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  1. Nickad

    Confidences d'une prostituée

    Naomi est une prostituée depuis de nombreuses années, elle a vu passer les époques et surtout beaucoup de monde alors parfois, elle se laisse aller aux confidences, des histoires du passé, du sien ou de celui de ses camarades ; des histoires d’amour ou simplement des anecdotes de la vie. Confidences d’une prostituée est une œuvre de 1972 de Takao Saitô, une œuvre en partie personnelle car elle rend hommage aux femmes du quartier chaud d’Osaka quand il travaillait dans un salon de coiffure étant jeune et qu’il entendait leurs histoires. Takao Saitô est décédé en 2021 à l’âge de 84 ans, en France, il est connu pour ses mangas Survivant et surtout Golgo 13. Vous pouvez le retrouvez actuellement en librairie avec sa série Breakdown. On sent que cette œuvre plaisait à l’auteur et qu’elle lui tenait à cœur, le graphisme est soigné et minutieux, les mises en situation sont intimistes. Chaque histoire est comme un cri, aucune ne finit vraiment bien et en plus à la fin de chaque chapitre on abandonne Naomi à son sort, comme une fin inéluctable… un peu comme le destin de ces femmes de compagnie. Chaque récit s’inscrit dans un contexte historique et pourtant, quelle que soit l’époque, les conditions n’évoluent pas ou très peu. Confidences d’une prostituée est une belle œuvre à lire, riche et dense ; elle interpelle, captive, enseigne et donnent quelques leçons de vie.
  2. Titre de l'album : Confidences d'une prostituée Scenariste de l'album : SAITÔ Takao Dessinateur de l'album : SAITÔ Takao Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec une sensibilité et une douceur extraordinaires, Takao Saitô livre à travers Confidences d'une prostituée une sobre déclaration d'amour aux femmes des quartiers des plaisirs. Publiée en 1972, cette oeuvre résolument personnelle révèle un aspect jusque-là inédit de son immense bibliographie. Nuit après nuit, une femme conte dans l'intimité de son foyer le quotidien de prostituées d'une époque désormais révolue. Du nom de Naomi, cette ancienne dame de compagnie a été témoin de mille et une histoires, des plus tragiques aux plus cocasses, toutes teintées d'une lancinante mélancolie. Au fil de ses récits, elle dévoile les espoirs et les secrets de celles qui aspiraient à vivre avec dignité dans un Japon pris dans un tourbillon de changements. Critique : Naomi est une prostituée depuis de nombreuses années, elle a vu passer les époques et surtout beaucoup de monde alors parfois, elle se laisse aller aux confidences, des histoires du passé, du sien ou de celui de ses camarades ; des histoires d’amour ou simplement des anecdotes de la vie. Confidences d’une prostituée est une œuvre de 1972 de Takao Saitô, une œuvre en partie personnelle car elle rend hommage aux femmes du quartier chaud d’Osaka quand il travaillait dans un salon de coiffure étant jeune et qu’il entendait leurs histoires. Takao Saitô est décédé en 2021 à l’âge de 84 ans, en France, il est connu pour ses mangas Survivant et surtout Golgo 13. Vous pouvez le retrouvez actuellement en librairie avec sa série Breakdown. On sent que cette œuvre plaisait à l’auteur et qu’elle lui tenait à cœur, le graphisme est soigné et minutieux, les mises en situation sont intimistes. Chaque histoire est comme un cri, aucune ne finit vraiment bien et en plus à la fin de chaque chapitre on abandonne Naomi à son sort, comme une fin inéluctable… un peu comme le destin de ces femmes de compagnie. Chaque récit s’inscrit dans un contexte historique et pourtant, quelle que soit l’époque, les conditions n’évoluent pas ou très peu. Confidences d’une prostituée est une belle œuvre à lire, riche et dense ; elle interpelle, captive, enseigne et donnent quelques leçons de vie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/heritages-confidences-d-une-prostituee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Chunchu tome 1

    A l’origine Chunchu est un manhwa qui a été publié en France aux éditions Tokebi (disparues depuis). Il a été adapté en webtoon et il était disponible sur la plateforme Verytoon (elle aussi disparue depuis juillet 2023). Il revient aujourd’hui en version papier colorée en webtoon chez Kbooks., espérons que cela ne sera pas fatal à l’éditeur J… Chunchu est une histoire brutale avec principalement des scènes d’action et de combats. Si le graphisme présente un certain intérêt avec une colorisation assez sobre dans les tons bruns-écru donnant une ambiance particulière au récit, les dialogues sont réduits au minimum : un choix scénaristique de l’auteur qui se défend. Chunchu et son frère jumeau naissent dans un contexte étrange, l’oracle a annoncé la venue du fils du démon ! Mais ne s’attendant pas à ce qu’il y ait deux enfants, la pierre du démon est posée entre les deux pour découvrir celui qui sera éliminé ! Sur le point d’être abattu par son père, Chunchu est sauvé par sa mère qui arrive à le faire exiler dans une tribu de combattants. Mais quel que soit l’endroit où il se trouve, Chunchu n’est toujours vu que comme le fils du démon, les habitant le fuient et les tentatives d’assassinat se multiplient. Dès le début du livre (page 25), on sait que Chunchu est accusé à tort car on voit son jumeau, Eulpaso, attraper la pierre du démon et l’enfoncer de force dans la poitrine de son frère. Hélas, à part le frère, personne n’est au courant. Mais peu à peu certains personnages secondaires s’interrogent, les agissements d’Eulpaso, devenu chef de clan à présent, sont trop extrêmes pour ne pas envisager une supercherie. Ce dernier cherche désespérément à éliminer Chunchu pour que l’oracle disparaisse définitivement. Chunchu est un personnage principal maudit, épuisé par son destin, il semble errer dans la vie sans aucun but, il survit ! Le contexte du récit situe l’action en période proche moyenâgeuse dans un pays où il y a de grosses guerres de clans, il va donc y avoir des luttes de pouvoir et des intrigues politiques. Au cours des 15 tomes de la première édition, il y a eu beaucoup d’interrogations mais pas forcément les réponses. Le final indiquait la fin de la première saison, c’était en 2004… depuis, il n’y a pas eu d’annonce d’une saison 2. Certains lecteurs pensent que la série vaut quand même le coup, j’avoue que savoir qu’il n’y a pas de vraie fin m’a un peu refroidie, en attendant, ce premier tome n’est pas inintéressant et on espère que Chunchu arrivera à se faire reconnaître pour ce qu’il est véritablement. A suivre.
  4. Nickad

