Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'seinen'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Le palais des assassins tome 1 Scenariste de l'album : IORI Tabasa Dessinateur de l'album : IORI Tabasa Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Plus facile d'assassiner ses ennemis que de se faire des amis ! Karin vient d'entrer comme apprentie servante au quartier des femmes du palais impérial. Dans ce lieu à part, elle espère réaliser son voeu de toujours : se faire des amies ! Fille du haut fonctionnaire le plus craint de l'empire et considérée comme le bras armé de son conspirateur de père, elle a toute sa vie vécu isolée. Même si elle est experte dans l'art de l'assassinat, elle n'aspire qu'à une vie normale ! Pourtant, les efforts qu'elle fournit pour se rapprocher de ses camarades sont vains, car la peur qu'elle inspire fait d'elle une paria... Un soir de tempête, alors qu'elle est au bord du désespoir, un garçon s'approche pour lui offrir son parapluie avant de disparaître... Ce n'est autre que l'empereur lui-même ! Ce geste d'amitié inattendu redonne courage à la jeune fille, qui jure de prouver sa reconnaissance. L'occasion ne tarde pas : elle débusque un assassin infiltré qui cherche à atteindre le petit monarque et l'élimine grâce à ses talents cachés ! Tant de gens veulent la perte du souverain... mais Karin se promet de le protéger dans l'ombre ! Comment fraterniser dans un nid de vipères ? Le Palais des assassins vous entraîne dans l'univers d'une héroïne aussi habile au combat que maladroite en amitié ! Critique : Nouveauté chez ki-oon et pour ceux qui connaissent Les carnets de l’apothicaire, on se retrouve un peu dans la même ambiance : des intrigues et des complots au cœur du palais impérial ! Ici l’empereur est un jeune garçon dont les deux demi-frères ont été assassinés, il est lui-même la cible de personnes cherchant à obtenir le pouvoir. Notre héroïne, Karin est la fille d’un haut-fonctionnaire influent et surtout effrayant, elle a hérité de lui toutes les techniques d’assassin mais prendre la suite de son père ne l’intéresse pas. Karin souhaite mener une vie tranquille et se faire des amies, c’est pourquoi elle cherche à se faire embaucher comme servante au cœur de la cour intérieure. Hélas, entre la réputation de sa famille et son regard un peu flippant, tout le monde s’éloigne d’elle. Malgré elle, Karin se retrouve au cœur de plusieurs évènements dramatiques, heureusement, elle a un sens de l’observation et des réactions hors du commun qui lui permettent d’agir rapidement et discrètement. Ce 1er tome est fort sympathique, il y a un côté sérieux avec tous les complots politiques, de l’humour avec Karin dont les agissements sont mal interprétés et de l’action avec les techniques d’assassin de sa famille. C’est peut-être sur ce dernier point que je mettrai un bémol : Karin est un peu trop douée et elle réussit à déjouer les pièges trop facilement (c’est limite un personnage cheaté), ce qui fait qu’on s’éloigne un peu du récit historique et qu’on se rapproche plus d’une fantaisie. Il reste que la lecture est agréable, le graphisme est maitrisé et le trame générale intéressante. Une série à suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-palais-des-assassins-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    JK Haru tome 5

    Bon vu les événements du tome 4 on se doutait que l’avenir de la belle Sikraso n’allait pas être aussi beau qu’elle l’avait espéré. Elle qui pensait partir pour remonter le moral des soldats avant la bataille en chantant s’est retrouvée malgré elle obligée de les contenter physiquement. L’influence du nouveau commandant sur ses hommes est tellement importante que ceux-ci sont passés de comportements « à peu près convenables » (pour ce monde) à complétement ignobles. Alors même s’il n’y a pas beaucoup d’événements dans ce volume, il reste intense et absolument horrifique. Le manga dénonçait des comportements sexistes et dégradants mais là, il a franchi un cap : le barbarisme comme s’il n’y a avait rien a sauvé chez les hommes. Quant à la fin du tome, on entre dans une phase plus liée à l’isekai, c’est-à-dire que l’on se retrouve avec une Haru qui a peut-être des compétences cachées et qui part chercher vengeance. Je reste un peu perplexe sur ce potentiel développement, il faudra attendre le tome 6 pour savoir vers quoi l’on tend.
