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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Kevin Nivek

    Arca

    Titre de l'album : Arca Scenariste de l'album : Romain Benassaya Dessinateur de l'album : Joan Urgell Coloriste : Joan Urgell Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Éric Rives se réveille d'un long voyage en vaisseau spatial qui devait le mener, lui et les autres passagers, jusqu'à la Griffe du Lion - terre promise où ils espèrent trouver de meilleures conditions de vie que sur l'orbite terrestre qui dépérit. Mais l'équipée réalise rapidement qu'elle n'est pas arrivée à destination et que le voyage a duré bien plus longtemps que les deux cents ans initialement prévus... Avec l'aide de sa coéquipière Jia, Éric part explorer l'extérieur du vaisseau. Ils découvrent alors qu'ils sont enfermés dans un labyrinthe géant défiant toutes les lois de la physique... Critique : Passionné de SF , Romain Benassaya a écrit des romans sur ce thème et a donc décidé d'en adapter un en bande-dessinée : Arca . On sent les influences de l'auteur à la lecture de ce passionnant one-shot . J'ai par exemple beaucoup pensé au livre de Arthur C.Clarke : Rendez-vous avec Rama , dont Denis Villeneuve assurera une adaptation cinématographique après son second opus Dune . Sur la base d'un exode de la terre qui n'est plus propice à la vie humaine , le scénariste imagine plusieurs vaisseaux , ou arches, partis à la conquête de l'espace avec un but : La griffe du lion ; un nouvel éden où l'homme pourra s'établir . Sauf que , tout ne se passe pas comme prévu , et les passagers en hyper-sommeil sont réveillés au mauvais moment et au mauvais endroit ! Un lieu où le temps n'est pas linéaire , la gravité est aléatoire et où le ciel est profondément noir ! Nous allons donc découvrir comment s'organisent les différents protagonistes pour percer les secrets de ces lieux , et surtout dans quelles conditions ils vivent dans cette architecture complexe et stérile . La psychologie des personnages est bien développée et les interactions entre eux ne tardent pas à évoluer dans diverses directions . La tension monte peu à peu , au fur et à mesure de la découverte des secrets environnants . D'autant que des créatures menaçantes commencent à se manifester . Le dessinateur Joan Urgell réalise un travail de grande qualité . Ses couleurs directes à l'aquarelle sont du plus bel effet . Il parvient à donner une âme aux lieux ainsi qu'au bestiaire très original créé par le scénariste . Un trait réaliste avec cependant un léger bémol sur les visages qui semblent manquer d'expressions parfois . Mais cela n'altère en rien son travail avec un découpage dynamique et des jeux de lumières saisissants . Au final c'est un excellent opus pour amateur de science-fiction , avec une pagination importante (112 pages) et un suspens haletant . Un héritier digne de la longue relation qu'entretiennent les Humanoïdes associés avec la SF 🙂 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arca/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    Speedball

    Oui , clairement 😉 Franchement allez y c'est une réussite !
  3. Kevin Nivek

    Speedball

    J'ai pensé à toi 😉 C'est vraiment excellent !
  4. Kevin Nivek

    Speedball

    Deux purs produits de l'école Emile-Cohl à Lyon , ces jeunes auteurs amènent un sacré vent de fraîcheur dans le monde du neuvième art . Les éditions Sarbacane ne s'y sont pas trompés en leur laissant carte blanche . Un cocktail détonnant dans le pur esprit "tarantinesque" compose ce formidable Speedball aux 238 pages . Définitions de speedball : _ mélange de cocaïne et héroïne (John Belushi en est mort par exemple) _ technique de lancer de balle au base-ball Très cinéphiles , les deux auteurs proposent le pitch suivant : dans les années 70 , un raté , ancienne star de base-ball , se retrouve à faire des films pornos pour joindre les deux bouts . En plus de son soucis d'érection , il tombe dans sa loge sur un semblant de spectre lui proposant un marché étonnant : 4 assassinats pour qu'il retrouve sa vie d'avant et notamment sa famille qui a disparu dans les méandres de son passé . Entourés de deux acteurs X ayant perdu leur intelligence dans les salles de bodybuilding , il va sillonner l'Amérique pour tuer tant bien que mal ces 4 personnes .Mais un flic limier se lance à sa poursuite ! Dialogues fleuris , gueules de l'emploi , violence teintée d'humour , un soupçon de magie et un dessin sublimant les ingrédients : une recette réussie avec les honneurs du jury . Etienne Gerin signe des planches remarquables , dans un style proche de Brüno . Les jeux de lumières sont superbes et ils utilisent les couleurs selon le thème imposé par le récit . On passe du chair au rouge sang , puis un bleu crépusculaire , c'est très bien réalisé . Dans cette course à 100 à l'heure , le lecteur est happé . On passe de situations ubuesques à un déchainement de violence , toutes les émotions y passent . Un véritable premier coup de coeur , ce Speedball , dont l'édition est magnifique avec un papier épais et une couverture très parlante . Foncez et attrapez la balle en plein vol 😉
  5. Kevin Nivek

