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Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Nouvelle longue licence chez Meian qui propose d’ailleurs un système d’abonnement à la série (coffret de 4 tomes avec posters, marque-pages et ex-libris exclusifs) ; la série est en cours et compte 24 tomes actuellement. Sleepy princess in the demon castle est une revisite humoristique du conte de fée au pays de la fantasy : la princesse du monde des humains a été kidnappée par le roi-démon, il espère ainsi gouverner le monde et soumettre les humains ! Enfin ça c’est la version officielle, car en réalité, c’est juste un prétexte pour organiser un jeu de piste pour le héros ! Donc il n’a nulle intention de faire du mal à la princesse. Seulement son plan ne se déroule pas comme prévu car la princesse Syalis compte bien profiter du temps qu’elle a pour se prélasser, ne rien faire et surtout dormir ! Sauf, et oui, il faut bien qu’il y ait un « sauf » ou un « mais » … le château du roi démon n’est pas aussi confortable que son palais, la literie n’est pas de qualité, les oreillers ne sont pas moelleux et les draps sont rêches ! La voilà partie en quête des matériaux nécessaires pour confectionner le lit de ses rêves ! Ensuite viendra la gestion du bruit, des courants d’air, de la chaleur… La princesse est prête à tout pour arriver à ses fins et met le bazar au château, elle n’hésite pas à utiliser les monstres ni à les découper pour obtenir ce qu’elle veut. On a l’habitude de croiser des princesses capricieuses mais une qui ne pense qu’à dormir c’est une nouveauté. L’humour est omniprésent sans être trop lourd, même si chaque chapitre à sa petite aventure, l’auteur ne se focalise pas sur le côté drôle mais développe également son environnement, les caractéristiques des monstres et l’utilisation détournée qu’en fait la princesse. Pour ceux qui avaient lu Pillow Bear, on retrouve l’aspect décalé et les bonnes trouvailles de l’auteur. Sleepy princess in the demon castle est étonnamment agréable à lire, les chapitres sont assez courts (12 pages environ) mais on n’a pas la sensation d’accumulation de gags comme ça arrive parfois. Reste à savoir si on ne s’ennuiera pas sur la longueur. En attendant, profitez d’une lecture parfaite pour se détendre. Pour information, la saison 1 de l’anime est disponible sur crunchyroll.
  2. Titre de l'album : Sleepy princess in the demon castle tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KUMANOMATA Kagiji Dessinateur de l'album : KUMANOMATA Kagiji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La comédie médiéval-fantastique de Kagiji Kumanomata ! Suivez les caprices de la princesse Syalis, Kidnappée par les démons, à la recherche d'une bonne nuit de repos !! Il n'y a pas de doute ! La princesse est bien réveillée ! L'heure est grave ! Alors que les humains cohabitent tant bien que mal avec les démons, Syalis, une princesse humaine est kidnappée par le Roi Démon et séquestrée dans son château. En apprenant l'enlèvement, le peuple est furieux !! Certains hommes, parmi les plus courageux, se lancent dans une mission de sauvetage. Pendant ce temps, dans sa prison... la princesse Syalis s'ennuie ferme ! Elle n'a rien d'autre à faire que dormir, mais la piètre qualité de son lit ne lui permet pas de passer des nuits reposantes. Elle décide donc d'utiliser les ressources dont elle dispose pour améliorer sa qualité de vie... et surtout de sommeil ! Découvrez le premier volume de la grande épopée fantasy comique de la princesse Syalis, à la recherche d'une bonne nuit de repos !! Critique : Nouvelle longue licence chez Meian qui propose d’ailleurs un système d’abonnement à la série (coffret de 4 tomes avec posters, marque-pages et ex-libris exclusifs) ; la série est en cours et compte 24 tomes actuellement. Sleepy princess in the demon castle est une revisite humoristique du conte de fée au pays de la fantasy : la princesse du monde des humains a été kidnappée par le roi-démon, il espère ainsi gouverner le monde et soumettre les humains ! Enfin ça c’est la version officielle, car en réalité, c’est juste un prétexte pour organiser un jeu de piste pour le héros ! Donc il n’a nulle intention de faire du mal à la princesse. Seulement son plan ne se déroule pas comme prévu car la princesse Syalis compte bien profiter du temps qu’elle a pour se prélasser, ne rien faire et surtout dormir ! Sauf, et oui, il faut bien qu’il y ait un « sauf » ou un « mais » … le château du roi démon n’est pas aussi confortable que son palais, la literie n’est pas de qualité, les oreillers ne sont pas moelleux et les draps sont rêches ! La voilà partie en quête des matériaux nécessaires pour confectionner le lit de ses rêves ! Ensuite viendra la gestion du bruit, des courants d’air, de la chaleur… La princesse est prête à tout pour arriver à ses fins et met le bazar au château, elle n’hésite pas à utiliser les monstres ni à les découper pour obtenir ce qu’elle veut. On a l’habitude de croiser des princesses capricieuses mais une qui ne pense qu’à dormir c’est une nouveauté. L’humour est omniprésent sans être trop lourd, même si chaque chapitre à sa petite aventure, l’auteur ne se focalise pas sur le côté drôle mais développe également son environnement, les caractéristiques des monstres et l’utilisation détournée qu’en fait la princesse. Pour ceux qui avaient lu Pillow Bear, on retrouve l’aspect décalé et les bonnes trouvailles de l’auteur. Sleepy princess in the demon castle est étonnamment agréable à lire, les chapitres sont assez courts (12 pages environ) mais on n’a pas la sensation d’accumulation de gags comme ça arrive parfois. Reste à savoir si on ne s’ennuiera pas sur la longueur. En attendant, profitez d’une lecture parfaite pour se détendre. Pour information, la saison 1 de l’anime est disponible sur crunchyroll. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sleepy-princess-in-the-demon-castle-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    An hour of romance tome 1

