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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. The_PoP

    Parlottes BD

    C’est quoi icônes ? Oo
  2. D'ailleurs je me demandais : elle a été primée un jour à Angoulème cette série ? ou sélectionnée au moins ?
  3. Ah ah je viens juste de le recevoir 🙂 j'envoie ta belle chronique aux éditions Soleil en attendant de me faire mon propre avis. Mais en première impression c'est vrai que c'est très joli.
  4. A noël je relis les 6 en prenant mon temps pour prendre la mesure de tout ça. Mais que c'est beau, que c'est intelligent.
  5. Pareil je passerai à la ps5 si j’ai le temps et quand j’aurais plus de jeux à faire sur ps4. Je me laisse au moins un an. Et après on verra
  6. The_PoP

    One Piece tome 96

    finalement la geste et les terres d'arran c'est pas si long... 🙂
  7. The_PoP

    Parlottes BD

    oh, tu devrais jeter un oeil, de la vraie bonne fantasy française 🙂 originale et avec un mode de narration super intéressant. Quand aux graphismes c'est des n&b super chouettes...
  8. The_PoP

    Parlottes BD

    @Kevin Nivek : Je l’ai en pdf le tome 4 des ogres dieux. Mais ça ne vaut pas le coup de le lire sur ce format tant c’est une belle réussite graphique pour ceux qui ont aimé les 3 premiers. Après côté histoire on reste sur du classique dans le genre. c’est vrai que c’est bon.
  9. C'est peu dire que c'est l'une des très grosse sortie que j'attendais avec impatience cet automne. Le tome 1 avait frappé fort, et je l'avais beaucoup apprécié, que ce soit au niveau de l'intrigue qu'au niveau du dessin sublime de M. Pont. J'avais adoré. Et ce tome 2 poursuit exactement la même recette : révélations et scénario bien foutu, scènes d'actions bien pensées, personnages tous travaillés, couleurs et dessins des décors ou personnages somptueux. Une nouvelle vraie réussite. Et je suis ravi de savoir que nos deux auteurs bossent déjà sur le troisième tome. Faut pas laisser refroidir l'ouvrage quand on tient une belle inspiration comme celle là. L'intrigue m'a beaucoup fait penser aux romans de Michel Bussi, et c'est plutôt un compliment 🙂 Les couleurs sont belles et rendent bien les ambiances et la jungle. Inutile donc de faire long. Foncez. Ce tome est un vrai tome d'aventure, bien scénarisé, rythmé avec des personnages supers sympathiques et une intrigue roublarde servis par le dessin rond, expressif et fourmillant de détails du dessinateur de Bout d'ficelle. Rue de Sèvres tient là une sacrée série à mon humble avis. Pas étonnant donc que le tome 3 soit déjà en cours d'écriture.
  10. Titre de l'album : Un putain de salopard - Tome 2 - O Maneta Scenariste de l'album : Regis Loisel Dessinateur de l'album : Olivier Pont Coloriste : François Lapierre Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Pour échapper aux hommes de main du camp minier, Max et Baia se perdent dans la jungle. Qu'importe, Baia guide, nourrit et soigne Max. En s'enfonçant toujours davantage dans cette forêt tropicale, Baia arrive jusqu'à l'épave d'un avion écrasé il y a quelques années. A son bord, le squelette d'une enfant dont les poignets sont encore ligotés. Serait-ce l'épave de cette vieille histoire de kidnapping de la fille du patron de la mine et d'un beau magot détourné ? De leur côté, Christelle et Charlotte prennent la fuite en direction de chez Corinne. Elles quittent le dispensaire où elles abandonnent un cadavre. Recherchées, les deux infirmières pourront compter sur l'aide de Rego, un vieux flic de la région au passé douteux. Croisant malfrats, chasseurs de trésors, et vieux secrets enfouis, chaque pas dans la jungle amazonienne semble réduire les chances de survie de nos héros. Critique : C'est peu dire que c'est l'une des très grosse sortie que j'attendais avec impatience cet automne. Le tome 1 avait frappé fort, et je l'avais beaucoup apprécié, que ce soit au niveau de l'intrigue qu'au niveau du dessin sublime de M. Pont. J'avais adoré. Et ce tome 2 poursuit exactement la même recette : révélations et scénario bien foutu, scènes d'actions bien pensées, personnages tous travaillés, couleurs et dessins des décors ou personnages somptueux. Une nouvelle vraie réussite. Et je suis ravi de savoir que nos deux auteurs bossent déjà sur le troisième tome. Faut pas laisser refroidir l'ouvrage quand on tient une belle inspiration comme celle là. L'intrigue m'a beaucoup fait penser aux romans de Michel Bussi, et c'est plutôt un compliment 🙂 Les couleurs sont belles et rendent bien les ambiances et la jungle. Inutile donc de faire long. Foncez. Ce tome est un vrai tome d'aventure, bien scénarisé, rythmé avec des personnages supers sympathiques et une intrigue roublarde servis par le dessin rond, expressif et fourmillant de détails du dessinateur de Bout d'ficelle. Rue de Sèvres tient là une sacrée série à mon humble avis. Pas étonnant donc que le tome 3 soit déjà en cours d'écriture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-putain-de-salopard-tome-2-o-maneta?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    James Bond - Casino royale

