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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Kevin Nivek

    La neige était sale

    Oui c'est un pays occupé , dans les années 40 , point ! C'est grandiose cet album .
  2. Titre de l'album : L'étrange bureau des injustices Scenariste de l'album : Maxime Fontaine Dessinateur de l'album : Yllya Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Mina et Khoren sont les souffre-douleur des brutes et de la peste de leur collège. Un jour, une femme masquée les aiguille vers l'étrange bureau des injustices, une mystérieuse organisation peuplée de monstres amusants, qui prétend réparer les torts que l'on subit. Un agent prénommé Gary se charge de leur dossier, et transforme leurs tortionnaires en poètes sensibles ou en ballons de baudruche. D'abord ravis, Mina et Khoren découvrent que certains cas sont plus épineux que d'autres, et que bien souvent la vengeance fait naître d'autres vengeances... Critique : Après le sympathique Lizy Vaudou publié l'année dernière chez Jungle , Maxime Fontaine réitère les sorties "jeunesse" avec L'étrange bureau des injustices . Un concept assez novateur et qui parlera sûrement aux enfants se sentant floués . Imaginez que vous soyez puni pour un acte que vous n'avez pas commis , le bureau intervient à ce moment là en vous menant dans une dimension parallèle et tente de résoudre ce problème . Les choses se compliquent lorsque le véritable responsable des actes , étant par ailleurs aussi un véritable petit harceleur , n'est pas ce qu'il prétend être ! La lecture est extrêmement dynamique , très adaptée au public jeune , des textes courts , on enchaîne vite d'une case à l'autre , guidé par un scénario sans répit . On passe d'une surprise à une autre , tout en gardant le fil conducteur . 48 pages qui défilent à toute vitesse ! Yllya qui a déjà publié Stardust (éditions Jungle) continue son chemin avec un trait japonisant aux couleurs "flashy" . Les visages sont vite reconnaissables et intégrés par le lecteur . Elle donne beaucoup de mouvement aux personnages avec des effets lumineux et une grande expressivité des visages . Un premier tome original , on souhaite bon vent à cette nouvelle saga 🙂 A partir de 7 ans . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-etrange-bureau-des-injustices/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Après le sympathique Lizy Vaudou publié l'année dernière chez Jungle , Maxime Fontaine réitère les sorties "jeunesse" avec L'étrange bureau des injustices . Un concept assez novateur et qui parlera sûrement aux enfants se sentant floués . Imaginez que vous soyez puni pour un acte que vous n'avez pas commis , le bureau intervient à ce moment là en vous menant dans une dimension parallèle et tente de résoudre ce problème . Les choses se compliquent lorsque le véritable responsable des actes , étant par ailleurs aussi un véritable petit harceleur , n'est pas ce qu'il prétend être ! La lecture est extrêmement dynamique , très adaptée au public jeune , des textes courts , on enchaîne vite d'une case à l'autre , guidé par un scénario sans répit . On passe d'une surprise à une autre , tout en gardant le fil conducteur . 48 pages qui défilent à toute vitesse ! Yllya qui a déjà publié Stardust (éditions Jungle) continue son chemin avec un trait japonisant aux couleurs "flashy" . Les visages sont vite reconnaissables et intégrés par le lecteur . Elle donne beaucoup de mouvement aux personnages avec des effets lumineux et une grande expressivité des visages . Un premier tome original , on souhaite bon vent à cette nouvelle saga 🙂 A partir de 7 ans .
  4. Kevin Nivek

