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  2. ca reste de la petite production indé donc y a des défauts évidemment, tu sens que les budgets et donc le temps de travail n'est pas le même non plus. Mais y a un parfum et un truc qui rend cette bd sympa
  3. alx23

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    Low reader tome 4 : certainement l’album le plus mauvais depuis la création de la série et je comptabilise les doggybags. Seul l'histoire que Run dessine est intéressante. Après, cette série se renouvellera toujours comme il y a toujours de nouveaux auteurs qui proposent des histoires.
  4. Critique de @TheOtaku : Voilà un tome très agréable à lire, la différence entre les personnages et les histoires est de plus en plus visibles, on ne se perd plus avec qui est qui et les histoires de chacune évoluent petit à petit. Dans ce tome on verra chacune de nos quatre histoires "différentes" évoluer, un nouveau personnage du passé de Shizuku risque de faire surface, Iori sent sa relation avec Minami changer, Heke veut faire sa déclaration à Shinohara et un petit rendez vous professeur/élève s'annonce ! J'ai beaucoup aimé ce tome et les différentes tournures que prennent les différentes histoires, beaucoup de suspense arrive et je n'ai qu'une envie : avoir des réponses !
  5. Titre de l'album : Critique par une ado : Nos différences enlacées tome 6 Scenariste de l'album : Mikanuji Dessinateur de l'album : Mikanuji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Une lycéenne amoureuse de sa grande soeur, Iori. Elle essaie de rester forte mais elle ne peut pas s'empêcher de se goinfrer, quand elle est confrontée à la triste réalité ! J'aimerais pouvoir être tout le temps avec ma soeur... Parler avec elle, la prendre dans mes bras... Mais... Elle est déjà en couple. Elle est si occupée par son travail qu'on ne se voit presque jamais... Et ça, c'est vraiment dur... C'est là que, sur un coup de tête, j'ai appelé quelqu'un... Shizuku... On est dans la même classe et on s'entend plus ou moins bien... qui sait si on est vraiment proches... Qu'est-ce qu'elle est, pour moi, au fond ? Critique : Critique de @TheOtaku : Voilà un tome très agréable à lire, la différence entre les personnages et les histoires est de plus en plus visibles, on ne se perd plus avec qui est qui et les histoires de chacune évoluent petit à petit. Dans ce tome on verra chacune de nos quatre histoires "différentes" évoluer, un nouveau personnage du passé de Shizuku risque de faire surface, Iori sent sa relation avec Minami changer, Heke veut faire sa déclaration à Shinohara et un petit rendez vous professeur/élève s'annonce ! J'ai beaucoup aimé ce tome et les différentes tournures que prennent les différentes histoires, beaucoup de suspense arrive et je n'ai qu'une envie : avoir des réponses ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nos-differences-enlacees-tome-6/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. gilloux

    les heures rouges

    Bonjour, merci mille fois de tout tes commentaires et surtout du temps que leur a consacré. Je prends tout en note et c'est bien l'intention que j'avais en postant mon projet auquel je crois tout en sachant ses imperfections que j'ai moi-même du mal à identifier parfois (sans doute par mauvaise foi et fatigue à l'idée de reprendre). Je vais continuer à y réfléchir et à y retravailler. Merci encore!
  7. Du Outlander dis donc !! Comme la série , avec un peu de coquin dedans 🙂
  8. Kevin Nivek

