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  1. Titre de l'album : Ursula, mon père, cet enfer.... Scenariste de l'album : Sandra Nelson Dessinateur de l'album : Anaïs Poilpré Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Ursula est une jeune fille pleine de vie et d'énergie. Passionnée par la fabrication de la slime, la musique et son chat Zizou, sa vie bascule le jour où, sa mère et son beau-père partent trois mois en Amazonie pour leur travail de botaniste. C'est décidé, Ursula ira vivre chez son père. Mais comment gérer ce dernier, qui adore les listes et les objectifs, quand en plus on fait sa première rentrée au collège ! Ursula va devoir affronter cette nouvelle vie et appréhender ce père qu'elle connaît si peu... Critique : L'été c'est l'occasion d'acheter des BDs à nos petites têtes blondes pour leur faire lâcher leurs écrans. Et pourquoi pas avec Ursula. Si le graphisme fait très (trop pour un adulte) enfantin et simpliste, le discours derrière est plutôt bien trouvé. Tourné vers les familles séparées, elle nous parle de la difficulté de ne pas avoir un chouchou parmi ses parents....et que dans ces cas l'a c'est souvent celui que l'on voit le moins et souvent...le père. Porté par une petite espiègle au possible, cette histoire est celle d'une découverte de qui est vraiment le papa d'Ursula. Le parti pris intelligent est que, contrairement aux films et séries standard, ce n'est pas deux personnages qui s'apprivoisent mais bien une fille qui découvre un père. Père qui lui a toujours aimé sa fille. En résumé une très belle BD pour les enfants de parents séparés et une bonne BD pour comprendre les problématiques des copains et copines pour ceux qui ont la chance d'avoir des parents encore ensemble. Autres infos : Edition Jungle Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ursula-pere-enfer/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. C'est l'été ! Et pour ne pas lire que les comics et des mangas (qui sont les parutions qui ne craignent pas la chaleur), je me suis dit que continuer notre BDtheque ne serait pas un mal. Place aujourd’hui à l'une des séries magiques de feu "poisson-pilote", la collection d’humour adulte de Dargaud. On devrait la collection loufoque de Dargaud. J'ai choisi les cosmonautes du futur car ils représentent bien cette collection : Un des premiers titres portés par un jeune dessinateur qui débute (qui ne donnera surement rien) et auteur déjà reconnu pour son humour pas comme les autres. Mais je l'ai aussi choisi parce que cette série est excellente. Les deux jeunes personnages que sont Gildas et Martina sont juste parfaits. Ils sont aussi drôle qu'émouvant, aussi bêtes que lucide. Des enfants qui croiseront de extraterrestres, des robots, des clones (une vraie guerre des clones d'ailleurs :D), des clones de robots, des extraterrestres dans des robots.... une vie normale quoi ! C'est dur de parler de cette BDs sans révéler la surprise principale du premier tome mais ce qu'il faut retenir c'est que cette BD marqua le début de plus de 10 ans loufoquerie sympathique et déjantée pour adultes ne se prenant pas la tête. 10 ans qui auront vu l’émergence de futur grand nom de la BD européenne. Une collection déjantée qui manque au panel actuel d'une bande dessinée devenu peut être un peu trop sérieuse.
  3. Titre de l'album : La bdtheque de 1001bd: les cosmonautes du futur Scenariste de l'album : Lewis Trondheim Dessinateur de l'album : Manu Larcenet Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : - tu sais gildas, il faudra qu'on parle vraiment un jour... ça ne peut plus durer ces histoires d'extraterrestres... - c'est vrai, tu as raison. dès que je peux, je les extermine tous. - sérieusement, gildas... tu ne crois quand même pas qu'il y a des aliens partout ? - et pourquoi pas ? la terre présente un énorme intérêt économique. il y a plein de tonnes de gâteaux, de bonbons et de jeux vidéo... Critique : C'est l'été ! Et pour ne pas lire que les comics et des mangas (qui sont les parutions qui ne craignent pas la chaleur), je me suis dit que continuer notre BDtheque ne serait pas un mal. Place aujourd’hui à l'une des séries magiques de feu "poisson-pilote", la collection d’humour adulte de Dargaud. On devrait la collection loufoque de Dargaud. J'ai choisi les cosmonautes du futur car ils représentent bien cette collection : Un des premiers titres portés par un jeune dessinateur qui débute (qui ne donnera surement rien) et auteur déjà reconnu pour son humour pas comme les autres. Mais je l'ai aussi choisi parce que cette série est excellente. Les deux jeunes personnages que sont Gildas et Martina sont juste parfaits. Ils sont aussi drôle qu'émouvant, aussi bêtes que lucide. Des enfants qui croiseront de extraterrestres, des robots, des clones (une vraie guerre des clones d'ailleurs :D), des clones de robots, des extraterrestres dans des robots.... une vie normale quoi ! C'est dur de parler de cette BDs sans révéler la surprise principale du premier tome mais ce qu'il faut retenir c'est que cette BD marqua le début de plus de 10 ans loufoquerie sympathique et déjantée pour adultes ne se prenant pas la tête. 10 ans qui auront vu l’émergence de futur grand nom de la BD européenne. Une collection déjantée qui manque au panel actuel d'une bande dessinée devenu peut être un peu trop sérieuse. