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Titre de l'album : DC vampires - world war V tome 1 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Suite à l'invasion par les vampires, le monde est plongé dans l'ombre. Les protecteurs de la Terre sont décimés : plus de Ligue de Justice, plus de héros... C'est la fin de l'hiver, et tout espoir d'une trêve fragile entre les héros humains dirigés par Green Arrow et l'armée de la reine des vampires, Barbara Gordon, a été anéanti par Damian Wayne et ses combattants de la guérilla. Il est le seul à continuer le combat contre les hordes assoiffées de sang, laissant Green Arrow face à un choix : se battre ou sacrifier le garçon au nom de la paix ? Contenu vo : DC Vampire : World War V #1-6. Critique : Bon on était tous d'accord, DC Vampires était une bonne WTF idée. Après les zombies, confronter les personnages de DC avec... des vampires. Vampires leur laissant la faculté de réfléchir et de vouloir s'imposer, tout en gérant… leur stock de nourriture bien sur. Voir les plus grand héros devenir des vampires étaient jouissifs. Mais de là à dire qu'une suite était nécessaire… On retrouve le même concept sauf que l'on reprend l'histoire, un moment de "paix" entre les Vampires et les humains toujours restants. Pour dynamiser tout ça (car c'est quand même pas mal déjà vu) nos auteurs nous font arriver toute la partie galactique de l'univers DC avec au centre de tout le fils de Mister Miracle et de Barda. Si cet aspect est cool il n'est, à mon avis, pas assez exploité, laissant un peu trop de place à d'autre combat entre humains et vampires, cherchant toujours comment battre un Vampire super héros sans se faire contaminer. Une suite que l'on sent un peu poussée par le succès du premier tome... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dc-vampires-world-war-v-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon on était tous d'accord, DC Vampires était une bonne WTF idée. Après les zombies, confronter les personnages de DC avec... des vampires. Vampires leur laissant la faculté de réfléchir et de vouloir s'imposer, tout en gérant… leur stock de nourriture bien sur. Voir les plus grand héros devenir des vampires étaient jouissifs. Mais de là à dire qu'une suite était nécessaire… On retrouve le même concept sauf que l'on reprend l'histoire, un moment de "paix" entre les Vampires et les humains toujours restants. Pour dynamiser tout ça (car c'est quand même pas mal déjà vu) nos auteurs nous font arriver toute la partie galactique de l'univers DC avec au centre de tout le fils de Mister Miracle et de Barda. Si cet aspect est cool il n'est, à mon avis, pas assez exploité, laissant un peu trop de place à d'autre combat entre humains et vampires, cherchant toujours comment battre un Vampire super héros sans se faire contaminer. Une suite que l'on sent un peu poussée par le succès du premier tome...
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Le premier diptyque introduisant l'univers de Dark Knight of Steel était vraiment bon. Il est donc normal que des spin off voient le jour. Le triuc est de réussir à en faire autre chose qu'une suite purement commerciale. Et bien, c'est une chose bien faite pour de All WInter. Déjà il reprend une grande partie des personnages de l'univers de DC qui n'était pas partie prenante du premier diptyque, à savoir Deadstroke, Vandal Savage mais aussi Alex Holland et son lien particulier avec la sève ou un certain Arthur Curry... Mais plus que de reprendre des personnages manquants, ce spin off nous livre une histoire intrigante, aussi bien graphiquement que scénaristiquement. En effet cette région du monde est soumise au Froidhiver.. qui a fait disparaitre toutes les couleurs ! On se trouve avec une aventure en noir et blanc plutôt superbe, à la recherche de couleurs que seul la sève peut amener. Cela nous donne un ensemble savoureux et un spin off particulièrement réussi. À noter qu'en plus ce one shot se conclu par une minihistoire introduisant un prochain one shot sur Arthur Curry et l'atlantide....