    les heures rouges

    mouais, j'appelle ça de la censure môsieur ^^
  9. Titre de l'album : Birdking - tome 1 Scenariste de l'album : Daniel Freedman Dessinateur de l'album : Crom Coloriste : Crom Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Dans un monde plongé dans les ténèbres et dominé par la guerre, Bianca, une jeune apprentie forgeron, est forcée de fuir son pays pour partir à la recherche d'Atlas, une terre légendaire. Elle est accompagnée de Birdking, un esprit gardien dont elle devra percer le mystère, au prix de nombreuses batailles. Critique : A la lecture de ces 160 pages emplies de magie , on sent les influences des auteurs , tel un feu d'artifice de styles . De Miyazaki au jeu vidéo Dark soul , en passant par les romans de Glenn Cook , voire l'anti-héros Elric , prenez le meilleur de toute cette magie et vous aurez un condensé de ce que Daniel Freedman cherche à réaliser dans cette saga . Un monde imaginaire avec ses croyances , ses dieux et bien entendu son tyran , une jeune femme forgeronne dont le passé semble lourds de secrets ,chaperonnée par un maître forgeron mystérieux , et bien entendu une quête ! Vous pensez qu'il s'agir de "déjà-vu" , et bien , absolument pas ! Les apparences sont trompeuses et vous ne serez pas au bout de vos surprises à la lecture (vivement) conseillé de cet ovni graphique . C'est bien simple, à la fin de ce premier tome , on ne sait presque rien , mais on a tellement hâte de découvrir la suite en octobre de cette année 😉 Tellement de pistes scénaristiques semées par Freedman , tellement à découvrir de ce monde ! Portée par le trait "Mignolesque" du prodige Crom , vous subirez les combats de Bianca avec une intensité folle ! Il rend vivant les affrontements au moyen d'onomatopées décrivant l'action , si bien que les mouvements semblent réels et vouloir sortir des pages . Les planches sont détaillées , le découpage immersif et dynamique , on tourne les pages avec frénésie ! Lui aussi puise ses influences dans la fantasy et donne le meilleur de lui même dans une histoire où souffle et épique ne sont pas de vains mots . Si vous aimes les squelettes , les spectres , les nécromanciens , les armes forgées , la magie etc .... jetez-vous sur ce premier tome qui va vous faire paraître longue l'attente jusqu'à l'automne pour la suite 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/birdking-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Birdking - tome 1

    A la lecture de ces 160 pages emplies de magie , on sent les influences des auteurs , tel un feu d'artifice de styles . De Miyazaki au jeu vidéo Dark soul , en passant par les romans de Glenn Cook , voire l'anti-héros Elric , prenez le meilleur de toute cette magie et vous aurez un condensé de ce que Daniel Freedman cherche à réaliser dans cette saga . Un monde imaginaire avec ses croyances , ses dieux et bien entendu son tyran , une jeune femme forgeronne dont le passé semble lourds de secrets ,chaperonnée par un maître forgeron mystérieux , et bien entendu une quête ! Vous pensez qu'il s'agir de "déjà-vu" , et bien , absolument pas ! Les apparences sont trompeuses et vous ne serez pas au bout de vos surprises à la lecture (vivement) conseillé de cet ovni graphique . C'est bien simple, à la fin de ce premier tome , on ne sait presque rien , mais on a tellement hâte de découvrir la suite en octobre de cette année 😉 Tellement de pistes scénaristiques semées par Freedman , tellement à découvrir de ce monde ! Portée par le trait "Mignolesque" du prodige Crom , vous subirez les combats de Bianca avec une intensité folle ! Il rend vivant les affrontements au moyen d'onomatopées décrivant l'action , si bien que les mouvements semblent réels et vouloir sortir des pages . Les planches sont détaillées , le découpage immersif et dynamique , on tourne les pages avec frénésie ! Lui aussi puise ses influences dans la fantasy et donne le meilleur de lui même dans une histoire où souffle et épique ne sont pas de vains mots . Si vous aimes les squelettes , les spectres , les nécromanciens , les armes forgées , la magie etc .... jetez-vous sur ce premier tome qui va vous faire paraître longue l'attente jusqu'à l'automne pour la suite 😉
  11. j'ai dit qu'on voyait bien sur ce sujet tous les coquins du forum 🙂 va jeter un oeil d'ailleurs à la dernière frontière, cela peut te plaire.
  12. The_PoP