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-cosmonautes-du-futur-t-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. A la vue de la couverture et avant la lecture, j'ai tout de suite pensé au 1er tome de cette série fleuve. Nous sommes au tome 28, et bien des histoires différentes, dans le fond ou la forme, ont parsemé ces dernières années La Geste des Chevaliers Dragons. Pourtant ce tome est comme une espèce de retour aux racines. Vous allez en effet y trouver un dragon à occire, pas [trop] de politique, puisque par définition l'ordre des Chevaliers Dragons ne fait pas de politique (!). Une équipe de chevalier typique, avec son maître et sa jeune apprentie dévouée , de très belles planches (j'y reviendrais plus bas), et un scénario efficace qui va droit au but en servant des branches annexes avec succès, et qui vont se révéler plus importantes que l'histoire principale. Pourtant ce tome s'inscrit également dans le fil rouge présent déjà depuis longtemps dans la série (pour information, ce tome 28 prend place chronologiquement entre le tome 24 et le tome 26), et contribue par petites touches à l'enrichissement de l'univers des auteurs vers quelques chose de solide. Il y a portant des différences dans la manière de raconter cette histoire qui s'annonçait assez classique (nous sommes au tome 28, ne l'oubliez pas, et des références dans la couverture sonnent comme un rappel aux origines: L'ordre, le chevalier, l'armure, l'épée). Le ton employé est assez léger, et tout en humour et le dessin y participe dès les 1ères cases et planches. Ensuite le point de vu adopté n'est pas centré sur le Chevalier Dragon qui apprend à son apprentie, comme c'est souvent le cas, mais sur Tarek. Vendeur / Magouilleur, au bon cœur au final, qui va recroiser (pour son bonheur) Sybille: son amour impossible, qu'il va poursuivre sur sa mission de Chevalier. Côté dessin, j'avoue que je suis surpris très favorablement par les très belles planches que nous livre Roberto Viacava, qui nous à déjà offert quelques comics (Batman / Superman) ou le 5e évangile avec Jean-Luc Istin chez Soleil. Ses planches sont très précises, lumineuses (la mise en couleur y participe aussi), réalistes. Avec beaucoup de détails. Elles s'adaptent parfaitement au récit et y ajoutent pas mal de légèreté, car au final le ton malgrè son contexte habituel, grave et son lots de morts par dizaines ou même centaine, reste léger. A cause des situations décalées et de l'humour ironique et sarcastique de part et d'autre des planches. En conclusion, c'est un très bon tome de la Geste, une bonne histoire, solide, bien mise en images et qui sert la série. Et cela suffit à mon bonheur de lecteur de la Geste. Et je vais aller relire le Tome 24, qui chronologiquement se place juste avant pour retrouver les personnages juste avant cet épisode, qui est aussi leur dénouement.
  5. Titre de l'album : La geste des chevaliers dragons: Tome 28 : Contrebandes Scenariste de l'album : Ange Dessinateur de l'album : Viacava Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Tarek, jeune contrebandier séduisant, et qui n'aspire qu'à la fortune et aux femmes, est une nouvelle fois embarqué dans un conspiration qui le dépasse. Une conspiration où est impliqué l'Ordre des Chevaliers Dragon... et la belle Sybile, qui a eu une grande importance dans le passé de Tarek et qui dont la seule présence va remettre en question l'avenir de contrebandier, sa moralité... et sa vie. Critique : A la vue de la couverture et avant la lecture, j'ai tout de suite pensé au 1er tome de cette série fleuve. Nous sommes au tome 28, et bien des histoires différentes, dans le fond ou la forme, ont parsemé ces dernières années La Geste des Chevaliers Dragons. Pourtant ce tome est comme une espèce de retour aux racines. Vous allez en effet y trouver un dragon à occire, pas [trop] de politique, puisque par définition l'ordre des Chevaliers Dragons ne fait pas de politique (!). Une équipe de chevalier typique, avec son maître et sa jeune apprentie dévouée , de très belles planches (j'y reviendrais plus bas), et un scénario efficace qui va droit au but en servant des branches annexes avec succès, et qui vont se révéler plus importantes que l'histoire principale. Pourtant ce tome s'inscrit également dans le fil rouge présent déjà depuis longtemps dans la série (pour information, ce tome 28 prend place chronologiquement entre le tome 24 et le tome 26), et contribue par petites touches à l'enrichissement de l'univers des auteurs vers quelques chose de solide. Il y a portant des différences dans la manière de raconter cette histoire qui s'annonçait assez classique (nous sommes au tome 28, ne l'oubliez pas, et des références dans la couverture sonnent comme un rappel aux origines: L'ordre, le chevalier, l'armure, l'épée). Le ton employé est assez léger, et tout en humour et le dessin y participe dès les 1ères cases et planches. Ensuite le point de vu adopté n'est pas centré sur le Chevalier Dragon qui apprend à son apprentie, comme c'est souvent le cas, mais sur Tarek. Vendeur / Magouilleur, au bon cœur au final, qui va recroiser (pour son bonheur) Sybille: son amour impossible, qu'il va poursuivre sur sa mission de Chevalier. Côté dessin, j'avoue que je suis surpris très favorablement par les très belles planches que nous livre Roberto Viacava, qui nous à déjà offert quelques comics (Batman / Superman) ou le 5e évangile avec Jean-Luc Istin chez Soleil. Ses planches sont très précises, lumineuses (la mise en couleur y participe aussi), réalistes. Avec beaucoup de détails. Elles s'adaptent parfaitement au récit et y ajoutent pas mal de légèreté, car au final le ton malgrè son contexte habituel, grave et son lots de morts par dizaines ou même centaine, reste léger. A cause des situations décalées et de l'humour ironique et sarcastique de part et d'autre des planches. En conclusion, c'est un très bon tome de la Geste, une bonne histoire, solide, bien mise en images et qui sert la série. Et cela suffit à mon bonheur de lecteur de la Geste. Et je vais aller relire le Tome 24, qui chronologiquement se place juste avant pour retrouver les personnages juste avant cet épisode, qui est aussi leur dénouement. Autres infos : J'aime les séries fleuve Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-geste-des-chevaliers-dragons-tome-28?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Corps en grêve

