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  1. Titre de l'album : Vatican, carnet de voyage tome 1 Scenariste de l'album : ASUKA Ikuni Dessinateur de l'album : ASUKA Ikuni Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Un voyage au cœur de l'Italie et du Vatican ! Voici que commence le voyage d'un jeune homme qui cherche à trouver sa place dans le monde. En 1921, en l'an 10 de l'ère Taishô, durant la fragile période de paix entre les deux guerres mondiales, Nanase, un jeune garçon du quartier de Senba à Osaka, a beaucoup de mal à exprimer ses sentiments depuis la mort de ses parents. Mais un jour, il reçoit une lettre venant d'Italie qui s'apprête à changer sa vie du tout au tout. Critique : On sait que l’implantation du christianisme au Japon ne s’est pas faite en douceur et qu’il y a eu de nombreux martyrs. Malgré tout, la religion est bien présente et il y a de nombreux croyants (Je dis ça pour ceux qui trouveraient le sujet un peu étrange). Nanase Tôjô est un adolescent qui a perdu ses parents et qui vit avec la famille de sa tante. C’est un garçon gentil, résolument positif et qui réagit toujours avec un sourire. Il apprend l’italien auprès du prêtre de sa ville mais en dehors de ça, il n’a pas d’ami et son cousin ne cesse de le rejeter. C’est pourquoi quand X, le premier aviateur à avoir relié l’Europe et l’Asie arrive et lui conseille d’aller découvrir le monde, Nanase accepte la proposition du Vatican de rejoindre l’université pontificale grégorienne à Rome. Le voilà parti pour un long voyage plein de découvertes et de rencontres. Ce manga est une agréable découverte, d’abord parce que l’histoire prend place en grande partie au Vatican avec un aspect tranche de vie (on avait déjà eu des évocations du Vatican avec des histoires mystiques et des exorcistes). Ensuite parce que Nanase et les deux autres élèves qu’il va rencontrer sont pétillants et pleins de bonne intentions, on sent qu’ensembles, ils arriveront à changer les mentalités ! Le graphisme n’est pas trop chargé, va à l’essentiel ; il met en valeur les expressions des personnages et réserve par moment, de beaux paysages. En résumé, c’est un bon 1er tome avec un scénario original inscrit dans l’Histoire, une lecture sympathique que l’on continuera à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vatican-carnet-de-voyage-t01?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Rhhhhaa décidément cette série est excellente ! Excellente parce qu'elle est orientée vers un public averti et ne nous propose donc pas un manga d'aventure gentillet comme souvent. Mais il garde quand même les codes du manga d'aventure avec les montées en compétence, la formation d'une équipe étc.... Et ce tome 5 continue dans la foulée du précédent avec la fin de partie entre le groupe de Noel et le clan de Gambino. Une fin haute en couleur qui réussit à passer l'aspect courut d'avance du combat (car oui Noel ne va pas mourir) en nous livrant, encore une fois, une réflexion impressionnante de maturité et de fourberie de la part de Noel. Intelligemment, la renommée du petit groupe commence à se répandre et on voit arriver, au fur et à mesure, des gros poissons intrigué par le groupe... que ce soit en tant que futur concurrent ou futur alliés. La montée en puissance continue et notre intérêt pour cette série finalement hors norme s'en trouve renforcé.
  3. Titre de l'album : The most notorious talker tome 5 Scenariste de l'album : Jaki Dessinateur de l'album : Yamorichan Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le duel entre Noel et les Gambino, arbitré par Finocchio, commence enfin ! N'étant doté d'aucune compétence martiale, Albert envoie Kôga se battre à sa place... Leur combat à mort reprend enfin. Après trois affrontements, chacun connaît la valeur de l'autre... Et Kôga a eu tout le loisir d'observer Noel qui vise la suprématie malgré son job ! Quel chemin choisira notre fine-lame ? Noel commence les démarches pour fonder son propre clan tout en reprenant son activité de Seeker. Son ascension semble s'accélérer, mais les choses se passeront-elles vraiment aussi simplement ? L'aventure continue pour notre jeune Talker qui manipule sans scrupules les aventuriers les plus forts, dans un cinquième tome décisif ! Critique : Rhhhhaa décidément cette série est excellente ! Excellente parce qu'elle est orientée vers un public averti et ne nous propose donc pas un manga d'aventure gentillet comme souvent. Mais il garde quand même les codes du manga d'aventure avec les montées en compétence, la formation d'une équipe étc.... Et ce tome 5 continue dans la foulée du précédent avec la fin de partie entre le groupe de Noel et le clan de Gambino. Une fin haute en couleur qui réussit à passer l'aspect courut d'avance du combat (car oui Noel ne va pas mourir) en nous livrant, encore une fois, une réflexion impressionnante de maturité et de fourberie de la part de Noel. Intelligemment, la renommée du petit groupe commence à se répandre et on voit arriver, au fur et à mesure, des gros poissons intrigué par le groupe... que ce soit en tant que futur concurrent ou futur alliés. La montée en puissance continue et notre intérêt pour cette série finalement hors norme s'en trouve renforcé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-most-notorious-talker-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    L'école décomposée

    Bien que Junji ITO ait une volonté de faire des histoires libres de tout engagement politique, il met parfois le doigt sur certains travers de la société et les pousse à l’extrême. L’histoire de l’école décomposée repose donc sur un constat actuel : l’utilisation des excuses publiques par les japonais, une pratique allant grandissant selon l’auteur et sur une question simple « que se passerait-il si les excuses devenaient démoniaques ? ». Quant au titre, c’est un hommage au mangaka Kazuo Umezu que Junji ITO considère comme son maître spirituel avec une référence à l’une des œuvres les plus connues de Umezu : l’école emportée (je vous le conseille si vous ne l’avez pas déjà lu). On suivra donc la vie quotidienne d’une fratrie dont l’ainé, le frère s’excuse à tout bout de champ et la cadette terrorise le voisinage à coup de grimaces et propos effrayants. Bien sûr si l’accent est porté sur le poids des mots voire le lavage de cerveau, le contexte de la situation est ailleurs et prend tout son sens à la fin du livre. Contrairement à un certain nombre d’histoires de l’auteur qui plonge le lecteur dans une situation absurde sans connaître les tenants et aboutissants, l’école décomposée propose un scénario complet avec une explication à la situation. Et la fin est particulièrement bien réussie. Mon petit bémol serait sur la préface : écrite par le duo d’illustrateurs Fortifem, elle est un peu trop sophistiquée et artistique, bien qu’intéressante avec un point de vue que je ne partage pas complétement, elle est compliquée et difficile à comprendre par le tout-venant. Un dernier conseil avant de vous lancer dans la lecture : éviter de lire le manga avant le repas !
