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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Pas Angouleme mais : La Fnac et France Inter dévoilent les 5 bandes dessinées finalistes en lice pour le Prix BD Fnac France Inter 2023. Elles ont été sélectionnées par les 30 membres du jury grand public du Prix, parmi les 20 coups de coeur de l’année 2022 des libraires Fnac et de la rédaction de France Inter. Tous les jurés, sélectionnés à la suite d’un appel à candidature, ont lu, évalué et noté les 20 bandes dessinées pour choisir ces finalistes. Une commission finale, présidée par Rebecca Manzoni et composée de journalistes et de libraires Fnac, désignera le lauréat entre ces 5 albums. Son nom sera révélé sur France Inter, jeudi 5 janvier 2023, à 09h30, par Rebecca Manzoni dans son émission Totémic ; il recevra le Prix BD Fnac France Inter le soir-même à la Maison de la radio. Les 5 BD finalistes sont (par ordre alphabétique des titres) : – Journal inquiet d’Istanbul – Tome 1 de Ersin KARABULUT.( éd. Dargaud) – Le Petit frère de Jean-Louis TRIPP. (éd. Casterman) – Les pizzlys de Jérémie MOREAU. (éd. Delcourt) – Nettoyage à sec de Joris MERTENS (éd. Rue de Sèvres) – Perpendiculaire au soleil de Valentine CUNY-LE-CALLET. (éd. Delcourt) Je connais Istanbul , Pizzlys et Nettoyage à sec 🙂 Je mise sur Istanbul , mais j'aimerais tant les pizzlys !!
  2. Sauf que l'intégrale , éditée en 2011 est pas donnée 😞 , je verrai !
  3. Je m'interrogeais sur l' intégrale regroupant les 5 premiers tomes , ça vaut le coup ? Swolfs il dessine quand même très bien !!
  4. Je viens de finir le tome 3 , que c'est bon , le dessin de Peeters et ses couleurs incandescentes , c'est du super boulot, vraiment !! Scénar au top , bref , je comprends pas que t'accroches pas @poseidon2 !
  5. Bon , ce we pour nous c’est Avatar en imax 😀, aucune séance en vost par contre 😞. Tellement grand public qu’ils le mettent uniquement en français . C’est dommage car pour Black Panther il y avait des séances en anglais . Enfin c’est pas grave , Cameron a dit que Thanos à côté de ses effets spéciaux allait être relégué à l’âge de pierre ! Le MCU en pleine tempête médiatique sur ses effets spéciaux , appréciera 😅
  6. Je finis les 3 tomes de Saint elme et je le lis sans faute 😅
  7. Titre de l'album : Une histoire du génocide des arméniens Scenariste de l'album : Jean-Blaise Dijan Dessinateur de l'album : Kyung Eun Park Coloriste : Kyung Eun Park Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : 1915. Si la situation politique est tendue dans l'Empire Ottoman depuis de nombreuses années, les populations turques et arméniennes vivent dans une entente cordiale à Dendil, petit village de montagne où réside la famille Hagopian, composée des parents Arakel et Vartouhie, et des enfants Mikael et Anouche. Mais tandis que les puissances européennes s'étripent dans les tranchées, un plan d'extermination général des Arméniens est mis en place par le gouvernement ottoman. Arakel, comme tous les Arméniens du village, est faussement mobilisé pour participer à la guerre et sera fusillé par les Ottomans, tandis que Vartouhie et Anouche sont forcées de rejoindre les longues files de déportation à travers le désert. Mikael, condamné à vivre caché à Dendil, parviendra-t-il à retrouver sa famille ? Critique : On a tous entendu parler du génocide arménien (le mot même a été créé suite à ces terribles exactions turques), mais sans vraiment en connaître les tenants et les aboutissants . C'était du moins mon cas , avant de lire cette formidable BD . Les éditions Petitapetit poursuivent leurs séries documentaires avec cette tragédie du début du XXème siècle . Jean-Blaise Dijan prend le destin d'une famille comme fil conducteur et déroule les événements dans une chronologie meurtrière . Les parents et leurs deux enfants vont subir de plein fouet cette révolution territoriale , car en effet , ces arméniens vivaient en harmonie avec les turcs dans des villages reculés , avant que des décisions politiques viennent tout bouleverser . En alternant pages dessinées et d'autres truffées de photos et documents d'époque , les auteurs expliquent clairement l'histoire et les leaders concernés . Des archives retrouvées donnent clairement le ton : "se débarrasser de ces gens" . Les turcs vont user de nombreux stratagèmes pour séparer les familles puis les assassiner , parfois avec un cynisme incroyable . Le plus européen des coréens , Kyung Eun Park, par son trait semi-réaliste , réalise une partie graphique frisant la perfection . Les expressions des visages et les regards sont profonds , les couleurs pastel donnent au récit des airs de sentiment passé mais néanmoins toujours en quête de rédemption ; à l'image de Mikael qui va passer une dizaine d'années à chercher sa mère et sa soeur , sans vraiment comprendre les raisons de ces décisions meurtrières . Je suis vraiment ravi d'avoir pu lire cette BD car dorénavant , je comprends ce qu'est le génocide arménien . Et vous ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-histoire-du-genocide-armeniens/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. On a tous entendu parler du génocide arménien (le mot même a été créé suite à ces terribles exactions turques), mais sans vraiment en connaître les tenants et les aboutissants . C'était du moins mon cas , avant de lire cette formidable BD . Les éditions Petitapetit poursuivent leurs séries documentaires avec cette tragédie du début du XXème siècle . Jean-Blaise Dijan prend le destin d'une famille comme fil conducteur et déroule les événements dans une chronologie meurtrière . Les parents et leurs deux enfants vont subir de plein fouet cette révolution territoriale , car en effet , ces arméniens vivaient en harmonie avec les turcs dans des villages reculés , avant que des décisions politiques viennent tout bouleverser . En alternant pages dessinées et d'autres truffées de photos et documents d'époque , les auteurs expliquent clairement l'histoire et les leaders concernés . Des archives retrouvées donnent clairement le ton : "se débarrasser de ces gens" . Les turcs vont user de nombreux stratagèmes pour séparer les familles puis les assassiner , parfois avec un cynisme incroyable . Le plus européen des coréens , Kyung Eun Park, par son trait semi-réaliste , réalise une partie graphique frisant la perfection . Les expressions des visages et les regards sont profonds , les couleurs pastel donnent au récit des airs de sentiment passé mais néanmoins toujours en quête de rédemption ; à l'image de Mikael qui va passer une dizaine d'années à chercher sa mère et sa soeur , sans vraiment comprendre les raisons de ces décisions meurtrières . Je suis vraiment ravi d'avoir pu lire cette BD car dorénavant , je comprends ce qu'est le génocide arménien . Et vous ?
  9. Je sais plus combien je paye , 16 ,17 ! Mais l'avantage , c'est que ma fille en profite aussi 🙂
  10. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Case du jour : Noir burlesque , tome 2 🙂 ; facile , trop facile ^^
  11. Rooh , les 25 ans de l'album de IAM , l'école du micro d'argent !!! Je découvre ça en surfant sur l'appli Applemusic 🙂 Je m'y suis replongé ce matin !
  12. Titre de l'album : Enchainés , dans l'entrepont de la Marie-Séraphique Scenariste de l'album : Alexandrine Cortez Dessinateur de l'album : Christopher Lannes Coloriste : Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : A bord de la Marie-Séraphique, navire négrier Nantais, redécouvrez ses sinistres campagnes vers les côtes d'Afrique puis vers Saint-Domingue, son commerce triangulaire et le terrible destin de ses esclaves. Ouvrage réalisé en collaboration avec Le Château des Ducs de Bretagne dans le cadre de l'exposition nationale, L'abîme, Nantes dans la traite atlantique et l'esclavage colonial, 1707-1830 Critique : Ayant eu le grand privilège de visiter l'île de Gorée et sa maison aux esclaves , il était compliqué pour moi de passer outre cette sortie des éditions PetitàPetit sur le commerce triangulaire .Cette visite m'avait marqué et je m'étais positionné tel Barrack Obama (photo ci-jointe) dans cette ouverture orientée vers l'océan (afin d'apercevoir les navires arrivant les cales vides) pour tenter de m'immerger dans cet effroyable pan de notre histoire . Ici , nous n'irons pas en baie de Dakar mais sur les rives nantaises , les côtes angolaises , puis Saint Domingue . La traite négrière fait bel et bien partie du patrimoine historique de la ville de Nantes (au même titre que Bordeaux , La Rochelle etc ...) et les auteurs nous proposent une immersion documentée et précise de toutes les étapes articulant ce commerce humain . Dans un ordre chronologique , les chapitres avancent , entrecoupés de double-pages où les bulles laissent la place aux archives d'époque et autres photos de musée . Nous découvrons une mécanique bien huilée sur l'armement des navires ainsi que leurs financements multiples et complexes . Le choix du capitaine , déterminant car le chemin est long et semé d'embûches , ainsi que les membres d'équipage , sont des étapes importantes pour l'armateur . Tout est comptabilisé et assuré , même une éventuelle mutinerie , dans des pourcentages .Les auteurs utilisent volontairement les termes employés à l'époque comme "nègre" ou "négrillon" pour appuyer cette déshumanisation totale , car en effet , les africains de la côte ouest n'étaient pas mieux considérés que du bétail . Classés , triés , évalués ,tels des animaux .... Cette ignominie pour nous autres contemporains , était tout à fait naturelle pour les européens de cet âge . Le dessin semi-réaliste convient parfaitement pour nous décrire les rues pavées nantaises ainsi que les navires ancrés au port . Lorsque les côtes africaines se font ressentir à quelques encablures de leur voyage , c'est au tour des villages angolais d'être décrits , ainsi que le fonctionnement de ce marché humain local . Puis , vient le long voyage de deux mois environ avec des explications sur la vie à bord , la nourriture donnée aux "captifs" , leurs sorties de l'entrepont (ne dépassant pas 1m50 de hauteur) ainsi que leur participation aux tâches inhérentes maritimes . L'arrivée à Saint Domingue pour y effectuer les ventes d'esclaves; et achats de produits locaux qui reviendront au point de départ , la préfecture de Loire-Atlantique . Tout est bien huilé et d'un sarcasme sans nom afin de réaliser encore des économies sur le dos des esclaves . Sans jugement des auteurs mais avec une infinie précision , les arcanes de ce terrible commerce prennent vie sous nos yeux au fil des pages . Savoir d'où l'on vient est une composante essentielle de nos sociétés . Oui , nous avons effectué cette horreur . Une lecture nécessaire , voire indispensable , à partir de 10 ans afin de mieux comprendre la totalité . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/enchaines-dans-l-entrepont-de-la-marie-seraphique/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Ayant eu le grand privilège de visiter l'île de Gorée et sa maison aux esclaves , il était compliqué pour moi de passer outre cette sortie des éditions PetitàPetit sur le commerce triangulaire .Cette visite m'avait marqué et je m'étais positionné tel Barrack Obama (photo ci-jointe) dans cette ouverture orientée vers l'océan (afin d'apercevoir les navires arrivant les cales vides) pour tenter de m'immerger dans cet effroyable pan de notre histoire . Ici , nous n'irons pas en baie de Dakar mais sur les rives nantaises , les côtes angolaises , puis Saint Domingue . La traite négrière fait bel et bien partie du patrimoine historique de la ville de Nantes (au même titre que Bordeaux , La Rochelle etc ...) et les auteurs nous proposent une immersion documentée et précise de toutes les étapes articulant ce commerce humain . Dans un ordre chronologique , les chapitres avancent , entrecoupés de double-pages où les bulles laissent la place aux archives d'époque et autres photos de musée . Nous découvrons une mécanique bien huilée sur l'armement des navires ainsi que leurs financements multiples et complexes . Le choix du capitaine , déterminant car le chemin est long et semé d'embûches , ainsi que les membres d'équipage , sont des étapes importantes pour l'armateur . Tout est comptabilisé et assuré , même une éventuelle mutinerie , dans des pourcentages .Les auteurs utilisent volontairement les termes employés à l'époque comme "nègre" ou "négrillon" pour appuyer cette déshumanisation totale , car en effet , les africains de la côte ouest n'étaient pas mieux considérés que du bétail . Classés , triés , évalués ,tels des animaux .... Cette ignominie pour nous autres contemporains , était tout à fait naturelle pour les européens de cet âge . Le dessin semi-réaliste convient parfaitement pour nous décrire les rues pavées nantaises ainsi que les navires ancrés au port . Lorsque les côtes africaines se font ressentir à quelques encablures de leur voyage , c'est au tour des villages angolais d'être décrits , ainsi que le fonctionnement de ce marché humain local . Puis , vient le long voyage de deux mois environ avec des explications sur la vie à bord , la nourriture donnée aux "captifs" , leurs sorties de l'entrepont (ne dépassant pas 1m50 de hauteur) ainsi que leur participation aux tâches inhérentes maritimes . L'arrivée à Saint Domingue pour y effectuer les ventes d'esclaves; et achats de produits locaux qui reviendront au point de départ , la préfecture de Loire-Atlantique . Tout est bien huilé et d'un sarcasme sans nom afin de réaliser encore des économies sur le dos des esclaves . Sans jugement des auteurs mais avec une infinie précision , les arcanes de ce terrible commerce prennent vie sous nos yeux au fil des pages . Savoir d'où l'on vient est une composante essentielle de nos sociétés . Oui , nous avons effectué cette horreur . Une lecture nécessaire , voire indispensable , à partir de 10 ans afin de mieux comprendre la totalité .
  14. Le mari de April c’est pas Casey Jones ? J’avais adoré le premier film à l’époque , bien violent , avec la présence de gros mots etc ….
  15. House of M , je crois que je le lis une fois par an , et sans aucun problème , juste un régal à chaque fois . Quel film ce serait !
  16. Je parlais de la série lui faisant suite 😉 sur Disney . Je suis d'accord avec toi sur le film t'inquiète 🙂
  17. Moi j'ai trouvé que ces deux séries de fantasy avaient des atouts et des faiblesses , mais dans l'ensemble , sont de très bonnes factures . Content de les avoir vues 🙂 Ne tente pas Willow , c'est une cata en revanche 😉 , une grosse cata !
  18. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Un manga que je ne connais pas ^^
  19. La scène dans la station spatiale où ils tombent comme des mouches est d’une intensité !
  20. Schisme est moyennasse a dit @poseidon2 , m'en parle pas , je me suis fait toutes les intégrales aussi 😉
  21. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Oui oui je me souviens je l'ai trouvé : Dernier we de janvier 😉 , le trait et le dialogue m'a aidé 🙂
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