    Corps en grève c'est typiquement le genre de BD que j’hésite à prendre. En effet il y a reportage et reportage. Quoi qu'on en dise un reportage est forcément engagé et le niveau d'engagement du reportage peu nuire à la narration en devenant trop partisan. J'avais un peu peur de cela. Pour d'avoir entre les mains une unique diatribe du pouvoir en place à l'époque. Alors qu'en fait, pas complètement. Nos autrices gardent un regard complet sur cette affaire. En effet elles parlent (et c'est bien normal) du manque d'implication des gens et de la préfecture qui a mis des bâtons dans les roues des immigrants. Mais fort intelligemment ce sont des points parmi d'autre. On voit bien qu'elles se sont bien renseignées sur le sujet. L'implication de l'ambassadeur de Tunisie tout comme la non participations de certains aillant déjà leurs cartes de séjours ou encore ce lyonnais qui ne veut pas rester spectateur, tous ces détails forge l'histoire et nous montre la complexité de l'affaire et que cela ne se résumait pas en un affrontement Gréviste/Gouvernement français. J'avais donc hésité mais, comme nos manifestants de la bande dessinée, j'ai bien fait de franchir le cap. On regrettera seulement, mais comme tout documentaire, le potentiel de relecture qui, une fois les informations connus, est assez faible.
  7. poseidon2