  5. Titre de l'album : L'école décomposée Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Le jeune Yûma et la petite Chizumi sont deux orphelins sans attaches. Lui se confond en excuses et en flatteries auprès de ses nouveaux camarades de classe, tandis que la fillette terrorise passants et voisins. Mais les airs contrits de l'aîné et le rire démoniaque de la cadette cachent de sombres penchants et répandent l'horreur partout où ils vont...Asseyez-vous un instant sur les bancs de l'école décomposée et déroulez le récit de cette funeste fratrie en cinq chapitres dégoulinants, suivis de deux histoires courtes. Critique : Bien que Junji ITO ait une volonté de faire des histoires libres de tout engagement politique, il met parfois le doigt sur certains travers de la société et les pousse à l’extrême. L’histoire de l’école décomposée repose donc sur un constat actuel : l’utilisation des excuses publiques par les japonais, une pratique allant grandissant selon l’auteur et sur une question simple « que se passerait-il si les excuses devenaient démoniaques ? ». Quant au titre, c’est un hommage au mangaka Kazuo Umezu que Junji ITO considère comme son maître spirituel avec une référence à l’une des œuvres les plus connues de Umezu : l’école emportée (je vous le conseille si vous ne l’avez pas déjà lu). On suivra donc la vie quotidienne d’une fratrie dont l’ainé, le frère s’excuse à tout bout de champ et la cadette terrorise le voisinage à coup de grimaces et propos effrayants. Bien sûr si l’accent est porté sur le poids des mots voire le lavage de cerveau, le contexte de la situation est ailleurs et prend tout son sens à la fin du livre. Contrairement à un certain nombre d’histoires de l’auteur qui plonge le lecteur dans une situation absurde sans connaître les tenants et aboutissants, l’école décomposée propose un scénario complet avec une explication à la situation. Et la fin est particulièrement bien réussie. Mon petit bémol serait sur la préface : écrite par le duo d’illustrateurs Fortifem, elle est un peu trop sophistiquée et artistique, bien qu’intéressante avec un point de vue que je ne partage pas complétement, elle est compliquée et difficile à comprendre par le tout-venant. Un dernier conseil avant de vous lancer dans la lecture : éviter de lire le manga avant le repas ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ecole-decomposee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Le labo de Musubu tome 1

    Gorô Sagami est amoureux de sa collègue, la chercheuse Musubu. Transféré dans son département, il va enfin pouvoir faire plus ample connaissance et peut-être créer des liens. Mais Musubu est une chercheuse passionnée qui s’enferme souvent dans son laboratoire. En plus parler de travail peut s’avérer compliquer quand on fabrique des préservatifs ! Sous ses allures de comédie romantique, le labo de Musubu offre plus que de la romance et de l’humour. L’auteur, soucieux de la justesse de ses propos, s’est particulièrement bien documenté et propose de véritables connaissances et discussions autour de la sexualité. Il est possible que le second tome aborde d’autres aspects mais dans le premier, vous découvrirez la fabrication d’un préservatif, les tests de contrôle, l’ergonomie, les lubrifiants… Le tout dans une ambiance légère sans se focaliser sur la science et permettant de rendre le sujet accessible à tous, enfin tous ceux qui s’en en âge de se poser ces questions… La lecture et le graphisme sont agréables, l’histoire est plutôt sympathique. La série est en cours et compte 5 tomes actuellement.
