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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Kevin Nivek

    Peleliu tome 8

    J'ai fait les 11 tomes à la suite de cette saga magistrale ! On apprend des tas de choses , et j'ai refermé le dernier livre avec presque la larme à l'oeil ! Et je ne suis pas trop du genre à pleurer pour des médias quels qu'ils soient ! Si on aime cette période de l'histoire , c'est une lecture impérative .
  2. Hop , sitôt rentrés du ski , ce soir Dune part2 en vost 🙂 Je suis joie !!
  3. Kevin Nivek

    Death's game tome 1

    On a vu la série , c'était pas mal , t'as l'impression que l'Etat a financé cette production pour la prévention des suicides .
  4. Kevin Nivek

    Peindre avec les lions

    Belle couverture
  5. Bon , l'omnibus King Conan colossal , est excellent ! Qualité d'édition incroyable , pages épaisses , volume imposant , reliure sublime , vraiment de la belle ouvrage . Le contenu est saisissant , un seul et unique dessin tout du long (excepté une histoire courte en toute fin ) , une histoire , ou plutôt des histoires typiques de Conan , ça défouraille sévère , le gars est "animal" , le sens du mot barbare ne lui a jamais aussi bien collé à la peau . Je craignais aussi , un peu , le doublon d'histoires avec les sorties Glénat , mais il n'en est rien . 90 balles c'est cher , je l'ai trouvé à 70 sur Vinted , encore emballé . Je pense qu'il y aura d'autres occas de ce genre . J'ajoute qu'il est grand format , on est plus grand qu'un omnibus classique Marvel . Les pages sont dingues , un réel plaisir à lire 🙂
  6. Je viens de le finir , c'est pas mal effectivement , un graphisme original et une histoire qui se tient . Paul Dano réalise un bon premier scénario . Je pense aussi que le potentiel relecture est intéressant , car il y a de nombreux détails dans les cases ; si on peut appeler ça des cases d'ailleurs 🙂
  7. J’ai appris qu’il s’était très mal comporté à une émission de Pivot à l’époque .
  8. J’hésite à prendre encore .
  9. Une vie de débauche et d’un profond manque de respect auprès des femmes 😅
  10. Trop hâte de voir la suite ! Moi je m’endors devant Le messie de Dune , ce tome 2 , quelle purge bon sang !
  11. Grave , voire plus , l’argent !! L’or faut pas rêver .
  12. Et pourtant , ils veulent tous y retourner malgré ces petits désagréments
  13. Ça va tellement vite que t’arrives pas à suivre la balle ! Du délire . En tout cas ils gagnent de la confiance pour les JO .
  14. Oui le potentiel relecture est sympathique je pense aussi . T’as aimé le coup des toilettes ? 😉
  15. Il y a 2 Icons en principe ! Etonnant ça . Attention c'est pas la lecture de l'année non plus hein , ne me mets pas la pression ^^ C'est juste que l'histoire se tient , il y a moins de slips partout et le ton adulte m'a plu . J'aime bien Millar en fait 🙂
  16. héhé , je te laisse entre deux "changes" lire cette histoire magnifique @The_PoP et on en reparle 😉
  17. 3-0 net sans bavure , le chemin est encore long pour les battre 😞
  18. Là , Millar fait un "restart" contemporain et change les choses , par exemple Hank Pym est alcoolo et tape sur sa femme , Bucky Rodgers est vieux , et tu as des morts , même chez les "héros" ! Franchement , deux tomes qui se lisent bien et se reliront avec plaisir . J'aime bien la collection Marvel Icons , de bons pavés se suivant , sans ajouts de tie in qui servent à rien .
  19. Fini le tome 2 de Ultimates , le run de Millar et Hitch , sur les Avengers , à l'origine des films du MCU d'ailleurs . Après un tome 1 introductif , on passe à l'action ici avec pas mal de rebondissements et un récit toujours aussi adulte avec du sang et même , des gros mots 😳 , choses rares chez Marvel ^^ Je recommande ces deux Marvel icons franchement , deux bons achats , avec un début et une fin , et surtout un dessin très sympa qui tient la route tout du long . Encore faut-il aimer les superslips 😉
  20. Je l’ai lu j’ai bien aimé aussi mais c’est clairement dispensable .
  21. Attention ceci dit il y a déjà Les naufragés d'Ythaq qui possède des similitudes avec ce pitch 😉
  22. Titre de l'album : La neige était sale Scenariste de l'album : Jean-Luc Fromental Dessinateur de l'album : Yslaire Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Frank est le fils de Lotte, tenancière de la maison close que fréquentent les forces d'occupation de cette ville moyenne d'Europe de l'Est jamais nommée, figée dans les pénuries, le froid et la sourde horreur des années de guerre. Il a 17 ans et les filles n'ont plus de secrets pour lui, puisqu'il a les pensionnaires de sa mère à disposition. Sans savoir ce qu'il cherche, Frank se laisse glisser sur la pente du banditisme, assassine, sans raison matérielle ni patriotique, un occupant particulièrement répugnant, vole et tue une vieille femme qu'il connaît depuis l'enfance, et plonge dans un avilissement que seule éclaire l'image idéalisée de Sissy, sa chaste voisine, éperdument amoureuse de lui. La déchéance volontaire peut-elle conduire à la rédemption ? C'est la question lancinante que soulève La neige était sale, le grand roman existentialiste de Georges Simenon, adapté avec brio par Jean-Luc Fromental et Bernard Yslaire. Critique : Je dois bien reconnaître n'avoir jamais lu un roman de Simenon , mais cette adaptation donne grandement l'envie de s'y plonger . Lorsqu'un artiste tel que Monsieur Yslaire réalise ces planches d'une beauté animale , il ne reste plus qu'à succomber . Son noir et blanc (similaire à la saga Sambre) est lumineux , avec une légère dotation de couleurs pastels à de rares occasions car ici nous baignons dans la noirceur de l'âme . Grand spécialiste des polars, Fromental nous plonge dans une ville occupée pendant la guerre , avec les galères d'approvisionnements en tous genres , le trafic au marché noir , les caïds faisant la loi , les filles de joie et cette présence occupante presque invisible mais terriblement étouffante . Nous suivons le parcours de Franck dans ce chaos , et ce jeune homme ne présente pas les qualités idoines du héros parfais de roman . Il est égoïste , violent , détaché du monde l'environnant , pourtant , sa rencontre avec une jeune femme aussi douce que belle va bouleverser son existence . Au son des bottes claquant dans les rues sales et boueuses d'une ville sous la neige , nous découvrons une autre voie possible pour Franck , un semblant de rédemption . Des dialogues de films noirs , des gueules de cinéma , un décorum angoissant , les auteurs nous plongent dans ce monde obscur avec brio . Chaque page tournée est un plaisir pour les rétines , le suspens est omniprésent , comment tout cela peut-il finir ?? Cette allégorie à l'occupation allemande durant la seconde guerre mondiale (en Belgique ou en France) démontre une nouvelle fois de quoi l'homme est capable , du pire au meilleur , mais sous le trait de Yslaire même la crasse parait belle . Un polar indispensable dans toute BDthèque qui se respecte 😉 . Monsieur Yslaire , nous attendons le dénouement de Sambre maintenant ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/collection-simenon-la-neige-etait-sale/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Kevin Nivek

