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  2. Titre de l'album : La concubine rebelle tome 1 Scenariste de l'album : EBIRA Hiromi Dessinateur de l'album : EBIRA Hiromi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Afin d'assurer la paix sur ses steppes natales, Sarannah doit quitter son clan pour épouser l'empereur du Pays radieux et rejoindre le palais intérieur, au cœur de la cité impériale. Hélas, venant d'une contrée étrangère, la jeune femme a du mal à se faire accepter par les autres concubines... Heureusement, grâce à sa perspicacité et à sa détermination, elle pourrait bien réussir à déjouer les pires manigances et à se rendre indispensable au sein de la demeure royale ! Critique : L’empereur Zhu Li, troisième souverain du Grand Empire Radieux, vient d ‘accéder au trône après la mort tragique de son frère ainé. Afin de perpétuer la lignée, vingt concubines arrivent au palais, elles viennent toutes d’horizons variés, il y a les filles des grands pontes de l’empire mais aussi des filles de clans vaincus ou rivaux. C’est ainsi que Sarannah, fille du chef du clan des Tianhe, a été choisie afin d’établir un traité de paix entre le nord et le sud. Mais elle ne s’attendait pas à tomber dans un nid de vipère où tous les coups sont bons pour devenir la favorite y compris les assassinats. Il y a beaucoup d’éléments dans ce premier tome : de la fantasy avec les légendes avec les dieux, du complot politique, une romance et un léger aperçu historique car même si le récit se déroule dans un pays imaginaire, il est grandement inspiré du fonctionnement de la chine impériale. Cela rend l’histoire intéressante mais aussi inaboutie car on aurait apprécié plus de développements dans certains aspects, tout va un peu trop vite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-concubine-rebelle-chroniques-du-pays-radieux-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    La concubine rebelle tome 1

    L’empereur Zhu Li, troisième souverain du Grand Empire Radieux, vient d ‘accéder au trône après la mort tragique de son frère ainé. Afin de perpétuer la lignée, vingt concubines arrivent au palais, elles viennent toutes d’horizons variés, il y a les filles des grands pontes de l’empire mais aussi des filles de clans vaincus ou rivaux. C’est ainsi que Sarannah, fille du chef du clan des Tianhe, a été choisie afin d’établir un traité de paix entre le nord et le sud. Mais elle ne s’attendait pas à tomber dans un nid de vipère où tous les coups sont bons pour devenir la favorite y compris les assassinats. Il y a beaucoup d’éléments dans ce premier tome : de la fantasy avec les légendes avec les dieux, du complot politique, une romance et un léger aperçu historique car même si le récit se déroule dans un pays imaginaire, il est grandement inspiré du fonctionnement de la chine impériale. Cela rend l’histoire intéressante mais aussi inaboutie car on aurait apprécié plus de développements dans certains aspects, tout va un peu trop vite.
  4. Titre de l'album : Le professeur qui lisait des histoires d'amour tome 1 Scenariste de l'album : ANGRAM Dessinateur de l'album : ANGRAM Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Jun-woo est un gentil professeur d'université d'âge moyen qui vit avec sa fille aînée, Je-kyung. Un jour, lorsque son roman préféré est soudainement annulé, il écrit impulsivement une lettre de fan à l'auteur, qui souffre du syndrome de la page blanche, et lui demande de le rencontrer pour l'aider à écrire. Les deux se rencontrent et, au cours de leur conversation, Jun-woo se souvient accidentellement d'un livre et du nom d'un ancien auteur, et Jun-woo révèle involontairement son secret... Critique : J’ai été surprise par cette lecture. D’abord graphiquement, on s’éloigne de l’apparence un peu traditionnelle des webtoons, un trait plus personnel, plus proche de la bande dessinée européenne et des couleurs plus pastelles, plus fades presque neutres par moment. Et puis il y a la narration, une construction avec de longs chapitres ; difficile d’imaginer son découpage en version numérique en chapitres courts. Il n’y a pas vraiment de rebondissements mais on progresse lentement dans le quotidien des personnages, une histoire qui prend son temps et que l’on aurait presque abandonnée en cours de route. Car il est difficile de s’immerger dans l’histoire tellement elle semble anodine au début. Et puis, peu à peu, arrivent des flash-back (pas vraiment mis en valeur graphiquement parlant, c’est vraiment sur les dialogues que l’on comprend leur temporalité) et des petites phrases dites entre deux personnages ou en aparté pour le lecteur. Des indices qui nous font comprendre qu’il y a un secret familial, un passé qui aurait dû être oublié. L’œuvre est complexe, les personnages tissent des liens entre eux sans savoir qu’ils sont déjà liés. Par exemple, le professeur qui lit des webnovels d’amour lit un roman qui s’appelle le professeur qui lisait des histoires d’amour sans savoir qu’il a servi de modèle à ce personnage. Il y a un côté polar, une énigme à résoudre, un drame sous-jacent. Ce récit, proche d’un roman graphique, sort des sentiers battus et arrive à capter notre attention sans que l’on s’en rende compte. Une œuvre atypique à découvrir. Autres infos : Collection Kfactory Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-professeur-qui-lisait-des-histoires-d-amour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. J’ai été surprise par cette lecture. D’abord graphiquement, on s’éloigne de l’apparence un peu traditionnelle des webtoons, un trait plus personnel, plus proche de la bande dessinée européenne et des couleurs plus pastelles, plus fades presque neutres par moment. Et puis il y a la narration, une construction avec de longs chapitres ; difficile d’imaginer son découpage en version numérique en chapitres courts. Il n’y a pas vraiment de rebondissements mais on progresse lentement dans le quotidien des personnages, une histoire qui prend son temps et que l’on aurait presque abandonnée en cours de route. Car il est difficile de s’immerger dans l’histoire tellement elle semble anodine au début. Et puis, peu à peu, arrivent des flash-back (pas vraiment mis en valeur graphiquement parlant, c’est vraiment sur les dialogues que l’on comprend leur temporalité) et des petites phrases dites entre deux personnages ou en aparté pour le lecteur. Des indices qui nous font comprendre qu’il y a un secret familial, un passé qui aurait dû être oublié. L’œuvre est complexe, les personnages tissent des liens entre eux sans savoir qu’ils sont déjà liés. Par exemple, le professeur qui lit des webnovels d’amour lit un roman qui s’appelle le professeur qui lisait des histoires d’amour sans savoir qu’il a servi de modèle à ce personnage. Il y a un côté polar, une énigme à résoudre, un drame sous-jacent. Ce récit, proche d’un roman graphique, sort des sentiers battus et arrive à capter notre attention sans que l’on s’en rende compte. Une œuvre atypique à découvrir.
  6. Titre de l'album : Elle n'est rien qu'à moi tome 1 Scenariste de l'album : AMAZATO Sugar Dessinateur de l'album : AMAZATO Sugar Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Alors que Nachi Shinohara est un des élèves les plus cool de la classe, Yûri Takizawa préfère rester seule dans son coin. Et pourtant, une histoire d'amour naît entre eux ! Après s'être échangés quelques mots presque par hasard, nos deux lycéens entament une relation en secret... Désormais, il a envie qu'elle ne soit rien qu'à lui ! Leur histoire d'amour lycéenne oscille entre douceur et stimulations sensuelles ! Critique : Nachi est le lycéen charismatique type, il est sociable et à du succès avec les filles. Yûri est la fille à part de la classe, elle ne se mêle pas aux autres et passe son temps à lire. Ces deux-là ne semblent rien avoir en commun pourtant leurs regards se portent souvent vers l’autre. Un jour, Nachi, ramasse le livre de Y et il souhaite en savoir plus à son sujet. Elle l’invite chez elle pour lui prêter des livres et sous une impulsion commune, passent à l’acte dans la foulée. C’et le début d’une étrange relation, secrète et charnelle. Waouh, le moins que l’on puisse dire c’est que les personnages ne perdent pas de temps ! Improbable ? Peut-être pas ! Car le feu couvait, chacun avait repéré l’autre et était attiré par lui, alors forcément, quand l’occasion se présente, ils se laissent aller. Ce qui est plus étonnant c’est la suite… Que faire quand on est allé trop vite et que l’on ne sort pas encore ensemble ? Il est fort possible que l’on tombe dans les prochains tomes dans une relation plus classique. Mais pour le moment, cette romance est très agréable, les dessins sont superbes et pour une fois que la fille férue de lecture n’est pas une fille à lunettes avec des tresses, autant en profiter. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elle-n-est-rien-qu-a-moi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Elle n'est rien qu'à moi tome 1

