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  1. Titre de l'album : Les nouvelles aventures de lucky luke t9 : un cowboy dans le coton Scenariste de l'album : Jul Dessinateur de l'album : Achdé Coloriste : Achdé Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Lucky Luke se retrouve bien malgré lui propriétaire d'une immense plantation de coton en Louisiane. Accueilli par les grands planteurs blancs comme l'un des leurs, Lucky Luke va devoir se battre pour redistribuer cet héritage aux fermiers noirs. Le héros du far-west réussira-t-il à rétablir la justice dans les terrains mouvants des marais de Louisiane ? Dans cette lutte, il sera contre toute attente épaulé par les Dalton venus pour l'éliminer, par les Cajuns du bayou, ces blancs laissés-pour-compte de la prospérité du Sud, et par Bass Reeves, premier marshall noir des Etats-Unis. Critique : C'est fou le plaisir que j'ai pris à lire ce Lucky Luke. Il faut dire que comme beaucoup j'avais rangé cette série dans la case "souvenir d'enfance" et avait pris ce tome pour mes enfants plus que pour moi. Le l'ai lu par acquis de conscience et pour vous en faire un retour. Et au final j'ai vraiment aimé. Le scénario de Jul est tout d'abord très sympa avec cette "découverte" du sud des états unis par Luke. Un univers que, on l'oublie souvent, a en effet côtoyé celui des cowboys. Le faste des grandes maisons des cotonniers du Sud tranche avec les Saloon et Jul se sert de cette dichotomie à merveille. Cela lui permet de nous livrer un Lucky Luke outré par le comportement des blancs du sud. Pour ne pas tomber dans la critique pure et simple et rester dans le divertissement, il nous amène..... Nos potes les Daltons bien sûr! Daltons toujours aussi bête mais toujours aussi drôle avec des moments d'anthologie dans le Bayou ou encore quand ils confondent le rassemblement du KKK avec un groupe d'indien. Bref une excellente surprise pour moi et un tome qui ravira, je l'espère, mes enfants !!! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-aventures-de-lucky-luke-d-apres-morris-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. VladNirky

    Le culte de Mars

    Avant tout , je dois rendre à César ce qui est à César, Mobidic est une autrice et non pas un auteur comme j'ai pu le dire ailleurs. Une erreur impardonnable, surtout dans ce milieu de la bd plutôt masculin . Elle m'avait donc surpris et assez accroché sur Le roi ours , un joli conte ; et bien elle met la barre encore plus haute avec ce récit post-apocalyptique sans en être un véritablement. On constate les restes de notre ancienne civilisation, parsemés dans des cases somptueuses, mais le plus important est bien l'étude de ce "nouveau" monde. En effet les plus riches sont partis sur Mars et ont laissé le reste des habitants sur Terre. Des siècles ont passé et toute notre culture, notamment religieuse s'est effondrée. Ici, point de dieux d'une quelconque religion, les "idoles" du peuple sont bel et bien ces terriens partis sur Mars, et bien-sûr la planète rouge elle même. Cette nouvelle société a par ailleurs fait l'objet d'un profond recul technologique comme on a pu le voir suite à des effondrements de civilisations dans le passé (amis du collapse bonjour). On sent derrière toute cette création une profonde réflexion de Mobidic, qui rend ce cadre "terrien" particulièrement plausible. Dans ce nouveau monde aux accents mayas parfois, va évoluer Hermès notre héro, un des rares qui sait lire et surtout, porteur d'un secret inimaginable. Nous l'accompagnons jusqu'à ce dénouement plus ou moins tragique, selon les points de vue 🙂 . Vous l'avez compris , le scénario est à la hauteur. On est pas dans Mad Max ou un autre récit post-apo. Ici , il y a plus de profondeur et moins d'action. Le dessin est là aussi, dans la lignée de son précèdent opus, de toute beauté. Les couleurs des forêts nous immergent totalement. Delcourt tient avec elle, à l'instar de Joor et son Kanopé, une nouvelle génération d'auteurs de grand talent. J'ai déjà hâte de découvrir son prochain album. Espérons que le confinement l'ait inspiré et dégagé du temps pour une future création. Merci Mobidic et chapeau l'artiste !!! Kevin Nivek
  3. Titre de l'album : Le culte de Mars Scenariste de l'album : Mobidic Dessinateur de l'album : Mobidic Editeur de l'album : Delcourt Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/5.0.png Résumé de l'album : Les ressources de la Terre sont épuisées. Les plus riches sont partis pour Mars, les plus démunis attendent désespérément qu'on vienne les chercher. Ses survivants ont sombré dans l'obscurantisme. Au beau milieu de ce gâchis, Hermès, tente de consigner tous les anciens savoirs pour les rassembler dans une encyclopédie afin de les partager et aider l'humanité à aller de l'avant, à renaître de ses cendres. Critique : Avant tout , je dois rendre à César ce qui est à César, Mobidic est une autrice et non pas un auteur comme j'ai pu le dire ailleurs. Une erreur impardonnable, surtout dans ce milieu de la bd plutôt masculin . Elle m'avait donc surpris et assez accroché sur Le roi ours , un joli conte ; et bien elle met la barre encore plus haute avec ce récit post-apocalyptique sans en être un véritablement. On constate les restes de notre ancienne civilisation, parsemés dans des cases somptueuses, mais le plus important est bien l'étude de ce "nouveau" monde. En effet les plus riches sont partis sur Mars et ont laissé le reste des habitants sur Terre. Des siècles ont passé et toute notre culture, notamment religieuse s'est effondrée. Ici, point de dieux d'une quelconque religion, les "idoles" du peuple sont bel et bien ces terriens partis sur Mars, et bien-sûr la planète rouge elle même. Cette nouvelle société a par ailleurs fait l'objet d'un profond recul technologique comme on a pu le voir suite à des effondrements de civilisations dans le passé (amis du collapse bonjour). On sent derrière toute cette création une profonde réflexion de Mobidic, qui rend ce cadre "terrien" particulièrement plausible. Dans ce nouveau monde aux accents mayas parfois, va évoluer Hermès notre héro, un des rares qui sait lire et surtout, porteur d'un secret inimaginable. Nous l'accompagnons jusqu'à ce dénouement plus ou moins tragique, selon les points de vue 🙂 . Vous l'avez compris , le scénario est à la hauteur. On est pas dans Mad Max ou un autre récit post-apo. Ici , il y a plus de profondeur et moins d'action. Le dessin est là aussi, dans la lignée de son précèdent opus, de toute beauté. Les couleurs des forêts nous immergent totalement. Delcourt tient avec elle, à l'instar de Joor et son Kanopé, une nouvelle génération d'auteurs de grand talent. J'ai déjà hâte de découvrir son prochain album. Espérons que le confinement l'ait inspiré et dégagé du temps pour une future création. Merci Mobidic et chapeau l'artiste !!! Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-culte-de-mars/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Studio Danse t12

    Apres deux tomes très sympa de studio danse, on a in peu l'impression que Beka a manqué d'inspiration sur celui-ci. Sans fil rouge sur l'album, Beka essaye de nous accrocher avec un point de vu des adultes sur la danse des enfants. Que ce soit les profs ou les parents. Mais c'est vraiment trop caricatural sur ce coup-là. Ca fait sourire les parents mais laisse un peu de côté les enfants... Bref un album qui est globalement le cul entre deux chaises. Mieux vaut rester concentrer sur les enfants avec un léger fil rouge.