    Chunchu tome 1

    Titre de l'album : Chunchu tome 1 Scenariste de l'album : KIM Song-Jae Dessinateur de l'album : KIM Byung Jin Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Chunchu, désigné par l'oracle comme fils du démon à sa naissance et banni par son peuple, mène une vie de sang et de violence. Porteur de la pierre du démon qui le rend invincible, il sort victorieux de toutes les batailles, semant la terreur sur son passage. Décidé à comprendre pourquoi un tel destin lui a été infligé, il découvre qu'un mystère se cache derrière cette légende... Critique : A l’origine Chunchu est un manhwa qui a été publié en France aux éditions Tokebi (disparues depuis). Il a été adapté en webtoon et il était disponible sur la plateforme Verytoon (elle aussi disparue depuis juillet 2023). Il revient aujourd’hui en version papier colorée en webtoon chez Kbooks., espérons que cela ne sera pas fatal à l’éditeur J… Chunchu est une histoire brutale avec principalement des scènes d’action et de combats. Si le graphisme présente un certain intérêt avec une colorisation assez sobre dans les tons bruns-écru donnant une ambiance particulière au récit, les dialogues sont réduits au minimum : un choix scénaristique de l’auteur qui se défend. Chunchu et son frère jumeau naissent dans un contexte étrange, l’oracle a annoncé la venue du fils du démon ! Mais ne s’attendant pas à ce qu’il y ait deux enfants, la pierre du démon est posée entre les deux pour découvrir celui qui sera éliminé ! Sur le point d’être abattu par son père, Chunchu est sauvé par sa mère qui arrive à le faire exiler dans une tribu de combattants. Mais quel que soit l’endroit où il se trouve, Chunchu n’est toujours vu que comme le fils du démon, les habitant le fuient et les tentatives d’assassinat se multiplient. Dès le début du livre (page 25), on sait que Chunchu est accusé à tort car on voit son jumeau, Eulpaso, attraper la pierre du démon et l’enfoncer de force dans la poitrine de son frère. Hélas, à part le frère, personne n’est au courant. Mais peu à peu certains personnages secondaires s’interrogent, les agissements d’Eulpaso, devenu chef de clan à présent, sont trop extrêmes pour ne pas envisager une supercherie. Ce dernier cherche désespérément à éliminer Chunchu pour que l’oracle disparaisse définitivement. Chunchu est un personnage principal maudit, épuisé par son destin, il semble errer dans la vie sans aucun but, il survit ! Le contexte du récit situe l’action en période proche moyenâgeuse dans un pays où il y a de grosses guerres de clans, il va donc y avoir des luttes de pouvoir et des intrigues politiques. Au cours des 15 tomes de la première édition, il y a eu beaucoup d’interrogations mais pas forcément les réponses. Le final indiquait la fin de la première saison, c’était en 2004… depuis, il n’y a pas eu d’annonce d’une saison 2. Certains lecteurs pensent que la série vaut quand même le coup, j’avoue que savoir qu’il n’y a pas de vraie fin m’a un peu refroidie, en attendant, ce premier tome n’est pas inintéressant et on espère que Chunchu arrivera à se faire reconnaître pour ce qu’il est véritablement. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chunchu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Failure frame tome 7

    Poursuivis par plusieurs groupes armés qui comptent bien leur faire la peau, nos fugitifs s’arrêtent pour appliquer un plan de défense imaginé par Tôka. Encore une fois, il va nous démontrer d’excellentes capacités d’analyse et aussi utiliser ses capacités qui laissent peu de chance à l’adversaire. Un tome un peu en-dessous car l’histoire n’avance pas vraiment. Certes, il faut bien se débarrasser des adversaires mais on aimerait aussi que nos héros arrivent vite auprès de la sorcière des Tabous afin d’avoir un peu de nouveauté ! On ne s’ennuie pas vraiment mais un peu plus de rythme ne ferait pas de mal !
  6. Titre de l'album : Failure frame tome 7 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru , UCHIUCHI Keyaki Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô , KWKM Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Morts ou vifs, peu importe. Ils sont tous mes marionnettes. Désormais rejoint par Eve et Liz, Tôka poursuit son périple en direction du "Nid des Monstres aux yeux dorés", repaire présumé de la Sorcière des Tabous. Seulement, le duc Svan, qui se servait d'Eve comme d'une bête de foire, a envoyé à leurs trousses une bande de sorciers prénommée "Assynt". Malgré la menace que représente ce groupe dirigé par l'astucieux Muaji, Tôka en vient à bout sans peine. Grâce à Eve et à sa puissance insoupçonnée, il écrase même les autres poursuivants débarquant juste après Assynt. "Tu crois qu'on va te laisser t'échapper ?" Voici le septième volume du récit de vengeance de cet ancien héros consumé par les flammes infernales de la haine et de la soif de revanche !! Critique : Poursuivis par plusieurs groupes armés qui comptent bien leur faire la peau, nos fugitifs s’arrêtent pour appliquer un plan de défense imaginé par Tôka. Encore une fois, il va nous démontrer d’excellentes capacités d’analyse et aussi utiliser ses capacités qui laissent peu de chance à l’adversaire. Un tome un peu en-dessous car l’histoire n’avance pas vraiment. Certes, il faut bien se débarrasser des adversaires mais on aimerait aussi que nos héros arrivent vite auprès de la sorcière des Tabous afin d’avoir un peu de nouveauté ! On ne s’ennuie pas vraiment mais un peu plus de rythme ne ferait pas de mal ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Dog & scum tome 1