    les heures rouges

    j'ai pensé à toi en l'écrivant 🙂 Et non ce n'était pas une omission 🙂 Y a Mathieu Bonhomme aussi qui a bien réussi en Western dans un autre registre.
  13. Titre de l'album : La dernière frontière - Tome 1 Scenariste de l'album : Boris Talijancic Dessinateur de l'album : Boris Talijancic Coloriste : Carita Lupattelli Editeur de l'album : Kalopsia Note : Résumé de l'album : 1746 AD. Les Highlands écossais. Le temps de la révolution, le soulèvement des patriotes écossais contre l'usurpateur anglais. Les Ecossais, menés par le Prince Stuart, perdent face à l'armée anglaise à la bataille de Culloden. C'est le début de la chasse aux rebelles écossais et des représailles sur les villages et fermes d'Ecosse. Les jeunes amants James et Katrina se retrouvent entraînés dans ce chaos ! Modoc, l'oncle de James, a tué un jeune officier anglais pour sauver Katrina avant la bataille. L'officier était le plus jeune frère du capitaine anglais Flint ! Modoc ayant survécu au massacre, il prend James avec lui pour fuir la punition des Anglais et naviguer vers le Nouveau Monde ! Hélas, sans Katrina. Critique : Ah ah quelle surprise que cette dernière frontière. Evidemment quand on lit beaucoup de bd, notamment de cadors du secteur, soutenus par de gros éditeurs, la bd indépendante fait parfois un peu peur. On s'habitue vite à certains standards. Les 10 premières pages de La dernière frontière m'ont laissé craindre une bd trop "jeune" avec quelques découpages/cadrages de cases donnant lieu à des enchaînements un peu bizarres. Les décors parfois un peu vides ou peu détaillés me chagrinaient. Et puis, et puis la magie de la bd a opéré, les maladresses des premières pages s'estompent, les portraits se brossent, quelques belles pages de dessin s'offrent à nous et finalement cette ambiance de Braveheart qui rencontre Le dernier des mohicans nous prend. On termine cette bd avec l'envie d'en lire et d'en découvrir la suite. Effectivement elle garde certains défauts de jeunesse, avec une narration parfois un peu expéditive, ou des enchainements de cases manquants un brin de maitrise, mais cela reste une histoire comme on aime, et les planches gagnent en maitrise au fil des pages, pour finir par atteindre un super résultat. La dernière frontière ne sera pas la série de bd du siècle avec son intrigue simple, mais elle nous fait voyager dans l'Ecosse et le canada Français du 18ème siècle et on en redemande. Et c'est bien là finalement l'essentiel. A noter pour les coquinous, oui je sais qu'il y en a par ici, une double page assez sympathique où l'on appréciera pleinement le talent de l'auteur 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-derniere-frontiere-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    La dernière frontière - Tome 1

    Ah ah quelle surprise que cette dernière frontière. Evidemment quand on lit beaucoup de bd, notamment de cadors du secteur, soutenus par de gros éditeurs, la bd indépendante fait parfois un peu peur. On s'habitue vite à certains standards. Les 10 premières pages de La dernière frontière m'ont laissé craindre une bd trop "jeune" avec quelques découpages/cadrages de cases donnant lieu à des enchaînements un peu bizarres. Les décors parfois un peu vides ou peu détaillés me chagrinaient. Et puis, et puis la magie de la bd a opéré, les maladresses des premières pages s'estompent, les portraits se brossent, quelques belles pages de dessin s'offrent à nous et finalement cette ambiance de Braveheart qui rencontre Le dernier des mohicans nous prend. On termine cette bd avec l'envie d'en lire et d'en découvrir la suite. Effectivement elle garde certains défauts de jeunesse, avec une narration parfois un peu expéditive, ou des enchainements de cases manquants un brin de maitrise, mais cela reste une histoire comme on aime, et les planches gagnent en maitrise au fil des pages, pour finir par atteindre un super résultat. La dernière frontière ne sera pas la série de bd du siècle avec son intrigue simple, mais elle nous fait voyager dans l'Ecosse et le canada Français du 18ème siècle et on en redemande. Et c'est bien là finalement l'essentiel. A noter pour les coquinous, oui je sais qu'il y en a par ici, une double page assez sympathique où l'on appréciera pleinement le talent de l'auteur 🙂
  15. Kevin Nivek

    les heures rouges

    en ajoutant Jodo et Boucq fixed 😉
  16. Pourtant il me semble que tu te positionnes souvent en tête lorsqu'il y a du fripon 😉
  17. les goûts et les couleurs en effet, le dessin ne m'a pas emballé et je passerai donc. même si je vois bien sur ce sujet tous les coquins du forum !!!!
  18. The_PoP

