Aller au contenu
  • S’inscrire

The_PoP

Les gardiens du post
  • Compteur de contenus

    5 884
  • Inscription

  • Jours gagnés

    199

Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. C'est Tarzan au centre de la terre hein tout est dans le titre... mais c'est quand même vachement sympa 🙂
  2. Titre de l'album : Tarzan - Tome 2 - Au centre de la Terre Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Rob de la Torre & Stefano Raffaelle Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Parti en expédition à la recherche de la légendaire cité d'Opar et de ses trésors, Tarzan va vivre l'une de ses plus palpitantes aventures. Elle le mènera à bord d'un zeppelin jusqu'à Pellucidar, la terre creuse, monde souterrain préhistorique regorgeant de dangers dont il pourrait bien ne pas revenir indemne. Critique : Un changement de dessinateur entre un tome 1 réussi et un tome 2 c'est peu courant. Mais un nouveau changement de dessinateur au milieu du tome 2 ça l'est encore moins. J'ai donc posé la question à l'éditeur et dès que j'aurais la réponse promis je vous tiens informé des raisons de cette curiosité. Il faut reconnaitre que si à, première vue, ce n'est guère engageant, le premier tome de Tarzan nous avait ceci dit laissé une très belle impression. Soyons francs, je m'étais régalé à l'époque et c'est donc avec grand plaisir que j'ai dévoré ce tome 2. L'histoire est forcément plus originale que le premier tome puisque celui-ci retraçait simplement la légende de Tarzan telle qu'on la connait. Ce second opus nous livre une histoire moins connue écrite par Edgar Rice Burroughs autour de son personnage de Tarzan. Se déroulant juste après la fin du tome précédent, on y retrouve Tarzan mêlé à une aventure ou le fantastique et l'esprit de Jules Vernes cohabitent afin de livrer au roi de la jungle de nouveaux défis. Si l'on pourrait rester dubitatif sur la cohérence de l'ensemble, le gosse que je suis resté à globalement beaucoup aimé se replonger dans l'univers des histoires d'aventures se son enfance une nouvelle fois. Vous l'aurez compris, sio ce tome 2 est pour moi un cran en dessous du premier, ne prenons donc pas ce Tarzan aussi sérieusement que le précéndent qui brillait par sa noirceur et son atmosphère et ne boudons pas pour autant notre plaisir avec ce Tarzan intrépide et sauvage. A noter que la couverture est réalisée par l'excellent Eric Bourgier. Autres infos : D'après l'oeuvre d'Edgar Rice Burroughs Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tarzan-tome-2-au-centre-de-la-terre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Un changement de dessinateur entre un tome 1 réussi et un tome 2 c'est peu courant. Mais un nouveau changement de dessinateur au milieu du tome 2 ça l'est encore moins. J'ai donc posé la question à l'éditeur et dès que j'aurais la réponse promis je vous tiens informé des raisons de cette curiosité. Il faut reconnaitre que si à, première vue, ce n'est guère engageant, le premier tome de Tarzan nous avait ceci dit laissé une très belle impression. Soyons francs, je m'étais régalé à l'époque et c'est donc avec grand plaisir que j'ai dévoré ce tome 2. L'histoire est forcément plus originale que le premier tome puisque celui-ci retraçait simplement la légende de Tarzan telle qu'on la connait. Ce second opus nous livre une histoire moins connue écrite par Edgar Rice Burroughs autour de son personnage de Tarzan. Se déroulant juste après la fin du tome précédent, on y retrouve Tarzan mêlé à une aventure ou le fantastique et l'esprit de Jules Vernes cohabitent afin de livrer au roi de la jungle de nouveaux défis. Si l'on pourrait rester dubitatif sur la cohérence de l'ensemble, le gosse que je suis resté à globalement beaucoup aimé se replonger dans l'univers des histoires d'aventures se son enfance une nouvelle fois. Vous l'aurez compris, sio ce tome 2 est pour moi un cran en dessous du premier, ne prenons donc pas ce Tarzan aussi sérieusement que le précéndent qui brillait par sa noirceur et son atmosphère et ne boudons pas pour autant notre plaisir avec ce Tarzan intrépide et sauvage. A noter que la couverture est réalisée par l'excellent Eric Bourgier.