  5. Titre de l'album : Studio Danse t12 Scenariste de l'album : Beka Dessinateur de l'album : Crip Coloriste : Crip Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Quand le coeur mène la danse... Julie, Alia et Luce adorent le classique et le moderne. Mais elles aiment aussi aller voir du côté de la salle de hip-hop, s'essayer à la comédie musicale ou tenter le flamenco. Ce qui est sûr, c'est que ces trois copines sont totalement fondues de danse. Les trois amies trouvent dans le Studio Danse comme une seconde maison où partager leur passion. Leurs familles sont forcément aussi de la partie, car l'amour de la danse ne s'arrête pas à la sortie des cours ! Heureusement, comprises et entourées, elles sont encouragées dans leur don... Rien de mieux que Studio Danse pour s'immerger dans le monde des danseuses, entre amitiés, amour de l'art et rivalités. Critique : Apres deux tomes très sympa de studio danse, on a in peu l'impression que Beka a manqué d'inspiration sur celui-ci. Sans fil rouge sur l'album, Beka essaye de nous accrocher avec un point de vu des adultes sur la danse des enfants. Que ce soit les profs ou les parents. Mais c'est vraiment trop caricatural sur ce coup-là. Ca fait sourire les parents mais laisse un peu de côté les enfants... Bref un album qui est globalement le cul entre deux chaises. Mieux vaut rester concentrer sur les enfants avec un léger fil rouge. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/studio-danse-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Un nouveau cycle démarre avec ce treizième tome du scorpion qui est prévu en deux tomes. Enrico Marini ne dessine plus cette série en laissant sa place à Luigi Critone, un dessinateur habitué aux histoires d'époques comme Je, François Villon. L'auteur gère à merveilles la reprise de l'univers de Marini, on pourra noter quelques différences pour les visages du Scorpion ou de Méjaï dont on connait les traits depuis longtemps. Mais ces petits détails s'estompent très vite à la lecture de cet épisode qui nous emmène en orient. De plus, les planches de l'auteur sont très détaillées. Stephen Desberg imagine une fois de plus des aventures mouvementés pour son héros qui part à la recherche de son enfant. Le scénariste nous laisse pas de répit avec une course au trésor et de nouveaux personnages mystérieux. Enrico Marini devrait encore dessiner des one shot sur des personnages emblématiques de la série, pour lui laisser le temps de poursuivre les aigles de Rome ou les Batman dernièrement. Tous les ingrédients qui ont fait le succès de la série sont réunis même si on perd en originalité avec chaque nouveau tome. Il est toujours plaisant de lire les aventures du Scorpion.
  7. Titre de l'album : Le scorpion tome 13 - Tamose l'égyptien Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Luigi Critone Coloriste : Luigi Critone Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À Kraków, Ivrahim Golam, surnommé le cosaque juif, cherche à préserver l'identité d'un homme dont le nom doit disparaître à jamais. À Istanbul, Armando Catalano, alias le Scorpion, a retrouvé la trace de Méjaï, la gitane. Il veut savoir ce qu'est devenu leur enfant. Mais la gitane est experte dans le maniement des poisons et elle n'hésite pas à s'en servir contre le Scorpion, qui perd connaissance. Quand il reprend conscience, il apprend qu'il est accusé d'assassinat. Livré à la cour du sultan, il est sauvé par un eunuque qui le conduit jusqu'à sa maîtresse. Une femme mystérieuse, surnommée la Sabbatéenne, dont le visage est orné de signes sombres et secrets. Celle-ci lui demande de déchiffrer le nom d'un homme, gravé sur des stèles égyptiennes. En contrepartie, elle l'aidera à retrouver la trace de Méjaï. Au Caire, les routes de Méjaï et du Scorpion se croisent de nouveau. Mais si elle lui révèle la vérité à propos de leur enfant, elle lui interdit de chercher à le voir. Elle menace même de tuer le Scorpion s'il s'en approche... Critique : Un nouveau cycle démarre avec ce treizième tome du scorpion qui est prévu en deux tomes. Enrico Marini ne dessine plus cette série en laissant sa place à Luigi Critone, un dessinateur habitué aux histoires d'époques comme Je, François Villon. L'auteur gère à merveilles la reprise de l'univers de Marini, on pourra noter quelques différences pour les visages du Scorpion ou de Méjaï dont on connait les traits depuis longtemps. Mais ces petits détails s'estompent très vite à la lecture de cet épisode qui nous emmène en orient. De plus, les planches de l'auteur sont très détaillées. Stephen Desberg imagine une fois de plus des aventures mouvementés pour son héros qui part à la recherche de son enfant. Le scénariste nous laisse pas de répit avec une course au trésor et de nouveaux personnages mystérieux. Enrico Marini devrait encore dessiner des one shot sur des personnages emblématiques de la série, pour lui laisser le temps de poursuivre les aigles de Rome ou les Batman dernièrement. Tous les ingrédients qui ont fait le succès de la série sont réunis même si on perd en originalité avec chaque nouveau tome. Il est toujours plaisant de lire les aventures du Scorpion. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-scorpion-tome-13-tamose-l-egyptien?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Je ne sais trop quoi pensez de ce tome de Blake et Mortimer. Déjà une partie de moi à un réflexe Asterixien qui dit que les Et n'ont pas grand-chose à faire dans Blake et Mortimer. L’autre côté se dit qu'au final ce n'est pas si aberrant que cela au vus des aventures passées de nos deux compères. Sur ce point je vous laisserais juger. Surtout que l'histoire est bien ficelée et très "Blake et Mortimer" avec une surdose de British avec la reine elle-même très présente. Les dessins sont magnifiques avec des vues de Londres vraiment superbes. Au final ce qui me dérange presque le plus c'est la tournure globale de la série depuis quelques tomes. En effet je ne me souviens que les histoires de Jacobs obligent les lecteurs à avoir une connaissance des albums passées. Je me souviens des albums de Jacobs comme des histoires en 2 ou 3 tomes mais indépendantes les unes des autres. Ce qui faisait leurs charmes. On pouvait lire les 3 formules du professeur Sato sans forcément avoir lu les précédents et sans être vraiment dérangé. La..... Et bien je trouve que ce n'est plus le cas. La volonté de toujours ressortir Olric et le fait de toujours tout ramener à la grande pyramide oblige le lecteur à être au moins au courant de tous les tomes qui traites de ce sujet-là. Certains aimeront surement cette continuité. Moi je trouve que ce n'est pas forcément dans l’esprit et je trouve que forcer Olric à être en permanence le gentil/méchant n'est pas vraiment dans l'esprit. Je vous laisse juge et vous encourage à venir nous donner votre point de vue !