    La vengeance

    Titre de l'album : La vengeance Scenariste de l'album : David Wautier Dessinateur de l'album : David Wautier Coloriste : David Wautier Editeur de l'album : Anspach editions Note : Résumé de l'album : Wyoming, XIXe siècle. Richard Hatton avait tout pour être heureux : un lopin de bonne terre où il avait construit sa ferme, ainsi qu'une magnifique épouse qui lui avait donné deux beaux enfants. C'était sans compter sur Jim Pickford et ses deux acolytes. Tombant par hasard sur la ferme des Hatton et sur Mary restée seule, ces trois salopards en profitent pour la violer et la tuer. À son retour chez lui, Hatton voit sa raison chanceler. Son amour est parti à jamais, souillé pour l'éternité. Seul pour administrer tout le comté, le shérif ne peut pas l'aider et lui conseille d'oublier... Oublier ! Impossible, alors tout lui rappelle ce crime resté impuni. N'y tenant plus, Hatton vend sa ferme et part à la recherche des assassins de sa femme. Et ses enfants ? Il doit se résoudre à les emmener avec lui, quitte à leur montrer la face sombre de l'homme qu'il est devenu. Malgré le froid, la faim et les dangers qui menacent sa fille et son jeune fils, Hatton suit sa piste comme un loup qui a reniflé l'odeur du sang. Jusqu'où peut-on se couper de soi-même et de l'amour de ses enfants, pour assouvir son désir de vengeance ? Qu'est-ce qui différencie le vengeur des criminels? Hatton n'a pas de réponse à ces questions, mais il est trop tard pour reculer. Critique : La très belle couverture de ce western donne bien le ton de l'histoire ! On y aperçoit un père et ses enfants , chevauchant dans la neige , puis le titre du livre sans équivoque : La vengeance . Elle est ici l'originalité de cette traque dans les splendides paysages des rocheuses et du Wyoming . Un père de famille , pionnier vivant de sa terre dans un ranch perdu au milieu de l'immensité américaine décide de se venger des hommes qui ont tué sa femme . Mais il engage cette quête avec ses enfants ! L'auteur alterne les flashbacks et le présent en changeant les couleurs de fond . Il use d'un jaune chaud presque rassurant pour le passé et d'un bleu "enneigé" pour le présent .Cela permet une lecture fluide et de ménager le suspens , car très vite on sait que la mère a été assassinée , mais on ne connait pas les circonstances et le suivi immédiat de ce drame . Ajoutez à cela les éléments naturels venant perturber cette poursuite des tueurs et vous découvrirez en prime tout le talent de l'artiste belge à l'aquarelle . Les paysages sont somptueux , la montagne et ses forêts enneigées occupent parfois des pages entières pour le plaisir des yeux ! J'aurais un reproche sur le traitement des visages des personnages , assez lisses et manquant de détails . L'auteur est assurément plus à l'aise avec les décors et les animaux . Des phases contemplatives alternant avec de l'action et des hommes durs se livrant à leurs bas instincts . Clint Eastwood et son approche humaine des westerns , n'est pas loin dans la construction de ce récit , on sent une influence marquante . Un beau one-shot à l'aquarelle d'un réalisme saisissant . Amateurs de l'ouest sauvage , foncez 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vengeance/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Kevin Nivek

    La vengeance

    La très belle couverture de ce western donne bien le ton de l'histoire ! On y aperçoit un père et ses enfants , chevauchant dans la neige , puis le titre du livre sans équivoque : La vengeance . Elle est ici l'originalité de cette traque dans les splendides paysages des rocheuses et du Wyoming . Un père de famille , pionnier vivant de sa terre dans un ranch perdu au milieu de l'immensité américaine décide de se venger des hommes qui ont tué sa femme . Mais il engage cette quête avec ses enfants ! L'auteur alterne les flashbacks et le présent en changeant les couleurs de fond . Il use d'un jaune chaud presque rassurant pour le passé et d'un bleu "enneigé" pour le présent .Cela permet une lecture fluide et de ménager le suspens , car très vite on sait que la mère a été assassinée , mais on ne connait pas les circonstances et le suivi immédiat de ce drame . Ajoutez à cela les éléments naturels venant perturber cette poursuite des tueurs et vous découvrirez en prime tout le talent de l'artiste belge à l'aquarelle . Les paysages sont somptueux , la montagne et ses forêts enneigées occupent parfois des pages entières pour le plaisir des yeux ! J'aurais un reproche sur le traitement des visages des personnages , assez lisses et manquant de détails . L'auteur est assurément plus à l'aise avec les décors et les animaux . Des phases contemplatives alternant avec de l'action et des hommes durs se livrant à leurs bas instincts . Clint Eastwood et son approche humaine des westerns , n'est pas loin dans la construction de ce récit , on sent une influence marquante . Un beau one-shot à l'aquarelle d'un réalisme saisissant . Amateurs de l'ouest sauvage , foncez 🙂
  6. T'as oublié le "idiot , tu ne le sais ...."
  7. Kevin Nivek