    Nachi est le lycéen charismatique type, il est sociable et à du succès avec les filles. Yûri est la fille à part de la classe, elle ne se mêle pas aux autres et passe son temps à lire. Ces deux-là ne semblent rien avoir en commun pourtant leurs regards se portent souvent vers l’autre. Un jour, Nachi, ramasse le livre de Y et il souhaite en savoir plus à son sujet. Elle l’invite chez elle pour lui prêter des livres et sous une impulsion commune, passent à l’acte dans la foulée. C’et le début d’une étrange relation, secrète et charnelle. Waouh, le moins que l’on puisse dire c’est que les personnages ne perdent pas de temps ! Improbable ? Peut-être pas ! Car le feu couvait, chacun avait repéré l’autre et était attiré par lui, alors forcément, quand l’occasion se présente, ils se laissent aller. Ce qui est plus étonnant c’est la suite… Que faire quand on est allé trop vite et que l’on ne sort pas encore ensemble ? Il est fort possible que l’on tombe dans les prochains tomes dans une relation plus classique. Mais pour le moment, cette romance est très agréable, les dessins sont superbes et pour une fois que la fille férue de lecture n’est pas une fille à lunettes avec des tresses, autant en profiter.
  8. Titre de l'album : About a love song tome 1 Scenariste de l'album : NATSUMO Hiroko Dessinateur de l'album : NATSUMO Hiroko Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Mizuki Hoshina appartient à un groupe de musique qui peine à décoller, et lui, se sent incapable d'écrire des chansons d'amour. Déprimé par la situation, il cherche alors du réconfort auprès de Seto, un jeune homme qui travaille dans une épicerie. Ce dernier est de nature solaire et optimiste, il éblouit le quotidien morose d'Hoshina et petit à petit, malgré leurs différences, les deux se rapprochent... Mais Seto apprend alors à Hoshina qu'il est bien plus jeune que lui ! Paniqué, Hoshina culpabilise et tente de prendre ses distances avec Seto, mais c'est sans compter sur l'amour qui s'est immiscé entre eux. Critique : About a love song, c’est d’abord une rencontre, celle de Mizuki, un musicien trentenaire qui vit au jour le jour entre quelques concerts et son travail à la supérette, avec Seto, son collègue de boulot, étudiant. Pour Mizuki , Seto représente toute la naïveté et la fraicheur de la jeunesse, c’est sa bouffée d’air frais, les moments passés en sa compagnie l’éloigne de son quotidien et de sa vie désordonnée. Jusque-là, il n’avait jamais envisagé autre chose mais le soir où Seto débarque chez lui car il est en proie à des questionnements vis-à-vis de son avenir, un moment d’intimité se crée. Mais l’histoire doit s’arrêter là car Seto est en réalité encore lycéen. A partir du moment où Mizuki prend connaissance de l’âge de Seto, son sens moral se met en marche. Ce n’est pas une question de détournement de mineur vu que Seto est proche de sa majorité mais c’est plutôt la précipitation de la relation qui l’indispose : il souhaite que ce dernier prenne le temps de grandir et d’expérimenter la vie avant de s’engager. Il ne veut pas être la cause d’une décision prise un peu par hasard dans un moment d’instabilité psychologique. La différence d’âge est l’une des thématiques principales de ce manga, elle est d’autant plus importante que l’un des protagonistes entre à peine dans la vie d’adulte. Mais en plus de cela, il y a un discours sur le choix de vie et l’importance de l’approbation des parents. L’histoire est tout en finesse et en retenue, avec son trait fin et sa narration posée, l’auteur nous offre de beaux moments d’émotions et de sensibilité. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/about-a-love-song-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    About a love song tome 1