    Speedball

    Titre de l'album : Speedball Scenariste de l'album : Florian Pigé Dessinateur de l'album : Etienne Gerin Coloriste : Etienne Gerin Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Atlantic City 1976. Graham Parson, ex-star du baseball, a tout perdu. Aujourd'hui, il gagne sa vie en tournant dans des films X sans grande conviction. Lors d'un tournage, il fait la rencontre d'un vieillard aux pouvoirs étranges qui lui propose un pacte:s'il tue quatre personnes pour son compte, il retrouvera sa gloire passée, réintégrera la ligue nationale de baseball et pourra revoir sa femme et son fils. Graham accepte, sans réaliser l'impact qu'aura cette décision. Fuyant le lieu du tournage, il vole une voiture et embarque deux acteurs bodybuildés fans de lui dans son périple. Les trois hommes vont se lancer dans une fuite trash à travers l'Amérique des années 1970. Son désespoir le poussera-t-il jusqu'au meurtre? Critique : Deux purs produits de l'école Emile-Cohl à Lyon , ces jeunes auteurs amènent un sacré vent de fraîcheur dans le monde du neuvième art . Les éditions Sarbacane ne s'y sont pas trompés en leur laissant carte blanche . Un cocktail détonnant dans le pur esprit "tarantinesque" compose ce formidable Speedball aux 238 pages . Définitions de speedball : _ mélange de cocaïne et héroïne (John Belushi en est mort par exemple) _ technique de lancer de balle au base-ball Très cinéphiles , les deux auteurs proposent le pitch suivant : dans les années 70 , un raté , ancienne star de base-ball , se retrouve à faire des films pornos pour joindre les deux bouts . En plus de son soucis d'érection , il tombe dans sa loge sur un semblant de spectre lui proposant un marché étonnant : 4 assassinats pour qu'il retrouve sa vie d'avant et notamment sa famille qui a disparu dans les méandres de son passé . Entourés de deux acteurs X ayant perdu leur intelligence dans les salles de bodybuilding , il va sillonner l'Amérique pour tuer tant bien que mal ces 4 personnes .Mais un flic limier se lance à sa poursuite ! Dialogues fleuris , gueules de l'emploi , violence teintée d'humour , un soupçon de magie et un dessin sublimant les ingrédients : une recette réussie avec les honneurs du jury . Etienne Gerin signe des planches remarquables , dans un style proche de Brüno . Les jeux de lumières sont superbes et ils utilisent les couleurs selon le thème imposé par le récit . On passe du chair au rouge sang , puis un bleu crépusculaire , c'est très bien réalisé . Dans cette course à 100 à l'heure , le lecteur est happé . On passe de situations ubuesques à un déchainement de violence , toutes les émotions y passent . Un véritable premier coup de coeur , ce Speedball , dont l'édition est magnifique avec un papier épais et une couverture très parlante . Foncez et attrapez la balle en plein vol 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/speedball/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Kevin Nivek