    Les yeux fermés

    Mmmh quid du potentiel relecture ?
  8. Il a pas mal de lectures et il ne l’a pas mise en tête de liste , car oui , même lui peut avoir une pile 😅
  9. Titre de l'album : Décrocher la lune Scenariste de l'album : Wendy Mass Dessinateur de l'album : Gaby Mendez Coloriste : Cai Tse Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Quand on porte le nom d'une tortue vieille de 250 ans, on grandit en croyant que la vie est pleine de possibilités. Mais un drame dans la famille d'Addie rend les choses bien difficiles à voir pour elle. Addie s'isole, jusqu'au jour où son père les emmène à l'autre bout du pays. Elle rencontre Mateo et elle se retrouve embarquée dans un projet passionnant. Équipée d'un casque de réalité virtuelle, Addie escalade les murs d'un château, évite des chatons en colère et découvre le monde d'une nouvelle manière. Une idée germe alors, qui pourrait changer sa vision des choses... Mais n'est-il pas déjà trop tard ? Critique : Autrice de romans jeunesse , Wendy Mass réalise son premier roman graphique avec Décrocher la lune . On retrouve ses thématiques propres avec l'adolescence et une de ses passions : la réalité virtuelle . Nous suivons donc Adwaitya , plus souvent nommée Addie , qui va passer ses vacances loin de chez elle avec son père suite à un drame familial . Je ne vous en dis pas plus , mais le scénario est bien articulé autour de ce fait et la vie d'Addie s'en retrouve forcément tourmentée . Elle y fera la rencontre d'un jeune garçon du même âge et participera aux recherches de son père sur la réalité virtuelle . Elle exploitera d'ailleurs les avantages que peut présenter le casque VR dans certains domaines , comme à l'hôpital . Sur un fond de vacances d'été , Wendy Mass pose les jalons d'un scénario plus complexe qu'il n'y paraît avec la problématique liée à la maman d'Addie , conjuguée à la vie d'ado . C'est bien ficelé et elle maintient un suspens jusqu'en toute fin d'album . C'est aussi la première oeuvre de ce type pour l'illustratrice Gabi Mendez . Elle use d'un trait informatisé et jeune , bien enclin avec le public ciblé . Le format comics à couverture souple est aussi dans la veine du type de lecture ado , on se rapproche du concurrent manga , facile à caser dans un cartable ou sac . C'est une gentille première oeuvre , à lire à partir de 10 ans . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/decrocher-la-lune/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Décrocher la lune