  7. Titre de l'album : Le labo de Musubu tome 1 Scenariste de l'album : MORI Taishi Dessinateur de l'album : MORI Taishi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Gorô Sagami travaille au service commercial de la Shônan Rubber Industries Co. Il est secrètement amoureux de Musubu, une chercheuse du département de recherche et développement. Mais le sujet des recherches de la jolie Musubu est bien spécifique : elle conçoit des préservatifs !! L'amoureux transi va devoir jongler entre sa gêne, son professionnalisme et sa naïveté pour trouver les mots qui transmettront ses sentiments... sans déraper !! Critique : Gorô Sagami est amoureux de sa collègue, la chercheuse Musubu. Transféré dans son département, il va enfin pouvoir faire plus ample connaissance et peut-être créer des liens. Mais Musubu est une chercheuse passionnée qui s’enferme souvent dans son laboratoire. En plus parler de travail peut s’avérer compliquer quand on fabrique des préservatifs ! Sous ses allures de comédie romantique, le labo de Musubu offre plus que de la romance et de l’humour. L’auteur, soucieux de la justesse de ses propos, s’est particulièrement bien documenté et propose de véritables connaissances et discussions autour de la sexualité. Il est possible que le second tome aborde d’autres aspects mais dans le premier, vous découvrirez la fabrication d’un préservatif, les tests de contrôle, l’ergonomie, les lubrifiants… Le tout dans une ambiance légère sans se focaliser sur la science et permettant de rendre le sujet accessible à tous, enfin tous ceux qui s’en en âge de se poser ces questions… La lecture et le graphisme sont agréables, l’histoire est plutôt sympathique. La série est en cours et compte 5 tomes actuellement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-labo-de-musubu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Killng me / killing you tome 1

    Petite précision par rapport au résumé où il est indiqué que le monde a changé après la chute d’une météorite : après avoir lu ce 1er tome et vu les « vestiges » de l’ancien monde, je peux dire que le monde qui a changé n’était pas le nôtre ! Du coup, ne vous attendez pas à un récit genre post-apocalyptique ! Non ici, on est dans un univers complétement délirant qui part un peu dans tous les sens. Nos deux personnages d’abord : ils se sont retrouvés en contact direct avec un fragment de la météorite et sont devenus immortels ; si Meteor (la fille) a seulement un bout de la météorite dans le front, elle ressemble encore à une humaine. Ce qui n’est pas le cas de son compagnon Youthanasia qui ressemble plus à une fusion entre une étoile de mer et un poulpe. Ces deux-là parcourent le monde en espérant mourir. En chemin ils font d’étranges rencontres (pas plus étranges qu’eux) et reprennent leur chemin. En toute honnêteté, je ne saisis pas trop l’intérêt de l’histoire, je ne sais même pas si le manga est censé être parodique ou non ! Il y a de bonnes trouvailles dans les bizarreries de ce monde ainsi que dans le graphisme mais pour ce qui est de l’histoire, je reste assez perplexe. Cela ressemble à une accumulation de saynètes où l’auteur se fait plaisir plutôt qu’à une véritable aventure. La série est finie en 5 tomes.
  9. Titre de l'album : Killng me / killing you tome 1 Scenariste de l'album : NARITA Imomushi Dessinateur de l'album : NARITA Imomushi Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Dans un monde ravagé par des chutes de météorites argentées se rencontrent deux étranges silhouettes. D'un côté se trouve une jeune femme au front serti d'une corne tout sauf naturelle, et de l'autre un homme au corps difforme et partiellement tentaculaire. Leur point commun : ces accidents célestes les ont rendus à la fois seuls et immortels. Ensemble, ils voyagent à travers des terres rendues folles, où désespoir et poésie coexistent, en quête d'un moyen pour eux d'enfin mourir paisiblement. Critique : Petite précision par rapport au résumé où il est indiqué que le monde a changé après la chute d’une météorite : après avoir lu ce 1er tome et vu les « vestiges » de l’ancien monde, je peux dire que le monde qui a changé n’était pas le nôtre ! Du coup, ne vous attendez pas à un récit genre post-apocalyptique ! Non ici, on est dans un univers complétement délirant qui part un peu dans tous les sens. Nos deux personnages d’abord : ils se sont retrouvés en contact direct avec un fragment de la météorite et sont devenus immortels ; si Meteor (la fille) a seulement un bout de la météorite dans le front, elle ressemble encore à une humaine. Ce qui n’est pas le cas de son compagnon Youthanasia qui ressemble plus à une fusion entre une étoile de mer et un poulpe. Ces deux-là parcourent le monde en espérant mourir. En chemin ils font d’étranges rencontres (pas plus étranges qu’eux) et reprennent leur chemin. En toute honnêteté, je ne saisis pas trop l’intérêt de l’histoire, je ne sais même pas si le manga est censé être parodique ou non ! Il y a de bonnes trouvailles dans les bizarreries de ce monde ainsi que dans le graphisme mais pour ce qui est de l’histoire, je reste assez perplexe. Cela ressemble à une accumulation de saynètes où l’auteur se fait plaisir plutôt qu’à une véritable aventure. La série est finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/killing-me-killing-you-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Shadow of the ring tome 1

    Je ne vais pas revenir sur le résumé car il est déjà très long dans la présentation du livre. Comme toute nouvelle histoire qui se déroule dans un contexte complétement inédit, il faut le temps de se familiariser avec ce nouvel univers. Le moins que l’on puisse dire, c’est que dans Shadow of the ring, tout semble avoir été bien pensé que ce soit la trame principale ou les détails. L’auteur du très bon thriller Route End revient dans un univers fantastique : l’aventure d’une cité nomade assez mystérieuse au cœur d’un conflit. Guerre, vengeance, technologies et croyances vont être au rendez-vous. Ce premier volume est à la fois une grosse mise en place de l’univers et le début du conflit, il ne faut pas perdre trop de temps, la série est finie en 4 tomes. C’est en tout cas un bon début prometteur servi par un graphisme intéressant. A suivre. Extrait