  4. Oui c’est pas une rechute qui fait du mal celui là. Ça passe bien 🙂
  5. Titre de l'album : Lanfeust de Troy - Tome 9 - La forêt noiseuse Scenariste de l'album : Arleston Dessinateur de l'album : Didier Tarquin Coloriste : Lyse Tarquin Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Rien ne va plus dans le monde de Troy. Les sages, relais de la magie, disparaissent un à un. Lanfeust lui-même a perdu son pouvoir. Qui est cet être mégalomane qui plonge villes et villages dans le chaos ? Et quid de cet arbre gigantesque d'où semblent provenir tous les maux qui les accablent ? Lanfeust et Hébus, à nouveau réunis, partent au Delpont enquêter sur ces étranges disparitions... Critique : Un nouveau Lanfeust ? Mais Lanfeust Odyssey me semblait pourtant terminé non ? Et bien oui, et ce tome 9 qui vient poursuivre l'aventure originelle se déroule pourtant, après Odyssey. Lanfeust est donc plus vieux, et la vie a repris un semblant de normalité. Deuxième spécificité étonnante : c'est une one shot. Oui un Lanfeust en One shot. Mais attention, c'est le début d'une série de one shot puisque les auteurs souhaitent désormais se faire plaisir avec Lanfeust. Oui mais et nous, les lecteurs ? Et bien je vous avoue que j'ai beaucoup aimé lire ce Lanfeust, là où les Odyssey avaient fini par me perdre dans leur asterixisation... De l'humour mais pas trop, un poil d'enjeu, le plaisir de retrouver nos héros un peu changés, bref. C'est bien. Graphiquement, Didier Tarquin maîtrise complètement son sujet, c'est donc du Lanfeust, et il n'y a plus grand chose à en dire après 26 épisodes. Une fois que j'ai dit tout le bien que je pensais de cet album, qu'une nouvelle fois j'ai pris beaucoup de plaisir à lire, j'aimerais cependant apporter un bémol. J'ai refermé ce livre et je me suis dit, "oui mais à quoi bon ?". Pourquoi reprendre Lanfeust si c'est pour en faire du Ekko ? Lanfeust c'était d'abord, avant même l'humour, un souffle épique fort et prenant, et des personnages qu'on prenait plaisir à voir évoluer. Là, on se retrouve avec une soupe rallongée. Et comme j'ai adoré et que j'adore toujours Lanfeust, j'ai simplement envie de demander aux auteurs si plutôt que de continuer dans une petite routine sympa et finir par faire rentrer Lanfeust dans le rang vous lui apportiez plutôt une conclusion digne de cette Saga ? Un truc à faire frémir les tripes, comme la fin d'un Jazz Maynard, sinon quel intérêt de faire vieillir Lanfeust ? Allez messieurs, du panache. Il sera toujours tant de nous faire une série dérivée sur la jeunesse de Lanfeust... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lanfeust-de-troy-tome-9-la-foret-noiseuse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Un nouveau Lanfeust ? Mais Lanfeust Odyssey me semblait pourtant terminé non ? Et bien oui, et ce tome 9 qui vient poursuivre l'aventure originelle se déroule pourtant, après Odyssey. Lanfeust est donc plus vieux, et la vie a repris un semblant de normalité. Deuxième spécificité étonnante : c'est une one shot. Oui un Lanfeust en One shot. Mais attention, c'est le début d'une série de one shot puisque les auteurs souhaitent désormais se faire plaisir avec Lanfeust. Oui mais et nous, les lecteurs ? Et bien je vous avoue que j'ai beaucoup aimé lire ce Lanfeust, là où les Odyssey avaient fini par me perdre dans leur asterixisation... De l'humour mais pas trop, un poil d'enjeu, le plaisir de retrouver nos héros un peu changés, bref. C'est bien. Graphiquement, Didier Tarquin maîtrise complètement son sujet, c'est donc du Lanfeust, et il n'y a plus grand chose à en dire après 26 épisodes. Une fois que j'ai dit tout le bien que je pensais de cet album, qu'une nouvelle fois j'ai pris beaucoup de plaisir à lire, j'aimerais cependant apporter un bémol. J'ai refermé ce livre et je me suis dit, "oui mais à quoi bon ?". Pourquoi reprendre Lanfeust si c'est pour en faire du Ekko ? Lanfeust c'était d'abord, avant même l'humour, un souffle épique fort et prenant, et des personnages qu'on prenait plaisir à voir évoluer. Là, on se retrouve avec une soupe rallongée. Et comme j'ai adoré et que j'adore toujours Lanfeust, j'ai simplement envie de demander aux auteurs si plutôt que de continuer dans une petite routine sympa et finir par faire rentrer Lanfeust dans le rang vous lui apportiez plutôt une conclusion digne de cette Saga ? Un truc à faire frémir les tripes, comme la fin d'un Jazz Maynard, sinon quel intérêt de faire vieillir Lanfeust ? Allez messieurs, du panache. Il sera toujours tant de nous faire une série dérivée sur la jeunesse de Lanfeust...