    About a love song, c’est d’abord une rencontre, celle de Mizuki, un musicien trentenaire qui vit au jour le jour entre quelques concerts et son travail à la supérette, avec Seto, son collègue de boulot, étudiant. Pour Mizuki , Seto représente toute la naïveté et la fraicheur de la jeunesse, c’est sa bouffée d’air frais, les moments passés en sa compagnie l’éloigne de son quotidien et de sa vie désordonnée. Jusque-là, il n’avait jamais envisagé autre chose mais le soir où Seto débarque chez lui car il est en proie à des questionnements vis-à-vis de son avenir, un moment d’intimité se crée. Mais l’histoire doit s’arrêter là car Seto est en réalité encore lycéen. A partir du moment où Mizuki prend connaissance de l’âge de Seto, son sens moral se met en marche. Ce n’est pas une question de détournement de mineur vu que Seto est proche de sa majorité mais c’est plutôt la précipitation de la relation qui l’indispose : il souhaite que ce dernier prenne le temps de grandir et d’expérimenter la vie avant de s’engager. Il ne veut pas être la cause d’une décision prise un peu par hasard dans un moment d’instabilité psychologique. La différence d’âge est l’une des thématiques principales de ce manga, elle est d’autant plus importante que l’un des protagonistes entre à peine dans la vie d’adulte. Mais en plus de cela, il y a un discours sur le choix de vie et l’importance de l’approbation des parents. L’histoire est tout en finesse et en retenue, avec son trait fin et sa narration posée, l’auteur nous offre de beaux moments d’émotions et de sensibilité.
  10. Hier
  11. Kevin Nivek

    Prochaines sorties...

    dis donc @The_PoP ,le spécialiste ès western , tu connais ça ? https://www.bdfugue.com/histoires-de-l-ouest-tome-1 Serpieri , mmmmhhhhh c'est beauuuu
  12. Titre de l'album : Godefroy - tome 1 Scenariste de l'album : Rudi Miel Dessinateur de l'album : Théo Dubois D'Enghien Coloriste : Felideus Editeur de l'album : Anspach editions Note : Résumé de l'album : Clermont, 1095. Le pape Urbain II appelle à la mobilisation pour délivrer le tombeau du Christ à Jérusalem. Godfroy de Bouillon est pressenti pour jouer un rôle clé dans la croisade. Meneur d'hommes, force de la nature, habile au combat, courtisé par les meilleurs partis du Duché, dont la belle et pieuse Clotilde, le seigneur de Bouillon paraît taillé pour la fonction. Mais son destin semble suspendu aux lèvres d'une jeune marginale, Aëlys, qui lui prédit l'étrange futur d'un roi sans couronne. Et dont il tombe éperdument amoureux. Critique : Soucieux de mettre en avant les grands hommes de Belgique (encore que , France et Belgique se disputent la nationalité du chevalier), les auteurs de ce récit historique s'attaquent à Godefroy de Bouillon , l'un des héros des guerres de croisades . Dans ce tome introductif , nous sommes en l'an de grâce 1095 et nous découvrons ce personnage , qui semble isolé entre un avenir tracé par sa mère et ses ambitions personnelles . En effet , l'usage voudrait qu'il épouse une femme pieuse issue de noble lignée , mais il n'éprouve aucun sentiment envers elle , alors que le hasard met sur sa route la délicieuse et mystérieuse Aëlys et sa chevelure rousse . Un événement soudain va le forcer à prendre la décision de s'engager vers l'Orient porter la parole du pape Urbain II et livrer une guerre sainte , mais pour quelle raison et dans quelles circonstances ? C'est le grand retour des héros historiques dans le paysage BD franco-belge ! Ce support avait été un peu délaissé et ce duo d'auteurs lui rend ses lettres de noblesses . Le récit s'appuie sur une documentation solide (avec des annexes en fin d'album ) et un dessin réaliste à la fois classique et moderne . Théo Dubois D'Enghien a pour modèles Delaby , Swolfs et Serpieri , des maîtres en la matière . Je le trouve pour ma part , effectivement très proche d'un Delaby , à travers son traitement des visages . Les paysages enneigés sont du plus bel effet et l'on connait les difficultés engendrées par ce type de panorama . Il faut avouer que les couleurs de Felideus ornent le moyen-âge de ses plus belles parures ! De la chevelure flamboyante d'Aëlys , en passant par les armures et robes de chevaux , c'est un sans-fautes pour le plaisir rétinien . Cette période historique vous plait et vous souhaitez enrichir votre culture générale , ce Godefroy saura vous séduire 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/godefroy-tome-1-le-seigneur-de-bouillon/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Kevin Nivek