  9. Titre de l'album : Blake et mortimer t27 : Le cri de Moloch Scenariste de l'album : Jean Dufaux Dessinateur de l'album : Christian Cailleaux / Étienne Schréder Coloriste : Christian Cailleaux / Étienne Schréder Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Dans L'Onde Septimus, la menace d'un engin extraterrestre, baptisé Orpheus, avait été déjouée grâce au sacrifice d'Olrik. Depuis, le " colonel " vit reclus dans un asile psychiatrique. Tandis que Philip Mortimer tente de ramener à la raison son vieil adversaire, en usant de la célèbre formule du sheik Abdel Razek (" Par Horus, demeure ! "), il apprend qu'il existe un autre Orpheus. A bord d'un cargo transformé en laboratoire secret, Mortimer découvre cette l'étrange pilote de cette machine venue d'ailleurs : un alien à forme humaine, sombre et hiératique, auquel les scientifiques ont donné le nom de " Moloch ", la divinité biblique. Mais les réactions de ce Moloch, et les hiéroglyphes qu'il laisse derrière lui comme autant de messages indéchiffrables, font craindre le pire. Cette fois encore, la capitale britannique est en danger. A moins qu'Olrik ne joue de nouveau les héros...Avec L'Onde Septimus 2, Jean Dufaux conjugue science-fiction, aventure et folie en un bel hommage à l'oeuvre de Jacobs, relayé par le trait évocateur et précis du travail à quatre mains de Christian Cailleaux et Etienne Schréder, qui mettent en scène un Londres éternel digne de La Marque Jaune. Critique : Je ne sais trop quoi pensez de ce tome de Blake et Mortimer. Déjà une partie de moi à un réflexe Asterixien qui dit que les Et n'ont pas grand-chose à faire dans Blake et Mortimer. L’autre côté se dit qu'au final ce n'est pas si aberrant que cela au vus des aventures passées de nos deux compères. Sur ce point je vous laisserais juger. Surtout que l'histoire est bien ficelée et très "Blake et Mortimer" avec une surdose de British avec la reine elle-même très présente. Les dessins sont magnifiques avec des vues de Londres vraiment superbes. Au final ce qui me dérange presque le plus c'est la tournure globale de la série depuis quelques tomes. En effet je ne me souviens que les histoires de Jacobs obligent les lecteurs à avoir une connaissance des albums passées. Je me souviens des albums de Jacobs comme des histoires en 2 ou 3 tomes mais indépendantes les unes des autres. Ce qui faisait leurs charmes. On pouvait lire les 3 formules du professeur Sato sans forcément avoir lu les précédents et sans être vraiment dérangé. La..... Et bien je trouve que ce n'est plus le cas. La volonté de toujours ressortir Olric et le fait de toujours tout ramener à la grande pyramide oblige le lecteur à être au moins au courant de tous les tomes qui traites de ce sujet-là. Certains aimeront surement cette continuité. Moi je trouve que ce n'est pas forcément dans l’esprit et je trouve que forcer Olric à être en permanence le gentil/méchant n'est pas vraiment dans l'esprit. Je vous laisse juge et vous encourage à venir nous donner votre point de vue ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blake-mortimer-tome-27-le-cri-du-moloch?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    La mort à des lunettes

    C'est avec une profonde tristesse que j'ai ouvert ce tome "posthume" de Tome. En effet cet album sort un an après la mort d'un des grands monsieurs de la BD européenee. Et ce qui est une bonne chose c'est que cet album est bon. Très bon meme au niveau du scénario. Tome nous a livré la une dernière cartouche qui fait mouche. Ce road trip entre un noir musluman et un voeux juif ayant vecu la deuxième guerre mondiale est une vraie réussite. Une vraie réussite car Tome ne s'est pas contenté de ce road trip. En effet il nous a concoté une vraie histoire derrière ce road trip. Une histoire sur l'instrumentalisation d'une personne. Une histoire ou l'on ne sait pas vraiment qui se sert de qui. Une histoire magistralement pensée qui vous donnera envie de la relire pour comprendre comment le début est impacté par la fin. Bien illustré par Gérard Goffaux et dans un bel écrin realisé par les éditions Kennes , cet album, disponible en deux couvertures est un très bel au revoir de la part de Monsieur Tome. Reposez vous bien monsieur Tome, vous l'avez bien méritez.
  11. Titre de l'album : La mort à des lunettes Scenariste de l'album : Tome Dessinateur de l'album : Gérard Goffaux Coloriste : Gérard Goffaux Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : U.S.A, East Harlem, New York. Novembre 2005. Malcom « Malek » Brown est noir, pauvre et musulman. Sorti de prison, il survit dans une Amérique hostile aux musulmans après avoir été hostile aux « nègres ». Alexander Birke a connu la Shoah, il est vieux et passionné d'échecs. Ces deux hommes que tout sépare vont pourtant se rencontrer dans une chapelle de Harlem, où le premier est technicien de surface et le second amateur de Gospel. Critique : C'est avec une profonde tristesse que j'ai ouvert ce tome "posthume" de Tome. En effet cet album sort un an après la mort d'un des grands monsieurs de la BD européenee. Et ce qui est une bonne chose c'est que cet album est bon. Très bon meme au niveau du scénario. Tome nous a livré la une dernière cartouche qui fait mouche. Ce road trip entre un noir musluman et un voeux juif ayant vecu la deuxième guerre mondiale est une vraie réussite. Une vraie réussite car Tome ne s'est pas contenté de ce road trip. En effet il nous a concoté une vraie histoire derrière ce road trip. Une histoire sur l'instrumentalisation d'une personne. Une histoire ou l'on ne sait pas vraiment qui se sert de qui. Une histoire magistralement pensée qui vous donnera envie de la relire pour comprendre comment le début est impacté par la fin. Bien illustré par Gérard Goffaux et dans un bel écrin realisé par les éditions Kennes , cet album, disponible en deux couvertures est un très bel au revoir de la part de Monsieur Tome. Reposez vous bien monsieur Tome, vous l'avez bien méritez. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-mort-a-lunettes-edition-limitee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Le loup en slip t6

    Ça risque de vous paraître bizarre mais... j'ai plus apprécié la lecture de ce tome 6 du Loup en slip que de son pendant des vieux fourneaux. Je trouve que ce loup en slip laisse encore énormément de libertés à Lupano. C'est plein de second degré, plein de clin d’œil, un peu de morale (mais pas trop), plein de bonne humeur. Chaque grande planche recèle de petits dessins et de petites blagues qui font que l'on s'amuse à chercher. Cette fois ce sont les références au merchandising et aux publicités avec le slip du loup honteusement copié... par le même, toujours ! Le vile mangeur et vendeur de noisettes. Bref on s'amuse, on rigole et on a en bonus deux planches des vieux fourneaux qui sont peut-être les deux plus amusantes lues depuis un petit moment.... Bref : encore du loup en slip s'il vous plait !