  7. « Il était la moitié de mon âme, et je n'aimais pas la manière dont les gens parlaient de ses travers. La drogue. La came. Mais c'était une réalité. Pas séparée de son talent, mais pas la cause de son génie non plus. Tout cela entrelacé en lui, éclairant ses différentes facettes... L'homme. Le drogué. Le génie... » Charlie Parker alias « The Bird » à besoin de vous pour prendre son envol ! L'un des chapitres les plus ensoleillés mais également l'un des plus sombre de la vie Charlie "Bird" Parker, figure de proue de l'histoire du jazz. A découvrir, dès maintenant, sur Ulule ! https://fr.ulule.com/chasin-the-bird/
  8. Titre de l'album : Thorgal - Tome 39 - Neokora Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Fred Vignaux Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Prise dans une tempête en pleine mer, une expédition viking découvre un bébé dans une mystérieuse embarcation. L'enfant est baptisé du nom de Thorgal. Prodige du tir à l'arc, épris de liberté et de justice, il n'aura de cesse de défendre les siens et d'aspirer à une vie paisible. Son histoire est celle d'un homme que les dieux ont décidé de mettre à l'épreuve et qui percera, au fil de ses aventures, le mystère de ses origines. Critique : Hey Pop, tu délires ? Le tome 39 de Thorgal dans la sélection des coups de coeur de l'année ??? En plus tu lui as mis que 4.5 ??? Oui et oui. Ce Thorgal est un très bon cru, dans une série qui semblait pourtant destinée à s'essouffler jusqu'à perdre haleine. Je vais commencer par m'attarder sur le dessin de Fred Vignaux, qui a su je trouve adapter son style à l'immense héritage de Rosinski sans chercher à le copier. Au fil des tomes, ce Thorgal retrouve une âme, différente certes, mais qui a su rester dans la continuité. Les visages sont expressifs et très réussis, tout comme les scènes d'actions, et si les décors sont un peu mornes dans cet épisode, cela colle finalement à l'ambiance de ce tome. Côté scénario enfin, il faut noter l'excellente idée de nous proposer enfin une aventure de Thorgal qui se poursuivra sur plusieurs tomes. Cette série n'est pour moi pas destinée aux One Shot, Thorgal est l'Odyssée de la BD franco belge moderne, et le fil conducteur de ses aventures doit nécessairement se dérouler sur plusieurs tomes pour prendre tout son sens et retrouver l'esprit quête initiatique parfois perdu en route. En bref, Yann nous montre un Thorgal décidé à mettre un terme aux questions et menaces sur ses origines et cela ne laissera aucun lecteur de longue haleine indifférent. Le tout est plutôt bien imriqué il me semble dans le reste de l'univers développé à côté pour donner beaucoup de sens à ce tome. Si l'on rajoute que les liens familiaux sont ici de nouveau questionnés, interrogés à travers les relations développées entre les personnages on obtient un excellent tome. Alors pourquoi 4.5 ? Parce qu'à ce stade, ce tome ne vaudra que par les conclusions qui lui seront apportées. Il peut être le début d'une conclusion en apothéose de la série si auteurs et éditeur ne se débinent pas. Mais il peut aussi se révéler un coup dans l'eau si tout ce beau monde décide de rallonger la sauce. Quoiqu'il en soit ce tome est excellent, j'ai pris un grand plaisir à le lire, et si les derniers étaient plutôt bons, celui-ci me semble plus remarquable du fait de l'ampleur de son scénario et de la maitrise croissante de Fred Vignaux pour son univers. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-39-neokora?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Thorgal - Tome 39 - Neokora