  11. Titre de l'album : Shadow of the ring tome 1 Scenariste de l'album : NAKAGAWA Kaiji Dessinateur de l'album : NAKAGAWA Kaiji Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Sur la voie de l'ombre, la moindre erreur peut sceller le destin d'un peuple... Le royaume de Keiju ne ressemble à aucun autre... C'est une véritable cité montée sur rails, qui suit constamment l'ombre portée de l'anneau entourant la planète. Son circuit, identique depuis des générations, lui fait traverser de nombreux territoires. Pour cette raison, Keiju a développé une tradition de neutralité soutenue par une prouesse technique majeure : la création des hakukai, des armures surpuissantes qui améliorent les capacités physiques de ceux qui les portent. Aushi, fils de notable d'un pays ami, est fasciné par cette ville mouvante, habituellement fermée aux étrangers. Pourtant, grâce à ses relations et à son honnêteté désarmante, il parvient à se faire accepter à bord, où il se lie d'amitié avec Kamalu, l'intrépide petite soeur de la reine. Tout à sa joie de l'exploration d'un nouveau monde, il ne se doute pas qu'il arrive au moment où l'équilibre des alliances est sur le point de s'écrouler... Un assassin brise les défenses de Keiju, tuant sur son passage un membre de la famille royale et volant de précieux hakukai ! Quel est l'objectif de ce mystérieux agresseur ?! Une ethnie nomade dotée d'une culture aussi étrange que fascinante, une route enveloppée par une nuit éternelle, d'étonnantes armes polymorphes... Critique : Je ne vais pas revenir sur le résumé car il est déjà très long dans la présentation du livre. Comme toute nouvelle histoire qui se déroule dans un contexte complétement inédit, il faut le temps de se familiariser avec ce nouvel univers. Le moins que l’on puisse dire, c’est que dans Shadow of the ring, tout semble avoir été bien pensé que ce soit la trame principale ou les détails. L’auteur du très bon thriller Route End revient dans un univers fantastique : l’aventure d’une cité nomade assez mystérieuse au cœur d’un conflit. Guerre, vengeance, technologies et croyances vont être au rendez-vous. Ce premier volume est à la fois une grosse mise en place de l’univers et le début du conflit, il ne faut pas perdre trop de temps, la série est finie en 4 tomes. C’est en tout cas un bon début prometteur servi par un graphisme intéressant. A suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shadow-of-the-ring-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Itaewon class tome 1

    Ne vous fiez ni au titre ni à la couverture car il ne s’agit pas vraiment d’une classe ni d’étudiant ! Ou plutôt il faut voir ça comme l’école de la rue, ce qui apprennent la vie à la dure. Quant au mot Itaewon, il désigne un quartier de Séoul très cosmopolite où habitent des gens de toutes origines. Saeroyi Park déménage dans une petite ville suite au changement de poste de son père, hélas, toute la ville ainsi que l’école se plient au bon vouloir de M Jang, le pdg d’un grand groupe industriel. Dès le 1er jour, Saeroyi frappe Geunwon le fils de M Jang à cause du comportement harceleur de ce dernier. Si cet événement change la vie des Park qui veulent rester conformes à leurs valeurs et ne pas plier devant la pression injuste des riches, c’est un autre accident, encore plus injuste, qui va définitivement bouleverser Saeroyi. L’histoire commence de façon très dure, elle nous montre plein d’injustices et surtout développe un sentiment de révolte très fort. On se retrouve tout de suite face à une famille simple qui a des valeurs et un sens du devoir mise à mal en face d’un pouvoir supérieur : les coupables s’en sortent et les victimes doivent s’excuser. C’est un cas que l’on voit souvent dans les mangas/manhwas et qui fait ressortir une hiérarchie et un système social toujours très présent en Asie. En même temps, il y a un côté positif au travers du personnage de Saeroyi : il ne plie pas devant l’adversité et continue d’avancer en gardant intact les valeurs que lui a enseignées son père. Ce n’est qu’à la fin de ce premier volume que l’on va découvrir le quartier d’Itaewon, on découvrira d’autres personnages par la suite et leurs interactions. Même si on ne sait pas trop où l’on va pour le moment, c’est un début intéressant qui demande de poursuivre la lecture.
  13. Titre de l'album : Itaewon class tome 1 Scenariste de l'album : KWANG Jin Dessinateur de l'album : KWANG Jin Coloriste : Editeur de l'album : Kotoon Note : Résumé de l'album : Entre espoir et quête de revanche, Park Saeroyi nous entraîne dans le quartier bouillonnant d'Itaewon. Park Saeroyi a été élevé par son père qui lui a appris à rester fidèle à ses convictions. C'est pourquoi il n'hésite pas à prendre la défense d'un de ses camarades de classe face à Jang Geunwon, la brute du lycée, même si ce dernier est le fils d'un riche industriel et qu'il bénéficie de passe-droits. Park Saeroyi doit faire face aux conséquences de ses actes et de ses choix, mais il compte bien avancer dans la vie en suivant ses propres règles. Critique : Ne vous fiez ni au titre ni à la couverture car il ne s’agit pas vraiment d’une classe ni d’étudiant ! Ou plutôt il faut voir ça comme l’école de la rue, ce qui apprennent la vie à la dure. Quant au mot Itaewon, il désigne un quartier de Séoul très cosmopolite où habitent des gens de toutes origines. Saeroyi Park déménage dans une petite ville suite au changement de poste de son père, hélas, toute la ville ainsi que l’école se plient au bon vouloir de M Jang, le pdg d’un grand groupe industriel. Dès le 1er jour, Saeroyi frappe Geunwon le fils de M Jang à cause du comportement harceleur de ce dernier. Si cet événement change la vie des Park qui veulent rester conformes à leurs valeurs et ne pas plier devant la pression injuste des riches, c’est un autre accident, encore plus injuste, qui va définitivement bouleverser Saeroyi. L’histoire commence de façon très dure, elle nous montre plein d’injustices et surtout développe un sentiment de révolte très fort. On se retrouve tout de suite face à une famille simple qui a des valeurs et un sens du devoir mise à mal en face d’un pouvoir supérieur : les coupables s’en sortent et les victimes doivent s’excuser. C’est un cas que l’on voit souvent dans les mangas/manhwas et qui fait ressortir une hiérarchie et un système social toujours très présent en Asie. En même temps, il y a un côté positif au travers du personnage de Saeroyi : il ne plie pas devant l’adversité et continue d’avancer en gardant intact les valeurs que lui a enseignées son père. Ce n’est qu’à la fin de ce premier volume que l’on va découvrir le quartier d’Itaewon, on découvrira d’autres personnages par la suite et leurs interactions. Même si on ne sait pas trop où l’on va pour le moment, c’est un début intéressant qui demande de poursuivre la lecture. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/itaewon-class-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Everything is fine tome 1

    Dans un quartier très bourgeois d’une petite ville américaine, tout semble aller pour le mieux : les habitants sont heureux, les voisins sont gentils et tout est à sa place « tout va bien » ! Mais ce ne sont que des apparences car on comprend très vite que plein de choses ne vont pas à commencer par les habitants : ils portent tous des masques de chat, cachant ainsi leurs émotions. Mike Birchall est un auteur britannique qui a commencé Everything is fine sur la plateforme canvas de Webtoon. Son œuvre est nommée dans la catégorie « livre numérique de l’année » au Harvey Awards. Si vous avez vu le film Bienvenue à Suburbicon, vous aurez une idée de l’ambiance qui règne dans ce webcomic : un quartier typique de banlieue chic avec des maisons similaires et bien rangées et des routines de vie bien orchestrées. Et au milieu, des secrets, des faux-semblants… Tout va bien jusqu’au moment où tout dérape. Pourquoi les habitants vivent-ils de cette façon ? On l’ignore pour le moment mais on saisit que la situation n’est pas normale, que la délation est omniprésente et que tout le monde est surveillé. La tension monte peu à peu et c’est d’autant plus perturbant que le graphisme est épuré avec des personnages enfantins. Un contraste troublant qui interpelle.