    Autrice de romans jeunesse , Wendy Mass réalise son premier roman graphique avec Décrocher la lune . On retrouve ses thématiques propres avec l'adolescence et une de ses passions : la réalité virtuelle . Nous suivons donc Adwaitya , plus souvent nommée Addie , qui va passer ses vacances loin de chez elle avec son père suite à un drame familial . Je ne vous en dis pas plus , mais le scénario est bien articulé autour de ce fait et la vie d'Addie s'en retrouve forcément tourmentée . Elle y fera la rencontre d'un jeune garçon du même âge et participera aux recherches de son père sur la réalité virtuelle . Elle exploitera d'ailleurs les avantages que peut présenter le casque VR dans certains domaines , comme à l'hôpital . Sur un fond de vacances d'été , Wendy Mass pose les jalons d'un scénario plus complexe qu'il n'y paraît avec la problématique liée à la maman d'Addie , conjuguée à la vie d'ado . C'est bien ficelé et elle maintient un suspens jusqu'en toute fin d'album . C'est aussi la première oeuvre de ce type pour l'illustratrice Gabi Mendez . Elle use d'un trait informatisé et jeune , bien enclin avec le public ciblé . Le format comics à couverture souple est aussi dans la veine du type de lecture ado , on se rapproche du concurrent manga , facile à caser dans un cartable ou sac . C'est une gentille première oeuvre , à lire à partir de 10 ans .
  11. Il l’a pas encore lu
  12. Titre de l'album : Captif des glaces Scenariste de l'album : Clément Baloup Dessinateur de l'album : Hugo Stephan Coloriste : Hugo Stephan Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Au XIXe siècle, l'Arctique reste un territoire vaste et inexploré. Bien que coûteuses en ressources et en hommes, des expéditions sont montées afin de tenter d'en découvrir les mystères. Mais aucune expédition n'a encore franchi la ceinture de glace. George W. Melville est un officier de la Marine Américaine obsédé par le Grand Nord. Conquis par la fougue de De Long, commandant de l'expédition de l'USS Jeannette, Melville devient son ingénieur en chef. Il prend part à ce voyage avec pour but d'atteindre le pôle Nord. L'équipage doit lutter contre le temps et le froid pour tracer sa route. Mais une fois pris au piège, que pèse l'ambition des hommes face aux éléments ? Critique : Un peu plus de 30 avant la fameuse expédition Endurance et son destin tragique mais pas funeste , une autre campagne fut mise en place afin de conquérir cette fois le pôle nord . Les auteurs nous proposent la genèse de cette aventure en commençant par , le début 😉 Non pas à la fin du 19ème siècle , mais bel et bien avant en -300 avant JC avec Pythéas le massaliote qui passât l'Islande et tenta d'atteindre le bout du monde . Sa tentative fut vaine car prisonnier des glaces il dut faire demi-tour , mais la voie était tracée ! Et quel chemin justement emprunter pour y parvenir , quelle route maritime , quels courants suivre ?? Tant de questions à propos d'un point géographique cerné par plusieurs nations : Alaska , Russie , Danemark etc ... En 1879 , la Jeannette quitte la Californie et remonte le long des côtes américaines vers la mer de Bering en vue d'un hypothétique courant marin japonais censé les mener au pôle . Mais , tout ne se déroule pas comme prévu et l'expédition va au fil des mois passés en captivité glacière , se transformer en mission de sauvetage ! Le talent des conteurs est de nous faire entrer dans les cales du navire et de prendre part aux discussions entre les marins . Certaines décisions prises vont causer des griefs qu'il s'agira de surmonter dans l'unique but de survivre . Confronté aux éléments , l'homme s'accroche , à l'image de Georges W. Melville (rien à voir avec l'auteur de Moby Dick) , un ingénieur de bord opiniâtre et profondément humain . Hugo Stephan réalise sa première oeuvre dans le monde du 9ème art , et il effectue un travail de qualité . Il mélange des fonds "réalistes" au rendu daguerréotype , avec les protagonistes au premier plan plus "dessinés" que "photographiés" . Dans cette galerie de noms , on reconnaît les personnages assez facilement , ce qui aide grandement à la lecture et l'immersion . Il impose tantôt des dominances de couleurs bleutées pour les phases maritimes et d'autres plus jaunes voire rouges , pour des moments passés sur la terre ferme . Un rendu agréable , pas dénué de défauts mais pour une première , soyons complaisant 🙂 . Grand amateur d'épopées maritimes et glaciaires , j'ai apprécié cette lecture qui devrait combler les lecteurs avides de ces histoires de survie et d'explorations . Une postface de Vincent Piolet , docteur en géopolitique , met en lumière les enjeux de ces découvertes sur fond de luttes politiques et économiques de ces voies maritimes à but "commercial" . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/captif-des-glaces/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Kevin Nivek