    Hey Pop, tu délires ? Le tome 39 de Thorgal dans la sélection des coups de coeur de l'année ??? En plus tu lui as mis que 4.5 ??? Oui et oui. Ce Thorgal est un très bon cru, dans une série qui semblait pourtant destinée à s'essouffler jusqu'à perdre haleine. Je vais commencer par m'attarder sur le dessin de Fred Vignaux, qui a su je trouve adapter son style à l'immense héritage de Rosinski sans chercher à le copier. Au fil des tomes, ce Thorgal retrouve une âme, différente certes, mais qui a su rester dans la continuité. Les visages sont expressifs et très réussis, tout comme les scènes d'actions, et si les décors sont un peu mornes dans cet épisode, cela colle finalement à l'ambiance de ce tome. Côté scénario enfin, il faut noter l'excellente idée de nous proposer enfin une aventure de Thorgal qui se poursuivra sur plusieurs tomes. Cette série n'est pour moi pas destinée aux One Shot, Thorgal est l'Odyssée de la BD franco belge moderne, et le fil conducteur de ses aventures doit nécessairement se dérouler sur plusieurs tomes pour prendre tout son sens et retrouver l'esprit quête initiatique parfois perdu en route. En bref, Yann nous montre un Thorgal décidé à mettre un terme aux questions et menaces sur ses origines et cela ne laissera aucun lecteur de longue haleine indifférent. Le tout est plutôt bien imriqué il me semble dans le reste de l'univers développé à côté pour donner beaucoup de sens à ce tome. Si l'on rajoute que les liens familiaux sont ici de nouveau questionnés, interrogés à travers les relations développées entre les personnages on obtient un excellent tome. Alors pourquoi 4.5 ? Parce qu'à ce stade, ce tome ne vaudra que par les conclusions qui lui seront apportées. Il peut être le début d'une conclusion en apothéose de la série si auteurs et éditeur ne se débinent pas. Mais il peut aussi se révéler un coup dans l'eau si tout ce beau monde décide de rallonger la sauce. Quoiqu'il en soit ce tome est excellent, j'ai pris un grand plaisir à le lire, et si les derniers étaient plutôt bons, celui-ci me semble plus remarquable du fait de l'ampleur de son scénario et de la maitrise croissante de Fred Vignaux pour son univers.
  10. The_PoP

    Mages - Tome 6 - Yoni

    Les sorties des terres d'Arran s'effectuant souvent de manière groupée pour les séries dérivées de l'univers développé dans Elfes, il faut bien reconnaitre qu'on a beau jeu de les comparer. ET à ce jeu, malheureusement Mages m'a toujours donné l'impression du parent pauvre. Bon soyons honnêtes : il est vrai que j'ai assez peu d'empathie d'une manière générale pour les mages en Heroïc Fantasy, mais je suppose que cela n'explique pas tout. Et là en comparant ce tome avec le dernier Nains et le dernier Orcs et Gobelins et bien... je dois avouer que ça fait mal. Car ce Mage est plutôt pas mal, mais cette comparaison fait ressortir tout ce qui manque pour moi dans cette série. Je n'y ressens pas vraiment de souffle épique, et les personnages et leurs relations entre eux me semblent souvent assez fades. Oui j'ai la dent dure, surtout que ce tome est assez certainement l'un des meilleurs des 6 premiers. On sent que le graphisme a cepêndant été travaillé car c'est plutôt réussi, mais même là encore, je n'y trouve pas autant de qualités qu'aux autres parutions récentes. Bref, ce tome de Mage ravira les fans des Terres d'Arran car il est intrinsèquement plutôt bien. Pour les autres, il n'y a mlaheureusement que peu de chance que ce tome vous fasse changer d'avis sur cette série dérivée là.
