Aller au contenu
  • S’inscrire
  • Don Quichotte de la Manche


    alx23
    • Scenariste: Paul & Gaëtan Brizzi Dessinateur: Paul & Gaëtan Brizzi Coloriste: Paul & Gaëtan Brizzi Editeur: Daniel Maghen Note :
      Résumé:

      Don Quichotte passe entre les mains de Paul et Gaëtan Brizzi pour une adaptation somptueuse de ce classique de la littérature espagnole. Paul et Gaëtan Brizzi reprennent le crayon et, après L'Enfer de Dante, s'attaquent à un autre très grand classique de la littérature espagnole, Don Quichotte. L'Hidalgo de Miguel de Cervantes va passer sous les traits uniques des frères Brizzi pour une nouvelle adaptation spectaculaire !

      Type: Roman graphique L'acheter sur bdfugue Genre: Humour Prix: 29 Nb de pages: 200
     Share

    Après une somptueuse adaptation de la Divine Comédie, l'enfer de Dante, les deux frères auteurs Brizzi se lancent dans une nouvelle adaptation d'un autre classique de la littérature, avec Don Quichotte de la Manche de Cervantes. On retrouve donc avec plaisir les aventures rocambolesques de Don Quichano qui se renomme lui-même Don Quichotte, avant de partir avec sa vieille monture pour venir en aide ou affronter des monstres présents seulement dans sa tête ou sa folie. L'histoire de Don Quichotte est plus légère que celle de Dante avec beaucoup d'humour en compagnie de son fidèle Sancho et de Carrasco son scribe. Les frères Brizzi restent fidèles à l'œuvre d'origine souvent amusante mais aussi triste devant la méchanceté des personnes se moquant de Don Quichotte ou le frappant.
    La partie graphique est absolument magnifique, la plus grande partie des planches est en noir et blanc en crayonnée mais quelques illustrations ou double page d'illustration sont en couleurs. Le style des dessins se veut caricatural avec des personnages aux expressions très exagérés sur les gros plans des visages. Les scènes d'actions sont parfaites et dynamiques qui se terminent souvent par Don Quichotte perdant et finissant à terre.
    Ce roman graphique est imposant avec deux cent planches magnifiques où l'on ne peut rester qu'admiratif devant le travail des deux frères. 
     

     Share


    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    Daniel maghen c'est toujours très beau.... reste que j'ai toujours trouvé qu'il méttaient (normale pour une galerie), toujours très en avant le dessin des fois au détriment du scenario. 

    Mais celui ci a l'air joli quand meme....

    • Like 1
    Lien vers le commentaire
    Partager sur d’autres sites



    Rejoindre la conversation

    Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

    Invité
    Ajouter un commentaire…

    ×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

      Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

    ×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

    ×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

    ×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.


  • Qui est en ligne   0 membre, 0 anonyme, 21 invités (Afficher la liste complète)

    • Il n’y a aucun utilisateur enregistré actuellement en ligne
  • Inscription

    Inscrivez vous gratuitement

  • Les previews !

  • Dernières Critiques

    • Olot
      Note :
      Ce roman graphique est un véritable ovni aux éditions Tanibis, d'ailleurs la couverture en dit long sur le récit. L'auteur se présente en introduction comme un musicien passionné par les statues moai de l'île de Pâques. Quand il découvre qu'il en existe une autre en Espagne, il en profite pour le visiter lors d'une tournée en Europe. Il relate dans ce recueil d'histoires courtes des faits divers pour le moins étrange qui se déroulent dans la ville qui accueille cette statue, Olot. L'atmosphère est bien travaillée et curieuse, d'ailleurs il y a des références à David Lynch avec le générique de Twin peaks. Dr. Alderete doit être un amateur de ce genre et réussit à instaurer cette même ambiance à son récit. Entre chaque fait divers, on peut suivre un homme faisant des choses relativement similaire sur plusieurs époque de sa vie.  La partie graphique est très intéressante et certainement l'atout majeur de ce titre. On passe du noir et blanc à des pages assez psychédéliques avec une colorisation spéciale.
      Olot fait partie de ces bandes dessinée inclassable et particulière, on aime ou pas mais c'est très original.
      • 1 réponse

    • Shadow of the ring tome 2
      Note :
      Dans le 1er tome, on avait besoin de se familiariser avec ce nouvel univers, qui était d’ailleurs prometteur. Ce second volume me laisse un peu perplexe. D’abord ; il y a de nouveaux pays avec de nouveaux personnages : on a du mal à bien comprendre qui est avec qui et quelles sont les relations entre les différents pays. Ensuite, il y a les armes, des sortes de tenues de combat qui se ressemblent toutes : ce qui fait qu’entre deux combattants, ce n’est pas toujours aisé de les reconnaitre.