    Titre de l'album : Dog & scum tome 1 Scenariste de l'album : Iori ASAGA Dessinateur de l'album : Iori ASAGA Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Haruma Sakuraba est adulte, salarié, mais surtout doté d'un sérieux complexe d'infériorité. Il vit depuis toujours dans l'ombre de Shûji Inukai, son ami d'enfance, qui le surpasse en tout. Lorsqu'il découvre que l'épouse de Shûji n'est autre que Reika, la femme dont il est secrètement amoureux depuis le lycée, sa jalousie prend le dessus... et un sombre secret prend forme. Critique : Tranche de vie, romance, drame ? On ne sait pas trop où l’on va après la lecture de ce 1er tome… L’éditeur annonce un thriller, de la manipulation, de la trahison mais pour le moment ce n’est pas ce qui ressort. De temps en temps une image, une phrase viennent semer le trouble, on sait que l’histoire n’est pas si simple sans savoir de quoi il retourne exactement. C’est une histoire qui commence de façon assez banale : trois amis de lycée, deux garçons et une fille trainent souvent ensemble, deux d’entre eux forment un couple, la fille la plus belle et le garçon le plus populaire à qui tout réussi. A côté, il y a Haruma, l’ami d’enfance, celui que personne ne remarque, qui n’arrivera jamais 1er quels que soient les efforts qu’il fournit, celui qui est amoureux de la copine de son ami… Quelques années plus tard, le travail et la distance physique les ont séparés, Haruma pense encore de temps en temps à ses amis mais sans plus, il a toujours dans le cœur son amour pour la belle Reika mais fait avec. Mais un jour, le hasard la remet sur sa route et une opportunité se présente. Mais est-ce vraiment un hasard ? Ce 1er tome est un constat : une présentation des personnages, un aperçu de leurs relations passées et une vue de la situation dans laquelle ils se trouvent aujourd’hui. Les premiers signes d’un drame apparaissent, rien n’est dit clairement mais il y a des indices. Il est donc difficile pour le moment de juger le manga, on est intrigué et il y a suffisamment de suspense pour vouloir aller plus loin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dog-scum-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : #DRCL midnight children tome 1 Scenariste de l'album : Shinichi SAKAMOTO , STOKER Bram Dessinateur de l'album : Shinichi SAKAMOTO Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le mythe de Dracula revisité par un orfèvre du manga ! À la fin du xixe siècle, un vaisseau russe embarque d'étranges caisses remplies d'une terre à l'odeur pestilentielle. La traversée des océans est un calvaire pour l'équipage : disparitions et morts suspectes s'enchaînent. Certains parlent d'un fantôme... Quand le bateau parvient enfin à destination en Angleterre, il a tout d'une épave flottante. Alors que la police portuaire se lance à la recherche de survivants, elle tombe sur une énorme créature mi-homme mi-loup, qui disparaît comme par magie... Quelques instants plus tard, dans le cimetière de la ville, quatre élèves du prestigieux établissement Whitby assistent à une scène terrifiante : un de leurs camarades est capturé par une bête ténébreuse ! Seule Mina Murray, l'unique fille de l'établissement, a le courage de voler à son secours, mais il est déjà trop tard... Critique : Voici la série Ki-oon tant attendue de ce début d’année, une revisite du mythe de Dracula ! Bien sûr le sujet a été vu et revu et on peut s’inquiéter d’une énième variante. Rassurez-vous cette version est réussie et elle est même très intrigante ! On a d’abord une rencontre visuelle, un premier chapitre fort qui nous met dans l’ambiance, le graphisme est détaillé, fin et précis mais surtout sait nous plonger directement dans une ambiance inquiétante, légèrement horrifique. Puis vient la seconde rencontre, celle des « héros » de l’histoire, des étudiants en médecine qui naviguent entre réalité de leur époque (notamment la place des femmes dans les sciences), blagues morbides, mystère et poésie. On reconnait tout de suite la pâte graphique de Shin’ichi Sakamoto, qui avait déjà fait sensation en France avec ses titres Nés pour cogner, Ascension ou encore Innocent / Innocent Rouge. Encore une fois, on retrouve son goût pour des personnages atypiques allant de Mina, la jeune fille forte décidée à dépasser les limites de son époque à Luke en proie à une double personnalité. Les dessins sont envoutants, oniriques et il nous appartient d’y trouver notre propre signification. L’œuvre se veut innovante, elle s’inspire de Dracula pour nous emmener ailleurs. Un premier tome qui ne nous laisse pas de marbre sans savoir vraiment où il nous conduira. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/drcl-midnight-children-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Tokugawa monkeys tome 1

    Tokugawa Monkeys se déroule sur fond de trame historique : on se rapproche de la fin du shogunat et certaines factions d’habitants cherchent à renverser le pouvoir. C’est aussi la période où les étrangers ont commencé à arriver au Japon et où le gouvernement hésitait à ouvrir le pays au reste du monde. Donc au niveau des dates et des événements, cela colle à peu près. Il reste quelques incertitudes concernant la faction appelée « Tengu » qui, si l’on regarde les livres d’histoire, était contre l’arrivée des étrangers, ce qui semble être le contraire dans le manga ! (Bon, je ne suis pas historienne donc je ne m’appesantirai pas plus sur le sujet). Il faut juste retenir le contexte général de l’époque : une période de troubles coincée entre un shogun peu apprécié et une ouverture à l’extérieure avec l’arrivée de nouvelles technologies. Suzu Kaneko, une jeune fille maniant le sabre, débarque à Edo dans l’espoir de retrouver et d’éliminer l’assassin de son père. Elle se retrouve prise en otage par le groupe de rebelles Tengu et rencontre deux sœurs qui vont l’aider : la première a perdu la vue et l’ouïe suite à d’anciennes tortures mais elle sait très bien se battre, la seconde l’accompagne pour la guider au travers de vibrations. Très vite, Suzu va rejoindre ce second groupe : les mashiras, une escouade secrète au service du shogun ! Tokugawa Monkeys est un manga d’action où la violence est omniprésente, les affrontements sont brutaux et il est impossible de vraiment prendre parti. Que ce soit du côté des Tengus ou des Mashiras, il y a beaucoup de zone d’ombre et de secrets et le bien fondé de leurs agissements n’est pas toujours prouvé. Les Tengus se battent soi-disant pour le bien-être du peuple mais n’hésitent pas à tuer des innocents, les Mashiras défendent la capitale mais sont au service d’un shogun plutôt corrompu. Au milieu il y a le personnage de Suzu qui n’est pas très douée et on se demande vraiment ce qu’elle fait dans l’histoire, la suite nous éclairera sûrement ! Le graphisme est efficace et les scènes d’action sont dynamiques. Concernant le récit en lui-même il est difficile de se prononcer complétement, il y a des éléments prometteurs, surtout une révélation finale qui pourrait bien amener une autre dimension au manga. A suivre.
  10. Titre de l'album : Tokugawa monkeys tome 1 Scenariste de l'album : FUJITA Kakuji Dessinateur de l'album : FUJITA Kakuji Coloriste : Editeur de l'album : ChattoChatto Note : Résumé de l'album : L'ère du Shogunat arrive t'il à son terme? Les inégalités s'installent, les conflits se multiplient et la corruption est partout. Les Tengu, un groupe armé désirant mettre fin à l'oppression du shogunat est opposé aux Mashira, des agents au service de celui-ci. Kaneno, une jeune femme venue dans la ville d'Edo afin d'assouvir une vengeance personnelle, va finir par se voir enrôlée chez les tengu et embarquée dans ce conflit qui pourrait bien mener à la fin d'une ère. Critique : Tokugawa Monkeys se déroule sur fond de trame historique : on se rapproche de la fin du shogunat et certaines factions d’habitants cherchent à renverser le pouvoir. C’est aussi la période où les étrangers ont commencé à arriver au Japon et où le gouvernement hésitait à ouvrir le pays au reste du monde. Donc au niveau des dates et des événements, cela colle à peu près. Il reste quelques incertitudes concernant la faction appelée « Tengu » qui, si l’on regarde les livres d’histoire, était contre l’arrivée des étrangers, ce qui semble être le contraire dans le manga ! (Bon, je ne suis pas historienne donc je ne m’appesantirai pas plus sur le sujet). Il faut juste retenir le contexte général de l’époque : une période de troubles coincée entre un shogun peu apprécié et une ouverture à l’extérieure avec l’arrivée de nouvelles technologies. Suzu Kaneko, une jeune fille maniant le sabre, débarque à Edo dans l’espoir de retrouver et d’éliminer l’assassin de son père. Elle se retrouve prise en otage par le groupe de rebelles Tengu et rencontre deux sœurs qui vont l’aider : la première a perdu la vue et l’ouïe suite à d’anciennes tortures mais elle sait très bien se battre, la seconde l’accompagne pour la guider au travers de vibrations. Très vite, Suzu va rejoindre ce second groupe : les mashiras, une escouade secrète au service du shogun ! Tokugawa Monkeys est un manga d’action où la violence est omniprésente, les affrontements sont brutaux et il est impossible de vraiment prendre parti. Que ce soit du côté des Tengus ou des Mashiras, il y a beaucoup de zone d’ombre et de secrets et le bien fondé de leurs agissements n’est pas toujours prouvé. Les Tengus se battent soi-disant pour le bien-être du peuple mais n’hésitent pas à tuer des innocents, les Mashiras défendent la capitale mais sont au service d’un shogun plutôt corrompu. Au milieu il y a le personnage de Suzu qui n’est pas très douée et on se demande vraiment ce qu’elle fait dans l’histoire, la suite nous éclairera sûrement ! Le graphisme est efficace et les scènes d’action sont dynamiques. Concernant le récit en lui-même il est difficile de se prononcer complétement, il y a des éléments prometteurs, surtout une révélation finale qui pourrait bien amener une autre dimension au manga. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tokugawa-monkeys?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Butareba tome 1