  3. Nickad

    JK Haru tome 5

    Titre de l'album : JK Haru tome 5 Scenariste de l'album : HIRATORI Ko Dessinateur de l'album : YAMADA J-Ta Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Cet endroit aussi était un autre monde pour elle. Après un accident de la route, Haru, jeune lycéenne, s'est retrouvée dans un autre monde où elle est contrainte à travailler comme prostituée. Après de nombreuses aventures, elle décide de prendre la place de son aînée, Sikraso, partie en mission dans une caserne militaire. Critique : Bon vu les événements du tome 4 on se doutait que l’avenir de la belle Sikraso n’allait pas être aussi beau qu’elle l’avait espéré. Elle qui pensait partir pour remonter le moral des soldats avant la bataille en chantant s’est retrouvée malgré elle obligée de les contenter physiquement. L’influence du nouveau commandant sur ses hommes est tellement importante que ceux-ci sont passés de comportements « à peu près convenables » (pour ce monde) à complétement ignobles. Alors même s’il n’y a pas beaucoup d’événements dans ce volume, il reste intense et absolument horrifique. Le manga dénonçait des comportements sexistes et dégradants mais là, il a franchi un cap : le barbarisme comme s’il n’y a avait rien a sauvé chez les hommes. Quant à la fin du tome, on entre dans une phase plus liée à l’isekai, c’est-à-dire que l’on se retrouve avec une Haru qui a peut-être des compétences cachées et qui part chercher vengeance. Je reste un peu perplexe sur ce potentiel développement, il faudra attendre le tome 6 pour savoir vers quoi l’on tend. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jk-haru-sex-worker-in-another-world-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Céline, une vie parisienne tome 1

    XIXe siècle, Céline est une jeune fille de 14 ans qui est montée à Paris pour expérimenter la vie mais elle ne sait pas encore ce qu’elle veut faire. Le hasard la met sur la route d’un vieil homme chaleureux mais un peu étrange qui lui propose de devenir ses yeux : elle devra faire plein de petits boulots pour lui raconter la vie simple des parisiens afin d’écrire un livre. Céline semble un peu simple, un peu effacée, imperturbable et impassible mais c’est surtout parce qu’elle se pose des questions, elle découvre et observe un monde dont elle ignorait presque tout. Elle suit à la lettre les consignes que lui a laissée sa tutrice, personne que l’on ne voit pas mais qui est très importante pour Céline. Ce que M Fontaine veut montrer à Céline c’est ce que l'auteur veut faire découvrir au lecteur : le Paris de la fin du XIXe siècle à une époque de paix et de développement social et économique. Il nous parle de la ville, de ses quartiers mais surtout de ses habitants, tous les petits métiers qui existaient. A chaque fois, il y a une petite description du métier, la tranche de salaire, la pénibilité et l’évolution possible. L’auteur souhaitait parler du Paris qu’il avait découvert avec les impressionnistes et son manga est lui aussi comme un tableau. Il n’y a pas de jugement, c’est une rencontre, un regard doux posé sur une ville, une époque, sans extravagance ni drame. C’est à la fois un constat et une ballade, un moment agréable à partager.
  5. Titre de l'album : Céline, une vie parisienne tome 1 Scenariste de l'album : HINOSHITA Akame Dessinateur de l'album : HINOSHITA Akame Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Le quotidien des Parisiens comme vous ne l'avez jamais vu ! À Paris, une jeune fille de 14 ans, Céline, que l'on dit venir de la lune, cherche ce qu'elle aimerait faire dans la vie. Armée seulement des enseignements de sa tutrice, elle se rend à la capitale et tombe par hasard sur un vieux monsieur. Il lui propose de travailler dans un domaine qui lui permet de toucher diverses professions. Dans un Paris du XIXe siècle en plein essor, décrit tel un tableau, arrivera-t-elle à trouver sa voie ? Critique : XIXe siècle, Céline est une jeune fille de 14 ans qui est montée à Paris pour expérimenter la vie mais elle ne sait pas encore ce qu’elle veut faire. Le hasard la met sur la route d’un vieil homme chaleureux mais un peu étrange qui lui propose de devenir ses yeux : elle devra faire plein de petits boulots pour lui raconter la vie simple des parisiens afin d’écrire un livre. Céline semble un peu simple, un peu effacée, imperturbable et impassible mais c’est surtout parce qu’elle se pose des questions, elle découvre et observe un monde dont elle ignorait presque tout. Elle suit à la lettre les consignes que lui a laissée sa tutrice, personne que l’on ne voit pas mais qui est très importante pour Céline. Ce que M Fontaine veut montrer à Céline c’est ce que l'auteur veut faire découvrir au lecteur : le Paris de la fin du XIXe siècle à une époque de paix et de développement social et économique. Il nous parle de la ville, de ses quartiers mais surtout de ses habitants, tous les petits métiers qui existaient. A chaque fois, il y a une petite description du métier, la tranche de salaire, la pénibilité et l’évolution possible. L’auteur souhaitait parler du Paris qu’il avait découvert avec les impressionnistes et son manga est lui aussi comme un tableau. Il n’y a pas de jugement, c’est une rencontre, un regard doux posé sur une ville, une époque, sans extravagance ni drame. C’est à la fois un constat et une ballade, un moment agréable à partager. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/celine-une-ville-parisienne-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Pandora seven tome 1