  15. Titre de l'album : Everything is fine tome 1 Scenariste de l'album : BIRCHALL Mike Dessinateur de l'album : BIRCHALL Mike Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Everything is Fine est un thriller psychologique perturbant où dans l'apparence de la plus normale et agréable des vies s'immiscent les soupçons de la plus sombre des réalités... Véritable page-turner, la première saison sera publiée en 2 tomes. Critique : Dans un quartier très bourgeois d’une petite ville américaine, tout semble aller pour le mieux : les habitants sont heureux, les voisins sont gentils et tout est à sa place « tout va bien » ! Mais ce ne sont que des apparences car on comprend très vite que plein de choses ne vont pas à commencer par les habitants : ils portent tous des masques de chat, cachant ainsi leurs émotions. Mike Birchall est un auteur britannique qui a commencé Everything is fine sur la plateforme canvas de Webtoon. Son œuvre est nommée dans la catégorie « livre numérique de l’année » au Harvey Awards. Si vous avez vu le film Bienvenue à Suburbicon, vous aurez une idée de l’ambiance qui règne dans ce webcomic : un quartier typique de banlieue chic avec des maisons similaires et bien rangées et des routines de vie bien orchestrées. Et au milieu, des secrets, des faux-semblants… Tout va bien jusqu’au moment où tout dérape. Pourquoi les habitants vivent-ils de cette façon ? On l’ignore pour le moment mais on saisit que la situation n’est pas normale, que la délation est omniprésente et que tout le monde est surveillé. La tension monte peu à peu et c’est d’autant plus perturbant que le graphisme est épuré avec des personnages enfantins. Un contraste troublant qui interpelle. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/everything-is-fine-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Kazuya Sôma vient de perdre son grand-père au moment où il apprend son admission en université. Seul au monde à présent, il se retrouve invoqué dans un autre monde afin de sauver le royaume d’Elfrieden d’une faillite imminente. Le roi actuel manque de volonté, le pays souffre de problème d’alimentation et doit en plus donner une grosse somme d’argent à l’empire voisin afin de lutter contre le peuple du domaine du roi démon installé au nord du continent. Après avoir regardé la situation du royaume en détail et avoir pris les premières mesures, le roi abdique en faveur de Sôma qui va commencer par réformer l’agriculture. Le manga est un isekai qui peut paraître assez classique dans son déroulement mais qui comporte quelques nouveautés. D’abord, il y a le fait que le roi abdique en faveur du héros invoqué assez rapidement ; ensuite les premières personnes que Sôma va choisir pour aider le pays ne sont pas forcément celles auxquelles ont aurait pensé mais elles ont toutes une capacité particulière qu’il saura mettre en valeur. Si ce premier tome permet une mise en situation du contexte et des personnages principaux, sachez que la suite réserve quelques surprises assez intéressantes. J’avais découvert ce titre il y a quelques temps au travers de son adaptation en anime et l’histoire se regardait bien, assez pour avoir envie de regarder la suite. Le light novel comprend 18 volumes, le manga 10 tomes en cours et l’anime 26 épisodes pour le moment. Bien que le personnage principal se trouve plus dans des fonctions administratives, sachez que le manga comporte aussi son lot d’aventures, d’actions et de combats. How a realistic hero rebuit the kingdom est un manga qui se situe entre aventure et réflexion, qui est plutôt bien construit et agréable à lire. Extrait
  17. Titre de l'album : How a realistic hero rebuilt the kingdom tome 1 Scenariste de l'album : DOJYOMARU Dessinateur de l'album : UEDA SATOSHI / FUYUYUKI Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Kazuya Sôma, aspirant fonctionnaire, est soudainement invoqué dans un autre monde. L'empire Elfrieden souhaite l'offrir pour payer une partie de ses dettes. En usant de ses connaissances, Kazuya suggère une politique de redressement et d'austérité pour sauver le pays. Contre toute attente, le roi lui cède le trône ainsi que la main de la princesse pour légitimer son nouveau statut. Cela fait-il de lui un héros pour autant ? Critique : Kazuya Sôma vient de perdre son grand-père au moment où il apprend son admission en université. Seul au monde à présent, il se retrouve invoqué dans un autre monde afin de sauver le royaume d’Elfrieden d’une faillite imminente. Le roi actuel manque de volonté, le pays souffre de problème d’alimentation et doit en plus donner une grosse somme d’argent à l’empire voisin afin de lutter contre le peuple du domaine du roi démon installé au nord du continent. Après avoir regardé la situation du royaume en détail et avoir pris les premières mesures, le roi abdique en faveur de Sôma qui va commencer par réformer l’agriculture. Le manga est un isekai qui peut paraître assez classique dans son déroulement mais qui comporte quelques nouveautés. D’abord, il y a le fait que le roi abdique en faveur du héros invoqué assez rapidement ; ensuite les premières personnes que Sôma va choisir pour aider le pays ne sont pas forcément celles auxquelles