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  • Go west young man


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    • Scenariste: Tiburce Oger Dessinateur: Collectif Coloriste: Collectif Editeur: Grand Angle Note :
      Résumé:

      Le parcours sauvage et violentd 'une montre pendant la conquête de l'Ouest.Un western qui sent la poudre et la boue... En quatorze histoires, Go West young man retrace la conquête de l'Ouestaméricain, de 1763 à 1938. Des conflits des grands lacs au désert duMexique, les destins se succèdent. Trappeurs et pionniers, tribus indiennes,desperados et prostituées vont se battre et survivre dans les grandes plaines,les villes champignons et les guerres interminables. Si les grands thèmes sontà l'honneur dans cet album, c'est le côté obscur des Hommes qui ressort,présentant avec un goût amer le rêve américain. Racisme, génocide indien,condition des femmes, guerres et misère. Go West young man est un hommageau western, mais un hommage lucide. Texte : Tiburce Oger. Dessins : Christian Rossi, François Boucq, Patrick Prugne, Hugues Labiano, Michel Rouge, Michel Blanc-Dumont, Félix Meynet, Enrico Marini, Dominique Bertail, Ronan Toulhoat, Benjamin Blasco-martinez, Paul GASTINE, Steve CUZOR, Eric HERENGUEL, TaDuc, Ralph MEYER.

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Western Prix: -- Nb de pages: --
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    Pour bien prendre en compte la porté de l'œuvre (car oui il faut appeler cela une œuvre) de Tiburce Oger, il faut se dire que je ne suis pas le fan de Western du site. Je dirais même que je suis peut être la cible la moins facile du site. Moi je suis un fan de Tiburce Oger sur Gorn. Et pourtant pourtant.... on ne peut que reconnaitre le travail qui a été réalisé par Tiburce Oger. 

    Ce pourquoi j'ai mis en avant le fait que c'était une œuvre. Car réussir à réunir 17 dessinateurs différents, tous plus bons les uns que les autres, pour nous livrer des mini histoires toutes très denses et très poignantes.

    Tiburce Oger réussi très intelligemment à balayer tout ce qui a pu être fait sur le Western et à chaque fois avec une histoire bien trouvée. Notre montre passe dans les mains de cowboy, d'indiens, de tuniques bleues, de sudistes, de mexicains ou encore de trappeurs du grand nord. Et chacun des 17 dessinateurs s'est prit au jeu et a donné le maximum pour illustrer sa mini histoire.   

    Le voyage de cette montre est un immense et superbe hommage à ce que le western nous à offert et un gigantesque appel à découvrir ce que la BD peut nous proposer sur le thème.

    Je regrette de ne pas avoir pris la version deluxe tient !

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    nan mais ce go west ne peut pas être juste bon. comme le goldorak, trop de beau monde à l'affiche pour signer un rtruc moyennasse. Et Monsieur Oger, en terme de scénarios.... pffff... il sait vraiment raconter des histoires...

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    Reçue et lue , cette splendide édition limitée en NB sauf quelques histoires comme celle de Prugne . C'est un régal total !! Et je le relirai sans aucun problème car les histoires fourmillent de détails en second plan 😉

     

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    Il y a 19 heures, Kevin Nivek a dit :

    quelques histoires comme celle de Prugne

    Alors oui tient c'est bizarre ca car prune fait quasi tout a l'aquarelle donc comment ils ont fait le Noir et Blanc ?

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  • Dernières Critiques

    • Chasseuse de fantômes
      Note :
      Les soeurs Gibbs continuent leur tour d'horizon de la jeunesse américaine , saupoudrée d'une dose de fantastique avec ce nouvel opus : Chasseuse de fantômes . On y suit Chelsea une ado avec les problèmes , que nous avons toutes et tous traversés durant cette période si importante de notre vie : le lycée , des parents séparés , les amies , les flirts et surtout les portables et leurs réseaux sociaux occupant tout l'espace ! Lorsque l'on ajoute à tout ceci un père créant sa boîte de "rôtisseur" de fantômes , on imagine que Chelsea craint pour sa "réputation" , le fameux "qu'en-dira-t-on" ! Mais elle va se prendre au jeu et en découvrir sur sa personne au fil de ses aventures avec notamment la rencontre d'un garçon de son âge , mais d'une autre époque , une période post guerre de sécession en Louisiane au sein d'une bâtisse emplie de secrets de famille et d'esprits tourmentés . Les soeurs Gibbs réalisent un scénario soigné , livrant ses révélations au compte goutte tout en ménageant le suspens . Les dialogues sont en phase avec les ados , le lectorat ciblé ne sera pas dépaysé 😉 L'illustratrice Emily Cannon réalise son premier roman graphique avec un dessin coloré , un peu trop "numérique" pour moi , mais tout à fait adapté aux attentes des jeunes . Les visages ronds aux traits et aux expressions exacerbées type "manga" plairont aux amateurs . Le découpage est vivant , les 200 pages défilent à toute vitesse . Si vous cherchez de l'aventure ado à mi-chemin entre la série Ghost whipserer et les films Ghostbusters , avec un soupçon de style manga , foncez 😉 
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    • Six tome 2 - Une montagne d'or
      Note :
      J'ai relu ma critique du tome un et, malgré le 4/5, je me suis trouvé.. sévère. Je viens de le relire et ce tome 1 était excellent avec des dessins sublimes et une intrigue, bien qu'introductive, pleine de rebondissements et de caractère.