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Titre de l'album : Dark knights of steel - Allwinter Scenariste de l'album : Tom Taylor | Jay Kristoff Dessinateur de l'album : Riccardo Federici | Tirso Coloriste : Riccardo Federici | Tirso Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La neige tombe en abondance, le sang coule noir, et la couleur elle-même n'est plus qu'un lointain souvenir. Le légendaire assassin Deathstroke écume une terre gelée, tuant pour l'argent au sein d'une nation de jarls en guerre perpétuelle. Mais lorsque ce guerrier impitoyable doit escorter un jeune enfant aux mystérieux pouvoirs, choisira-t-il de prendre les armes pour mettre fin à la malédiction glaciale qui sévit sur ses terres, ou se laissera-t-il consumer par les erreurs de son passé ? Contenu vo : Dark Knights of Steel: Allwinter #1-6. Critique : Le premier diptyque introduisant l'univers de Dark Knight of Steel était vraiment bon. Il est donc normal que des spin off voient le jour. Le triuc est de réussir à en faire autre chose qu'une suite purement commerciale. Et bien, c'est une chose bien faite pour de All WInter. Déjà il reprend une grande partie des personnages de l'univers de DC qui n'était pas partie prenante du premier diptyque, à savoir Deadstroke, Vandal Savage mais aussi Alex Holland et son lien particulier avec la sève ou un certain Arthur Curry... Mais plus que de reprendre des personnages manquants, ce spin off nous livre une histoire intrigante, aussi bien graphiquement que scénaristiquement. En effet cette région du monde est soumise au Froidhiver.. qui a fait disparaitre toutes les couleurs ! On se trouve avec une aventure en noir et blanc plutôt superbe, à la recherche de couleurs que seul la sève peut amener. Cela nous donne un ensemble savoureux et un spin off particulièrement réussi. À noter qu'en plus ce one shot se conclu par une minihistoire introduisant un prochain one shot sur Arthur Curry et l'atlantide.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-knights-of-steel-allwinter-9791026823162?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Superman space age Scenariste de l'album : Dave Sharpe | Mark Russell Dessinateur de l'album : Mike Allred Coloriste : Mike Allred Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 4 octobre 1957. Le lancement du satellite Spoutnik inaugure une nouvelle ère pour l'humanité, basée sur l'exploration spatiale, l'avancée technologique et... Superman. Fraîchement arrivé à Metropolis, ce dernier découvre un monde rempli de promesses mais aussi d'injustices. Accompagné de ses futurs coéquipiers de la Ligue de Justice, Superman va tout faire pour apporter la paix et l'espoir dans une époque où les événements politiques et sociaux s'entremêlent aux grandes menaces cosmiques ! Contenu vo : Superman - The Space Age #1-3. Critique : Attention super lecture pour les "néophytes" et les autres ! Ne vous fiez pas au dessin un peu vieillot, ce Superman est un super one shot qui ravira ceux qui suivent superman à distance. C'est un one shot parfait sur un superman des années 70. Un one shot qui décrit toute l'histoire de superman, de son arrivée à sa mort (pour les connaisseurs, on est bien sûr dans un univers parallèle) en passant par toutes les modifications que sa présence a engendrées, : La fin de la menace nucléaire, la création d'une ligue de justice, les combats de tous les jours mais aussi galactiques.... Tout cela sans oublier la façon dont Superman s'est lui-même modelé. La façon dont il a conquis Lois et dont il a géré la dualité "Clark/Superman". La ou ce one shot est une véritable réussite, c'est que Mark Russel réussit à faire tenir tout cela dans un one shot, coutant dans les détails des crises pour ne garder que l'essentiel de la vie de superman. Un essentiel parfait pour toute personne ne connaissant pas très bien l'homme d'acier mais un essentiel qui plaira quand même au fan par le profond respect accordé à la trame principale de la construction de notre héros. En bref une super réussite dont le dessin de prime abord un peu vieillot finit par se caler complètement à la tristesse inhérente au récit. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-space-age/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Attention super lecture pour les "néophytes" et les autres ! Ne vous fiez pas au dessin un peu vieillot, ce Superman est un super one shot qui ravira ceux qui suivent superman à distance. C'est un one shot parfait sur un superman des années 70. Un one shot qui décrit toute l'histoire de superman, de son arrivée à sa mort (pour les connaisseurs, on est bien sûr dans un univers parallèle) en passant par toutes les modifications que sa présence a engendrées, : La fin de la menace nucléaire, la création d'une ligue de justice, les combats de tous les jours mais aussi galactiques.... Tout cela sans oublier la façon dont Superman s'est lui-même modelé. La façon dont il a conquis Lois et dont il a géré la dualité "Clark/Superman". La ou ce one shot est une véritable réussite, c'est que Mark Russel réussit à faire tenir tout cela dans un one shot, coutant dans les détails des crises pour ne garder que l'essentiel de la vie de superman. Un essentiel parfait pour toute personne ne connaissant pas très bien l'homme d'acier mais un essentiel qui plaira quand même au fan par le profond respect accordé à la trame principale de la construction de notre héros. En bref une super réussite dont le dessin de prime abord un peu vieillot finit par se caler complètement à la tristesse inhérente au récit.