ont aurait pensé mais elles ont toutes une capacité particulière qu’il saura mettre en valeur. Si ce premier tome permet une mise en situation du contexte et des personnages principaux, sachez que la suite réserve quelques surprises assez intéressantes. J’avais découvert ce titre il y a quelques temps au travers de son adaptation en anime et l’histoire se regardait bien, assez pour avoir envie de regarder la suite. Le light novel comprend 18 volumes, le manga 10 tomes en cours et l’anime 26 épisodes pour le moment. Bien que le personnage principal se trouve plus dans des fonctions administratives, sachez que le manga comporte aussi son lot d’aventures, d’actions et de combats. How a realistic hero rebuit the kingdom est un manga qui se situe entre aventure et réflexion, qui est plutôt bien construit et agréable à lire. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-a-realist-hero-rebuilt-the-kingdom-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Tengen hero wars tome 1

    Peut-être avez-vous entendu parler de jeux comme jump force ou des anime battles ? Il s’agit de faire s’affronter des personnages de mangas/animes/jeux différents et de savoir lequel serait le plus fort. Il y a de nombreuses vidéos sur le thème mais des batailles de rap sur le sujet. Le thème n’échappe pas aux mangas, avec des façons plus ou moins romancées, on peut assister à des affrontements entre personnages célèbres (guerriers, dirigeants ou stratèges). C’est le cas pour Valkyrie apocalypse, Pétales de réincarnation, Hero ticket… Ce nouveau manga exploite ce filon. Pour une raison encore inconnue, les grands noms de l’histoire sont réunis dans un monde où les plus grands ont un territoire qu’il va falloir défendre ou étendre. Ainsi on retrouve comme nations Oda Nobunaga, Hannibal, Alexandre le Grand, Napoléon, Ivan le terrible… Chaque dirigeant a également de grands guerriers sous ses ordres. C’est dans ce contexte qu’un jour un jeune homme dont le nom est également Oda Nobunaga, fanatique des héros et incollable sur les stratèges et sa sœur Ichiko, triple championne nationale de kendo, sont aspirés et se retrouvent dans ce monde. Séparés au tout début de l’histoire le jeune Oda va accompagner son célèbre homonyme afin de retrouver sa sœur. S’il y a un certain intérêt historique qui permet de (re)découvrir des personnages importants et leurs caractéristiques, pour l’histoire, cela reste très subjectif. Non seulement le déroulement des affrontements reste au bon vouloir de l’auteur mais il n’y a clairement aucun élément qui pourrait attester d’une telle issue. Tout dépendra de ce qu’il y aura autour de ces illustres héros : est-ce que le manga se contentera d’enchainer des guerres ou est-ce qu’il y aura une analyse sur les tactiques employées ? Est-ce que l’histoire parallèle d’Oda et de sa sœur aura une importance ou est-ce juste une excuse aux futurs événements ? Il faudra donc patienter pour voir ce qu’il en est.
  19. Titre de l'album : Tengen hero wars tome 1 Scenariste de l'album : HIROMOTO Yasu Dessinateur de l'album : SAKANOICHI Kubaru Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Oda Nobunaga est un lycéen ordinaire, passionné d'histoire militaire. Un jour, aspiré par un mystérieux portail, il se retrouve téléporté dans un autre monde où les plus grands héros de l'histoire s'adonnent à des guerres de territoires. Mais quelle n'est pas sa surprise lorsqu'il est recueilli par son homonyme, le grand Oda Nobunaga, célèbre unificateur du Japon ! Soudainement propulsé stratège de son armée, le petit Oda va devoir se montrer à la hauteur du grand, surtout lorsque ce dernier lance un assaut sur Zhuge Liang, le tacticien de génie !Première œuvre du dessinateur Sakanoichi Kubaru et du scénariste Hiromoto Yasu, Tengen Hero Wars est publié depuis 2021 dans le Comic Zenon Critique : Peut-être avez-vous entendu parler de jeux comme jump force ou des anime battles ? Il s’agit de faire s’affronter des personnages de mangas/animes/jeux différents et de savoir lequel serait le plus fort. Il y a de nombreuses vidéos sur le thème mais des batailles de rap sur le sujet. Le thème n’échappe pas aux mangas, avec des façons plus ou moins romancées, on peut assister à des affrontements entre personnages célèbres (guerriers, dirigeants ou stratèges). C’est le cas pour Valkyrie apocalypse, Pétales de réincarnation, Hero ticket… Ce nouveau manga exploite ce filon. Pour une raison encore inconnue, les grands noms de l’histoire sont réunis dans un monde où les plus grands ont un territoire qu’il va falloir défendre ou étendre. Ainsi on retrouve comme nations Oda Nobunaga, Hannibal, Alexandre le Grand, Napoléon, Ivan le terrible… Chaque dirigeant a également de grands guerriers sous ses ordres. C’est dans ce contexte qu’un jour un jeune homme dont le nom est également Oda Nobunaga, fanatique des héros et incollable sur les stratèges et sa sœur Ichiko, triple championne nationale de kendo, sont aspirés et se retrouvent dans ce monde. Séparés au tout début de l’histoire le jeune Oda va accompagner son célèbre homonyme afin de retrouver sa sœur. S’il y a un certain intérêt historique qui permet de (re)découvrir des personnages importants et leurs caractéristiques, pour l’histoire, cela reste très subjectif. Non seulement le déroulement des affrontements reste au bon vouloir de l’auteur mais il n’y a clairement aucun élément qui pourrait attester d’une telle issue. Tout dépendra de ce qu’il y aura autour de ces illustres héros : est-ce que le manga se contentera d’enchainer des guerres ou est-ce qu’il y aura une analyse sur les tactiques employées ? Est-ce que l’histoire parallèle d’Oda et de sa sœur aura une importance ou est-ce juste une excuse aux futurs événements ? Il faudra donc patienter pour voir ce qu’il en est. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tengen-hero-wars-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : Je suis tombée dans un jeu de harem inversé tome 1 Scenariste de l'album : INUI Dessinateur de l'album : GOYA Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Dur réveil quand on se retrouve dans le corps de la terrifiante princesse impériale Elvia. D'autant plus qu'il s'agit de la méchante d'un jeu vidéo vouée à mourir dans d'atroces souffrances. Pour échapper à ce destin funeste, une seule solution : s'impliquer dans la vie du château, forger des alliances, et contrecarrer les manigances de l'intrigante Urielle, l'héroïne du jeu, prête à tout pour l'emporter ! Critique : Je redoutais un peu ce livre, pensant que j’allais avoir une copie de seule la mort attend la vilaine, et j’avais tort !! Alors oui, il s’agit d’un otome game et d’un isekai comme le titre l’indique. Le personnage principal se réveille dans le corps de la princesse Elvia, elle ne se rappelle pas de sa précédente vie (elle ne sait plus qui elle était ni ce qu’elle faisait et rien ne dit qu’elle soit décédée). Mais elle peut voir des fenêtres de notification du système qui lui indique donc qu’elle est dans un jeu et qu’elle est la personne à « abattre ». Elle va tout faire pour empêcher son funeste destin et réparer les erreurs de la précédente Elvia. Sauf que ce qui pourrait être considéré comme une histoire déjà vue possède un certains nombres d’éléments qui renouvellent le genre. En premier lieu Elvia n’est pas la joueuse du jeu et elle ne le connaît même pas : elle se retrouve dans un jeu de drague joué par une autre personne (le personnage d’Urielle) !! Elle peut donc voir de temps en temps les actions de cette dernière et essayer d’y faire face. Deuxièmement, le contexte est plus adulte, on est loin de la séduction comme dans le manga Otome game où il s’agissait d’amour fleur bleue, ici, la vraie Elvia était un tyran qui n’hésitait pas à ordonner (sous peine de mort) aux hommes qui lui plaisait de la contenter sexuellement. Notre héroïne se réveille d’ailleurs dans son lit en compagnie de deux hommes nus ! Le webtoon ne montre pas de scène de sexe mais les suggère fortement. Enfin, en poussant plus loin l’histoire (et oui, vous me connaissez, quand une histoire me plait je vais direct aller lire la suite…), une autre dimension prend place (le destin du monde en quelque sorte). Graphiquement parlant, c’est parfait, une romance avec des belles personnes et du soin dans les détails. Un webtoon comme on les aime à déguster sans modération ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-suis-tombee-dans-un-jeu-de-harem-inverse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Je redoutais un peu ce livre, pensant que j’allais avoir une copie de seule la mort attend la vilaine, et j’avais tort !! Alors oui, il s’agit d’un otome game et d’un isekai comme le titre l’indique. Le personnage principal se réveille dans le corps de la princesse Elvia, elle ne se rappelle pas de sa précédente vie (elle ne sait plus qui elle était ni ce qu’elle faisait et rien ne dit qu’elle soit décédée). Mais elle peut voir des fenêtres de notification du système qui lui indique donc qu’elle est dans un jeu et qu’elle est la personne à « abattre ». Elle va tout faire pour empêcher son funeste destin et réparer les erreurs de la précédente Elvia. Sauf que ce qui pourrait être considéré comme une histoire déjà vue possède un certains nombres d’éléments qui renouvellent le genre. En premier lieu Elvia n’est pas la joueuse du jeu et elle ne le connaît même pas : elle se retrouve dans un jeu de drague joué par une autre personne (le personnage d’Urielle) !! Elle peut donc voir de temps en temps les actions de cette dernière et essayer d’y faire face. Deuxièmement, le contexte est plus adulte, on est loin de la séduction comme dans le manga Otome game où il s’agissait d’amour fleur bleue, ici, la vraie Elvia était un tyran qui n’hésitait pas à ordonner (sous peine de mort) aux hommes qui lui plaisait de la contenter sexuellement. Notre héroïne se réveille d’ailleurs dans son lit en compagnie de deux hommes nus ! Le webtoon ne montre pas de scène de sexe mais les suggère fortement. Enfin, en poussant plus loin l’histoire (et oui, vous me connaissez, quand une histoire me plait je vais direct aller lire la suite…), une autre dimension prend place (le destin du monde en quelque sorte). Graphiquement parlant, c’est parfait, une romance avec des belles personnes et du soin dans les détails. Un webtoon comme on les aime à déguster sans modération !