    Titre de l'album : Butareba tome 1 Scenariste de l'album : SAKAI Takuma Dessinateur de l'album : MINAMI , TÔSAKA Asagi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Un étudiant nerd et ennuyeux perd conscience après avoir mangé du foie de porc cru. Quand il rouvre les yeux, il se rend compte qu'il s'est réincarné dans un autre monde... et dans le corps d'un cochon ! Alors qu'il se roule dans la boue de sa porcherie, il est secouru par Jess, une fille capable de lire dans les pensées des gens. Finalement, la vie de porc n'a pas l'air si mal... Critique : Attention ne fuyez pas tout de suite en voyant qu’il s’agit d’un isekai et donnez-vous la peine d’en apprendre un peu plus. La première impression de Butareba est celle d’un isekai un peu loufoque avec un petit côté coquin. Un « otaku à lunettes maigrichon » a fini changé en cochon dans un autre monde après avoir mangé du porc cru ; un transfert original mais pourquoi pas, après tout on peut faire ce que l’on veut dans un récit. Mr Cochon (on ne saura jamais son vrai nom) a beaucoup de fantasmes et n’hésite pas à en parler, enfin à y penser, ces pensées sont d’ailleurs présentes sous forme de narration. Dans ce nouveau monde, il reçoit l’aide de Jess, une yesma : une servante qui peut utiliser la magie et qui est au service d’une famille. Jess est capable de lire dans les pensées. On va donc avoir des interactions entre Jess et Mr Cochon mais comme elle peut lire toutes les pensées, M Cochon va mettre en place un système de bulles (dans le manga, dans l’anime, il change de voix) afin que Jess puisse différencier les paroles qui lui sont destinées de celles qui sont purement de la réflexion. Jess est une gentille fille et elle a tendance à prendre au 1er degré toutes les pensées. Vous pensez bien que M Cochon a des idées parfois perverses et que ce sont purement des fantasmes. Le manga joue d’ailleurs beaucoup sur l’apparence du héros sous forme de cochon et ses envies un peu cochonnes ! Afin de trouver un moyen de retrouver son corps et de rentrer dans son monde, Mr Cochon doit se rendre à la capitale, le seul endroit où il y aurait de grands magiciens, et Jess décide de l’accompagner. Bon derrière cette apparente légèreté, l’histoire est bien plus intéressante et profonde. Je vous spoile un peu afin que vous compreniez que ce manga n’est pas qu’une comédie et loin de là même. Les yesmas sont à la fois très recherchées et très méprisées, les habitants n’ont par exemple pas le droit de les aider et arrivées à un certain âge elles doivent entreprendre un voyage vers la capitale. Il y a donc beaucoup de mystères autour des yesmas, leurs origines, leurs pouvoirs, leurs conditions de vie, leurs voyages… En plus d’un graphisme des plus agréables et de certains passages humoristiques, Butareba c’est une histoire qui devient complexe et qui sait entretenir le mystère. Adapté d’un light novel (qui a remporté un prix), la série est également disponible sur Crunchyroll : 5 mangas en cours et 12 épisodes. Un manga à découvrir sans vous arrêter au 1er tome ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butareba-tome-1-ou-l-histoire-de-l-homme-devenu-cochon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Butareba tome 1