    Ju An est une cheffe de service efficace et exigeante. Elle est douée dans son travail mais pas vraiment dans les relations sociales, d’ailleurs elle ne cherche pas vraiment à nouer des liens avec ses collègues. Dojin est un jeune employé sous les ordres de Ju An et il est son exact opposé : maladroit avec un rendement peu élevé mais très gentil, apprécié de tout le monde et beau gosse. Au cours d’un projet, ils se rendent dans un temple et font la connaissance d’un jeune moine énigmatique qui leur réserve une surprise : chaque jour, pendant une heure, chacun va se retrouver dans la peau de l’autre ! J’avais un peu peur de tomber dans une « Office romance » classique (romance se déroulant en entreprise), des histoires de couples souvent sympathiques mais pas forcément originales. Heureusement, la partie fantastique (l’échange de corps) permet de pimenter un peu la situation surtout que cet échange n’est pas régulier et peut se dérouler à n’importe quel moment de la journée ! Les situations rocambolesques peuvent donc s’enchainer pour notre plus grand plaisir et il y a de quoi faire. Donc après un début un peu lent, l’histoire se bonifie à partir du début de l’échange de corps et gagne en intérêt. A tel point que la fin arrive trop vite et que l’on a vraiment envie de lire la suite. Extrait
  4. Titre de l'album : An hour of romance tome 1 Scenariste de l'album : KIM Myeongmi Dessinateur de l'album : KIM Myeongmi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Ju An est une boss ambitieuse qui gère ses employés avec autorité. Do Jin est un beau gosse maladroit mais généreux, qui vient d'obtenir un poste de directeur marketing suite à un quiproquo. Lors d'un voyage d'affaires, leur vie va être bouleversée : victimes d'une malédiction, ils doivent échanger leur corps chaque jour pendant une heure. Ce duo improbable doit alors coopérer pour sauver leur réputation ! Critique : Ju An est une cheffe de service efficace et exigeante. Elle est douée dans son travail mais pas vraiment dans les relations sociales, d’ailleurs elle ne cherche pas vraiment à nouer des liens avec ses collègues. Dojin est un jeune employé sous les ordres de Ju An et il est son exact opposé : maladroit avec un rendement peu élevé mais très gentil, apprécié de tout le monde et beau gosse. Au cours d’un projet, ils se rendent dans un temple et font la connaissance d’un jeune moine énigmatique qui leur réserve une surprise : chaque jour, pendant une heure, chacun va se retrouver dans la peau de l’autre ! J’avais un peu peur de tomber dans une « Office romance » classique (romance se déroulant en entreprise), des histoires de couples souvent sympathiques mais pas forcément originales. Heureusement, la partie fantastique (l’échange de corps) permet de pimenter un peu la situation surtout que cet échange n’est pas régulier et peut se dérouler à n’importe quel moment de la journée ! Les situations rocambolesques peuvent donc s’enchainer pour notre plus grand plaisir et il y a de quoi faire. Donc après un début un peu lent, l’histoire se bonifie à partir du début de l’échange de corps et gagne en intérêt. A tel point que la fin arrive trop vite et que l’on a vraiment envie de lire la suite. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/an-hour-of-romance-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Ces dernières années, on a vu un certain nombre de mangas proposant des histoires avec des personnes handicapées. C’est une bonne chose de s’éloigner des stéréotypes et de s’ouvrir à la différence. Si parfois le handicap est la thématique principale de l’histoire, ici ce n’est pas le cas. Le personnage de Subaru est en fauteuil roulant et vit très bien sa vie ; cela n’aura que très peu d’impact sur le déroulé du récit. Ce qui ressort le plus dans cette histoire c’est la passion : pas celle entre les deux protagonistes, tout au moins pas au début, mais celle liée à la photographie et aux étoiles. C’est parce que Togo Amase est un photographe talentueux, réputé pour ces photos de ciels étoilés que Subaru l’apprécie. Il en est même un grand fan alors quand il a l’occasion de rencontrer son idole au cours d’un travail, il ne peut s’empêcher de vouloir mieux le connaitre. De son côté, Togo est touché de voir à quel point ses photos ont réussi à émouvoir et à donner le sourire. Après avoir regardé le ciel étoilé est une très belle histoire pleine de douceur et d’amour. Je m’interroge juste sur le contenu du second tome vu que l’histoire pourrait s’arrêter là et qu’il y a indiqué « fin » sur la dernière page… Extrait
  6. Titre de l'album : Après avoir regardé le ciel étoilé tome 1 Scenariste de l'album : KIDA Bisco Dessinateur de l'album : KIDA Bisco Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Subaru est designer et se déplace en fauteuil roulant. Il doit créer le design d'une brochure pour un spectacle en planétarium en collaboration avec son photographe favori, Togo. Une fois son travail terminé, Subaru se rend à l'avant-première du projet et se retrouve face à Togo. Ils admirent ensemble le ciel étoilé, et Subaru sent son coeur battre la chamade... Critique : Ces dernières années, on a vu un certain nombre de mangas proposant des histoires avec des personnes handicapées. C’est une bonne chose de s’éloigner des stéréotypes et de s’ouvrir à la différence. Si parfois le handicap est la thématique principale de l’histoire, ici ce n’est pas le cas. Le personnage de Subaru est en fauteuil roulant et vit très bien sa vie ; cela n’aura que très peu d’impact sur le déroulé du récit. Ce qui ressort le plus dans cette histoire c’est la passion : pas celle entre les deux protagonistes, tout au moins pas au début, mais celle liée à la photographie et aux étoiles. C’est parce que Togo Amase est un photographe talentueux, réputé pour ces photos de ciels étoilés que Subaru l’apprécie. Il en est même un grand fan alors quand il a l’occasion de rencontrer son idole au cours d’un travail, il ne peut s’empêcher de vouloir mieux le connaitre. De son côté, Togo est touché de voir à quel point ses photos ont réussi à émouvoir et à donner le sourire. Après avoir regardé le ciel étoilé est une très belle histoire pleine de douceur et d’amour. Je m’interroge juste sur le contenu du second tome vu que l’histoire pourrait s’arrêter là et qu’il y a indiqué « fin » sur la dernière page… Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apres-avoir-regarde-le-ciel-etoile-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    L'école décomposée