    Lia vit tranquillement sur une petite ile isolée du reste du monde, elle est la seule humaine au milieu de 6 autres races, tout le monde s’entend très bien et la grande fête de l’ile est sur le point de débuter quand un vaisseau arrive. Des magiciens et guerriers humains débarquent, détruisent tout sur leur passage afin de trouver la boite de Pandore. Lia voulant sauver sa mère adoptive, fusionne malencontreusement avec la boite. Méchants humains, gentils monstres et boite mythique qui fera basculer le destin du monde, voici les éléments de ce manga. Il y a Lia, une humaine ayant grandie entourée d’affection sur une ile sans haine ni discrimination qui va se retrouver brutalement confrontée à la dure réalité du monde : soif de pouvoirs, abus physique, racisme, violence… La transition entre le début qui semble être une aventure toute mignonne et l’attaque des humains est assez violente, notre héroïne va de désenchantement en désenchantement, même l’espoir de trouver de l’aide auprès d’une sorcière la renvoie au constat amer de n’être jugée que par ses origines sans avoir pu s’exprimer. Il y a un décalage très net entre le graphisme rond du manga et le propos. Côté univers, Pandora seven surfe sur plusieurs vagues, il y a de l’heroic fantasy, de la dark fantasy, un côté science-fiction provenant des équipements humains et parfois un peu de légèreté humoristique. Le manga propose donc une multitude d’éléments variés dans ce 1er tome, pour le moment le mélange fonctionne bien mais certains évènements se déroulent un peu vite. Reste à savoir si l’auteur ne se perdra pas en cours de route, la série est en cours et compte 4 tomes actuellement. A suivre. Extrait
  7. Titre de l'album : Pandora seven tome 1 Scenariste de l'album : KAYASHIMA Yuta Dessinateur de l'album : KAYASHIMA Yuta Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lia, une jeune humaine élevée par une mère dragon, est la seule de son espèce sur la petite île où elle vit paisiblement entourée de nombreuses créatures fantastiques. Mais ses jours heureux prennent fin quand une armée d'humains sanguinaires débarque pour dévaster son île dans le seul but de récupérer la boîte de Pandore ! Critique : Lia vit tranquillement sur une petite ile isolée du reste du monde, elle est la seule humaine au milieu de 6 autres races, tout le monde s’entend très bien et la grande fête de l’ile est sur le point de débuter quand un vaisseau arrive. Des magiciens et guerriers humains débarquent, détruisent tout sur leur passage afin de trouver la boite de Pandore. Lia voulant sauver sa mère adoptive, fusionne malencontreusement avec la boite. Méchants humains, gentils monstres et boite mythique qui fera basculer le destin du monde, voici les éléments de ce manga. Il y a Lia, une humaine ayant grandie entourée d’affection sur une ile sans haine ni discrimination qui va se retrouver brutalement confrontée à la dure réalité du monde : soif de pouvoirs, abus physique, racisme, violence… La transition entre le début qui semble être une aventure toute mignonne et l’attaque des humains est assez violente, notre héroïne va de désenchantement en désenchantement, même l’espoir de trouver de l’aide auprès d’une sorcière la renvoie au constat amer de n’être jugée que par ses origines sans avoir pu s’exprimer. Il y a un décalage très net entre le graphisme rond du manga et le propos. Côté univers, Pandora seven surfe sur plusieurs vagues, il y a de l’heroic fantasy, de la dark fantasy, un côté science-fiction provenant des équipements humains et parfois un peu de légèreté humoristique. Le manga propose donc une multitude d’éléments variés dans ce 1er tome, pour le moment le mélange fonctionne bien mais certains évènements se déroulent un peu vite. Reste à savoir si l’auteur ne se perdra pas en cours de route, la série est en cours et compte 4 tomes actuellement. A suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pandora-seven-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    #DRCL midnight children tome 1

    Voici la série Ki-oon tant attendue de ce début d’année, une revisite du mythe de Dracula ! Bien sûr le sujet a été vu et revu et on peut s’inquiéter d’une énième variante. Rassurez-vous cette version est réussie et elle est même très intrigante ! On a d’abord une rencontre visuelle, un premier chapitre fort qui nous met dans l’ambiance, le graphisme est détaillé, fin et précis mais surtout sait nous plonger directement dans une ambiance inquiétante, légèrement horrifique. Puis vient la seconde rencontre, celle des « héros » de l’histoire, des étudiants en médecine qui naviguent entre réalité de leur époque (notamment la place des femmes dans les sciences), blagues morbides, mystère et poésie. On reconnait tout de suite la pâte graphique de Shin’ichi Sakamoto, qui avait déjà fait sensation en France avec ses titres Nés pour cogner, Ascension ou encore Innocent / Innocent Rouge. Encore une fois, on retrouve son goût pour des personnages atypiques allant de Mina, la jeune fille forte décidée à dépasser les limites de son époque à Luke en proie à une double personnalité. Les dessins sont envoutants, oniriques et il nous appartient d’y trouver notre propre signification. L’œuvre se veut innovante, elle s’inspire de Dracula pour nous emmener ailleurs. Un premier tome qui ne nous laisse pas de marbre sans savoir vraiment où il nous conduira. Extrait