  11. Titre de l'album : Mages - Tome 6 - Yoni Scenariste de l'album : Nicolas Jarry & David Courtois Dessinateur de l'album : Giovanni Lorusso Coloriste : Elodie Jacquemoire Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lors de la guerre des goules, les mages runistes de Dumn sont passés maîtres dans la fabrication de Golem. Avec la paix, ces colosses ravageurs s'affrontent désormais dans les arènes faisant la fortune de leur maître. Yoni, 11 ans rêve d'être l'un d'entre eux, mais lors d'une funeste nuit, il devient orphelin. Yoni n'a plus qu'une obsession : réaliser le Golem parfait qui vengera les siens ! Critique : Les sorties des terres d'Arran s'effectuant souvent de manière groupée pour les séries dérivées de l'univers développé dans Elfes, il faut bien reconnaitre qu'on a beau jeu de les comparer. ET à ce jeu, malheureusement Mages m'a toujours donné l'impression du parent pauvre. Bon soyons honnêtes : il est vrai que j'ai assez peu d'empathie d'une manière générale pour les mages en Heroïc Fantasy, mais je suppose que cela n'explique pas tout. Et là en comparant ce tome avec le dernier Nains et le dernier Orcs et Gobelins et bien... je dois avouer que ça fait mal. Car ce Mage est plutôt pas mal, mais cette comparaison fait ressortir tout ce qui manque pour moi dans cette série. Je n'y ressens pas vraiment de souffle épique, et les personnages et leurs relations entre eux me semblent souvent assez fades. Oui j'ai la dent dure, surtout que ce tome est assez certainement l'un des meilleurs des 6 premiers. On sent que le graphisme a cepêndant été travaillé car c'est plutôt réussi, mais même là encore, je n'y trouve pas autant de qualités qu'aux autres parutions récentes. Bref, ce tome de Mage ravira les fans des Terres d'Arran car il est intrinsèquement plutôt bien. Pour les autres, il n'y a mlaheureusement que peu de chance que ce tome vous fasse changer d'avis sur cette série dérivée là. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mages-tome-6-yoni?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Après m'être régalé de la lecture du dernier Tome de Nains tout juuste sorti j'ai enchaîné avec le dernier Orcs et Gobelins. Forcément quand on passe du temps sur les terres d'Arran, on finit quand même par s'y plaire. Alors enchainer avec l'une des plus récentes séries dérivées de l'univers imaginé par Jean Luc Istin, et probablement d'ailleurs l'une de mes préférées, ça ressemble au bonbon de fin de repas, même après un mois de Novembre aux allures de gueuleton de fête de fin d'année. Dur d'y résister. Orcs et Gobelins c'est la série dérivée où les auteurs s'autorisent le plus de choses finalement. Forcément quand les héros sont les méchants habituels, les fans sont moins enclins à la pendaison lorsqu'on profite d'un épisode ou deux pour rendre de beaux hommages à la Pop culture cinématographique. Ainsi on avait eu un épisode aux allures parfois de Ghostbuster, on a évidemment eu l'hommage à Conan et voici désormais le film de Labyrinthe revisité façon Orcs. Vous noterez d'ailleurs que c'est le second scénario signé par M. Peru dont je dis du bien ce mois-ci. Bravo, faire du frais sur des univers aussi revisité c'est toujours louable. Vous l'avez compris, outre un scénario qui m'a beaucoup plu, il faut noter également que la réalisation signée Ma Yi est irréprochable et particulièrement soignée. Au final j'ai une nouvelle fois passé un excellent moment avec cet épisode d'Orcs et Gobelins. Et si le précédent avait été un brin plus fade, force est de constater que la série reste globalement excellente.