    Captif des glaces

    Un peu plus de 30 avant la fameuse expédition Endurance et son destin tragique mais pas funeste , une autre campagne fut mise en place afin de conquérir cette fois le pôle nord . Les auteurs nous proposent la genèse de cette aventure en commençant par , le début 😉 Non pas à la fin du 19ème siècle , mais bel et bien avant en -300 avant JC avec Pythéas le massaliote qui passât l'Islande et tenta d'atteindre le bout du monde . Sa tentative fut vaine car prisonnier des glaces il dut faire demi-tour , mais la voie était tracée ! Et quel chemin justement emprunter pour y parvenir , quelle route maritime , quels courants suivre ?? Tant de questions à propos d'un point géographique cerné par plusieurs nations : Alaska , Russie , Danemark etc ... En 1879 , la Jeannette quitte la Californie et remonte le long des côtes américaines vers la mer de Bering en vue d'un hypothétique courant marin japonais censé les mener au pôle . Mais , tout ne se déroule pas comme prévu et l'expédition va au fil des mois passés en captivité glacière , se transformer en mission de sauvetage ! Le talent des conteurs est de nous faire entrer dans les cales du navire et de prendre part aux discussions entre les marins . Certaines décisions prises vont causer des griefs qu'il s'agira de surmonter dans l'unique but de survivre . Confronté aux éléments , l'homme s'accroche , à l'image de Georges W. Melville (rien à voir avec l'auteur de Moby Dick) , un ingénieur de bord opiniâtre et profondément humain . Hugo Stephan réalise sa première oeuvre dans le monde du 9ème art , et il effectue un travail de qualité . Il mélange des fonds "réalistes" au rendu daguerréotype , avec les protagonistes au premier plan plus "dessinés" que "photographiés" . Dans cette galerie de noms , on reconnaît les personnages assez facilement , ce qui aide grandement à la lecture et l'immersion . Il impose tantôt des dominances de couleurs bleutées pour les phases maritimes et d'autres plus jaunes voire rouges , pour des moments passés sur la terre ferme . Un rendu agréable , pas dénué de défauts mais pour une première , soyons complaisant 🙂 . Grand amateur d'épopées maritimes et glaciaires , j'ai apprécié cette lecture qui devrait combler les lecteurs avides de ces histoires de survie et d'explorations . Une postface de Vincent Piolet , docteur en géopolitique , met en lumière les enjeux de ces découvertes sur fond de luttes politiques et économiques de ces voies maritimes à but "commercial" .
  14. Kevin Nivek

    Les guerres de Lucas

    Un deuxième tome sur la genèse de Indiana Jones et l’idée de l’empire contre attaque , pourquoi ce n’est pas Lucas à la réalisation …. Y a encore plein de trucs à découvrir 😅. J'ai vraiment adoré ce livre en tout cas et oui ça se lit vite , tellement c’est passionnant .
  15. Kevin Nivek

    Helck tome 1

    J’ai lu une itw d’un mangaka et il disait que la lecture sur téléphone était répandue en Corée et eu Japon . J’imagine qu’ils lisent ça dans le métro . Je ne suis pas du tout prêt pour ça . Déjà le format franco belge ne s’y prête pas .
  16. Je vais me laisser tenter , j’ai lu une itw du Mangala dans DBD et il est assez interessant. Je lorgne aussi sur Ascension , mais 17 tomes ! Tu as lu cette série @Nickad? J’aime la montagne et les récits d’alpinisme , mais je voudrais pas me lancer dans 17 tomes sans savoir . en tout cas cet éditeur sort de belles choses ! Un des meilleurs en mangas non ?
  17. Kevin Nivek

    Les guerres de Lucas

    je savais perso , que Harrison était charpentier aussi 😉 T'aimerais pas un tome 2 ??
  18. Kevin Nivek

    Helck tome 1

    Ben écoute le début avec la ministre des sports et son décolleté devant une assemblée de vieux façon Tortue géniale , m'a moyennement plu ! Je trouve ça trop lecture d'ado pour moi .
  19. Kevin Nivek

    Helck tome 1

    non non le truc de foot là oui , pas du tout accroché
  20. Kevin Nivek

    Les guerres de Lucas

    Ah mais grave , tu te régales pas à découvrir tout ça ? Tu l’as vu American graffiti ?
  21. Kevin Nivek

