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  1. alx23

    Horizons tome 1

    Horizons est une trilogie sortie initialement en 2010 aux éditions Ankama sous le nom Havre. Aujourd'hui, les éditions Omaké books nous proposent cette série dans une nouvelle mouture en format comics, les dessins sont retouchés et les dialogues corrigés pour l'occasion. Ce récit de science-fiction nous plonge dans un univers post-apocalyptique intéressant où certaines personnes ont développé des capacités ou pouvoirs. Ce premier tome pose le contexte avec un nécromancien capable de réanimer un village complet avec des cadavres ambulants et une sorcière. Les deux protagonistes décident de faire la route ensemble dans l'espoir de trouver d'autres survivants tout en devant se méfier d'eux dans ce monde dévasté. La partie graphique est gérée par Anne-Catherine Ott, dans un style épuré et minimaliste dans les décors pour renforcer l'ambiance désertique. Le premier tome d’Horizons est sorti au mois de mars et le second tome vient de paraitre en librairie le 20 avril, le dernier tome est programmé pour le 25 mai. Cette nouvelle version d’Horizons et une très bonne occasion pour découvrir cette trilogie d’anticipation. La fin de cette introduction donne envie de poursuivre e pour connaitre le sort des derniers survivants.
  2. alx23

    Horizons tome 1

    Titre de l'album : Horizons tome 1 Scenariste de l'album : Isabelle Bauthian Dessinateur de l'album : Anne-Catherine Ott Coloriste : Anne-Catherine Ott Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Une aventure post-apocalyptique hors norme... L'histoire a pour décorum un monde post-apocalyptique et commence au sein d'un désert, dans une ruine perdue où vit un nécromancien. Ses seuls compagnons sont son chien et les morts qu'il réanime. Sa vie prend un nouveau tournant lorsqu'il rencontre une sorcière qui va le convaincre d'entreprendre un long voyage afin de trouver d'autres survivants. Au cours de leur quête, ils sont bientôt rejoints par un certain " pistolero "... Critique : Horizons est une trilogie sortie initialement en 2010 aux éditions Ankama sous le nom Havre. Aujourd'hui, les éditions Omaké books nous proposent cette série dans une nouvelle mouture en format comics, les dessins sont retouchés et les dialogues corrigés pour l'occasion. Ce récit de science-fiction nous plonge dans un univers post-apocalyptique intéressant où certaines personnes ont développé des capacités ou pouvoirs. Ce premier tome pose le contexte avec un nécromancien capable de réanimer un village complet avec des cadavres ambulants et une sorcière. Les deux protagonistes décident de faire la route ensemble dans l'espoir de trouver d'autres survivants tout en devant se méfier d'eux dans ce monde dévasté. La partie graphique est gérée par Anne-Catherine Ott, dans un style épuré et minimaliste dans les décors pour renforcer l'ambiance désertique. Le premier tome d’Horizons est sorti au mois de mars et le second tome vient de paraitre en librairie le 20 avril, le dernier tome est programmé pour le 25 mai. Cette nouvelle version d’Horizons et une très bonne occasion pour découvrir cette trilogie d’anticipation. La fin de cette introduction donne envie de poursuivre e pour connaitre le sort des derniers survivants. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/horizons-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. alx23

    Little Big Horn

    Little Big Horn est le quatrième titre de l'excellente collection, la véritable histoire du Far-West. Cette collection propose plusieurs one-shot sur des figures emblématiques du Far-West et maintenant sur une célèbre bataille avec Little Big Horn. Les deux scénaristes David Goy et Luca Blengino collaborent avec Farid Ameur, le spécialiste de la conquête de l’Ouest américain pour écrire cette nouvelle histoire. Le récit débute avec la découverte de nombreux gisements d'or dans les Black Hills. Seulement, les terres des Black Hills sont sacrée pour les tribus indiennes. Pour faire face à la crise économique (déjà à cette époque) les dirigeants vont tenter d'acheter les terres avant d'envoyer les soldats et colons en quête de richesse. Les dessins d’Antoine Giner-Belmonte sont dans un style réaliste très réussi et dans la continuité des tomes précédents. L’auteur est très à l’aise pour mettre en image les champs de batailles entre indiens et tuniques blues. L'album se termine avec un dossier historique pour revenir sur de plus amples détails et faits historiques. Si vous avez apprécié les premiers tomes, vous trouverez votre compte avec Little Big Horn et les autres pourront se laisser tenter avec des albums indépendants.
  4. alx23