    les heures rouges

    yop je débarque après les remarques de Pos', mais je viens de télécharger ton projet et j'ai quelques autres remarques (parfois des détails hein) : - effectivement la colorisation nuit un peu à l'ensemble. - la couv' ne fait pas envie et à mon avis ne rend pas justice à ton trait. Cette impression un peu trop "amateur" gâche un peu le désir de lire la suite. - tu as des planches très réussies et très pro, et d'autres un peu légères, notamment le soin aux visages des enfants (certaines cases pages 25 ou 14 par exemple) , ou de ton héros parfois un peu trop lisse à mon avis. Jeune ne veut pas dire sans aspérité. D'ailleurs certains visages sont plus détaillés, plus expressif et moins caricaturaux page 32 par exemple. - les tenues des armes en main font bizarre. Difficile d'imaginer que ses mains tiennent une arme à feu avec le poids que cela implique, le recul, etc... (ex page 26 ou la première case de la 27) - je pense que le design de tes héros gagnerait à attirer un peu plus l'empathie de tes lecteurs. On doit pouvoir s'identifier. Que ce soit des gosses crasseux et pouilleux du far west ou pas, les rendre plus humain donnera envie au lecteur de savoir ce qui leur arrive. Pas forcément beaux, mais qui attirent l'empathie. - gaffe aux dialogues entre les méchants, ils sonnent un peu trop rigides notamment la scène d'arrivée du blessé. - le chapeau de ton héros fait un peu trop rigide et "posé" sur le sommet du crâne de ton héros sur certaines cases (3ème case page 36) ou pas forcément dans l'axe du visage de ton héros, hors si t'as déjà porté ce genre de chapeau c'est plus un truc qui est vissé sur ton crâne qu'autre chose... - qui dit ouest sauvage et westerns dit décors. Il y a des arrières plans et des ambiances à peaufiner. On doit sentir que l'Ouest inhospitalier est le dernier personnage de ton intrigue. ça doit nous écraser, l'homme est petit au milieu. Points chouettes : - j'ai aimé le côté berserker de tes heures rouges. ça pète à la gueule et ça surprend, mais c'est une de tes plus belles planches, je pense qu'au format papier ça déchirera. - j'aime bien ton histoire et ton parti pris. Des enfants en rébellion face à la violence du monde des adultes. Attention il faudra soigner la fin. Pour le reste je suis à chier pour lire ça sur ordinateur, donc difficile à dire, mais le matériel est clairement là. J'aime bien et ai envie de lire la suite, par contre par rapport à la palanquée de supers bd westerns qui sortent depuis quelques années, je crains qu'il ne te faille hausser encore le ton sur ton dessin pour attirer le public. Le western en bd c'est un genre qui a juste vu passer les plus grands, de Giraud en passant par Hermann, Swolfs, Rosinski, Rossi, Oger et j'en oublie plein. Même les productions bd plus indé sont de super qualités en western. Du coup le lecteur de Western est devenu très dur je crois de ce côté là. Plus que sur le polar, la sf, ou le roman graphique. Bon courage à toi, ce que tu as déjà accompli est plus que remarquable et incite au plus grand respect dans tous les cas. Ne t'offusque pas du ton de mon message, je ne suis qu'un amateur de bd et pas mal de western et j'ai essayé de te livrer un avis sans filtre pour que cela te soit vraiment utile. Du coup je ne l'ai pas trop adouci ou édulcoré. Mais vraiment chapeau bas.
  19. Titre de l'album : La forêt de Louison - Tome 1 Scenariste de l'album : Elsa Bordier Dessinateur de l'album : Stéphanie Rubini Coloriste : Stéphanie Rubini Editeur de l'album : Bayard Note : Résumé de l'album : Louison passe tous ses mercredis chez sa mamie, en compagnie de son jeune ami Noham. Mais ce qu'elle adore surtout, c'est passer du temps dans la forêt juste derrière la maison : là-bas, toutes ses idées les plus folles prennent vie ! Le temps d'un après-midi, la nature se transforme alors en une incroyable jungle pleine d'animaux colorés, un sublime repère de fées ou encore un monde magique peuplé de sorcières. Jusqu'à l'heure du goûter, où les deux enfants rejoignent sagement la cuisine de mamie, la tête pleine de magie et de secrets, attendant impatiemment la semaine prochaine pour pouvoir y retourner. Quelles surprises leur réservera la forêt cette fois-ci ? Critique : Cette "BD kids" résonne comme des souvenirs d'enfance pour les plus "adultes" d'entre nous . Voir évoluer Louison et Noham dans cette forêt malicieuse et s'inventer des histoires est rafraîchissant au possible ! Quel travail sur l'imaginaire des enfants , chaque insecte ou végétal peut se transformer et donner lieu à d'innombrables aventures pour nos deux héros en culottes courtes . Réparties en courtes histoires , leurs péripéties ont toujours une chute en lien avec le réel , si bien que sans être "fantastique" au sens propre du mot , on vit néanmoins des moments magiques avec eux dans cet univers coloré . Chaque mercredi , on suit le lapin blanc et "en avant les histoires" ! Le trait détaillé de Stéphanie Rubini est accrocheur , il mélange ligne claire et réalisme dans un kaléidoscope de couleurs éclatantes . Elle propose des cases avec de multiples plans , on croirait qu'elles sont en relief ! Le jeune lectorat ciblé s'identifiera facilement à ce duo détonnant et rêvera de toboggans dans les arbres , ou de tunnels sous terre à la rencontre des taupes ... Nulles barrières à l'imagination des enfants , et surtout , pas de téléphone portables ici , aucun support extérieur pouvant les influencer ! Il est vivement conseillé aux parents d'entrer dans ce monde de fées , sorcières , dragons , et autres animaux colorés , en compagnie de leurs enfants 🙂 Un petit format souple à emporter partout ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-foret-de-louison-tome-1-le-mercredi-c-est-magique/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Kevin Nivek