    @VladNirky: t'as jamais vu Goldeneye ????
  12. The_PoP

    Derniers Achats

    @Kevin Nivek : c'est noté, affaire à suivre.
  13. Je resterais fidèle à la PS mais j’avoue que j’ai pas creusé le sujet
  14. ça me botte toujours autant. Pas encore reçu le mien par contre 😞
  15. The_PoP

    Le baron

    J’avoue que sur les deux derniers c’est très subjectif. m’enfin entre un gagnant d’un Eisner et le dernier né de Masbou, qui on le sent lui a tenu vraiment à cœur, je ne serais probablement pas le seul à les avoir remarqués. clairement le Masbou est au dessus du lot des sorties de la rentrée pour moi. Y compris du Servitude. Plus marquant je trouve. par contre il faudra voir le potentiel de relecture. Mais bon je relis toujours mes de cape et de crocs donc bon. faut aimer le dessin. Mais ce dessin là ne m’attire jamais, mais me parle toujours. C’est un truc de dingue.
  16. The_PoP

    Le baron

    Titre de l'album : Le baron Scenariste de l'album : Jean-Luc Masbou Dessinateur de l'album : Jean-Luc Masbou Coloriste : Jean-Luc Masbou Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : A l'automne de sa vie, le Baron de Münchhausen se retrouve confronté au livre fraîchement publié qui raconte ses aventures. Un livre qui, certes, lui amène une popularité et une certaine notoriété bien au-delà de la région où il réside mais qui le confronte à la mort en faisant de lui un héros de papier et non plus un conteur ! Notre baron se décide à rétablir la vérité, et quelle vérité ! Critique : Je vous avoue que j'ai une grande tendresse pour le dessin de Jean-Luc Masbou. Fan absolu de son travail remarquable sur De Cape et de Crocs, j'avoue que j'ai fortement suivi la sortie de ce tome consacré aux aventures fantastiques du baron de Munchausen où le génie de Jean-Luc Masbou se retrouvait aux commandes du scénario, de l'écriture et du dessin. Hors l'on sait l'écueil que cela représente pour un seul auteur de se retrouver seul aux commandes d'une BD. Cette BD quand je l'ai eu en main je l'ai trouvée très belle, mais j'ai su d'instinct qu'il me faudrait "du temps de cerveau" disponible pour l'apprécier. Non ce n'est pas une BD de gare, une BD qui se dévore et s'oublie rapidement. Ce baron de Munchausen se lit bien enfoncé dans un canapé, avec un truc à grignoter et à boire de préférence, l'esprit libre pour être touché par l'imaginaire, la poésie, et la grâce des illustrations et de l'histoire portée par cette riche BD. Alors évidemment si vous n'êtes pas amateur du dessin tout en rondeurs, en empathie, et en humour de M. Masbou, passez votre chemin. Si le fantastique, le fantasmagorique, la littérature ou la poésie vous laissent indifférents, passez juste votre chemin, Ce Baron là n'est pas pour vous et ce n'est pas bien grave. Les rationnels n'y verront qu'une ode à l'inutile, les rêveurs rêveront. Si vous avez aimé de Cape et de crocs, foncez, si le verbe est moins lyrique chez ce Baron là, les mots y restent toujours bien pesés, les couleurs alléchantes, l'amour de l'humain omniprésent et la magie finit par opérer. Autres infos : Ne passez pas à côté ce moment de grâce... Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-baron?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    Le baron