    Kosmograd

    Jusqu'alors cantonné à un rôle de coloriste sur divers BD humoristiques sans grandes envergures , Bonaventure a choisi de voler de ses propres ailes , bien soutenu par son éditeur Casterman .Il signe ici une première oeuvre originale malgré un thème maintes et maintes fois utilisés dans l'univers de la science-fiction .Ambiance de fin du monde , contexte apocalyptique , humains retranchés dans un havre froid et austère . Tous les ingrédients bien connus sont réunis , et pourtant il parvient à nous surprendre . Son traitement des personnages est remarquable , on s'attache à cette troupe de jeunes en quête de vérité et pour lesquels l'amitié voire l'amour , ne sont des mots vains . En dépit des nombreux éléments contre eux , ils s'accrochent et font preuve d'une détermination admirable . Dans cette ville , Kosmograd , un des derniers refuges sur une terre dévastée par des conditions climatiques s'aggravant de plus en plus , subsiste un espoir : finir l'ouvrage d'un ascenseur orbital vous permettant de rejoindre une station spatiale . Face aux doutes sur la probité de la compagnie en charge des travaux , les jeunes héroïnes vont tomber sur des documents semblant confirmer leur scepticisme . La course poursuite vers la vérité peut commencer . Proposant un dessin aux courbes douces sur les personnages , l'auteur utilise plutôt des lignes dures et menaçantes sur les immeubles et autres éléments du décors de cette ville ; signe d'un danger environnant . Son trait semi-réaliste semble destiné à un public ado , mais le propos trouvera sa place aisément dans l'esprit des adultes . Il apporte un mouvement très intéressant au récit avec des passages où l'on découvre le cheminement des protagonistes sur une seule et même case . Le découpage est nerveux et rend la lecture agréable . On a très vite le souhait de découvrir la fin ! Je dois cependant avouer que ce n'est pas mon type de dessin , le jugeant un peu trop "enfantin" , mais ce n'est qu'une question de goûts 🙂 . Aux côtés de Zoya , Paouk et Ev' , embarquez dans cette aventure aux accents post-apocalyptique , mais avec une lueur d'espoir shamanique .
  7. Kevin Nivek

    Kosmograd

    Titre de l'album : Kosmograd Scenariste de l'album : Bonaventure Dessinateur de l'album : Bonaventure Coloriste : Bonaventure Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Kosmograd. L'une des dernières villes refuge d'uneTerre dévastée par les catastrophes climatiques à répétition. Alors que l'ultime tempête s'annonce et que les réfugiés se pressent de plus en plus nombreux à ses portes, la transnationale Kosmo focalise tous ses efforts sur l'ascenseur orbital, qui permettra l'établissement de l'Humanité dans l'espace. Mais au coeur de cette cité, Zoya, Paouk et Ev' entrent en possession de données cryptées qui pourraient tout chambouler.Sur la piste du plus gros mensonge de cette fin du monde, comment choisir entre amitié et survie? Critique : Jusqu'alors cantonné à un rôle de coloriste sur divers BD humoristiques sans grandes envergures , Bonaventure a choisi de voler de ses propres ailes , bien soutenu par son éditeur Casterman .Il signe ici une première oeuvre originale malgré un thème maintes et maintes fois utilisés dans l'univers de la science-fiction .Ambiance de fin du monde , contexte apocalyptique , humains retranchés dans un havre froid et austère . Tous les ingrédients bien connus sont réunis , et pourtant il parvient à nous surprendre . Son traitement des personnages est remarquable , on s'attache à cette troupe de jeunes en quête de vérité et pour lesquels l'amitié voire l'amour , ne sont des mots vains . En dépit des nombreux éléments contre eux , ils s'accrochent et font preuve d'une détermination admirable . Dans cette ville , Kosmograd , un des derniers refuges sur une terre dévastée par des conditions climatiques s'aggravant de plus en plus , subsiste un espoir : finir l'ouvrage d'un ascenseur orbital vous permettant de rejoindre une station spatiale . Face aux doutes sur la probité de la compagnie en charge des travaux , les jeunes héroïnes vont tomber sur des documents semblant confirmer leur scepticisme . La course poursuite vers la vérité peut commencer . Proposant un dessin aux courbes douces sur les personnages , l'auteur utilise plutôt des lignes dures et menaçantes sur les immeubles et autres éléments du décors de cette ville ; signe d'un danger environnant . Son trait semi-réaliste semble destiné à un public ado , mais le propos trouvera sa place aisément dans l'esprit des adultes . Il apporte un mouvement très intéressant au récit avec des passages où l'on découvre le cheminement des protagonistes sur une seule et même case . Le découpage est nerveux et rend la lecture agréable . On a très vite le souhait de découvrir la fin ! Je dois cependant avouer que ce n'est pas mon type de dessin , le jugeant un peu trop "enfantin" , mais ce n'est qu'une question de goûts 🙂 . Aux côtés de Zoya , Paouk et Ev' , embarquez dans cette aventure aux accents post-apocalyptique , mais avec une lueur d'espoir shamanique . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kosmograd-243258/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Kevin Nivek