  13. Titre de l'album : Le loup en slip t6 Scenariste de l'album : Wilfrid Lupano Dessinateur de l'album : Mayana Itoïz / Paul Cauuet Coloriste : Mayana Itoïz / Paul Cauuet Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le Loup a le moral au fond du slip. De retour de vacances, il constate que la mode est au slip Dulou®. Partout dans la forêt, on arbore fièrement son slip qu'il aime tant. Le Loup se sent lésé : normalement, il est le seul à le porter. Mais là, avec ces slips à rayures qui fleurissent dans la nature... il a l'impression d'avoir perdu son identité. C'est décidé, on ne l'y prendra plus ! Le Loup se débarrasse du slip : plutôt se les geler que de porter ce slip rayé. Mais le Loup sans slip... est-il encore le Loup ? Et que devient le slip du Loup... sans Loup ? Sous couvert de la mode du slip, Wilfrid Lupano et Mayana Itoïz abordent avec maestria les dérives de la société de consommation, le sentiment d'appartenance et le développement de la personnalité. Une aventure jubilatoire et raisonnée, pour les petits et leurs aînés. Critique : Ça risque de vous paraître bizarre mais... j'ai plus apprécié la lecture de ce tome 6 du Loup en slip que de son pendant des vieux fourneaux. Je trouve que ce loup en slip laisse encore énormément de libertés à Lupano. C'est plein de second degré, plein de clin d’œil, un peu de morale (mais pas trop), plein de bonne humeur. Chaque grande planche recèle de petits dessins et de petites blagues qui font que l'on s'amuse à chercher. Cette fois ce sont les références au merchandising et aux publicités avec le slip du loup honteusement copié... par le même, toujours ! Le vile mangeur et vendeur de noisettes. Bref on s'amuse, on rigole et on a en bonus deux planches des vieux fourneaux qui sont peut-être les deux plus amusantes lues depuis un petit moment.... Bref : encore du loup en slip s'il vous plait ! Autres infos : Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-loup-en-slip-tome-5-le-loup-en-slip-passe-un-froc?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Bon, à titre personnel, j'ai du mal avec les dessins de David B. Et le 1er contact, ce sont les dessins. L'album ne fera pas exception, même s'ils sont au final très adaptés à l'histoire. Ils sont surtout constitués des personnages (pour la plupart mort du coup), et de quelques décors. Sur la majeure partie de l'album, il n'y a pas de décor. C'est difficile à lire dans un premier temps. Par contre on y trouvera aussi des doubles planches formant une fresque de grande envergure, et particulièrement réussie et coloré. C'est, à mon souvenir, unique dans la série. Et même si le début de lecture est compliqué... Mais pourquoi je lis ? Ça n'a rien à voir avec un Donjon non ? Ca va être long ? J'en suis à quelle page ? C'est loin l’Amérique ?.... et pourtant... Soudain, au bout de quelques pages... L'intérêt saute aux yeux. Une petite lumière s'allume et on a soudain très envie de lire l'album, d'une traite. A grande vitesse. Pour voir ce qui va en découler et où les auteurs nous emmènent. Dès qu'on réalise ça... Le pari des auteurs est gagné. Très souvent (chez moi au moins), l'intérêt du scénario prend le dessus (quand il est réussi bien sûr) sur le dessin, et sur ce point, ce n'est pas négociable: le scénario est en béton, et en contre coup... le dessin adapté. A se demander si le scénario n'a d'ailleurs pas complètement été fait sur mesure pour le dessinateur. N'ayant pas cette information, je vais m'autoriser à penser que c'est bien le cas. L'histoire se révèle excellente. Bien ficelé. Jouant sur plusieurs tableaux. L'album est au niveau 79, donc en fin de Zénith, mais pas encore dans le Crépuscule qu'on connaît. Il va combler quelques vides importants dans la fresque globale de l'histoire du Donjon et de Terra Amata, et il serait difficile d'en parler plus sans spoiler, donc je vais m'abstenir mais c'est une des périodes cruciales. La transition entre le Zénith et le Crépuscule. Le deuil d'une époque de lumière pour aller vers les ténèbres non ? Et sincèrement, un album manquait à ce carrefour. Ensuite l'album, dans sa construction est complètement original. On découvre des personnages presque inconnus au départ, au bout de quelques cases on recolle les bouts comme les personnages recollent les morceaux et à partir de là on est embarqué dans l'histoire. Dès qu'on commence à réaliser ou l'on va, de qui on parle, de ce qui va se passer... On est pieds et poings liés jusqu'à la dernière case. Et on s'en rend compte petit à petit, et la lecture défile à tout allure. Ce mécanisme est vraiment un des points forts également. L’album arrivera également à tirer quelques larmes du lecteur attaché à Donjon car les évènements d'ici implique, certes, des évènements qu'on connaissaient, mais, il met surtout le doigt dessus. Avec émotion. L'émotion survient quand on s'en rend compte (et sur la fin également). Car ce sont des personnages fondateurs du Donjon que l'on recroise ici. On peut même se dire que le Donjon Zénith 8, en sa mémoire, paru en même temps, fait par son titre au moins, écho, en quelque sorte, à celui ci (dans ce Donjon, je ne crois plus au hasard). Donc.... C'est très réussi et ça fonctionne totalement. Malgré toutes ses années, et ses 41 tomes principaux (au moment au j'écris ces lignes) le Donjon révèle à nouveau un tome original, très bien réalisé, avec une construction atypique que je trouve particulièrement brillante. A ne pas louper. Même si vous n'appréciez pas le style des dessins aux premiers abords, ce serait dommage de ce privé d'un bijou Donjonesque. PS: du coup il manque, au lecteur que je suis, un autre épisode important quelques tomes en amont de celui ci. Une fois l'album lu vous verrez très bien à quoi je fais allusion... Mais je pense qu'on l'aura dans quelques temps. 🙂