    Je vous avoue que j'ai une grande tendresse pour le dessin de Jean-Luc Masbou. Fan absolu de son travail remarquable sur De Cape et de Crocs, j'avoue que j'ai fortement suivi la sortie de ce tome consacré aux aventures fantastiques du baron de Munchausen où le génie de Jean-Luc Masbou se retrouvait aux commandes du scénario, de l'écriture et du dessin. Hors l'on sait l'écueil que cela représente pour un seul auteur de se retrouver seul aux commandes d'une BD. Cette BD quand je l'ai eu en main je l'ai trouvée très belle, mais j'ai su d'instinct qu'il me faudrait "du temps de cerveau" disponible pour l'apprécier. Non ce n'est pas une BD de gare, une BD qui se dévore et s'oublie rapidement. Ce baron de Munchausen se lit bien enfoncé dans un canapé, avec un truc à grignoter et à boire de préférence, l'esprit libre pour être touché par l'imaginaire, la poésie, et la grâce des illustrations et de l'histoire portée par cette riche BD. Alors évidemment si vous n'êtes pas amateur du dessin tout en rondeurs, en empathie, et en humour de M. Masbou, passez votre chemin. Si le fantastique, le fantasmagorique, la littérature ou la poésie vous laissent indifférents, passez juste votre chemin, Ce Baron là n'est pas pour vous et ce n'est pas bien grave. Les rationnels n'y verront qu'une ode à l'inutile, les rêveurs rêveront. Si vous avez aimé de Cape et de crocs, foncez, si le verbe est moins lyrique chez ce Baron là, les mots y restent toujours bien pesés, les couleurs alléchantes, l'amour de l'humain omniprésent et la magie finit par opérer.
  18. The_PoP

    Mes ruptures avec Laura Dean

    Franchement Pos’ je crois que tu peux y aller les yeux fermés. c’est pas révolutionnaire et y aura pleins d’esprit chagrins pour râler sur le côté trop LGBT ou trop « bienveillant » ou trop « original » mais franchement le propos est juste tres bon.
  19. eh oh Kevin ça suffit, y a déjà 38 thorgal, plus la jeunesse de thorgal. Là tu essayes de faire comme pour Les elfes, tu veux remplir ma pauvre bibliothèque hein ????
  20. Titre de l'album : Mes ruptures avec Laura Dean Scenariste de l'album : Mariko Tamaki Dessinateur de l'album : Rosemary Valero-O'Connell Coloriste : Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Lorsque Frédérica Riley (Freddy) est sortie avec Laura Dean, la plus populaire, drôle et attirante fille du lycée, ce fût l'un des plus beaux jours de sa vie. Depuis, tout a changé... Laura est devenue autocentrée et manipulatrice. Elle ne cesse de quitter Freddy, qui finalement revient toujours vers elle. Cette relation toxique basée sur le "je t'aime, moi non plus" est malsaine, mais c'est plus fort qu'elle, Freddy ne sait pas lutter face à l'attraction magnétique, à l'emprise que Laura exerce sur elle. Pour garder un minimum de dignité et ne pas perdre son amie qu'elle délaisse, Freddy cherchera de l'aide auprès de ses proches, d'une chroniqueuse courrier du coeur et même d'un médium. Frédérica saura-t-elle se sortir de cette fougueuse histoire qui la rend aussi malheureuse que dépendante ? Critique : Attention cette chronique a été réalisée à partir du pdf. Cet album a reçu la récompense des Eisner Awards 2020 au titre de Meilleure publication pour ados. C'est peu dire qu'à priori je ne suis pas le public cible. C'est peu dire qu'entre l'univers LGBT, les préoccupations d'une lycéenne amoureuse, l'orientation clairement "pour ados" de ce roman graphique et les influences manga, ce Laura Dean n'était pas pour moi. A priori. Parce que c'est ce qu'il y a de bien avec l'intelligence et le talent, c'est que cela transcende souvent les goûts et les couleurs. Et j'ai dévoré ce Laura Dean. J'ai regretté aussi de ne pas l'avoir lu plus jeune, quand j'ai pu traverser moi aussi ce genre d'épreuves. Parce que sous couvert de s'adresser aux ados, ce livre parlera à tous, j'en fais le pari. Et c'est dire l'intelligence des auteures, qui ont su, tout en restant à hauteur des ados, leur livrer un vrai message, avec de la réflexion, sans trop de raccourcis et de belles pistes. Et tout y passe ou presque puisque cette histoire d'amour de l'héroïne avec Laura Dean est en fait le moyen d'explorer les autres facettes des relations humaines : amitiés, relations avec les parents, avec les autres. Graphiquement et bien c'est beau, c'est très fin, les atmosphères changent et on les ressent à travers le trait délicat de Rosemary Valero-O'Connell. Il y a un vrai soin apporté à la galerie de personnages, et si souvent les couleurs et ambiances m'ont paru un peu trop girly, elles rendent pourtant justice au sujet traité, sans jamais infantilisé ou ridiculiser. Mes ruptures avec Laura Dean est simplement un livre que je ferais lire à mes enfants, garçons ou filles, Gay ou non, dès que je les sentirais près. Parce que cela devrait être le livre de départ avant tout démarrage de relations amoureuses à l'heure où le romantisme manquant parfois dans nos vies, on se complait alors à le confondre avec des dramaturgies inutiles et douloureuses. A lire pour les parents, les enfants, les garçons et les filles, Mes ruptures avec Laura Dean n'est que la chronique de la relation amoureuse. Autres infos : A faire lire de toute urgence à vos ados Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mes-ruptures-avec-laura-dean?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    Mes ruptures avec Laura Dean