    La forêt de Louison - Tome 1

    Cette "BD kids" résonne comme des souvenirs d'enfance pour les plus "adultes" d'entre nous . Voir évoluer Louison et Noham dans cette forêt malicieuse et s'inventer des histoires est rafraîchissant au possible ! Quel travail sur l'imaginaire des enfants , chaque insecte ou végétal peut se transformer et donner lieu à d'innombrables aventures pour nos deux héros en culottes courtes . Réparties en courtes histoires , leurs péripéties ont toujours une chute en lien avec le réel , si bien que sans être "fantastique" au sens propre du mot , on vit néanmoins des moments magiques avec eux dans cet univers coloré . Chaque mercredi , on suit le lapin blanc et "en avant les histoires" ! Le trait détaillé de Stéphanie Rubini est accrocheur , il mélange ligne claire et réalisme dans un kaléidoscope de couleurs éclatantes . Elle propose des cases avec de multiples plans , on croirait qu'elles sont en relief ! Le jeune lectorat ciblé s'identifiera facilement à ce duo détonnant et rêvera de toboggans dans les arbres , ou de tunnels sous terre à la rencontre des taupes ... Nulles barrières à l'imagination des enfants , et surtout , pas de téléphone portables ici , aucun support extérieur pouvant les influencer ! Il est vivement conseillé aux parents d'entrer dans ce monde de fées , sorcières , dragons , et autres animaux colorés , en compagnie de leurs enfants 🙂 Un petit format souple à emporter partout !
  21. gilloux

    les heures rouges

    Je vais prendre le temps de réfléchir à tout ça. En effet, Le Revenant était en noir et blanc et en ombres hachurées (trop! Je n'arrive jamais à m'arrêter) ce qui correspondait bien au sujet traité, même si l'album (que perso j'aime beaucoup qd mm!) souffre de certaines irrégularités dont je suis bien conscient. Avec Ouest, je cherchais quelque chose de plus clair, plus évident, de plus constant aussi.. A voir... Merci encore!
  22. Moi j'avoue que je ne suis pas très fan de la coloration. Un peu palichonne je trouve
  23. poseidon2

    La part des lâches

    Quoi qu'en ce moment j'en viens à fuir les personnes faisant du prosélytisme écologique et de la culpabilisation une arme.... donc en fait non j'évite un peu ce genre de lecture 🙂 Même si je NE SAIS PAS si c'est le cas ici. Mais pas envie de me prendre le tete 😛
  24. poseidon2