    Prochaines sorties...

    https://www.bdfugue.com/blake-et-mortimer-la-fleche-ardente Pour nous ça @VladNirky, encore que, je sais plus si j'ai le rayon U !
  9. Oui je l’ai lu mais malgré tout , il tombe un peu comme les cheveux dans la soupe . D’ailleurs il évolue pas mal son personnage avant d’en arriver là.
  10. Kevin Nivek

    L'homme du Nil

    Décédé depuis plus de 10 ans , Sergio Toppi laisse derrière lui une immense carrière . Les éditions Mosquito ne se sont pas trompées en rééditant cette oeuvre sortie en 1978 : L'homme du Nil . En optant pour le noir et blanc , c'est une toute autre vision de l'histoire qui s'offre à nous et un hommage au trait reconnaissable du génie italien .Les visages sont en gros plans avec des traits secs et durs . Il faut souligner aussi son découpage très avant-gardiste et dynamique . Il parvient à retranscrire un déluge d'action et ne ménage en aucun cas le lecteur dans ce siège de Khartoum . La tension est à son comble , on comprend très vite qu'il n'y aura pas de bonne fin dans cette tragédie africaine . Il faut comprendre que le Soudan est sous domination égyptienne , elle même sous protectorat britannique . Le Nil blanc permet les échanges entre Khartoum et Le Caire . Mais toute occupation a une fin , et l'insurrection mahdiste gronde dans le désert . Le général Gordon est sommé de maîtriser la situation et garder la ville fortifiée en sécurité . Il se retrouve assiégé par 30000 hommes à ses remparts , ayant coupé le trafic sur le Nil et tout lien télégraphique . Les auteurs utilisent un journaliste anglais dépêché dans cet enfer , comme fil conducteur . Ayant réussi à pénétrer dans la ville , il va être missionné par Gordon lui même afin de chercher de l'aide . Son échappée , sa route dans le désert hostile , ses doutes , mais en même temps son admiration indéfectible pour Gordon le grand héros britannique , vont le mener au delà de la raison . Une véritable course contre la montre s'engage pour sauver Khartoum et ses habitants . Il faut noter l'intensité folle qui se dégage à la lecture de ces pages . Un grand dessin , pour un fait historique ayant marqué la Grande-Bretagne de son empreinte .
  11. Titre de l'album : L'homme du Nil Scenariste de l'album : Decio Canzio Dessinateur de l'album : Sergio Toppi Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Soudan 1884. Un jeune journaliste anglais arrive à rejoindre à Khartoum les troupes assiégées du général Gordon. Les troupes du Mahdi, un chef religieux s'apprêtent à donner l'assaut ultime. La situation est désespérée. Critique : Décédé depuis plus de 10 ans , Sergio Toppi laisse derrière lui une immense carrière . Les éditions Mosquito ne se sont pas trompées en rééditant cette oeuvre sortie en 1978 : L'homme du Nil . En optant pour le noir et blanc , c'est une toute autre vision de l'histoire qui s'offre à nous et un hommage au trait reconnaissable du génie italien .Les visages sont en gros plans avec des traits secs et durs . Il faut souligner aussi son découpage très avant-gardiste et dynamique . Il parvient à retranscrire un déluge d'action et ne ménage en aucun cas le lecteur dans ce siège de Khartoum . La tension est à son comble , on comprend très vite qu'il n'y aura pas de bonne fin dans cette tragédie africaine . Il faut comprendre que le Soudan est sous domination égyptienne , elle même sous protectorat britannique . Le Nil blanc permet les échanges entre Khartoum et Le Caire . Mais toute occupation a une fin , et l'insurrection mahdiste gronde dans le désert . Le général Gordon est sommé de maîtriser la situation et garder la ville fortifiée en sécurité . Il se retrouve assiégé par 30000 hommes à ses remparts , ayant coupé le trafic sur le Nil et tout lien télégraphique . Les auteurs utilisent un journaliste anglais dépêché dans cet enfer , comme fil conducteur . Ayant réussi à pénétrer dans la ville , il va être missionné par Gordon lui même afin de chercher de l'aide . Son échappée , sa route dans le désert hostile , ses doutes , mais en même temps son admiration indéfectible pour Gordon le grand héros britannique , vont le mener au delà de la raison . Une véritable course contre la montre s'engage pour sauver Khartoum et ses habitants . Il faut noter l'intensité folle qui se dégage à la lecture de ces pages . Un grand dessin , pour un fait historique ayant marqué la Grande-Bretagne de son empreinte . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-du-nil/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/lincalinfini
  13. Je viens de le finir ! Pfff , quelle claque ! Recht frappe fort , c'est impressionnant .
  14. Et tu fais quoi de l’apport indéniable de gameplay de Civil war ?
  15. Arf , pas de Cwowd et la campagne s'accélère !! C'est frustrant ! Je pense partir sur uniquement des addons , tellement la boîte de base est nulle : Annihilation World war Hulk Inhumans Je tâcherai de trouver quelques SG sur Ebay , Vinted etc , en complément 🙂
  16. Voilà , finis les 11 premiers RoX , je recommande ce tome 1 de Hellfire gala , Hickman redistribue une nouvelle fois les cartes , c'est un truc de dingue ! Il bouscule tout lui 🙂
  17. Duvauchelle , je les confonds les deux 🙂 https://www.imdb.com/title/tt3982760/?ref_=nv_sr_srsg_0 Note moyenne 😞
  18. Désolé ,j'ai pas une heure à y consacrer , j'ai survolé , ça parle de l'adaptation par Lecomte des Bijoux de la Castafiore ? Un vieux serpent de mer , dont je rêve ça !!
  19. Avec Personaz non ? J'avais vu cette sortie à l'époque , mais ps le film 🙂
  20. Kevin Nivek