  15. Titre de l'album : Donjon monsters tome 13 - Réveille-toi et meurs Scenariste de l'album : Lewis Trondheim / Joann Sfar Dessinateur de l'album : David B. Coloriste : Walter Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le Gardien se réveille sous terre, cadavre parmi les cadavres, au côté de l'amour de sa vie, Alexandra. Il est maître de ses pensées mais pas de ses mouvements ni de sa mémoire, qui semble lui faire défaut. Où sont-ils ? Pourquoi une voix qui ressemble étrangement à celle de Marvin les obligent à la suivre ? Et pourquoi doivent-ils attaquer Herbert ? Critique : Bon, à titre personnel, j'ai du mal avec les dessins de David B. Et le 1er contact, ce sont les dessins. L'album ne fera pas exception, même s'ils sont au final très adaptés à l'histoire. Ils sont surtout constitués des personnages (pour la plupart mort du coup), et de quelques décors. Sur la majeure partie de l'album, il n'y a pas de décor. C'est difficile à lire dans un premier temps. Par contre on y trouvera aussi des doubles planches formant une fresque de grande envergure, et particulièrement réussie et coloré. C'est, à mon souvenir, unique dans la série. Et même si le début de lecture est compliqué... Mais pourquoi je lis ? Ça n'a rien à voir avec un Donjon non ? Ca va être long ? J'en suis à quelle page ? C'est loin l’Amérique ?.... et pourtant... Soudain, au bout de quelques pages... L'intérêt saute aux yeux. Une petite lumière s'allume et on a soudain très envie de lire l'album, d'une traite. A grande vitesse. Pour voir ce qui va en découler et où les auteurs nous emmènent. Dès qu'on réalise ça... Le pari des auteurs est gagné. Très souvent (chez moi au moins), l'intérêt du scénario prend le dessus (quand il est réussi bien sûr) sur le dessin, et sur ce point, ce n'est pas négociable: le scénario est en béton, et en contre coup... le dessin adapté. A se demander si le scénario n'a d'ailleurs pas complètement été fait sur mesure pour le dessinateur. N'ayant pas cette information, je vais m'autoriser à penser que c'est bien le cas. L'histoire se révèle excellente. Bien ficelé. Jouant sur plusieurs tableaux. L'album est au niveau 79, donc en fin de Zénith, mais pas encore dans le Crépuscule qu'on connaît. Il va combler quelques vides importants dans la fresque globale de l'histoire du Donjon et de Terra Amata, et il serait difficile d'en parler plus sans spoiler, donc je vais m'abstenir mais c'est une des périodes cruciales. La transition entre le Zénith et le Crépuscule. Le deuil d'une époque de lumière pour aller vers les ténèbres non ? Et sincèrement, un album manquait à ce carrefour. Ensuite l'album, dans sa construction est complètement original. On découvre des personnages presque inconnus au départ, au bout de quelques cases on recolle les bouts comme les personnages recollent les morceaux et à partir de là on est embarqué dans l'histoire. Dès qu'on commence à réaliser ou l'on va, de qui on parle, de ce qui va se passer... On est pieds et poings liés jusqu'à la dernière case. Et on s'en rend compte petit à petit, et la lecture défile à tout allure. Ce mécanisme est vraiment un des points forts également. L’album arrivera également à tirer quelques larmes du lecteur attaché à Donjon car les évènements d'ici implique, certes, des évènements qu'on connaissaient, mais, il met surtout le doigt dessus. Avec émotion. L'émotion survient quand on s'en rend compte (et sur la fin également). Car ce sont des personnages fondateurs du Donjon que l'on recroise ici. On peut même se dire que le Donjon Zénith 8, en sa mémoire, paru en même temps, fait par son titre au moins, écho, en quelque sorte, à celui ci (dans ce Donjon, je ne crois plus au hasard). Donc.... C'est très réussi et ça fonctionne totalement. Malgré toutes ses années, et ses 41 tomes principaux (au moment au j'écris ces lignes) le Donjon révèle à nouveau un tome original, très bien réalisé, avec une construction atypique que je trouve particulièrement brillante. A ne pas louper. Même si vous n'appréciez pas le style des dessins aux premiers abords, ce serait dommage de ce privé d'un bijou Donjonesque. PS: du coup il manque, au lecteur que je suis, un autre épisode important quelques tomes en amont de celui ci. Une fois l'album lu vous verrez très bien à quoi je fais allusion... Mais je pense qu'on l'aura dans quelques temps. 🙂 Autres infos : Vlad admiratif et surpris. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/donjon-monsters-tome-13-reveille-toi-et-meurs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Tango tome 5 - Le dernier condor

    Je m'attendais à retrouver une intrigue plus poussée avec l'intervention des agents de la DEA lors du tome précédent mais Matz préfère la simplicité pour cette série. Le scénario est bien construit même si les facilités scénaristiques se font ressentir, voir trop ressentir pour ce cinquième tome. Peut-être que les auteurs enchaînent trop rapidement les albums puisqu'en un peu plus d'un an, on a eu droit à trois tomes de Tango. Après l'histoire reste plaisante à lire et les deux personnages sont charismatiques dans leurs aventures improbables. Cette fois ci Tango n’est pas le principal responsable des problèmes qu’ils vont devoir régler. En effet, le passé d’inspecteur de police de Mario le rattrape avec un truand qui veut se venger de lui. Les dessins de Philippe Xavier sont parfaits comme sur les autres tomes, le dessinateur gère très bien les ambiances et la mise en scène. Le dernier condor est une agréable lecture mais l'histoire risque de s'essouffler si l'histoire ne gagne pas en profondeur par la suite.