    Corps en grêve

    Titre de l'album : Corps en grêve Scenariste de l'album : Valentine Boucq Dessinateur de l'album : Amandine Puntous Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Lyon, mars 1973. Vingt-trois travailleurs tunisiens sans-papiers entament une grève de la faim pour obtenir un titre de séjour. Elle durera vingt jours durant lesquels Français et immigrés lutteront ensemble, jusqu'au bout. Raconter le combat oublié de ces travailleurs immigrés sans-papiers, c'est se replonger au début des années 1970, lorsque l'opinion publique " découvre" leurs conditions de vie : selon un rapport officiel, 800 000 travailleurs étrangers vivaient alors en France dans de véritables taudis. Les autrices ont enquêté, retrouvé « les trois Mohamed » aujourd'hui retraités, pères de familles ayant fait souche en France... Leur histoire fait indéniablement échos à l'actualité. Les bidonvilles ont disparu, jungle et campements de fortune sont apparus, les droits humains restent bafoués. Critique : Corps en grève c'est typiquement le genre de BD que j’hésite à prendre. En effet il y a reportage et reportage. Quoi qu'on en dise un reportage est forcément engagé et le niveau d'engagement du reportage peu nuire à la narration en devenant trop partisan. J'avais un peu peur de cela. Pour d'avoir entre les mains une unique diatribe du pouvoir en place à l'époque. Alors qu'en fait, pas complètement. Nos autrices gardent un regard complet sur cette affaire. En effet elles parlent (et c'est bien normal) du manque d'implication des gens et de la préfecture qui a mis des bâtons dans les roues des immigrants. Mais fort intelligemment ce sont des points parmi d'autre. On voit bien qu'elles se sont bien renseignées sur le sujet. L'implication de l'ambassadeur de Tunisie tout comme la non participations de certains aillant déjà leurs cartes de séjours ou encore ce lyonnais qui ne veut pas rester spectateur, tous ces détails forge l'histoire et nous montre la complexité de l'affaire et que cela ne se résumait pas en un affrontement Gréviste/Gouvernement français. J'avais donc hésité mais, comme nos manifestants de la bande dessinée, j'ai bien fait de franchir le cap. On regrettera seulement, mais comme tout documentaire, le potentiel de relecture qui, une fois les informations connus, est assez faible. Autres infos : Edition Steinkis Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/corps-en-greve?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. J'ai longtemps hésité avant de lire cette BD. En effet j'ai souvent du mal avec l'humour sarcastique. J'ai donc attendu un peu pour me décider. Suite à des retours plutôt bons je me suis lancé et.... c'est pile poil le genre d'humour que j’apprécie. Ça critique. Ça se moque des réflexions débiles qu'on entend tout les jours. Et ça j'aime bien. Etant dans une société ou l'on n'a plus le droit de ne se moquer de personne, sous peine de se faire mettre au pilori des gens qui ne sont pas "bienveillants", un peu de critique de la bêtise ça fait du bien. Car autant vous le dire tout de suite, cette BD n'est pas bienveillante envers les gens qui ne réfléchissent pas avant de parler. Elle n'est pas bienveillante mais qu'est ce qu'elle est drôle. Comme toutes les BD d'humour le niveau des blagues varies. Mais certaines sont excellentes ! Celle ci par exemple : ou celle ci: Bref de l'humour qui ne plaira pas à tout le monde, c'est indéniable... mais n'est ce pas la base quand on parle d'humour ?
  9. Titre de l'album : Rattrapage : Il ne faut pas prendre les cons pour des gens Scenariste de l'album : Nicolas Rouhaud / Emmanuel Reuzé Dessinateur de l'album : Emmanuel Reuzé Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : En deux mots : Faut pas prendre les cons pour des gens est un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire, de plus en plus présente autour de nous. À la manière d'un Goossens ou d'un Fabcaro, il tord et maltraite les clichés de la société dans une BD hilarante et grinçante à souhait. Racisme ordinaire, mesures gouvernementales ubuesques, maisons connectées, quotas policiers, surpopulation carcérale, rejet des laissés-pour-compte... Reuzé n'épargne rien ni personne pour notre plus grand plaisir. Côté dessin, il singe la BD contemporaine qui n'hésite pas à reprendre le même dessin sur plusieurs cases. Comme vous l'aurez compris, ce bougre ne prend vraiment rien au sérieux, pas même son éditeur ! Critique : J'ai longtemps hésité avant de lire cette BD. En effet j'ai souvent du mal avec l'humour sarcastique. J'ai donc attendu un peu pour me décider. Suite à des retours plutôt bons je me suis lancé et.... c'est pile poil le genre d'humour que j’apprécie. Ça critique. Ça se moque des réflexions débiles qu'on entend tout les jours. Et ça j'aime bien. Etant dans une société ou l'on n'a plus le droit de ne se moquer de personne, sous peine de se faire mettre au pilori des gens qui ne sont pas "bienveillants", un peu de critique de la bêtise ça fait du bien. Car autant vous le dire tout de suite, cette BD n'est pas bienveillante envers les gens qui ne réfléchissent pas avant de parler. Elle n'est pas bienveillante mais qu'est ce qu'elle est drôle. Comme toutes les BD d'humour le niveau des blagues varies. Mais certaines sont excellentes ! Celle ci par exemple : ou celle ci: Bref de l'humour qui ne plaira pas à tout le monde, c'est indéniable... mais n'est ce pas la base quand on parle d'humour ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/faut-pas-prendre-les-cons-pour-des-gens?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Les contes du Givre t1 et 2 @VladNirky à sortit sa BD en financement participative, je sors la mienne 🙂 Pas de raison 🙂 Sans rigoler on est pas du tout dans le même genre. Ici on est vraiment dans un albums dans la veine des légendes de la gardes. Des histoires/contes d'un monde d'animaux humanisé le tout porté par un graphisme sublime. La campagne marche bien avec un financement à 200% atteint avec donc deja un conte en plus et un marque page offert. Possibilité d'acheter le premier tome durant la campagne ! Ca se passe la : https://fr.ulule.com/contes-givre-2-ode-materia/ Regarder moi ce travail :
  11. On a retrouvé Arleston. Enfin celui qu'on aime qui nous a fait le fameux premier cycle de Lanfeust ou encore les premiers tome d'Ekho. En effet le premier tome était assez quelconque avec une présentation des personnages pas très originale tout comme l'avancée sans surprise de l'histoire. Un premier tome sympathique mais sans réelle saveur. Ce tome deux est tout autre. Dans ce tome ci on retrouve l’espièglerie et les surprises tombant de nulle part qui ont fait le succès de Lanfeust. Notre anti héros n'évolue pas forcement beaucoup mais tous les personnages secondaires sont à la fête. 🙂 Les parents de Lerëh sont tout simplement géniaux. J Tout comme le boulet de service qui trahit a tout va ses maîtres ou encore l’inquisiteur dont tous avait peur.... Bref toute une batterie de personnage qui gravite autour de notre héros et hausse considérablement le niveau d'humour et de surprise. Un très bon tome pour une série qui, au final, pourrait trouver bonne place parmi les bonnes séries d'Arleston.
  12. Titre de l'album : Le danthrakon t2 : Lyerelei la fantasque Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Olivier Boiscommun Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Nuwan, apprenti marmiton chez le mage Waïwo, a vu sa vie bouleversée depuis qu'un puissant grimoire s'est déversé en lui, le transformant et le manipulant. Avec l'étudiante Lerëh, il est à la recherche du moyen de rompre cette malédiction. L'Inquisiteur Amutu, qui suspecte une magie interdite et qui veut remettre la main sur le grimoire - le Danthrakon - les poursuit implacablement, dans sa Mygatule, une araignée géante tisseuse de sorts et d'orages. C'est auprès de la presque immortelle Lyreleï, mère de Lerëh, qu'ils vont chercher assistance. Mais cette rencontre entre mère est fille est l'occasion de découvrir de lourds secrets de famille... Naufrages, sirènes, palais merveilleux, mages avides et mesquins, aventurière manipulatrice, chouchou servile et vengeur masqué, voilà quelques-uns des ingrédients de ce second volume de la trilogie Danthrakon, un album haletant servi par le trait précis et dynamique d'Olivier Boiscommun. Critique : On a retrouvé Arleston. Enfin celui qu'on aime qui nous a fait le fameux premier cycle de Lanfeust ou encore les premiers tome d'Ekho. En effet le premier tome était assez quelconque avec une présentation des personnages pas très originale tout comme l'avancée sans surprise de l'histoire. Un premier tome sympathique mais sans réelle saveur. Ce tome deux est tout autre. Dans ce tome ci on retrouve l’espièglerie et les surprises tombant de nulle part qui ont fait le succès de Lanfeust. Notre anti héros n'évolue pas forcement beaucoup mais tous les personnages secondaires sont à la fête. 🙂 Les parents de Lerëh sont tout simplement géniaux. J Tout comme le boulet de service qui trahit a tout va ses maîtres ou encore l’inquisiteur dont tous avait peur.... Bref toute une batterie de personnage qui gravite autour de notre héros et hausse considérablement le niveau d'humour et de surprise. Un très bon tome pour une série qui, au final, pourrait trouver bonne place parmi les bonnes séries d'Arleston. Autres infos : beaucoup de mieux :) Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/danthrakon-tome-2-lyrelei-la-fantasque?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Le blog de cleo