    La neige était sale

    Je dois bien reconnaître n'avoir jamais lu un roman de Simenon , mais cette adaptation donne grandement l'envie de s'y plonger . Lorsqu'un artiste tel que Monsieur Yslaire réalise ces planches d'une beauté animale , il ne reste plus qu'à succomber . Son noir et blanc (similaire à la saga Sambre) est lumineux , avec une légère dotation de couleurs pastels à de rares occasions car ici nous baignons dans la noirceur de l'âme . Grand spécialiste des polars, Fromental nous plonge dans une ville occupée pendant la guerre , avec les galères d'approvisionnements en tous genres , le trafic au marché noir , les caïds faisant la loi , les filles de joie et cette présence occupante presque invisible mais terriblement étouffante . Nous suivons le parcours de Franck dans ce chaos , et ce jeune homme ne présente pas les qualités idoines du héros parfais de roman . Il est égoïste , violent , détaché du monde l'environnant , pourtant , sa rencontre avec une jeune femme aussi douce que belle va bouleverser son existence . Au son des bottes claquant dans les rues sales et boueuses d'une ville sous la neige , nous découvrons une autre voie possible pour Franck , un semblant de rédemption . Des dialogues de films noirs , des gueules de cinéma , un décorum angoissant , les auteurs nous plongent dans ce monde obscur avec brio . Chaque page tournée est un plaisir pour les rétines , le suspens est omniprésent , comment tout cela peut-il finir ?? Cette allégorie à l'occupation allemande durant la seconde guerre mondiale (en Belgique ou en France) démontre une nouvelle fois de quoi l'homme est capable , du pire au meilleur , mais sous le trait de Yslaire même la crasse parait belle . Un polar indispensable dans toute BDthèque qui se respecte 😉 . Monsieur Yslaire , nous attendons le dénouement de Sambre maintenant !
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