  17. Titre de l'album : Tango tome 5 - Le dernier condor Scenariste de l'album : Matz Dessinateur de l'album : Philippe Xavier Coloriste : Julien Maffre Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Tango et Mario se sont installés en Argentine où ils coulent des jours paisibles. Mais cette fois c'est le passé de flic de Mario qui refait surface. Il est enlevé par d'anciens criminels de guerre résolus à se venger. Tango le sait, il n'a que quelques heures devant lui pour retrouver son ami... Critique : Je m'attendais à retrouver une intrigue plus poussée avec l'intervention des agents de la DEA lors du tome précédent mais Matz préfère la simplicité pour cette série. Le scénario est bien construit même si les facilités scénaristiques se font ressentir, voir trop ressentir pour ce cinquième tome. Peut-être que les auteurs enchaînent trop rapidement les albums puisqu'en un peu plus d'un an, on a eu droit à trois tomes de Tango. Après l'histoire reste plaisante à lire et les deux personnages sont charismatiques dans leurs aventures improbables. Cette fois ci Tango n’est pas le principal responsable des problèmes qu’ils vont devoir régler. En effet, le passé d’inspecteur de police de Mario le rattrape avec un truand qui veut se venger de lui. Les dessins de Philippe Xavier sont parfaits comme sur les autres tomes, le dessinateur gère très bien les ambiances et la mise en scène. Le dernier condor est une agréable lecture mais l'histoire risque de s'essouffler si l'histoire ne gagne pas en profondeur par la suite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tango-tome-5-le-dernier-condor?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Inhumains

    Je dépile ma pile de honte durant cette fin d'année "confinée" et je me suis arrêté sur Inhumains dont j'avais entendu beaucoup de bien. Je l'ai acheté les yeux fermés pour les auteurs et pour la SF. Et bien.... je n'aurais pas du l'acheter pour ces raisons la 🙂 En effet pour moi Bajram et Mangin c'est de la grande science fiction. Du space opera comme on en lit peu avec des titres comme le Fleau des dieux, Universal war ou encore le dernier troyen. Et la on a une SF très intimiste. A mis chemin entre un huit clos angoissant et de la science fiction philosophique. Alors attention je ne dis pas que ce n'est pas bien, loin de la. Je dis juste que je n'ai pas acheté cette album pour les bonnes raisons. Que vous ne fassiez pas de même. Après pou ce qui est du récit lui même, il est vraiment très bon. Ce "grand tout", même si l'explication est un peu évidente à mon gout, et cette histoire de "colonisation" est vraiment bien pensée. Dur de ne pas trop en dire mais l'idée du couple Mangin/Bajram est bonne et bien réfléchie. Et surtout elle est poussée jusqu'au bout avec une fin qui ne se veut pas la pour plaire aux espérances du lecteurs mais bien pour rester dans une logique "réaliste". Cette histoire offre une réflexion sur l'humanité et sa volonté de libre arbitre. Une vraie bonne lecture porté par un dessin très sympa.
  19. poseidon2

    Inhumains

    Titre de l'album : Inhumains Scenariste de l'album : Valérie Mangin / Denis Bajram Dessinateur de l'album : Thibaud De Rochebrune Coloriste : Thibaud De Rochebrune Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un moment de folie, un petit vaisseau spatial en mission d'exploration s'écrase sur une planète océan inconnue. Heureusement des sortes de pieuvres géantes aident les cinq rescapés à remonter à la surface et à rejoindre la seule île à l'horizon. À leur grande surprise, ils sont accueillis sur le rivage par des humains aussi primitifs que bienveillants. Si ces hommes et femmes au sourire figé se révèlent être cannibales, le plus inquiétant reste leur totale docilité. Les naufragés sont-ils condamnés eux aussi à se soumettre à la volonté du mystérieux Grand Tout ? "Inhumain" marque le grand retour au scénario de science-fiction de Valérie Mangin et Denis Bajram. En maître du genre, le couple explore à la fois les entrailles d'un monde mystérieux et les tréfonds de l'âme humaine. Ce récit surprenant et spectaculaire permet au dessin de Thibaud de Rochebrune de se déployer avec sensibilité et vertige. Entre récit addictif et fable philosophique, "Inhumain" questionne notre humanité : la souffrance est-elle forcément le prix de la liberté ? Critique : Je dépile ma pile de honte durant cette fin d'année "confinée" et je me suis arrêté sur Inhumains dont j'avais entendu beaucoup de bien. Je l'ai acheté les yeux fermés pour les auteurs et pour la SF. Et bien.... je n'aurais pas du l'acheter pour ces raisons la 🙂 En effet pour moi Bajram et Mangin c'est de la grande science fiction. Du space opera comme on en lit peu avec des titres comme le Fleau des dieux, Universal war ou encore le dernier troyen. Et la on a une SF très intimiste. A mis chemin entre un huit clos angoissant et de la science fiction philosophique. Alors attention je ne dis pas que ce n'est pas bien, loin de la. Je dis juste que je n'ai pas acheté cette album pour les bonnes raisons. Que vous ne fassiez pas de même. Après pou ce qui est du récit lui même, il est vraiment très bon. Ce "grand tout", même si l'explication est un peu évidente à mon gout, et cette histoire de "colonisation" est vraiment bien pensée. Dur de ne pas trop en dire mais l'idée du couple Mangin/Bajram est bonne et bien réfléchie. Et surtout elle est poussée jusqu'au bout avec une fin qui ne se veut pas la pour plaire aux espérances du lecteurs mais bien pour rester dans une logique "réaliste". Cette histoire offre une réflexion sur l'humanité et sa volonté de libre arbitre. Une vraie bonne lecture porté par un dessin très sympa. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inhumain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Il y a bien longtemps qu'on avait pas vu un Donjon Zénith! D'ailleurs wiki me dit que que le tome 7 était sorti début 2020. Ah bah non, ce n'est pas si vieux. Enfin pas en terme de BD. En tout cas, je suis super content de celui là (le dernier me parait si lointain, ou alors c'est l’ambiance lourde de ces derniers mois qui fait que je suis content de ma lecture, il est possible que cela y participe, mais non, c'est parce qu'il est bon et drôle). Quoi qu'il en soit, lecteur régulier de Donjon, ou occasionnel, et même non lecteur, apprend que ce tome est très bon! Que tu ne devrais pas être déçu et conserver le sourire après ta lecture. Pour peu que tu accroches un peu à la série, ça me semble inévitable. Et l'album est très très bon sur plusieurs points. Parlons dessin! Déjà il est joyeux dans la tristesse! Si tu as lu le résumé, tu sais que que l'histoire prend place suite à l'assassinat de la mère de Marvin. Ce qui est triste quelque part, mais la tournure de l'histoire va passer des évènements sérieux à de très bons moments. Du comique de situation dans le monde du Donjon période Zénith. La période solaire du Donjon qui compte principalement des tomes d'aventure dans un monde proche du Donjon et Dragon de mon enfance mais le tout dans un univers qui ne se prend pas au sérieux. Le dessin de Boulet (qui a repris le dessin de Donjon Zénith à partir du tome 5) est très chouette. C'est lumineux, c'est très expressif, c'est bourré de détail, ça reste dans le style Donjon assez épuré quelque part. On est loin d'un style de dessin réaliste et pourtant c'est très vivant et réaliste. Ok je me rends bien compte que je me contre dit. Mais ça reste réaliste pour de l'héroïc fantasy Donjonesque. Souvenez vous des premiers Zénith et comment ils étaient très stylisés. Vous voyez ce que je veux dire ? En tout