    C'est étonnant comme Beka et Gregoire Mabire réussissent là où je les voyais échouer : le renouvellement. En effet en enchaînant les "blog de" je pensais que l'on lirait tout le temps la même chose à quelque détails prêt. Et bien en fait pas du tout. Si le blog est au centre de l'histoire avec des pages complètes de blog représentées, chaque album a son thème bien à lui. Apres l'isolement, le harcèlement et le geo catching, voici venu le blog pour extérioriser une rupture.... et pas que. C'est ce qui rend cette lecture agréable (enfin surtout pour les ados de sexe féminin, il ne faut pas le cacher). EN effet nous n'avons pas ici que cette histoire de rupture mais aussi une petit partie enquête et mystère qui a bien plu à ma fille de 11 ans. On se retrouve avec un album qui réussira à capter le lecteur jusqu'au bout malgré des grandes pages de blog à lire. Une suite sympathique d'une belle série pour écolière.
  14. poseidon2

    Le blog de cleo

    Titre de l'album : Le blog de cleo Scenariste de l'album : Beka Dessinateur de l'album : Gregoire Mabire Editeur de l'album : Bamboo Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.5.png Résumé de l'album : Entre journal intime 2.0 et bande dessinée. À Paris, Cléo ne se remet pas de sa rupture avec son amoureux, Valentin. Sur les conseils de sa psychologue, elle commence à écrire des contes de fées sur son blog littéraire. Mais elle n'arrive pas à oublier Valentin... Nina invite Cléo à passer quelques jours chez elle, à la campagne, en compagnie de Charlotte, Maxime et Raphaël. Le mystère irrésolu du vieux manoir du village va donner envie à Cléo de mener l'enquête et de continuer à écrire. Car quoi de mieux que l'imaginaire pour fuir son quotidien morose et s'inventer de nouvelles vies ? Critique : C'est étonnant comme Beka et Gregoire Mabire réussissent là où je les voyais échouer : le renouvellement. En effet en enchaînant les "blog de" je pensais que l'on lirait tout le temps la même chose à quelque détails prêt. Et bien en fait pas du tout. Si le blog est au centre de l'histoire avec des pages complètes de blog représentées, chaque album a son thème bien à lui. Apres l'isolement, le harcèlement et le geo catching, voici venu le blog pour extérioriser une rupture.... et pas que. C'est ce qui rend cette lecture agréable (enfin surtout pour les ados de sexe féminin, il ne faut pas le cacher). EN effet nous n'avons pas ici que cette histoire de rupture mais aussi une petit partie enquête et mystère qui a bien plu à ma fille de 11 ans. On se retrouve avec un album qui réussira à capter le lecteur jusqu'au bout malgré des grandes pages de blog à lire. Une suite sympathique d'une belle série pour écolière. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-blog-de-cleo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. La SF a le vent en poupe et... ben je vous dirais que ce n'est pas un mal mais cela serait tenir compte de mon côté fan de science-fiction. Certains me diront : oui mais Marazano il a toujours fait de la SF lui. Certes c'est vrai qu'il a beaucoup fait d'anticipation. De SF pure, en mode space opéra avec des galaxies lointaines, des voyages interdimensionnaux, des civilisations cachées tout ça.... beaucoup moins. Et grand bien lui a pris de s'y tenter. Car il nous livre ici le premier tome d'une saga inter stellaire qui fait saliver.... d'avance. Elle fait saliver pour quoi ? Et bien tout d'abord parce que Marazano fait ce que je trouve nécessaire pour une bonne histoire de SF : ne pas prendre les gens pour des neuneus et ne pas nous livrer l'explication de l'histoire depuis le big bang. Ici on est directement balancé dans une équipe de jeunes voyageurs interstellaires, de différentes origines (et pas que terrestre), en voyage d'étude qui sont pris... dans une thrombose ! oui oui. Vous ne savez pas ce que c'est ! Normal et alors ? C'est un terme tel que seules les grandes sagas de SF peuvent se permettre d'inventer pour nous lancer dans une course à l'histoire galactique. Vous l'aurez compris, il y tout ici pour rappeler des débits de grandes fresques de science-fiction. Celles qui m'ont fait rêver toute ma jeunesse. Surtout quand l'emballage est très sympa avec un graphisme très sympa de la part d’Ingo Romling. Alors on est qu'au premier tome donc il ne faut pas s'emballer. Mais un tome avec des belles promesses comme cela mérite un début d’étincelle.
  16. Titre de l'album : Les chroniques de l'univers t1: la thrombose du cygne Scenariste de l'album : Marazano Dessinateur de l'album : Ingo Romling Editeur de l'album : Dargaud Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.5.png Résumé de l'album : Dans un futur lointain, la Terre est en paix dans une société démocratique universelle, et la science a rendu le voyage dans le temps et la connaissance des civilisations extraterrestres possibles. Mais les Terriens ont décidé de rester cachés des Aliens, préférant envoyer des émissaires secrets estimer leur niveau de menace éventuel. Un jour, un groupe d'étudiants de cette Académie disparait alors qu'il explore une galaxie jusque-là inconnue, précipitant ses membres à la recherche des « Chroniques de l'Univers », un ouvrage légendaire qui contiendrait l'ensemble de l'histoire des civilisations de l'univers... Critique : La SF a le vent en poupe et... ben je vous dirais que ce n'est pas un mal mais cela serait tenir compte de mon côté fan de science-fiction. Certains me diront : oui mais Marazano il a toujours fait de la SF lui. Certes c'est vrai qu'il a beaucoup fait d'anticipation. De SF pure, en mode space opéra avec des galaxies lointaines, des voyages interdimensionnaux, des civilisations cachées tout ça.... beaucoup moins. Et grand bien lui a pris de s'y tenter. Car il nous livre ici le premier tome d'une saga inter stellaire qui fait saliver.... d'avance. Elle fait saliver pour quoi ? Et bien tout d'abord parce que Marazano fait ce que je trouve nécessaire pour une bonne histoire de SF : ne pas prendre les gens pour des neuneus et ne pas nous livrer l'explication de l'histoire depuis le big bang. Ici on est directement balancé dans une équipe de jeunes voyageurs interstellaires, de différentes origines (et pas que terrestre), en voyage d'étude qui sont pris... dans une thrombose ! oui oui. Vous ne savez pas ce que c'est ! Normal et alors ? C'est un terme tel que seules les grandes sagas de SF peuvent se permettre d'inventer pour nous lancer dans une course à l'histoire galactique. Vous l'aurez compris, il y tout ici pour rappeler des débits de grandes fresques de science-fiction. Celles qui m'ont fait rêver toute ma jeunesse. Surtout quand l'emballage est très sympa avec un graphisme très sympa de la part d’Ingo Romling. Alors on est qu'au premier tome donc il ne faut pas s'emballer. Mais un tome avec des belles promesses comme cela mérite un début d’étincelle. Autres infos : Oserais-je souhaiter une série longue ? Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-de-l-univers-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. VladNirky