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Titre de l'album : The nice house by the sea tome 1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Álvaro Mártinez Bueno Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Aucun des douze convives de cette belle demeure en bord de Méditerranée ne connaissait Max. Elle connaissait pourtant chacun d'entre eux. Experts dans leur domaine, géants de l'industrie et du savoir moderne, chacun d'entre eux est l'excellence personnifiée. Pour échapper à la fin du monde et incarner l'avenir de l'Humanité, tous ont accepté en leur âme et conscience de se réunir dans ce petit paradis créé rien que pour eux, abandonnant vie et proches à leur triste sort. Survivre à la mort programmée de l'humanité ? Vivre éternellement ? Que pourrait-il y avoir de mal à ça ? Contenu vo : The Nice House by the Sea (#1-6). Critique : Et dire que j'avais eu peur. Pardon monsieur James Tyrion IV ! J'avais eu peur en voyant que le tome suivant n'était pas "libellé" comme la suite directe des deux premiers. J'avais eu peur qu'on tombe dans une histoire qui se délaye juste parce que les deux premiers avaient super bien marché. ET bien j'ai eu tort de douter. En effet ce Nice house by the sea est la suite directe des deux premiers tomes. Et quelle suite ! C'est tout simplement parfait. James Tyrion IV nous livre une suite qui coche toutes les cases : on continue à élargir un peu le contexte tout en nous expliquant de plus en plus les motivations et les règles que se posent les extra terrestres. Il réussit surtout à introduire la deuxième maison, mais sans trop s'appesantir sur ces nouveaux arrivants pour très rapidement faire un lien intelligent entre les deux et ajouter un objectif à nos "survivants" oisifs. C'est le troisième tome parfait ! Vivement le quatrième ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-nice-house-by-the-sea-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et dire que j'avais eu peur. Pardon monsieur James Tyrion IV ! J'avais eu peur en voyant que le tome suivant n'était pas "libellé" comme la suite directe des deux premiers. J'avais eu peur qu'on tombe dans une histoire qui se délaye juste parce que les deux premiers avaient super bien marché. ET bien j'ai eu tort de douter. En effet ce Nice house by the sea est la suite directe des deux premiers tomes. Et quelle suite ! C'est tout simplement parfait. James Tyrion IV nous livre une suite qui coche toutes les cases : on continue à élargir un peu le contexte tout en nous expliquant de plus en plus les motivations et les règles que se posent les extra terrestres. Il réussit surtout à introduire la deuxième maison, mais sans trop s'appesantir sur ces nouveaux arrivants pour très rapidement faire un lien intelligent entre les deux et ajouter un objectif à nos "survivants" oisifs. C'est le troisième tome parfait ! Vivement le quatrième !
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En parallèle de l'émergence de l'energonverse, Urban continue d'explorer un autre univers, celui de Geoff Johns nommé : The unnamed. Apres Geiger et Junkyard Joe, voici un troisième héros inconnu appelé The redcoat. Ancien déserteur de la guerre de sécession, il a acquis complètement par hasard l'immortalité et.... n'en profite pas vraiment au vu de sa vie lors du début de l'album. Geoff Johns nous livre ici un antihéros assez classique avec un traitement de l'immortalité qui l'est tout autant. Si le traitement de l'histoire est plutôt bon avec un rythme soutenu et des aventures vraiment rocambolesques, le traitement du pouvoir d'immortalité est lui un peu trop facile. On a déjà beaucoup vu le "poids" de l'immortalité, avec la peur de s'attacher tout ça tout ça. Ca ne veut pas dire qu'on ne passe pas un bon moment à la lecture de ce récit plein de méchants déguisés en KKK, de jeunes surdoués et d'immortel qui ne le sont pas forcément vraiment vraiment. Juste qu'un peu plus d'originalité aurait été pas mal 🙂
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Titre de l'album : The unnamed - Redcoat tome 1 Scenariste de l'album : Geoff Johns (Scénario) Dessinateur de l'album : Bryan Hitch | Andrea Mutti Coloriste : Bryan Hitch Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Simon Pure, un soldat déserteur de l'armée britannique lors de la Guerre d'Indépendance américaine, voit son destin bouleversé par un rituel magique auquel il n'aurait jamais dû assister. Devenu immortel malgré lui, il balade son arrogance et son inconséquence à travers les époques, s'attirant toujours plus d'ennuis et manquant à chaque fois de provoquer un paradoxe temporel majeur. Et si c'était possible, la vie éternelle de Pure prend un tournant inattendu lorsqu'il croise la route d'un jeune garçon de 13 ans nommé Albert Einstein... THE UNNAMED : REDCOAT suit les aventures de Simon Pure, un personnage irrévérencieux qui, au fil de son existence, croise des figures historiques majeures. Geoff JOHNS (GREEN LANTERN, FLASH) et Bryan HITCH (THE AUTHORITY) proposent