  13. Titre de l'album : Orcs et Gobelins - Tome 15 - Lardeur Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Ma Yi Coloriste : Ma Yi Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : S'ils avaient su ce qui les attendait en Terres des Ogres, Lardeur et sa bande de mercenaires ne seraient jamais descendus aussi loin au sud des Terres d'Arran. Mais quand la mort est à vos trousses, et que vous avez déjà tout perdu, que vient le temps d'embrasser la Faucheuse, autant se présenter à elle en véritable cul-vert, le poing serré et la rage au coeur. Critique : Après m'être régalé de la lecture du dernier Tome de Nains tout juuste sorti j'ai enchaîné avec le dernier Orcs et Gobelins. Forcément quand on passe du temps sur les terres d'Arran, on finit quand même par s'y plaire. Alors enchainer avec l'une des plus récentes séries dérivées de l'univers imaginé par Jean Luc Istin, et probablement d'ailleurs l'une de mes préférées, ça ressemble au bonbon de fin de repas, même après un mois de Novembre aux allures de gueuleton de fête de fin d'année. Dur d'y résister. Orcs et Gobelins c'est la série dérivée où les auteurs s'autorisent le plus de choses finalement. Forcément quand les héros sont les méchants habituels, les fans sont moins enclins à la pendaison lorsqu'on profite d'un épisode ou deux pour rendre de beaux hommages à la Pop culture cinématographique. Ainsi on avait eu un épisode aux allures parfois de Ghostbuster, on a évidemment eu l'hommage à Conan et voici désormais le film de Labyrinthe revisité façon Orcs. Vous noterez d'ailleurs que c'est le second scénario signé par M. Peru dont je dis du bien ce mois-ci. Bravo, faire du frais sur des univers aussi revisité c'est toujours louable. Vous l'avez compris, outre un scénario qui m'a beaucoup plu, il faut noter également que la réalisation signée Ma Yi est irréprochable et particulièrement soignée. Au final j'ai une nouvelle fois passé un excellent moment avec cet épisode d'Orcs et Gobelins. Et si le précédent avait été un brin plus fade, force est de constater que la série reste globalement excellente. Autres infos : De la bonne fantasy créative et pleine d'hommages Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orcs-et-gobelins-tome-15-lardeur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Perso je trouve ses planches plus réussies. Là ça me semble un peu figé…
  15. Un de ceux qui font aimer la série pour sur.
  16. Titre de l'album : Nains - Tome 21 - Ulrog de la forge Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Pierre-Denis Goux Coloriste : Julia Pinchuk Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Suite à son refus de servir les intérêts du grand maître de Forge, Ulrog, fils ainé de Redwin, est accusé de trahison. S'il veut sauver sa tête : il doit acquérir une place au conseil de son ordre en remportant le tournoi du meilleur forgeron d'Arran. Pour y parvenir, il a besoin d'un combattant exceptionnel capable de maîtriser son art. Il partira en quête de Jorun, son propre frère. Critique : Et voici qu'approche Novembre et sa désormais traditionnelle fournée d'aventures sur les terres d'Arran. Je ne fais pas vraiment partie de la cohorte de fan absolu de cet univers, mais je reconnais bien volontiers mon plaisir coupable d'y replonger parfois. Evidemment il me manque alors quelques références, mais suivant de relativement près la série tout de même, l'ensemble de l'univers présenté reste impressionnant. Cette fois-ci ce tome 21 de Nains va nous parler des enfants de la légende Redwin et nul doute que les fans vont vraiment apprécier cet épisode. On y retrouve en effet tout ce que j'aime dans cette série : des personnages hauts en couleur, une aventure, de la fantasy et un certain souffle épique. Alors quand en plus le tout est enfin rendu plus nerveux avec un recours plus fréquent aux dialogues qu'aux textes en voix off, on ne peut qu'apprécier. La lecture y est dense, compacte et rythmée comme on l'aime jusque dans les dernières pages, et le tout est rendu passionnant par le trait de plus en plus remarquable de Pierre-Denis Goux. Alors n'hésitez pas, ce tome est issu d'un beau travail de forge ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nains-tome-21-ulrog-de-la-forge?