  9. Titre de l'album : #DRCL midnight children tome 1 Scenariste de l'album : Shinichi SAKAMOTO , STOKER Bram Dessinateur de l'album : Shinichi SAKAMOTO Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le mythe de Dracula revisité par un orfèvre du manga ! À la fin du xixe siècle, un vaisseau russe embarque d'étranges caisses remplies d'une terre à l'odeur pestilentielle. La traversée des océans est un calvaire pour l'équipage : disparitions et morts suspectes s'enchaînent. Certains parlent d'un fantôme... Quand le bateau parvient enfin à destination en Angleterre, il a tout d'une épave flottante. Alors que la police portuaire se lance à la recherche de survivants, elle tombe sur une énorme créature mi-homme mi-loup, qui disparaît comme par magie... Quelques instants plus tard, dans le cimetière de la ville, quatre élèves du prestigieux établissement Whitby assistent à une scène terrifiante : un de leurs camarades est capturé par une bête ténébreuse ! Seule Mina Murray, l'unique fille de l'établissement, a le courage de voler à son secours, mais il est déjà trop tard... Critique : Voici la série Ki-oon tant attendue de ce début d’année, une revisite du mythe de Dracula ! Bien sûr le sujet a été vu et revu et on peut s’inquiéter d’une énième variante. Rassurez-vous cette version est réussie et elle est même très intrigante ! On a d’abord une rencontre visuelle, un premier chapitre fort qui nous met dans l’ambiance, le graphisme est détaillé, fin et précis mais surtout sait nous plonger directement dans une ambiance inquiétante, légèrement horrifique. Puis vient la seconde rencontre, celle des « héros » de l’histoire, des étudiants en médecine qui naviguent entre réalité de leur époque (notamment la place des femmes dans les sciences), blagues morbides, mystère et poésie. On reconnait tout de suite la pâte graphique de Shin’ichi Sakamoto, qui avait déjà fait sensation en France avec ses titres Nés pour cogner, Ascension ou encore Innocent / Innocent Rouge. Encore une fois, on retrouve son goût pour des personnages atypiques allant de Mina, la jeune fille forte décidée à dépasser les limites de son époque à Luke en proie à une double personnalité. Les dessins sont envoutants, oniriques et il nous appartient d’y trouver notre propre signification. L’œuvre se veut innovante, elle s’inspire de Dracula pour nous emmener ailleurs. Un premier tome qui ne nous laisse pas de marbre sans savoir vraiment où il nous conduira. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/drcl-midnight-children-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Un second au revoir tome 2

    Plus on avance dans cette série plus on s’engouffre dans une sorte de folie créative. L’art n’a sans doute pas de limites et les personnages talentueux semblent être inaccessibles. Alors, comment Hinata peut arriver à changer le passé et le destin de son ami si rien de ce qu’il découvre découle de comportements logiques ? En tout cas, il a trouvé un allié, un journaliste qui enquête sur le professeur d’arts plastiques mais encore une fois, tout se retrouve chamboulé. Difficile de faire un résumé ni de parler de ce second volume sans trop en dévoiler et ce serait vraiment dommage vu la tournure des événements. Sachez seulement que le second tome se termine comme le premier : sur un cliffhanger insoutenable. On sort de cette lecture frustré et excité, vivement la suite !
  11. Titre de l'album : Un second au revoir tome 2 Scenariste de l'album : TANAKA Tomo Dessinateur de l'album : TAKOGAWA Takomaru Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Hinata Harusawa reçoit un jour un appel : le corps de son meilleur ami, Sora Otonashi, disparu lorsqu'ils étaient en deuxième année de lycée, a été retrouvé. En observant la toile que Sora avait peinte avant sa disparition, un de ses amis remarque quelque chose... et est immédiatement attaqué par un inconnu... Critique : Plus on avance dans cette série plus on s’engouffre dans une sorte de folie créative. L’art n’a sans doute pas de limites et les personnages talentueux semblent être inaccessibles. Alors, comment Hinata peut arriver à changer le passé et le destin de son ami si rien de ce qu’il découvre découle de comportements logiques ? En tout cas, il a trouvé un allié, un journaliste qui enquête sur le professeur d’arts plastiques mais encore une fois, tout se retrouve chamboulé. Difficile de faire un résumé ni de parler de ce second volume sans trop en dévoiler et ce serait vraiment dommage vu la tournure des événements. Sachez seulement que le second tome se termine comme le premier : sur un cliffhanger insoutenable. On sort de cette lecture frustré et excité, vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-second-au-revoir-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Une critique de @Y_Kanzaki Les Idaten, ces divinités veillant sur les humains, n’ont plus rien à faire depuis que les démons menaçant de détruire le monde ont été scellés. A quoi bon passer ses journées à s’entraîner au combat lorsqu'il n’y a qu’un monde de paix qui se dessine à l’horizon ? De paix vous dites ? Ça, c’est sans compter sur les humains et leur insatiable envie de pouvoir ! Alors, que se passe-t-il lorsque des Idaten n’ayant aucun entraînement au combat se retrouvent à devoir affronter un démon que les humains ont ressuscité ? Au premier abord, on pourrait croire que cette histoire est un simple shonen où des dieux sans expérience doivent affronter des démons. Mais sous couvert de ce résumé, c’est en réalité la folie des Hommes qui est dépeinte: les démons sont ressuscités par des Hommes avides de pouvoir et de puissance. De plus, le rôle des Idaten est de protéger les humains, mais que faire lorsqu’ils se persécutent entre eux ? Doit-on intervenir alors qu’il faut juste protéger l’humanité en général et non chaque être humain ? Au niveau du graphisme, il y a un véritable contraste entre les traits des Idaten qui sont assez simples et enfantins et des passages où le dessin est bien plus franc et choquant. Cela fait bien ressortir la folie et la cruauté des Hommes. En conclusion, ce premier tome met vraiment l’accent sur le rôle des idaten et ce qu’ils considèrent comme un monde de paix. La deuxième moitié du tome introduit les dérives de l’Homme et sa cruauté, ce qui nous amène à nous demander qui sont les vrais démons. Un premier tome intéressant. ATTENTION ! Ce livre est destiné à un public adulte car certaines scènes sont choquantes et explicites ! Série finie en 9 tomes.