une nouvelle série régulière dans l'univers partagé de THE UNNAMED, où la magie, les voyages dans le temps et la conspiration règnent en maîtres. Contenu vo : Redcoat #1-7 + Tales of the Unnamed: The Blizzard. Critique : En parallèle de l'émergence de l'energonverse, Urban continue d'explorer un autre univers, celui de Geoff Johns nommé : The unnamed. Apres Geiger et Junkyard Joe, voici un troisième héros inconnu appelé The redcoat. Ancien déserteur de la guerre de sécession, il a acquis complètement par hasard l'immortalité et.... n'en profite pas vraiment au vu de sa vie lors du début de l'album. Geoff Johns nous livre ici un antihéros assez classique avec un traitement de l'immortalité qui l'est tout autant. Si le traitement de l'histoire est plutôt bon avec un rythme soutenu et des aventures vraiment rocambolesques, le traitement du pouvoir d'immortalité est lui un peu trop facile. On a déjà beaucoup vu le "poids" de l'immortalité, avec la peur de s'attacher tout ça tout ça. Ca ne veut pas dire qu'on ne passe pas un bon moment à la lecture de ce récit plein de méchants déguisés en KKK, de jeunes surdoués et d'immortel qui ne le sont pas forcément vraiment vraiment. Juste qu'un peu plus d'originalité aurait été pas mal 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/unnamed-redcoat-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Absolute power tome 1 Scenariste de l'album : Mark Waid Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Dan Mora Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Peu d'être humains ont su tenir tête aux super-héros avec autant de zèle et de détermination qu'Amanda Waller. Après une carrière de machinations, et grâce à la puissance combinée de l'inarrêtable Failsafe et de la glaçante Reine Brainiac, Waller a finalement atteint son but : priver tous les héros et vilains de la planète Terre de leurs capacités métahumaines. Alors que le chaos inonde les rues et qu'une vaste campagne de désinformation fait basculer l'opinion publique de son côté, la fondatrice de la Suicide Squad déclenche une véritable guerre éclair pour faire tomber tous les super-héros, les uns après les autres. En ces heures sombres, une résistance se forme... mais ces héros impuissants peuvent-ils vraiment vaincre la Trinité du Mal et leurs implacables sbires ? Contenu vo : Green Arrow #13-14 + Absolute Power: Free Comic Book Day 2024 + Absolute Power: Ground Zero + Absolute Power #1-2 + Superman #16 + Batman #151 + Wonder Woman #11 + Absolute Power: Task Force VII #1-3 + Green Lantern #13 Critique : Et bien çà faisait longtemps que je n'avais pas apprécié un crossover comme celui-ci ! Déjà chapeau bas à Urban Comics et au travail de recueil effectué. C'est peut-être ce qui m'a procuré ce plaisir de lecture : Cette édition recueil les numéros servant au récit de.... de toutes les séries DC. De green Arrow, à Green Lanterne en passant par les Teen Titans. De façon refleuri et ordonné, les éditeurs d'Urban nous livre les morceaux nécessaires à faire une histoire cohérente et entière. Alors j'entends déjà certains : oui il faudra faire avec les changements de dessins sur les chapitres importés. Mais on a l'habitude et puis, sincèrement, ce n'est pas cher payé au regard d'une histoire dense et chronologique. Ce travail est tellement bien fait qu'il couvre un scénario au final assez classique. Une Amanda Waller qui Pete complètement une durite et va au bout de sa guerre anti superpuissant et réussi à les priver de leurs pouvoirs. Rien de forcement très nouveau ci de n'est que, cette fois-ci, il n'y a pas de menace Galactique. La menace est intérieure et la frappe chirurgicale. Mis à part ce point de départ peut être un peu trop standard, ce crossover a aussi pour lui la mise à niveau de tous nos personnages. En effet, la suppression des pouvoirs touche tout le monde (ou presque bien sur :p) mais Mark Waid a eu l'intelligence de ne PAS faire en sorte que les héros classiques soient épargnés. Il nous livre un premier tome dense, bien ordonné, mais aussi aisément compréhensible. Fini l'époque des run complexe au possible de monsieur Snyder (que j'ai apprecié hein !). Mark Waid fait des crossover "simple" et accessible, mais bien construit. De quoi rassembler les fans de tout l'univers DC ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/absolute-power-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ce deuxième volume représente ce que je n'aime pas trop dans ces parutions mensuelles : un tome moyen qui se comprend au niveau de l'histoire car on a passé la phase de surprise et on fait avancer nos personnages, notre histoire et densifier le background. Le dessin est toujours top et l'ambiance toujours aussi pesante. Bref toute une partie nécessaire, mais qui, lu séparément, a un gout de pas assez. On aurait envie de relire celui d'avant mais ce n'est pas vraiment le principe. bref ca dégrade la note de mon point de vu. Je pense toujours que l'ensemble sera une bonne histoire... mais quand elle sera finie.
