Aller au contenu
  • S’inscrire

Kevin Nivek

Les gardiens du post
  • Compteur de contenus

    6 036
  • Inscription

  • Jours gagnés

    83

Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. C'est les vacances , et entre Spirou et les origines (aussi) de Largo Winch , j'ai lu Original sin , le run de Aaron . Excellent polar 😉 Imaginez le gardien , vous savez ce grand chauve vivant sur la lune qui se contente d'observer les humains ; et bien imaginez qu'il est retrouvé mort assassiné une balle dans la tronche et les deux yeux arrachés ! Les avengers enquêtent ! Aaron soigne son scénar avec de multiples rebondissements et il inscrit cette histoire dans la temporalité de son run global sur Thor ; donc juste avant Mighty Thor . Elle récupère le marteau car blondin n'en est plus digne , mais pourquoi donc ?? Vous le saurez (presque) en lisant ce one-shot des plus réussis , SAUF QUE , on sait ce qui se passe lui faisant perdre le marteau : Nick Fury lui murmurant à l'oreille quelque chose , mais quoi bon sang !!!!! Soit on fait Google pour savoir , soit on achète La guerre de l'indigne( Aaronet Coipel) , un Marvel deluxe sur Thor une fois le marteau perdu pour tout savoir 😉 On peut aussi faire les deux ! Dans l'ensemble Aaron réalise un run presque parfait sur Thor et sa mythologie , Gorr est l'un des vilains récents le plus enthousiaste , à l'image de tut ce qu'il a fait .
  2. Je me suis fait les 3 à la suite , que c'est bon . VH a encore un talent pour conter les histoires !! Berthet au dessin c'est topissime en plus , bref , conquis par cette saga en 3 tomes . Une remarque : Sidney il est dans les Largo ????? J'ai un léger bémol sur le tome 1 où j'aurais bien aimé voir le grand-père fuyant la guerre de sécession pour se réfugier chez les indiens , découvrir un peu son parcours . Mais ça n'entache en rien tout le reste qui est remarquable . Me donne envie de relire les Largo , tiens 🙂 , surtout que le dernier est sorti il y a peu !
  3. Kevin Nivek

    Kroma

    Lu et c'est pas mal du tout , un bon one-shot avec une perf graphique sympa et de très belles couleurs .
  4. Je vais essayer mais , pas simple un film aussi vieux . Je l’ai vu quand j’étais petit , comme ceux avec Marrais et Bourvil qui passaient à Noël …
  5. Les deux films , on est à 4h et des broutilles non ? Pourquoi tu dis 6h ? Si on faisait plus de films de ce genre , on l’aurait moins foiré , amha hein 😅. On verra la suite , et Montecristo aka Niney !
  6. Je suis en train de les lire à la suite et quel régal , de l'humanisme , de la candeur , de la bonté d'âme , de l'humour , de la naïveté , tant d'ingrédients qui en font une histoire merveilleuse et touchante à souhait . Bravo rentre par la grande porte dans le monde du 9ème art avec sa ligne claire , même si je lui préfère celle de Scwhartz dans le diptyque de la femme léopard . Le dernier tome est en NB aux éditions CanalBD , mais je regrette de l'avoir pris ainsi , les couleurs sont belles dans les premiers . Quand on aime le groom , on ne peut que aimer cette saga , et quand on ne l'aime pas , on aimera quand même cette saga 🙂
  7. On est allé le voir cet aprem . Bon , dans l'ensemble je te rejoins , même si je le mets sur un plan similaire au premier . Je partais méfiants après t'avoir lu . Il a , selon moi , les défauts du manque d'expérience de ce genre de films . Tu as raison , mais pour combien de daubes ?? Mon argument pour tenter de sauver les meubles (français) est de pointer notre cruel manque de recul sur les films à grands spectacles . Sans dec , le dernier film de ce genre , français , c'est quoi , Le pacte des loups ??? Film réussi pour moi d'ailleurs soit dit en passant 🙂 . Le casting est bon ,les lieux , les costumes , bref , il manque l'histoire et surtout un cruel manque de liant entre évènements ! La scène de la pendaison est bien pour la dramaturgie qu'elle apporte , même si ta remarque est pertinente sur le devenir du pendu ^^. J'ai eu une impression de film à la tension plate , presque pas de début , de milieu et de fin . Tout va trop vite sans liant ; il manque une bonne 1/2 heure je pense . Autre chose décevante : Et pour finir , on a toujours connu D'Artagnan et les mousquetaires , ENSEMBLE , ici , ils ne sont pas ensemble , l'équipe n'existe pour ainsi dire , pas 😞
  8. Kevin Nivek

    casanier de l'avent bd

    Et pourtant je n’ai pas répondu juste à tout ? Assez surprenant !
  9. Kevin Nivek

    casanier de l'avent bd

    Ça alors , j’ai été tiré au sort et j’ai gagné un bon d’achat de 50 balles 😀
  10. Dis donc tu te fais un cycle SF grave là !! T’as tout relu Aldebarran depuis le début ? Tous les cycles ?
  11. Kevin Nivek