    L'amour & la mort

    Il est partout le Ito en ce moment dis donc !
  21. Dis donc , mais ça c'est une bonne nouvelle !!! https://www.comicsblog.fr/45269-Tom_King_Drew_Goddard_et_dautres_sceenaristes_ramenees_par_James_Gunn_pour_forger_le_futur_de_DC_Studios "we have Tom King" , le futur du "DCU" semble bien partir 🙂
  22. J'ai reçu mon édition collector 🙂 . En haut de la pile de lecture , tout en haut ^^
  23. C'est une équipe de baroudeurs qui nous propose ce récit en terres africaines . Karim Lebhour a effectué des séjours au Proche-Orient et à New-York en tant que journaliste et correspondant à l'ONU . Vincent Defait a fait des piges en tant que journaliste indépendant pour Le Monde et la revue XXI entre autres , tout en vivant en Ethiopie et en Ouganda . Enfin , le coloriste , Leo Trinidad est originaire du Costa-Rica et travaille sur toute l'Amérique centrale dans l'animation et illustrations de livres pour enfants . C'est donc avec une profonde expérience de la vie à l'étranger que les auteurs posent leur regard sur ce pays de la corne de l'Afrique au riche passé . Seul pays à n'avoir jamais été colonisé ! Un empereur Haïlé Sélassié connu mondialement et idole de Bob Marley . Seconde plus grande population du continent (après le Nigeria) , se vantant de posséder sur ses terres le fameux Arche d'Alliance de Moïse et ses 10 commandements , dans une église à Aksoum . Hélas , la visite est interdite au public ! Mais , un pays ayant connu cette terrible famine au début des années 80 , symbole persistant car tout le monde a en tête ces images d'enfants dénutris avec le ventre gonflé . Des souvenirs insoutenables qu'ils tentent d'effacer dans un renouveau économique et politique , non sans encombres . Dans cette bichromie au trait simple mais avec un découpage tonique , les auteurs décrivent leur séjour avec précision .Depuis son arrivée à l'aéroport , Karim Lebhour détaille sa vie personnelle et professionnelle au cours des années passées dans ce pays qui gagne à être connu . Au rythme des (nombreuses) coupures de courant , nous allons suivre leur quotidien et découvrir une population vivant mieux (mangeant à sa faim) mais subissant la politique unilatérale , d'un régime "unipartite" avec un contrôle exacerbé de la presse , et l'omniprésence des chinois , immenses pourvoyeurs économiques de toute la corne d'Afrique . Les auteurs mettent vraiment l'accent sur cette mainmise chinoise qui n'a d'autres buts que de rendre ces pays dépendants économiquement de l'empire du milieu . Les éthiopiens apprennent le chinois car ces derniers ne font aucun effort d'adaptation , on peut même remarquer à quel point ils sont adoubés par la population locale , ayant réussi à se rendre indispensables et endosser un rôle de sauveur . C'est une immersion réussie dans ce pays qui semble sur une bonne voie de développement , mais se rendant de plus en plus dépendant des chinois . On apprend énormément sur les us et coutumes , ce pays est pourvu de trésors d'architectures , ainsi que des paysages d'une beauté saisissante . Malgré l'oppression politique , les auteurs parviennent à nous donner envie de visiter ce pays et cette ville Addis-Abeba située à 2400m d'altitude .