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Titre de l'album : The one hand & the six fingers tome 2 Scenariste de l'album : Dan Watters | Ram V Dessinateur de l'album : Laurence Campbell Coloriste : Laurence Campbell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : À Neo Novena, tandis que la nouvelle vague de crimes ravive de vieux traumatismes au sein de la population et de la sphère policière, la presse fait ses choux gras en questionnant l'incarcération du tristement célèbre « tueur à la main ». L'enquête de l'inspecteur Ari Nassar se poursuit, et le conduit à un vernissage d'un genre étonnant, alors que Johannes Vale s'effondre en tentant de comprendre ce qui lui arrive. Et si une puissance invisible était à l'oeuvre ? Contenu vo : The One Hand #2 + The Six Fingers #2 Critique : Ce deuxième volume représente ce que je n'aime pas trop dans ces parutions mensuelles : un tome moyen qui se comprend au niveau de l'histoire car on a passé la phase de surprise et on fait avancer nos personnages, notre histoire et densifier le background. Le dessin est toujours top et l'ambiance toujours aussi pesante. Bref toute une partie nécessaire, mais qui, lu séparément, a un gout de pas assez. On aurait envie de relire celui d'avant mais ce n'est pas vraiment le principe. bref ca dégrade la note de mon point de vu. Je pense toujours que l'ensemble sera une bonne histoire... mais quand elle sera finie. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-one-hand-the-six-fingers-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je vous disais tout le bien que je pensais de cette franchise. Et bien ce n'est pas Scarlett qui me fera revenir en arrière sur mes dires. Après les robots, les bikers américains, les mercenaires, voici venir les ninjas ! Alors il semble que nous sommes ici plus proches de l'univers de GI Joe, plus vaguement lié à Transformers, mais, comme pour les autres, on voit quand même trainer Cobra Commander, décidément au centre de tout cet univers. Cela procure le même petit plaisir à ceux qui ont lu les tomes précédents. Mais, encore plus que dans Destro, ce tome-ci est indépendant et est surtout une histoire d'espionnage musclé et de filles ninja badass comme rarement. C'est très joli, c'est intelligent et dense. Un mix entre Tom Cruise dans Mission impossible et Uma Thurman dans Kill Bill. Que pourrait-on demander de plus à ce one shot d'action ?
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Titre de l'album : Scarlett - mission spéciale Scenariste de l'album : Kelly Thompson Dessinateur de l'album : Marco Ferrari Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Shana « Scarlett » O'Hara est sur le point d'entreprendre la mission la plus dangereuse de sa carrière: infiltrer la mystérieuse organisation japonaise du Clan Arashikage, pour percer les secrets de leur nouvelle et mystérieuse arme. Sa seule piste est son ancienne partenaire, Jinx, devenue membre active au service des Arashikage. Scarlett n'a d'autres choix que d'utiliser ses compétences très particulières pour survivre sous couverture... et lever le voile sur une nouvelle source d'énergie qui pourrait bien bouleverser les rapports de force de la planète entière. SCARLETT est l'occasion pour Kelly THOMPSON (BIRDS OF PREY, Black Widow) d'ouvrir le coffre à jouets de l'Energon Universe pour y faire ce qu'elle sait faire de mieux : un récit d'espionnage ultra rythmé, autour d'un personnage féminin badass et extrêmement bien caractérisé. Contenu vo : Scarlett #1-5. Critique : Je vous disais tout le bien que je pensais de cette franchise. Et bien ce n'est pas Scarlett qui me fera revenir en arrière sur mes dires. Après les robots, les bikers américains, les mercenaires, voici venir les ninjas ! Alors il semble que nous sommes ici plus proches de l'univers de GI Joe, plus vaguement lié à Transformers, mais, comme pour les autres, on voit quand même trainer Cobra Commander, décidément au centre de tout cet univers. Cela procure le même petit plaisir à ceux qui ont lu les tomes précédents. Mais, encore plus que dans Destro, ce tome-ci est indépendant et est surtout une histoire d'espionnage musclé et de filles ninja badass comme rarement. C'est très joli, c'est intelligent et dense. Un mix entre Tom Cruise dans Mission impossible et Uma Thurman dans Kill Bill. Que pourrait-on demander de plus à ce one shot d'action ? Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/energon-universe-scarlett-mission-speciale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Plus ça va, plus j'apprécie la façon de faire de cet Energonverse. Cette idée de présenter les personnages principaux de l'univers via des one shot est excellente. En effet, cela nous donne des véritables récits d'action légèrement fantastiques autonomes. Des histoires coup de poing avec des personnages transverses pas trop intrusifs. Juste ce qu'il faut pour donner du contexte, mais rien qui n'oblige une connaissance approfondie. De la même façon, les tomes Trasnformers peuvent se lire sans avoir lu ses histoires parallèles, mais seront plus savoureuses avec cette connaissance du background commun. C'est encore le cas avec ce Destro, qui nous montre un petit peu de Cobra Commander, un petit peu d'energon, des ouïes dire sur Transformers, Duke... mais est avant tout une guerre de pouvoir avec les seigneurs de guerre du moment. Une lutte qui tourne à l'affrontement pur et simple.... affrontement à grand renfort d'arme de guerre et de trahison. Rien de bien fantastique sur ce tome-là. Mais une histoire qui continue d'étendre tout doucement un univers qui se trouve être bien pus intéressant que ce que laissent paraître les films sur les Transformers.