    La brute et le divin

    https://www.vinted.fr/items/3904344588-l-onard-chemineau-la-brute-et-le-divin en occas 😉
  12. Kevin Nivek

    Utopie tome 1

    C'est Dargaud ça non ?
  13. Si si il est prévu , et heureusement vu le final du 5 !
  14. En train de prendre une claque en lisant la série Holmes de Cecil et Brunschwing , que j'avais laissée de côté , trop longtemps !! De la grande BD ça !!
  15. Kevin Nivek

    casanier de l'avent bd

    Ah mais oui , et moi je ne reconnais le trait de Manara !
  16. Kevin Nivek

    Au nom du fils

    Un potentiel relecture amoindri , une fois que tu connais la fin , le dessin est beau mais c'est pas non plus ce que je préfère le plus , et puis on peut pas mettre du 5 partout 😉 4 ça reste une bonne note pour une bonne BD 🙂
  17. Titre de l'album : Au nom du fils Scenariste de l'album : Pauline Djian, Jean-Blaise Djian Dessinateur de l'album : Sébastien Corbet Coloriste : Sébastien Corbet Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Paris, de nos jours. Au chômage et divorcé, Stéphane mène une vie solitaire et morose. Un soir comme un autre, il reçoit un appel téléphonique en provenance de la Bolivie : son fils Max, avec qui le lien est rompu depuis des années, serait décédé dans la prison de San Pedro, unique en son genre car autogérée par les détenus. Honteux d'avoir été un père absent, Stéphane décide de « bazarder » sa dérive quotidienne et de partir pour la Paz afin d'élucider les mystères qui entourent la mort de son fils. Sur place, il parvient à se faire incarcérer pour pouvoir mener son enquête, quitte à y laisser sa peau...Dans cette prison qui ressemble bien à l'enfer sur Terre, Stéphane fera tout pour découvrir la vérité, dans l'espoir d'y trouver par la même occasion sa propre rédemption. Critique : Une petite claque cette BD écrite à 4 mains par la famille Djian sur cette rédemption d'un père en fin de carrière , ayant fait les mauvais choix à certains moments de sa vie . Seul et divorcé , sans perspective d'avenir , attendant la retraite , Stéphane vit dans une léthargie complète . Puis un événement inattendu : son fils est mort dans une prison bolivienne ! Face à ce drame et cet échec personnel car il était en froid avec son fils , il vend tous ses biens et part pour la plus haute capitale du monde : La Paz . Comprendre les raisons de sa mort , pourquoi était-il en prison , qui l'a tué etc .... Tant de questions auxquelles il fait face , avec une surplombant les autres : Comment rentrer dans ce lieu si particulier et unique ? L'histoire prend de faux airs de la série Prison break , car il va commettre un crime pour être incarcéré , puis étapes par étapes , une fois à l'intérieur , faire son enquête . Les auteurs abordent le deuil et ses différentes phases , la vengeance , la rédemption , l'amour , ainsi que la relation père/fils . C'est une histoire magnifique et poignante , à tel point qu'une fois la lecture terminée , on est toujours aux côtés de Stéphane . De l'humain , ancré dans le réel d'une prison gérée par les détenus eux mêmes . Imaginez un "monsieur tout le monde" évoluant dans une enceinte sans matons ! L'histoire est magnifiée par le trait réaliste de Sébastien Corbet . Peu de couleurs dans ce monde triste dénué d'espoir ,avec des pastels gris et nuancés . De l'aplat sombre et crayonné dans les coins , comme pour mieux signifier la violence omniprésente . De la belle ouvrage ! On tourne les pages avec avidité en se demandant comment va t'il s'en sortir et parviendra t'il à ses fins ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-du-fils-9782810200979/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Kevin Nivek