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Et voici qu'approche Novembre et sa désormais traditionnelle fournée d'aventures sur les terres d'Arran. Je ne fais pas vraiment partie de la cohorte de fan absolu de cet univers, mais je reconnais bien volontiers mon plaisir coupable d'y replonger parfois. Evidemment il me manque alors quelques références, mais suivant de relativement près la série tout de même, l'ensemble de l'univers présenté reste impressionnant. Cette fois-ci ce tome 21 de Nains va nous parler des enfants de la légende Redwin et nul doute que les fans vont vraiment apprécier cet épisode. On y retrouve en effet tout ce que j'aime dans cette série : des personnages hauts en couleur, une aventure, de la fantasy et un certain souffle épique. Alors quand en plus le tout est enfin rendu plus nerveux avec un recours plus fréquent aux dialogues qu'aux textes en voix off, on ne peut qu'apprécier. La lecture y est dense, compacte et rythmée comme on l'aime jusque dans les dernières pages, et le tout est rendu passionnant par le trait de plus en plus remarquable de Pierre-Denis Goux. Alors n'hésitez pas, ce tome est issu d'un beau travail de forge !
  18. Titre de l'album : No Zombies - tome 1 - Le livre de Joseph Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Evgeniy Bornyakov Coloriste : Simon Champelovier Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Joseph était un zombie jusqu'à ce que le vaccin le ramène... Mais le goût du sang et l'esprit de la meute n'ont pas disparu en lui ; il est aujourd'hui un No Zombie. Il sillonne les routes pour sauver des zombies, un par un, et de rares survivants à l'agonie. Les No Zombies ne sont qu'une goutte d'eau dans l'océan, ils sont pourtant le dernier espoir du monde. Critique : Tout d'abord je tiens à créditer Benoit Dellac qui a réalisé le Storyboard de ce tome de No Zombies. Notre interface ne nous permettait pas de le faire. A noter aussi la collaboration créditée de J-L Istin pour la création des personnages. Bon vous l'avez compris, vu le nombre et la qualité des auteurs, ce no zombies n'est pas une petite production pour les éditions soleil. Il faut bien reconnaitre que même si l'on pense toujours avoir tout lu quand on parle de zombies, le scénario ici se révèle bon ET original. Je me suis régalé à découvrir cette histoire finalement presque évidente une fois lue. Bref, c'est bon côté histoire et ça se lit très très bien. Le traitement graphique est lui très propre, presque trop puisque je regretterais un peu le manque de caractère du trait. On sent que ce dessinateur est capable de bien mieux mais qu'il est peut être un peu trop contraint par le cadre qui semble règner au sein des productions soleil. Reste que l'ensemble est plutôt joli et propre, et que finalement on n'en demandait presque pas tant. Pour les amateurs de Zombies, il sera difficile de passer à côté de ce No Zombies Autres infos : Zombies, zombies, zombies... mais pas que :) Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-zombies-tome-1-le-livre-de-joseph?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Tout d'abord je tiens à créditer Benoit Dellac qui a réalisé le Storyboard de ce tome de No Zombies. Notre interface ne nous permettait pas de le faire. A noter aussi la collaboration créditée de J-L Istin pour la création des personnages. Bon vous l'avez compris, vu le nombre et la qualité des auteurs, ce no zombies n'est pas une petite production pour les éditions soleil. Il faut bien reconnaitre que même si l'on pense toujours avoir tout lu quand on parle de zombies, le scénario ici se révèle bon ET original. Je me suis régalé à découvrir cette histoire finalement presque évidente une fois lue. Bref, c'est bon côté histoire et ça se lit très très bien. Le traitement graphique est lui très propre, presque trop puisque je regretterais un peu le manque de caractère du trait. On sent que ce dessinateur est capable de bien mieux mais qu'il est peut être un peu trop contraint par le cadre qui semble règner au sein des productions soleil. Reste que l'ensemble est plutôt joli et propre, et que finalement on n'en demandait presque pas tant. Pour les amateurs de Zombies, il sera difficile de passer à côté de ce No Zombies