    Helck tome 1

    lol , moi c’est Blue lock . Comment peut-on lire une connerie pareille !! Les vieux sont libidineux devant les jeunes femmes et leur décolleté , c’est tout en dessous de la ceinture avec un humour plus que douteux . Une lecture pour adolescent mais vraiment pas pour moi ! Hop , les 14 tomes revendus dans la foulee .
  22. Titre de l'album : Les royaumes de Tiketone tome 1 - Les Reliques des morts vivants Scenariste de l'album : Melissa Morin Dessinateur de l'album : Melissa Morin Coloriste : Melissa Morin Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Sorti miraculeusement indemne d'un dramatique accident, Thomas est placé dans un foyer où il fait la connaissance d'Eliott, Florian, Marianne, Robin et Virgile. Porteur d'un mystérieux savoir hérité de sa soeur disparue, Thomas entraîne la bande dans sa quête de 5 reliques censées leur ouvrir les portes d'un monde invisible. De défis en épreuves, ces cabossés de la vie vont apprendre à maîtriser leurs peurs, leur souffle et leur colère, et mutualiser leurs forces pour accéder au monde mystérieux de Tiketone ! Critique : Melissa Morin continue son exploration de la jeunesse après deux parutions (Chien Hurlant , Céphéide) sur les ados , elle nous plonge dans l'univers d'un foyer pour enfants . Ces derniers s'y retrouvent la plupart du temps suite à l'abandon des parents , de leur décès ou disparition . Les traumas sont donc importants et l'auteure va puiser dans ces failles et les combler par l'imaginaire dans lequel peuvent se réfugier ces enfants au triste sort . S'appuyant sur son expérience personnelle ( ses parents étaient une famille d'accueil ) elle expose leur quotidien dans un orphelinat au cadre champêtre , avec les querelles , les rapports de force et les différents caractères entremêlés . Il n'est pas rare après un traumatisme de ce réfugier dans un monde "autre" et Thomas va attiser la curiosité de ses congénères . Toujours coiffé d'un casque à cornes , il parle peu et vit à l'écart . Pourtant , la curiosité va l'emporter et de fil en aiguilles , une petite troupe va se former autour de lui , fascinée par ses dires ! Il serait question d'un autre monde et de 5 reliques à débusquer pour le découvrir ! Semée d'embûches , la quête démarre et va se poursuivre non sans quelques heurts . Quel est donc ce royaume de Tiketone et quel destin pour nos aventuriers en herbe ? Véritable monde parallèle ou imaginé par les enfants ? Le cliffhanger final va vous tenir en haleine jusqu'au tome 2 , prévu à la rentrée de septembre 😉 . Le dessin de Mélissa Morin est assez surprenant , à la croisée du manga pour les visages et d'un côté comics anglais pour l'arrière plan . Une fusion des styles avec un rendu intéressant et très accessible . Le mouvement est omniprésent avec des textes animés non linéaires et des onomatopées "chantantes" . Elle use des éléments dans cette forêt jouxtant le foyer , en essayant de rendre audible les sons , le chant des oiseaux , le souffle du vent , c'est une réelle expérience de lecture que je vous invite à découvrir dans Les royaumes de Tiketone . Petite anecdote : Melissa Morin a rêvé de ce mot qui à la base voulait dire thick cotton (coton épais) . Elle utilise régulièrement ses propres songes pour y puiser des histoires et autres détails . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-royaumes-de-tiketone-tome-1-les-reliques-des-morts-vivants/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Melissa Morin continue son exploration de la jeunesse après deux parutions (Chien Hurlant , Céphéide) sur les ados , elle nous plonge dans l'univers d'un foyer pour enfants . Ces derniers s'y retrouvent la plupart du temps suite à l'abandon des parents , de leur décès ou disparition . Les traumas sont donc importants et l'auteure va puiser dans ces failles et les combler par l'imaginaire dans lequel peuvent se réfugier ces enfants au triste sort . S'appuyant sur son expérience personnelle ( ses parents étaient une famille d'accueil ) elle expose leur quotidien dans un orphelinat au cadre champêtre , avec les querelles , les rapports de force et les différents caractères entremêlés . Il n'est pas rare après un traumatisme de ce réfugier dans un monde "autre" et Thomas va attiser la curiosité de ses congénères . Toujours coiffé d'un casque à cornes , il parle peu et vit à l'écart . Pourtant , la curiosité va l'emporter et de fil en aiguilles , une petite troupe va se former autour de lui , fascinée par ses dires ! Il serait question d'un autre monde et de 5 reliques à débusquer pour le découvrir ! Semée d'embûches , la quête démarre et va se poursuivre non sans quelques heurts . Quel est donc ce royaume de Tiketone et quel destin pour nos aventuriers en herbe ? Véritable monde parallèle ou imaginé par les enfants ? Le cliffhanger final va vous tenir en haleine jusqu'au tome 2 , prévu à la rentrée de septembre 😉 . Le dessin de Mélissa Morin est assez surprenant , à la croisée du manga pour les visages et d'un côté comics anglais pour l'arrière plan . Une fusion des styles avec un rendu intéressant et très accessible . Le mouvement est omniprésent avec des textes animés non linéaires et des onomatopées "chantantes" . Elle use des éléments dans cette forêt jouxtant le foyer , en essayant de rendre audible les sons , le chant des oiseaux , le souffle du vent , c'est une réelle expérience de lecture que je vous invite à découvrir dans Les royaumes de Tiketone . Petite anecdote : Melissa Morin a rêvé de ce mot qui à la base voulait dire thick cotton (coton épais) . Elle utilise régulièrement ses propres songes pour y puiser des histoires et autres détails .
  24. Kevin Nivek