    Little Big Horn

    Titre de l'album : Little Big Horn Scenariste de l'album : Luca Blengino & David Goy Dessinateur de l'album : Antoine Giner-Belmonte Coloriste : Chris Regnault Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Été 1874, Territoire du Dakota. De l’or est découvert dans les Black Hills, la terre sacrée des Sioux. En pleine période de récession, le gouvernement américain cherche un moyen pacifique d’acquérir cette contrée aux dépens des Indiens et de satisfaire les velléités d’expansion des colons. Mais les négociations échouent. Au printemps 1876, la guerre est déclarée. Tandis que trois colonnes sont lancées simultanément à la recherche des bandes irréductibles, le chef Sitting Bull décrète l’union sacrée et prend la tête d’une vaste coalition de Sioux et de Cheyennes. Les États-Unis s’apprêtent à fêter le centenaire de leur indépendance et personne ne peut imaginer le désastre qui va suivre… À la tête du 7e régiment de cavalerie, le fer de lance de l’armée fédérale, le lieutenant-colonel George Armstrong Custer entend bien mener ses hommes à la victoire et entrer dans la légende. Après une folle chevauchée, il parvient à localiser ses adversaires dans le sud du Montana et se prépare, seul, à l’assaut. Devant lui, pourtant, se dresse le plus grand campement indien jamais vu dans les Grandes Plaines. Le dimanche 25 juin, après un combat d’une extrême violence, les tuniques bleues essuient leur plus cinglante défaite dans leurs affrontements contre les tribus amérindiennes. Il n’y a aucun survivant parmi les troupes placées sous les ordres directs de Custer. À la stupéfaction générale s’ajoute l’humiliation d’une défaite qui ne cessera pas d’alimenter la controverse. Mais que s’est-il réellement passé à Little Big Horn ? Critique : Little Big Horn est le quatrième titre de l'excellente collection, la véritable histoire du Far-West. Cette collection propose plusieurs one-shot sur des figures emblématiques du Far-West et maintenant sur une célèbre bataille avec Little Big Horn. Les deux scénaristes David Goy et Luca Blengino collaborent avec Farid Ameur, le spécialiste de la conquête de l’Ouest américain pour écrire cette nouvelle histoire. Le récit débute avec la découverte de nombreux gisements d'or dans les Black Hills. Seulement, les terres des Black Hills sont sacrée pour les tribus indiennes. Pour faire face à la crise économique (déjà à cette époque) les dirigeants vont tenter d'acheter les terres avant d'envoyer les soldats et colons en quête de richesse. Les dessins d’Antoine Giner-Belmonte sont dans un style réaliste très réussi et dans la continuité des tomes précédents. L’auteur est très à l’aise pour mettre en image les champs de batailles entre indiens et tuniques blues. L'album se termine avec un dossier historique pour revenir sur de plus amples détails et faits historiques. Si vous avez apprécié les premiers tomes, vous trouverez votre compte avec Little Big Horn et les autres pourront se laisser tenter avec des albums indépendants. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/little-big-horn/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Marée blanche

    Il y avait longtemps que je n’avais pas eu l'occasion de lire une bd dessinée par Gaël Séjourné, depuis l'appel des origines. En, plus, avec Marée blanche, Séjourné signe également le scénario qui annonce dès le début des problèmes pour le quatuor d'amis pêcheurs. En effet, ils repêchent 40 kilos de cocaïne en pleine mer et décident de la garder pour se faire de l'argent facile. L'accroche fonctionne bien avec un récit qui pourrait être réel et une mise en scène efficace où tous les protagonistes seront pris dans une tourmente fatale. Une fois sur terre, on suit en alternance les quatre pêcheurs avec leurs mauvaises décisions. La partie graphique est maitrisée avec des planches bien détaillées et les scènes d'action sont dynamiques. Marée blanche est une excellente surprise pour un one shot percutant comme on aimerait en lire plus souvent.
  6. alx23