    Bien que Junji ITO ait une volonté de faire des histoires libres de tout engagement politique, il met parfois le doigt sur certains travers de la société et les pousse à l’extrême. L’histoire de l’école décomposée repose donc sur un constat actuel : l’utilisation des excuses publiques par les japonais, une pratique allant grandissant selon l’auteur et sur une question simple « que se passerait-il si les excuses devenaient démoniaques ? ». Quant au titre, c’est un hommage au mangaka Kazuo Umezu que Junji ITO considère comme son maître spirituel avec une référence à l’une des œuvres les plus connues de Umezu : l’école emportée (je vous le conseille si vous ne l’avez pas déjà lu). On suivra donc la vie quotidienne d’une fratrie dont l’ainé, le frère s’excuse à tout bout de champ et la cadette terrorise le voisinage à coup de grimaces et propos effrayants. Bien sûr si l’accent est porté sur le poids des mots voire le lavage de cerveau, le contexte de la situation est ailleurs et prend tout son sens à la fin du livre. Contrairement à un certain nombre d’histoires de l’auteur qui plonge le lecteur dans une situation absurde sans connaître les tenants et aboutissants, l’école décomposée propose un scénario complet avec une explication à la situation. Et la fin est particulièrement bien réussie. Mon petit bémol serait sur la préface : écrite par le duo d’illustrateurs Fortifem, elle est un peu trop sophistiquée et artistique, bien qu’intéressante avec un point de vue que je ne partage pas complétement, elle est compliquée et difficile à comprendre par le tout-venant. Un dernier conseil avant de vous lancer dans la lecture : éviter de lire le manga avant le repas !
  8. Titre de l'album : L'école décomposée Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Le jeune Yûma et la petite Chizumi sont deux orphelins sans attaches. Lui se confond en excuses et en flatteries auprès de ses nouveaux camarades de classe, tandis que la fillette terrorise passants et voisins. Mais les airs contrits de l'aîné et le rire démoniaque de la cadette cachent de sombres penchants et répandent l'horreur partout où ils vont...Asseyez-vous un instant sur les bancs de l'école décomposée et déroulez le récit de cette funeste fratrie en cinq chapitres dégoulinants, suivis de deux histoires courtes. Critique : Bien que Junji ITO ait une volonté de faire des histoires libres de tout engagement politique, il met parfois le doigt sur certains travers de la société et les pousse à l’extrême. L’histoire de l’école décomposée repose donc sur un constat actuel : l’utilisation des excuses publiques par les japonais, une pratique allant grandissant selon l’auteur et sur une question simple « que se passerait-il si les excuses devenaient démoniaques ? ». Quant au titre, c’est un hommage au mangaka Kazuo Umezu que Junji ITO considère comme son maître spirituel avec une référence à l’une des œuvres les plus connues de Umezu : l’école emportée (je vous le conseille si vous ne l’avez pas déjà lu). On suivra donc la vie quotidienne d’une fratrie dont l’ainé, le frère s’excuse à tout bout de champ et la cadette terrorise le voisinage à coup de grimaces et propos effrayants. Bien sûr si l’accent est porté sur le poids des mots voire le lavage de cerveau, le contexte de la situation est ailleurs et prend tout son sens à la fin du livre. Contrairement à un certain nombre d’histoires de l’auteur qui plonge le lecteur dans une situation absurde sans connaître les tenants et aboutissants, l’école décomposée propose un scénario complet avec une explication à la situation. Et la fin est particulièrement bien réussie. Mon petit bémol serait sur la préface : écrite par le duo d’illustrateurs Fortifem, elle est un peu trop sophistiquée et artistique, bien qu’intéressante avec un point de vue que je ne partage pas complétement, elle est compliquée et difficile à comprendre par le tout-venant. Un dernier conseil avant de vous lancer dans la lecture : éviter de lire le manga avant le repas ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ecole-decomposee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Le labo de Musubu tome 1