    Le culte de Mars

    Avant tout , je dois rendre à César ce qui est à César, Mobidic est une autrice et non pas un auteur comme j'ai pu le dire ailleurs. Une erreur impardonnable, surtout dans ce milieu de la bd plutôt masculin . Elle m'avait donc surpris et assez accroché sur Le roi ours , un joli conte ; et bien elle met la barre encore plus haute avec ce récit post-apocalyptique sans en être un véritablement. On constate les restes de notre ancienne civilisation, parsemés dans des cases somptueuses, mais le plus important est bien l'étude de ce "nouveau" monde. En effet les plus riches sont partis sur Mars et ont laissé le reste des habitants sur Terre. Des siècles ont passé et toute notre culture, notamment religieuse s'est effondrée. Ici, point de dieux d'une quelconque religion, les "idoles" du peuple sont bel et bien ces terriens partis sur Mars, et bien-sûr la planète rouge elle même. Cette nouvelle société a par ailleurs fait l'objet d'un profond recul technologique comme on a pu le voir suite à des effondrements de civilisations dans le passé (amis du collapse bonjour). On sent derrière toute cette création une profonde réflexion de Mobidic, qui rend ce cadre "terrien" particulièrement plausible. Dans ce nouveau monde aux accents mayas parfois, va évoluer Hermès notre héro, un des rares qui sait lire et surtout, porteur d'un secret inimaginable. Nous l'accompagnons jusqu'à ce dénouement plus ou moins tragique, selon les points de vue 🙂 . Vous l'avez compris , le scénario est à la hauteur. On est pas dans Mad Max ou un autre récit post-apo. Ici , il y a plus de profondeur et moins d'action. Le dessin est là aussi, dans la lignée de son précèdent opus, de toute beauté. Les couleurs des forêts nous immergent totalement. Delcourt tient avec elle, à l'instar de Joor et son Kanopé, une nouvelle génération d'auteurs de grand talent. J'ai déjà hâte de découvrir son prochain album. Espérons que le confinement l'ait inspiré et dégagé du temps pour une future création. Merci Mobidic et chapeau l'artiste !!! Kevin Nivek
  18. Titre de l'album : Le culte de Mars Scenariste de l'album : Mobidic Dessinateur de l'album : Mobidic Editeur de l'album : Delcourt Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/5.0.png Résumé de l'album : Les ressources de la Terre sont épuisées. Les plus riches sont partis pour Mars, les plus démunis attendent désespérément qu'on vienne les chercher. Ses survivants ont sombré dans l'obscurantisme. Au beau milieu de ce gâchis, Hermès, tente de consigner tous les anciens savoirs pour les rassembler dans une encyclopédie afin de les partager et aider l'humanité à aller de l'avant, à renaître de ses cendres. Critique : Avant tout , je dois rendre à César ce qui est à César, Mobidic est une autrice et non pas un auteur comme j'ai pu le dire ailleurs. Une erreur impardonnable, surtout dans ce milieu de la bd plutôt masculin . Elle m'avait donc surpris et assez accroché sur Le roi ours , un joli conte ; et bien elle met la barre encore plus haute avec ce récit post-apocalyptique sans en être un véritablement. On constate les restes de notre ancienne civilisation, parsemés dans des cases somptueuses, mais le plus important est bien l'étude de ce "nouveau" monde. En effet les plus riches sont partis sur Mars et ont laissé le reste des habitants sur Terre. Des siècles ont passé et toute notre culture, notamment religieuse s'est effondrée. Ici, point de dieux d'une quelconque religion, les "idoles" du peuple sont bel et bien ces terriens partis sur Mars, et bien-sûr la planète rouge elle même. Cette nouvelle société a par ailleurs fait l'objet d'un profond recul technologique comme on a pu le voir suite à des effondrements de civilisations dans le passé (amis du collapse bonjour). On sent derrière toute cette création une profonde réflexion de Mobidic, qui rend ce cadre "terrien" particulièrement plausible. Dans ce nouveau monde aux accents mayas parfois, va évoluer Hermès notre héro, un des rares qui sait lire et surtout, porteur d'un secret inimaginable. Nous l'accompagnons jusqu'à ce dénouement plus ou moins tragique, selon les points de vue 🙂 . Vous l'avez compris , le scénario est à la hauteur. On est pas dans Mad Max ou un autre récit post-apo. Ici , il y a plus de profondeur et moins d'action. Le dessin est là aussi, dans la lignée de son précèdent opus, de toute beauté. Les couleurs des forêts nous immergent totalement. Delcourt tient avec elle, à l'instar de Joor et son Kanopé, une nouvelle génération d'auteurs de grand talent. J'ai déjà hâte de découvrir son prochain album. Espérons que le confinement l'ait inspiré et dégagé du temps pour une future création. Merci Mobidic et chapeau l'artiste !!! Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-culte-de-mars/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. alx23