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Titre de l'album : Destro - seigneur de guerre Scenariste de l'album : Dan Watters Dessinateur de l'album : Andrei Bressan Coloriste : Andrei Bressan Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : James McCullen Destro XXIV est l'homme derrière M.A.R.S. Industries, leader incontesté de la vente d'armes de haute technologie aux puissances mondiales... Mais l'émergence de l'Energon a tout changé. Alors que les ambitions de Destro grandissent, les « jumeaux pourpres » Tomax et Xamot Paoli émergent pour détruire leurs concurrents, et Cobra Commander réalise que son allié de fortune pourrait bien devenir son plus grand rival. Contenu vo : Destro #1-5 Critique : Plus ça va, plus j'apprécie la façon de faire de cet Energonverse. Cette idée de présenter les personnages principaux de l'univers via des one shot est excellente. En effet, cela nous donne des véritables récits d'action légèrement fantastiques autonomes. Des histoires coup de poing avec des personnages transverses pas trop intrusifs. Juste ce qu'il faut pour donner du contexte, mais rien qui n'oblige une connaissance approfondie. De la même façon, les tomes Trasnformers peuvent se lire sans avoir lu ses histoires parallèles, mais seront plus savoureuses avec cette connaissance du background commun. C'est encore le cas avec ce Destro, qui nous montre un petit peu de Cobra Commander, un petit peu d'energon, des ouïes dire sur Transformers, Duke... mais est avant tout une guerre de pouvoir avec les seigneurs de guerre du moment. Une lutte qui tourne à l'affrontement pur et simple.... affrontement à grand renfort d'arme de guerre et de trahison. Rien de bien fantastique sur ce tome-là. Mais une histoire qui continue d'étendre tout doucement un univers qui se trouve être bien pus intéressant que ce que laissent paraître les films sur les Transformers. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/destro-seigneur-de-guerre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Aucune tombe assez profonde Scenariste de l'album : Skottie Young Dessinateur de l'album : Jorge Corona Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après une vie de crime et de violence, Ryder est tombée amoureuse et a choisi de se ranger pour se concentrer sur son rôle de mère. Mais lorsqu'elle apprend que tout ce pour quoi elle s'est battue risque de lui être enlevé, elle reprend ses revolvers et se met en route, car le temps lui est compté. Direction : Cypress, la ville à l'autre bout du monde. Son objectif : tuer celle qui tente de lui prendre la vie... la Mort elle-même. Contenu vo : Ain't No Grave #1-5 Critique : Les grands formats Urban se multiplient et c'est souvent pour faire la part belle à une patte graphique. Ce Aucune tombe assez profonde ne fera pas mentir les précédents. Si le western fantastique imaginé par Skottie Young est fidèle à ses précédents récits, c'est-à-dire délirant, ambitieux (Vouloir tuer la mort, c'est quand même balaise) et trash, le point remarquable ici est la patte graphique de Jorge Corona. Si vous n'aimez pas le comics new génération, plein d'emphases graphiques et d'exagération, le tout très coloré, passé votre chemin, peu importe e scenario. Par contre, si c'est un style qui vous parle, penchez-vous sur ce one shot. Il n'est comme nul autre. Aussi émouvant et triste que dynamique et violent. On se sait vraiment si on doit aimer notre héroïne. Si elle à le droit de réclamer un supplément de vie, au regard de toutes celles qu'elle a prises. Une finesse de scénario qui récompensera ceux qui ont pris à bras-le-corps le coté graphique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aucune-tombe-assez-profonde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Les grands formats Urban se multiplient et c'est souvent pour faire la part belle à une patte graphique. Ce Aucune tombe assez profonde ne fera pas mentir les précédents. Si le western fantastique imaginé par Skottie Young est fidèle à ses précédents récits, c'est-à-dire délirant, ambitieux (Vouloir tuer la mort, c'est quand même balaise) et trash, le point remarquable ici est la patte graphique de Jorge Corona. Si vous n'aimez pas le comics new génération, plein d'emphases graphiques et d'exagération, le tout très coloré, passé votre chemin, peu importe e scenario. Par contre, si c'est un style qui vous parle, penchez-vous sur ce one shot. Il n'est comme nul autre. Aussi émouvant et triste que dynamique et violent. On se sait vraiment si on doit aimer notre héroïne. Si elle à le droit de réclamer un supplément de vie, au regard de toutes celles qu'elle a prises. Une finesse de scénario qui récompensera ceux qui ont pris à bras-le-corps le coté graphique.