    Gorô Sagami est amoureux de sa collègue, la chercheuse Musubu. Transféré dans son département, il va enfin pouvoir faire plus ample connaissance et peut-être créer des liens. Mais Musubu est une chercheuse passionnée qui s’enferme souvent dans son laboratoire. En plus parler de travail peut s’avérer compliquer quand on fabrique des préservatifs ! Sous ses allures de comédie romantique, le labo de Musubu offre plus que de la romance et de l’humour. L’auteur, soucieux de la justesse de ses propos, s’est particulièrement bien documenté et propose de véritables connaissances et discussions autour de la sexualité. Il est possible que le second tome aborde d’autres aspects mais dans le premier, vous découvrirez la fabrication d’un préservatif, les tests de contrôle, l’ergonomie, les lubrifiants… Le tout dans une ambiance légère sans se focaliser sur la science et permettant de rendre le sujet accessible à tous, enfin tous ceux qui s’en en âge de se poser ces questions… La lecture et le graphisme sont agréables, l’histoire est plutôt sympathique. La série est en cours et compte 5 tomes actuellement.
  10. Titre de l'album : Le labo de Musubu tome 1 Scenariste de l'album : MORI Taishi Dessinateur de l'album : MORI Taishi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Gorô Sagami travaille au service commercial de la Shônan Rubber Industries Co. Il est secrètement amoureux de Musubu, une chercheuse du département de recherche et développement. Mais le sujet des recherches de la jolie Musubu est bien spécifique : elle conçoit des préservatifs !! L'amoureux transi va devoir jongler entre sa gêne, son professionnalisme et sa naïveté pour trouver les mots qui transmettront ses sentiments... sans déraper !! Critique : Gorô Sagami est amoureux de sa collègue, la chercheuse Musubu. Transféré dans son département, il va enfin pouvoir faire plus ample connaissance et peut-être créer des liens. Mais Musubu est une chercheuse passionnée qui s’enferme souvent dans son laboratoire. En plus parler de travail peut s’avérer compliquer quand on fabrique des préservatifs ! Sous ses allures de comédie romantique, le labo de Musubu offre plus que de la romance et de l’humour. L’auteur, soucieux de la justesse de ses propos, s’est particulièrement bien documenté et propose de véritables connaissances et discussions autour de la sexualité. Il est possible que le second tome aborde d’autres aspects mais dans le premier, vous découvrirez la fabrication d’un préservatif, les tests de contrôle, l’ergonomie, les lubrifiants… Le tout dans une ambiance légère sans se focaliser sur la science et permettant de rendre le sujet accessible à tous, enfin tous ceux qui s’en en âge de se poser ces questions… La lecture et le graphisme sont agréables, l’histoire est plutôt sympathique. La série est en cours et compte 5 tomes actuellement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-labo-de-musubu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Killng me / killing you tome 1

    Petite précision par rapport au résumé où il est indiqué que le monde a changé après la chute d’une météorite : après avoir lu ce 1er tome et vu les « vestiges » de l’ancien monde, je peux dire que le monde qui a changé n’était pas le nôtre ! Du coup, ne vous attendez pas à un récit genre post-apocalyptique ! Non ici, on est dans un univers complétement délirant qui part un peu dans tous les sens. Nos deux personnages d’abord : ils se sont retrouvés en contact direct avec un fragment de la météorite et sont devenus immortels ; si Meteor (la fille) a seulement un bout de la météorite dans le front, elle ressemble encore à une humaine. Ce qui n’est pas le cas de son compagnon Youthanasia qui ressemble plus à une fusion entre une étoile de mer et un poulpe. Ces deux-là parcourent le monde en espérant mourir. En chemin ils font d’étranges rencontres (pas plus étranges qu’eux) et reprennent leur chemin. En toute honnêteté, je ne saisis pas trop l’intérêt de l’histoire, je ne sais même pas si le manga est censé être parodique ou non ! Il y a de bonnes trouvailles dans les bizarreries de ce monde ainsi que dans le graphisme mais pour ce qui est de l’histoire, je reste assez perplexe. Cela ressemble à une accumulation de saynètes où l’auteur se fait plaisir plutôt qu’à une véritable aventure. La série est finie en 5 tomes.
  12. Titre de l'album : Killng me / killing you tome 1 Scenariste de l'album : NARITA Imomushi Dessinateur de l'album : NARITA Imomushi Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Dans un monde ravagé par des chutes de météorites argentées se rencontrent deux étranges silhouettes. D'un côté se trouve une jeune femme au front serti d'une corne tout sauf naturelle, et de l'autre un homme au corps difforme et partiellement tentaculaire. Leur point commun : ces accidents célestes les ont rendus à la fois seuls et immortels. Ensemble, ils voyagent à travers des terres rendues folles, où désespoir et poésie coexistent, en quête d'un moyen pour eux d'enfin mourir paisiblement. Critique : Petite précision par rapport au résumé où il est indiqué que le monde a changé après la chute d’une météorite : après avoir lu ce 1er tome et vu les « vestiges » de l’ancien monde, je peux dire que le monde qui a changé n’était pas le nôtre ! Du coup, ne vous attendez pas à un récit genre post-apocalyptique ! Non ici, on est dans un univers complétement délirant qui part un peu dans tous les sens. Nos deux personnages d’abord : ils se sont retrouvés en contact direct avec un fragment de la météorite et sont devenus immortels ; si Meteor (la fille) a seulement un bout de la météorite dans le front, elle ressemble encore à une humaine. Ce qui n’est pas le cas de son compagnon Youthanasia qui ressemble plus à une fusion entre une étoile de mer et un poulpe. Ces deux-là parcourent le monde en espérant mourir. En chemin ils font d’étranges rencontres (pas plus étranges qu’eux) et reprennent leur chemin. En toute honnêteté, je ne saisis pas trop l’intérêt de l’histoire, je ne sais même pas si le manga est censé être parodique ou non ! Il y a de bonnes trouvailles dans les bizarreries de ce monde ainsi que dans le graphisme mais pour ce qui est de l’histoire, je reste assez perplexe. Cela ressemble à une accumulation de saynètes où l’auteur se fait plaisir plutôt qu’à une véritable aventure. La série est finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/killing-me-killing-you-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Shadow of the ring tome 1