    Attention cette chronique a été réalisée à partir du pdf. Cet album a reçu la récompense des Eisner Awards 2020 au titre de Meilleure publication pour ados. C'est peu dire qu'à priori je ne suis pas le public cible. C'est peu dire qu'entre l'univers LGBT, les préoccupations d'une lycéenne amoureuse, l'orientation clairement "pour ados" de ce roman graphique et les influences manga, ce Laura Dean n'était pas pour moi. A priori. Parce que c'est ce qu'il y a de bien avec l'intelligence et le talent, c'est que cela transcende souvent les goûts et les couleurs. Et j'ai dévoré ce Laura Dean. J'ai regretté aussi de ne pas l'avoir lu plus jeune, quand j'ai pu traverser moi aussi ce genre d'épreuves. Parce que sous couvert de s'adresser aux ados, ce livre parlera à tous, j'en fais le pari. Et c'est dire l'intelligence des auteures, qui ont su, tout en restant à hauteur des ados, leur livrer un vrai message, avec de la réflexion, sans trop de raccourcis et de belles pistes. Et tout y passe ou presque puisque cette histoire d'amour de l'héroïne avec Laura Dean est en fait le moyen d'explorer les autres facettes des relations humaines : amitiés, relations avec les parents, avec les autres. Graphiquement et bien c'est beau, c'est très fin, les atmosphères changent et on les ressent à travers le trait délicat de Rosemary Valero-O'Connell. Il y a un vrai soin apporté à la galerie de personnages, et si souvent les couleurs et ambiances m'ont paru un peu trop girly, elles rendent pourtant justice au sujet traité, sans jamais infantilisé ou ridiculiser. Mes ruptures avec Laura Dean est simplement un livre que je ferais lire à mes enfants, garçons ou filles, Gay ou non, dès que je les sentirais près. Parce que cela devrait être le livre de départ avant tout démarrage de relations amoureuses à l'heure où le romantisme manquant parfois dans nos vies, on se complait alors à le confondre avec des dramaturgies inutiles et douloureuses. A lire pour les parents, les enfants, les garçons et les filles, Mes ruptures avec Laura Dean n'est que la chronique de la relation amoureuse.
  22. bah les deux derniers reviennent bien aux bases de la série mère je trouve. Les spin off, j'ai pas trop essayé j'avoue, ceux sur Kriss m'ont pas tant parlé que ça non plus. Je l'aime bien Kriss comme le personnage qu'on voit dans les thorgal, j'avais pas plus envie que ça de creuser. Louve et Jolan pareil finalement.
  23. Titre de l'album : Thorgal - Tome 38 - La selkie Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Fred Vignaux Coloriste : Gaetan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Louve a disparu ! Thorgal et Jolan s'empressent de prendre la mer pour retrouver la jeune fille, enlevée et emportée sur la mystérieuse île de Kalsoy. Mais l'île est jalousement gardée par la statue de Kopakonan, une femme-phoque qui a jeté une malédiction sur tout le village. Aux prises avec des habitants revanchards, nos héros seront malgré eux confrontés à une légende ancienne mais redoutable. Critique : Et nous voici avec un nouveau Thorgal, le 38ème, excusez du peu !!! Bon donc forcément au niveau de l'originalité ça commence à se ressentir depuis quelques tomes hein. Il faut reconnaitre que Thorgal avec son passé, ses aventures et sa famille devient un Héros un peu encombrant pour Yann qui a repris les scénarios de la série accompagné de Vignaux au dessin. Mais qu'à cela ne tienne, ce duo talentueux relève le défi à sa façon. Thorgal poursuit donc sa mue, moins impulsif, moins orienté sur l'action, moins décisif aussi, il continue pourtant d'explorer mythes et légendes des contrées nordiques au fil de ses aventures. Et de ce point de vue cet album est une réussite. Les îles Féroë sont un beau terrain de jeux, et les légendes abordées sont plutôt sympas. Les personnages sont réussis, et la morale façon Thorgal est toujours intéressante et fidèle au héros depuis ses débuts. Côté dessin, l'ambiance est chouette, les visages sont vraiment profonds, très travaillés et expressifs. Certes les décors ne sont pas forcément le point fort de ce Thorgal, mais Thorgal s'est toujours plus intéressé aux hommes qu'aux décors. Quoiqu'il en soit j'aime beaucoup. Certes c'est moins épique que ce que l'on pouvait connaitre, c'est assez passif même comparé aux BD actuelles, mais cela n'empêche l'aventure d'en être une, même si Thorgal n'affronte guère d'ennemis à la pointe de son épée. Alors oui ce n'est plus révolutionnaire, mais ça reste un Thorgal sympa, proche des débuts. Autres infos : L'immortel Thorgal Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-38-la-selkie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. The_PoP