    Sweet Home

    Sweet home rejoint la collection Grindhouse aux éditions Glénat, dont les titres sont assez moyens pour le moment. Je me suis quand même laissé tenter par Sweet home avec une histoire assez simple mais qui semblait convenir au registre de la collection de séries B. Sébastien Viozat nous propose de vivre une course poursuite après à un braquage qui à dégénéré pour terminer en huit-clos dans une maison. On lit sans vraiment s'arrêter sur l'histoire et les personnages ne sont pas charismatiques à part le shérif. J'avais découvert Kieran avec We are the night scénarisé par Ozanam puis une histoire courte dans Doggybags et la suite de son histoire the golden boy. Le trait du dessinateur m'avait bien plu avec des planches très détaillées. Mais je n'ai pas retrouvé son style avec Sweet home avec des planches aux décors assez vides ou peu détaillées et une forte impression numérique. Cela s'explique certainement avec le format de l'album plus grand que ses dernières productions... Sweet home ne me laissera pas un grand souvenir, comme les autres titres de la collection Grindhouse au final.
  20. alx23

    Sweet Home

    Titre de l'album : Sweet Home Scenariste de l'album : Sébastien Viozat Dessinateur de l'album : Kieran Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Méfiez-vous des apparences... Zack, Sally et Ethan ont une spécialité : attaquer les fourgons de banque. Mais leur dernier braquage a mal tourné et l’un d’entre eux a écopé d’une balle dans le ventre. Pourchassés par la police et trahis par Zack, Sally et Ethan fuient dans les hauteurs de Mulholland Drive et n’ont d’autre choix que de trouver refuge de force dans la superbe villa des Campbell. Mais si, en apparence, cette famille a tout du bon petit foyer de bourgeois américains, le couple de gangsters va vite s’apercevoir que quelque chose cloche ici. Et si le véritable danger était à l’intérieur ? Critique : Sweet home rejoint la collection Grindhouse aux éditions Glénat, dont les titres sont assez moyens pour le moment. Je me suis quand même laissé tenter par Sweet home avec une histoire assez simple mais qui semblait convenir au registre de la collection de séries B. Sébastien Viozat nous propose de vivre une course poursuite après à un braquage qui à dégénéré pour terminer en huit-clos dans une maison. On lit sans vraiment s'arrêter sur l'histoire et les personnages ne sont pas charismatiques à part le shérif. J'avais découvert Kieran avec We are the night scénarisé par Ozanam puis une histoire courte dans Doggybags et la suite de son histoire the golden boy. Le trait du dessinateur m'avait bien plu avec des planches très détaillées. Mais je n'ai pas retrouvé son style avec Sweet home avec des planches aux décors assez vides ou peu détaillées et une forte impression numérique. Cela s'explique certainement avec le format de l'album plus grand que ses dernières productions... Sweet home ne me laissera pas un grand souvenir, comme les autres titres de la collection Grindhouse au final. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-home?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Les amies de papiers