      Et ce tome deux est tout aussi bon. Il remet au centre de l'histoire notre Kid et nous dévoile un complot vraiment important mais nous montre surtout que chacun des personnages à sa propre histoire et que quand ces histoires se percutent, cela donne des étincelles.

      Étincelles qui allument, dans ce tome deux, un feu d'artifice de tension et de suspens, porté par un dessin toujours aussi beau.

      Le cliffhanger final ne peut que nous donner envie de découvrir le plus vite possible les deux prochains tomes.  

       
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    • Dead Rock tome 1
      Note :
      Voici la nouvelle série de Hiro Mashima, l’auteur de Fairy Tail et Edens Zero. Commencée en juillet 2023, elle compte 1 seul tome pour le moment.

      Dead Rock est le nom d’une académie formant les plus puissants de tous les démons. Deux façons d’y entrer : soit avoir eu une recommandation, soit passer une épreuve spéciale qui voit peu de candidats réussir. Et cette année, sur les 1000 inscrits seuls 7 sont reçus et 985 sont morts !! Parmi les reçus se trouve Yakuto, un descendant du dragon noir.

      Une académie située en Enfer avec plein de démons, une classe spéciale avec peu d’élèves et un peu à l’écart des autres, il y a un petit air d’Iruma dans l’air… La ressemblance s’arrête là car même s’il y a de l’humour, l’histoire est assez violente et baigne dans le sang, pas vraiment visuellement car nous sommes dans un shonen et le manga n’est pas gore. Mais si on se penche sur le propos, c’est vraiment la loi du plus fort et le règlement même de l’école l’autorise, l’article 3 dit « on peut tuer tous ceux que l’on n’aime pas » y compris les professeurs ! Et Yakuto est bien décidé à atteindre son objectif quels que soient les moyens !

      Ce nouveau titre de Mashima est clairement plus sombre que ces précédentes œuvres et promet quelques rebondissements intéressants. On appréciera retrouver quelques références à Fairy Tail, notamment l’apparence de Yakuto et ses capacités (« poing destructeur du dragon noir ») qui ne peuvent que nous faire penser à Acnologia. Un manga prometteur dont on lira la suite avec plaisir.

      Extrait
      • 0 réponse
    • How not to summon a demon tomes 7 & 8
      Note :
      Le roi démon qui était enfermé dans le corps de Rem se révèle être une petite fille qui a perdu une partie de sa mémoire et qui raffole de biscuits. Diablo décide donc de la garder dans son groupe. Hélas, Alicia cachait ses objectifs et elle fait tout pour réveiller sa mémoire et éveiller le roi démon afin qu’elle extermine les humains.

      Les aventures de Diablo au pays de la fantasy « fan service » se poursuivent. Côté action, les standards sont de mises : des méchants pas si méchants, des soi-disant gentils assez ignobles, des trahisons, des alliances, des démons et des combats ! Côté ambiance, Diablo est entourée de jeunes femmes aux charmes variées, un indispensable dans les isekai de fantasy ! Concernant le personnage principal ; il est bien réussi, le décalage entre son côté otaku et son comportement de roi-démon est un peu moins présent mais il y a encore des situations qui portent à confusion pour notre plus grand plaisir.

      How not to summon a demon est un manga sympathique qui a sa place dans votre mangathèque d’isekais d’heroic fantasy. C’est un bon shonen distrayant et agréable à lire.
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    • Le chien qui voulait voir le sud
      Note :
      Après une catastrophe naturelle, Tamon, un chien, voyage seul, il regarde toujours dans la même direction. Pendant son périple, il rencontre des personnes variées avec lesquelles il va passer un moment, des personnes qui essayent aussi de survivre dans un monde en ruine, des personnes qui ont toutes une histoire atypique voir un peu dramatique. Le chien semble être comme un ange gardien qui leur permet d’aller de l’avant, de prendre une décision ou juste de leur apporter un peu de réconfort. Mais lui, poursuit sa route comme si quelqu’un l’attendait quelque part.

      L’histoire se déroule après le tsunami de 2011 et met en scène l’après-catastrophe à sa façon. Toutes les personnes que Tamon rencontre mènent des vies difficiles, elles peinent à trouver un travail convenable, elles ont perdu des proches ou des biens, elles vivent des moments difficiles. Tamon ne fait que passer dans leur vie, il n’est pas vraiment un ange gardien dans le sens où les histoires ne se finissent pas toujours bien mais il représente un déclic qui va provoquer un changement, il apporte un réconfort, une présence à ces personnes qui sont particulièrement seules.

      Ce n’est qu’à la fin de livre que Tamon atteindra sa destination, une fin un peu précipitée peut-être qui d’un côté apporte de l’espoir et de l’émotion mais qui de l’autre, nous laisse en proie à un destin inéluctable.

      Certes l’histoire de ce chien qui a passé 5 ans de sa vie à parcourir le pays est belle, l’amitié qui le meut est touchante mais fallait-il en plus du drame de 2011 rajouter une seconde couche sur une autre catastrophe qui n’a que quelques pages pour être abordée ? Ce qui est sûr c’est que le lecteur ressent bien le désarroi des habitants et le besoin de se raccrocher à une présence rassurante.
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