  13. Titre de l'album : The Idaten Deities know only peace tome 1 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : COOLKYOUSINNJYA Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Voilà 800 ans que les Idaten, divinités protectrices, on scellé les démons et que le monde vit en paix. Les jeunes Idaten n’ont rien vécu des combats acharnés et des sacrifices de leurs ancêtres. Ils ne connaissent rien de la guerre, de la peine et de l’acharnement des combats. Si le sceau vient à se briser, sauront-ils accomplir leur devoir et protéger l’humanité ? Critique : Une critique de @Y_Kanzaki Les Idaten, ces divinités veillant sur les humains, n’ont plus rien à faire depuis que les démons menaçant de détruire le monde ont été scellés. A quoi bon passer ses journées à s’entraîner au combat lorsqu'il n’y a qu’un monde de paix qui se dessine à l’horizon ? De paix vous dites ? Ça, c’est sans compter sur les humains et leur insatiable envie de pouvoir ! Alors, que se passe-t-il lorsque des Idaten n’ayant aucun entraînement au combat se retrouvent à devoir affronter un démon que les humains ont ressuscité ? Au premier abord, on pourrait croire que cette histoire est un simple shonen où des dieux sans expérience doivent affronter des démons. Mais sous couvert de ce résumé, c’est en réalité la folie des Hommes qui est dépeinte: les démons sont ressuscités par des Hommes avides de pouvoir et de puissance. De plus, le rôle des Idaten est de protéger les humains, mais que faire lorsqu’ils se persécutent entre eux ? Doit-on intervenir alors qu’il faut juste protéger l’humanité en général et non chaque être humain ? Au niveau du graphisme, il y a un véritable contraste entre les traits des Idaten qui sont assez simples et enfantins et des passages où le dessin est bien plus franc et choquant. Cela fait bien ressortir la folie et la cruauté des Hommes. En conclusion, ce premier tome met vraiment l’accent sur le rôle des idaten et ce qu’ils considèrent comme un monde de paix. La deuxième moitié du tome introduit les dérives de l’Homme et sa cruauté, ce qui nous amène à nous demander qui sont les vrais démons. Un premier tome intéressant. ATTENTION ! Ce livre est destiné à un public adulte car certaines scènes sont choquantes et explicites ! Série finie en 9 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/idaten-know-only-peace-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Kaijû Defense Force tome 2 Scenariste de l'album : INOUE Junya Dessinateur de l'album : INOUE Junya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : An X de l'ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, il n'est que le prologue de calamités à venir. Agrippé sous le paquebot de luxe Fugaku, le kaijû déploie ses tentacules à l'intérieur du bateau et attaque les passagers les uns après les autres. Pendant un instant, Konoé manque de sombrer face à cette situation désespérée et totalement imprévisible. Elle parvient cependant à retrouver son sang-froid et la voici désormais prête à donner le signal de la contre-attaque... Son courage parviendra-t-il à sauver les passagers du danger ? Critique : La situation est tendue à bord du Fugaku, il faut absolument arriver à prévenir les passagers de s’éloigner des fenêtres, la kaijû déploie ses tentacules par chaque ouverture et arrive même à défoncer les portes. Heureusement Konoé se rend compte que le bruit les attire, elle arrive à transmettre un message et à joindre également ses supérieurs pour les tenir au courant de la situation. Après bien des négociations, l’équipe de secours se prépare à intervenir. Junya Inoue, surtout connu en France pour sa série Btooom, est un auteur qui sait faire de bons scénarios avec un équilibre entre action, fantastique et tranche de vie. Son trait est percutant et détaillé, ses scènes de combats et d’attaques sont dynamiques et sa mise en scène est efficace. Kaiju defense force est comme un bon film catastrophe, un peu comme Godzilla, où de simples humains pétris de bonne volonté vont surpasser leurs limites pour affronter un monstre inconnu au péril de leur vie et sauver les humains. Le rythme est endiablé, l’action constante, on ne s’ennuie pas un seul instant et on ne demande qu’à lire la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-defense-force-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Kaijû Defense Force tome 2

    La situation est tendue à bord du Fugaku, il faut absolument arriver à prévenir les passagers de s’éloigner des fenêtres, la kaijû déploie ses tentacules par chaque ouverture et arrive même à défoncer les portes. Heureusement Konoé se rend compte que le bruit les attire, elle arrive à transmettre un message et à joindre également ses supérieurs pour les tenir au courant de la situation. Après bien des négociations, l’équipe de secours se prépare à intervenir. Junya Inoue, surtout connu en France pour sa série Btooom, est un auteur qui sait faire de bons scénarios avec un équilibre entre action, fantastique et tranche de vie. Son trait est percutant et détaillé, ses scènes de combats et d’attaques sont dynamiques et sa mise en scène est efficace. Kaiju defense force est comme un bon film catastrophe, un peu comme Godzilla, où de simples humains pétris de bonne volonté vont surpasser leurs limites pour affronter un monstre inconnu au péril de leur vie et sauver les humains. Le rythme est endiablé, l’action constante, on ne s’ennuie pas un seul instant et on ne demande qu’à lire la suite !