    Les amies grandissent et en grandissant leurs amitiés ne fait que se renforcer. Mais en grandissant arrivent les histoires de garçons, les peines de cœurs et les fois où le papier n'est pas suffisant. Ce qui est bien dans ce tome 4 c'est que nos auteurs nous montrent que malgré l'attachement des deux jeunes filles aux papiers, elles restent des gamines de 13 ans qui vivent dans un monde ou le téléphone est omni présent. On a donc dans ce tome 4 l'introduction de cet objet qui permet quand même aux filles de se contacter en cas d'urgence. Si cet ajout est la bienvenue, l'histoire du théâtre ne m'a pas vraiment plu. A ma fille non plus. Elle l'a lu rapidement et m'a dit : bof. Alors qu'elle adore les 3 premiers. En effet ce côté n'est pas assez développé pour être autre chose qu'un prétexte. Bref un tome qui reste sympa parce que l'on retrouve nos héroïnes... mais pas beaucoup plus que ça.
  22. Titre de l'album : Les amies de papiers Scenariste de l'album : Christophe Cazenove / Ingrid Chabbert Dessinateur de l'album : Cecile Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Une belle relation épistolaire à l'heure du portable et des réseaux sociaux. Qu'est-ce qui peut justifier que Charlotte décide de rompre le pacte fait avec Meï, son amie de papier, de ne construire leur amitié que par écrit et aucun autre moyen ? Si elle décide de lui téléphoner, c'est certainement que les choses sont graves. Mais à 14 ans, ce n'est pas évident de savoir ce qui est vraiment grave ou pas. Si c'est une histoire de coeur, Meï pourra l'aider en tant que spécialiste du sujet. L'adolescence s'installe et ajoute de belles feuilles aux vies déjà bien remplies de Meï et Charlotte. Critique : Les amies grandissent et en grandissant leurs amitiés ne fait que se renforcer. Mais en grandissant arrivent les histoires de garçons, les peines de cœurs et les fois où le papier n'est pas suffisant. Ce qui est bien dans ce tome 4 c'est que nos auteurs nous montrent que malgré l'attachement des deux jeunes filles aux papiers, elles restent des gamines de 13 ans qui vivent dans un monde ou le téléphone est omni présent. On a donc dans ce tome 4 l'introduction de cet objet qui permet quand même aux filles de se contacter en cas d'urgence. Si cet ajout est la bienvenue, l'histoire du théâtre ne m'a pas vraiment plu. A ma fille non plus. Elle l'a lu rapidement et m'a dit : bof. Alors qu'elle adore les 3 premiers. En effet ce côté n'est pas assez développé pour être autre chose qu'un prétexte. Bref un tome qui reste sympa parce que l'on retrouve nos héroïnes... mais pas beaucoup plus que ça. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-amies-de-papier-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    Gideon falls tome 3 Chemin de croix

    Avec Gideon falls, Jeff Lemire change de registre et s'attaque au fantastique horrifique. Dans ce troisième tome, on apprend davantage d'information et le rôle de la fameuse grange noire mais un peu moins sur l'homme qui sourit. On reprend l'aventure à l'époque du Père Burke qui pourchasse Norton Sinclair à travers les époques et les dimensions. A partir de ce moment, l'histoire prend une tournure encore plus complexe avec les voyages à travers les dimensions ou mondes parallèles qui ramènent toujours les protagonistes à Gideon falls. Jeff Lemire nous prouve une fois de plus son talent de scénariste pour nous plonger dans des histoires prenantes. En parallèle, Daniel Sutton et le père Fred ont échangé leur place en traversant les dimensions par la porte de la grange noire. J'ai découvert Andrea Sorrentino avec la série Old man Logan, parce que je trouvais que les dessins apportaient quelque chose de nouveau et original. Depuis je suis cet artiste et avec Gideon Falls on profite pleinement des dessins mais aussi de la construction des planches très travaillée. Son style m'a rappelé un peu celui de Williams III, J.H. sur Desolation Jones ou Batwoman. Pour l'instant, Gideon Falls est une des meilleures séries que je lis actuellement.
  24. Titre de l'album : Gideon falls tome 3 Chemin de croix Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il n'y a plus de doute possible, la Grange Noire est la source de tout, des disparitions, comme des meurtres. Alors que Norton Sinclair et le Dr Xu décident de reconstruire sa porte, pour en percer les secrets, le père Fred suit la trace de Joe Reddy pour comprendre la disparition de Daniel Sutton. Les chemins de Norton et Fred finissent par se croiser dans ce lieu maléfique, où le temps, les époques et la réalité y semblent distendus. Critique : Avec Gideon falls, Jeff Lemire change de registre et s'attaque au fantastique horrifique. Dans ce troisième tome, on apprend davantage d'information et le rôle de la fameuse grange noire mais un peu moins sur l'homme qui sourit. On reprend l'aventure à l'époque du Père Burke qui pourchasse Norton Sinclair à travers les époques et les dimensions. A partir de ce moment, l'histoire prend une tournure encore plus complexe avec les voyages à travers les dimensions ou mondes parallèles qui ramènent toujours les protagonistes à Gideon falls. Jeff Lemire nous prouve une fois de plus son talent de scénariste pour nous plonger dans des histoires prenantes. En parallèle, Daniel Sutton et le père Fred ont échangé leur place en traversant les dimensions par la porte de la grange noire. J'ai découvert Andrea Sorrentino avec la série Old man Logan, parce que je trouvais que les dessins apportaient quelque chose de nouveau et original. Depuis je suis cet artiste et avec Gideon Falls on profite pleinement des dessins mais aussi de la construction des planches très travaillée. Son style m'a rappelé un peu celui de Williams III, J.H. sur Desolation Jones ou Batwoman. Pour l'instant, Gideon Falls est une des meilleures séries que je lis actuellement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gideon-falls-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Mutations t2

    Bon et bien cette suite au Mermaid Project n'a pas du soulever les foules. En effet là où le premier cycle faisait 5 tomes celui-ci clos la série en 2. Mais au moins les auteurs et Dargaud ont le bon gout de clore comme il faut. Car cette fin de diptyque est très honnête. Bon on sent bien qu'il y avait plus à dire mais cela nous fait un tome dense et intéressant. Un tome qui nous fait faire le tour du monde mais ou les auteurs prennent quand même le temps de terminer toutes les histoires commencer dans le premiers cycle. En effet on voit se conclure l’enquête en court mais aussi les histoires de la sirène, de la sœur de Romane et sa famille etc... Bref un bon tome de fin de série pour une série qui n'aurait pas souffert d'un tome de plus quand même.
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