    Marée blanche

    Titre de l'album : Marée blanche Scenariste de l'album : Gaël Séjourné Dessinateur de l'album : Gaël Séjourné Coloriste : Gaël Séjourné Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Quand l'équipage du Fargo remonte d'étranges paquets dans ses filets, il ne s'attend pas à 40 kilos de cocaïne. Théo, Laurent, Paul et Jordan se partagent leur trouvaille et jurent de n'en parler à personne, espérant écouler leur trésor compromettant. Sauf que rien ne se passe comme prévu, et la pêche miraculeuse s'avèrera être un cadeau empoisonné qui ruinera la vie des pêcheurs. Marée blanche est une aventure stupéfiante ! Critique : Il y avait longtemps que je n’avais pas eu l'occasion de lire une bd dessinée par Gaël Séjourné, depuis l'appel des origines. En, plus, avec Marée blanche, Séjourné signe également le scénario qui annonce dès le début des problèmes pour le quatuor d'amis pêcheurs. En effet, ils repêchent 40 kilos de cocaïne en pleine mer et décident de la garder pour se faire de l'argent facile. L'accroche fonctionne bien avec un récit qui pourrait être réel et une mise en scène efficace où tous les protagonistes seront pris dans une tourmente fatale. Une fois sur terre, on suit en alternance les quatre pêcheurs avec leurs mauvaises décisions. La partie graphique est maitrisée avec des planches bien détaillées et les scènes d'action sont dynamiques. Marée blanche est une excellente surprise pour un one shot percutant comme on aimerait en lire plus souvent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/maree-blanche/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Clap de fin pour notre peuple de fées et de lutins dénudés ! Katia Even ménage le suspens avec une Ailina acculée face au peu de choix qu'il lui reste , ainsi qu'une nature en proie à de nombreuses difficultés . Restaurer l'équilibre en alliant plaisirs des sens sera au menu de ce dernier tome assez explosif .Les évènements s'enchainent à vive allure , le rythme est soutenu . Dans le pur style graphique de Barbucci , avec un trait tout en rondeur , Styloïde délivre des planches superbes ; bien aidé par la coloriste Marina Duclos ayant oeuvré sur Les naufragés d'Ythaq entre autres . Cette dernière démontre tout son talent avec des nuances sublimes et lumineuses , semblant presque visibles dans l'obscurité ! Ce trio fonctionne à merveille et délivre un ultime récit d'une qualité certaine . Que les fans se rassurent , les scènes "érotico-orgiaques" sont toujours présentes , les protagonistes infiniment nus , ainsi qu'un cycle des saisons toujours dépendant du petit peuple des brumes . Cette "hérotiquo-fantasy" ravira aussi le public féminin car le batifolage reste sobre , pas de gros plans à signaler 😉 . Vous l'aurez compris , si vous avez aimé les deux premiers , cette fin comblera vos attentes , attentes en tout genre bien entendu 😉 .
  8. Titre de l'album : Le peuple des brumes tome 3 - Le bal des saisons Scenariste de l'album : Katia Even Dessinateur de l'album : Styloïde Coloriste : Marina Duclos Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : « La nature de ce que l'on est ne ment pas. Quand on est une fée, on doit rester une fée. À moins que notre destin s'en mêle : Ailina ne peut plus reculer face à ses choix. Le retour au village pour sauver Amandil se fera. D'une forme ou d'une autre. Et la nature reprendra ses droits. Le chaud cédera la place au froid. Le soleil à la pluie. Le beau temps à l'orage. Le printemps éclora enfin dans un grand bal des saisons aux notes harmonieuses. Du moins, c'est ce que le peuple de la forêt du Rocher du Dragon espère... ». Porté par le dessin très doux et rond de Styloïde, l'adéquate mise en couleurs de Marina Duclos et le scénario très soft et tendre de Katia Even, ce dernier tome clôt l'aventure féérique et sensuelle du Peuple des Brumes. Le voyage s'achève ici ! Critique : Clap de fin pour notre peuple de fées et de lutins dénudés ! Katia Even ménage le suspens avec une Ailina acculée face au peu de choix qu'il lui reste , ainsi qu'une nature en proie à de nombreuses difficultés . Restaurer l'équilibre en alliant plaisirs des sens sera au menu de ce dernier tome assez explosif .Les évènements s'enchainent à vive allure , le rythme est soutenu . Dans le pur style graphique de Barbucci , avec un trait tout en rondeur , Styloïde délivre des planches superbes ; bien aidé par la coloriste Marina Duclos ayant oeuvré sur Les naufragés d'Ythaq entre autres . Cette dernière démontre tout son talent avec des nuances sublimes et lumineuses , semblant presque visibles dans l'obscurité ! Ce trio fonctionne à merveille et délivre un ultime récit d'une qualité certaine . Que les fans se rassurent , les scènes "érotico-orgiaques" sont toujours présentes , les protagonistes infiniment nus , ainsi qu'un cycle des saisons toujours dépendant du petit peuple des brumes . Cette "hérotiquo-fantasy" ravira aussi le public féminin car le batifolage reste sobre , pas de gros plans à signaler 😉 . Vous l'aurez compris , si vous avez aimé les deux premiers , cette fin comblera vos attentes , attentes en tout genre bien entendu 😉 . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-peuple-des-brumes-3-le-bal-des-saisons/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Frontier

    Titre de l'album : Frontier Scenariste de l'album : Guillaume Singelin Dessinateur de l'album : Guillaume Singelin Coloriste : Guillaume Singelin Editeur de l'album : Rue de sevres - Label 619 Note : Résumé de l'album : Quand la Terre suffoque de par l'exploitation de ses dernières ressources, l'humanité se tourne vers un nouveau territoire, l'espace, au-delà des planètes du système solaire : « La Frontière ». Dans cette nouvelle ruée vers l'or, trois destinées s'entremêlent : Ji-soo, scientifique passionnée par l'inconnu ; Camina, mercenaire fougueuse et enjouée ; et Alex, un mineur qui n'a jamais connu la Terre. Ce récit d'aventure narre le parcours tumultueux de ce trio, mais aussi de leur quotidien, celui de vivre dans un nouveau monde. Il pose la question d'une nouvelle humanité complètement déconnectée de son berceau, la Terre, pour se tourner uniquement vers les étoiles. Critique : Attention gros coup de coeur ! Celui du début d'année pour moi. Frontier c'est de la science fiction mais tant que ça... La science fiction âpre et crasseuse, qui laisse un sale goût d'un futur qui se rapproche pour nous, pas vraiment enviable. La conquête spatiale sans les paillettes, celle faite de sueur, de travail, et d'accidents, et ou les batailles ne font ni gloire ni honneur, mais simplement de gros chèques pour les vainqueurs... Le sort du monde n'est pas en jeu dans Frontier, puisque d'ailleurs il semble quelque peu scellé... Ici on va parler des destins d'humains, pris dans la machine à broyer de cette nouvelle ruée vers l'or : l'espace. Petites aventures, petits enjeux, mais véritable intérêt pour moi dans cette fresque spatiale qui nous livre grâce à la science fiction de belles réflexion dans une BD dense, prenante, au rythme toujours bien dosé, et servie par le dessin merveilleux de Guillaume Singelin. Bien moins clivant que les traits de Mathieu Bablet ou de Run auxquels on pense pourtant immédiatement dès les premières pages. Le même soucis du détail les anime, mais ici les personnages sont représentés de manière plus empathique, sans pour autant faire de concession aux violences des hommes et des situations. Les scènes spatiales et dans les vaisseaux et stations sont superbes, les détails hyper fournis rendent les scènes vivantes, voir grouillantes même, et l'intérieur des stations exigüe et oppressant. L'infinité de l'espace n'est pas pour autant oubliée. Bref vous l'aurez compris j'ai adoré, je ne peux que vous le recommander, mais attention, ici on n'est pas sur de la science fiction façon Star Wars, ici on parle de notre futur finalement peut être assez proche. Bonus côté prix, pour 21,90 vous avez une super lecture, longue, dense de 192 pages remplies de détails et de planches géniales en plus d'une histoire finalement très prenante et de questions de société et réflexions ô combien actuelles. Que demander de plus ? Ca fait trop ? Ben en bonus, c'est très très lisible et facile d'accès. Pffff j'ai adoré. Merci M. Singelin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/frontier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Frontier