    Eden corp

    Postulat de départ en peu "trop" connu et déjà vu , la suite est plus intéressante , mais , c'est pas évident de noter en fait ! Je crains aussi un potentiel relecture moyen , quand tu connais la finalité 😉
  25. Kevin Nivek

    Eden corp

    Titre de l'album : Eden corp Scenariste de l'album : Christopher Sebela , Abel Ferry, Alain Bismut Dessinateur de l'album : Marc Laming Coloriste : Lee Loughridge Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Montée clandestinement à bord d'un vaisseau de l'Eden Corp conduisant des humains vers un monde meilleur, une famille fait une découverte qui va bouleverser le cours du voyage... Sur une Terre surpeuplée et en proie à la violence, Gabe et sa famille survivent grâce à des petits cambriolages. L'espoir représenté par les croiseurs stellaires, qui emmènent des colons vers un lointain paradis, semble hors d'atteinte. Alors, quand l'opportunité de prendre la place d'une autre famille à bord d'un vaisseau se présente, Gabe, Morgan et leur fille Kali décident de faire ce qu'il faut pour survivre. Mais une fois à bord, le rêve vire rapidement au cauchemar... Critique : Ah ça, vous allez être surpris en embarquant à bord du vaisseau gigantesque de la compagnie Eden corp ! Dans un monde futur où nous sommes trop nombreux sur terre et en proie à des problèmes écologiques , la découverte d'une nouvelle planète en capacité de nous accueillir tombe à point nommé . De régulières loteries sont organisées afin de choisir de façon aléatoire les heureux élus en partance pour ce nouveau monde . Le bon père de famille gabe (pas si "bon" que ça ) y joue de façon assidue , gardant cet espoir de côté afin de ne plus avoir à vivre des larcins que sa femme , sa fille et lui , commettent pour survivre . Aussi , lorsque qu'une famille voisine (père , mère, fille du même âge) gagne , Gabe saute sur l'occasion et prend leur place de façon totalement interdite . Les voilà à bord du vaisseau prêts à être cryogénisés dans des caissons " bioscann " , réglés donc sur le vainqueur supposé de la loterie 😉 Vous voyez venir l'incompatibilité ? Ce problème de réveil anticipé , mais en réalité salvateur , va les mener vers bien dans des dangers et le récit va prendre des allures de thriller dans un huis clos glaçant et hostile . Je ne vous en dis pas plus , mais sachez que les rebondissements sont nombreux et l'action omniprésente . Parti d'une idée originale des compères Alain Bismut et Abel Ferry , Christopher Sebela a écrit ce scénario de sa ville de Portland . Il parvient à faire monter la tension progressivement tout en stimulant le lecteur : comment cela va t'il finir ? Quelle échappatoire pour notre trio familial ?? Marc Laming réalise un travail remarquable de réalisme , les expressions des visages , les détails dans les coursives du vaisseau , les costumes , son trait immerge le lecteur ! Il faut souligner aussi le travail sur les couleurs et jeux de lumières saisissants , car les phases dans l'obscurité sont excessivement bien traitées . Cela donne une nouvelle oeuvre SF fidèle aux standards des "Humano" et un bon one-shot à lire bien emmitouflé sous un plaid par un jour de pluie 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/eden-corp/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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