  24. Titre de l'album : Une saison en Ethiopie : Chinafrique, répression et macchiato Scenariste de l'album : Karim Lebhour Dessinateur de l'album : Vincent Defait Coloriste : Leo Trinidad Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Karim et Vincent sont correspondants de presse à Addis-Abeba. ils sont voisins et se retrouvent tous les jours autour d'un macchiato. Souvent ensemble, parfois chacun de leur côté, ils découvrent et explorent un pays en pleine transformation, véritable creuset des mutations du continent. L'Éthiopie - second état le plus peuplé d'Afrique et le seul à n'avoir jamais été colonisé - aspire à devenir le « lion africain ». Les deux journalistes observent cette marche forcée vers la modernité, opérée à coups de bulldozers et financée par la Chine. Mais la tension monte au sein d'une population multiethnique muselée par son gouvernement. De conférences de presse ampoulées en manifestations anti-régime, Karim et Vincent tentent de faire au mieux leur travail dans un pays qui leur laisse peu de libertés pour le faire... Critique : C'est une équipe de baroudeurs qui nous propose ce récit en terres africaines . Karim Lebhour a effectué des séjours au Proche-Orient et à New-York en tant que journaliste et correspondant à l'ONU . Vincent Defait a fait des piges en tant que journaliste indépendant pour Le Monde et la revue XXI entre autres , tout en vivant en Ethiopie et en Ouganda . Enfin , le coloriste , Leo Trinidad est originaire du Costa-Rica et travaille sur toute l'Amérique centrale dans l'animation et illustrations de livres pour enfants . C'est donc avec une profonde expérience de la vie à l'étranger que les auteurs posent leur regard sur ce pays de la corne de l'Afrique au riche passé . Seul pays à n'avoir jamais été colonisé ! Un empereur Haïlé Sélassié connu mondialement et idole de Bob Marley . Seconde plus grande population du continent (après le Nigeria) , se vantant de posséder sur ses terres le fameux Arche d'Alliance de Moïse et ses 10 commandements , dans une église à Aksoum . Hélas , la visite est interdite au public ! Mais , un pays ayant connu cette terrible famine au début des années 80 , symbole persistant car tout le monde a en tête ces images d'enfants dénutris avec le ventre gonflé . Des souvenirs insoutenables qu'ils tentent d'effacer dans un renouveau économique et politique , non sans encombres . Dans cette bichromie au trait simple mais avec un découpage tonique , les auteurs décrivent leur séjour avec précision .Depuis son arrivée à l'aéroport , Karim Lebhour détaille sa vie personnelle et professionnelle au cours des années passées dans ce pays qui gagne à être connu . Au rythme des (nombreuses) coupures de courant , nous allons suivre leur quotidien et découvrir une population vivant mieux (mangeant à sa faim) mais subissant la politique unilatérale , d'un régime "unipartite" avec un contrôle exacerbé de la presse , et l'omniprésence des chinois , immenses pourvoyeurs économiques de toute la corne d'Afrique . Les auteurs mettent vraiment l'accent sur cette mainmise chinoise qui n'a d'autres buts que de rendre ces pays dépendants économiquement de l'empire du milieu . Les éthiopiens apprennent le chinois car ces derniers ne font aucun effort d'adaptation , on peut même remarquer à quel point ils sont adoubés par la population locale , ayant réussi à se rendre indispensables et endosser un rôle de sauveur . C'est une immersion réussie dans ce pays qui semble sur une bonne voie de développement , mais se rendant de plus en plus dépendant des chinois . On apprend énormément sur les us et coutumes , ce pays est pourvu de trésors d'architectures , ainsi que des paysages d'une beauté saisissante . Malgré l'oppression politique , les auteurs parviennent à nous donner envie de visiter ce pays et cette ville Addis-Abeba située à 2400m d'altitude . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-saison-en-ethiopie-chinafrique-repression-et-macchiato/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Elle est pas si mal la 2 , juste , moins "dévêtue" si tu vois ce que je veux dire 😉
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