    Godefroy - tome 1

    Soucieux de mettre en avant les grands hommes de Belgique (encore que , France et Belgique se disputent la nationalité du chevalier), les auteurs de ce récit historique s'attaquent à Godefroy de Bouillon , l'un des héros des guerres de croisades . Dans ce tome introductif , nous sommes en l'an de grâce 1095 et nous découvrons ce personnage , qui semble isolé entre un avenir tracé par sa mère et ses ambitions personnelles . En effet , l'usage voudrait qu'il épouse une femme pieuse issue de noble lignée , mais il n'éprouve aucun sentiment envers elle , alors que le hasard met sur sa route la délicieuse et mystérieuse Aëlys et sa chevelure rousse . Un événement soudain va le forcer à prendre la décision de s'engager vers l'Orient porter la parole du pape Urbain II et livrer une guerre sainte , mais pour quelle raison et dans quelles circonstances ? C'est le grand retour des héros historiques dans le paysage BD franco-belge ! Ce support avait été un peu délaissé et ce duo d'auteurs lui rend ses lettres de noblesses . Le récit s'appuie sur une documentation solide (avec des annexes en fin d'album ) et un dessin réaliste à la fois classique et moderne . Théo Dubois D'Enghien a pour modèles Delaby , Swolfs et Serpieri , des maîtres en la matière . Je le trouve pour ma part , effectivement très proche d'un Delaby , à travers son traitement des visages . Les paysages enneigés sont du plus bel effet et l'on connait les difficultés engendrées par ce type de panorama . Il faut avouer que les couleurs de Felideus ornent le moyen-âge de ses plus belles parures ! De la chevelure flamboyante d'Aëlys , en passant par les armures et robes de chevaux , c'est un sans-fautes pour le plaisir rétinien . Cette période historique vous plait et vous souhaitez enrichir votre culture générale , ce Godefroy saura vous séduire 😉
  14. Kevin Nivek

    Titans - Tome 1 Iris

    C'est au même niveau oui, les mêmes équipes qui bossent dessus 😉 Maitres inquisiteurs , Mages etc ...
  15. poseidon2

    Le dernier debout

    Ben je suis dis: je parle de la qualité de la mise en page et.. je ne met aucune image c'est con 😛
  16. The_PoP

    Titans - Tome 1 Iris

    Les planches sont vraiment détaillées ? parce que là dans celles que tu as mis je crains un peu la colorisation de certains visages qui écrase un peu les détails non ? (seconde planche première case par exemple) par rapport à un tome de la série elfes/nains c'est au niveau graphiquement ?
  17. The_PoP

    Le dernier debout

    Le gars il nous sent fébriles, il sent qu'on peut flancher alors il nous rajoute des planches l'air de rien. Pousse au crime !
  18. poseidon2

