet annoncé qui au final n’est pas exploité. Nota : si vous voulez des mangas sur le non-genre allez lire le secret de Madoka ou Love me for who I am.
  25. Titre de l'album : Mon petit ami genderless tome 1 Scenariste de l'album : TAMEKOU Dessinateur de l'album : TAMEKOU Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Dans Mon petit ami genderless, suivez le quotidien lumineux d'un couple particulièrement moderne. Sous le trait de Tamekou, laissez-vous attendrir par ce nouveau manga bourré d'énergie positive. Wako travaille au sein d'une maison d'édition. Meguru est un homme genderless, star des réseaux sociaux. Tous les deux sont amoureux, mais leur quotidien ne ressemble pas à celui d'un couple conventionnel : entre elle qui enchaîne les heures supplémentaires au travail et lui, dont le principal intérêt est de se rendre mignon pour la femme qu'il aime, ils déstabilisent souvent leur entourage... Mais ensemble, ils sont heureux, et c'est bien ça l'essentiel. Critique : Pour être honnête si ce manga n’avait pas porté ce titre j’aurais mis 4. Oui car forcément le mot « genderless » sans genre en français fait référence aux personnes non binaires qui ne se retrouvent ni dans le genre féminin ni dans le masculin. Aujourd’hui, c’est un sujet ouvert, la société a commencé à les prendre en compte comme un « genre » à part entière, certains pays ont déjà établi une identification « sans genre » sur les papiers d’identité et en France on utilise même le pronom « iel ». Alors le titre portait une promesse, j’espérais une immersion dans le sujet, découvrir la vie au quotidien, les difficultés à s’assumer, à s’intégrer dans une société encore très vieux-jeu. J’espérais aussi que le sujet ressorte dans cette histoire d’amour. Hélas, la promesse n’est pas tenue, Meguru, le petit ami, est mannequin, personne ne trouve étrange la façon dont il s’habille, ni le fait qu’il se maquille ou se fasse les ongles, tout se passe facilement (et tant mieux pour lui !), même son couple et sans surprise : il est avec une fille fan de tout ce qui est beau et mignon. Je ne dis pas que le manga n’est pas bien car l’histoire est toute mignonne et pleine de bon sentiment et en plus le graphisme est agréable. C’est un bon shojo mais cela reste une déception par rapport à un sujet annoncé qui au final n’est pas exploité. Nota : si vous voulez des mangas sur le non-genre allez lire le secret de Madoka ou Love me for who I am. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-petit-ami-genderless-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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