cas, c'est totalement en symbiose avec le scénario. Du coup c'est génial que les expressions des personnages soient aussi bien rendus sur des petits détail de la planche. Un haussement de sourcil. Une position des yeux... Cela participe vraiment à l'immersion. Regardons ensuite le scénario! C'est fin, c'est bien ficelé, malin, intéressant difficile de demander plus en fait... L'histoire est très fluide et bien fichue, je ne trouve pas d'autres mots. Les auteurs vont nous emmener au fil des planches de qui pro quo en malentendus, avec les évènements hasardeux donjonesque tels qu'on les rencontre dans la série et le tout avec beaucoup humour d'une situation à l'autre. Et même si on est quelque part, en huis clos. Car de la tribu Donjon Zénith, on ne trouvera ici qu'Herbert et Marvin. On fera néanmoins la connaissance de personnages nouveaux dans Donjon Zénith, mais qu'on retrouvera aussi, dans la suite chronologique à travers les albums parus précédemment (j''adore cette phrase, très peu de série permettent de la placer!). Si vous connaissez Donjon, vous devinerez sans doute de quoi je parle. Mais c'est difficile d'en parler franchement sans spoilers. En conclusion... En tout cas, je me suis bien marré. C'est avec un plaisir non dissimulé que j'ai retrouvé, ici, mes compères habituels de Zénith et de Donjon dans une excellente pièce de théatre. Une espèce de retour aux sources quelque part, même si on reste en huis clos et qu'il y a peu de personnages principaux. Qu'on appel Zongo et qu'on m'apporte un poulet pour le clamer au monde: les auteurs sont de retour, le Donjon aussi, et le tout dans une très grande qualité d'écriture et de réalisation. C'est donc une réussite totale! Vite la suite! Je vais aller le relire de suite je crois. 🙂
  21. Titre de l'album : Donjon zénith tome 8 - En sa mémoire Scenariste de l'album : Lewis Trondheim / Joann Sfar Dessinateur de l'album : Boulet Coloriste : Boulet Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Selon la tradition draconiste, Herbert de Vaucanson est officiellement mandaté par Marvin pour aller voir sa mère et lui annoncer ses fiançailles avec Pirzuine. Sur place, il découvre son assassinat. Pour éviter un bain de sang, le vaillant canard réussira-t-il à trouver le coupable avant l'arrivée de Marvin, sans se mettre à dos les susceptibles dragons qui habitent le village ? Critique : Il y a bien longtemps qu'on avait pas vu un Donjon Zénith! D'ailleurs wiki me dit que que le tome 7 était sorti début 2020. Ah bah non, ce n'est pas si vieux. Enfin pas en terme de BD. En tout cas, je suis super content de celui là (le dernier me parait si lointain, ou alors c'est l’ambiance lourde de ces derniers mois qui fait que je suis content de ma lecture, il est possible que cela y participe, mais non, c'est parce qu'il est bon et drôle). Quoi qu'il en soit, lecteur régulier de Donjon, ou occasionnel, et même non lecteur, apprend que ce tome est très bon! Que tu ne devrais pas être déçu et conserver le sourire après ta lecture. Pour peu que tu accroches un peu à la série, ça me semble inévitable. Et l'album est très très bon sur plusieurs points. Parlons dessin! Déjà il est joyeux dans la tristesse! Si tu as lu le résumé, tu sais que que l'histoire prend place suite à l'assassinat de la mère de Marvin. Ce qui est triste quelque part, mais la tournure de l'histoire va passer des évènements sérieux à de très bons moments. Du comique de situation dans le monde du Donjon période Zénith. La période solaire du Donjon qui compte principalement des tomes d'aventure dans un monde proche du Donjon et Dragon de mon enfance mais le tout dans un univers qui ne se prend pas au sérieux. Le dessin de Boulet (qui a repris le dessin de Donjon Zénith à partir du tome 5) est très chouette. C'est lumineux, c'est très expressif, c'est bourré de détail, ça reste dans le style Donjon assez épuré quelque part. On est loin d'un style de dessin réaliste et pourtant c'est très vivant et réaliste. Ok je me rends bien compte que je me contre dit. Mais ça reste réaliste pour de l'héroïc fantasy Donjonesque. Souvenez vous des premiers Zénith et comment ils étaient très stylisés. Vous voyez ce que je veux dire ? En tout cas, c'est totalement en symbiose avec le scénario. Du coup c'est génial que les expressions des personnages soient aussi bien rendus sur des petits détail de la planche. Un haussement de sourcil. Une position des yeux... Cela participe vraiment à l'immersion. Regardons ensuite le scénario! C'est fin, c'est bien ficelé, malin, intéressant difficile de demander plus en fait... L'histoire est très fluide et bien fichue, je ne trouve pas d'autres mots. Les auteurs vont nous emmener au fil des planches de qui pro quo en malentendus, avec les évènements hasardeux donjonesque tels qu'on les rencontre dans la série et le tout avec beaucoup humour d'une situation à l'autre. Et même si on est quelque part, en huis clos. Car de la tribu Donjon Zénith, on ne trouvera ici qu'Herbert et Marvin. On fera néanmoins la connaissance de personnages nouveaux dans Donjon Zénith, mais qu'on retrouvera aussi, dans la suite chronologique à travers les albums parus précédemment (j''adore cette phrase, très peu de série permettent de la placer!). Si vous connaissez Donjon, vous devinerez sans doute de quoi je parle. Mais c'est difficile d'en parler franchement sans spoilers. En conclusion... En tout cas, je me suis bien marré. C'est avec un plaisir non dissimulé que j'ai retrouvé, ici, mes compères habituels de Zénith et de Donjon dans une excellente pièce de théatre. Une espèce de retour aux sources quelque part, même si on reste en huis clos et qu'il y a peu de personnages principaux. Qu'on appel Zongo et qu'on m'apporte un poulet pour le clamer au monde: les auteurs sont de retour, le Donjon aussi, et le tout dans une très grande qualité d'écriture et de réalisation. C'est donc une réussite totale! Vite la suite! Je vais aller le relire de suite je crois. 🙂 Autres infos : Donjon Monster 13 vient de sortir aussi! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/donjon-zenith-tome-8-en-sa-memoire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Wilfried Lupano est un des auteurs aillant les idées les plus innovantes de la BD actuelle. Ca personne ne peux me contredire. Chacune de ses débuts de série est un véritable évènement en soit. Par contre j'en viens à me demander si poursuivre les séries sur le long terme est un truc qui le titille autant qu'en créer de nouvelle. Enfin c'est ce qui découle des vieux fourneaux depuis quelques tomes. C'est toujours sympa à lire, ne vous y trompez pas. Comme une vieille série que l'on aime feuilleter pour retrouver ses personnages favoris. Mais il manque l'étincelle du début. Celle qui vous fait sourire de bon cœur. Celle qui provoque un rire sur une blague qu’on n’attendait pas. Et je pense qu'en se focalisant sur les "vieux" et en oubliant la jeune, Lupano a supprimé le chaînon nous reliant à l'étincelle. C'est cette dualité jeunesse/vieillesse qui avait rendu les premiers tomes aussi croustillants. Les meilleures répliques (dont la mémorable tirade sur les vieux sur une aire d'autoroute) sont celles de Sophie. Et de tous les albums. Pourquoi ? Et bien parce qu'elle ramène un peu nos papys sur terre. Et Sophie manque dans cet album comme dans le précédent. Donc nos papys font comme d'habitude : du ni yeux ni maître, de la prise de conscience sur le tard, du bon sentiment.... Donc c'est sympa sans aucun doute. Mais c'est plus passé de la pépite qui fait rire toute le monde à la BD qu'on offre à papa à noël parce qu'il a les premiers.