    Attention gros coup de coeur ! Celui du début d'année pour moi. Frontier c'est de la science fiction mais tant que ça... La science fiction âpre et crasseuse, qui laisse un sale goût d'un futur qui se rapproche pour nous, pas vraiment enviable. La conquête spatiale sans les paillettes, celle faite de sueur, de travail, et d'accidents, et ou les batailles ne font ni gloire ni honneur, mais simplement de gros chèques pour les vainqueurs... Le sort du monde n'est pas en jeu dans Frontier, puisque d'ailleurs il semble quelque peu scellé... Ici on va parler des destins d'humains, pris dans la machine à broyer de cette nouvelle ruée vers l'or : l'espace. Petites aventures, petits enjeux, mais véritable intérêt pour moi dans cette fresque spatiale qui nous livre grâce à la science fiction de belles réflexion dans une BD dense, prenante, au rythme toujours bien dosé, et servie par le dessin merveilleux de Guillaume Singelin. Bien moins clivant que les traits de Mathieu Bablet ou de Run auxquels on pense pourtant immédiatement dès les premières pages. Le même soucis du détail les anime, mais ici les personnages sont représentés de manière plus empathique, sans pour autant faire de concession aux violences des hommes et des situations. Les scènes spatiales et dans les vaisseaux et stations sont superbes, les détails hyper fournis rendent les scènes vivantes, voir grouillantes même, et l'intérieur des stations exigüe et oppressant. L'infinité de l'espace n'est pas pour autant oubliée. Bref vous l'aurez compris j'ai adoré, je ne peux que vous le recommander, mais attention, ici on n'est pas sur de la science fiction façon Star Wars, ici on parle de notre futur finalement peut être assez proche. Bonus côté prix, pour 21,90 vous avez une super lecture, longue, dense de 192 pages remplies de détails et de planches géniales en plus d'une histoire finalement très prenante et de questions de société et réflexions ô combien actuelles. Que demander de plus ? Ca fait trop ? Ben en bonus, c'est très très lisible et facile d'accès. Pffff j'ai adoré. Merci M. Singelin.
  11. Kevin Nivek

    Anne Bonny

    On ne peut pas dire qu'il ait eu pléthore de femmes pirates , encore moins aussi bien "placées" dans la hiérarchie navale . Anne Bonny en fait partie et semble bien seule . Elle , et Mary Read sont les seules connues de l'âge d'or de la piraterie au sein des Caraïbes . On peut remonter à plus loin dans le temps et trouver Ching Shih terrorisant les mers chinoises , ainsi que Grace O'Malley une irlandaise très connue dans son pays . C'est donc un réel plaisir de découvrir les aventures de cette "flibustiere" par deux auteurs italiens déjà à l'oeuvre sur une histoire centrée sur Primo Levi . Le duo fonctionne bien et la pagination importante est assez fluide . Le dessin semi-réaliste aux couleurs vives , colle bien aux personnages et aux lieux . La chevelure rousse de Anne semble sortir des cases parfois , idem pour les phases maritimes très bien décrites .Je préfère mentionner un trait semi-réaliste , car les visages se déforment aisément selon les expressions et il n'est pas rare de croiser de grands yeux et autres bouches béantes , une influence "manga" possible de la part de l'artiste . Le scénario quand à lui, nous fait voyager de sa cellule pénitentiaire en guise d'introduction , puis son enfance , et sa rencontre avec de vrais pirates tels que Jack Rackham . Cette chronologie "éclatée" ménage le suspens et nous tient en haleine tout du long . Comment s'est-elle retrouvée emprisonnée et va t'elle s'en sortir ? Et yo , ho ,ho , embarquez avec Anne Bonny sur des flots incertains , et laissez vous chatouiller les narines par les embruns et ce goût rare de l'interdit 😉
  12. Kevin Nivek