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Mmmhhhh Alors ok ce premier fascicule peut être acheté avec un coffret pour ranger les 6 tomes à venir. Ce qui sera quand même sympa dans la bibliothèque. Mais je ne sais pas. J'ai toujours pensé que le format fascicule n'était pas vraiment adapté au lectorat français. Car oui on parle bien ici d'un fascicule de 72 pages en couverture souple. 3 chapitres.... Bon après il faut rendre à Urban que le prix et ... le même. Un harcover de 12 chapitre est à 31. Ici c'est 7.90 mais il y a 4 fois moins de contenus. Après j'espère que la série marchera, car c'est quand même un thriller bien sympa dont on veut diablement connaitre la suite. Un pur thriller avec un vieil enquêteur qui refuse sa retraite car un copieur commet des crimes comme ... deux précédents tueurs en série. C'est sombre (très ? ). C'est dense. Réfléchit et signé Ram V.... Mis à part le gout de trop peu, on a quasiment tous bon. Avec un numéro par mois annoncé, seulement 6 numéros et un coffret pour les ranger tous..... il y a de quoi réfléchir à changer ses habitudes.
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Titre de l'album : The one hand & the six fingers tome 1 Scenariste de l'album : V Ram Dessinateur de l'album : Dan Watters Coloriste : Laurence Campbell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 2873. À Neo Novena, l'inspecteur Ari Nassar fête à peine son départ en retraite qu'un meurtre le replonge instantanément dans une affaire vieille de vingt-trois ans. Trente-deux victimes, une empreinte palmaire unique à six doigts et deux assassins au même modus operandi déjà placés sous les verrous par Ari lui-même. Alors qui ? Et pourquoi maintenant ? Non loin de là, l'étudiant en archéologie Johannes Vale réalise avec horreur qu'il n'est peut-être pas étranger à ce crime brutal, seulement... il ne se souvient de rien ! Contenu vo : The One Hand # 1 + The Six Fingers #1. Critique : Mmmhhhh Alors ok ce premier fascicule peut être acheté avec un coffret pour ranger les 6 tomes à venir. Ce qui sera quand même sympa dans la bibliothèque. Mais je ne sais pas. J'ai toujours pensé que le format fascicule n'était pas vraiment adapté au lectorat français. Car oui on parle bien ici d'un fascicule de 72 pages en couverture souple. 3 chapitres.... Bon après il faut rendre à Urban que le prix et ... le même. Un harcover de 12 chapitre est à 31. Ici c'est 7.90 mais il y a 4 fois moins de contenus. Après j'espère que la série marchera, car c'est quand même un thriller bien sympa dont on veut diablement connaitre la suite. Un pur thriller avec un vieil enquêteur qui refuse sa retraite car un copieur commet des crimes comme ... deux précédents tueurs en série. C'est sombre (très ? ). C'est dense. Réfléchit et signé Ram V.... Mis à part le gout de trop peu, on a quasiment tous bon. Avec un numéro par mois annoncé, seulement 6 numéros et un coffret pour les ranger tous..... il y a de quoi réfléchir à changer ses habitudes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-one-hand-the-six-fingers-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et bien çà faisait longtemps que je n'avais pas apprécié un crossover comme celui-ci ! Déjà chapeau bas à Urban Comics et au travail de recueil effectué. C'est peut-être ce qui m'a procuré ce plaisir de lecture : Cette édition recueil les numéros servant au récit de.... de toutes les séries DC. De green Arrow, à Green Lanterne en passant par les Teen Titans. De façon refleuri et ordonné, les éditeurs d'Urban nous livre les morceaux nécessaires à faire une histoire cohérente et entière. Alors j'entends déjà certains : oui il faudra faire avec les changements de dessins sur les chapitres importés. Mais on a l'habitude et puis, sincèrement, ce n'est pas cher payé au regard d'une histoire dense et chronologique. Ce travail est tellement bien fait qu'il couvre un scénario au final assez classique. Une Amanda Waller qui Pete complètement une durite et va au bout de sa guerre anti superpuissant et réussi à les priver de leurs pouvoirs. Rien de forcement très nouveau ci de n'est que, cette fois-ci, il n'y a pas de menace Galactique. La menace est intérieure et la frappe chirurgicale. Mis à part ce point de départ peut être un peu trop standard, ce crossover a aussi pour lui la mise à niveau de tous nos personnages. En effet, la suppression des pouvoirs touche tout le monde (ou presque bien sur :p) mais Mark Waid a eu l'intelligence de ne PAS faire en sorte que les héros classiques soient épargnés. Il nous livre un premier tome dense, bien ordonné, mais aussi aisément compréhensible. Fini l'époque des run complexe au possible de monsieur Snyder (que j'ai apprecié hein !). Mark Waid fait des crossover "simple" et accessible, mais bien construit. De quoi rassembler les fans de tout l'univers DC !