    L'imprimerie du diable

    Ce n'est pas forcement ma période preferée mais je jetterais un oeil.
  19. Une critique de @TheOtaku : Nos 5 beaux et classes hommes mais complètement étourdis sont de retour avec des histoires toujours aussi drôles et pleines de gaffes. L'un veut s'inspirer des histoires d'amour "non-existante" de ses amis pour écrire son nouveau roman et pendant ce temps nos 5 amis passent du temps ensemble à faire des gaffes, toujours des gaffes. Enfin, comme dans tous les tomes, il n'existe pas de "réel" fil conducteur entre les tomes et le but de cette série est évidemment uniquement de nous faire rire et passer un bon moment. A mon avis, les petites histoires sans fil conducteur seront assez ... plus suffisante à la longue, mais pour l'instant tout va bien, tant qu'on les lit avec un temps d'espace. Enfin si vous avez besoin d'un moment de calme avec des personnages drôles que ce soit le soir avant de dormir, le matin après le réveil, après le travail, lors d'un un weekend tranquille, ce manga est fait pour vous.
  20. Titre de l'album : Critique par une ado : Play it cool, guys tome 5 Scenariste de l'album : Kokone Nata Dessinateur de l'album : Kokone Nata Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un rêve infini... et des bourdes en série ! Qu'est-ce qui réunit nos cinq protagonistes, aux âges et aux occupations divers et variés ?Eh bien, en un mot : les gaffes !Parmi eux, l'auteur Motoharu Igarashi décide de partir à la conquête de nouveaux défis.Quelle conclusion l'attend au bout du chemin, entre discussions sur l'amour et séjour au parc d'attractions "Oursonland" ?Encore plus de bourdes de nos beaux gosses maladroits, mais toujours aussi cool, dans le cinquième volume de cette comédie d'étourdis ! Critique : Une critique de @TheOtaku : Nos 5 beaux et classes hommes mais complètement étourdis sont de retour avec des histoires toujours aussi drôles et pleines de gaffes. L'un veut s'inspirer des histoires d'amour "non-existante" de ses amis pour écrire son nouveau roman et pendant ce temps nos 5 amis passent du temps ensemble à faire des gaffes, toujours des gaffes. Enfin, comme dans tous les tomes, il n'existe pas de "réel" fil conducteur entre les tomes et le but de cette série est évidemment uniquement de nous faire rire et passer un bon moment. A mon avis, les petites histoires sans fil conducteur seront assez ... plus suffisante à la longue, mais pour l'instant tout va bien, tant qu'on les lit avec un temps d'espace. Enfin si vous avez besoin d'un moment de calme avec des personnages drôles que ce soit le soir avant de dormir, le matin après le réveil, après le travail, lors d'un un weekend tranquille, ce manga est fait pour vous. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/play-it-cool-guys-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Titre de l'album : L'imprimerie du diable Scenariste de l'album : Virginie Greinier Dessinateur de l'album : Annabel Coloriste : Editeur de l'album : Arènes Note : Résumé de l'album : Reine Percheval, ce tribunal est réuni ce jour afin d'établir votre implication dans des crimes de sorcellerie d'une extrême gravité... Dans le cas où vous seriez reconnue coupable, la sentence sera la mort ! Critique : Habituée à écrire des scénarios sur des femmes fortes telles Mata Hari et Frédégonde, Virginie Greinier invente la vie de Reine Percheval , guérisseuse dans une campagne reculée française en 1470 . Sous l'oeil avisée de sa grand-mère , elle va apprendre tous les secrets des plantes et comment confectionner onguents et autres préparations utiles pour les villageois mais aussi les récoltes et le bien-être des bêtes . Elle a la chance d'évoluer aux côtés d'un curé progressiste et bien conscient des bienfaits qu'elle réalise tous les jours . Ce dernier a appris à lire au jeune Etienne qui montre de belles dispositions intellectuelles et rêve d'ailleurs , car son avenir tracé de paysan ne lui sied guère . Nos deux jeunes gens sont épris l'un pour l'autre mais le père d'Etienne , à la rancoeur tenace envers la grand-mère de Reine , finit par le découvrir et s'en prend violemment à son fils . Il quitte le village avec une promesse envers Reine : revenir ! Les années passent et nous voilà en 1495 , Colomb a découvert les Amériques , mais l'imprimerie fait aussi partie des découvertes majeures . Etienne travaille dans une imprimerie à Genève et publie des "canards" anti-sorcières et notamment un manifeste de démonologie : le marteau des sorcières . Oeuvre fondatrice et chapeautée par des hommes en quête de contrôle de la population et surtout de l'influence des femmes ! La chasse est lancée , la délation encouragée , Reine pourra t'elle continuer son oeuvre si bénéfique ? Etienne reviendra t'il et avec quelles dispositions envers elle ? Le graphisme lumineux et détaillé de l'artiste Annabel , magnifie un scénario précis , documenté , remarquablement écrit et gagnant en intensité au fil des pages . L'intelligence du propos , la mise en exergue des incohérences entre ces fameuses sorcières aimées des gens car bien conscients de leurs bienfaits , et une religion omniprésente dont l'incitation à la prière semble impuissante ; tout est ancré dans un réel logique et implacable . Sans faire l'erreur de sombrer dans un féminisme accru , Virginie Greinier démontre judicieusement comment la société patriarcale s'est renforcée sous l'égide bienveillante du clergé en déclarant la guerre à ses femmes porteuses d'un savoir qu'ils ne comprenaient pas et ne voulaient pas comprendre ! La profonde humanité et bienveillance de Reine transpire dans ses pages , elle s'illumine tels ses yeux brillants de véracité . Un regard moderne et réaliste sur ces femmes qui méritent tellement mieux que le qualificatif de sorcières . Une des sorties BD les plus marquantes de l'année , à n'en pas douter ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-imprimerie-du-diable/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Kevin Nivek