    Je ne vais pas revenir sur le résumé car il est déjà très long dans la présentation du livre. Comme toute nouvelle histoire qui se déroule dans un contexte complétement inédit, il faut le temps de se familiariser avec ce nouvel univers. Le moins que l’on puisse dire, c’est que dans Shadow of the ring, tout semble avoir été bien pensé que ce soit la trame principale ou les détails. L’auteur du très bon thriller Route End revient dans un univers fantastique : l’aventure d’une cité nomade assez mystérieuse au cœur d’un conflit. Guerre, vengeance, technologies et croyances vont être au rendez-vous. Ce premier volume est à la fois une grosse mise en place de l’univers et le début du conflit, il ne faut pas perdre trop de temps, la série est finie en 4 tomes. C’est en tout cas un bon début prometteur servi par un graphisme intéressant. A suivre. Extrait
  14. Titre de l'album : Shadow of the ring tome 1 Scenariste de l'album : NAKAGAWA Kaiji Dessinateur de l'album : NAKAGAWA Kaiji Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Sur la voie de l'ombre, la moindre erreur peut sceller le destin d'un peuple... Le royaume de Keiju ne ressemble à aucun autre... C'est une véritable cité montée sur rails, qui suit constamment l'ombre portée de l'anneau entourant la planète. Son circuit, identique depuis des générations, lui fait traverser de nombreux territoires. Pour cette raison, Keiju a développé une tradition de neutralité soutenue par une prouesse technique majeure : la création des hakukai, des armures surpuissantes qui améliorent les capacités physiques de ceux qui les portent. Aushi, fils de notable d'un pays ami, est fasciné par cette ville mouvante, habituellement fermée aux étrangers. Pourtant, grâce à ses relations et à son honnêteté désarmante, il parvient à se faire accepter à bord, où il se lie d'amitié avec Kamalu, l'intrépide petite soeur de la reine. Tout à sa joie de l'exploration d'un nouveau monde, il ne se doute pas qu'il arrive au moment où l'équilibre des alliances est sur le point de s'écrouler... Un assassin brise les défenses de Keiju, tuant sur son passage un membre de la famille royale et volant de précieux hakukai ! Quel est l'objectif de ce mystérieux agresseur ?! Une ethnie nomade dotée d'une culture aussi étrange que fascinante, une route enveloppée par une nuit éternelle, d'étonnantes armes polymorphes... Critique : Je ne vais pas revenir sur le résumé car il est déjà très long dans la présentation du livre. Comme toute nouvelle histoire qui se déroule dans un contexte complétement inédit, il faut le temps de se familiariser avec ce nouvel univers. Le moins que l’on puisse dire, c’est que dans Shadow of the ring, tout semble avoir été bien pensé que ce soit la trame principale ou les détails. L’auteur du très bon thriller Route End revient dans un univers fantastique : l’aventure d’une cité nomade assez mystérieuse au cœur d’un conflit. Guerre, vengeance, technologies et croyances vont être au rendez-vous. Ce premier volume est à la fois une grosse mise en place de l’univers et le début du conflit, il ne faut pas perdre trop de temps, la série est finie en 4 tomes. C’est en tout cas un bon début prometteur servi par un graphisme intéressant. A suivre. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shadow-of-the-ring-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Demons star tome 2

    Les quiproquos s’enchainent et Yusuke, sans le vouloir, vient de défier le caïd de l’école ! Mais comme ils ne sont que 3 pour le moment, ses deux acolytes recrutent des lycéens aussi bizarres qu’eux. Yusuke se retrouve à avoir une réputation démesurée et un affrontement à préparer. Ce second tome est du même niveau que le premier, un véritable prolongement de l’histoire sans changement de rythme ni de style. La plus grande originalité de l’histoire (et sa force) et de créer des quiproquos crédibles qui entrainent des situations farfelues. C’est pleinement réussi : le manga est drôle et les personnages décalés. Le graphisme est à la hauteur et les expressions de Yusuke, complétement désemparé par la situation sont jubilatoires. Vivement le prochain !
  16. Nickad

    Demons star tome 2

    Titre de l'album : Demons star tome 2 Scenariste de l'album : ABE Shuji Dessinateur de l'album : MIKUNI Shin Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : L'entrée au lycée ne s'est pas passée comme prévu, et tous les regards sont tournés vers Yusuke. Ou plutôt... baissés. Tout le monde s'écarte sur son passage. Hissé contre son gré au rang de chef de clan, le jeune délinquant (par malchance) se prépare au pire. Et il a bien raison ! Car Akira et ses démons noirs n'en ont pas fini avec lui... Critique : Les quiproquos s’enchainent et Yusuke, sans le vouloir, vient de défier le caïd de l’école ! Mais comme ils ne sont que 3 pour le moment, ses deux acolytes recrutent des lycéens aussi bizarres qu’eux. Yusuke se retrouve à avoir une réputation démesurée et un affrontement à préparer. Ce second tome est du même niveau que le premier, un véritable prolongement de l’histoire sans changement de rythme ni de style. La plus grande originalité de l’histoire (et sa force) et de créer des quiproquos crédibles qui entrainent des situations farfelues. C’est pleinement réussi : le manga est drôle et les personnages décalés. Le graphisme est à la hauteur et les expressions de Yusuke, complétement désemparé par la situation sont jubilatoires. Vivement le prochain ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/demons-star-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Au cœur du donjon tome 1