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Avant d'entrer dans la critique a proprement parler, autant être clair tout de suite : Cette histoire n'a rien (ou quasiment rien) à voir avec Sandman. Pas de Morphée, pas de Dream, pas de Gaiman non plus. Un léger soupçon de "Death" et des personnages issus d'une histoire parallèle d'une histoire parallèle de Sandman... N'espérez rien de ce côté-là. On pourrait même dire que ce one shot s'adresse quasiment plus aux fans de Fables. Graphiquement déjà, c'est avec plaisir que l'on retrouve Mark Buckingham pour la deuxième fois ce mois-ci après le spin off de Fables. Si l'univers n'est pas exactement le même, son trait correspond parfaitement à nos fantômes et à leur univers fantastique. Coté histoire, on a ici plusieurs histoires servant à présenter nos héros, mais aussi Crystal, qui sert de personnage central de cet album. Des histoires sympathiques qui ont le bon gout de toutes converger pour faire de ce one shot une véritable histoire finie, oscillant entre passé et présent, mais aussi entre royaume des morts et des vivants. Toby Litt manie bien deux niveaux de lectures permettant une lecture enfantine tout autant qu'une vision adultes de ce recit. Une lecture très sympa pour les vacances ! Attention, pour ceux qui auraient vu la saison 1 de la série, les personnages du comics sont ... des enfants. Ca n'enlève rien à l'histoire mais change par rapport aux jeunes adultes de la série.
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Titre de l'album : Sandman - Dead boy detectives Scenariste de l'album : Toby Litt Dessinateur de l'album : Mark Buckingham Coloriste : Mark Buckingham Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Edwin Paine et Charles Roland ont beaucoup en commun : ce sont tous deux des écoliers anglais qui adorent les romans policiers, et ils ont eux-mêmes été amenés à résoudre des énigmes. Ils sont également tous les deux morts, une condition qui s'est avérée moins gênante qu'on ne pourrait le croire. Les deux garçons retournent à l'internat de St. Hilarions, pour percer les mystères de cet internat tyrannique et y font la rencontre de Crystal, une limier technophile. Critique : Avant d'entrer dans la critique a proprement parler, autant être clair tout de suite : Cette histoire n'a rien (ou quasiment rien) à voir avec Sandman. Pas de Morphée, pas de Dream, pas de Gaiman non plus. Un léger soupçon de "Death" et des personnages issus d'une histoire parallèle d'une histoire parallèle de Sandman... N'espérez rien de ce côté-là. On pourrait même dire que ce one shot s'adresse quasiment plus aux fans de Fables. Graphiquement déjà, c'est avec plaisir que l'on retrouve Mark Buckingham pour la deuxième fois ce mois-ci après le spin off de Fables. Si l'univers n'est pas exactement le même, son trait correspond parfaitement à nos fantômes et à leur univers fantastique. Coté histoire, on a ici plusieurs histoires servant à présenter nos héros, mais aussi Crystal, qui sert de personnage central de cet album. Des histoires sympathiques qui ont le bon gout de toutes converger pour faire de ce one shot une véritable histoire finie, oscillant entre passé et présent, mais aussi entre royaume des morts et des vivants. Toby Litt manie bien deux niveaux de lectures permettant une lecture enfantine tout autant qu'une vision adultes de ce recit. Une lecture très sympa pour les vacances ! Attention, pour ceux qui auraient vu la saison 1 de la série, les personnages du comics sont ... des enfants. Ca n'enlève rien à l'histoire mais change par rapport aux jeunes adultes de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-dead-boy-detectives?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : L'étrange créature du lac noir vit toujours Scenariste de l'album : Dan Watters | Ram V Dessinateur de l'album : Matthew Roberts Coloriste : Matthew Roberts Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Kate Marsden, une journaliste d'investigation tourmentée par son passé, est à la recherche d'un tueur en série qui se cacherait au coeur de la forêt Amazonienne. Mais en suivant la trace de ce dément, elle croise par accident la route d'une autre menace potentielle, une entité devenu un mythe dans la région : l'Etrange Créature du Lac Noir. Les Monstres Universal débarquent chez Urban ! Découvrez les plus grands mythes horrifiques du cinéma tels que Dracula, l'Etrange Créature du Lac Noir, Frankeinstein et bien d'autres, modernisés par les meilleurs auteurs de la scène comics moderne, dans des éditions grand format prestige ! Contenu vo : Universal Monsters: The Creature from the Black Lagoon Lives! #1-4. Critique : Urban comics continue sa diversification avec sa série sur les monstres. Apres Dracula, voici venir la créature du lac noir. Et avec elle un récit classique qui rend hommage au film des années 50. One shot intéressant nous montrant une histoire sombre et intrigante, mêlant le thriller avec la recherche, par notre héroïne du FBI, de son agresseur, tueur en série notable, avec du fantastique et de l'effrayant. Pour tout vous dire on à vraiment l'impression de voir un des épisodes "bis" de X-Files. Vous savez ces épisodes qui ne parlaient pas d'extraterrestre mais de fantastique. Et bien on est pile la dedans. C'est très sympa à lire mais un poil classique de mon point de vue. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/universal-monsters-l-etrange-creature-du-lac-noir-vit-toujours?ref=44 Voir la totalité de enregistrement