    L'imprimerie du diable

    Habituée à écrire des scénarios sur des femmes fortes telles Mata Hari et Frédégonde, Virginie Greinier invente la vie de Reine Percheval , guérisseuse dans une campagne reculée française en 1470 . Sous l'oeil avisée de sa grand-mère , elle va apprendre tous les secrets des plantes et comment confectionner onguents et autres préparations utiles pour les villageois mais aussi les récoltes et le bien-être des bêtes . Elle a la chance d'évoluer aux côtés d'un curé progressiste et bien conscient des bienfaits qu'elle réalise tous les jours . Ce dernier a appris à lire au jeune Etienne qui montre de belles dispositions intellectuelles et rêve d'ailleurs , car son avenir tracé de paysan ne lui sied guère . Nos deux jeunes gens sont épris l'un pour l'autre mais le père d'Etienne , à la rancoeur tenace envers la grand-mère de Reine , finit par le découvrir et s'en prend violemment à son fils . Il quitte le village avec une promesse envers Reine : revenir ! Les années passent et nous voilà en 1495 , Colomb a découvert les Amériques , mais l'imprimerie fait aussi partie des découvertes majeures . Etienne travaille dans une imprimerie à Genève et publie des "canards" anti-sorcières et notamment un manifeste de démonologie : le marteau des sorcières . Oeuvre fondatrice et chapeautée par des hommes en quête de contrôle de la population et surtout de l'influence des femmes ! La chasse est lancée , la délation encouragée , Reine pourra t'elle continuer son oeuvre si bénéfique ? Etienne reviendra t'il et avec quelles dispositions envers elle ? Le graphisme lumineux et détaillé de l'artiste Annabel , magnifie un scénario précis , documenté , remarquablement écrit et gagnant en intensité au fil des pages . L'intelligence du propos , la mise en exergue des incohérences entre ces fameuses sorcières aimées des gens car bien conscients de leurs bienfaits , et une religion omniprésente dont l'incitation à la prière semble impuissante ; tout est ancré dans un réel logique et implacable . Sans faire l'erreur de sombrer dans un féminisme accru , Virginie Greinier démontre judicieusement comment la société patriarcale s'est renforcée sous l'égide bienveillante du clergé en déclarant la guerre à ses femmes porteuses d'un savoir qu'ils ne comprenaient pas et ne voulaient pas comprendre ! La profonde humanité et bienveillance de Reine transpire dans ses pages , elle s'illumine tels ses yeux brillants de véracité . Un regard moderne et réaliste sur ces femmes qui méritent tellement mieux que le qualificatif de sorcières . Une des sorties BD les plus marquantes de l'année , à n'en pas douter !
  23. Titre de l'album : Titans - Tome 1 Iris Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Laci Coloriste : Arif Prianto Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : Redécouvrez l'Antiquité´ au travers de la guerre oubliée entre les dieux et les titans. Du sang et des larmes... Et encore du sang. Vachement de sang. Iris, guerrière invaincue de Sparte, fait la fierté´ des siens depuis toujours. Redoutée par tous les soldats de Grèce, admirée par les généraux, adulée par les foules, elle ne craint personne. Pourtant, lors d'Olympiades qui voient se défier Athènes et Sparte, elle est battue par un adversaire qui possède une force surnaturelle. Cette défaite, la première, la seule, vaut l'exil a` Iris. Elle sombre dans la honte, cherche le pardon et la mort dans le vin et le sang... jusqu'a` ce qu'elle découvre que sa chute ne devait rien au hasard. Elle s'est retrouvée mêlée, malgré elle, au combat antique que se livrent les Titans et les Dieux... Et les dieux se sont méchamment foutus d'elle. Ça, elle ne le laissera pas passer. Personne, pas même un dieu, ne marche sur la gueule d'une putain de spartiate. Critique : On connait bien l'histoire de Cronos mangeant une pierre donnée par son épouse Rhéa , en pensant qu'il s'agissait du dernier-né : Zeus ! Celui-ci élevé à l'écart sur l'île de Crète ,entreprit sa vengeance à l'âge adulte en déclarant la guerre aux titans menés par Cronos lui-même , la fameuse Titanomachie ! Mais les hommes dans tout cela me direz-vous , qu'en est-il de leur histoire ? Dans cette nouvelle collection de l'éditeur Oxymore chapeautée par Sébastien Grenier et Jean-Luc Istin , Olivier Peru fait resurgir cette ancestrale querelle divine à l'apogée de la Grèce antique , où Sparte et Athènes règnent en maître . Mais n'y en a t'il pas un de trop justement ? Laci et son graphisme sombre et détaillé délivre des planches superbes , magnifiées par les couleurs et jeux de lumières d'Arif Prianto . On y fait la connaissance d'Iris , une guerrière sparte invaincue et terriblement badass . De sombres machinations politiques sont à l'oeuvre et à l'occasion d'une manifestation sportive entre les deux camps , elle va rencontrer sur son chemin un géant grec , leur champion doté d'une force dévastatrice . Elle qui n'a jamais connu la défaite , va découvrir se sentiment , amplifié par les coutumes de Sparte où l'échec est interdit sous peine de déshonneur et bannissement . Dans sa quête de rédemption elle va découvrir que les apparences sont trompeuses , les Dieux et les Titans se mêlent des affaires humaines , mais dans quel but ?? Prévue en 4 tomes centrés sur des femmes fortes comme Iris , cette saga est prometteuse et dotée de nombreuses qualités narratives et graphiques . De la mythologie grecque dopée à la testostérone , innovante et moderne , avec une héroïne charismatique et un soupçon de magie divine , voici les ingrédients de ce premier opus réussi ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/titans-tome-1-iris/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Kevin Nivek