    La part des lâches

    Arf ca aurait pu me plaire ma graphiquement c'est quand meme pas trop ma came....
  25. Titre de l'album : Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire Scenariste de l'album : Taillefer Dessinateur de l'album : Grégoire Bonne Coloriste : Grégoire Bonne Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Le jour de ses 100 ans, Allan Karlsson se fait la belle ! Lui qui a voyagé toute sa vie, fréquenté les plus grands, pas question de pourir à l'EHPAD !!! Le vieux globetrotter qui a croisé Truman, Oppenheimer, Churchill, Staline et tant d'autres reprend la route pour une dernière aventure... Alors que toute la maison de retraite s'apprête à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au coeur de l'histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d'un siècle sanguinaire. Critique : Nouvelle adaptation en bande dessinée d'un roman à succès, avec le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson. Le scénariste Taillefer se charge de l'écriture de l'adaptation en restant fidèle à l'œuvre d'origine. On retrouve donc ce héros improbable qui va fêter ses 100 ans et s'enfuit de l'ehpad pour vivre de nouvelles aventures, comme durant toute sa vie. En effet, l'histoire est très exagérée pour permettre à Allan Karlsson de participer aux moments les plus importants du dernier siècle. Il rencontre de nombreuses figures historiques entre Oppenheimer, Albert Einstein ou encore Staline. L'homme a voyagé toute sa vie pour se retrouver auprès d'hommes politiques et autres afin de leur venir en aide. La partie graphique est minimaliste sur cet album sans trop de décors mais l'on reconnait bien les personnages historiques. Des histoires fonctionnent parfois mieux sous leur format initial mais cette BD du vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire reste un bon divertissement pas sérieux et se laisse lire sans prise de tête. Les lecteurs de la BD auront peut-être envie de lire le roman et inversement pour les lecteurs du roman. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-vieux-qui-ne-voulait-pas-feter-son-anniversaire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  26. Nouvelle adaptation en bande dessinée d'un roman à succès, avec le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson. Le scénariste Taillefer se charge de l'écriture de l'adaptation en restant fidèle à l'œuvre d'origine. On retrouve donc ce héros improbable qui va fêter ses 100 ans et s'enfuit de l'ehpad pour vivre de nouvelles aventures, comme durant toute sa vie. En effet, l'histoire est très exagérée pour permettre à Allan Karlsson de participer aux moments les plus importants du dernier siècle. Il rencontre de nombreuses figures historiques entre Oppenheimer, Albert Einstein ou encore Staline. L'homme a voyagé toute sa vie pour se retrouver auprès d'hommes politiques et autres afin de leur venir en aide. La partie graphique est minimaliste sur cet album sans trop de décors mais l'on reconnait bien les personnages historiques. Des histoires fonctionnent parfois mieux sous leur format initial mais cette BD du vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire reste un bon divertissement pas sérieux et se laisse lire sans prise de tête. Les lecteurs de la BD auront peut-être envie de lire le roman et inversement pour les lecteurs du roman.
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    • Birdking - tome 1
      Note :
      A la lecture de ces 160 pages emplies de magie , on sent les influences des auteurs , tel un feu d'artifice de styles . De Miyazaki au jeu vidéo Dark soul , en passant par les romans de Glenn Cook , voire l'anti-héros Elric , prenez le meilleur de toute cette magie et vous aurez un condensé de ce que Daniel Freedman cherche à réaliser dans cette saga . Un monde imaginaire avec ses croyances , ses dieux et bien entendu son tyran , une jeune femme forgeronne  dont le passé semble lourds de secrets ,chaperonnée par un maître forgeron mystérieux , et bien entendu une quête ! Vous pensez qu'il s'agir de "déjà-vu" , et bien , absolument pas ! Les apparences sont trompeuses et vous ne serez pas au bout de vos surprises à la lecture (vivement) conseillé de cet ovni graphique . C'est bien simple, à la fin de ce premier tome , on ne sait presque rien , mais on a tellement hâte de découvrir la suite en octobre de cette année 😉 Tellement de pistes scénaristiques semées par Freedman , tellement à découvrir de ce monde !

      Portée par le trait "Mignolesque" du prodige Crom , vous subirez les combats de Bianca avec une intensité folle ! Il rend vivant les affrontements au moyen d'onomatopées décrivant l'action , si bien que les mouvements semblent réels et vouloir sortir des pages . Les planches sont détaillées , le découpage immersif et dynamique , on tourne les pages avec frénésie ! Lui aussi puise ses influences dans la fantasy et donne le meilleur de lui même dans une histoire où souffle  et épique ne sont pas de vains mots . 

      Si vous aimes les squelettes , les spectres , les nécromanciens , les armes forgées , la magie etc ....  jetez-vous sur ce premier tome qui va vous faire paraître longue l'attente jusqu'à l'automne pour la suite 😉 
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    • La dernière frontière - Tome 1
      Note :
      Ah ah quelle surprise que cette dernière frontière. Evidemment quand on lit beaucoup de bd, notamment de cadors du secteur, soutenus par de gros éditeurs, la bd indépendante fait parfois un peu peur. On s'habitue vite à certains standards. 