    Anne Bonny

    Titre de l'album : Anne Bonny Scenariste de l'album : Matteo Mastragostino Dessinateur de l'album : Alessandro Ranghiasci Coloriste : Alessandro Ranghiasci Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Née en Irlande au début du 18e siècle, fille d'un riche avocat, rien ne prédestinait Anne Bonny à la piraterie. Pourtant, mue par une insatiable soif de liberté, elle prendra très tôt le large et se délivrera des chaines qui emprisonnaient les femmes de son époque. Aux côtés du mythique Calico Jack Rakham, elle connaîtra le frisson de la grande aventure et gravera son nom dans l'histoire de la piraterie... Avec talent, Matteo Mastragostino et Alessandro Ranghiasci mêlent récits d'aventures et réflexions sur la condition féminine pour nous offrir le portrait d'une femme résolument libre. Critique : On ne peut pas dire qu'il ait eu pléthore de femmes pirates , encore moins aussi bien "placées" dans la hiérarchie navale . Anne Bonny en fait partie et semble bien seule . Elle , et Mary Read sont les seules connues de l'âge d'or de la piraterie au sein des Caraïbes . On peut remonter à plus loin dans le temps et trouver Ching Shih terrorisant les mers chinoises , ainsi que Grace O'Malley une irlandaise très connue dans son pays . C'est donc un réel plaisir de découvrir les aventures de cette "flibustiere" par deux auteurs italiens déjà à l'oeuvre sur une histoire centrée sur Primo Levi . Le duo fonctionne bien et la pagination importante est assez fluide . Le dessin semi-réaliste aux couleurs vives , colle bien aux personnages et aux lieux . La chevelure rousse de Anne semble sortir des cases parfois , idem pour les phases maritimes très bien décrites .Je préfère mentionner un trait semi-réaliste , car les visages se déforment aisément selon les expressions et il n'est pas rare de croiser de grands yeux et autres bouches béantes , une influence "manga" possible de la part de l'artiste . Le scénario quand à lui, nous fait voyager de sa cellule pénitentiaire en guise d'introduction , puis son enfance , et sa rencontre avec de vrais pirates tels que Jack Rackham . Cette chronologie "éclatée" ménage le suspens et nous tient en haleine tout du long . Comment s'est-elle retrouvée emprisonnée et va t'elle s'en sortir ? Et yo , ho ,ho , embarquez avec Anne Bonny sur des flots incertains , et laissez vous chatouiller les narines par les embruns et ce goût rare de l'interdit 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/anne-bonny/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    Replay - Mémoires d'une famille

    Jordan Mechner l'auteur du cultissime Prince of Persia retrace plusieurs générations de sa famille dans ce roman graphique très documenté. Mechner se base sur les écrits de son père et grand-père mais aussi sur leur témoignage pour revenir sur le parcours atypique de cette famille. En effet, toutes les générations de la famille ont connu un déracinement depuis le grand-père avec la première guerre mondiale. Aujourd'hui, l'auteur poursuit l'expatriation pour travailler en France sur le jeu vidéo Prince of Persia mais aussi sur le film aux Etats-Unis avec toute sa famille qui le suit. Mechner reprend des faits réels documents par ses aïeuls avec des moments forts durant la guerre. Mais on suit également les débuts de la création de Prince of Persia ou de Karateka et comment il dessinait les mouvements à partir de films, image après image pour reproduire une animation réaliste dans le jeu. Les dessins sont minimalistes en noir, gris et blanc avec l’utilisation d’une couleur de temps à autre pour les décors. Replay mémoires d'une famille m'a interpellé pour l'histoire de la création du jeu vidéo auquel j'ai joué enfant mais les histoires de sa famille ne laissent pas indifférentes. C’est un très bon roman graphique documentaire sur la famille Mechner.
  14. Titre de l'album : Replay - Mémoires d'une famille Scenariste de l'album : Jordan Mechner Dessinateur de l'album : Jordan Mechner Coloriste : Jordan Mechner Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Récit sur trois générations, "Replay" raconte l'épopée familiale de Jordan Mechner, créateur du cultissime jeu vidéo "Prince of Persia". Une incroyable histoire entre exil, déracinement et reconstruction. Franzi, 7 ans, est séparé de ses parents et devient réfugié dans la France occupée de 1940. Son père, autrichien menacé par le nazisme, a vécu la Première Guerre, connu le Front russe et doit fuir son pays pour l'Amérique. 80 ans plus tard, le fils de Franzi, Jordan Mechner, raconte leurs histoires grâce aux carnets tenus par chacun d'entre eux et y mêle son expatriation professionnelle des États-Unis en France. Critique : Jordan Mechner l'auteur du cultissime Prince of Persia retrace plusieurs générations de sa famille dans ce roman graphique très documenté. Mechner se base sur les écrits de son père et grand-père mais aussi sur leur témoignage pour revenir sur le parcours atypique de cette famille. En effet, toutes les générations de la famille ont connu un déracinement depuis le grand-père avec la première guerre mondiale. Aujourd'hui, l'auteur poursuit l'expatriation pour travailler en France sur le jeu vidéo Prince of Persia mais aussi sur le film aux Etats-Unis avec toute sa famille qui le suit. Mechner reprend des faits réels documents par ses aïeuls avec des moments forts durant la guerre. Mais on suit également les débuts de la création de Prince of Persia ou de Karateka et comment il dessinait les mouvements à partir de films, image après image pour reproduire une animation réaliste dans le jeu. Les dessins sont minimalistes en noir, gris et blanc avec l’utilisation d’une couleur de temps à autre pour les décors. Replay mémoires d'une famille m'a interpellé pour l'histoire de la création du jeu vidéo auquel j'ai joué enfant mais les histoires de sa famille ne laissent pas indifférentes. C’est un très bon roman graphique documentaire sur la famille Mechner. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/replay-memoires-d-une-famille/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. La Bd historique est un exercice toujours difficile car on parle forcément d'un moment de notre histoire qui a déjà été traité, en BD ou ailleurs. C'est le cas ici tellement la période du règne de Catherine de Medicis est une période dense et rocambolesque. Un exercice difficile ne veut pas dire que c'est un exercice impossible et on trouve encore des BDs comme celle-ci : Ne cherchant pas à faire dans la nouveauté, mais raconter une histoire que l'on connait déjà, mais le faire bien en prenant juste un regard différent. Ici, on découvre notre histoire via le regard d'une petite fille dont le seul rêve est d'être une grande dame, et qui se retrouve pris dans la grande histoire, sans qu'elle ne puisse rien faire. Un album magnifiquement illustré dans un style cadrant bien à l'époque, mais pas que. Manon Textoris maitrise parfaitement son personnage principal et réussi à bien faire ressortir la problématique de Garbielle, tiraillée entre ses envies, ses devoirs et son adolescence. Une très bd qui ravira les amateurs d'histoire et de belles histoires. À noter une pagination plutôt importante pour ce genre d'album et malheureusement un choix de couverture "d'époque" très peu robuste et s'abimant à une vitesse rarement vue chez moi 😞
  16. Titre de l'album : L'escadron de Catherine de Médicis tome 1 - La fille sage Scenariste de l'album : Manon Textoris Dessinateur de l'album : Manon Textoris Coloriste : Manon Textoris Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : XVIème siècle, les tensions entre catholiques et protestants sont à leur comble et Catherine de Médicis tente de préserver l'union de la monarchie. Dans ce contexte électrique, une jeune noble de province, Gabrielle, est conviée par son influente marraine à rejoindre la cour comme demoiselle d'honneur, contre l'avis de sa mère. Excitée et insouciante au contact de ce nouveau monde, Gabrielle rêve d'intégrer les prestigieux « escadrons volants » de la Reine composés de courtisanes-espionnes... Critique : La Bd historique est un exercice toujours difficile car on parle forcément d'un moment de notre histoire qui a déjà été traité, en BD ou ailleurs. C'est le cas ici tellement la période du règne de Catherine de Medicis est une période dense et rocambolesque. Un exercice difficile ne veut pas dire que c'est un exercice impossible et on trouve encore des BDs comme celle-ci : Ne cherchant pas à faire dans la nouveauté, mais raconter une histoire que l'on connait déjà, mais le faire bien en prenant juste un regard différent. Ici, on découvre notre histoire via le regard d'une petite fille dont le seul rêve est d'être une grande dame, et qui se retrouve pris dans la grande histoire, sans qu'elle ne puisse rien faire. Un album magnifiquement illustré dans un style cadrant bien à l'époque, mais pas que. Manon Textoris maitrise parfaitement son personnage principal et réussi à bien faire ressortir la problématique de Garbielle, tiraillée entre ses envies, ses devoirs et son adolescence. Une très bd qui ravira les amateurs d'histoire et de belles histoires. À noter une pagination plutôt importante pour ce genre d'album et malheureusement un choix de couverture "d'époque" très peu robuste et s'abimant à une vitesse rarement vue chez moi 😞 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-escadron-de-catherine-de-medicis-tome-1-la-fille-sage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    La Bulle - Bienvenue sur adenaom