    A présent nous sommes habitués dans le monde de la fantasy à avoir des aventuriers qui s’aventurent dans des donjons pour récolter des trésors, tuer des monstres et obtenir des points d’expérience. L’aspect graphique et les événements qui s’y déroulent peuvent être très variables (on peut aller du choupinet au drame absolu), il reste une constante : celle de tuer les monstres pour avancer ! Mais d’où viennent ces monstres ? Comment font-ils pour réapparaitre au bout d’un certain temps ? Comment les coffres se remplissent à nouveau ? Qui entretient le donjon ? Jusqu’alors, on nous disait que le donjon étant un élément magique, il s’auto-régénérait ! Mais si ce n’était pas le cas ? Au cœur du donjon vous propose d’aller découvrir les coulisses d’un donjon et de voir comment il est géré. Non sans un certain humour, le manga nous montre un tout autre point de vue du donjon, un élément quasiment indispensable pour ce genre d’aventure. Avec son graphisme assez épuré et ses personnages enfantins, Au cœur du donjon nous propose une revisite du genre, limite parodique avec une approche innovante visant à trouver une solution alternative à tout ce que l’on croyait savoir sur les donjons !
  18. Titre de l'album : Au cœur du donjon tome 1 Scenariste de l'album : HUTAMI Sui Dessinateur de l'album : HUTAMI Sui Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Clay s'est entraînée toute sa vie pour devenir l'élite de la guilde des voleurs. Chaque jour, elle emploie toutes ses compétences à rechercher son père disparu dans les tréfonds d'un donjon regorgeant de dangers. Alors qu'elle atteint finalement des profondeurs jamais égalées, elle rencontre la gardienne du donjon... qui l'invite à rejoindre le personnel des lieux ?! Critique : A présent nous sommes habitués dans le monde de la fantasy à avoir des aventuriers qui s’aventurent dans des donjons pour récolter des trésors, tuer des monstres et obtenir des points d’expérience. L’aspect graphique et les événements qui s’y déroulent peuvent être très variables (on peut aller du choupinet au drame absolu), il reste une constante : celle de tuer les monstres pour avancer ! Mais d’où viennent ces monstres ? Comment font-ils pour réapparaitre au bout d’un certain temps ? Comment les coffres se remplissent à nouveau ? Qui entretient le donjon ? Jusqu’alors, on nous disait que le donjon étant un élément magique, il s’auto-régénérait ! Mais si ce n’était pas le cas ? Au cœur du donjon vous propose d’aller découvrir les coulisses d’un donjon et de voir comment il est géré. Non sans un certain humour, le manga nous montre un tout autre point de vue du donjon, un élément quasiment indispensable pour ce genre d’aventure. Avec son graphisme assez épuré et ses personnages enfantins, Au cœur du donjon nous propose une revisite du genre, limite parodique avec une approche innovante visant à trouver une solution alternative à tout ce que l’on croyait savoir sur les donjons ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-coeur-du-donjon-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Orage tome 1

    L’école Bouhland regroupe les 3 espèces principales de la Terre : les sorciers, les vampires et les monstres, elle souhaite montrer qu’une cohabitation est possible et que tous peuvent vivre en harmonie. Hélas, cette école est bien la seule dans cet état d’esprit ! En effet, depuis la grande guerre il y a 4000 ans, ces trois espèces vivent cachées des humains et surtout chacune dans leur coin avec des règles très strictes sur leurs interactions. C’est dans ce contexte que les étudiants de Bouhland doivent passer leur stage de fin d’année. Orage un adolescent sorcier fait équipe avec son meilleur ami vampire Laïtoff et de sa petite amie Lila. Après avoir affronté un monstre à Paris, Orage décide de partir seul capturer un second monstre, ce dernier est un terroriste intelligent et Orage se retrouve non seulement à devoir l’affronter mais il doit aussi échapper aux membres de la fédération (l’organisation représentant le clan des sorciers), il se retrouve entrainé dans les Enfers, la plus grande prison du monde magique ! Orage est un webtoon français disponible sur la plateforme WEBTOONFACTORY. Il existe un préquel à cette histoire (quand nos héros étaient plus jeunes) qui s’appelle Bouhland est qui est disponible sur la plateforme ONO. Orage est un shonen fantastique qui ne semble pas forcément original au début mais qui se démarque tout de suite par son graphisme. Pour les amateurs de BDs, on pourrait facilement l’associer à un style comme le petit vampire ou les sardines de l’espace, que ce soit au niveau du trait ou de la colorisation. Certains éléments se dévoilant au fur et à mesure de l’histoire permettent de voir que le scenario est plus complexe qu’il n’y paraît au début et que chaque personnage cache en lui des zones sombres en plus des mystères liés à la grande guerre. Le rythme est dynamique, les scènes s’enchainent facilement, il y a peut-être par moment quelques longueurs de texte. Ce premier tome pose les bases de l’histoire, assez vite d’ailleurs, ce qui permet de rentrer dans l’action rapidement et nous donne assez d’éléments pour avoir envie d’aller voir plus loin. Le second tome sortira en octobre.
  20. Nickad