    Attention ne fuyez pas tout de suite en voyant qu’il s’agit d’un isekai et donnez-vous la peine d’en apprendre un peu plus. La première impression de Butareba est celle d’un isekai un peu loufoque avec un petit côté coquin. Un « otaku à lunettes maigrichon » a fini changé en cochon dans un autre monde après avoir mangé du porc cru ; un transfert original mais pourquoi pas, après tout on peut faire ce que l’on veut dans un récit. Mr Cochon (on ne saura jamais son vrai nom) a beaucoup de fantasmes et n’hésite pas à en parler, enfin à y penser, ces pensées sont d’ailleurs présentes sous forme de narration. Dans ce nouveau monde, il reçoit l’aide de Jess, une yesma : une servante qui peut utiliser la magie et qui est au service d’une famille. Jess est capable de lire dans les pensées. On va donc avoir des interactions entre Jess et Mr Cochon mais comme elle peut lire toutes les pensées, M Cochon va mettre en place un système de bulles (dans le manga, dans l’anime, il change de voix) afin que Jess puisse différencier les paroles qui lui sont destinées de celles qui sont purement de la réflexion. Jess est une gentille fille et elle a tendance à prendre au 1er degré toutes les pensées. Vous pensez bien que M Cochon a des idées parfois perverses et que ce sont purement des fantasmes. Le manga joue d’ailleurs beaucoup sur l’apparence du héros sous forme de cochon et ses envies un peu cochonnes ! Afin de trouver un moyen de retrouver son corps et de rentrer dans son monde, Mr Cochon doit se rendre à la capitale, le seul endroit où il y aurait de grands magiciens, et Jess décide de l’accompagner. Bon derrière cette apparente légèreté, l’histoire est bien plus intéressante et profonde. Je vous spoile un peu afin que vous compreniez que ce manga n’est pas qu’une comédie et loin de là même. Les yesmas sont à la fois très recherchées et très méprisées, les habitants n’ont par exemple pas le droit de les aider et arrivées à un certain âge elles doivent entreprendre un voyage vers la capitale. Il y a donc beaucoup de mystères autour des yesmas, leurs origines, leurs pouvoirs, leurs conditions de vie, leurs voyages… En plus d’un graphisme des plus agréables et de certains passages humoristiques, Butareba c’est une histoire qui devient complexe et qui sait entretenir le mystère. Adapté d’un light novel (qui a remporté un prix), la série est également disponible sur Crunchyroll : 5 mangas en cours et 12 épisodes. Un manga à découvrir sans vous arrêter au 1er tome !
  13. Nickad

    Dog & scum tome 1

    Tranche de vie, romance, drame ? On ne sait pas trop où l’on va après la lecture de ce 1er tome… L’éditeur annonce un thriller, de la manipulation, de la trahison mais pour le moment ce n’est pas ce qui ressort. De temps en temps une image, une phrase viennent semer le trouble, on sait que l’histoire n’est pas si simple sans savoir de quoi il retourne exactement. C’est une histoire qui commence de façon assez banale : trois amis de lycée, deux garçons et une fille trainent souvent ensemble, deux d’entre eux forment un couple, la fille la plus belle et le garçon le plus populaire à qui tout réussi. A côté, il y a Haruma, l’ami d’enfance, celui que personne ne remarque, qui n’arrivera jamais 1er quels que soient les efforts qu’il fournit, celui qui est amoureux de la copine de son ami… Quelques années plus tard, le travail et la distance physique les ont séparés, Haruma pense encore de temps en temps à ses amis mais sans plus, il a toujours dans le cœur son amour pour la belle Reika mais fait avec. Mais un jour, le hasard la remet sur sa route et une opportunité se présente. Mais est-ce vraiment un hasard ? Ce 1er tome est un constat : une présentation des personnages, un aperçu de leurs relations passées et une vue de la situation dans laquelle ils se trouvent aujourd’hui. Les premiers signes d’un drame apparaissent, rien n’est dit clairement mais il y a des indices. Il est donc difficile pour le moment de juger le manga, on est intrigué et il y a suffisamment de suspense pour vouloir aller plus loin.
  14. Nickad