  23. Titre de l'album : Les vieux fourneaux t6 : l'oreille bouchée Scenariste de l'album : Wilfrid Lupano Dessinateur de l'album : Paul Cauuet Coloriste : Paul Cauuet Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Les Vieux Fourneaux raconte les aventures de trois septuagénaires, amis depuis leur plus tendre enfance: Antoine, Emile et Pierrot. Chacun a suivi sa route, chacun a fait ses choix, chacun a fondé (ou pas) une famille. Séquelles, souvenirs, fragments de vies (presque) passées. Il reste pourtant à ces trois-là de belles choses à vivre, et une solide amitié chevillée au corps. Les Vieux Fourneaux, à travers d'incessants va-et-vient entre les années cinquante et les années 2010, raconte sur un mode tragi-comique notre époque, ses bouleversements sociaux, politiques et culturels, ses périodes de crise. Critique : Wilfried Lupano est un des auteurs aillant les idées les plus innovantes de la BD actuelle. Ca personne ne peux me contredire. Chacune de ses débuts de série est un véritable évènement en soit. Par contre j'en viens à me demander si poursuivre les séries sur le long terme est un truc qui le titille autant qu'en créer de nouvelle. Enfin c'est ce qui découle des vieux fourneaux depuis quelques tomes. C'est toujours sympa à lire, ne vous y trompez pas. Comme une vieille série que l'on aime feuilleter pour retrouver ses personnages favoris. Mais il manque l'étincelle du début. Celle qui vous fait sourire de bon cœur. Celle qui provoque un rire sur une blague qu’on n’attendait pas. Et je pense qu'en se focalisant sur les "vieux" et en oubliant la jeune, Lupano a supprimé le chaînon nous reliant à l'étincelle. C'est cette dualité jeunesse/vieillesse qui avait rendu les premiers tomes aussi croustillants. Les meilleures répliques (dont la mémorable tirade sur les vieux sur une aire d'autoroute) sont celles de Sophie. Et de tous les albums. Pourquoi ? Et bien parce qu'elle ramène un peu nos papys sur terre. Et Sophie manque dans cet album comme dans le précédent. Donc nos papys font comme d'habitude : du ni yeux ni maître, de la prise de conscience sur le tard, du bon sentiment.... Donc c'est sympa sans aucun doute. Mais c'est plus passé de la pépite qui fait rire toute le monde à la BD qu'on offre à papa à noël parce qu'il a les premiers. Autres infos : Sophie revient ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-vieux-fourneaux-tome-6-l-oreille-bouchee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Communiqué des éditions Dupuis : Les Éditions Dupuis célébreront leurs 100 ans en 2022. À l’aube de cet anniversaire exceptionnel, la maison entame une politique de diversification destinée à porter son ambition pour les cent prochaines années. Cet élan s’incarne dès aujourd’hui par le rachat à Steinkis Groupe, associé à Nexusbook, du label Vega, spécialisé dans le manga. À partir de janvier 2021, le catalogue Vega et son cofondateur Stéphane Ferrand intègrent ainsi les Éditions Dupuis. Tous les titres déjà publiés sont repris et se poursuivent dès cette première année. Sous la houlette de ce nouvel éditeur nommé Vega-Dupuis, la maison va développer une ligne manga à destination de tous les publics, en particulier les jeunes lecteurs qui ont toujours été le cœur de cible de Dupuis. Le Seinen, à l’origine de la création de Vega et pour lequel cette jeune maison a reçu ses lettres de noblesse, sera également à l’honneur. Les premiers titres sont annoncés pour mars 2021. Environ 45 volumes seront publiés cette année avec un objectif à 70 volumes pour 2022. Si ce rachat annonce l’arrivée du manga au sein des Éditions Dupuis, le genre est amené à prendre place au cœur de la maison sous de multiples formes. Aux côtés du label Vega-Dupuis, les auteurs japonais vont ainsi apparaître dans d’autres collections. Des créations mêlant professionnels de l’édition et auteurs français et japonais sont également en développement. S’il est encore trop tôt pour dévoiler des titres, les Éditions Dupuis proposeront prochainement des romans graphiques en couleur créés par des autrices et auteurs japonais, des livres-objets confrontant les visions, grammaires et esthétiques japonaises et occidentales autour de sujets historiques mais aussi des séries Shonen ayant pour cadre la France, pour héros des personnalités françaises, ou mêmes des grands héros historiques des Éditions Dupuis. En parallèle, les auteurs européens de la maison pourront développer des séries directement avec les éditeurs japonais pour être publiés quasi simultanément dans des magazines japonais et le Journal Spirou. Sans oublier le digital… Plus qu’être un nouvel acteur, l’ambition des Éditions Dupuis est de proposer une approche différente du manga sur les marchés francophones. Ce développement protéiforme de la maison vers la culture japonaise n’est d’ailleurs que le premier pas d’une diversification éditoriale en marche menée par Stéphane Beaujean, directeur éditorial. D’autres annonces sont donc à attendre dans les mois qui viennent. Les Éditions Dupuis
  25. poseidon2

    Sous la surface - coffret

    Hey c'est bientôt noël ! Enfin à ce qu'il parait. Et avec les élections américaines à rebondissement que l'on a eu et qui nous ont tenues en haleine, ce coffret ferait un super cadeau de noël pour tout fan de thriller politique. On retrouve ici tout ce en quoi Gihef est bon : une intrigue policière et politique réfléchie et réaliste. Et en partant du roman Sous la surface de Martin Michaud, il avait de quoi faire 🙂 Un scénario qui tranche avec la mouvance actuelle du toujours plus. En effet les thrillers actuels se sentent obligés de nous présenter des situations irréalistes qui, si elles sont divertissantes, ne sont que trop éloignée de la réalité pour que l'on y croie. Gihef nous livre lui un scénario qui pourrait très bien avoir déjà eu lieux aux USA. Et en ca ce diptyque est vraiment sympa. On retrouve un bout gout de thriller des années 2000 avec des "machinations normales" en politique. On dit bien que derrière chaque homme politique il y en a d'autres qui ont été écrasés. C'est d'autant plus vrai dans Sous la surface. Globalement bien illustré (même si un peu irrégulier), ce coffret fera un vrai beau cadeau de noël pour beau-papa. Ça fera surtout un vrai beau cadeau de noël pour amateur de bd OU PAS.
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