    Orage tome 1

    Titre de l'album : Orage tome 1 Scenariste de l'album : Prince ROURS Dessinateur de l'album : Prince ROURS Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Orage, magicien de type foudre, termine ses études à Bouhland, école secrète où magiciens, monstres et vampires ? autrefois rivaux ? peuvent protéger la Terre des derniers partisans du Croquemitaine, créature qui faillit détruire la Terre. Désireux de faire ses preuves, le jeune garçon va transgresser les règles afin de capturer un allié du Croquemitaine mais va ainsi brièvement plonger aux Enfers, d'où il ramènera Gello, un monstre de violence qui va fusionner avec lui. La vie d'Orage ? et le destin du monde ? vont dès lors devenir très compliqués... Critique : L’école Bouhland regroupe les 3 espèces principales de la Terre : les sorciers, les vampires et les monstres, elle souhaite montrer qu’une cohabitation est possible et que tous peuvent vivre en harmonie. Hélas, cette école est bien la seule dans cet état d’esprit ! En effet, depuis la grande guerre il y a 4000 ans, ces trois espèces vivent cachées des humains et surtout chacune dans leur coin avec des règles très strictes sur leurs interactions. C’est dans ce contexte que les étudiants de Bouhland doivent passer leur stage de fin d’année. Orage un adolescent sorcier fait équipe avec son meilleur ami vampire Laïtoff et de sa petite amie Lila. Après avoir affronté un monstre à Paris, Orage décide de partir seul capturer un second monstre, ce dernier est un terroriste intelligent et Orage se retrouve non seulement à devoir l’affronter mais il doit aussi échapper aux membres de la fédération (l’organisation représentant le clan des sorciers), il se retrouve entrainé dans les Enfers, la plus grande prison du monde magique ! Orage est un webtoon français disponible sur la plateforme WEBTOONFACTORY. Il existe un préquel à cette histoire (quand nos héros étaient plus jeunes) qui s’appelle Bouhland est qui est disponible sur la plateforme ONO. Orage est un shonen fantastique qui ne semble pas forcément original au début mais qui se démarque tout de suite par son graphisme. Pour les amateurs de BDs, on pourrait facilement l’associer à un style comme le petit vampire ou les sardines de l’espace, que ce soit au niveau du trait ou de la colorisation. Certains éléments se dévoilant au fur et à mesure de l’histoire permettent de voir que le scenario est plus complexe qu’il n’y paraît au début et que chaque personnage cache en lui des zones sombres en plus des mystères liés à la grande guerre. Le rythme est dynamique, les scènes s’enchainent facilement, il y a peut-être par moment quelques longueurs de texte. Ce premier tome pose les bases de l’histoire, assez vite d’ailleurs, ce qui permet de rentrer dans l’action rapidement et nous donne assez d’éléments pour avoir envie d’aller voir plus loin. Le second tome sortira en octobre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orage-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Romantic killer tome 1

    Afin de remonter le taux de natalité, une magicienne décide de pousser Anzu, une lycéenne otaku qui a trois passions dans la vie : son chat, le chocolat et les jeux vidéo, à rencontrer de beaux garçons afin de vivre des histoires d’amour. Pour cela et grâce à sa magie, elle provoque des situations typiques de mangas romantiques avec de beaux gosses destinées à faire chavirer le cœur d’Anzu. Mais cette dernière est assez hermétique à ce genre de situation. J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire mais au final, ce 1er tome était assez sympathique et distrayant. Bien sûr il est bourré de clichés mais comme c’est fait exprès, ça passe plutôt bien. Reste qu’au niveau graphique c’est correct sans être exceptionnel et que la magie de la sorcière (qui ressemble à rien d’ailleurs) fausse tellement la situation que l’histoire n’est pas crédible. N’y voyez rien d’autre qu’un divertissement. Pour information la série d’animation est disponible sur netflix.
  22. Titre de l'album : Romantic killer tome 1 Scenariste de l'album : MOMOSE Wataru Dessinateur de l'album : MOMOSE Wataru Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Anzu, le portrait-type de l'anti-héroïne, voit apparaître devant elle le magicien Riri. Ce dernier lui retire ses plus grands plaisirs dans la vie : les jeux vidéo, le chocolat et les chats. À la place, elle hérite d'une vie de rêve comme dans les mangas, entourée de beaux gosses qui lui courent après... Anzu parviendra-t-elle à rembarrer tous ses prétendants ou succombera-t-elle à l'amour ? Critique : Afin de remonter le taux de natalité, une magicienne décide de pousser Anzu, une lycéenne otaku qui a trois passions dans la vie : son chat, le chocolat et les jeux vidéo, à rencontrer de beaux garçons afin de vivre des histoires d’amour. Pour cela et grâce à sa magie, elle provoque des situations typiques de mangas romantiques avec de beaux gosses destinées à faire chavirer le cœur d’Anzu. Mais cette dernière est assez hermétique à ce genre de situation. J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire mais au final, ce 1er tome était assez sympathique et distrayant. Bien sûr il est bourré de clichés mais comme c’est fait exprès, ça passe plutôt bien. Reste qu’au niveau graphique c’est correct sans être exceptionnel et que la magie de la sorcière (qui ressemble à rien d’ailleurs) fausse tellement la situation que l’histoire n’est pas crédible. N’y voyez rien d’autre qu’un divertissement. Pour information la série d’animation est disponible sur netflix. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/romantic-killer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Itaewon class tome 1