    Les récits d'Obana

    A l’origine des Récits d’Obana se trouve Fuyumi ONO, une romancière qui a déjà remporté plusieurs prix littéraires notamment pour sa série Les Douze Royaumes. Les récits d’Obana, originellement composé de 3 livres, ont été adaptés en manga par la non moins célèbre Kazue KATO, l’autrice de Blue Exorcist. Le recueil est composé de 6 récits qui mettent en scène des personnes normales confrontées à des phénomènes paranormaux, souvent liés à la présence d’une âme en peine (un fantôme). On verra ainsi une porte qui s’ouvre toute seule, des pleurs d’enfant dans un garage, des bruits de pas dans un grenier, un jardin où les plantes dépérissent, une femme en deuil les jours de pluie ou encore la présence d’un petit vieux qui se cache dans une maison. A chaque chapitre, on commence par découvrir la situation qui est toujours liée à un lieu d’habitation, puis en dernier lieu arrive Obana, un bricoleur spécialisé dans les travaux d’entretien et d’amélioration qui propose une solution. Ce dernier ne fait pas d’exorcisme, il aménage le lieu pour pouvoir répondre à la fois à la demande de son client mais aussi à celle de l’esprit qui est présent. Kazue KATO nous propose un joli crayonné, plus mature et sombre que dans Blue Exorcist, elle joue sur les ombres et les trames pour faire ressortir les angoisses sans jamais tomber dans l’horreur. La narration est intéressante, contrairement à d’autres mangas « fantomatiques » où souvent on a soit l’élimination de l’esprit soit l’horreur sans autre objectif que de générer de l’effroi, Les récits d’Obana offre une autre possibilité, celle de faire cohabiter les différents protagonistes. Ces six histoires sont prenantes et donnent même l’envie d’y retourner. A lire.
  15. Titre de l'album : Les récits d'Obana Scenariste de l'album : ONO Fuyumi Dessinateur de l'album : KATO Kazue Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Après leur emménagement dans de vieilles maisons traditionnelles japonaises, des propriétaires se retrouvent confrontés à d'étranges manifestations surnaturelles. Alors que les ouvriers du bâtiment se révèlent incapables de résoudre ces problèmes, Obana, un artisan pas comme les autres, est appelé à l'aide. Capable de saisir les émotions des esprits hantant un lieu, il permet aux vivants de partager leur nouvelle demeure avec les morts... Critique : A l’origine des Récits d’Obana se trouve Fuyumi ONO, une romancière qui a déjà remporté plusieurs prix littéraires notamment pour sa série Les Douze Royaumes. Les récits d’Obana, originellement composé de 3 livres, ont été adaptés en manga par la non moins célèbre Kazue KATO, l’autrice de Blue Exorcist. Le recueil est composé de 6 récits qui mettent en scène des personnes normales confrontées à des phénomènes paranormaux, souvent liés à la présence d’une âme en peine (un fantôme). On verra ainsi une porte qui s’ouvre toute seule, des pleurs d’enfant dans un garage, des bruits de pas dans un grenier, un jardin où les plantes dépérissent, une femme en deuil les jours de pluie ou encore la présence d’un petit vieux qui se cache dans une maison. A chaque chapitre, on commence par découvrir la situation qui est toujours liée à un lieu d’habitation, puis en dernier lieu arrive Obana, un bricoleur spécialisé dans les travaux d’entretien et d’amélioration qui propose une solution. Ce dernier ne fait pas d’exorcisme, il aménage le lieu pour pouvoir répondre à la fois à la demande de son client mais aussi à celle de l’esprit qui est présent. Kazue KATO nous propose un joli crayonné, plus mature et sombre que dans Blue Exorcist, elle joue sur les ombres et les trames pour faire ressortir les angoisses sans jamais tomber dans l’horreur. La narration est intéressante, contrairement à d’autres mangas « fantomatiques » où souvent on a soit l’élimination de l’esprit soit l’horreur sans autre objectif que de générer de l’effroi, Les récits d’Obana offre une autre possibilité, celle de faire cohabiter les différents protagonistes. Ces six histoires sont prenantes et donnent même l’envie d’y retourner. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-recits-d-obana-artisan-de-l-etrange?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Mon fils semble avoir été réincarné dans un autre monde tome 4 Scenariste de l'album : KANEMOTO Dessinateur de l'album : SHIBATA Hikari Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Dis-moi comment faire pour retrouver mon fils, maintenant qu'il est parti dans un autre monde. " La seule chose que je veux t'entendre dire, c'est que Taïga est mort. Et tu vas le faire devant ce qu'il reste de lui. " Mio est terrifiée par l'apparition soudaine de son mari. Elle retourne auprès de Dobara, mais une dernière confrontation, laide et violente, approche à grands pas. Est-ce la fin pour tous les deux ?! Une aventure humaine drôle et touchante d'une mère déterminée, qui refuse de faire le deuil de son fils disparu. Série terminée en 5 tomes Critique : La situation entre Mio et Dobara s’est détériorée ; il n’a pas su mentir quand elle lui a demandé s’il croyait vraiment en l’existence d’un autre monde. Jusqu’à présent, il l’accompagnait dans l’espoir que petit à petit elle abandonnerait cette idée pensant ainsi pourvoir l’aider dans son deuil mais aujourd’hui il ne sait plus trop ce qu’il aurait dû faire. De son côté Mio culpabilise aussi d’avoir emmené Dobara dans sa démarche. Tandis que le mari de Mio se met en marche pour la ramener manu militari à la maison, ils décident de finir leur démarche en vérifiant une par une les possibilités de passer dans un autre monde. Mio prend conscience que sa situation et sa disparition ont causé du tort à son entourage, elle les remercie néanmoins de leur sollicitude. Mais quand elle se retrouve face à son mari qui veut lui faire dire que leur fils est mort on sent le drame arriver et la fin approcher. Certes elle n’est pas la seule à souffrir de cette disparition et elle s’est enfermée dans l’idée d’une réincarnation, une façon inconsciente et détournée d’échapper à la vérité. Seulement, un jour ou un autre, il faudra qu’elle y fasse face et ce sera brutal. La tension monte tout au long de ce 4eme volume, il va être temps d’affronter la réalité. Mio va devoir accepter la mort de son fils mais quand on a fui pendant des semaines en se raccrochant à un fol espoir, est-ce que cela va lui permettre de mieux digérer la situation ou est-ce que le contrecoup sera encore plus violent ? Réponse dans le prochain et dernier tome de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-fils-semble-avoir-ete-reincarne-dans-un-autre-monde-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. La situation entre Mio et Dobara s’est détériorée ; il n’a pas su mentir quand elle lui a demandé s’il croyait vraiment en l’existence d’un autre monde. Jusqu’à présent, il l’accompagnait dans l’espoir que petit à petit elle abandonnerait cette idée pensant ainsi pourvoir l’aider dans son deuil mais aujourd’hui il ne sait plus trop ce qu’il aurait dû faire. De son côté Mio culpabilise aussi d’avoir emmené Dobara dans sa démarche. Tandis que le mari de Mio se met en marche pour la ramener manu militari à la maison, ils décident de finir leur démarche en vérifiant une par une les possibilités de passer dans un autre monde. Mio prend conscience que sa situation et sa disparition ont causé du tort à son entourage, elle les remercie néanmoins de leur sollicitude. Mais quand elle se retrouve face à son mari qui veut lui faire dire que leur fils est mort on sent le drame arriver et la fin approcher. Certes elle n’est pas la seule à souffrir de cette disparition et elle s’est enfermée dans l’idée d’une réincarnation, une façon inconsciente et détournée d’échapper à la vérité. Seulement, un jour ou un autre, il faudra qu’elle y fasse face et ce sera brutal. La tension monte tout au long de ce 4eme volume, il va être temps d’affronter la réalité. Mio va devoir accepter la mort de son fils mais quand on a fui pendant des semaines en se raccrochant à un fol espoir, est-ce que cela va lui permettre de mieux digérer la situation ou est-ce que le contrecoup sera encore plus violent ? Réponse dans le prochain et dernier tome de la série.
  18. Haga est un débuggeur, il a été envoyé dans un jeu vidéo avec des collègues pour vérifier le bon fonctionnement et signaler tous les bugs qu’il pourrait trouver. Seulement voilà, ils se retrouvent tous coincés à l’intérieur du jeu sans pouvoir se déconnecter. Pour les autres joueurs et les PNJ, ils sont appelés des King’s seeker, des personnages missionnés pour enquêter sur des phénomènes étranges. C’est comme ça qu’il en vient à faire équipe avec une PNJ qui n’aurait jamais dû quitter son village. Mais si Haga continue de faire bien son travail, les autres King’s seeker ont plutôt laissé tomber et certains profitent grandement du jeu et de leur privilège de débuggeur pour régner et abuser de leurs pouvoirs. La série veut rendre hommage aux joueurs qui aiment explorer leur jeu vidéo de fond en comble pour découvrir tous les secrets et toutes les anomalies qu’il pourrait y avoir. Du coup, cela entraine des comportements absurdes et des situations cocasses. Le personnage de Haga est hyper sérieux dans sa mission, cela lui permet aussi de ne pas sombrer dans la folie vu qu’il est coincé dans le jeu. Il teste les scenarios plusieurs fois et recherche les erreurs, il n’est pas surprenant de le voir se frotter à une muraille dix fois de suite ! La séries est humoristique et regorge de petites trouvailles, elle est sympathique à lire même pour ceux qui ne jouent pas et qui ne sont pas familier avec l’univers des jeux vidéo. Le scénario ne se limite pas qu’à la recherche des bugs, Haga va devoir affronter les King’s seeker qui ont mal tourné et aussi trouver une solution pour sauver son équipe, dont certains sont coincés dans des anomalies. C’est original et plutôt distrayant. A suivre.
  19. Titre de l'album : Quality assurance in another world tome 1 Scenariste de l'album : SATO Masamichi Dessinateur de l'album : SATO Masamichi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Nikola, jeune habitante d'un paisible petit village, voit soudain débouler dans les prés d'énormes dragons ! Terrifiée, elle est secourue par Haga, un homme qui semble mener de mystérieuses recherches. Ce que Nikola ignore, c'est que Haga n'est autre qu'un testeur, coincé dans le jeu qu'il était censé débugger... Et qu'elle-même n'est qu'un PNJ ! De plus, si Haga est dévoué à son travail, ce n'est pas le cas de tous ses collègues... Critique : Haga est un débuggeur, il a été envoyé dans un jeu vidéo avec des collègues pour vérifier le bon fonctionnement et signaler tous les bugs qu’il pourrait trouver. Seulement voilà, ils se retrouvent tous coincés à l’intérieur du jeu sans pouvoir se déconnecter. Pour les autres joueurs et les PNJ, ils sont appelés des King’s seeker, des personnages missionnés pour enquêter sur des phénomènes étranges. C’est comme ça qu’il en vient à faire équipe avec une PNJ qui n’aurait jamais dû quitter son village. Mais si Haga continue de faire bien son travail, les autres King’s seeker ont plutôt laissé tomber et certains profitent grandement du jeu et de leur privilège de débuggeur pour régner et abuser de leurs pouvoirs. La série veut rendre hommage aux joueurs qui aiment explorer leur jeu vidéo de fond en comble pour découvrir tous les secrets et toutes les anomalies qu’il pourrait y avoir. Du coup, cela entraine des comportements absurdes et des situations cocasses. Le personnage de Haga est hyper sérieux dans sa mission, cela lui permet aussi de ne pas sombrer dans la folie vu qu’il est coincé dans le jeu. Il teste les scenarios plusieurs fois et recherche les erreurs, il n’est pas surprenant de le voir se frotter à une muraille dix fois de suite ! La séries est humoristique et regorge de petites trouvailles, elle est sympathique à lire même pour ceux qui ne jouent pas et qui ne sont pas familier avec l’univers des jeux vidéo. Le scénario ne se limite pas qu’à la recherche des bugs, Haga va devoir affronter les King’s seeker qui ont mal tourné et aussi trouver une solution pour sauver son équipe, dont certains sont coincés dans des anomalies. C’est original et plutôt distrayant. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quality-assurance-in-another-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : Death's game tome 1 Scenariste de l'album : LEE Wongsik Dessinateur de l'album : GGULCHAN Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Après une longue période de chômage, d'échecs amoureux et problème financiers, Choi Yijae prend la décision de mettre fin à ses jours. Au moment de se tuer, il défie la Mort et se réveille alors dans un avion, avec un visage différent. Une femme se présente alors à lui comme étant la Mort en personne ! Se disant insultée, elle décide de le punir en le condamnant à mourir... jusqu'à ce qu'il soit capable de l'éviter. Critique : Choi Yijae a raté sa vie, plus jeune il se voyait déjà avec un bon travail, un bon salaire, une copine… la réussite quoi. Or il n’en est rien, à 30 ans passé il est toujours chômeur et sa copine est partie. Lorsqu’il reçoit une réponse négative à son dernier entretien d’embauche, ses derniers espoirs s’envolent… Lui qui n’a pas eu la vie dont il rêvait décide d’y mettre fin en se disant que ça au moins, il le fera comme il l’entend : en se jetant du haut d’un gratte-ciel. Mais la Mort intervient, qu’il meure, soit ! Mais qu’il se moque d’elle en disant qu’elle n’est qu’un vulgaire outil, ce n’est pas tolérable ! Elle décide donc de le punir en lui faisant subir 13 tragiques destins (13 autres morts). En plus d’une punition, c’est aussi un jeu car il va pouvoir intervenir pour changer le cours du destin ; s’il y arrive, il pourra continuer à vivre dans la peau de cette nouvelle personne. Death’s game propose un concept intéressant avec la personnification de La Mort qui est vexée et qui compte bien faire comprendre à Choi Yijae qu’elle n’est pas qu’un moyen pour arriver ailleurs mais qu’elle est une grande figure qui doit être crainte et surtout ne pas être prise à la légère ! Le personnage principal va donc expérimenter toute sorte de situations, certaines inéluctables comme être un passager d’un avion sur le point d’exploser en vol et d’autres où il pourra agir comme lorsqu’il se trouve dans la peau d’un adolescent harcelé. Seulement, ses décisions ont aussi des conséquences, il va devoir apprendre à mieux gérer ses actions. La série est terminée en 66 chapitres, disponibles sur Webtoon sous le titre Mort Imminente. Le webtoon est plutôt plaisant bien qu’on se demande parfois à quoi servent les chapitres très courts. Il y a peut-être un cheminement philosophique visant à nous faire comprendre que la vie est précieuse et que la mort peut surgir à n’importe quel moment…. J’espère avoir la réponse par la suite. En attendant, Death’s game se lit bien il est agréable graphiquement et plutôt intéressant. Vous pouvez vous laisser tenter ! Extrait Pour information, le webtoon a été adapté en drama. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/death-s-game-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Peleliu tome 8