    Avec la bulle, le jeune public a droit à un récit de science-fiction digne de film tel que Le Labyrinthe. Pour l'histoire, plusieurs enfants orphelins se réveillent sur une île avec un message enregistré leur indiquant la fin du monde. On suit tous ces jeunes dans cet endroti parfaisaique au premier abord, où tout est prévu pour leur apporter leur besoin et amusement via une technologie de pointe. Cependant, un groupe rebelle va remettre en cause la fin du monde et s'organise. Le scénario est bien ficelé pour que les plus jeunes se prennent au jeu et avancent dans l'histoire pour découvrir la vérité. Les dessins de Gabriele Bagnoli sont de qualité pour dépeindre ce petit paradis futuriste. La bulle devrait convaincre facilement son public pour tous les jeunes attirés par des histoires de science-fiction ou pour avoir une première approche avec ce genre.
  18. Titre de l'album : La Bulle - Bienvenue sur adenaom Scenariste de l'album : Gabriele Bagnoli Dessinateur de l'album : Gabriele Bagnoli Coloriste : Gabriele Bagnoli Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Quand Welling (12 ans) et Moé (6 ans) se réveillent ce matin, ils ne sont plus dans leur orphelinat mais sur une île étrange. Équipée d’installations super high-tech, elle accueille une centaine d’autres enfants qui ne savent pas non plus comment ils sont arrivés là. Rapidement, une voix les informe qu’une guerre nucléaire a ravagé la Terre et qu’ils sont les seuls survivants. Ce qu’ils ont pris pour une île est en réalité un lieu protégé par une bulle géante qui les préserve de l’air irrespirable du dehors : Adenaom. Ils font partie du projet scientifique de Stavanger, un savant visionnaire, fondateur des OPE (les Orphelinats Privés d’Excellence), qui a mis au point ce lieu de survie régi par une puissante IA, afin de sauver la dernière génération d’humains sur Terre. Tout semble prévu, sous contrôle, mais pourtant, Welling n’est pas à l’aise. Elle va devoir veiller sur son petit frère Moé (6 ans), faire connaissance avec les autres orphelins, découvrir l’île et, rapidement, elle va devoir choisir son camp… Faire tout ce que demande l’IA sans réfléchir ou se poser des questions et essayer de comprendre pourquoi et comment ils se sont tous retrouvés ici ? Pourquoi seuls des orphelins ont-ils été sauvés ? Pourquoi obéir à l’Intelligence Artificielle qui, sous prétexte de sécurité, ne laisse aucune liberté, aucun choix possible aux enfants ? À qui se fier ? Kostia, Zinder et les autres sont-ils vraiment des alliés, des amis ? Quel est ce mystérieux code FH4 écrit à la main sur l’un des bâtiments de l’île ? Qu’y a-t-il au-delà de la bulle de protection qui recouvre Adenaom ? Sont-ils réellement les derniers survivants de la planète ? Welling et ses amis vont faire preuve de courage en s’opposant à l’IA afin de découvrir ce que recèle Adenaom. Critique : Avec la bulle, le jeune public a droit à un récit de science-fiction digne de film tel que Le Labyrinthe. Pour l'histoire, plusieurs enfants orphelins se réveillent sur une île avec un message enregistré leur indiquant la fin du monde. On suit tous ces jeunes dans cet endroti parfaisaique au premier abord, où tout est prévu pour leur apporter leur besoin et amusement via une technologie de pointe. Cependant, un groupe rebelle va remettre en cause la fin du monde et s'organise. Le scénario est bien ficelé pour que les plus jeunes se prennent au jeu et avancent dans l'histoire pour découvrir la vérité. Les dessins de Gabriele Bagnoli sont de qualité pour dépeindre ce petit paradis futuriste. La bulle devrait convaincre facilement son public pour tous les jeunes attirés par des histoires de science-fiction ou pour avoir une première approche avec ce genre. Autres infos : Edition : Auzou Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/abaddon-tome-1-si-nai Voir la totalité de enregistrement
  19. Attention ceci n'est ni une one shot, ni une enquête complète au sein d'une série sur Sherlock Holmes mais bien le premier tome d'une nouvelle enquête de Sherlock Holmes apocryphe imaginée par Jean-Pierre Pécau. Il est important de le dire, car je le sais parmi vous se cachent des puristes en Sherlock Holmes. Cette nouvelle aventure démarre en 1894 et s'intercale donc parmi les autres enquêtes de Sherlock écrites par Sir Arthur Conan Doyle. Les dessins de Michel Suro collent bien à cette ambiance de polar sérieux, même si parfois l'on regrettera le manque de détails sur certaines cases ou visages. L'ambiance de la fin du 19ème siècle est palpable et réussie. L'intrigue est bien ficelée pour le moment et nous entraîne dans plusieurs endroits et ambiances différentes, et la personnalité complexe de Sherlock Holmes est toujours aussi prégnante. Ce premier tome est agréable à lire et ravira les amateurs de polar et ceux de Sherlock !