  16. Nickad

    Succubus & Hitman tomes 3 & 4

    Le 3e tome de la série marque la fin de l’affrontement des Sold Killers contre le clan Aragami, les combats sont denses et violents, leur mise en scène est efficace et rythmée. Pendant ce temps, l’érotisme est de mise dans la salle ont sont retenues les jeunes filles. Mais leur combat, durement gagné, a aussi attiré l’attention de personnes dangereuses comme le baron de la drogue d’Asie du Sud-Est. Ce dernier a un plan à exécuter qui implique des sacrifices humains, les Sold Killers comptent bien l’en empêcher. De l’action, du gore et de l’érotisme, les 3 piliers de la série augmentent encore d’un niveau. Si tous ces éléments sont parfaitement équilibrés et mis en valeur par un excellent graphisme, on a tendance à perdre un peu de vue la trame principale. Le chemin de notre héros semble n’être semé que d’embuches et il lui faudra sans doute du temps pour arriver à ses fins. En attendant le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer ! Soulignons le fait qu’il y a quand même une morale car notre héros ne peut passer devant une injustice sans agir et punit les méchants. Une série qui va à 100 à l’heure et qui est efficace.
  17. Titre de l'album : Succubus & Hitman tomes 3 & 4 Scenariste de l'album : FUKAMI makoto Dessinateur de l'album : TOKIYA Seigo Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Shôya et Ryôgo, les Sold Killers, livrent un duel acharné contre les Violators Jingo Ootori et Hyôe Kakizaki, membres du clan Aragami. Alors qu'ils luttent contre ce ninja de l'ombre et cet épéiste du vent, ils vont vite comprendre que leur combat est loin d'être terminé... Critique : Le 3e tome de la série marque la fin de l’affrontement des Sold Killers contre le clan Aragami, les combats sont denses et violents, leur mise en scène est efficace et rythmée. Pendant ce temps, l’érotisme est de mise dans la salle ont sont retenues les jeunes filles. Mais leur combat, durement gagné, a aussi attiré l’attention de personnes dangereuses comme le baron de la drogue d’Asie du Sud-Est. Ce dernier a un plan à exécuter qui implique des sacrifices humains, les Sold Killers comptent bien l’en empêcher. De l’action, du gore et de l’érotisme, les 3 piliers de la série augmentent encore d’un niveau. Si tous ces éléments sont parfaitement équilibrés et mis en valeur par un excellent graphisme, on a tendance à perdre un peu de vue la trame principale. Le chemin de notre héros semble n’être semé que d’embuches et il lui faudra sans doute du temps pour arriver à ses fins. En attendant le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer ! Soulignons le fait qu’il y a quand même une morale car notre héros ne peut passer devant une injustice sans agir et punit les méchants. Une série qui va à 100 à l’heure et qui est efficace. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/succubus-hitman-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    The tunnel to summer tome 4

    C’est une belle fin ! Pas forcément dans le sens où tout se termine bien mais c’est une fin intelligente, bien menée qui a une véritable conclusion ! Une fin où l’on obtient des réponses et qui peut mener à une réflexion. D’ailleurs de ce côté-là, le manga ouvre la porte sur plusieurs thématiques telles que le deuil, la culpabilité, la confiance en soi, l’accomplissement de soi… Si les personnages obtiennent quelque chose, le lecteur est également servi, l’histoire ne laisse pas indifférent. Les 4 tomes ont été captivants alors si vous voulez en avoir encore plus, le dvd du film est déjà disponible en anglais et ne devrait plus tarder à sortir en France. En attendant, allez lire cette excellente courte série, vous ne le regretterez pas !
  19. Titre de l'album : The tunnel to summer tome 4 Scenariste de l'album : Mei Hachimoku Dessinateur de l'album : Koudon Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un matin d'été, Kaoru Tôno entend parler d'une intrigante légende urbaine. Un tunnel connu sous le nom d'Urashima permettrait d'exaucer tous les vœux. Et si ce lieu pouvait permettre au jeune lycéen de retrouver celle qui lui était si chère ? Alors que Hanashiro et Kaoru décident de se plonger dans leur dernière exploration du tunnel, ce dernier apprend que Hanashiro a reçu une proposition qui lui permettrait de réaliser son rêve, et elle tarde à faire un choix pour son avenir. Devant l'hésitation de son amie, Kaoru prend une terrible décision...Découvrez le dénouement poignant de cette saga estivale oscillant avec douceur et finesse entre romance et fantastique, pour dévoiler un final profondément humain Critique : C’est une belle fin ! Pas forcément dans le sens où tout se termine bien mais c’est une fin intelligente, bien menée qui a une véritable conclusion ! Une fin où l’on obtient des réponses et qui peut mener à une réflexion. D’ailleurs de ce côté-là, le manga ouvre la porte sur plusieurs thématiques telles que le deuil, la culpabilité, la confiance en soi, l’accomplissement de soi… Si les personnages obtiennent quelque chose, le lecteur est également servi, l’histoire ne laisse pas indifférent. Les 4 tomes ont été captivants alors si vous voulez en avoir encore plus, le dvd du film est déjà disponible en anglais et ne devrait plus tarder à sortir en France. En attendant, allez lire cette excellente courte série, vous ne le regretterez pas ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tunnel-to-summer-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Chastity reverse world tome 4

    Je le dis clairement, je suis déçue par ce 4e tome et pourtant j’aime beaucoup le concept de cette série. Pourquoi ? Parce que l’auteur ne va pas au bout de son idée !! Nous sommes ici dans un monde inversé : les filles sont perverses, elles matent des revues et des photos porno d’hommes et pourtant ce n’est pas ce que le manga montre ! Alors soi-disant pour que ce soit moins choquant visuellement, l’auteur remplace les hommes nus par des femmes nues !! Elle est où l’égalité ?? On peut montrer des seins mais pas des sexes ? Où est donc passé la volonté de dénoncer les attitudes sexistes si le manga lui-même fait de la discrimination ? En plus de cela, ça perturbe la lecture, tout à coup, on se demande pourquoi elle trie des photos de femmes… Voilà c’était mon coup de gueule !! je trouve ça choquant ! Pour en revenir à la suite du livre, il y a une bonne trouvaille : la façon dont nos deux personnages « déplacés » tentent de trouver des histoires hentai adaptées à leurs gouts. Mais bon, je crains que l’histoire ne se renouvelle pas assez pour maintenir l’intérêt éveillé.