    Titre de l'album : Peleliu tome 8 Scenariste de l'album : TAKEDA Kazuyoshi Dessinateur de l'album : TAKEDA Kazuyoshi Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Le soldat Tamaru et quelques-uns de ses camarades sont en plein doute. Ayant récupéré des magazines américains dans les poubelles de ces derniers, ils sont tombés sur des articles célébrant la fin de la guerre et la reddition du Japon. Mais est-ce la vérité ? Ou un mensonge de propagande pour les faire sortir de leur cachette ? Le Japon ne peut pas perdre. Le Japon ne se rend pas. Le Japon disparaîtra et les Japonais se sacrifieront plutôt que se couvrir du déshonneur de la reddition. Ainsi ont été élevés les soldats japonais depuis le début de la guerre. Ainsi les officiers supérieurs motivent-ils leurs troupes au plus fort des combats. Critique : C’est l’histoire de soldats japonais durant la seconde guerre mondiale pendant la bataille contre les américains sur l’ile de Peleliu. Le manga est une fiction inspirée de faits réels ; l’objectif de l’auteur est de montrer le quotidien de ces soldats au moment des bombardements et ensuite pendant l’occupation américaine. Les soldats coupés de toute communication et ayant perdus leurs supérieurs doivent se débrouiller tant bien que mal pour survivre et maintenir la ligne de défense. Dans ce 8ème volume et avec le retour des insulaires, les soldats se demandent si la guerre est finie, n’ayant d’autres informations que ce qu’ils trouvent dans le camp américain, le doute est omniprésent. Peleliu est à la fois un manga historique et un manga de guerre, le graphisme est assez enfantin avec des personnages tous ronds. Cela permet aux lecteurs de se concentrer sur les évènements (trouver de la nourriture, des abris, se cacher des ennemis, lutter contre les maladies…) et ne pas se focaliser sur les horreurs. Une très bonne approche pour apprendre l’histoire sans la subir, au travers de ces simples soldats, on comprend la mentalité japonaise et l’acharnement à ne pas vouloir capituler même quand tout espoir semble perdu. Une très bonne série. Autres infos : Edition VEGA Dupuis Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/peleliu-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Game of familia tome 8