  22. Nickad

    Game of familia tomes 6 et 7

    Sasae et Hinana, sa plus jeune sœur, ont intégré l’académie V afin d’enquêter sur les rumeurs autour du contrôle des Dead Mells. Hinana se fait une amie et rejoint la classe très sélective, elle découvre alors les horreurs qui s’y passent et décide d’agir de son côté pour aider son grand frère. Ce dernier, avec l’aide de deux jeunes femmes qu’il a rallié à sa cause grâce à sa technique très particulière, part à l’assaut de la tour. On ne va pas se mentir, l’intérêt des chapitres est assez variable et ce passage de l’histoire (l’arc de Laiknel) commencé au tome 5 n’est pas le meilleur. On a même l’impression qu’il sert d’excuse pour montrer une accumulation de scènes érotiques et sordides assez malaisantes. Son classement dans la collection Daitan a tout son sens, il est vraiment à réserver à un public adulte ! Certains passages du scénario sont intéressants et l’histoire a une véritable ligne directrice, il est dommage (dans ces deux tomes au moins) que l’on n’avance pas plus sur la trame principale. Cependant, il faut reconnaître que le personnage principal (Sasae) est bien développé et qu’il tient le manga à lui tout seul.
  23. Titre de l'album : Game of familia tomes 6 et 7 Scenariste de l'album : YAMAGUCHI Mikoto Dessinateur de l'album : D.P. Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Quel sort attend ces jeunes filles laissées à la merci des pires vices de l'humanité ? Les horribles expériences conduites à Laiknel doivent être stoppées à tout prix... ! Hinana, toujours infiltrée à l'État magique de Laiknel, apprend grâce aux conseils de Mira ce que sont les Dead Mells. Mais désireuse d'en savoir plus sur les secrets de Laiknel, elle suit Ode Seeker jusqu'à une salle cachée. Là, en découvrant les horreurs auxquelles Mira doit faire face, Hinana réalise à quel point la cruauté des hommes est sans limite... De son côté, en apprenant la disparition de sa petite soeur, Sasae entreprend de partir la sauver, mais il est vite arrêté par Ode. Mais Sasae est prêt à tout pour la retrouver, quitte à devoir se salir les mains lui aussi. Pour sauver sa soeur, il va devoir vaincre la combattante la plus forte de cette nation magique... Et en corrompre l'élite !! Critique : Sasae et Hinana, sa plus jeune sœur, ont intégré l’académie V afin d’enquêter sur les rumeurs autour du contrôle des Dead Mells. Hinana se fait une amie et rejoint la classe très sélective, elle découvre alors les horreurs qui s’y passent et décide d’agir de son côté pour aider son grand frère. Ce dernier, avec l’aide de deux jeunes femmes qu’il a rallié à sa cause grâce à sa technique très particulière, part à l’assaut de la tour. On ne va pas se mentir, l’intérêt des chapitres est assez variable et ce passage de l’histoire (l’arc de Laiknel) commencé au tome 5 n’est pas le meilleur. On a même l’impression qu’il sert d’excuse pour montrer une accumulation de scènes érotiques et sordides assez malaisantes. Son classement dans la collection Daitan a tout son sens, il est vraiment à réserver à un public adulte ! Certains passages du scénario sont intéressants et l’histoire a une véritable ligne directrice, il est dommage (dans ces deux tomes au moins) que l’on n’avance pas plus sur la trame principale. Cependant, il faut reconnaître que le personnage principal (Sasae) est bien développé et qu’il tient le manga à lui tout seul. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/game-of-familia-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    The tunnel to summer tome 2

    Après sa première expérience dans le tunnel, Kaoru Tôno fait à présent équipe avec le nouvelle élève Hanashiro. Ils décident de faire plusieurs tests pour savoir comment sont les distorsions temporelles. Mais si l’on connaît l’objectif de Kaoru par apport à sa petite sœur disparue, Hanashiro semble elle aussi être à la recherche de quelque chose… Le plus gros problème de ce manga c’est que l’on arrive trop vite à la fin d’un tome et on voudrait qu’il s’y passe plus de choses. Je n’ai qu’à aller voir le film me direz-vous et c’est peut-être ce que je vais faire. En attendant, sachez que l’adaptation manga est réussie et même si on aimerait arriver plus vite de l’autre côté du tunnel, on ne s’y ennuie pas du tout et on plonge facilement dans une ambiance qui se situe entre mystère et tranche de vie où parfois le temps semble suspendu
  25. Titre de l'album : The tunnel to summer tome 2 Scenariste de l'album : HACHIMOKU Mei Dessinateur de l'album : KOUDON Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un matin d'été, Kaoru Tôno entend parler d'une intrigante légende urbaine. Un tunnel connu sous le nom d'Urashima permettrait d'exaucer tous les voeux. Et si ce lieu pouvait permettre au jeune lycéen de retrouver celle qui lui était si chère ?Accompagné de sa drôle de camarade Hanashiro, Kaoru semble bien déterminé à révéler les secrets que l'endroit renferme. Mais quel but poursuit celle qui l'assiste dans cette quête, et surtout, jusqu'où serait-elle prête à aller pour percer les mystères de ce passage ? Critique : Après sa première expérience dans le tunnel, Kaoru Tôno fait à présent équipe avec le nouvelle élève Hanashiro. Ils décident de faire plusieurs tests pour savoir comment sont les distorsions temporelles. Mais si l’on connaît l’objectif de Kaoru par apport à sa petite sœur disparue, Hanashiro semble elle aussi être à la recherche de quelque chose… Le plus gros problème de ce manga c’est que l’on arrive trop vite à la fin d’un tome et on voudrait qu’il s’y passe plus de choses. Je n’ai qu’à aller voir le film me direz-vous et c’est peut-être ce que je vais faire. En attendant, sachez que l’adaptation manga est réussie et même si on aimerait arriver plus vite de l’autre côté du tunnel, on ne s’y ennuie pas du tout et on plonge facilement dans une ambiance qui se situe entre mystère et tranche de vie où parfois le temps semble suspendu Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tunnel-to-summer-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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