    Titans - Tome 1 Iris

    On connait bien l'histoire de Cronos mangeant une pierre donnée par son épouse Rhéa , en pensant qu'il s'agissait du dernier-né : Zeus ! Celui-ci élevé à l'écart sur l'île de Crète ,entreprit sa vengeance à l'âge adulte en déclarant la guerre aux titans menés par Cronos lui-même , la fameuse Titanomachie ! Mais les hommes dans tout cela me direz-vous , qu'en est-il de leur histoire ? Dans cette nouvelle collection de l'éditeur Oxymore chapeautée par Sébastien Grenier et Jean-Luc Istin , Olivier Peru fait resurgir cette ancestrale querelle divine à l'apogée de la Grèce antique , où Sparte et Athènes règnent en maître . Mais n'y en a t'il pas un de trop justement ? Laci et son graphisme sombre et détaillé délivre des planches superbes , magnifiées par les couleurs et jeux de lumières d'Arif Prianto . On y fait la connaissance d'Iris , une guerrière sparte invaincue et terriblement badass . De sombres machinations politiques sont à l'oeuvre et à l'occasion d'une manifestation sportive entre les deux camps , elle va rencontrer sur son chemin un géant grec , leur champion doté d'une force dévastatrice . Elle qui n'a jamais connu la défaite , va découvrir se sentiment , amplifié par les coutumes de Sparte où l'échec est interdit sous peine de déshonneur et bannissement . Dans sa quête de rédemption elle va découvrir que les apparences sont trompeuses , les Dieux et les Titans se mêlent des affaires humaines , mais dans quel but ?? Prévue en 4 tomes centrés sur des femmes fortes comme Iris , cette saga est prometteuse et dotée de nombreuses qualités narratives et graphiques . De la mythologie grecque dopée à la testostérone , innovante et moderne , avec une héroïne charismatique et un soupçon de magie divine , voici les ingrédients de ce premier opus réussi !
  25. Titre de l'album : Nero tome 3 - Jihad Scenariste de l'album : Emiliano Mammucari | Matteo Mammucari Dessinateur de l'album : Matteo Cremona | Davide Gianfelice Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : La terrible catastrophe qui vient de frapper le monde ne semble étrangement pas avoir eu d'effet sur la ville de Damas. Nero et ses compagnons, toujours en quête de nouveaux alliés, en sont les témoins lorsqu'ils parviennent à la « Cité aux mille jardins » qui semble épargnée par les Djinns maléfiques. Quelle sorcellerie pourrait-elle bien expliquer cet étonnant phénomène ? Nero n'a désormais plus qu'un objectif, retourner à la Grotte du Sang, où tout a commencé, et affronter le surpuissant Djinn du feu. L'heure du Jih?d a sonné ! Un troisième et dernier tome explosif qui clôt les aventures de Nero, le féroce guerrier arabe imaginé par les frères Mammucari. Critique : Troisième et dernier tome de Nero (même si un deuxième cycle semble possible) et troisième tome qui conclut notre histoire globalement comme on l'attendait. Pour sauver le monde il faut un certain nombre de sacrifices, de héros et de trahison. Niveau scenario, pas de grande surprise. Le rythme est toujours là et le grand format toujours impressionnant tout comme la qualité de l'ouvrage. C'est coté dessin que j'ai été... un peu déçu. En effet je trouve qu'il y a une vraie différence de qualité entre la première et la deuxième partie. La première parait moins appliquée, la ou la deuxième est sublime. Si cela ne change pas l'histoire et la qualité de la lecture, c'est un peu décevant, donnant un peu l'impression d'avoir une qualité dépendante de l'humeur de notre dessinateur. La série reste une très belle œuvre graphique dans un très bel écrin et sur un thème un peu oublié ces 10 dernières années. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nero-tome-3-jihad?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  26. poseidon2

    Nero tome 3 - Jihad

    Troisième et dernier tome de Nero (même si un deuxième cycle semble possible) et troisième tome qui conclut notre histoire globalement comme on l'attendait. Pour sauver le monde il faut un certain nombre de sacrifices, de héros et de trahison. Niveau scenario, pas de grande surprise. Le rythme est toujours là et le grand format toujours impressionnant tout comme la qualité de l'ouvrage. C'est coté dessin que j'ai été... un peu déçu. En effet je trouve qu'il y a une vraie différence de qualité entre la première et la deuxième partie. La première parait moins appliquée, la ou la deuxième est sublime. Si cela ne change pas l'histoire et la qualité de la lecture, c'est un peu décevant, donnant un peu l'impression d'avoir une qualité dépendante de l'humeur de notre dessinateur. La série reste une très belle œuvre graphique dans un très bel écrin et sur un thème un peu oublié ces 10 dernières années.
  27. Bon, lecture finie , première claque de l’année , critique probablement dithyrambique à venir et demande de partenariat avec cette maison d’édition Les arènes BD 😅
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    • Godefroy - tome 1
      Note :
      Soucieux de mettre en avant les grands hommes de Belgique (encore que , France et Belgique se disputent la nationalité du chevalier), les auteurs de ce récit historique s'attaquent à Godefroy de Bouillon , l'un des héros des guerres de croisades . Dans ce tome introductif , nous sommes en l'an de grâce 1095 et nous découvrons ce personnage , qui semble isolé entre un avenir tracé par sa mère et ses ambitions personnelles . En effet , l'usage voudrait qu'il épouse une femme pieuse issue de noble lignée , mais il n'éprouve aucun sentiment envers elle , alors que le hasard met sur sa route la délicieuse et mystérieuse Aëlys et sa chevelure rousse . Un événement soudain va le forcer à prendre la décision de s'engager vers l'Orient porter la parole du pape Urbain II et livrer une guerre sainte , mais pour quelle raison et dans quelles circonstances ? 

      C'est le grand retour des héros historiques dans le paysage BD franco-belge ! Ce support avait été un peu délaissé et ce duo d'auteurs lui rend ses lettres de noblesses . Le récit s'appuie sur une documentation solide (avec des annexes en fin d'album ) et un dessin réaliste à la fois classique et moderne . Théo Dubois D'Enghien a pour modèles Delaby , Swolfs et Serpieri , des maîtres en la matière . Je le trouve pour ma part , effectivement très proche d'un Delaby , à travers son traitement des visages . Les paysages enneigés sont du plus bel effet et l'on connait les difficultés engendrées par ce type de panorama . Il faut avouer que les couleurs de Felideus ornent le moyen-âge de ses plus belles parures ! De la chevelure flamboyante d'Aëlys , en passant par les armures et robes de chevaux , c'est un sans-fautes pour le plaisir rétinien .