  21. Titre de l'album : Chastity reverse world tome 4 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : MANTAROU Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Gh... Je ne m'attendais pas à ce que la chasteté inversée ait ce genre de conséquences... Catapultés dans un monde où la chasteté est inversée, Ichikawa et Urisugi, tous deux lycéens, essaient de s'acclimater à ce nouvel et étrange univers, et à sa mystérieuse vision du sexe. Les petites choses du quotidien et la moindre discussion s'avèrent bien plus compliquées que prévu, étant donné le décalage entre leur mentalité et celle des gens qui les entourent... Critique : Je le dis clairement, je suis déçue par ce 4e tome et pourtant j’aime beaucoup le concept de cette série. Pourquoi ? Parce que l’auteur ne va pas au bout de son idée !! Nous sommes ici dans un monde inversé : les filles sont perverses, elles matent des revues et des photos porno d’hommes et pourtant ce n’est pas ce que le manga montre ! Alors soi-disant pour que ce soit moins choquant visuellement, l’auteur remplace les hommes nus par des femmes nues !! Elle est où l’égalité ?? On peut montrer des seins mais pas des sexes ? Où est donc passé la volonté de dénoncer les attitudes sexistes si le manga lui-même fait de la discrimination ? En plus de cela, ça perturbe la lecture, tout à coup, on se demande pourquoi elle trie des photos de femmes… Voilà c’était mon coup de gueule !! je trouve ça choquant ! Pour en revenir à la suite du livre, il y a une bonne trouvaille : la façon dont nos deux personnages « déplacés » tentent de trouver des histoires hentai adaptées à leurs gouts. Mais bon, je crains que l’histoire ne se renouvelle pas assez pour maintenir l’intérêt éveillé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chastity-reverse-world-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Beautiful place tome 1

    Des lycéennes armées jusqu’au dent, en uniforme ou en tenue de lolita, qui parlent comme des charretiers et qui se font la guerre sans pitié, ça vous tente ? Et tout ça bien sûr dans un pays en guerre civile, dans une ville soi-disant neutre en proie à une alerte tempête de sable ! Pour être honnête, je ne sais pas trop quoi penser de ce 1er tome et seul tome à l’heure actuelle. Il y a sans doute une trame de fond, peut-être une volonté de dénoncer des éléments de la guerre ou peut-être l’envie de montrer, au travers du personnage de Simone, qu’il peut y avoir de l’espoir ou de la tolérance au cœur d’un conflit. Je ne sais pas… Si certains éléments nous laissent entrevoir ces possibles thématiques, ce qui ressort de ce volume ce sont des combats de filles tatouées et en jupe. Un pur fan service ! Cependant les combats sont joliment menés et le personnage de Simone amène de la fraicheur tant par son vocabulaire soutenu que sa façon d’être. Je vous laisse seul juge.
  23. Titre de l'album : Beautiful place tome 1 Scenariste de l'album : MATSUMOTO Jirô Dessinateur de l'album : MATSUMOTO Jirô Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : La guerre civile ravage le Japon. Simone Hanazawa, lycéenne et soldate, a pour mission d’éradiquer la criminalité dans sa ville... mission qu’elle partage avec son instructrice, la forte tête Momoko Takasaka, et bien d’autres jeunes filles dont les lycées se sont militarisés. Dans le chaos ambiant où la violence règne en maître, il faudra à Simone une volonté de fer (et une arme bien chargée) pour défendre ses principes moraux. Critique : Des lycéennes armées jusqu’au dent, en uniforme ou en tenue de lolita, qui parlent comme des charretiers et qui se font la guerre sans pitié, ça vous tente ? Et tout ça bien sûr dans un pays en guerre civile, dans une ville soi-disant neutre en proie à une alerte tempête de sable ! Pour être honnête, je ne sais pas trop quoi penser de ce 1er tome et seul tome à l’heure actuelle. Il y a sans doute une trame de fond, peut-être une volonté de dénoncer des éléments de la guerre ou peut-être l’envie de montrer, au travers du personnage de Simone, qu’il peut y avoir de l’espoir ou de la tolérance au cœur d’un conflit. Je ne sais pas… Si certains éléments nous laissent entrevoir ces possibles thématiques, ce qui ressort de ce volume ce sont des combats de filles tatouées et en jupe. Un pur fan service ! Cependant les combats sont joliment menés et le personnage de Simone amène de la fraicheur tant par son vocabulaire soutenu que sa façon d’être. Je vous laisse seul juge. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/beautiful-place-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Badducks tomes 1 à 3