  20. Ferry au scénario dans ce registre c'est quand même souvent bien bien...
  21. Titre de l'album : Lonesome - Tome 3 - Les liens du Sang Scenariste de l'album : Yves Swolfs Dessinateur de l'album : Yves Swolfs Coloriste : Julie Swolfs Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le chemin de la vengeance a mené notre pistolero solitaire jusqu'à New York, sur la piste de l'homme qui a semé le chaos dans sa vie et au Kansas : le sénateur Dawson. L'homme n'est pas facile à approcher, et les ruffians de la grande ville se révèlent plus coriaces que ceux des plaines. Le héros anonyme peut-il compter sur l'aide de Miss Lyle, cette mystérieuse enquêtrice qu'il ne cesse de recroiser ? Une seule chose est certaine : cette fois-ci, aucune vision ne pourra le préparer aux révélations qui l'attendent. Critique : Après un tome 1 que j'avais trouvé un brin poussif, le tome 2 m'avait un poil réconcilié avec la nouvelle série Western de Swolfs, aussi j'attendais ce tome 3 avec un brin de curiosité. Bien m'en a pris, car, même si l'on reste assez loin de ses meilleurs Durango en terme d'intensité et de virtuosité de mise en scène de l'action, ce tome 3 de Lonesome a le mérite de nous présenter un décor peu souvent vu en BD : le new york des années Western et le décalage entre la vie sur les grandes villes de la côte et le Far West. Ce décor original en Western est en plus servi par les graphismes assez irréprochables de Swolfs, bien aidé par la mise en couleur réussie de sa fille Julie. Au niveau de l'histoire, le rythme reste soutenu, et même si j'ai trouvé notre héros un peu passif pendant une bonne partie de l'histoire, le tout forme une intrigue qui donne envie de lire la suite. Gageons que Swolfs va réussir à faire cohabiter son penchant pour le fantastique et son penchant pour le Western dans cette série. Alors finalement si comme moi vous êtes (toujours?) en manque de Western, n'hésitez pas, ce Lonesome est plutôt savoureux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lonesome-tome-3-les-liens-du-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Après un tome 1 que j'avais trouvé un brin poussif, le tome 2 m'avait un poil réconcilié avec la nouvelle série Western de Swolfs, aussi j'attendais ce tome 3 avec un brin de curiosité. Bien m'en a pris, car, même si l'on reste assez loin de ses meilleurs Durango en terme d'intensité et de virtuosité de mise en scène de l'action, ce tome 3 de Lonesome a le mérite de nous présenter un décor peu souvent vu en BD : le new york des années Western et le décalage entre la vie sur les grandes villes de la côte et le Far West. Ce décor original en Western est en plus servi par les graphismes assez irréprochables de Swolfs, bien aidé par la mise en couleur réussie de sa fille Julie. Au niveau de l'histoire, le rythme reste soutenu, et même si j'ai trouvé notre héros un peu passif pendant une bonne partie de l'histoire, le tout forme une intrigue qui donne envie de lire la suite. Gageons que Swolfs va réussir à faire cohabiter son penchant pour le fantastique et son penchant pour le Western dans cette série. Alors finalement si comme moi vous êtes (toujours?) en manque de Western, n'hésitez pas, ce Lonesome est plutôt savoureux.
  23. The_PoP

    Goldorak

    Pas ma génération, et pourtant, comme Pos', je salue la BD de "Maîtres" !
  24. Pas de très grosse originalité mais des personnages qui fonctionnent mieux et une bonne aventure 🙂
  25. Vraiment si on se détache du passif de M Lauffray avec Long John, on ne peut qu'apprécier cette superbe aventure hommage. Perso, d'avoir relu les deux d'affilée je me suis régalé. C'est très très proche du niveau d'un Jim hawkins sur ce second tome. Ce qui est rigolo c'est que l'auteur semble avoir bien digéré les réserves émises sur son premier tome.
×
×
  • Créer...