    Thorgal - Tome 38 - La selkie

    Et nous voici avec un nouveau Thorgal, le 38ème, excusez du peu !!! Bon donc forcément au niveau de l'originalité ça commence à se ressentir depuis quelques tomes hein. Il faut reconnaitre que Thorgal avec son passé, ses aventures et sa famille devient un Héros un peu encombrant pour Yann qui a repris les scénarios de la série accompagné de Vignaux au dessin. Mais qu'à cela ne tienne, ce duo talentueux relève le défi à sa façon. Thorgal poursuit donc sa mue, moins impulsif, moins orienté sur l'action, moins décisif aussi, il continue pourtant d'explorer mythes et légendes des contrées nordiques au fil de ses aventures. Et de ce point de vue cet album est une réussite. Les îles Féroë sont un beau terrain de jeux, et les légendes abordées sont plutôt sympas. Les personnages sont réussis, et la morale façon Thorgal est toujours intéressante et fidèle au héros depuis ses débuts. Côté dessin, l'ambiance est chouette, les visages sont vraiment profonds, très travaillés et expressifs. Certes les décors ne sont pas forcément le point fort de ce Thorgal, mais Thorgal s'est toujours plus intéressé aux hommes qu'aux décors. Quoiqu'il en soit j'aime beaucoup. Certes c'est moins épique que ce que l'on pouvait connaitre, c'est assez passif même comparé aux BD actuelles, mais cela n'empêche l'aventure d'en être une, même si Thorgal n'affronte guère d'ennemis à la pointe de son épée. Alors oui ce n'est plus révolutionnaire, mais ça reste un Thorgal sympa, proche des débuts.
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