    Dans l’univers de Badducks, il y a les humains d’un côté et de l’autre, derrière un grand mur, la mafia avec ses agissements suspects : des magouilles, de la prostitution… et du trafic d’organes. Vous trouverez là les pauvres gens, ceux qui n’ont pas d’autres choix que de vendre leurs organes pour rembourser leurs dettes mais aussi tous les parias de la société et bien sûr, une grande majorité de non-humains. Morgan a non seulement perdu ses parents quand il était enfant mais il doit aussi rembourser leurs dettes. Lui qui pensait pouvoir se marier et vivre une vie tranquille, le voilà embarquer dans les bas-fonds. Muni d’organes artificiels et d’un mécanisme dans le cerveau, il sent bien qu’il ne faut pas qu’il traine trop de ce côté-ci du mur… Mais comment faire quand vous n’avez plus d’identité ? Il n’a guère le temps de se poser la question, qu’une jeune non-humaine, Lisa, lui propose une évasion suivi d'un petit cambriolage histoire de pouvoir se retourner une fois dehors. Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’est qu’il y ait un bébé dans la valise qu’ils dérobent. Les voilà obligés de s’enfuir avec la mafia aux trousses et un bébé à charge ! Le début du 1er tome est un peu confus, la lecture n’est pas fluide et certaines temporalités ne sont pas claires. Heureusement, cela passe assez vite et on comprend au fur et à mesure que le méchant mafieux Nguyen souhaite surtout récupérer Lisa. Mais comme Morgan a un grand cœur, il est hors de question de l’abandonner à son sort. Avec son petit côté road trip et ses courses poursuites, Badducks propose une histoire dynamique, aussi originale dans le concept des personnages que dans le graphisme. Le rythme est bon est on ne s’ennuie pas au cours de ses 3 tomes. L’histoire se termine au tome 4 qui devrait sortir en février. Cependant, même si l’histoire est bien menée et s’enchaîne bien, les personnages ne sont pas vraiment attachants et quelques explications supplémentaires par moment ne seraient pas du luxe. Badducks nous change quand même des histoires habituelles et rien que pour ça, il mérite le détour.
  25. Titre de l'album : Badducks tomes 1 à 3 Scenariste de l'album : Toryumon TAKEDA Dessinateur de l'album : Toryumon TAKEDA Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Morgan n’a jamais eu de chance. À 10 ans, il est abandonné par ses parents, et 20 ans plus tard la mafia vient lui réclamer le règlement de la dette qu’ils lui ont léguée. Sans le sou, le seul moyen de s’en acquitter est de servir de cobaye aux expériences de Nguyen, maître du monde du crime. Les rejetés de la société, et en particulier les non-humains, finissent sous ses ordres en tant que tueurs, prostitués ou travailleurs forcés. Morgan se réveille avec un tube dans la nuque et… une force exceptionnelle ! Son identité a été effacée : le voici condamné à une vie de servitude. Au moment où il croit tout perdu, Lisa, dernière représentante de son espèce et esclave de la mafia, lui propose un plan d’évasion. Rien ne tourne comme prévu, et les fugitifs se retrouvent avec un bébé dans leurs bagages ! Peu importe, ils font avec… Les deux comparses n’ont ni expérience du combat ni ressources, mais leur soif de liberté est sans égale ! Critique : Dans l’univers de Badducks, il y a les humains d’un côté et de l’autre, derrière un grand mur, la mafia avec ses agissements suspects : des magouilles, de la prostitution… et du trafic d’organes. Vous trouverez là les pauvres gens, ceux qui n’ont pas d’autres choix que de vendre leurs organes pour rembourser leurs dettes mais aussi tous les parias de la société et bien sûr, une grande majorité de non-humains. Morgan a non seulement perdu ses parents quand il était enfant mais il doit aussi rembourser leurs dettes. Lui qui pensait pouvoir se marier et vivre une vie tranquille, le voilà embarquer dans les bas-fonds. Muni d’organes artificiels et d’un mécanisme dans le cerveau, il sent bien qu’il ne faut pas qu’il traine trop de ce côté-ci du mur… Mais comment faire quand vous n’avez plus d’identité ? Il n’a guère le temps de se poser la question, qu’une jeune non-humaine, Lisa, lui propose une évasion suivi d'un petit cambriolage histoire de pouvoir se retourner une fois dehors. Ce qu’ils n’avaient pas prévu c’est qu’il y ait un bébé dans la valise qu’ils dérobent. Les voilà obligés de s’enfuir avec la mafia aux trousses et un bébé à charge ! Le début du 1er tome est un peu confus, la lecture n’est pas fluide et certaines temporalités ne sont pas claires. Heureusement, cela passe assez vite et on comprend au fur et à mesure que le méchant mafieux Nguyen souhaite surtout récupérer Lisa. Mais comme Morgan a un grand cœur, il est hors de question de l’abandonner à son sort. Avec son petit côté road trip et ses courses poursuites, Badducks propose une histoire dynamique, aussi originale dans le concept des personnages que dans le graphisme. Le rythme est bon est on ne s’ennuie pas au cours de ses 3 tomes. L’histoire se termine au tome 4 qui devrait sortir en février. Cependant, même si l’histoire est bien menée et s’enchaîne bien, les personnages ne sont pas vraiment attachants et quelques explications supplémentaires par moment ne seraient pas du luxe. Badducks nous change quand même des histoires habituelles et rien que pour ça, il mérite le détour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/badducks-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...