      On a un peu l’impression d’être jeté au milieu du livre sans avoir lu le début : on arrive directement dans l’action, au cœur d’un conflit. D’un côté c’est bien car on n’a pas une introduction interminable mais de l’autre, vu que l’on se trouve dans un univers complétement inédit, on a du mal à s’immerger sans un minimum de connaissance.

      Je regrette également le survol des personnages : on n’a pas vraiment le temps de les connaitre. Pour le moment, le lecteur reste un spectateur ; il y a peut-être trop d’informations d’un coup, on a à peine le temps de découvrir le pays de Keiju que l’on part déjà dans un autre décor. Pour le moment, l’histoire ne m’a pas convaincue et a du mal à capter mon attention.
      • 1 réponse
    • Un second au revoir tome 1
      Note :
      Un peu comme dans Erased ou Le bateau de Thésée, on a un personnage principal qui va revenir quelques années en arrière pour élucider une affaire policière.

      Lors des funérailles de son meilleur ami disparu, Hinata Harusawa découvre que ce dernier a été assassiné lorsqu’ils étaient au lycée et que son corps a été dissimulé dans les murs de leur salle de club : le club d’arts plastiques. Agressé au cours des obsèques, Hinata revient quelques mois avant la disparition de Sora et décide de tout faire pour empêcher le drame. Seulement, d’autres événements ont lieu à la place.

      J’aime bien ce genre d’histoire, en même temps qu’il y a un secret à découvrir, on voit les personnages se débattre dans un passé où le moindre de leurs agissements peut avoir des répercussions. Ces scénarios sont toujours plus travaillés que les mangas de régression où le héros cherche juste à échapper à son funeste destin, scénarios qui se déroulent toujours un peu de la même façon. Dans ces retours dans le passé « policier », on part à la recherche d’indices et souvent les trames sont complexes. On ne sait jamais à quoi s’attendre et on découvre souvent des personnages à plusieurs facettes.

      Le manga est bien orchestré, bien dessiné et on a hâte d’aller découvrir la suite. Un bon début pour un thriller passionnant qui sait nous tenir en haleine. 3 tomes en cours.
      • 1 réponse
    • Jealousy blinds love
      Note :
      D’un côté, il y a Hirino, un prodige du piano qui n’évolue plus depuis le décès de sa mère. De l’autre, Takase, un jeune élève prometteur, fan de Hirino, qui est également un génie. Entre les deux, il y a de l’envie, de la jalousie (par rapport au talent), une relation ambigüe pas très nette. Ils se cherchent, se mentent à eux-mêmes et profitent de l’autre. Mais qui mène vraiment la barque ?

      Ce qui est sûr, c’est que l’histoire joue sur les sentiments, ceux que l’on ressent mais surtout ce que l’on tait. Les personnages se mentent à eux-mêmes, il se mentent entre eux, chacun agit de façon à obtenir ce qu’il veut sans vraiment savoir non plus ce qu’il souhaite vraiment. C’est un vrai imbroglio.

      Pour le lecteur, c’est assez difficile de ressentir de l’empathie. Certes le graphisme est beau et élégant, l’histoire est intrigante mais le développement n’est pas vraiment à la hauteur. D’abord, on aurait aimé une présence plus marquée de la musique qui aurait amenée des envolées romantiques ou dramatiques et surtout nous aurait baigné dans une passion plus prononcée. Et puis, il manque des informations, comme s’appesantir par moment sur certaines pensées, certains ressentis. On a l’impression de survoler un peu l’histoire et c’est dommage.
      • 0 réponse
    • Amour placebo tome 2 (fin)
      Note :
      Satô a découvert que Serika avait une autre vie, une vie avec un mari où il n’avait pas sa place. Finalement tout n’était que mensonge, alors il erre l’âme en peine, le cœur détruit. Il se sent vide, n’a plus envie de rien et s’abandonne à une vie sans lendemain où il prend ce qui passe à sa portée.

      Ce deuxième tome est très sombre, assez glauque et limite dépressif. C’est le vide absolu dans le cœur et l’âme de Satô et Akane Torikai nous le fait bien ressentir. Un désespoir si grand que l’on a l’impression de plonger dans un gouffre sans fin. De ce côté-là, le manga est réussi mais humainement parlant, on ne s’y sent pas à l’aise avec l’envie, presque, de ne pas poursuivre la lecture.

      Amour placebo est un manga pour adulte ou plutôt pour lecteur mature, capable d’appréhender la psychologie et capable de regarder en face un monde qui n’est pas reluisant. Toute la construction du scénario est réussie, les réflexions sont sensées et les descriptions des sentiments sont réalistes, trop peut-être. Car l’histoire est triste, sombre. Elle est intéressante mais on n’a pas vraiment envie d’y revenir.
      • 0 réponse
×
×
  • Créer...