  20. Titre de l'album : Sherlock Holmes et les mystères de Londres - Tome 1 - La noyée de la tamise Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Michel Suro Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Une jeune fille est retrouvée morte, noyée dans la Tamise. Elle porte un masque étrange sur le visage. Aussitôt, les autorités pensent à la communauté jamaïcaine de l'East End, mais le célèbre détective n'est pas d'accord. Pour étayer ses dires, il va faire appel à Felix Fénéon, spécialiste des masques anciens, mais qui est poursuivi pour avoir posé une bombe dans un restaurant parisien ! Critique : Attention ceci n'est ni une one shot, ni une enquête complète au sein d'une série sur Sherlock Holmes mais bien le premier tome d'une nouvelle enquête de Sherlock Holmes apocryphe imaginée par Jean-Pierre Pécau. Il est important de le dire, car je le sais parmi vous se cachent des puristes en Sherlock Holmes. Cette nouvelle aventure démarre en 1894 et s'intercale donc parmi les autres enquêtes de Sherlock écrites par Sir Arthur Conan Doyle. Les dessins de Michel Suro collent bien à cette ambiance de polar sérieux, même si parfois l'on regrettera le manque de détails sur certaines cases ou visages. L'ambiance de la fin du 19ème siècle est palpable et réussie. L'intrigue est bien ficelée pour le moment et nous entraîne dans plusieurs endroits et ambiances différentes, et la personnalité complexe de Sherlock Holmes est toujours aussi prégnante. Ce premier tome est agréable à lire et ravira les amateurs de polar et ceux de Sherlock ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sherlock-holmes-et-les-mysteres-de-londres-tome-1-la-noyee-de-la-tamise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Suite des aventures improbables de Lucien avec son papi durant la seconde guerre mondiale. Le premier tome était une sorte de road movie et cette suite reprend les mêmes mécaniques. Cette fois-ci, les deux héros partent pour l'Afrique afin de fuir la guerre en France et en Angleterre. Mais c'est sans compter sur leur ennemi juré, un nazi qui prend le même bateau qu'eux. Les retournements de situations sont importants et l'on avance avec beaucoup d'humour tout en découvrant un pan de la guerre moins connus au niveau des colonies. Les dessins fonctionnent très bien dans un style caricatural pour convenir au genre et au public enfant à partir d'une dizaine d'année. Dans la continuité du premier tome, cette suite réserve des aventures incroyables avec un papi toujours largué et un petit-fils pas apeuré par la guerre.
  22. Titre de l'album : La drôle de guerre de papi et Lucien Tome 2 : L'atlantique ! Scenariste de l'album : Frabice Erre Dessinateur de l'album : Thierry Maunier Coloriste : Thierry Maunier Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Mars 1941. Coincés dans la ville de Londres bombardée, Papi et Lucien sont appelés à une nouvelle mission. Le Général de Gaulle lui-même les invite à le rejoindre à Brazzaville, au Congo, où s’est établie la capitale de la France Libre. Hors de question, cependant, de reprendre le chemin par la France, envahie par les nazis. Papi et Lucien embarquent donc sur un cargo de ravitaillement, en direction de l’Afrique. Le voyage pourrait être tranquille mais Helmut, le soldat nazi aussi acharné que stupide, est également monté à bord, dans un seul but : se venger de Papi et Lucien. Critique : Suite des aventures improbables de Lucien avec son papi durant la seconde guerre mondiale. Le premier tome était une sorte de road movie et cette suite reprend les mêmes mécaniques. Cette fois-ci, les deux héros partent pour l'Afrique afin de fuir la guerre en France et en Angleterre. Mais c'est sans compter sur leur ennemi juré, un nazi qui prend le même bateau qu'eux. Les retournements de situations sont importants et l'on avance avec beaucoup d'humour tout en découvrant un pan de la guerre moins connus au niveau des colonies. Les dessins fonctionnent très bien dans un style caricatural pour convenir au genre et au public enfant à partir d'une dizaine d'année. Dans la continuité du premier tome, cette suite réserve des aventures incroyables avec un papi toujours largué et un petit-fils pas apeuré par la guerre. Autres infos : Edition : Auzou Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    À la recherche de l'homme sauvage