      Cette période historique vous plait et vous souhaitez enrichir votre culture générale , ce Godefroy saura vous séduire 😉 
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    • La concubine rebelle tome 1
      Note :
      L’empereur Zhu Li, troisième souverain du Grand Empire Radieux, vient d ‘accéder au trône après la mort tragique de son frère ainé. Afin de perpétuer la lignée, vingt concubines arrivent au palais, elles viennent toutes d’horizons variés, il y a les filles des grands pontes de l’empire mais aussi des filles de clans vaincus ou rivaux. C’est ainsi que Sarannah, fille du chef du clan des Tianhe, a été choisie afin d’établir un traité de paix entre le nord et le sud. Mais elle ne s’attendait pas à tomber dans un nid de vipère où tous les coups sont bons pour devenir la favorite y compris les assassinats.

      Il y a beaucoup d’éléments dans ce premier tome : de la fantasy avec les légendes avec les dieux, du complot politique, une romance et un léger aperçu historique car même si le récit se déroule dans un pays imaginaire, il est grandement inspiré du fonctionnement de la chine impériale. Cela rend l’histoire intéressante mais aussi inaboutie car on aurait apprécié plus de développements dans certains aspects, tout va un peu trop vite.
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    • Le professeur qui lisait des histoires d'amour tome 1
      Note :
      J’ai été surprise par cette lecture. D’abord graphiquement, on s’éloigne de l’apparence un peu traditionnelle des webtoons, un trait plus personnel, plus proche de la bande dessinée européenne et des couleurs plus pastelles, plus fades presque neutres par moment. Et puis il y a la narration, une construction avec de longs chapitres ; difficile d’imaginer son découpage en version numérique en chapitres courts. Il n’y a pas vraiment de rebondissements mais on progresse lentement dans le quotidien des personnages, une histoire qui prend son temps et que l’on aurait presque abandonnée en cours de route. Car il est difficile de s’immerger dans l’histoire tellement elle semble anodine au début.

      Et puis, peu à peu, arrivent des flash-back (pas vraiment mis en valeur graphiquement parlant, c’est vraiment sur les dialogues que l’on comprend leur temporalité) et des petites phrases dites entre deux personnages ou en aparté pour le lecteur. Des indices qui nous font comprendre qu’il y a un secret familial, un passé qui aurait dû être oublié.

      L’œuvre est complexe, les personnages tissent des liens entre eux sans savoir qu’ils sont déjà liés. Par exemple, le professeur qui lit des webnovels d’amour lit un roman qui s’appelle le professeur qui lisait des histoires d’amour sans savoir qu’il a servi de modèle à ce personnage. Il y a un côté polar, une énigme à résoudre, un drame sous-jacent.

      Ce récit, proche d’un roman graphique, sort des sentiers battus et arrive à capter notre attention sans que l’on s’en rende compte. Une œuvre atypique à découvrir.
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    • Elle n'est rien qu'à moi tome 1
      Note :
      Nachi est le lycéen charismatique type, il est sociable et à du succès avec les filles. Yûri est la fille à part de la classe, elle ne se mêle pas aux autres et passe son temps à lire. Ces deux-là ne semblent rien avoir en commun pourtant leurs regards se portent souvent vers l’autre. Un jour, Nachi, ramasse le livre de Y et il souhaite en savoir plus à son sujet. Elle l’invite chez elle pour lui prêter des livres et sous une impulsion commune, passent à l’acte dans la foulée. C’et le début d’une étrange relation, secrète et charnelle.

      Waouh, le moins que l’on puisse dire c’est que les personnages ne perdent pas de temps ! Improbable ? Peut-être pas ! Car le feu couvait, chacun avait repéré l’autre et était attiré par lui, alors forcément, quand l’occasion se présente, ils se laissent aller. Ce qui est plus étonnant c’est la suite… Que faire quand on est allé trop vite et que l’on ne sort pas encore ensemble ?

      Il est fort possible que l’on tombe dans les prochains tomes dans une relation plus classique. Mais pour le moment, cette romance est très agréable, les dessins sont superbes et pour une fois que la fille férue de lecture n’est pas une fille à lunettes avec des tresses, autant en profiter.
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    • About a love song tome 1
      Note :
      About a love song, c’est d’abord une rencontre, celle de Mizuki, un musicien trentenaire qui vit au jour le jour entre quelques concerts et son travail à la supérette, avec Seto, son collègue de boulot, étudiant. Pour Mizuki , Seto représente toute la naïveté et la fraicheur de la jeunesse, c’est sa bouffée d’air frais, les moments passés en sa compagnie l’éloigne de son quotidien et de sa vie désordonnée. Jusque-là, il n’avait jamais envisagé autre chose mais le soir où Seto débarque chez lui car il est en proie à des questionnements vis-à-vis de son avenir, un moment d’intimité se crée. Mais l’histoire doit s’arrêter là car Seto est en réalité encore lycéen.

      A partir du moment où Mizuki prend connaissance de l’âge de Seto, son sens moral se met en marche. Ce n’est pas une question de détournement de mineur vu que Seto est proche de sa majorité mais c’est plutôt la précipitation de la relation qui l’indispose : il souhaite que ce dernier prenne le temps de grandir et d’expérimenter la vie avant de s’engager. Il ne veut pas être la cause d’une décision prise un peu par hasard dans un moment d’instabilité psychologique.

      La différence d’âge est l’une des thématiques principales de ce manga, elle est d’autant plus importante que l’un des protagonistes entre à peine dans la vie d’adulte. Mais en plus de cela, il y a un discours sur le choix de vie et l’importance de l’approbation des parents.

      L’histoire est tout en finesse et en retenue, avec son trait fin et sa narration posée, l’auteur nous offre de beaux moments d’émotions et de sensibilité.
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