      Les 10 premières pages de La dernière frontière m'ont laissé craindre une bd trop "jeune" avec quelques découpages/cadrages de cases donnant lieu à des enchaînements un peu bizarres. Les décors parfois un peu vides ou peu détaillés me chagrinaient. Et puis, et puis la magie de la bd a opéré, les maladresses des premières pages s'estompent, les portraits se brossent, quelques belles pages de dessin s'offrent à nous et finalement cette ambiance de Braveheart qui rencontre Le dernier des mohicans nous prend. On termine cette bd avec l'envie d'en lire et d'en découvrir la suite. 

      Effectivement elle garde certains défauts de jeunesse, avec une narration parfois un peu expéditive, ou des enchainements de cases manquants un brin de maitrise, mais cela reste une histoire comme on aime, et les planches gagnent en maitrise au fil des pages, pour finir par atteindre un super résultat. La dernière frontière ne sera pas la série de bd du siècle avec son intrigue simple, mais elle nous fait voyager dans l'Ecosse et le canada Français du 18ème siècle et on en redemande. Et c'est bien là finalement l'essentiel.

       

      A noter pour les coquinous, oui je sais qu'il y en a par ici, une double page assez sympathique où l'on appréciera pleinement le talent de l'auteur 🙂
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    • La forêt de Louison - Tome 1
      Note :
      Cette "BD kids" résonne comme des souvenirs d'enfance pour les plus "adultes" d'entre nous . Voir évoluer Louison et Noham dans cette forêt malicieuse et s'inventer des histoires est rafraîchissant au possible ! Quel travail sur l'imaginaire des enfants , chaque insecte ou végétal peut se transformer et donner lieu à d'innombrables aventures pour nos deux héros en culottes courtes . Réparties en courtes histoires , leurs péripéties ont toujours une chute en lien avec le réel , si bien que sans être "fantastique" au sens propre du mot , on vit néanmoins des moments magiques avec eux dans cet univers coloré . Chaque mercredi , on suit le lapin blanc et "en avant les histoires" ! Le trait détaillé de Stéphanie Rubini est accrocheur , il mélange ligne claire et réalisme  dans un kaléidoscope de couleurs éclatantes . Elle propose des cases avec de multiples plans , on croirait qu'elles sont en relief ! Le jeune lectorat ciblé s'identifiera facilement à ce duo détonnant et rêvera de toboggans dans les arbres , ou de tunnels sous terre à la rencontre des taupes ... Nulles barrières à l'imagination des enfants , et surtout , pas de téléphone portables ici , aucun support extérieur pouvant les influencer ! Il est vivement conseillé aux parents d'entrer dans ce monde de fées , sorcières , dragons , et autres animaux colorés , en compagnie de leurs enfants 🙂 Un petit format souple à emporter partout !
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    • Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire
      Note :
      Nouvelle adaptation en bande dessinée d'un roman à succès, avec le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson. Le scénariste Taillefer se charge de l'écriture de l'adaptation en restant fidèle à l'œuvre d'origine. On retrouve donc ce héros improbable qui va fêter ses 100 ans et s'enfuit de l'ehpad pour vivre de nouvelles aventures, comme durant toute sa vie. En effet, l'histoire est très exagérée pour permettre à Allan Karlsson de participer aux moments les plus importants du dernier siècle. Il rencontre de nombreuses figures historiques entre Oppenheimer, Albert Einstein ou encore Staline. L'homme a voyagé toute sa vie pour se retrouver auprès d'hommes politiques et autres afin de leur venir en aide. La partie graphique est minimaliste sur cet album sans trop de décors mais l'on reconnait bien les personnages historiques.
      Des histoires fonctionnent parfois mieux sous leur format initial mais cette BD du vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire reste un bon divertissement pas sérieux et se laisse lire sans prise de tête. Les lecteurs de la BD auront peut-être envie de lire le roman et inversement pour les lecteurs du roman.
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    • Critique par une ado : Nos différences enlacées tome 6
      Note :
      Critique de @TheOtaku : Voilà un tome très agréable à lire, la différence entre les personnages et les histoires est de plus en plus visibles, on ne se perd plus avec qui est qui et les histoires de chacune évoluent petit à petit. 

      Dans ce tome on verra chacune de nos quatre histoires "différentes" évoluer, un nouveau personnage du passé de Shizuku risque de faire surface, Iori sent sa relation avec Minami changer, Heke veut faire sa déclaration à Shinohara et un petit rendez vous professeur/élève s'annonce !

      J'ai beaucoup aimé ce tome et les différentes tournures que prennent les différentes histoires, beaucoup de suspense arrive et je n'ai qu'une envie : avoir des réponses !
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