    Avec à la recherche de l'homme sauvage, Frédéric Bihel nous propose une aventure dans les montagnes du Tchatril, en Asie centrale pour prouver l'existence d'un potentiel monstre. Dès le premier chapitre, Bihel ne cache pas ses inspirations de lecture comme Tintin au Tibet de Hergé ou d'autres romanciers comme Jules Verne. Les trois premiers chapitres présentent les personnages principaux de cette aventure avec Augustin le jeune adulte à la recherche d'une chimère, qui hante ses rêves depuis sa jeunesse. Le capitaine, un adulte venant faire le taxi loin de son pays natal et un enfant possédant des pouvoirs de guérison suite à un accident. Bihel introduit les personnages qui deviennent les narrateurs de l'histoire le temps d'un chapitre. On part dans l'inconnu et les montages sauvages en compagnie du trio. Je connaissais le travail remarquable de l'auteur depuis l'album Malaurie, l'appel de Thulé. Le trait de l'auteur s'adapte aussi bien aux décors citadins que les montagnes enseignées et les paysage de nature. On se laisse prendre dans l’histoire de cette fantastique aventure avec une part de mystère pour suivre les rêves du héros qui abandonne tout.
  24. Titre de l'album : À la recherche de l'homme sauvage Scenariste de l'album : Frédéric Bihel Dessinateur de l'album : Frédéric Bihel Coloriste : Frédéric Bihel Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Depuis sa plus tendre enfance, Augustin est passionné par l'archéologie et la grande aventure. Devenu adulte, c'est tout naturellement qu'il se consacre à la recherche au sein d'un laboratoire de paléontologie à Paris. Pour lui, les fossiles qu'il étudie ne sont pas que des bouts d'os changés en pierre ! Quelque part, il le sait, un homme sauvage a survécu qui vit et respire le même air que lui... Critique : Avec à la recherche de l'homme sauvage, Frédéric Bihel nous propose une aventure dans les montagnes du Tchatril, en Asie centrale pour prouver l'existence d'un potentiel monstre. Dès le premier chapitre, Bihel ne cache pas ses inspirations de lecture comme Tintin au Tibet de Hergé ou d'autres romanciers comme Jules Verne. Les trois premiers chapitres présentent les personnages principaux de cette aventure avec Augustin le jeune adulte à la recherche d'une chimère, qui hante ses rêves depuis sa jeunesse. Le capitaine, un adulte venant faire le taxi loin de son pays natal et un enfant possédant des pouvoirs de guérison suite à un accident. Bihel introduit les personnages qui deviennent les narrateurs de l'histoire le temps d'un chapitre. On part dans l'inconnu et les montages sauvages en compagnie du trio. Je connaissais le travail remarquable de l'auteur depuis l'album Malaurie, l'appel de Thulé. Le trait de l'auteur s'adapte aussi bien aux décors citadins que les montagnes enseignées et les paysage de nature. On se laisse prendre dans l’histoire de cette fantastique aventure avec une part de mystère pour suivre les rêves du héros qui abandonne tout. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-la-recherche-de-l-homme-sauvage/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Le tome 1 des pionniers ne m'avait guère emballé et marqué à l'époque de sa sortie, son côté très documentaire laissant finalement peu de place à une intrigue vraiment passionnante, la technique y prenant une large part. Heureusement sur ce second tome, Guillaume Dorison nous gratifie de la lutte féroce mené par Pathé et Gaumont pour exister sur le marché américain. Lutte qui s'avère exceptionnelle par ses protagonistes et son acharnement, tout autant que par ses conséquences. Les français étaient maîtres du cinéma, en se querellant ils ont laissé l'ogre américain les manger tout cru. Cette fin d'épopée est donc une vraie réussite que j'ai lu d'une traite, alors même que la technique et le côté documentaire reste présent. Les pionniers est une bd à offrir à tout amateur de 7ème et de 9ème art. A noter que la partie historique et documentaire de ce diptyque a été assurée par Damien Maric.
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