    Au nom du fils

    Une petite claque cette BD écrite à 4 mains par la famille Djian sur cette rédemption d'un père en fin de carrière , ayant fait les mauvais choix à certains moments de sa vie . Seul et divorcé , sans perspective d'avenir , attendant la retraite , Stéphane vit dans une léthargie complète . Puis un événement inattendu : son fils est mort dans une prison bolivienne ! Face à ce drame et cet échec personnel car il était en froid avec son fils , il vend tous ses biens et part pour la plus haute capitale du monde : La Paz . Comprendre les raisons de sa mort , pourquoi était-il en prison , qui l'a tué etc .... Tant de questions auxquelles il fait face , avec une surplombant les autres : Comment rentrer dans ce lieu si particulier et unique ? L'histoire prend de faux airs de la série Prison break , car il va commettre un crime pour être incarcéré , puis étapes par étapes , une fois à l'intérieur , faire son enquête . Les auteurs abordent le deuil et ses différentes phases , la vengeance , la rédemption , l'amour , ainsi que la relation père/fils . C'est une histoire magnifique et poignante , à tel point qu'une fois la lecture terminée , on est toujours aux côtés de Stéphane . De l'humain , ancré dans le réel d'une prison gérée par les détenus eux mêmes . Imaginez un "monsieur tout le monde" évoluant dans une enceinte sans matons ! L'histoire est magnifiée par le trait réaliste de Sébastien Corbet . Peu de couleurs dans ce monde triste dénué d'espoir ,avec des pastels gris et nuancés . De l'aplat sombre et crayonné dans les coins , comme pour mieux signifier la violence omniprésente . De la belle ouvrage ! On tourne les pages avec avidité en se demandant comment va t'il s'en sortir et parviendra t'il à ses fins !
  19. Titre de l'album : Connie , la barbare - tome 2 - Les bijoux du Transistan Scenariste de l'album : Gianluca Maconi Dessinateur de l'album : Gianluca Maconi Coloriste : Gianluca Maconi Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Connie, nièce d'un certain barbare (d'aucuns disent la fille illégitime du Cimmérien et d'une Hyrkanienne non moins célèbre), nous entraîne dans une nouvelle aventure aux confins d'un Orient merveilleux. Le Khanat du Transistan, pays lointain aux portes des Indes, est un monde aux moeurs surprenantes. Sa reine est morte et sa succession est en cours. Dans la capitale El Djébétèq, Va'azelin, princesse du Kulbuthan est promise au prince Albut'envu mais le Sultan est inquiet : une nouvelle épouse, l'imminence de la guerre avec son voisin Patryarkhan... C'est dans cet univers bousculé que Connie et sa compagne de route, Kra'doub, vont être entraînées malgré elles dans une lutte pour le pouvoir et le renversement des valeurs ancestrales. Critique : Suite des aventures de Connie , la nièce de "vous savez qui" , aux talents de lutte sur les champs de bataille , mais aussi sur d'autres plans , plus "allongés" 😉 . Cette fois , elle et Kra'doub sont confrontées à l'Orient et ses plaisirs , en pleine transition politique , mais aussi en guerre avec un pays frontalier . C'est donc dans cette cocote minute prête à exploser pour ne pas dire "éjaculer" que nos héroïnes auront fort à faire ! Surtout lorsqu'un plan pour un casse se met sur leur route et laisse le lecteur en attente prochaine d'un tome 3 ! Nous retrouvons donc tout ce qui a fait le succès du premier opus , avec de l'humour sur les jeux de mots et noms éparpillés ça et là , des dialogues coquins , et bien entendu des scènes érotiques parfaitement réalisées par l'auteur italien Maconi . On ajoute les intrigues de palais et des rêves (ou souhaits) de Connie aux prises avec un démon "pourvu" comme un taureau , et la recette est garantie pour une lecture agréable et amusante de ces aventures pas comme les autres . Gianluca Maconi réalise des planches d'un trait certes informatisé , mais aux couleurs vives et accrocheuses . On reconnait facilement les protagonistes et ce , dans toutes les positions ! Le format relié en couverture souple permet une lecture fluide et un feuilletage à reculons possible si le lecteur désire (re)contempler des scènes déjà vues . Il y en a pour tous les goûts , comme le nom de la capitale l'indique : El Djébétèq 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/connie-la-barbare-tome-2-les-bijoux-de-transistan/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Suite des aventures de Connie , la nièce de "vous savez qui" , aux talents de lutte sur les champs de bataille , mais aussi sur d'autres plans , plus "allongés" 😉 . Cette fois , elle et Kra'doub sont confrontées à l'Orient et ses plaisirs , en pleine transition politique , mais aussi en guerre avec un pays frontalier . C'est donc dans cette cocote minute prête à exploser pour ne pas dire "éjaculer" que nos héroïnes auront fort à faire ! Surtout lorsqu'un plan pour un casse se met sur leur route et laisse le lecteur en attente prochaine d'un tome 3 ! Nous retrouvons donc tout ce qui a fait le succès du premier opus , avec de l'humour sur les jeux de mots et noms éparpillés ça et là , des dialogues coquins , et bien entendu des scènes érotiques parfaitement réalisées par l'auteur italien Maconi . On ajoute les intrigues de palais et des rêves (ou souhaits) de Connie aux prises avec un démon "pourvu" comme un taureau , et la recette est garantie pour une lecture agréable et amusante de ces aventures pas comme les autres . Gianluca Maconi réalise des planches d'un trait certes informatisé , mais aux couleurs vives et accrocheuses . On reconnait facilement les protagonistes et ce , dans toutes les positions ! Le format relié en couverture souple permet une lecture fluide et un feuilletage à reculons possible si le lecteur désire (re)contempler des scènes déjà vues . Il y en a pour tous les goûts , comme le nom de la capitale l'indique : El Djébétèq 😉
×
×
  • Créer...