    Ne vous fiez ni au titre ni à la couverture car il ne s’agit pas vraiment d’une classe ni d’étudiant ! Ou plutôt il faut voir ça comme l’école de la rue, ce qui apprennent la vie à la dure. Quant au mot Itaewon, il désigne un quartier de Séoul très cosmopolite où habitent des gens de toutes origines. Saeroyi Park déménage dans une petite ville suite au changement de poste de son père, hélas, toute la ville ainsi que l’école se plient au bon vouloir de M Jang, le pdg d’un grand groupe industriel. Dès le 1er jour, Saeroyi frappe Geunwon le fils de M Jang à cause du comportement harceleur de ce dernier. Si cet événement change la vie des Park qui veulent rester conformes à leurs valeurs et ne pas plier devant la pression injuste des riches, c’est un autre accident, encore plus injuste, qui va définitivement bouleverser Saeroyi. L’histoire commence de façon très dure, elle nous montre plein d’injustices et surtout développe un sentiment de révolte très fort. On se retrouve tout de suite face à une famille simple qui a des valeurs et un sens du devoir mise à mal en face d’un pouvoir supérieur : les coupables s’en sortent et les victimes doivent s’excuser. C’est un cas que l’on voit souvent dans les mangas/manhwas et qui fait ressortir une hiérarchie et un système social toujours très présent en Asie. En même temps, il y a un côté positif au travers du personnage de Saeroyi : il ne plie pas devant l’adversité et continue d’avancer en gardant intact les valeurs que lui a enseignées son père. Ce n’est qu’à la fin de ce premier volume que l’on va découvrir le quartier d’Itaewon, on découvrira d’autres personnages par la suite et leurs interactions. Même si on ne sait pas trop où l’on va pour le moment, c’est un début intéressant qui demande de poursuivre la lecture.
  24. Titre de l'album : Itaewon class tome 1 Scenariste de l'album : KWANG Jin Dessinateur de l'album : KWANG Jin Coloriste : Editeur de l'album : Kotoon Note : Résumé de l'album : Entre espoir et quête de revanche, Park Saeroyi nous entraîne dans le quartier bouillonnant d'Itaewon. Park Saeroyi a été élevé par son père qui lui a appris à rester fidèle à ses convictions. C'est pourquoi il n'hésite pas à prendre la défense d'un de ses camarades de classe face à Jang Geunwon, la brute du lycée, même si ce dernier est le fils d'un riche industriel et qu'il bénéficie de passe-droits. Park Saeroyi doit faire face aux conséquences de ses actes et de ses choix, mais il compte bien avancer dans la vie en suivant ses propres règles. Critique : Ne vous fiez ni au titre ni à la couverture car il ne s’agit pas vraiment d’une classe ni d’étudiant ! Ou plutôt il faut voir ça comme l’école de la rue, ce qui apprennent la vie à la dure. Quant au mot Itaewon, il désigne un quartier de Séoul très cosmopolite où habitent des gens de toutes origines. Saeroyi Park déménage dans une petite ville suite au changement de poste de son père, hélas, toute la ville ainsi que l’école se plient au bon vouloir de M Jang, le pdg d’un grand groupe industriel. Dès le 1er jour, Saeroyi frappe Geunwon le fils de M Jang à cause du comportement harceleur de ce dernier. Si cet événement change la vie des Park qui veulent rester conformes à leurs valeurs et ne pas plier devant la pression injuste des riches, c’est un autre accident, encore plus injuste, qui va définitivement bouleverser Saeroyi. L’histoire commence de façon très dure, elle nous montre plein d’injustices et surtout développe un sentiment de révolte très fort. On se retrouve tout de suite face à une famille simple qui a des valeurs et un sens du devoir mise à mal en face d’un pouvoir supérieur : les coupables s’en sortent et les victimes doivent s’excuser. C’est un cas que l’on voit souvent dans les mangas/manhwas et qui fait ressortir une hiérarchie et un système social toujours très présent en Asie. En même temps, il y a un côté positif au travers du personnage de Saeroyi : il ne plie pas devant l’adversité et continue d’avancer en gardant intact les valeurs que lui a enseignées son père. Ce n’est qu’à la fin de ce premier volume que l’on va découvrir le quartier d’Itaewon, on découvrira d’autres personnages par la suite et leurs interactions. Même si on ne sait pas trop où l’on va pour le moment, c’est un début intéressant qui demande de poursuivre la lecture. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/itaewon-class-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Everything is fine tome 1

    Dans un quartier très bourgeois d’une petite ville américaine, tout semble aller pour le mieux : les habitants sont heureux, les voisins sont gentils et tout est à sa place « tout va bien » ! Mais ce ne sont que des apparences car on comprend très vite que plein de choses ne vont pas à commencer par les habitants : ils portent tous des masques de chat, cachant ainsi leurs émotions. Mike Birchall est un auteur britannique qui a commencé Everything is fine sur la plateforme canvas de Webtoon. Son œuvre est nommée dans la catégorie « livre numérique de l’année » au Harvey Awards. Si vous avez vu le film Bienvenue à Suburbicon, vous aurez une idée de l’ambiance qui règne dans ce webcomic : un quartier typique de banlieue chic avec des maisons similaires et bien rangées et des routines de vie bien orchestrées. Et au milieu, des secrets, des faux-semblants… Tout va bien jusqu’au moment où tout dérape. Pourquoi les habitants vivent-ils de cette façon ? On l’ignore pour le moment mais on saisit que la situation n’est pas normale, que la délation est omniprésente et que tout le monde est surveillé. La tension monte peu à peu et c’est d’autant plus perturbant que le graphisme est épuré avec des personnages enfantins. Un contraste troublant qui interpelle.
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