    Toujours dans leur quête de rechercher des alliés pour combattre les Dead Mells, Sasae et sa familia entendent parler de « dragon », des êtres surpuissants qui se seraient réincarner dans ce monde. Hélas ces dragons ne sont pas toujours bienveillants et certains ont même causé de grandes guerres par le passé. Il est temps d’envoyer une équipe de reconnaissance pour savoir ce qu’il en est mais cette mission réserve une surprise de taille. Début d’un nouvel « arc » dans Game of Familia avec un tome qui met en place de nouveaux personnages. Si ce tome de transition n’est pas exceptionnel, il permet de donner un aperçu de la suite, une suite qui risque fort d’entrainer notre Familia dans une situation extrême et un conflit interne. Voilà qui changera un peu des combats habituels et qui permettra de pimenter un peu l’histoire.
  23. Titre de l'album : Game of familia tome 8 Scenariste de l'album : YAMAGUCHI Mikoto Dessinateur de l'album : D.P Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le dernier pays est gouverné par les " réincarnés " ! L'arc du dragon maléfique de Hilmzeld commence !! Grâce à sa confiance en sa Familia, Sasae a pu vaincre Ode Seeker et signer un accord de paix avec l'État magique de Laiknel. Des quatre grands pays du continent, le seul à lui être encore opposé est Hilmzeld, un État instable régi par des " dragons ", nom donné aux êtres humains réincarnés du même monde que Sasae. Adulés comme des dieux, ces dragons peuvent aussi bien faire régner la paix que faire couler le sang à Hilmzeld selon leur tempérament. Sugar et ses camarades sont ainsi envoyées en mission de repérage afin de découvrir quel est le caractère du dernier dragon né, mais la rencontre avec ce dernier révèle une chose inattendue... Critique : Toujours dans leur quête de rechercher des alliés pour combattre les Dead Mells, Sasae et sa familia entendent parler de « dragon », des êtres surpuissants qui se seraient réincarner dans ce monde. Hélas ces dragons ne sont pas toujours bienveillants et certains ont même causé de grandes guerres par le passé. Il est temps d’envoyer une équipe de reconnaissance pour savoir ce qu’il en est mais cette mission réserve une surprise de taille. Début d’un nouvel « arc » dans Game of Familia avec un tome qui met en place de nouveaux personnages. Si ce tome de transition n’est pas exceptionnel, il permet de donner un aperçu de la suite, une suite qui risque fort d’entrainer notre Familia dans une situation extrême et un conflit interne. Voilà qui changera un peu des combats habituels et qui permettra de pimenter un peu l’histoire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/game-of-familia-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Confidences nostalgiques tome 1

    Confidences nostalgiques est un recueil de petites histoires autour d’une même thématique : des histoires d’amour perdues. C’est la nostalgie du premier amour, le récit de rencontres, de séparations, l’ambition de la nouveauté et des premiers émois qui donnent des ailes et qui font penser que tout est possible. Des jeunes femmes reviennent sur leur passé et nous dévoilent des amours perdues qu’elles chérissent encore. Il y a les relations qui s’étiolent avec le temps ou avec la distance, celles qui finissent car les amants n’ont pas les mêmes objectifs, celle où parfois l’amitié dérape… Chaque histoire est agréable à lire, différente, belle dans sa narration et son graphisme. Ce sont des pages de vies qui se tournent sans lendemain et qui nous laisse un peu dans le même état : c’était bien tant qu’on était dans l’histoire mais maintenant que le livre est fini, il faut passer à autre chose. Je doute un peu du potentiel de relecture.
  25. Titre de l'album : Confidences nostalgiques tome 1 Scenariste de l'album : Tomata TAGAWA Dessinateur de l'album : Tomata TAGAWA Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Une fois arrivés à l’âge adulte, quel regard portons-nous sur nos amours de jeunesse ? Qu’elles aient été tendres ou difficiles, joyeuses ou tristes, enrichissantes ou teintées de regrets, elles finissent inlassablement par se rappeler à notre bon souvenir. Entrez dans l’intimité de jeunes adultes prêts à vous livrer les secrets de leurs relations passées... Critique : Confidences nostalgiques est un recueil de petites histoires autour d’une même thématique : des histoires d’amour perdues. C’est la nostalgie du premier amour, le récit de rencontres, de séparations, l’ambition de la nouveauté et des premiers émois qui donnent des ailes et qui font penser que tout est possible. Des jeunes femmes reviennent sur leur passé et nous dévoilent des amours perdues qu’elles chérissent encore. Il y a les relations qui s’étiolent avec le temps ou avec la distance, celles qui finissent car les amants n’ont pas les mêmes objectifs, celle où parfois l’amitié dérape… Chaque histoire est agréable à lire, différente, belle dans sa narration et son graphisme. Ce sont des pages de vies qui se tournent sans lendemain et qui nous laisse un peu dans le même état : c’était bien tant qu’on était dans l’histoire mais maintenant que le livre est fini, il faut passer à autre chose. Je doute un peu du potentiel de relecture. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/confidences-nostalgiques-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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